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#éditions folio junior
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Harry Potter et les reliques de la mort de J. K. ROWLING
Je replonge en enfance… ça fait du bien parfois. J’avais beaucoup aimé ma relecture des précédents tomes plus que ma première lecture. J’avais su apprécier : l’évolution des personnages, la double lecture d’Harry Potter (xénophobie, racisme ou encore des
Fragment de livre en guise de mise en bouche : Si bien que, quand ma mère est morte et que la responsabilité m’est revenue de m’occuper d’une sœur diminuée et d’un frère indiscipliné, je suis rentré dans mon village avec de la colère et de l’amertume. Je me voyais pris au piège, ma vie était gâchée ! Et puis, bien sûr, il est arrivé… Dumbledore regarda à nouveau Harry dans les yeux. Mon avis…
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wolfsnape · 1 year
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On vient de recevoir la nouvelle édition Folio junior de Harry Potter au travail et elle est trop belle... Dommage que JKR SOIT UNE GROSSE TERF
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liqueuramere · 11 months
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Les forces de la nature, à hauteur d'enfant
Chronique de Celui qui n'avait jamais vu la mer, suivi de La montagne du dieu vivant, J. M. G. Le Clézio, 1978
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Je ne savais pas grand chose de Jean-Marie Gustave Le Clézio avant de lire ce recueil de deux nouvelles, si ce n'est qu'il a obtenu le Prix Nobel de littérature en 2008. Après lecture, il me semble important de préciser que l'auteur, né en 1940 à Nice, est issu d'une famille d'origine bretonne ayant émigré à l'île Maurice à la fin du XVIIIe siècle, quelques années avant que celle-ci elle ne devienne une colonie britannique. Au début du XXe siècle, plusieurs branches de la famille retournent en Europe (Angleterre, France), si bien que les parents de J. M. G. Le Clézio, bien que cousins germains, sont respectivement britannique (père) et française (mère). De ce fait, depuis l'indépendance de Maurice en 1968, Le Clézio possède la double nationalité française et mauricienne (à laquelle il tient particulièrement). La vie de ce dernier a été, jusqu'à aujourd'hui, marquée par les voyages, si bien que son œuvre est empreinte d'un fort cosmopolitisme.
Les deux nouvelles publiées dans ma vieille édition Folio Junior ne sont pas inédites puisqu'elles proviennent d'un précédent recueil plus fourni, Mondo et autres histoires (1978), qui avait eu à sa sortie un certain succès. On peut imaginer que ce choix d'avoir republié à part Celui qui n'avait jamais vu la mer et La montagne du dieu vivant est dû à un désir de rendre accessible une partie de l’œuvre de Le Clézio à des lecteurs plus modestes (notamment des scolaires...), mais aussi parce que ces deux textes ont beaucoup de similitudes : tous deux, ils racontent comment un enfant se confronte, seul, à un environnement sauvage. Ce sont aussi des textes qui mettent en œuvre des descriptions riches et poétiques de la nature. On est là face à un thème de prédilection de Le Clézio, qui entre en résonance certaine avec sa propre vie.
Celui qui n'avait jamais vu la mer (1978)
C'est l'histoire d'un collégien discret et mutique, littéralement sans histoire, qui décide du jour au lendemain de rejoindre la mer, qu'il n'a jamais vue. Pour cela, il disparait volontairement sans prévenir personne et fuit jusqu'à l'océan, où il entame en solitaire une nouvelle vie exposée à la beauté et aux dangers de la nature. Dans cette nouvelle, il ne se passe peu ou prou pas grand chose, si ce n'est les longues contemplations de l'océan par le personnage principal, Daniel (en référence à Daniel Defoe, auteur de Robinson Crusoé ?), et le récit de sa survie quotidienne. L'intérêt du texte, à mon sens, réside dans les descriptions : la mer et le littoral sont présentés sous toutes les coutures, avec une grande richesse lexicale et des images prégnantes, ce qui confère à certains paragraphe une forte dimension poétique. Le style de Le Clézio retranscrit très bien le regard de cet enfant qui se confronte, depuis la rive, à l'immensité des flots, avec un mélange d'émerveillement, de fascination et de crainte. Cette dimension du texte mise à part, on peut néanmoins regretter un récit un peu creux...
La montagne du dieu vivant (1978)
L'histoire se passe au sud-ouest de l'Islande, au pied du Reydarbarmur, un mont anciennement volcanique. Un 21 juin, un jeune garçon nommé Jon décide, sans raison apparente, de garer sa bicyclette contre un talus et d'entreprendre, seul et à mains nues, l'ascension de la montagne. Quelque chose l'attire vers le sommet, il ne sait trop quoi, sa lumière ou une force invisible, trahie par un murmure dans le vent. Le récit - initiatique d'une certaine façon - suit l'ascension puis la redescente du personnage principal, et de cette trajectoire parabolique découle une autre parabole, littéraire cette fois. En effet, en haut de la montagne, Jon rencontre un mystérieux enfant (tout nous pousse à croire qu'il s'agit du dieu vivant du titre) qui lui apprend à voir toute la richesse de la nature qui l'entoure, aussi bien la force tellurique de la lave durcie que l'étendue des cieux, depuis les nuages jusqu'aux étoiles. Là encore, Le Clézio sait bien retranscrire la richesse des paysages islandais, aussi bien leur beauté que leur rudesse. J'ai apprécié également qu'il donne à son histoire une dimension mythique, à travers l'échange assez long entre Jon et l'enfant, teinté de fantastique. Mais l'histoire reste tout de même rapidement oubliable car le récit manque cruellement d'enjeux (le héros s'arrête en vélo, grimpe un versant de la montagne, discute avec le dieu des lieux et lui montre comment jouer de la guimbarde, puis redescend : rien d'ultra palpitant.)
En somme, ce premier (et petit) pas dans l’œuvre de J. M. G. Le Clézio fut une lecture agréable, appropriée en ce début d'été, mais pas renversante non plus. À mon avis, je l'aurai rapidement oubliée...
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isabelle201180 · 11 months
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‭Harry Potter – 07 – Harry Potter et les reliques de la mort : J.K. Rowling ‬[LC avec Bianca]
Titre : Harry Potter – 07 – Harry Potter et les reliques de la mort Auteur : J.K. Rowling Édition : Folio Junior (2011) – 896 pages Édition Originale : Harry Potter, book 7: Harry Potter and the Deathly Hallows (2007) Traduction : Jean-François Ménard Résumé : Cette année, Harry a dix-sept ans et ne […]‭Harry Potter – 07 – Harry Potter et les reliques de la mort : J.K. Rowling ‬[LC avec Bianca]
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Les petits nouveaux dans Ma PAL#18
Les petits nouveaux dans Ma PAL#18 Et vous des petits nouveaux dans votre PAL ?
Cher.e.s voyageur.e.s, Oui, j’ai encore craqué. Londres, la ténébreuse T1 La fugitive de Whitechapel de Bec Mcmaster Londres, la ténébreuse T2 La bête de l’ombre de Bec McMaster Après ces deux premiers tomes de Londres la ténébreuse, j’avais hâte de me lancer dans la suite. Et je les ai dévoré. Et hop 6 livres de plus dans ma PAL heureusement que deux sont rentrés et aussitôt ressortis :D……
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navisseli · 5 years
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L’Odyssée du Passeur d’Aurore
Les Chroniques de Narnia, tome 5
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#Désolée pour la qualité, c’est une vieille édition et donc difficile à trouver en bonne qualité...
Auteurice : C.S. Lewis
Maison d’édition : Folio Junior
Date de publication : 1952
Nombre de pages : 260
Genre : Fantasy, Jeunesse
Ce qu’en pense Seli :
Aujourd’hui, une critique plus courte que d’ordinaire, un peu comme le roman dont je vais parler. J’apprécie beaucoup Les Chroniques de Narnia car elles reprennent, usent et abusent des ficelles traditionnelles du conte, à tel point que je n’ai parfois pas l’impression de lire un roman. Lewis marrie plutôt bien son travail et ses envies aux dynamiques du conte, en y ajoutant deçà delà de petites morales destinées aux plus jeunes. 
Ce tome s’inscrit dans le lignée directe du Neveu du magicien ou du Cheval et son écuyer, dont il reprend de façon très marquée le découpage en péripéties successives. Il est question d’un voyage aux frontières du monde connu, et chaque péripétie correspond à une île à visiter, avec une progression de fil en aiguille vers le plus étrange. Si certaines des idées proposées se démarquent car elles apportent de petites touches d’ambiances assez malvenues pour nos héros, le rythme est bien trop mécanique et ça devient très rapidement lassant. Si bien que même les bonnes idées ne touchent plus alors que dans un autre contexte, elles auraient eu bien plus d’impact.
Une des nouveautés de ce volume est le personnage d’Eustache, le cousin de Lucy et Edmund que nous connaissons depuis un moment, un garçon capricieux et détestable qui va connaître dans le roman un voyage initiatique. Lewis sait très bien nous dépeindre les personnages suffisants comme Eustache (il l’a déjà fait avec Edmund), extrêmement agaçants, pour mieux lui donner sa rédemption plus tard et en faire une personne fréquentable. Les mésaventures d’Eustache sont peut-être ce qu’il y a de plus intéressant et rend très bien l’aspect de quête initiatique que traversent tous les héros de Lewis. Il en profite pour mettre en avant ses propres idées en matière d’éducation. Si on en croie le roman, Eustache reçois une éducation très libre, de la part de parents végétariens, très tolérants mais tout de même à l’aise financièrement. Si on était en 2010, les parents du garçons auraient sans doute été qualifiés de “bobos” j’imagine. La défiance de Lewis pour les nouvelles formes d’éducation lui permet même de conclure son roman en faisant dire à la mère d’Eustache qu’elle le trouve bien quelconque depuis qu’il a été influencé par ses cousins. Ce qui permet de parfaire sa critique, car selon lui, ces nouveaux modes de vie existent simplement “pour se faire remarquer”. Je trouve cependant dommage qu’Eustache passe au second plan une fois sa rédemption achevée, car il aurait été intéressant de voir sa progression en continuant de voir le journal de bord qu’il écrit durant le voyage.
Un autre passage très intéressant du livre (à destination des enfants je rappelle), nous en dit beaucoup sur son contexte de rédaction et les messages destinés à la jeunesse. Au début du roman, Caspian roi de Narnia, débarque sur les Îles Solitaires, protectorat narnien. Il y découvre que la corruption et l’esclavage sont monnaie courante, et que le gouverneur est en fait un pleutre paresseux. Il en profite alors pour rappeler audit gouverneur qu’il est sous pouvoir narnien et que ce dernier va le placer sous tutelle pour le redresser. Rien de très particulier au premier abord. Cependant, le ton très “adulte” de ce passage m’a interpellée. J’y ai d’abord vu une glorification du Commonwealth Britannique (en bref l’Angleterre qui affirme sa souveraineté suprême à toutes ses possessions, par exemple la Reine est encore aujourd’hui souveraine aussi bien au Royaume-Uni qu’en Australie), avant de me rappeler que le roman a été publié en 1952. 
Je vais peut-être un peu loin dans l’interprétation, mais je pense que ce passage est une critique à peine voilée de la décolonisation. Contextualisons ! Après la fin de la Deuxième Guerre Mondiale, les européens perdent peu à peu leur emprise sur leurs colonies. L’indépendance de l’Inde en 1947 à l’issue d’une lutte pacifiste (néanmoins il s’agit bel et bien d’une “lutte”, les indiens se sont battus pour obtenir leur indépendance) a été un catalyseur des luttes indépendantistes et les années 50 et 60 voient le Royaume-Uni perdre presque la quasi-totalité de ses colonies de façon plus ou moins violente. L’année de publication du roman, d’anciennes colonies publient d’ailleurs un manifeste international en faveur de la décolonisation. 
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Source : http://colinecelia.canalblog.com
Dans le passage sur les Îles Solitaires, j’y voit un message d’union du Commonwealth en réaction aux nombreuses indépendances qui se succèdent, conservateur en cela qu’il démontre que l’archipel à besoin de Narnia pour être bien gouverné, car laissé à lui-même, il fait n’importe quoi (ingérence, esclavage, corruption, etc...), ce qui est exactement le discours qui a justifié la colonisation dans les pays européens du XIXème siècle au passage. Lewis critique donc cette tendance et rappelle à mots couverts aux enfants que la souveraineté britannique sur ses colonies est un idéal à conserver. Donc oui, même dans les romans pour enfants, on trouve des messages politiques !
Je n’ai pas grand chose d’autre à dire sur ce roman. Dans un premier temps, je pensais simplement publier un billet directement sur la fiche du livre sur Livraddict. Mais finalement, il m’a semblé intéressant de développer le passage sur les Îles Solitaires, ne serait-ce que pour prouver à tout un chacun que chaque oeuvre, même la plus innocente en apparence, est politique...
Ma note : 14/20
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panelun · 4 years
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Salut, je ne sais pas si tu seras capable de me répondre et je suis désolée si ma question te dérange mais étant donné tes connaissances en littérature jeunesse et en fantasy j'ai pensé à toi. Je veux lire le Seigneur des Anneaux et j'ai chez moi une vieille édition. Mon problème c'est que c'est le coffret folio junior publié en 2000. Les trois tomes sont là, les annexes aussi mais sur la 4ème de couverture la mention "à partir de 11 ans" m'interpelle. Soit c'est du sadisme envers les enfants1/2
du genre “Tiens il y a de la magie! Tu t'en dépatouilleras!” soit je suis face à une édition coupée. J'ai essayé de chercher dans le livre et la mention “texte intégral” n'est présente nulle part, mais l'inverse avec un truc du genre “extraits choisis” est aussi absent. L'édition est plutôt jolie pour du poche, la seule précision sur la nature du texte c'est qu'il s'agit de la traduction de F. Ledoux pour Christian Bourgois Éditeur. Est-ce qu'à ton avis je suis face au texte intégral? 2/2
Bonjour !
Alors je suis flattée que tu aies pensé à moi pour cette question, parce que même si je n’en parle pas beaucoup, Tolkien est de très loin mon auteur de fantasy préféré. 
Cette édition Folio Junior, j’en ai eu un exemplaire à une époque. Je suis persuadée qu’il s’agit d’une édition complète. Je l’avais achetée parce que la version intégrale était trop volumineuse à transporter. Le texte et le nombre de pages m’ont semblé correspondre et, à ma connaissance, Le Seigneur des anneaux n’a jamais été abrégé dans l’édition française.
 La mention “à partir de 11 ans” n’est pas abusive. J’ai lu l’intégrale à neuf ans et ça a été ma révélation littéraire. je pense qu'un enfant n’a pas besoin de pratiquer la lecture comme une discipline olympique pour apprécier cette trilogie. Ils s’identifient très bien aux Hobbits et contrairement à ce que certains prétendent, je ne trouve pas le texte fastidieux à lire. 
Je n’ai jamais compris ce qui pourrait rendre Le Seigneur des anneaux inadaptée aux enfants. Considère-t-on le lexique trop riche ? Le style trop soutenu ? L’histoire trop longue ? Le rythme trop lent ? Je me souviens de l’avoir dévoré sans jamais m’ennuyer et n’avoir rencontré de problèmes de compréhension. Je connais des 6ème qui ont lu l’intégrale de Thanatonautes, de Harry Potter ou de la Guerre des clans. Je pense que c’est tout aussi long que le Seigneur des anneaux, peut-être plus. Aucun de ces arguments ne me semblent recevables.
Je m’explique cet apriori en sachant que le SDA est un récit qui va à contre-courant d'un attendu de lecteur bien enraciné dans notre tête : un bon livre devrait aller à l’essentiel. Il va sans dire que la concision n’est pas le fort de Tolkien, mais c’est ce qui fait le charme de son récit et de son style. 
Bref, j’ai lu et relu à peu près quatre fois l’intégrale dans différentes éditions, mais toujours traduites de F. Ledoux. C’est peut-être là qu’il va y avoir débat.
Je ne peux pas donner d’avis sur la qualité de la traduction. Je sais qu’elle est critiquée et que la trilogie bénéficie d’une nouvelle traduction par Vincent Ferré depuis 2016. Il y a une page wikipédia sur la traduction du Seigneur des anneaux en France, si tu veux en savoir plus.
Evidemment, j’ai grandi avec la traduction de Ledoux, donc je ne suis pas objective et je la trouve très agréable à lire. On ne peut pas dire que les quelques défauts gâche l’expérience de lecture, cela dit, un lecteur qui découvrirait le texte pour la première fois voudrait peut-être se jeter sur l’autre version.
J’espère avoir pu t’éclairer. Si tu te lances, n’hésite pas à renvoyer un message pour me dire ce que tu as pensé de ta lecture !
Merci en tout cas. Je sais quoi faire pendant mes vacances à présent !
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isabelle201180 · 1 year
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Coeur de loup de Katherine Rundell
Titre : Coeur de loup Auteur : Katherine Rundell Édition : Folio Junior (2019) Édition Originale : The Wolf Wilder (2015) Traduction : Emmanuelle Ghez Résumé : Féodora a grandi parmi les loups. Ils sont tout pour elle et, bientôt, elle deviendra maître-loup, comme sa mère. Mais ce destin extraordinaire est anéanti quand surgit l’armée […] Coeur de loup : Katherine Rundell
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Harry Potter et le Prince de Sang-Mêlé de J. K. ROWLING
Harry Potter et le Prince de Sang-Mêlé de J. K. ROWLING Un avis qui ne change pas beaucoup d'une lecture à l'autre. Ce n'est pas mon préféré mais la construction m'a bien plu assez différente des précédents tomes.
Fragment de livre en guise de mise en bouche : – Pourquoi les gens n’en boivent-ils pas tout le temps monsieur ? demanda Terry Boot, avide d’en savoir plus. – Parce que si on en prend trop, elle provoque des étourdissements, une tendance à l’imprudence et un excès de confiance en soi qui peut se réveler dangereux, répondit Slughorn. Il ne faut pas abuser des bonnes choses, comme vous le savez……
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Harry Potter et l'Ordre du Phénix de J. K. ROWLING
Harry Potter et l'Ordre du Phénix de J. K. ROWLING Eh bien, cette relecture est totalement surprenante. J'ai vraiment changé d'avis par rapport à ce tome. Jusqu'a cette relecture, c'est celui que j'aimais le moins. C'est fou !
Fragment de livre en guise de mise en bouche : – Et soyez les bienvenus dans la classe de divination. Bien entendu, j’ai soigneusement étudié vos destinées pendant les vacances et je suis ravie de voir que vous êtes tous revenus à Poudlard saint et saufs – ainsi, d’ailleurs, que je l’avais prévu. Vous trouverez sur vos tables un titre intitulé L’oracle des rêves, par Inigo Imago.…
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Fragment de livre #107
Fragment de livre #107 C'est un fragment de livre d'une de mes anciennes lectures. #monamiesophiescholl #pauledubouchet
Cher.e.s voyageur.e.s, Je vous présenterais un extrait du livre, mais cette fois, ce sera d’une lecture passée et déjà chroniquée de façon à vous faire découvrir le livre autrement. J’ai un peu changé le principe. Pourquoi ? parce que je trouve qu’un extrait est bien plus parlant qu’un résumé et surtout que certains résumé sont trop spoilant ou mensonger. Aujourd’hui, je vous présente un…
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navisseli · 6 years
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Là où les mots n’existent pas
A comme Association, tome 5
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Déso pour la qualité, j’ai pas trouvé mieux pour cette édition... #Seli
Heureusement que je suis là :p #Naviss
Auteurice : Erik L’Homme
Maison d’édition : Folio junior
Date de publication : 2011
Nombre de pages : 210
Genre : Fantastique
Ce qu’en pense Seli : 
Replonger dans A comme Association, c’est comme replonger à nouveau dans les tréfonds de mes émois littéraires d’adolescente. Et pour une fois, c’est mon tour de raconter ma vie...
J’ai toujours été une lectrice dévoreuse de pages et de romans à la chaîne. Je me souvient d’ailleurs qu’il me tardait d’apprendre à lire pour pouvoir lire Harry Potter, et que je rongeais mon frein en attendant d’enfin entrer au CP. Je venais de voir le premier film et j’avais déjà conscience que prendre mon indépendance de lectrice me permettrait d’aller beaucoup plus loin que les petites histoires que mes parents me lisaient le soir. Cependant, une fois que j’eus appris à lire, je restais relativement sur un terrain balisé. J’avais beaucoup de mal à ouvrir mes horizons littéraires. L’enfant que j’étais devait singulièrement manquer de curiosité... ou avoir une immense peur de commencer quelque chose qui pourrait potentiellement la décevoir. 
Arrivée au collège, je me suis fait tout un groupe d’amies aussi férue de lecture que je l’étais, à un détail près. Elles connaissaient bien plus de romans jeunesse que moi. Ainsi que l’envie de les partager... J’ai un souvenir très précis du premier roman qu’on m’a prêté à cette période, et c’était Eragon. Mais après est venu Pierre Bottero, qui est le second créateur d’histoires à avoir chamboulé ma petite vie (la première étant J.K Rowling, et les troisièmes et dernières en date, les soeurs Wachowski...). Je me suis pleinement investie dans son univers, ses histoires, ses personnages. C’est Bottero qui a instillé en moi l’envie de créer à mon tour, d’écrire et de partager des histoires. Il m’a ouvert les portes de l’imaginaire et depuis elles ne sont toujours pas refermées. Je me souviens encore avec nostalgie de cette époque où ils nous arrivait de discuter bouquins durant les récrés et de commenter les romans et mangas qui passaient de mains en mains... J’ai également découvert Erik L’Homme à cette époque, dont j’appréciais aussi beaucoup les romans. Puis est venue à nos oreilles la nouvelle que Bottero et L’Homme travaillaient sur un projet commun. Il me semble que cette année là, ils étaient allés tous les deux aux Imaginales, pas très loin de chez moi. J’ai regretté des années de ne pas y avoir foutu les pieds plus tôt. Puis vint le drame... 
Un matin de 2009, je ne sais plus comment, j’apprends la mort de mon idole.
Vide. Trou noir. Néant. Infinie tristesse. Rien que d’y penser, j’ai les larmes qui remontent... 
Pourquoi j’en parle ? Parce qu’en lisant aujourd’hui ce roman, tout est remonté. 
En effet, Bottero a disparu alors que A comme Association était encore en cours de publication. L’Homme rédigeait les histoires de Jasper, Bottero celles d’Ombe. Arrive le cinquième tome, et L’Homme se retrouve avec une héroïne et une saga toutes deux orphelines. On sent tout du long que cette perte l’a marqué, et pour développer, je vais devoir spoiler...
{ZONE SPOILER} Comme il l’a dit en interview, L’Homme n’a pas voulu reprendre le personnage d’Ombe, et celle-ci meurt au début du roman, creusant un grand vide en Jasper au moment où celui-ci réalise qu’il l’aimait profondément (mais pas romantiquement, ce dont il était persuadé jusque-là). Traumatisé par cette perte, Jasper se met en tête de se venger, et au fur et à mesure qu’il avance dans sa quête, ses réflexions internes trouvent une réponse inattendue : la voix d’Ombe qui résonne dans sa tête. Le doute plane : est-ce juste une projection du souvenir d’Ombe ? Est-ce-que l’esprit d’Ombe, décédée dans des circonstances encore non-élucidées, s’est accroché à celui de Jasper et y demeure dans un coin ? Le doute semble planer. Comme Jasper ne semble pas choqué, soit il est conscient que c’est juste son cerveau qui lui joue des tours, soit c’est ce qu’il imagine et Ombe est bien là... Je trouve que les deux théories se défendent, et dans tous les cas, c’est un bon moyen de se séparer d’Ombe sans l’effacer complètement de l’histoire.
Il demeure que la mise en abîme est très touchante. Pas besoin d’avoir fait khâgne pour comprendre que l’auteur parle de la douleur d’avoir perdu son ami, et de son deuil. J’imagine parfaitement L’Homme en train de rédiger son texte tout seul, et qui imagine ce qu’en aurait dit Bottero au fur et à mesure, sachant qu’il s’agit d’un projet commun qui leur tenait à coeur, à l’image de l’histoire de Jasper et Ombe. Ce tome est entièrement centré sur les conséquences du décès d’Ombe, non seulement sur Jasper, mais aussi pour la suite. De la même façon, on comprend les conséquences de la mort de Bottero sur son ami et leur oeuvre : Ombe disparait et L’Homme est forcé de se réapproprier le projet pour le finir seul. {FIN ZONE SPOILER}
Lire entre les lignes le deuil de l’auteur est déjà fort. Encore plus si on le partage, même si ce n’est qu’à une moindre mesure. 
C’est pour cette raison que je ne parvient pas à me sentir légitime quand je critique ce qui m’a manqué dans ce roman. Déjà, la courte durée des tomes ne permet pas de développer l’univers autant qu’il le devrait, ce qui me donne toujours l’impression que ses limites sont floues. Le postulat de départ est simple, sans prise de tête, mais je reste parfois sceptique sur quelques points, même si il s’agit de détails. Disons que j’accepte parce que c’est orienté jeunesse et centré essentiellement sur les personnages. Ensuite, l’aspect transitionnel de ce tome saute aux yeux. Déjà parce qu’implique la prise de direction par un seul auteur, mais aussi par le fait que les enjeux montent d’un cran et ouvrent l’univers sur quelque chose de plus grand. Les événements de ce roman sont un levier pour mener vers la suite, et du coup j’ai l’impression de lire une bande annonce.
Pour ce qui est du reste, je retrouve ce pourquoi je préférais les tomes du point de vue de Jasper : la pratique de la magie. Contrairement au reste, je la trouve concrète et détaillée, empruntant beaucoup à la wicca, mais ayant du coup un fonctionnement clair. Je reste quand même dubitative quand à la facilité de réaliser des sortilèges impressionnants avec trois fois rien : passer dans un autre plan avec une rose et beaucoup de concentration, c’est un peu comme si on disait qu’il est possible d’inventer un téléporteur avec un miroir de poche, un verre à dents et du scotch...
Ce roman m’a fait éprouver de nombreuses émotions (qui demeurent cependant dans ma palette entre “mélancolie” et “envie de pleurer”), rien de mieux quand on s’apprête à passer une petite soirée relax avant d’aller doucement s’endormir... Résultat me voici à rédiger une chronique à deux heures cinquante du matin avec internet qui saute toutes les deux minutes... Bonne nuit !
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Source : Daily-b99.tumblr.com
Ma note : 15/20
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