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#éditions livre de poche
aforcedelire · 1 year
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Les lieux sombres, Gillian Flynn
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Libby Day est la seule survivante du massacre de sa famille, survenu quand elle avait 7 ans. Son frère Ben a été arrêté et emprisonné, accusé d’avoir participé à des rituels sataniques et d’avoir assassiné ses sœurs et sa mère. Un jour, un membre d’une association un peu spéciale aborde Libby, et lui propose de revenir sur les lieux des meurtres. La jeune femme ne s’attend pas à la tournure que vont prendre les évènements…
Très sympa, ça se met lentement en place mais une fois qu’on est dedans, on y est à fond. Les lieux sombres met en lumière les difficultés financières et les crises de la classe moyenne / basse de la société américaine. Gillian Flynn nous propose un mélange entre plusieurs époques : un chapitre sur Libby qui se replonge dans ses souvenirs et dans l’enquête ; un chapitre en 1985, dans les heures qui précèdent le massacre, avec les points de vue de la mère et de Ben. On ne sait pas trop qui a fait le coup, et la fin, la solution, est satisfaisante. Ça ne vaut pas Les apparences, best-seller de Gillian Flynn, mais c’était très sympa et c’est un bon polar pour passer un bon moment. Pile poile dans la veine thriller psychologique / polar américain.
05/03/2023 - 08/03/2023
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angelitam · 1 year
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Partageons mon rendez-vous lecture #10-2023 & critiques
Voici mes critiques littéraires sur Livres à profusion. La lisière de Niko Tackian La lisière de Niko Tackian – Editions Calmann-Lévy Les poupées d’Alexis Laipsker Les poupées d’Alexis Laipsker – Editions Michel Lafon En lecture, Les Ombres de Salem de Stéphane Galas Les Ombres de Salem de Stéphane Galas – Editions Michel Lafon Présentation de l’éditeur : Depuis son installation dans une vieille…
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alapagedeslivres · 10 months
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CHALLENGE NetGalley : bilan 2023
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C'est Lundi, que Lisez-vous ? #242
Mes lectures en cours : * Canadian West Series, book 1: When Calls The Heart de Janette Oke * Sissi impératrice d'Autriche de Jean des Car * La vie secrète d'une mère indigne de Fiona Neill
Cher.e.s voyageur.e.s, Comme tous les lundi, je vous présente mes lectures passées, présentes et peut-être futurs. Ce rendez-vous a été mis en place par Galleane et repris par moi. Je suis heureuse d’être responsable de ce rendez-vous. Je curieuse de voir vos reprises, lectures passées, présentes et à venir :D. MENU : DÉFIS DE LA SEMAINE PRÉCÉDENTE : J’aimerais continuer sur cette bonne…
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ccnountche · 2 years
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L'éditeur Pierre Belfond est mort à l'âge de 88 ans
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jelepermets · 3 months
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The Preface of this edition of Les Mis (Le Livre de Poche, Édition de Guy Rosa et Nicole Savy) is really good, but I wanted to highlight one passage in particular:
[...] la question de savoir ce qui en lui mobilise la conscience de vivre en société. -- La loi et l'ordre, répond Javert; rien, dit Thénardier; des souveniers pours Gillenormand, l'avenir pours les jeunes étudiants révolutionnaires... Jean Valjean se tait condamné à temps mais exclus à vie, la société ne lui autorise aucune réponse à cette question qu'elle ne cesse pourtant de lui poser violemment.
In English:
[...] the question of knowing what moves him to live in society. -- Law and order, replies Javert; nothing, says Thenardier; memories for Gillenormand; the future for the young student revolutionaries... Jean Valjean stays quiet. Condemned for a time, excluded for life, society does not allow him a single response to the question which it continues to demand of him.
(Sorry if the translation's a bit janky/if you speak French and notice it's not perfect word-for-word. I'm doing it myself, I'm going more for comprehension than word-for-word literalism. Translating decisions are so scary, have mercy.)
I didn't really think about this too much my last time reading through. Of course Valjean was a stoic character to me, but connecting his reticence to the fact that his voice has so long been crushed by society is a bit of a revelation. After all, no one can know who he is. And speaking is dangerous. Nor does the Law want to hear his opinions. Instead they punish him for what he has already done, not giving him the chance to discover the answer for himself.
There are other things mentioned that struck me, this one just did particularly.
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solenewild · 2 months
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Bonjour tout le monde !
Ci-dessus ma première lecture de ce mois de mars. Il s'agit de Là où tu iras j'irai, un roman écrit par Marie Vareille et publié aux éditions "Le Livre de Poche" en 2018.
C'est le deuxième livre que je lis de cette auteure (après Désenchantées sorti en 2020).
On y découvre l'histoire d'une jeune femme rêvant de devenir actrice mais confrontée à de multiples échecs lui rendant la vie bien difficile. De fil en aiguille, elle est finalement embarquée dans une aventure sans queue ni tête où elle doit séduire un veuf riche, fiancé et sur le point de se marier.
Rafraîchissant, parfois drôle et surtout sans prise de tête, je vous conseille ce roman si vous souhaitez vous détendre et vous lancer dans un livre de taille moyenne (environ 300 pages).
Pour ma part, je garde quand même un petit faible pour Désenchantées (place spéciale dans mon coeur).
N'hésitez pas si vous avez aussi des livres à me recommander !
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jeux-raconte · 11 months
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Prélude à fondation, Isaac Asimov
Encore des livres ? Mais y a "jeux" dans le nom du Tumblr...
Oui bon hein, j'ai des billets à faire sur des jeux aussi, mais ça viendra. J'ai eu une période Asimov par inadvertance un été. En me promenant en vacances, je passe comme souvent dans une librairie du lieu de vacances, parce que les librairies, c'est bien.
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Et je tombe sur le premier tome des Robots. Je me dis "tiens c'est vrai que c'est un classique, la charte graphique de la nouvelle édition est sympa, je me lance".
Eh bien ce fut un gouffre, j'ai englouti les 6 tomes sur le temps des vacances d'été. (Plus ou moins, j'ai calé à mi-chemin du 6e tome). Je n'avais jamais lu beaucoup de SF, à part les deux premiers tomes en poche de Dune. Et les romans des Robots d'Asimov m'ont énormément plu parce qu'ils mélangeaient deux choses, une que j'adore, et une que j'ai appris à aimer : respectivement des enquêtes, et la construction d'un monde futuriste cohérent.
Après avoir adoré les Robots, j'ai fait une longue pause dans la SF. J'ai repris mes anciennes lectures, c'est-à-dire plutôt de la fantasy, ou des recueils de nouvelles. Et puis récemment, Philip K. Dick. J'en reparlerai puisque je me suis pris une claque, dans le bon sens du terme. Mais me revoilà plongé dans la SF, et jusqu'au cou !
Bon c'est bien beau mais de quoi ça parle ?
Je m'étais renseigné un peu sur ce livre. Ecrit par Asimov très tardivement, il fait le lien entre deux de ses gros cycles d'histoires : les Robots (!) et Fondation. Sur la fin de mon second roman de Dick, une amie me recommande chaudement la série dérivée de Fondation, et elle commence même à les lire. Or, ce Prélude à Fondation, on me l'a offert il y a déjà un moment ! Etant une créature qui réagit fortement à la hype et à l'incitation de mes pairs, il ne m'en a pas fallu plus.
Dans ce livre, on suis l'histoire d'un mathématicien, Hari Seldon, dont le sujet d'étude est la Psychohistoire, c'est-à-dire la possibilité de déterminer de façon statistiques la probabilité d'arriver de certains événements à l'échelle de l'humanité, entre autres. Bien sûr, cela va intéresser l'empereur, qui va inviter Seldon à le rencontrer. S'en suit une découverte de lieux, civilisations et coutumes assez incroyables dans cet univers de Fondation. Malgré tout, ce n'est pas tant le "world building", l'univers de fond construit par l'auteur, qui m'a fait rester jusqu'au bout des 600 pages du roman, et même s'il est très agréable à découvrir. Mais c'est plutôt l'intrigue, la suite d'événements sans cesse rebondissante vers autre chose, toujours surprenante, pour déboucher sur un final aux multiples "plot-twists" (retournements de situation, mais je n'ai pas signé de charte anti-anglicismes à ce que je sache) qui m'a coupé le souffle. Je pense que sans m'en rendre compte, l'auteur à fait monter la mayonaise en tension scenaristique, densité de l'histoire, et a préparé tous ses pions pour arriver à ce final que j'ai trouvé assez incroyable.
J'avais commandé la suite, l'Aube de Fondation, en étant à peu près à la moitié de celui-ci. Et je ne le regrette pas, puisque je meurs d'envie maintenant de savoir ce qu'il va se passer ensuite. Cependant, je vais peut-être revenir sur le tome 6 des Robots, pour terminer une fois pour toutes cet arc narratif là.
Je vais teinter cet avis dithyrambique avec un tout petit bémol : est-ce parce que j'ai lu la préface écrite par Asimov ou bien est-ce réellement un sentiment que j'ai eu seul à la fin du livre, je ne sais pas. Toujours est-il que j'ai légèrement eu l'impression que toute l'histoire n'était qu'un prétexte pour relier deux cycles d'histoires à priori décorrélées de manière à satisfaire les enthousiaste de l'un ou de l'autre. Après, c'est la volonté de l'auteur dès le début, donc je ne saurais pas trop expliquer ce sentiment qui m'a traversé l'esprit à la fin du roman.
Bon cela dit, ce mince sentiment est à peu près la seule chose de négative que j'ai à dire du roman...
Bon allez pour vraiment creuser au bout du bout, le roman date de 1988, et je trouve que globalement, les rares personnages féminins ne brillent pas par leur originalité ; je ne suis pas certain que le livre passe le Test de Bechdel (https://fr.wikipedia.org/wiki/Test_de_Bechdel) ; et enfin certaines sociétés décrites dans le livre, du point de vue du personnage principal, carricaturent un peu trop certaines coutumes ou traditions réelles, les comparaisons et mise en parallèle sont un peu grossières voire gênantes une fois ou deux en passant.
En résumé, la porte d'entrée dans une saga qui s'annonce plutôt incroyable en terme de scenario et de sf. Le côté science futuriste n'a pas vieilli d'un poil, les moeurs et l'écriture peut-être un poil plus, mais le roman est à remettre dans un cadre aussi : l'auteur à commencé le cycle de Fondation en 1951, et il a 68 ans quand il écrit cette préquelle.
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auda-isarn · 10 months
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Série de livres recommandée par mon patron.
Jacques Abeille était un anarchiste proche de André Breton.
Il a écrit la série de livres appelée le cycle des Contrées.
Un homme un jour, pénètre dans un pays où les hommes cultivent des statues... tout à la fois récit de voyage, roman d'aventure, conte philosophique ce livre vous marquera à jamais. Le style de l'auteur est très beau. Il y'a 9 tomes dans cette série avec également un livre à part.
Je recommande les éditions originales et les éditions grand formats aux éditions du Tripode. Il y'a aussi la version poche en Folio.
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l-avis-de-klervie · 1 year
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La SF c'est pas que pour les geeks La fantasy c'est pas que pour les ados
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Penguin Classics Galaxy est une collection de six titres de la littérature de fantasy et de sciences fiction publiés en 2016 et dirigée par Neil Gaiman. Le directeur artistique Paul Buckley a commissioné le graphiste Alex Trochut pour en concevoir les couvertures. Cette collection a gagné le prix AIGA + Design Observer des 50 meilleurs couvertures de l’année.
Les couvertures sont composée uniquement de lettrage original. Pourquoi n’y a-t’il aucune iconographie ?
En écartant tout recourt à l’image, le lettrage apparaît en majesté, il aurait apparu anecdotique s’il avait été mis en concurrence avec une image. Le lettrage est une image en soit puisque son style est évocateur du titre qu’il illustre. En témoigne le caractère pour The One and Future King qui rappelle les enluminures moyenâgeuses. Quant au «D» de Dune, il ressemble à un vaisseau spatial. Ainsi, c’est le lettrage lui-même qui sert d’iconographie Le lettrage vise à intriguer car le texte n’est pas immédiatement déchiffrage Les caractères typographiques dessinés sont peu lisible. Il faut "quelques secondes de plus pour en décrypter la signification. En effet, certaines lettre semblent incomplètes, brouillées par des interférences visuelles. En effet, les lettres de la couverture de Dune forment des blocs quasi rectangulaires dont on ne discerne la lettre uniquement grâce à la direction prise par les lignes. Des effets de déconstruction sont présents notamment dans le caractère conçu pour la couverture de The Left Hand of Darkness qui déconstruit et superpose une moitié de lettre au dessus d’une lettre. Quant au caractère de The Once and Future King, les lettres s’écartent beaucoup des formes auquel le lecteur est habitué. Par exemple, la lettre "T" contient une arabesque qui se confond de premier abord avec un "G". De plus, le fût est penché vers la droite, ce qui accentue l’ambiguïté. Ainsi, l’ensemble de ces éléments visent à brouiller la lisibilité au profit d’une esthétique originale dont l’objectif est que le consommateur en librairie passer plus de temps à regarder la couverture. Le but est de marquer les esprits par le temps passé à regarder le livre.
L’absence d’image rappelle le design de la collection blanche de Gallimard et la couverture cartonnée rappelle les éditions de La Pléiade. Dans ce cas, l’iconoclasme est un gage de qualité car elle hisse ses publications au rang de classique : le titre suffit.
Chaque lettre a une image, un style particulier propre à lui-même. Il y a une certaine originalité dans le style général de la collection. En effet, les éléments sont reconnaissables dans leur ensemble. Si l’on prend les éléments séparément, on saura les associer immédiatement à la collection. Et dans le même temps, chacun apparaît dans son unicité. Cela n’est pas sans rappeler la collection Insel ou Zulma designée par David Pearson qui ont toutes deux un motif en fond original à chaque couverture.
Quel est le rôle joué par les procédés d’impression et de fabrication dans la stratégie ?
Le marquage à chaud réhausse la valeur des objets livres par leur couleur argent ou doré et la technique qui augmente le prix du livre. L’effet réfléchissant du marquage à chaud attire l’oeil autant qu’il ajoute de la valeur par son apparence dorée. C’est une édition deluxe qui est précieuse. Cela s’explique par le fait que les anglais sont friands des table books. Cette édition est la parfaite intersection entre un livre beau et précieux autant dans son contenu quand dans son contenant.
Le choix d’une couverte rigide ajoute un aspect luxueux à l’objet : il a plus de poids et de prestance. De plus, il est plus durable qu’un livre de poche, on doit en prendre soin, on ne peut pas l’emmener et le lire partout car il risque de s’abimer, sa place se trouve dans une belle bibliothèque. Ainsi, la couverture rigide ajoute ainsi de la valeur à l’objet livre.
Quel est le but concernant la perception traditionnelle des genres littéraires de cette collection ?
L’enjeu de cette collection rappelle la collection New Penguin Shakespeare illustré par David Gentleman. L’enjeu était de redonner une image contemporaine à Shakesperare afin d’élargir son public.
Ici, il s’agit également de bousculer les stéréotypes associés aux genres de la SF et de la Fantasy dont l’image serait celle de geek ou d’adolescents. Cette collection vise à dé-marginaliser ces textes et les hisse au rang de chef-d’oeuvres chic et précieux. Cet objectif est atteint grâce aux procédés d’impression et de fabrication ainsi que l’absence d’iconographie qui rend ces oeuvres intemporelles et universelles.
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mmepastel · 1 year
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Alors alors. J’étais ravie de retrouver Julia Glass, pour ce qui était présenté comme une nouveauté chez Gallmeister, mais en fait, que nenni, c’est un roman qui date de plus d’une dizaine d’années, traduit et sorti directement en poche chez ces éditions un brin facétieuses.
Peu m’importait, un Julia Glass, ça ne se refuse pas.
J’ai eu l’impression de lire parfois du Richard Russo, mais comme si c’était un livre sans relecture. A la vérité, j’ai apprécié ce roman mais je l’ai trouvé un peu long. Plus de 600 pages, on se demande un peu quand ça commence et quand ça finit, pourquoi ne pas rajouter 100 ou 200 pages tant qu’on y est, tant que nulle ligne narrative n’est vraiment privilégiée.
Mais c’est une critique un peu brutale, vu la joie occasionnée. Après tout, ce qu’on aime, c’est la générosité de l’autrice, son intérêt porté aux personnages secondaires. Le personnage de Celestino par exemple, est formidable. Percy, évidemment aussi, avec son caractère légèrement reac, mais qui cumule 1000 excuses, dont celle d’être vieillissant.
Oui, ce qui séduit encore chez Julia Glass, peut-être moins ici que dans d’autres romans, c’est son goût de l’humain, de ses trajectoires et motivations secrètes. Du Guatemala aux bourgeois américains, il n’y a rien, et en même temps, tout un monde. Ce sont les mêmes, et pourtant ils sont lointains. Les conditions sociales, les vexations subies, forgent des caractères qui peinent à s’accorder, mais finissent par y arriver (les dernières pages du roman sont joyeuses, vraiment). Intéressant aussi l’activisme écologique, plutôt d’actualité (!), mais traité brutalement en fin de récit.
Bref, ce n’est pas le meilleur roman de Julia Glass, mais c’est quand même un bonheur de la lire, encore.
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aforcedelire · 1 year
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L'Enfant de la prochaine aurore, Louise Erdrich
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Notre monde touche à sa fin : à la suite d'une catastrophe biologique, les espèces n'évoluent plus. Les États-Unis sont désormais gouvernés par une entité totalitaire et religieuse, et chaque femme enceinte est sommée de se signaler. On les invite également à rejoindre les rangs de VU, Volontaires Utérus, afin d'essayer de relancer l'espère humaine... Quand Cedar Songmaker apprend qu'elle est enceinte, elle tente coûte que coûte de protéger son enfant à naître. Même si pour cela elle doit se cacher et devenir une fugitive.
J'ai adoré ! On est catapulté.e dans le roman, ou plutôt dans la longue lettre que Cedar écrit à son enfant. Petit à petit, on voit avec elle que, d'abord, de choses étranges commencent à arriver : les plantes cessent d'évoluer, il n'y a plus de bébés animaux... et bientôt, il n'y a plus non plus de bébés humain. Et surtout, les rares qui naissent sont difformes, étranges. Dans une histoire qui rappelle celle de La Servante écarlate de Margaret Atwood, on suit cette jeune femme qui tente le tout pour le tout pour avoir une chance d'être libre. C'est très bien écrit, on entre directement dans l'histoire ; et surtout, c'est le genre de roman auquel on continue de penser entre deux séances de lecture ! Grand coup de cœur pour la dernière œuvre en date de Louise Erdrich.
Par contre, je suis un peu dégoûtée par la fin…
14/11-2022 - 19/11/2022
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angelitam · 1 year
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Partageons mon rendez-vous lecture #09-2023 & critique
Voici ma critique littéraire sur Livres à profusion. Monnaie de sang de Patricia Cornwell Monnaie de sang de Patricia Cornwell – Editions Le Livre de Poche Est-ce que ce Niko Tackian sera le bon, La lisière La lisière de Niko Tackian – Editions Calmann-Lévy Présentation de l’éditeur : SON MARI ET SON FILS ONT DISPARU AVALÉS PAR LA PLUS MYSTERIEUSE DES LANDES BRETONNES… Un choc sous la voiture,…
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vicnormansstuff · 1 year
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« J’aime ce pays, et j’aime y vivre parce que j’y ai mes racines, ces profondes et délicates racines, qui attachent un homme à la terre où sont nés et morts ses aïeux, qui l’attachent à ce qu’on pense et à ce qu’on mange, aux usages comme aux nourritures, aux locutions locales, aux intonations des paysans, aux odeurs du sol, des villages et de l’air lui-même. »
— Guy de Maupassant
« Le Horla »1886, éditions Albin Michel, coll. Le Livre de Poche, 1967
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C'est Lundi, que Lisez-vous ? #241
Une semaine moins productive, moins au top d'un point de vue moral. Cependant, j'ai réussi à lire, j'ai vu des amies. Je ne me laisse pas gagner par l'inactivité. Bon sinon qu'ai-je lu et que suis je en train de lire ?
Cher.e.s voyageur.e.s, Comme tous les lundi, je vous présente mes lectures passées, présentes et peut-être futurs. Ce rendez-vous a été mis en place par Galleane et repris par moi. Je suis heureuse d’être responsable de ce rendez-vous. Je curieuse de voir vos reprises, lectures passées, présentes et à venir :D. Plouf, mon moral a fait un bon gros plouf et là il remonte. Je suis assez fatiguée…
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aurevoirmonty · 2 years
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Voici un livre indispensable pour comprendre l’évolution mortifère de notre société occidentale : avec la société de propagande (éditions La Nouvelle Librairie) Jean-Yves Le Gallou frappe juste, et fort.
Si la propagande est un mot aujourd’hui difficilement assumable, cédant la place au terme poli de « communication », elle n’en demeure pas moins un des leviers de pouvoir les plus importants pour assurer l’unité et la cohésion des sociétés modernes. Ne disposant pas des mêmes moyens de coercition que les totalitarismes du XXe siècle, la société post-moderne doit assurer sa cohésion au moyen de dispositifs idéologiques de plus en plus efficaces, d’une propagande totale qui touche tous les aspects de la vie, du berceau au tombeau, à travers l’actualité, la publicité, les films, les séries, les jeux vidéo, les spectacles sportifs, les programmes scolaires, les fêtes officielles ou associatives, l’enseignement, etc.
La société occidentale contemporaine peut à bon droit être qualifiée de « société de propagande », une société où la propagande est massive et se trouve être le premier déterminant de contrôle du comportement social. Ce livre s’attache à examiner ce goulag mental imposé aux Européens afin d’y résister.
Et pour introduire votre future lecture..nous avons interrogé Jean-Yves Le Gallou
Breizh-info.com : Vous évoquez dans votre nouvel ouvrage le fait que nous vivons aujourd’hui dans une société de propagande totale, globale et mondiale. Quels exemples avez-vous de cette propagande généralisée ?
Jean-Yves Le Gallou : Pensez à la journée normale d’un de nos concitoyens : il se lève et branche la radio ou la télévision, 95% chances sur 100 pour qu’il tombe sur un média de grand chemin : ceux qui ne distinguent pas le vrai du faux mais prétendent nous dire où est le bien où est le mal. Il, elle, « iel », part au boulot : en voiture ou en transport en commun, et le, la, voilà exposé, é-ée, à des messages publicitaires qui l’incitent à consommer toujours plus et qui promeuvent l’homo festivus et le métissage : plus de 30% des publicités faisant figurer des couples sont ethniquement mixtes avec une nette préférence pour l’homme noir et la femme blanche.
Dans les trains et les métros il sera de surcroit saturé de messages vocaux effrayants : « attention aux picks-pockets », « tout bagage abandonné sera détruit », « portez le masque », etc. Arrivé dans son entreprise – surtout s’il s’agit d’une multinationale – il devra respecter sa « charte éthique », veiller à « l’inclusivité » et adopter un comportement « éco-responsable ». Pendant la pause du déjeuner, il lui faudra tourner sept fois sa langue dans sa poche pour éviter toute blague « stigmatisante » qui pourrait le conduire devant le conseil de discipline. En rentrant chez lui il ingurgitera de nouveaux messages de propagande, avant d’aller faire ses courses dans un supermarché où il sera incité à « sauver la planète » dans le choix de ses yaourts ou du papier hygiénique. A la maison, les enfants de retour de l’école, pourront évoquer les cours reçus sur la tolérance envers les exigences de la communauté LGBT, le choix de leur orientation sexuelle, les bienfaits de la « diversité » ou les crimes de l’esclavage et de la colonisation. L’école ce n’est plus le grand enseignement c’est le grand endoctrinement. Enfin, petite soirée détente devant une série où le roi Arthur est noir et le wokisme en HD. Pour être complet je pourrai aussi évoquer la littérature, le sport spectacle et le théâtre judiciaire. Jamais à aucun moment de l’histoire les hommes n’ont eu la tête aussi gavée de propagande !
Breizh-info.com : Vous parlez d’un système qui s’emploie notamment à tout « simplifier » dans le but de créer un ennemi unique. Là encore, qu’entendez-vous par là ?
Jean-Yves Le Gallou : Une des règles de la propagande c’est la simplification et l’ennemi unique. L’ennemi des oligarques qui contrôlent les maîtres de la propagande est clairement défini : c’est l’homme fidèle à ses racines ethniques, culturelles, historiques, religieuses ; c’est le national, l’identitaire, le patriote, le catholique, celui qui est attaché aux permanences anthropologiques, aux valeurs traditionnelles et à son terroir. Et le même message de diabolisation est répétée, dupliquée, orchestrée par tous les canaux possibles.
Breizh-info.com : Parmi les grandes armes de la propagande, la publicité. En quoi celle-ci est-elle employée, aujourd’hui, à des fins de destruction de l’homme Européen ?
Jean-Yves Le Gallou : La publicité – 2% du PIB, une paille ! – est par nature réductrice : il s’agit de centrer l’homme sur l’acte d’achat. Mais publicité et propagande sont aussi intimement liées. La publicité est une arme au service du politiquement correct. Une arme à double détente : par les messages qu’elle délivre, par les médias qu’elle choisit de financer ou non. Un seul bénéficiaire à tout cela : l’idéologie progressiste, l’idéologie arc-en-ciel.
L’arc en ciel du drapeau sud-africain sur la « diversité »,
L’arc en ciel du drapeau LGBT,
L’arc en ciel de Greenpeace pour l’alarmisme climatique.
Breizh-info.com : Lorsque Chomsky et Herman ont rédigé le livre « La Fabrication du consentement » en 1988, il semblerait qu’ils étaient encore loin d’imaginer tous les aspects de la propagande médiatique en démocratie. Que n’avaient-ils pas vu émerger ?
Jean-Yves Le Gallou : Ce que j’essaie de montrer dans La société de propagande c’est que nous avons affaire à une propagande mondiale, à une propagande totale, à une propagande globale, qui va bien au-delà des seuls médias. Des scientifiques, des experts, des statisticiens, des sondeurs sont arraisonnés par l’idéologie dominante. La littérature – du Nobel au polar – est mise au service des minorités activistes. Les procès-spectacles – regardez ceux du Bataclan ou de l’attentat de Nice – ne sont plus utilisés pour faire émerger la vérité mais pour conditionner l’opinion. C’est fascinant.
Breizh-info.com : En quoi ce consentement fabriqué au sein de l’opinion est-il bien plus dangereux et pernicieux que les idéologies totalitaires du 20ème siècle ?
Jean-Yves Le Gallou : Goebbels et Boukharine étaient des amateurs (ou des copieurs) ! Le vrai maître de la propagande c’est l’américain Edward Bernays, neveu de Freud et auteur du maitre ouvrage Propaganda. Ses travaux sont antérieurs aux exercices des propagandistes des régimes nazis et communistes. C’est lui qui les a inspirés. Et surtout qui leur a survécu : ce sont ses méthodes d’influence qui continuent de gouverner nos esprits. On nous vend la guerre en Ukraine comme Bernays avait vendu l’entrée en guerre des États-Unis en 1917.
Un point important à signaler : le temps disponible en dehors des contraintes du travail extérieur ou domestique n’a jamais été aussi important qu’à notre époque. Ce temps consacré au divertissement n’est pas du « temps libre » mais du temps disponible pour le conditionnement. Le Grand Conditionnement.
Breizh-info.com : Pour faire face à ce déferlement, vous en appelez, vous aussi, à la Sécession et à la Reconquête. De quels outils puissants disposons-nous aujourd’hui pour se faire ?
Jean-Yves Le Gallou : La sécession doit être médiatique, territoriale, éducative, politique. Pour cela l’essentiel c’est le développement de notre esprit critique pour prendre du recul sur les lubies progressistes et les manipulations des médias comme des industries culturelles et de divertissement, L’esprit critique c’est la membrane protectrice du temps disponible de notre cerveau, assiégé par la propagande.
La reconquête ? C’est la reconquête de notre identité par le retour à la lecture et aux humanités.
Breizh-info.com : Qu’est-ce que la fenêtre d’Overton et en quoi est-il indispensable de la déplacer sur notre droite ?
Jean-Yves Le Gallou : La fenêtre d’Overton, du nom d’un juriste et politologue américain conservateur, explicite le champ des positions politiques dicibles dans l’opinion publique : Ce cadre se déplace – ou plutôt est déplacé – par ceux qui définissent le domaine des idées autorisées. C’est ainsi qu’au cours des trois dernières décennies des idées impensables sont progressivement devenues d’abord radicales, puis envisageables, acceptables, raisonnables, populaires, sinon obligatoires. Pendant que des idées initialement évidentes sont progressivement devenues critiquables, contestables, radicales, sinon extrémistes, voire interdites.
Breizh-info.com : Avez-vous un exemple ?
Jean-Yves Le Gallou : Oui, la liberté d’expression ! Nous sommes passés de « il est interdit d’interdire » à « la liberté d’expression, c’est liberticide, il faut la réguler ». « Réguler » ? C’est-à-dire censurer !
Il faut inverser le mouvement pendulaire de la fenêtre d’Overton et la ramener à droite toute !
Breizh-info.com : Les nations d’Europe centrale, dont la sortie de la société de propagande communiste est encore fraiche, doivent-elles être des boussoles pour les Européens de l’Ouest ? 
Jean-Yves Le Gallou : La glaciation communiste a été un conservatoire et c’est ce qui explique que les valeurs conservatrices ont encore leur place en Hongrie, en Pologne et, plus à l’est en Russie. Mais il faut rester vigilant la propagande progressiste et wokiste s’invite dans les grandes métropoles. Avec l’appui de l’État profond américain et du parti démocrate qui ont fait la peau de Trump en 2020. Résistons !
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