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#Etoffe
b37zawkq4 · 1 year
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Gays parrudos se pegando muito Bellesa House Episode 5: Paige & Kasey Big Asian dick Novinha no mcdonalds Blonde teen fucks herself with a dildo Rick Maxx com noiva ruivinha do amigo sem camisinha Gostosa da buceta molhada Desi indian girl showing her tits and fingering before cam indiana leva como leite na cara Novinha flamenguista rebolando
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mankoen · 1 year
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le calme dans l'ornement
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chic-a-gigot · 4 months
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La Mode, Pl. 585, 17 décembre 1836 (misprinted as 1886), Paris. Robe en popeline grise orneée de velours noir. Fichu paysanne. Capote en satin. Spencer en velours. Jupe d'organdi broche. Chapeau de satin blanc orne d'une plume. Etoffes des Magasins de Mme. Gagelin. Digital Collections of the Los Angeles Public Library
LEFT- She is wearing a white dress with a black bodice. The bodice has gigot sleeves and a white fichu. She is also wearing a white capote with white plumes and ribbons. RIGHT- She is wearing a gray dress with black bows decorating the sleeves. She is also wearing a gray capote with black ribbons and flowers.
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Lobel Riche - La cite des idoles (The City of Idols)
… Regardait attentivement le groupe charmant des ballerines renversees en des poses lascives, parmi des fleurs et des etoffes vaporeuses. … gazed intently at the charming group of ballerinas reclining in lascivious poses, amid flowers and wispy fabrics.
Rebroussez chemin, citoyens, pendant qu'il est temps encore. Turn back, citizens, while there's still time.
L'abbé Coupé se hata vers le confessional, où l'attendaient de notables pénitentes. Abbot Coupé hurried towards the confessional, where a number of notable penitents were waiting for him.
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vintagefashionplates · 2 months
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‘Les Modes Parisiennes’
Caption: ‘Etoffes des Magasins de la Tentation, Confections de la M"on Gagelin, Chapeaux des dames Noël. Dentelles Monard, Jupons à ressorts inoxidables de Huteau, Corsets de Bonvallet, Passementeries de la Ville de Lyon, Gants et Parfums de la M"on Faguer Laboullée.’
Print maker: Laurent François Guerdet after drawing by: François-Claudius Compte-Calix printer: Moine (mentioned on object)
Paris 1858
(x)
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interieurs-design · 6 months
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Etoffes rayées, 1937.
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pwlanier · 2 years
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Male etoffe, kente, 20th century,
Ghana, Kumasi city, ashanti culture.
Courtesy Alain Truong
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opossumvalleywv · 1 year
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Oh, Si Merveilleux!
Absolutely love Etoffe's cute design so I wanted to draw 'em!! ;03
(Character belongs to: https://twitter.com/spleeeep )
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afrenchaugurey · 1 year
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Ce midi j'ai croisé mon auteur favori. Il ne le sait pas mais lui, et d'autres anonymes ont égayé ma journée et fait baisser mon niveau d'anxiété. Merci à vous, Baptiste Beaulieu et aux 3 anonymes qui ont coupé mon chemin sans même en être informés et ont pourtant contribué à en faire un jour meilleur. Merci de m'avoir inspiré ces quelques lignes :
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Son air digne et fier imprimé sur son visage bien plus que les années
Son manteau beige et sa silhouette filiforme malgré ses épaules voûtées
Elle portait sa pizza avec le même dévouement hors norme que si le plat provenait d'un grand restaurant
La laisse de son schnauzer géant gisant dans son autre main
Et son fichu jaune sur la tête, soleil de cette triste journée humide
Elle était la poésie de ce jour gris
**********
Ses joues cramoisies par l'effort et le froid
Il pédalait a moitié en danseuse
Évitant le contact avec la mousse spongieuse de la selle, baromètre de la ville, ayant probablement fait provision des perles du ciel
Le pompom de son bonnet gris suivait les oscillations asymétriques de l'engin déséquilibré par sa charge
Cette sacoche jaune qui ensoleillait ce morose jour de pluie
Il était la poésie de ce jour gris
**********
Le couple en habits moutarde illuminait la Garonne malgré la grisaille ambiante
Pas besoin de parler, leur proximité était intimité
Jamais, un instant, leur vision périphérique ne lâchait l'être aimé
Alors qu'ils scrutaient tous deux les oiseaux survolant bruyamment le fleuve
Resserrant leurs etoffes lourdes d'humidité, rassessant probablement leurs souvenirs anciens
Une pause, un soupir, une tendre complicité
Ils étaient la poésie de ce jour gris
*********
Les gens sont beaux quand ils portent du jaune
Et même sans jaune, d'ailleurs
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leechan1018 · 2 years
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Happy Birthday Noboru  お 誕生日 おめでとうございます 金子昇!!  . 48歳おめでとうございます❤🦁✨️   . からの俳優  百獣戦隊ガオレンジャー  . ガオレッ��/獅子走  . Hyakujuu Sentai Gaoranger: Kakeru Shishi GaoRed  . From Kyōryū Sentai Zyuranger Hideki Fujiwara/Etoffe Tribe Knight Dan   Jason Lee ( Dragon Gate ) Birthdays . 2022年10月18日 10 / 18 / 2022 #百獣戦隊ガオレンジャー #ガオレッド #獅子走 #金子昇 #誕生日 #おめでとう #スーパー戦隊シリーズ #いいねした人全員フォローする #フォローバック率100 #フォローバ100 #hyakujuusentaigaoranger #gaored #kakerushishi #noborukaneko #happybirthday #omedetou #SuperSentai #powerrangerswildforce #followalways #likesforlike #likeforlikes  @noboru_kaneko_official https://www.instagram.com/p/Cj1SWGtLr8A/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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hikarinokusari · 2 years
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FFXIV Writes - #6 Onerous
[Masterlist] — [About FFXIV Writes]
ENTRY #006 - “ONEROUS” - 1776 mots
Inspiration : “Onerous” ou “Pénible” 
Résumé :  Ou comment une promesse faite sous l'emprise de l’alcool conduit Spectral à apprendre l'étiquette Ishgardaise malgré lui.
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         Spectral referma la couverture de cuir du petit carnet et releva ses yeux orangés vers le visage de son hôte. Qu’attendait-il de lui exactement ? Une critique ? Pauvre poète : le Miqo’te ne savait pas quoi dire à propos de sa lecture. La mélodie des mots n’évoquait en lui qu’un silence profond,  parfois un calme paisible qui ne saurait être troublé par des impressions laissées à haute-voix. Le lancier ne savait pas comment exprimer la sensation apaisante qu’avaient fait naître en lui les vers qu’il venait de lire, aussi se contenta-t-il de sourire légèrement à l’auteur piétinant d’impatience devant lui.
“ Et dans l’aube naissante,
Les hirondelles dansent à nouveau. “
-       “ C’est poétique.”
Poétique, un commentaire riche de sens lorsqu’on devait laisser une impression sur une poésie. Le jeune homme se fustigea intérieurement, regrettant son manque d’éloquence alors qu’en face de lui l’écrivain l’enjoignait silencieusement à poursuivre sa critique.
Seulement voilà quel était le cœur du problème pour Spectral. Sa critique tenait en ces trois mots : il trouvait le texte poétique.
Ni plus.
Ni moins.
Alors qu’allait-il pouvoir dire d’autre, face à cet Elézéen si habile avec le verbe ? Le reste de son commentaire n’aurait été que paroles superflues pour recouvrir le cœur de sa pensée, qu’il venait de partager il y avait de cela quelques secondes à peine. Il venait de passer un moment agréable en compagnie des mots qui rendaient ce texte plaisant, et Spectral crut bon de rajouter à ses impressions sa gratitude pour avoir pu vivre un instant de pause morale entre les différentes pensées qui occupaient son esprit jour après jour :
-       “Merci.”
         Quand la dernière syllabe résonna dans le salon Ishgardais inhabituellement calme, Spectral se rendit compte que dire simplement “merci” n’était pas forcément ce qu’on attendait de lui en cet instant. Ses oreilles s’abaissèrent légèrement et ses joues chauffèrent lorsqu’il sentit sur lui les regards mi- amusés, mi- surpris du reste du cercle auquel il avait été convié. Une main rassurante se posa sur les épaules tendues de l’aventurier, et l’hôte de la soirée pris la parole :
-       “ Il est évident que ton texte a tant plu à Messire Daar’jen qu’il en perd ses mots, Avoirel.” L’Elézéen s’autorisa une œillade vers le Miqo’te tandis que le reste des invités riaient à la remarque légère qui venait d’être faite. “ Ton lyrisme a été suffisamment efficace pour ne pas nous faire oublier ton talent de poète que même un étranger a su reconnaître. Toi qui prétends que la poésie n’est pas un art accessible aux autres peuples d’Eorzéa, tu as réussi l’impossible en charmant notre visiteur.”
Les doigts gantés du tenant du salon pressèrent plus fort l’épaule du Miqo’te qui allait rétorquer face aux propos qui venaient de le qualifier de barbare illétré. Spectral se ravisa donc, la mâchoire serrée, ses oreilles couchées vers le sol.
Depuis quelques semaines, les Fortemps - ou plutôt le Comte de Fortemps - s’évertuaient à le traîner dans la cité de pierre pour des raisons futiles. Le lancier leur avait répété maintes et maintes fois que l’enceinte close des villes lui déplaisait et qu’il ne voyait aucun intérêt à s’enfermer dans les bâtisses froides d’Ishgard alors que le dehors enneigé du Coerthas l’appelait irrémédiablement.
Il faut nouer des contacts. Te faire des relations. Etoffer son réseau.
 Autant de synonymes qu’on lui donnait, lorsqu’il demandait d’un ton agacé pourquoi il devait accompagner “Edmond” ou son fils cadet dans les salons de noble des après-midis entiers pendant que les soldats du Camp qui l’accueillait défendaient leur bastion contre les engeances de Niddhog.
Spectral n’y voyait là aucun intérêt : la chasse était sa mission depuis sa naissance et il se satisfaisait de ce que les proies qu’il abattait avaient à lui à offrir. Peau, graisse, viande. Le jeune lancier n’avait que faire d’apprendre à connaître ceux qui le mandateraient pour éradiquer une cible sans se soucier de savoir si son élimination était utile ou justifiée par le bien commun. Tuer pour satisfaire les lubies de nobles engoncés dans des habits de fourrure ne revêtait aucun intérêt. Il ne comptait même pas travailler pour quelqu’un d’autre que lui-même ; mais chasser pour vivre et vivre de sa chasse sans en faire commerce était apparemment condamné par cette bande de nouilles aux grandes oreilles.
Odin seul plaçait sur sa route les cibles qu’il devait défaire, et toutes les pièces clinquantes des élézéens ne changeraient pas cela de sitôt. Il avait refusé de mettre les pieds dans le repaire du Clan Centurio pour cette raison - jusqu’à ce qu’Haurchefant, dans une de ses rares soirées de libres ne l’y invite.
Et lui, bête comme il était quand il était en compagnie de son ami, avait accepté de passer la soirée dans ce tr… cette taverne puante d’alcool, pour boire “un verre seulement” et “apprécier la beauté de la ville séculaire baignée par la lumière du soir et des étoiles”. 
Adouci en présence du chevalier, il avait accepté de se promener dans une cité où il n’était la bienvenue que par la grâce du nom Fortemps, éméché par l’alcool et excité par la soirée passé en bonne compagnie. Son cœur rendu léger de tous soucis par la boisson et l’amusement nocturne, il avait fini par céder à l’élézéen en acceptant “ Dès le lendemain même !” de rencontrer quelques dignitaires d’Ishgard en compagnie de son père. “ Pour agir en toute légalité, gagner en autonomie et garnir son carnet d’adresses de contacts intéressants et utiles à ses activités futures.” comme son ami avait dit.
Ce à quoi, il avait bêtement opiné du chef avant de poursuivre sa tranquille promenade jusqu’au manoir du Comte où ils avaient été conviés jusqu’au matin.
Cerné par les élézéens parfumés dans ce petit salon, Spectral se demandait quelle chigoe avait bien pu le piquer ce soir là. Le lendemain même, comme promis, il s’était retrouvé réveillé de bon matin par le personnel du Comte à son plus grand désespoir. Ils avaient commencé par le tirer du lit quelques heures à peine après qu’il se soit effondré sur un matelas. Haurchefant était déjà reparti était déjà reparti faire un rapport à ses supérieurs sur les tensions qui s’aggravaient aux Cadenas et l’avait alors laissé seul aux mains de ses bourreaux protocolaires. Le Chevalier se souvenait-il seulement de cette promesse idiote ? Spectral avait des doutes.    
On l’avait réveillé, lui, à l’heure où il dormait d’ordinaire. Pour quoi ? Pour une leçon sur l’étiquette de bon matin. Jusque dans l’après-midi, où ils avaient enchaîné sur d’autres explications sur la Sainte-Cité et son peuple. A la meilleure heure de sa sieste. Lui dormait la journée – il le leur avait dit – mais il lui faudrait apprendre à vivre au rythme urbain s’il voulait être accepté. Il n’en avait rien à faire mais il ne savait comment, Edmond avait appris qu’il avait promis faire des efforts à son fils.
Ils ne lâchèrent pas l’affaire et il n’arrivait pas à se dégager de son obligation.
Les semaines, les mois avaient passés, sans qu’on le laisse repartir vagabonder au-dehors de la ville. Combien de fois il s’était ravisé de s’échapper de la cité de pierre, pour ne pas causer du tort à celui qui l’hébergeait malgré les règles strictes qui faisaient loi ici. Ils s’étaient engagés à amener le « soldat étranger qui combat les dragons », « le chasseur de dragon miqo’te » et il ne souhaitait pas les mettre dans l’embarras en disparaissant à la faveur de la nuit pour rallier le camp de son ami.
Des mois à être éduqué pour plaire à la société snobinarde ishgardaise. Pour être autorisé à rentrer dans un cercle qu’il dédaignait, et autorisé à exercer ses activités de chasse qu’il menait jusqu’alors sans problèmes. Il n’en avait vraiment rien à faire.
Stupide ville. Stupides lois. Stupides règles.
Des mois à vivre au rythme désastreux du Comte, à se réveiller lorsque l’heure venait pour lui de s’endormir, à apprendre les bonnes manières, quel couvert prendre lorsqu’une certaine viande était servie, quelle cuiller utiliser puisqu’apparemment la soupe nécessitait plusieurs cuillers, quelle posture adopter pour perdre son identité de chasseur au profit de celle, plus noble, d’invité de la grande maison Fortemps.
Stupide élézéens. Stupide protocole.
Stupide Haurchefant qui avait sûrement vendu la mèche. Lui ou un autre, lorsqu'ils avaient annoncé sa grande résolution à tous les employés Fortemps et membres de la famille qu'ils avaient croisés -ou réveillés - avant d'aller se coucher.
Tout ça pour qu’il se retrouve, exposé et mis à nu face à cette assemblée. A commenter des textes lyriques qui lui cassait les oreilles, à feindre l’intérêt pour leurs problèmes idiots. Qui avait partagé sa couche et avec qui, qui avait commis des actes d’hérésie, quelle réforme avait pris l’Archevêque, qui s’était assis à côté de qui lors de l’office dans la Sainte- Cathédrale.
Problèmes de société futiles. Il n’avait pas ce genre de conversation dans le camp d’Haurchefant. Leurs seuls problèmes tournaient autour des mouvements de dragon, des créatures qui rôdaient dans le Coerthas, l’état des chocobos qui souffraient du froid autant que les hommes, des transports de nourriture et de troupe. Les choses importantes en somme.
D’un regard ennuyé, Spectral fixa son hôte, dans une supplique imperceptible de mettre fin à ce festival de frivolités qui se déroulait depuis des heures maintenant. Halone ait pitié de lui, il ne fallait qu’un seul mot de la part de ces gens pour qu’il puisse enfin courir le Coerthas et chasser sans n’être plus embêté par l’Eglise ou par les gardes.
Un laisser-passer officiel de la noblesse, plutôt que la couverture apportée comme soldat non officiel du camp du dragon, puisqu’il se refusait à officier comme Chasseur du Clan Centurio et ne voulait pas rejoindre la compagnie de mercenaires d’Edmont.  
Halone ait pitié.
Combien de petits gâteaux allait-il devoir goûter, combien de poèmes et d’insultes allait-il devoir endurer, combien de « je peux toucher ? » curieux envers son physique félin et de « Oh que c’est amusant » allait-il devoir entendre pour obtenir l’approbation des nobles et être libéré d’une promesse avinée ?
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whatdoesshedotothem · 2 years
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.. Wednesday 18 June 1834
7 55
12 25
a kiss last night at twice very fine morning F66° at 8 10 am  - breakfast at 9 ½ in ½ hour - Miss W- having had Madame Calés - annoyed at our dinner of yesterday charged 24/50 - the valet de place si mal propre, would not let him go with us -  out at 11 ¾ - went 1st  to the Hotel Meurice and sat above ½ hour with Isabella and Charlotte Norcliffe and Miss Beckett - the latter so aged and altered should not have known her - agreed about a valet de place from Meurice’s to meet me in ½ hour at Amyot’s - then went to the bank ‘Messrs. Ferrère Lafitte 36 Rue Lafitte’ - for 3 circulars numerous 4099, 4100, and 4101 value £25 each = £75 got (at 25/30) 1897fr. 50 cents - and got also my little pocket of French plate sent back from the London custom house - about 2/. carriage  - left this unpaid Lafitte having received 300fr. from Madame de Bourke on my account (for Miss Ferrall’s journey) which I did not receive but left in Lafitte’s hands - then to Mellerio’s, Privat’s,  Amyot’s and took up Francois the valet de place - then to Madame de Bourke - went to no. 51 instead of 53 and not admitted then to the de Noés - all au midi a l’ile de Noé - saw St Sulpice church and went to Crochard’s and then to my little apartment - sometime there - Letter from my aunt Shibden partly to Miss W- and partly to me -  in answer to our joint letter from London – all going on pretty well - sent to inquire if the Audoins were at home - no!  - then bought plan of Paris and map of Italy in the rue de Bac - called and sat 1/2 hour with Madame de Bourke – very civil and glad to see me told me all her troubles about the Ferrals and Bourke family has quite done with Sophie Madame de Bourke going in a day or 2 to the Eaux à Creuzot [Creusot] near Marseilles - she recommended Figarol no. 23 bis rue de Suresne for dresses and Madame Thomas au coin de la rue des filles de St. Thomas et de la r. de Richelieu - and to buy the Etoffe chez Delille rue de choiseul - said we should go to the grand opera at 7 ½ this evening to see la muette de Portici - went to Madame Figarol - her dressmaker to come at 7 tomorrow evening - home at 6 ½ - dinner at the opera at 7 ½ - just before it began - very good dancing and the whole thing beautifully got up - Miss W- tired at 10 ½ an hour ¼ before it was over – the carriage to be in waiting at 10 – not there at 10 ¼ so came home in fiacre and back at 10 40  - wrote the last 6 lines of yesterday and the above of today till 12 - Miss W- in bed by 11 ¼ - very fine day F67° now at 12 tonight
Miss W-‘s cousin came tonight
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evoldir · 4 months
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Fwd: Job: UCalifornia_LosAngeles.LabTech.ConservationGenomics
Begin forwarded message: > From: [email protected] > Subject: Job: UCalifornia_LosAngeles.LabTech.ConservationGenomics > Date: 15 December 2023 at 07:44:17 GMT > To: [email protected] > > > The Shaffer Lab at UCLA is recruiting a laboratory technician to work > on amphibian genomics projects. > > Description: Under the supervision of Dr. Brad Shaffer, the Lab > Assistant I will support the laboratory research requirements of the > Shaffer lab, including, but not limited to work on the California > tiger salamander and the Western spadefoot toad, as well as other lab > projects utilizing next generation sequencing approaches in non-model > organisms. The position involves processing tissue and DNA extracts > for next-generation sequencing (RADseq, sequence capture, and WGS) in > a high-throughput research setting. Previous experience in a molecular > biology laboratory is required, including experience with PCR-based > protocols. The successful candidate will have a demonstrated ability to > work with some supervision on large-scale projects that require attention > to detail, database management and molecular skills. The Lab Assistant > will also be responsible for general lab management, including equipment > maintenance, supply stock ordering, and preparation of communal reagents > and other lab resources. > > Duties: > - Extract and quantitate DNA from tissues of diverse taxa > - Prepare DNA libraries for next-generation sequencing > - Organize tissues, nucleic acid extracts, and other downstream >  protocol products > - Maintain detailed laboratory notebooks and spreadsheets; compile and >  summarize data > - Keep open communication with the Primary Investigator, lab members, >  and research collaborators > - Contribute to the planning and execution of thoughtful experiments to >  troubleshoot problematic samples > - Maintain molecular biology lab inventory, including ordering supplies >  and preparing reagents > - Maintain and clean lab equipment > - Ensure safety compliance > > Required Experience: > - Experience in DNA isolation, quantitation, and PCR protocols > - Competence in common computer programs (e.g., Microsoft Office, Google >  Sheets, or other word processing and spreadsheet programs) > - Demonstrated excellence in organization, attention to detail, and >  keeping thorough and up-to-date records > - Ability to manage several tasks, keeping all on track and organized > - Ability to maintain cooperative working relationships in the >  laboratory > - Effective communication skills (verbal and written) > - Ability to follow and enforce laboratory safety guidelines > > Term: The initial appointment will be for up to one year, with the > possibility of extension. > > > The University of California is an Equal Opportunity/Affirmative Action > Employer advancing inclusive excellence. All qualified applicants will > receive consideration for employment without regard to race, color, > religion, sex, sexual orientation, gender identity, national origin, > disability, age, protected veteran status, or other protected categories > covered by the UC nondiscrimination policy. UC Nondiscrimination & > Affirmative Action Policy: UC Nondiscrimination & Affirmative Action > Policy: https://ift.tt/364rNUM > > To apply, please follow this link: > https://ift.tt/Udue0b5 > > Or go to https://ift.tt/ZJyFVLe and search for requisition number > 40435. > > For more information, please contact Erin Toffelmier, etoff [at] ucla > [dot] edu > > Erin Toffelmier
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chic-a-gigot · 4 months
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La Mode, 19 décembre 1840, Paris. Robes de bal. Digital Collections of the Los Angeles Public Library
Coiffures de Lemonnier Pelvery, rue St. Honore. Robes facon de Mlle. Moismont expediees par la maison de Commission Lassalle, 28 Taitbout. Etoffes de Gagelin Opigez. Plumes de Fauconnier. Agrafes de Pradher, de Richelieu. Eventail de Giroux. Gants de Mayer, Passage Choiseul. Sous jupes Oudinot Lutel. Porcelaines de Toy. Console de Maigret. Souliers de Beaudrand.
Left- She is wearing a pink off the shoulder dress with a folded collar. Her sleeves are short and open. The skirt has an opened layer with a tier of ruffle. She has white lappets in her hair. Right- She is wearing a white off the shoulder dress with ruffle sleeves. The dress is decorated with white plumes She also has white lappets in her hair and green tassles.
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detournementsmineurs · 5 months
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"Dessins pour Indiennes" (1780-1820) et "Planches d'Impression sur Etoffe" en bois gravé de la Manufacture Senn et de la Manufacture Fazy (1790-1820) de la Maison Tavel (MAH) (XII-XVIIIe siècles) à Genève, novembre 2023.
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vintagefashionplates · 8 months
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Journal des Demoiselles et Petit Courrier des Dames Réunis, Novembre 1873:  Etoffes des Magasins de Pygmalion. Print by Paul Lacourière, drawing by Laure Noël.
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