Tumgik
#CNRLT
mirrorontheworld · 2 years
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« Gros bosseur » loué pour ses qualités managériales, Laurent Nuñez dégage une image à l’opposé de Didier Lallement auquel il s’apprête à succéder à la préfecture de police de Paris. Mais comme lui, il incarne une ligne dure en matière de maintien de l’ordre.
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luatendance · 4 years
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L’instabilité de la couleur : une expérience originale d’amélioration
Qu'est-ce que la couleur? Comment pourrions-nous définir la couleur? Le premier réflexe est d'en donner une définition:  " Qualité de la lumière que renvoie un objet et qui permet à l'œil de distinguer les autres objets, séparément de sa nature et de sa forme" tiré du cnrlt. 
En effet la perception de la couleur est infiniment soumise aux conditions lumineuses, carte, saisonnières, horaires, ou encore à la distance d'observation, à la grandeur de l'aplat, aux relations de contrastes colorés avec le contexte urbain, au mouvement de l'observateur, à son mode de perception ... Nous percevons une façade un peu plus jaune sous les rayons d'un coucher de soleil, un peu plus bleue le matin, un peu plus sombre si elle est entourée d'un ciel blanc ou de la neige. En outre, tant de question se pose comment prendre en compte tous ces facteurs dans l'environnement? L'instabilité de la couleur nous amène à nous demande quelle va être la posture de l'architecte, en prenons compte de la démarche de projet de réhabilitation aux niveaux architectural et urbain?Quels vont être les outils les mieux adaptés? Afin d'anticiper au mieux la question de la réhabilitation par la couleur, il va falloir comprendre la couleur en matière d'effet, ce quel produit? Pour comprendre les interactions qu'elle va avoir avec l'espace et anticiper les impacts des couleurs à l'échelle de la ville mais aussi à l'échelle du bâtiment. Penser à réintroduire la couleur dans les réhabilitations des bâtiments c'est penser en tant que marqueur identitaire et patrimonial, une garantie de bien-être et un repère sensible ou non de la ville.La couleur au sens large du terme n'est pas uniquement un aplat de peinture posée sur un mur. Mais elle peut être une matière, ou tout simplement la chaleur d'une lumière qui varie en fonction des heures de la journée. Elle doit être repensée comme une matière à générer de l'ambiance. Seulement elle ne doit pas être une question de goût mais bien un élément fonctionnel.  
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#mcdiefenbachphotography #natureza #nature_shooters #naturelover #natureporn #natureshots #instanature #paisagem #mothernature #naturegram #naturaleza #natureonly #viagem #brazil #natureaddict #naturehippys #nature_obsession  #landscapes #flores #natureshot #naturestyles_gf #naturel # #photographando #gardenflowerslovers8d #artemisphotographytacoma (em Taquara) https://www.instagram.com/p/B-k2T-CnRlt/?igshid=1aaqd30uih3y8
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Les attentats de 2015 ont prouvé l’importance d’un service de renseignement efficient et moderne pour lutter contre l’évolution d’un terrorisme toujours plus inventif. Mais, les services de renseignements n’évoluent pas uniquement contre cette sphère, mais aussi avec l’espionnage contre l’ingérence économique, la lutte contre la prolifération des armes de destruction massive, les attaques cybernétiques et la criminalité organisée.
Alors que les pays anglo-saxons ont participé depuis longtemps à une information sur leurs services secrets (voir les différents musées qui y sont consacrés, comme le Spy Museum de Washington DC), la France garde trop jalousement et depuis longtemps mystère et secret autour d’eux.
Les services du renseignement profitant d’une refonte importante depuis une dizaine d’année ont engagé une politique d’ouverture et de communication.
La série “Le Bureau des légendes” produite par Canal + (diffusion de la saison 5 bientôt) a permis de faire connaître ces français de l’ombre, d’appréhender les rouages du service et d’en comprendre les enjeux.
L’exposition “Espions” est née de cette volonté. En s’adressant au tout public tout en développant un scénario interactif, elle permet aux jeunes et aux moins jeunes de jouer aux espions.  Mais que serait le plus expérimenté des espions sans une technologie de pointe : des réseaux de communication toujours plus performants, de la géolocalisation précise, l’artifice des légendes (couverture de l’espion) et la manipulation mentale.
Ne pas oublier, non plus, que c’est un secteur qui recrute beaucoup de profils techniques très compétents. Alors, l’exposition en se mettant à la portée des enseignants et de leurs élèves, permet aux services de renseignement d’espérer faire naître des vocations.
En France, il existe pas moins de six services de renseignement qui se sont longtemps comportés comme des frères ennemis.
VOTRE MISSION, SI VOUS L’ACCEPTEZ… PLONGER AU CŒUR DES SERVICES ET SE METTRE DANS LA PEAU D’UN OFFICIER DE RENSEIGNEMENT. Être un espion …
L’exposition “Espions “est coproduite par la société de production du Bureau des légendes créé par Éric Rochant et produite par The Oligarchs Productions.
Pour les espions : Un essai nucléaire de faible intensité vient d’être détecté en République Occidentale, pays placé sous surveillance dans le cadre de la lutte contre la prolifération nucléaire. C’est à vous, visiteur, d’endosser le rôle d’agent de renseignement et de participer à la collecte des informations qui permettront de rédiger la note destinée au chef de L’État !
En France, seulement 400 000 personnes dites “espions” sont habilitées à consulter des documents classifiés. 25 % d’entre elles sont renouvelées chaque année. Les candidats doivent remplir une notice détaillée, transmise par l’officier de sécurité dont ils dépendent à un fonctionnaire qui, selon les cas, saisit la DGSI ou la DRSD pour enquête. Si l’enquête ne fait pas apparaître de facteurs de vulnérabilité, c’est-à-dire des éléments que pourrait exploiter un service de renseignement étranger pour approcher la personne, l’habilitation est notifiée au demandeur, qui signe un engagement de responsabilité. Le classeur contient les fiches des personnes habilitées.
Il existe trois degrés de classification : « confidentiel défense », « secret défense » et « très secret défense ». Plusieurs façons de les détruire par une “choucrouteuse” créant plus ou moins une protection appropriée.
  Pour les espions : “Ça y est, vous voici agent de renseignement sur le sol français. Il est temps de mettre en action votre sens de l’observation, votre rigueur et votre capacité de déduction. Passez de bureau en bureau, de service en service, et mémorisez toutes les informations que vous récolterez !”
Pour les espions : Un essai nucléaire vient d’être détecté en République Occidentale. Le protocole d’alerte est déclenché. Les équipes du CEA se mettent en marche afin de tenir informées en temps réel les plus hautes autorités de l’État…
Pour les espions : Afin de pouvoir confirmer que Marc Beauregard était bien l’interlocuteur de Stella Smith lors du Symposium Nucléaire Civil de Lyon où cette dernière s’était présentée sous une fausse fonction, la DRSD va récupérer les vidéosurveillances du congrès et les passer au peigne fin.
Au moins 935 000 systèmes de vidéosurveillance sont installés en France.  Les images ne peuvent être conservées plus d’un mois, sauf procédure judiciaire. Quant à la reconnaissance faciale, elle est déjà au point, mais soulève des débats éthiques.
Pour les espions : Marc Beauregard doit être interrogé par la DGSI. Connait-il vraiment Stella Smith ? Pourquoi sont-ils en contact ? Sait-il qu’elle est agent secret de la République Occidentale ?
Improprement appelé « détecteur de mensonges », le polygraphe désigne un ensemble d’appareils qui mesurent les réactions psychophysiologiques d’un individu lorsqu’il est interrogé, afin de déterminer s’il dit la vérité ou s’il ment. Le postulat selon lequel est censé fonctionner le polygraphe est que le fait de mentir provoquerait une réaction émotionnelle et s’accompagnerait donc de manifestations psychophysiologiques mesurables. On peut le tromper. En France, le passage au polygraphe n’a pas valeur de preuve.
Pour les espions : Le bureau de Marc Beauregard à la société Tricastin a-t-il été visité par Stella Smith ? Y a-t-elle déposé des micros ou des caméras ? Une équipe de la DGSI est dépêchée sur place pour dépoussiérer son bureau avec vous.
 “Dépoussièrer” le bureau :  trouver micros et capteurs. Plusieurs appareils sont disponibles pour aider chacun des espions dans ces missions.
    Pour les espions : Vous entrez sur le sol étranger. Préparez-vous, certaines actions risquent d’être physiques. Écoutez les formations de vos directeurs et continuez de mener à bien votre mission.”
Création audiovisuelle du Bureau des légendes, un film d’une durée de trois minutes est diffusé en boucle. Il contextualise les éléments d’exposition que les visiteurs vont découvrir et particulièrement les actions-phares qu’ils vont devoir accomplir dans cette partie consacrée au renseignement intérieur. Sont ainsi mis en scène les figures fictives suivantes : La commissaire Fabienne Raziel, DGSI ; Le lieutenant-colonel Antoine, DRSD ; Benoît Malence, Tracfin ; Julie Raffin, DNRED
Sources :
Undercover: Avoir vingt ans à la CIA – Amaryllis Fox
  Dossier pédagogique –
Questions pratiques : Espions
Cité des sciences et de l’industrie
Du 15 octobre 2019 au 9 août 2020
Ouvert du mardi au samedi de 9h30 à 18h, le dimanche de 9h30 à 19h. Fermé le lundi.
  A partir de 12 ans
En français, en anglais et en espagnol
Durée estimée de la visite : 1h30
Conçue en co-production avec TOE-The Oligarchs Editions en partenariat avec les producteurs du Bureau des Légendes TOP-The Oligarchs Productions et Federation Entertainment  et avec la CNRLT, la DGSE, la DGSI, la DRM, la DRSD, la DNRED et Tracfin. Avec l’appui scientifique du CEA.
      Vous avez aimé la série "Le bureau des légendes", vous aimerez l'exposition "Espions" à la cité des sciences et de l'industrie. Petite visite ici Les attentats de 2015 ont prouvé l'importance d'un service de renseignement efficient et moderne pour lutter contre l'
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LISTE DE LIENS UTILES 2018-2019
PROPOSITIONS MAJ novembre (ALTERNATIVES ET AUTRES OUTILS)
https://framadrop.org (WeTransfer plus sûr
https://frama.link (réducteur d’URL
https://framapic.org (hébergement d’images
https://framapad.org/fr/
https://ezgif.com
https://www.textise.net/
https://fr.lipsum.com/
https://textonly.website/
http://gallica.bnf.fr
http://www.histoiredesarts.culture.fr/
AH OUI ET AUSSI :
http://everynoise.com/ (proche de votre music-map.com
http://radio.garden/ (surprise mondiale)
http://pierrepapierciseaux.net/games/chemtrail/ (le jeu vidéo rose et bleu) LISTE DE LIENS UTILES 2018-2019

http://ubuweb.com ///
site-ressource sans équivalent, fondé en 1996 par Kenneth Goldsmith en dehors de tout contexte institutionnel et scientifique. Il réunit des milliers de films, musiques, documents sonores et textes dits "d'avant-garde" (en réalité, une quantité vertigineuse d'oeuvres et d'expériences datant des débuts du XXe siècle à nos jours). Ubu web, fonctionne aujourd’hui grâce au soutien financier et logistique d'associations et d'université, et est enrichi par des contributeurs bénévoles et par certains artistes eux-mêmes


http://aaaaarg.fail /// 
Créée par l'artiste Sean Dockray, cette bibliothèque en ligne, qui réunit plus de 50 000 textes destinés à l'apprentissage autodidacte, est également une plateforme de réflexion qui réunit une communauté de chercheurs et d'amateurs également en charge de ce catalogue conséquent.


https://archive.org ///
The Internet Archive, sans doute la plus importante archive accessible en ligne de contenus numérisés (texte, audio, images animées, logiciels) et autres 452 billions de pages de sites web archivées depuis la création des sites concernés, d’outils pour échapper aux liens morts… Recherche par domaines, mots clés, médias, etc.


http://www.crisco.unicaen.fr/des ///
indispensable dictionnaire des synonymes donnant accès aux ressources du CNRLT et à son dictionnaire incomparable, son outil de proxémie, etc.


http://makersandfounders.com ///
riche archive en ligne (en expansion, et organisée de manière aléatoire) d’interviews filmés d’artistes, musiciens, réalisateurs, designers, etc. 


http://www.openedition.org ///
des Game studies à l'analyse juridique de l'image, de Tweeter comme pratique d'écriture à la recherche sur l'ambiance sonore, du paquet neutre pour les cigarettes à l'histoire européenne du cadavre : parcourir au hasard (ou par thème et disciplines) le portail de ressources OpenEditions* (et en particulier les "Carnets", sortes de blogs de recherche) peut permettre aux étudiants en art de replacer leurs propres recherches dans le contexte très vivifiant de celle qui se pratique, en ce moment-même, en sciences humaines et sociales, et plus généralement de découvrir ce qui se cherche (et comment ça se cherche) aujourd'hui. OpenEditions est intégré à la plateforme http://www.rechercheisidore.fr, qui réunit, quant à elle, près de 3 millions de "publications, jeux de données, images, enregistrements sonores, fonds d’archives scientifiques". 


http://www.bsad.eu/opac/index.php ///
la Base Spécialisée Art et Design, gratuite et accessible en ligne, permet de repérer des références bibliographiques par auteur, sujet, artiste, etc. parmi un large ensemble de périodiques et de mémoires d'étudiants d'écoles d'art, mais aussi de bénéficier du prêt de revues entre bibliothèques de ce réseau. Elle répertorie également des revues en ligne et autres ressources spécialisées. Portée par les bibliothèques des écoles d'art en France et à Monaco, soutenue par le ministère de la Culture, elle constitue une plateforme institutionnelle de référence, et remplace le BSAD. 


http://www.mediatheque-beauxartsparis.fr ///
portail de la médiathèque de l’ENSBA. Nombreuses ressources indispensables (aide à la recherche en vue des mémoires, sites d’autoformation à la recherche documentaire, bibliographies, sélections de sites, vie professionnelle, etc.)


http://bnf.libguides.com/arts ///
sélection de ressources en ligne dans le champ de l’art, réduit, dans cette nouvelle version des signets de la BNF, à la recherche par artistes et dans des périodiques sur l'art. 

https://genius.com ///conçu en 2009 par des anciens étudiants de Yale pour départager leur différent au sujet de la signification d'un morceau de rap, ce site de crowdsourcing réunit les "annotations" (pour ne plus dire explications) concernant les paroles d'un nombre incalculable de morceaux de rap et d'autres genres, mais aussi de textes poétiques. Il compte parmi ses contributeurs NAS, 50 cents, RZA, etc.


https://www.urbandictionary.com/ ///
en 1999, Aaron Peckham, encore étudiant, met en ligne ce dictionnaire anglophone comportant plus de 7 Millions de définitions conçues par les utilisateurs et portant sur l'argot, le langage numérique et Internet, les noms propres et de groupes de musique, etc. Il est l'un des site les plus fréquentés du monde.

http://www.ina.fr

SITES ET BLOGS SPÉCIALISÉS


http://rhizome.org ///
site et organisation fondés (en 1996) autour des pratiques des artistes en ligne et de leurs enjeux, qui sont devenus, aujourd’hui, ceux de la pratique, de la diffusion, de la critique de l’art contemporain de manière générale. Journal, riche base de données, etc. 


http://www.e-flux.com ///
plateforme éditoriale, curatoriale, critique et initiatrice de projets artistiques. Newsletter abondante diffusant les annonces des acteurs de l’art contemporain du monde entier.


http://woawliste.blogspot.fr ///
(sélection commentée de blogs sur l’art contemporain)


http://artistsbooksandmultiples.blogspot.fr ///
comme son nom l’indique : revues, informations, essais, liens consacrés au livre, multiple, enregistrement, et périodiques d’artistes

 

AGENDAS / ACTUALITÉ DES EXPOSITIONS 


http://slash-paris.com ///


http://paris-art.com ///


http://www.fondation-entreprise-ricard.com/GmeGalleries /// 
version en ligne de l’agenda d’expositions Galeries Mode d’Emploi diffusé dans les galeries partenaires de ce réseau (Paris uniquement). Liste et carte des galeries, expositions en cours.


http://dca-art.com ///
Association française de développement des centres d’art


AUTRES RESSOURCES


http://www.andea.fr/fr/home ///Le site de l'Association nationale des écoles supérieures d'art donne accès à de nombreuses et utiles ressources en ligne ainsi regroupées (liste des écoles, informations sur les formations, post-diplômes, bourses, résidences, offres d'emploi, la recherche, etc.)

cnap.fr ///
Centre national des arts plastiques (environnement artistique national, informations pratiques et professionnelles)

http://www.lescollectionsdesfrac.fr ///Comme son nom l'indique... Notices des oeuvres présentes dans les collections des Fonds régionaux d'art contemporain.

http://www.netvibes.com/assobear#AccueilPortail conçu par des bibliothécaires d'écoles d'art et réunissant des ressources pour l'"après-école", à la suite ou pendant les études supérieures en art.

REVUES EN LIGNE http://f-u-t-u-r-e.org ///issue de la revue imprimée △⋔☼, et dans le prolongement des activités des éditions BAT, une revue en ligne exemplaire qui aborde de manière "fluide" et stimulante et l'art, et le monde contemporain. https://www.facebook.com/Batfuture
https://www.zerodeux.fr ///revue gratuite créée en 1997 par Patrice Joly (Zoo Galerie), conçu graphiquement par Aurore Chassé depuis le numéro 73 (et disponible à la bibliothèque), Zérodeux constitue, dans sa version en ligne, une très utile source d’informations et de recherche. Les anciens numéros y sont téléchargeables.
http://www.postdocument.net/ ///La revue, créée en 2010 par Rémi Parcollet (Historien de l’art), Aurélien Mole et Christophe Lemaître (artistes), est consacrée à la photographie d’œuvres d’art en situation d’exposition. Limitée à terme à seize numéros disponibles uniquement en seize exemplaires, elle est accessible en ligne.
https://troublearchives.wordpress.com /// †"Trouble (2002-2010) est une revue d’essais critiques réunissant des textes écrits par des critiques et des théoriciens tout autant que par des artistes (plasticiens, cinéastes, écrivains, musiciens…) sans limitation de champ disciplinaire. (…) créée en 2002 par Boris Achour, Claire Jacquet, François Piron et Émilie Renard, rejoints en 2005 par Guillaume Désanges. De 2006 à 2010, le comité de rédaction était composé de Boris Achour, Guillaume Désanges et Émilie Renard." PROJETS ÉDITORIAUX ET OEUVRES QUI SONT AUSSI DES RESSOURCES EN LIGNE http://studiosite.wordpress.com ///
http://www.vvork.com ///
†http://tusaislartiste.blogspot.fr /// GOOGLE MOTEUR DE RECHERCHE : https://www.google.fr/advanced_search?hl=fr&fg=1 https://fr.wikipedia.org/wiki/Google_%28moteur_de_recherche%29
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#MacronGate BARBOUZES A L’ELYSEE: Alexandre Carayon encore un conseiller sécurité bien caché parmi au moins 6! #Benalla Patrick Strzoda Alexis Kohler Ludovic Chaker Vincent Crase Pierre de Bousquet de Florian #CNRLT #GSPR Jérôme Léonnet Jean-François Gayraud #BNPparibas
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reseau-actu · 6 years
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L’ex-secrétaire général d’En marche ! qui aurait supervisé le recrutement d’Alexandre Benalla occupe une place stratégique à l’Elysée. Les deux hommes sont restés proches.
Depuis une semaine, tout le monde connaît le « cow-boy » de l’Elysée, Alexandre Benalla. On ignore que le Palais a aussi son « ninja ». Tel est le surnom de Ludovic Chaker, 39 ans, amateur d’arts martiaux et amoureux de culture asiatique, ex-secrétaire général d’En marche ! et collaborateur influent d’Emmanuel Macron. Un homme invisible dans l’organigramme officiel. Lui aussi occupe depuis l’élection présidentielle un bureau à l’Elysée et un poste encore plus stratégique au Palais. Contacté lundi par Le Monde, Ludovic Chaker n’a pourtant pas souhaité détailler ses fonctions exactes, invoquant des raisons de sécurité. Mardi matin, le cabinet du président de la République nous a précisé qu’il occupait le poste de « chargé de mission auprès du chef d’état-major particulier » du président.
C’est lui qui aurait supervisé le recrutement d’Alexandre Benalla comme directeur de la sécurité du candidat. Surtout, c’est lui qui, après avoir organisé des meetings et mobilisé une armée de bénévoles pendant la campagne du candidat Macron, s’occuperait de renseignement et de terrorisme auprès du chef de l’Etat.
Le président dispose pourtant d’un très officiel coordinateur national du renseignement et de la lutte contre le terrorisme (CNRLT), Pierre de Bousquet de Florian, ancien patron de la direction de la surveillance du territoire (DST), un pro qui n’a le droit de rencontrer des journalistes qu’en présence de Sibeth Ndiaye, la conseillère presse du président. Ce service a été installé il y a peu à l’hôtel de Marigny, juste à côté de l’Elysée.
Pas davantage que celui d’Alexandre Benalla, le recrutement de Ludovic Chaker n’a fait l’objet d’une annonce dans le Journal officiel. On suit sa carrière au fil des décrets annonçant son entrée dans la réserve opérationnelle de l’armée de terre, en 2005, et les promotions successives qui l’ont conduit, en décembre 2017, jusqu’au grade de commandant. Ludovic Chaker n’a pas...
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reseau-actu · 6 years
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L’affaire de ces deux anciens agents de la Direction générale de la sécurité extérieure [DGSE] mis en examen pour avoir communiqué des informations sensibles au renseignement chinois a récemment fait couler beaucoup d’encre.
Cette semaine, rapporte Valeurs Actuelles, la cellule de coordination nationale du renseignement et de lutte contre le terrorisme (CNRLT), de l’Élysée, a expliqué que la Chine « n’hésite plus à mener des actions offensives et à infiltrer les milieux dirigeants avec des méthodes sophistiquées et difficiles à appréhender ». Et les agents qu’elle recrute en France sont « traités » depuis des pays tiers, ce qui rend le travail du contre-espionnage plus compliqué.
Cependant, de telles affaires éclatent régulièrement aux États-Unis. Le 8 juin, Kevin Mallory, un ancien agent de la CIA âgé de 61 ans, a été reconnu coupable par un jury fédéral d’avoir transmis des informations confidentielles à un service chinois. Il risque désormais une peine d’emprisonnement à perpétuité.
Le même sort attend Ron Rockwell Hansen, un ex-employé de la Defense Intelligence Agency (DIA) qui a été arrêté cette semaine pour avoir, lui aussi, travaillé pour le compte de la Chine, en échange de la somme rondelette de 800.000 dollars. Le prix à payer pour obtenir, entre autres, des documents hautement classifiés sur la stratégie de l’US Cyber Command, chargé notamment de contrer le piratage informatique chinois.
Et dans ce domaine, la Chine passe pour être à la pointe. De nombreux rapports officiels ou établis par des sociétés de sécurité informatique ont pointé l’activité des cyber-espions de l’unité chinoise 61398. L’un d’eux, publié en 2013 par le Pentagone et transmis au Congrès accusait Pékin de « mener une campagne de collecte de renseignements contre les secteurs qui soutiennent des programmes de défense nationale aux États-Unis, dans les domaines diplomatique, économique et industriels ». Des programmes comme celui de l’avion de 5e génération F-35 avaient notamment été visés.
Et l’on ne peut s’empêcher de penser que les récents progrès réalisés par l’industrie chinoise de l’armement reposent en partie sur ces informations sensibles dérobées dans les réseaux informatiques américains. Et, malgré les mesures de protection, la moisson n’est sans doute pas finie.
Ainsi, le Washington Post a révélé, le 8 juin, que des pirates informatiques chinois avaient réussi à subtiliser 614 giga-octets de données confidentelles relatives à plusieurs programmes d’armement conduits par l’US Navy, en s’introduisant dans le système informatique d’un sous-traitant du Naval Undersea Warfare Center.
Parmi les programmes concernés, l’on trouve des capteurs, des systèmes de chiffrement et des moyens de guerre électronique utilisés par les sous-marins américains ainsi que le mystérieux projet « Sea Dragon », lancé en 2012 par le bureau spécial du Pentagone afin d’adapter les technologies militaires américaines existantes à de nouvelles applications. Pendant longtemps, il a été sous la coupe du Secret Capabilities Office.
Le vol des données relatives aux capacités de guerre électronique des sous-marins nucléaires américains, par nature très sensibles, est particulièrement embarrassante puisque cela donne à ceux qui les ont dérobées les moyens d’éventuellement les contrer.
« Les experts militaires craignent que les Chinois aient développé des moyens qui pourraient compliquer la capacité de l’US Navy à défendre les alliés des États-Unis en Asie en cas de conflit avec la Chine », souligne en effet le Washington Post.
Or, dans cette éventualité, la marine américaine compte avant tout sur ses sous-marins, qui est l’un de ses points forts par rapport à son homologue chinoise. D’autant plus que, comme l’a souligné l’amiral James Stavridis, ancien commandant suprême des forces alliées en Europe (SACEUR), la Chine disposerait désormais d’une « une idée raisonnable du niveau de connaissances » de la marine américaine sur ses différentes plate-formes […], ce qui réduit considérablement notre marge de manoeuvre en cas de situation de combat rapproché avec des sous-marins chinois. »
Quant au projet Sea Dragon, il vise à mettre au point, à partir d’un système existant, un missile supersonique destinés à donner aux sous-marins de l’US Navy une capacité anti-navire à longue portée. « Le Pentagone a demandé ou utilisé plus de 300 millions de dollars pour le projet depuis fin 2015 et a annoncé qu’il prévoyait de commencer les essais sous-marins en septembre », écrit le quotidien américain.
De son côté, l’US Navy n’a pas souhaité commenter ces informations, son porte-parole, le capitaine de frégate Bill Speaks, ayant invoqué des « raisons de sécurité ». Toutefois, a-t-il dit, le Pentagone « s’adapte continuellement à la cybermenace. » Le souci est que ce ne sont pas les réseaux militaires qui sont en cause, mais ceux des entreprises ayant des contrats avec le département américain de la Défense.
« La plupart des cyber opérations chinoises détectées contre l’industrie se concentrent sur des entreprises du secteur de la défense ou des entreprises technologiques soutenant les réseaux gouvernementaux », avait ainsi constaté, en février, Dan Coats, le Directeur national du renseignement américain.
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