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#Musée d’art moderne de la Ville de Paris
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Claude Cahun
Studies for a keepsake, c.1925.
Image: Musée d’Art moderne de la Ville de Paris © Musée d'Art Moderne / Roger-Viollet
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dk-thrive · 2 months
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The best thing for me to do is displace a moment of my everyday life to an artistic space.
— Lea Lublin, in an interview following her 1968 performance “Mon Fils” that took place at the Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris. Quote in Leslie Jamison's, Splinters: Another Kind of Love Story (Little Brown and Company, February 20, 2024)
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fashionbooksmilano · 1 year
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Raoul Dufy Il pittore della gioia
a cura di Sophie Krebs con Nadia Chalbi
Skira, Milano 2022, 248 pagine,  24 x 28cm, Cartonato, Bilingue Italiano Inglese, ISBN  9788857248974
euro 37,00
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Mostra Roma, Palazzo Cipolla,dal 14 Ottobre 2022 al 26 Febbraio 2023
La vita e l'opera dell’artista francese, pittore e scenografo. Autore di opere monumentali come La Fata Elettricità (un murale di oltre 60 metri di lunghezza per 10 di altezza, composto da 250 pannelli dipinti a olio, commissionatogli per il Padiglione francese dell’Esposizione Universale del 1937 a Parigi), Dufy fu un grande pittore, scenografo e disegnatore francese di inizio ’900 che, per la sua capacità di catturare le atmosfere, i colori e l’intensità della luce e a trasferirli sulle sue tele, divenne – per antonomasia – il pittore della gioia e della luce.Lo stile dell’artista, colorista nato, è caratterizzato da una tavolozza vivace e sconfinata e da un disegno libero e morbido, dominato dagli arabeschi e dalle curve che lo rendono così incantevole. Il rapporto al contempo audace e delicato istituito tra colore e disegno costituisce il maggiore contributo di Dufy alla pittura moderna. Con oltre 160 opere tra dipinti, disegni, ceramiche e tessuti tratti dalla poliedrica produzione di Dufy e provenienti da rinomate collezioni pubbliche e private francesi (tra gli altri, il Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris che conserva di Dufy una delle più ricche collezioni, dal Centre Pompidou, Palais Galliera, il Musée des Tissus et des Arts Décoratifs di Lione, il Musée des Beaux-Arts Jules Chéret di Nizza, il Musée Royaux des Beaux-Arts de Belgique di Bruxelles), il volume racconta la vita e l’opera di un artista con lo sguardo sempre rivolto alla modernità, pervaso da una vivacità che ha saputo adattare a tutte le arti decorative, contribuendo a cambiare il gusto del pubblico. Pubblicato a corredo della prima grande retrospettiva a lui dedicata in Italia, Raul Dufy. Il pittore della gioia è un viaggio emozionale attraverso i temi prediletti dall’artista, dove le sensazioni visive ridotte all’essenza della realtà, l’utilizzo della composizione, della luce e del colore sono gli elementi emblematici che caratterizzano le sue opere. Un excursus che trova il suo leitmotiv nella violenza cromatica, nella magia di quel colore che diventa elemento indispensabile per la comunicazione di emozioni e stati d’animo.
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13/02/23
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alain-keler · 1 year
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Mercredi 11 janvier 2023.
Musée d’Art moderne de la ville de Paris. Magnifique endroit art déco traversé par la lumière qui guide notre regard.
 J’y suis allé après avoir vu des affiches sur une exposition photographique « Al rio/ To the river de la photographe américaine Zoe Leonard.
Dans le texte accompagnant l’exposition j’ai relevé des phrases comme celles-ci : « travaillant avec un appareil argentique tenu à la main », c’est vrai qu’il aurait pu être posé sur un pied, et « Zoe Leonard assume une position physique par rapport au fleuve » ou « Dans Al Rio : to the river, Zoe Leonard va à l’encontre des images réductrices de la frontière véhiculées par les médias. » Nous y voilà, les médias, ces ignobles pourvoyeurs de fausses idées, de déformations, de mauvaises photographies, ces ennemis qu’il faut abattre et avec eux les photographes qui osent travailler pour les médias.
«Encore lu : « « Dans les tirages de l’artiste, la matérialité du processus photographique est mise en évidence… »
Il y a aussi « Plutôt que d’orienter le regard vers « un moment décisif  (on parle de HCB sans le nommer) ou une signification figée, ces séquences invitent le spectateur à générer un sens à travers son propre regard attentif », et le pompon, qui est une autre référence masquée à HCB quand on parle de la bordure : « la bordure noire visible autour de l’image fait partie intégrante de la photographie, elle évoque les contours de la pellicule et pointe le processus de développement dans une chambre noire ». Il fallait la faire celle là ! Utiliser Cartier Bresson pour parodier Cartier Bresson !
Je n’aime pas critiquer les photographes, ce n’est pas leur faute si les institutions trouvent que leur travail est bon.
À part cela, le musée est somptueux !
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havaforever · 5 months
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ROTHKO - A la Fondation Vuitton
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Première rétrospective en France consacrée au peintre américain Mark Rothko (1903-1970) depuis celle du Musée d’Art moderne de la Ville de Paris en 1999, l’exposition présentée à la Fondation réunit quelque 115 œuvres provenant des plus grandes collections institutionnelles, notamment de la National Gallery of Art de Washington, de la Tate de Londres et de la Phillips Collection de Washington, et de collections privées internationales dont celle de la famille de l’artiste.
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Se déployant dans la totalité des espaces de la Fondation, selon un parcours chronologique, elle retrace l’ensemble de la carrière de l’artiste depuis ses premières peintures figuratives jusqu’à l’abstraction qui définit aujourd’hui son œuvre.
Le parcours débute par des scènes figuratives, souvent des vues du métro new-yorkais, qui peuvent désarçonner le visiteur. En effet, le jeune Marcus Rotkovitch (né en 1903 à Dvirsk dans l’actuelle Lettonie et émigré à Portland en 1913) a été formé à l’Art Students League de New York dans les années 1930. C’est en 1938 qu’il prend le pseudonyme de Mark Rothko.
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Il peint des personnages sur les quais du métro et souligne la perspective des rails. On peut deviner, dans certaines parties de ces toiles, un goût pour l’abstraction et les aplats de couleurs sourdes (Entrance to Subway, 1938).
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Inspirées des textes d’Eschyle et de Nietzsche, les toiles de Rothko des années 1940 se peuplent d’éléments organiques où l’on reconnaît ici un bras, là des yeux sur des fonds de couleurs. Des scènes historiques, proches de combats, rappellent le surréalisme européen fraîchement débarqué à New York. Rothko expose en 1944 à la galerie de Peggy Guggenheim, Art of this Century. Dans ses toiles surgit la même violence que dans celles de ses contemporains britanniques Graham Sutherland ou Francis Bacon.
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Dès 1946, l’abstraction succède aux compositions surréalistes chez Rothko. Il ne donne plus de titres mais des numéros à ses toiles. Celles-ci deviennent verticales et se composent de rectangles superposés de couleurs chaudes. Elles sont traversées de lumière. A partir de la décennie suivante, il se limite à deux ou trois formes rectangulaires dont les bords vibrent et touchent les limites de la toile. Malgré leur apparente sérénité, Rothko assure : « J’ai emprisonné la violence absolue dans chaque centimètre carré de leur surface ».
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Rothko n’est plus une révélation. Le public s’est familiarisé avec son œuvre à coup de records de prix dans les ventes publiques, d’affiches diffusant ses toiles abstraites et colorées. Aujourd’hui, il ne s’agit plus d’une révélation mais d’un constat.
Constat de l’immensité de son œuvre, du lent passage de la figuration vers l’abstraction, de son combat acharné pour la peinture, de ses subtiles variations autour de la couleur, de son engagement et de sa ténacité. Grâce à un parcours intelligent et subtil et malgré des espaces parfois trop vastes pour des toiles nécessitant du recueillement, cette rétrospective Rothko réussit son pari et laisse les visiteurs pantois et ravis.
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pbr-street-gang · 1 year
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R. Crumb
From the UNDERGROUND to GENESIS
Musée d’art moderne de la Ville de Paris
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delstras70 · 10 months
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Ana-Eva Bergman, musée d’art moderne de la ville de Paris, 21 juin 2023
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lawrenceleemagnuson · 2 years
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Andre Lhote (1885-1962) L'Escale - The Stopover oil on canvas, 210 x 185 cm Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris
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gyscafe · 2 years
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Architekturmuseum Wroclaw, PL Barbican Centre, London, GB Bard Graduate Center New York, US Berlinische Galerie Berlin, DE Berner Design Stiftung Bröhan–Museum, Berlin, DE Buchheim Museum Bernried, DE Bundeskunsthalle Bonn, DE Caixa Forum, Madrid, ES Centre d’innovation et de design au Grand-Hornu, Hornu, BE Centre Pompidou Metz, FR Cité internationale de la tapisserie Aubusson, FR CIVA, Bruxelles, BE Designmuseum Danmark, Kopenhagen, DK Fine Arts Museum of San Francisco, US Fondazione Nicola Trussardi Milano, IT Hamburger Bahnhof Berlin, DE Henie Onstad Kunstsenter, NO Henry Moore Institute, Leeds, UK Hong Kong Design Institute Gallery, HK Hortamuseum Brüssel, BE Kaiser Wilhelm Museum, DE Kunst Haus Wien, AT Kunstforum Wien, AU Kunsthalle Bielefeld, DE Kunsthaus Graz, AT Kunstmuseum Stuttgart, DE Kunstmuseum Wolfsburg, DE La Caixa, Barcelona, ES Landesmuseum für Kunst und Kulturgeschichte Oldenburg, DE Landesmuseum Mainz, DE Leopold Museum Wien, AT Lieu du Design, Paris, FR Louisiana Museum of Modern Art, Humlebaek, DK MART – Museo di Arte Moderna e Contemporanea di Trento e Rovereto, IT Mathildenhöhe Darmstadt, DE McCord Museum, CA Meguro Museum of Art, Tokyo, JP MNAC Museu Nacional d’Art de Catalunya Barcelona, ES Modemuseum Provincie Antwerpen, BE Moderna Museet, Stockholm, SE MoMA Museum of Modern Art, New York, US Musée d’Art moderne de la Ville de Paris, FR Musée d’Art Moderne et d’Art Contemporain, Nizza, FR Musée d’Etat des Beaux-Arts Pouchkine, Moscou, RU Musée d’Orsay Paris, FR Musée des Arts Décoratifs, Paris, FR Musée Picasso Paris, FR Musées royaux d’Art et d’Histoire, Brüssel, BE Museo del Vetro Venedig, IT Museo Nazionale Romano, IT Museo Picasso Málaga, ES Museu Picasso, Barcelona, ES Museum Abteiberg, Mönchengladbach, DE Museum für angewandte Kunst Frankfurt am Main, DE Museum für Angewandte Kunst, Wien, AT Museum für Kommunikation Berlin, DE Museum für Kommunikation Frankfurt am Main, DE Museum für Kunst und Gewerbe Hamburg, DE Nationalgalerie Prag, CZ Neue Galerie New York, US Neues Museum Weimar, DE Nottingham Contemporary, GB Palacio de Aramburu, Tolosa, ES Palazzo Roverella, Rovigo, IT Schirn Kunsthalle Frankfurt, DE Schloss Wernigerode, DE Staatsgalerie Stuttgart, DE Städtische Galerie Karlsruhe, DE Stavanger Art Museum, NO Stedelijk Museum de Lakenhal, Leiden, NL Stiftung Kunstsammlung Nordrhein-Westfalen, Düsseldorf, DE Tap Seac Gallery Macau, MO TextielMuseum Tilburg, NL Textilmuseet, Textile Fashion Center Boras, SE Victoria and Albert Museum London, GB Villa Bardini, IT Vitra Design Museum, Weil, DE
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krisis-krinein · 2 years
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SAMEDI 8 OCTOBRE 2022 (Billet 1 / 5)
A notre connaissance, il n’y a qu’une lectrice/abonnée qui est allé voir « Chronique d’une liaison passagère » où, entre parenthèses, elle s’est profondément ennuyée. Elle nous l’a écrit mais n’a pas donné de réponses à nos deux questions : « Quelle est cette œuvre que l’on voit sur l’affiche du film et où se trouve-t-elle ? ».
D’autres, tout en n’étant pas allés au cinéma, ont proposé des noms mais aucun n’a donné la bonne réponse. Une réponse pas facile du tout à trouver d’ailleurs, surtout quand on n’a pas vu le film.
Et bien il s’agit de « LA FÉE ÉLECTRICITÉ » de Raoul Dufy, exposée au Musée d’Art Moderne de Paris… une œuvre COLOSSALE !
Nous avons eu l’occasion de la revoir lorsque le 30 janvier 2022, dans le cadre de « l’Exposition Saint Laurent aux Musées » nous sommes allé admirer quelques-unes de ses créations au Musée d’Art Moderne.
Un des scènes du film a été tournée dans cette pièce (mais sans les robes de Saint Laurent bien sûr…).
Si vous avez l’occasion d’y aller un jour, ne manquez de consacrer une bonne vingtaine de minutes à regarder cette « FÉE ÉLECTRICITÉ » et grâce aux tablettes mises à la disposition des visiteurs vous pourrez même vous amuser à en relever tous les (très nombreux) détails.
Ci-dessous, extraite de la plaquette du Musée, l’histoire de ce tableau gigantesque…
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À l’occasion de l’Exposition internationale des Arts et des Techniques inaugurée à Paris en juin 1937, Robert Mallet-Stevens érige sur l’esplanade du Champ-de-Mars, devant l’Ecole Militaire, le pavillon de l’Electricité. Une façade de 600 m² légèrement incurvé, utilisée de nuit comme écran géant, est surmonté d’une étincelle de lumière de 7 m de haut et de projecteurs surpuissants éclairant le ciel, qui font du pavillon un véritable palais de la lumière. À l’intérieur, se déploie sur 60 m de long une fresque courbe devant laquelle sont exposées plusieurs machines et appareils électriques.
Le 7 juillet 1936, Raoul Dufy est officiellement chargé de réaliser cette fresque à la demande de la Compagnie Parisienne de Distribution Electrique. Raoul Dufy doit se conformer au programme : « mettre en valeur le rôle de l’électricité dans la vie nationale et dégager notamment le rôle social de premier plan joué par la lumière électrique ».
Il se documente sur tout ce qui a trait à l’électricité : ouvrages techniques et historiques, biographies de savants, correspondance avec des scientifiques de l’époque pour actualiser ses connaissances et se tenir informer des recherches contemporaines, comme celle de Frédéric Joliot-Curie.
Pour sa galerie de portraits de 108 savants de l’Antiquité à nos jours, il fait poser des comédiens de la Comédie-Française en costume d’époque. Plus discrètement, il rend hommage aux artistes de son temps – le photographe François Kollar et ses montages dynamiques pour la revue « La France travaille », l’affichiste Cassandre, Jean Carlu – ou à ceux du passé : Claude Gellée dit le lorrain, ou Claude Monet avec la gare St-Lazare et les meules de foin.
Raoul Dufy compose cette fresque de 600 m² grâce à 250 panneaux de contreplaqué de 2 m de haut sur 1,20 m de large (10 tonnes au final), légèrement cintrés et recouverts d’un enduit posé à chaud selon un procédé inventé par le chimiste Jacques Maroger qui lui permet de réduire considérablement le temps de séchage entre les couches.
La Compagnie Parisienne de Distribution Electrique, concessionnaire de l’œuvre, la restituera à la Ville de Paris en 1964. Son installation au Musée d’Art Moderne dans une salle ovale nécessitera quelques modifications par rapport à sa représentation d’origine.
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carmenvicinanza · 2 months
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Nil Yalter
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Nil Yalter, pioniera del movimento artistico femminista mondiale, è vincitrice del Leone d’Oro alla carriera della Biennale Arte di Venezia 2024 per il suo lavoro che unisce impegno femminista e incroci di abitudini e civiltà.
La sua ricerca, che spazia tra pittura, disegno, video e installazioni, approfondisce la condizione delle donne, lo scontro tra le culture, le diaspore, lo sfruttamento delle persone immigrate e la reclusione fisica e mentale.
Ha tenuto mostre in tutto il mondo, le sue opere sono presenti nelle collezioni di importanti musei come l’Istanbul Modern, il Centre Pompidou di Parigi, la Tate Gallery di Londra, il Museum Ludwig di Colonia, il Museo Reina Sofia di Madrid e molti altri ancora.
È nata a Il Cairo, in Egitto, il 15 gennaio 1938, da genitori turchi tornati a vivere in patria quando aveva quattro anni.
Nella seconda metà degli anni Cinquanta ha viaggiato e vissuto in giro per l’Asia e il Medio Oriente.
La sua prima esposizione si è tenuta nel 1957 a Mumbai, in India, presso l’Institut Français.
Nel 1965 si è trasferita a Parigi partecipando alla controcultura francese e ai movimenti femministi (Femmes/Art e Femmes en lutte) che si battevano per il riconoscimento delle donne nel mondo dell’arte.
Nel 1973, ha creato l’installazione Topak Ev, una tenda di feltro a grandezza naturale ispirata alle tradizioni dei popoli nomadi turchi, presentata in una sua personale al Musée d’art moderne de la Ville de Paris. La mostra comprendeva pannelli che raccoglievano disegni, collage, fotografie e descrizioni scritte a mano sulla struttura, con l’obiettivo di stimolare la riflessione sugli spazi femminili privati e pubblici. Con la prima telecamera portatile, in quel contesto, ha filmato le reazioni del pubblico e di bambini e bambine che entravano e uscivano dalla tenda, realizzandone un documentario.
L’anno successivo ha presentato un’altra opera molto significativa, The Headless Woman, un video concentrato sullo stomaco di una danzatrice del ventre e sulle misteriose scritte che la protagonista traccia su di sé, ponendo l’attenzione sull’oggettivazione del corpo delle donne mediorientali.
Negli anni a venire ha creato un’inversione dello sguardo maschile oggettivando il proprio corpo attraverso la telecamera.
La Roquette, Prison de Femmes (realizzata con Judy Blum e Nicole Croiset) è la testimonianza di un’ex detenuta del famoso carcere femminile francese.
L’installazione multimedia Temporary Dwellings, indaga le condizioni di vita e le esperienze di lavoro delle donne migranti in Europa.
Nel 1977, alla 10ª Biennale di Parigi, ha presentato Turkish Immigrants: fotografie e disegni di giovani donne delle periferie che illustrano le condizioni di vita dei lavoratori turchi a Parigi. L’idea è poi stata sviluppata in C’est un dur métier que l’exil (L’esilio è un mestiere difficile), presentata nel 1983 al Centre Pompidou di Parigi e poi portata in importanti musei in giro per il mondo.
Nel 1978 ha allestito una performance che metteva in scena la vita quotidiana in un harem nell’ambito della collettiva Femmes/Art. Il video di quella giornata, ritrovato nel 2011, è stato digitalizzato dalla Biblioteca nazionale di Francia ed è una delle rare testimonianze del movimento artistico femminista francese degli anni settanta.
Nel 1980, al Centre Pompidou, ha presentato Rahime, Femme Kurde de Turquie, video intervista a una donna curda emigrata in Turchia, corredata di disegni e fotografie, dalle quali pendono degli stracci insanguinati, metafora della difficile vita della protagonista.
Dal 1980 al 1995 ha insegnato video arte e installazioni all’Università Pantheon-Sorbona.
Negli anni Novanta, in una fase di esplorazione creativa e di riconoscimenti, ha iniziato a utilizzare i media digitali sperimentando animazione 3D e montaggio elettronico del suono.
Nel 2007 è stata tra le 120 artiste della mostra itinerante WACK! Art and the Feminist Revolution al Museum of Contemporary Art di Los Angeles.
Lapidation, video del 2009, mostra l’uccisione tramite lapidazione di una ragazza sciita giudicata colpevole di amare un ragazzo sunnita a Baghdad.
Nel 2018 è stata insignita del Premio AWARE (Archives of Women Artists, Research and Exhibitions) alla carriera e ha presentato la video installazione Niqab Blues, successivamente proposta in una versione di scultura in tessuto.
È stata protagonista di una delle diciotto mostre organizzate dal ministero della cultura francese dopo gli attacchi del terrorismo islamista culminati con la strage del Bataclan nate per sottolineare l’importanza dell’arte nella ricostruzione di un legame pacifico tra culture avvelenate da fondamentalismo religioso e colonialismo.
Tutti i suoi video sono stati digitalizzati nella Biblioteca Nazionale Francese.
Per la prima volta alla Biennale di Venezia nel 2024, dove sarà insignita del Leone d’Oro alla Carriera insieme a Anna Maria Maiolino, presenta una riconfigurazione della sua installazione Exile is a hard job, insieme alla sua iconica opera Topak Ev, collocata nella prima sala del Padiglione Centrale dei Giardini.
Il suo inarrestabile attivismo artistico sta, finalmente, in tarda età, ottenendo i giusti riconoscimenti.
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fashionbooksmilano · 1 month
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Carlos Cruz-Diez Colore come evento di spazi
A project by Galleria Continua
Lorenzo Fiaschi, Ignacio Servetto, Charlotte Urgese & Atelier Cruz-Diez Paris - Silviana Crus, Hayat Abdellatif
Gli Ori, Pistoia 2023, 138 pagine, 23,5x30,5x4cm, ISBN 9788894392029
euro 45,00
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Questo catalogo è stato pubblicato in occasione della mostra "Carlos Cruz-Diez Colore come evento di spazi" Dep ArtGallery, Milano 9 ottobre 2019-21 gennaio 2020
Considerato tra i maggiori esponenti dell'arte cinetica e ottica, la sua opera lo ha portato ad affermarsi come uno dei principali pensatori del XX secolo nell’ambito del colore e a essere presente nei più prestigiosi musei del mondo come il MoMA Museum of Modern Art a New York, la Tate Modern a Londra, il Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris e il Centre Georges Pompidou a Parigi, il Museum of Fine Arts a Houston, il Wallraf-Richartz Museum di Colonia.
Il titolo della mostra “Colore come evento di spazi” richiama il fondamento dell’opera di Cruz-Diez, che dagli anni Sessanta si è concentrata sull’indagine percettiva del colore non come elemento compositivo ma come accadimento reale.
21/03/24
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MARK ROTHKO
Jusqu'au 02 Avril
Fondation Louis Vuitton
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Première rétrospective en France consacrée au peintre américain Mark Rothko (1903-1970) depuis celle du Musée d’Art moderne de la Ville de Paris en 1999, l’exposition présentée à la Fondation réunit quelque 115 œuvres provenant des plus grandes collections institutionnelles, notamment de la National Gallery of Art de Washington, de la Tate de Londres et de la Phillips Collection de Washington, et de collections privées internationales dont celle de la famille de l’artiste.
Se déployant dans la totalité des espaces de la Fondation, selon un parcours chronologique, elle retrace l’ensemble de la carrière de l’artiste depuis ses premières peintures figuratives jusqu’à l’abstraction qui définit aujourd’hui son œuvre. 
N’hésitez plus, vous pourrez vous aussi dire, J’ai un ticket :
https://www.fondationlouisvuitton.fr/fr/evenements/mark-rothko
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d-bovet · 6 months
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Mark Rothko :
Exposition à la Fondation Louis VUITTON (PARIS)
Du 18 Octobre 2023 au 02 Avril 2024.
From 2023,18th,october until 2024,2nd,April
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Première rétrospective en France consacrée au peintre américain Mark Rothko (1903-1970) depuis celle du Musée d’Art moderne de la Ville de Paris en 1999, l’exposition présentée à la Fondation à partir du 18 octobre 2023 réunit quelque 115 œuvres provenant des plus grandes collections institutionnelles, notamment de la National Gallery of Art de Washington, de la Tate de Londres et de la Phillips Collection de Washington, et de grandes collections privées internationales dont celle de la famille de l’artiste.
Se déployant dans la totalité des espaces de la Fondation, selon un parcours chronologique, elle retrace l’ensemble de la carrière de l’artiste depuis ses premières peintures figuratives jusqu’à l’abstraction qui définit aujourd’hui son œuvre.
L’exposition s’ouvre sur des scènes intimistes et des paysages urbains – telles les scènes du métro new-yorkais –, qui dominent dans les années 1930, avant de céder la place à un répertoire inspiré des mythes antiques et du surréalisme à travers lesquels s’exprime, pendant la guerre, la dimension tragique de la condition humaine.
À partir de 1946, Rothko opère un tournant décisif vers l’abstraction dont la première phase est celle des Multiformes, où des masses chromatiques en suspension tendent à s’équilibrer. Progressivement, leur nombre diminue et l’organisation spatiale de sa peinture évolue rapidement vers ses œuvres dites « classiques » des années 1950 où se superposent des formes rectangulaires suivant un rythme binaire ou ternaire, caractérisées par des tons jaunes, rouges, ocre, orange, mais aussi bleus, blancs...
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En 1958, Rothko reçoit la commande d’un ensemble de peintures murales destinées au restaurant Four Seasons conçu par Philip Johnson pour le Seagram Building – dont Ludwig Mies van der Rohe dirige la construction à New York. Rothko renonce finalement à livrer la commande et conserve l’intégralité de la série. Onze ans plus tard, en 1969, l’artiste fera don à la Tate Gallery de neuf de ces peintures qui se distinguent des précédentes par leurs teintes d’un rouge profond, constituant une salle exclusivement dédiée à son travail au sein des collections. Cet ensemble est présenté exceptionnellement dans l’exposition.
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En 1960, la Phillips Collection consacre au peintre une salle permanente, la première « Rothko Room », étroitement conçue avec lui, qui est également présentée ici. L’année suivante, le MoMA organisera la première rétrospective de son œuvre qui voyagera dans plusieurs villes européennes (Londres, Bâle, Amsterdam, Bruxelles, Rome, Paris). Au cours des années 1960, il répond à de nouvelles commandes, dont la principale est la chapelle voulue par John et Dominique de Menil à Houston, inaugurée en 1971 sous le nom de Rothko Chapel.
Si depuis la fin des années 1950, Rothko privilégie des tonalités plus sombres, des contrastes sourds, l’artiste n’a pourtant jamais complètement abandonné sa palette de couleurs vives, comme en témoignent plusieurs toiles de 1967 et le tout dernier tableau rouge demeuré inachevé dans son atelier. Même la série des Black and Grey de 1969-1970 ne peut mener à une interprétation simpliste de l’œuvre associant le gris et le noir à la dépression et au suicide.
Ces œuvres sont réunies dans la plus haute salle du bâtiment de Frank Gehry aux côtés des grandes figures d’Alberto Giacometti, créant un environnement proche de ce que Rothko avait imaginé pour répondre à une commande de l’UNESCO restée sans lendemain.
La permanence du questionnement de Rothko, sa volonté d’un dialogue sans mots avec le spectateur, son refus d’être vu comme un « coloriste », autorisent à travers cette exposition une lecture renouvelée de son œuvre – dans sa vraie pluralité.
COMMISSARIAT de l’EXPOSITION :
Suzanne Pagé et Christopher Rothko
avec François Michaud
et Ludovic Delalande, Claudia Buizza, Magdalena Gemra, Cordélia de Brosses
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webionaire · 11 months
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Dichotomies do not exist to Na Kamura, and style and time are fluid. Seeing herself “as both a traditionalist and as a painter of the twenty-first century”, for the new works on view, the artist pulls structure from as diverse sources as the paintings by Italian Renaissance master Luca Signorelli and the choreographed gestures of contemporary K-pop dancers. She is communicating with the art of the past and with the viewer in the present: “As long as I produce pictures that are seen, they remain communicative. They’re open.”
Maki Na Kamura (b. Osaka) studied at the Kunstakademie Düsseldorf. She has been included in numerous solo and group exhibitions across Europe and in Japan. Solo museum exhibitions have been held at Museum Dhondt-Dhaenens in Deurle, Belgium (2017); Osthaus Museum Hagen in Hagen, Germany (2017); Bilbao Arte – centro de arte contemporáneo in Bilbao, Spain (2015); and Oldenburger Kunstverein in Oldenberg, Germany (2014). Na Kamura was awarded the Falkenrot Prize in 2013. Her work is in the collection of Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris, France. Na Kamura lives and works in Berlin.
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