Tumgik
#chat et poupée
yaggy031910 · 11 months
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Aimée Davout in her delivery bed
While I love reading and translating Davout‘s letters, I am always glad to find one written by la Maréchale Davout herself. The following letter was written in early 1813. As background information, it’s important to know that he kind of begged Aimée to organise miniature paintings:
Le 17 janvier, tandis que le maréchal remercie tendrement sa femme « des excellentes bottes fourrées » qu'on lui a envoyées et s'écrie : « Que d'obligations n'ai-je pas à ta sollicitude pour ton Louis !», la maréchale, peut-être à la même heure, lui adressait, de son lit d'accouchée, les gracieuses lignes que voici : J‘ai éparpillé ce matin les matériaux du plus charmant tableau, du plus propre a te plaire pour m‘entretenir avec toi, excellent ami. J’avais tes quatre enfants sur mon lit: J‘ai rendu Jules à as nourrice, quoiqu‘il eùt ses grands yeux bleus tout grands ouverts; j‘ai fait dinner un petit morceau de pain d‘épice à Louis pour le consoler de son renvoi; Joséphine a pris sa poupée, Léonie son Berquin et ton Aimée sa plume. Aussitôt la date mise, on m‘a rapporté ta letter du 10; je reçois maintenant exactement de tes nouvelles. Suivent mille tendres détails sur le nécessaire composé par ses ordres de tous les objets habituels de la toilette du maréchal, et la maréchale termine ainsi cette causerie. Toute à toi, mon Louis, mon unique bien, car toi et nos enfants, ce n'est qu'un, jusqu'à mon dernier soupir. Aimée.
English translation On January 17, while the marshal thanked his wife tenderly for "the excellent furry boots" which had been sent to him and exclaimed: "What obligations do I not have to your solicitude for your Louis!" The Maréchale [Aimée], perhaps at the same time, addressed the following graceful lines to him from her delivery bed: This morning I scattered the materials for the most charming picture, the one most likely to please you, in order to talk to you, my excellent friend. I had your four children on my bed: I gave Jules [the newborn baby boy] back to his nurse, even though he had his big blue eyes wide open; I had Louis [the still living eldest son] eat a little piece of gingerbread to console him for his dismissal; Joséphine [eldest living child & daughter] took her doll, Léonie [second daughter] her Berquin [I think it’s a book] & your Aimée her feather. As soon as the date was set, they brought me your letter of the 10th; I receive your news right now. This was followed by a thousand tender details about the kit she had put together with all the usual items for the Marshal's grooming, and the Maréchale ended her chat with these words. All yours, my Louis, my unique possession, because you and our children are one, until my last breath. Aimée.
Gaaaaahwd, mhmm, yes, I look up to her. 🥰🌺🌷🕊️
It‘s so saddening to know that there aren‘t that many letters of her. Nevertheless, it‘s already a privilege to be able to read any letter at all. It‘s so nice to have her voice in history as well. One can feel how protective she was over her family.
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kiala-story · 1 year
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•Tu lui fait des papouilles•
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Mention : Papouille - Consentement - Vulgarité - Mignonnerie
Personnage : Ran - Rindou - Izana - Inupi - Kazutora
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Ran :
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Recroquevillés calinant un coussin les paupières lourdes tu attendais que ton copain rentre enfin de ses obligations.
Quelques minutes plus tard tu entends la poignet de sa porte s'ouvrire laissant paraitre ton copain.
"Je suis de retour poupée" te dit-il avec joie.
"Bon retour !" Dis-tu en te retournant vers lui un grand sourit harpentant t'es lèvres.
Il pars ce changer en vif dans sa chambre pour redescendre muni d'un pull large et pentalon de survêtement avec ses cheveux détacher.
Il s'allonge plaçant sa tête sur tes genoux sa main venant serrer de quelques pressions tes cuisses.
On dirais literralement un chat qui fait ses patoches.
Tu finis par placer ta main dans ses cheveux pour y faire quelques papouilles.
Un petit gémissement d'apaisement quitte ses lèvres appréciant ton contact.
"Humm... T'arrête pas Y/N" ronronna-t-il
"Je vois que tu apprécies." dis-tu continuant t'es papouilles
Il hoche la tête accrocher a t'es genoux.
Tu continue t'es petites attentions sur lui jusqu'à que tu t'assoupis a ton tour...
Ran te le dira pas beaucoup mais il adore vraiment t'es papouilles, il pourrait t'en réclamer toute la journée.
Rindou :
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Aujourd'hui avec ton petit ami vous avez décidez de partir faire les magasins à Tokyo.
Il t'a proposé la moto cela dit tu ne voulais pas car dehors il risquais de pleuvoir, tu ne voulais pas prendre le risque d'avoir un accident quelconque.
Tu le rejoins dans le hall de son appartement, muni d'un sweat a capuche appartenant à Rindou avec un pantalon à trou blanc.
Il était habillé de la même manière, avec des rangers noir au pied.
Vous étiez connu comme un couple avec beaucoup de style.
Main dans la main vous arrivez vers la gare, vous attendez votre train vous taquinant l'un l'autre.
Dès que celui-ci arriva vous trouvez une place pour deux, le temps passe et Rindou avais sa tête reposant sur la vitre sa main relié a la tienne la caressant avec son pouce.
Tu regarde son bras dans son pull ample, ta main se retire de sa sienne l'obligeant a tourner son regard vers toi d'incompréhension.
Tu remonte sa manche exposant son avant bras veineuse et tatoué.
Avec t'es ongles fraîchement fais tu griffe légèrement montant et descendant sur son bras, lui provocant des frissons.
"Hum... Tu me l'avais jamais fait celui-ci babe~" murmura t il.
"C'est mes papouilles secrète" dis-tu en retour.
Il sourit a ta réponse te câlinant fermant ses yeux lilas.
Aujourd'hui tout ce qu'il souhaitait était de passer la journée à t'es côtés sans prise de tête avec ses obligations.
Izana :
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Ahhh ! Vivre avec un roi..
C'était ton quotidien actuel !
Izana étant allonger entre t'es jambes ses avant bras placer en dessous de t'es cuisses les emprisonnant dans sa prise.
Tu prenais des photos de votre position en screed pour l'envoyer à ta meilleure amie via Snapchat.
*Snap rouge*
J'arrive à peine à bouger ahah !
La réaction de ta copine ta fait rire
OMGGG marie le !
Tu rigole discrètement, cela dit pas assez car ton copain pencha sa tête en arrière fixant ses yeux aux tien.
"Qu'est ce qui te fait rire ?" Dit t'il
"Je parle avec une amie, elle m'a fait rire" dis-tu remettant ton regard sur ton téléphone.
Son regard s'assombrit il prend ton téléphone le mettant sur la table basse juste a côté de lui, prenant ta main la plaçant dans ses cheveux argenté.
Son message était clair, il voulais que tu t'occupe de lui. Tu soupire ironiquement commençant la scéance de papouille.
De son côté il te caressais de haut en bas t'es jambes ce qui te procurais des frissons agréable.
"Je t'aime tellement." Finit-il par dire après un petit silence.
"Wouah, on dirais que c'est ton dernier instant sur terre." Dis-tu en rigolant
Pas satisfait de ta réponse il ce retourne subitement se plaçant au dessus de ton corps son visage au dessus du tien.
"Ne m'aime tu pas ?" Te fixant fermement.
Tu bug ne comprenant pas sa réaction, jusqu'à que tu réalise que tu lui avais pas répondu a ses avances.
"Heu.. oui ! Moi aussi je t'aime !" Dis-tu rouge détournant le regard sur le côté.
Il se laisse tomber sur ta poitrine fermant les yeux. Tu place de nouveau ta main sur ses cheveux caressant sa tête avec amour.
Izana à beau être fort il a énormément de doutes et veux être rassuré en permanence. Mais au fond de lui il t'aime tellement qu'il pourrais tuer toutes personne pour sa reine.
Inupi :
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Inupi n'est pas du genre a demander de l'attention, du moins c'est très rare.
Tu te pose souvent des questions si il aime quand tu le papouille a certains moment car aucune réaction de sa part ne ta satisfait jusqu'a la.
Vous êtes actuellement poser sur votre lit chacun de votre côté.
"Bébé..." Dis-tu te redressant derrière lui
"Hum, oui ? Que ce passe t'il ? Dit-il se mettant face a toi.
"Tu enfin... Tu aime pas quand je te fait des papouilles ?" Dis-tu baissant les yeux sur le draps gris de votre lit commun.
Il écarquillés les yeux étonné que tu lui pose la question soudainement, il se rapproche de toi posant sa tête sur ton épaule soufflant doucement.
"Bien-sûr que si... J'adore ça si tu savais" dit-il avec quelques bégaiement.
Tu fut soulagé d'entendre ça, il avais pas l'habitude de montré énormément ses sentiments. Ce qui par moment te donnais beaucoup de doutes sur votre relation.
"D'ailleurs... Peu tu m'en faire ?" Finit-il par dire d'un coup, te prenant au dépourvu.
Tu acceptas joyeusement, vous vous allongez tout les deux lui sur toi posant sa tête sur ton ventre en enroulant ses bras autour de ton corps.
Ta main viens caresser ses cheveux or délicatement puis t'es ongles viens ensuite le gratouiller son cuir chevelu.
Un doux gémissement sors de ses lèvres te prouvant qu'il apprécie vraiment ça.
"Je t'aime.. J'aime tout chez toi. Ne doute on plus de nous bébé..." Dis-il avec sa voix presque endormis.
"Moi aussi je t'aime ! Je ne douterais plus!" Dis-tu fermement, ce qui provoque un doux rire devant de ton copain.
Les jours suivant il te demandera des papouilles, tu remarques toujours un sourire d'apaisement que son visage d'ange.
Kazutora :
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Cet homme a constamment besoins de t'avoir a ses côtés. C'est une glue.. Une glue dont tu es tomber éperdument amoureuse
C'était le week-end, t'es journées au lycée t'avais épuisé donc tu profitais du weekend pour le passer avec ton petit ami.
Il était encore endormi a t'es côtés, tu passes ta main dans ses cheveux lui caressant le visage au passage.
Descendant jusqu'à sa poitrine musclé, la sensation de tes ongles donne de légère réactions sur le visage de ton petit ami.
"C'est agréable bébé...Continue s'il te plaît" marmonne t'il avec sa voix rauque.
Tu faisais ça certe pour lui mais surtout pour toi ! De toute la semaine tu avais pas pu le toucher trop occupé avec t'es cours interminable.
Tu comptait bien en profiter pendant c'est 2 jours entiers. Le connaissant cela n'allais pas le déranger le moins du monde.
Tu remontes à ses cheveux pour continuer la où il préfèrerait le plus.
"Ahh... J'adore." Souffle t'il dans les draps du lit.
Ce que tu aime quand tu lui fais des papouilles ce sont ses réactions plus que mignonne.
Le week-end dernière tu lui avais fait également des petites attentions de ce genre, il avais rapprocher sa tête contre ta main comme un félin pour que tu continues.
"Je veux me réveiller tous les matins avec cette sensation d'être aimé... Je t'aime." Dit-il enroulant ses bras autour de ta taille enfonçant sa tête dans ton ventre.
Ses mots ton réchauffé le cœur, tu ne comptait pas l'abandonner. Tu l'aimais trop pour ça.
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laplumedebrume · 1 year
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Le sapin habité
Décembre venait tout juste de commencer. Ernest Yule rentrait à la maison avec le sapin qui décorerait la maison pour Noël.
— Tu rentres déjà ? Lui demanda Rose, son épouse.
— Eh bien, je n'ai pas eu besoin d'aller jusqu'à la pépinière ! Répondit-il. Ce magnifique sapin était abandonné au bord de la route, à l'entrée de la ville.
— On veut le voir !
June et Marlo, les enfants, se précipitèrent vers leur nouveau trésor. L’arbre était si grand qu’il touchait presque le plafond.
L’après-midi fut consacré à la décoration du sapin dans le salon. June s'occupa de la touche finale : brancher les guirlandes lumineuses pour révéler les illuminations.
— Allez, viens avec nous Pudding ! Lança Marlo en jetant un œil de l’autre côté de la pièce.
Le chat de la famille était reclus sous le canapé depuis plusieurs heures. Il était pourtant le premier à inspecter le sapin en temps normal. Son comportement n'était pas habituel, car il semblait effrayé.
— Tu as peur ? Ajouta Rose en approchant une main vers sa tête.
Mais le chat ne voulait rien savoir et resta ainsi isolé jusqu’à la fin de la journée.
C'est June qui alerta la famille le lendemain matin. Le sapin était nu et les décorations dispersées sur le sol. Cela ne faisait aucun doute : Pudding l’avait attaqué dans la nuit. Le soir suivant, Rose ferma la porte du salon pour protéger le sapin redécoré. Le matin qui suivit, alors que Pudding avait passé la nuit dans la chambre de Marlo, le sapin était à nouveau dépouillé. Il y avait là un drôle de mystère à éclaircir. Rose et Ernest décidèrent de passer cette nouvelle nuit dans le canapé du salon. Ils observaient attentivement l’arbre, blottis dans la pénombre. Ils commençaient à s’endormir lorsque quelques branches s’agitèrent.
— On dirait qu’il y a quelque chose à l’intérieur, murmura Rose en s’approchant.
— Ce sont… des yeux ? Répondit Ernest, la voix tremblante.
Le couple fit un grand mouvement de recul. Des dizaines de paires d’yeux, minuscules comme des perles, les fixaient depuis l’intérieur du sapin. Quelques instants plus tard, des points lumineux éclairèrent le centre de l’arbre, faisant apparaître de petites maisons taillées dans le tronc.
Le sapin était habité. Face à Ernest et Rose, des dizaines de poupées miniature s’avancèrent jusqu’au bord des branches. Leur allure était troublante. Elles ressemblaient à de très vieilles poupées que l’on aurait malmenées. Leurs têtes ne tenaient plus qu’à un fil sur leurs corps cabossés.
Le couple était statufié, incapable de réagir. Pendant ce temps, Pudding feulait de l’autre côté de la porte du salon. Les poupées semblaient pourtant inoffensives. Elles avaient probablement rejeté les décorations de la famille car cela les encombrait.
Le lendemain, June et Marlo découvrirent à leur tour les petits personnages. Ils ne leur provoquaient aucune peur. Ils s’amusaient au contraire à interagir avec elles. June parsemait des épingles à nourrice sur le sapin, et ne se lassait pas d’observer les poupées apparaître pour les récupérer. Parfois, les poupées aussi déposaient des petits objets. Il s’agissait le plus souvent de répliques d’elles-mêmes, réalisées avec des épines ou des poils gris de Pudding. Le chat s’était d’ailleurs habitué à leur présence. Il somnolait désormais au pied du sapin et trouvait souvent quelques poupées endormies dans sa fourrure.
De leur côté, Rose et Ernest demeuraient craintifs et préféraient ne pas les approcher. Ils avaient tout de même accepté de les garder avec le sapin jusqu’à la fin du mois. Mais après Noël, une fois toutes les épines tombées, il n’y avait pas d’autres choix que de se séparer de l’arbre. Le salon retrouva son espace. Mais les poupées, bien que délogées, n’avaient pas quitté la famille. Elles occupaient dorénavant leur jardin tout entier. Des arbres jusqu’aux plantes aromatiques. La végétation s’animait comme dans un lieu hanté.
La nuit, le jardin de la famille Yule s’illuminait de tous les côtés, et sur les branches se dessinaient les ombres des minuscules poupées.
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deviance-nocturnale · 2 years
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15. La fenêtre
La seule lucarne active mon besoin saisissant de rejoindre les hautes lueurs. Voyeurisme amateur à travers les réfléchissantes. J’y entrevois présent, passé, futur. Une fenêtre ouverte, c’est une invitation à croiser un regard, une chevelure, un chat aux yeux de lune. Quand je me promène dans les rues, la curiosité piquante et indélicate me fait pencher la tête sur le côté, entrevoir un salon rempli de piles de livres, un lustre hagard ou des silhouettes joueuses. J’aime m’y perdre, m’y confondre, me baigner à l’intérieur de cet espace mystérieux. Jamais de mauvaises surprises. Il s’agit de pans de vie laissés à découvert. Des maisons de poupées dans lesquelles l’œil peut voir en cachette le puits des secrets. Pire qu’un journal intime crocheté. Une fenêtre vicieuse succube attirant le passant crédule. Se blottir derrière la vitre sans que les autres ne sachent. Bonheur superstitieux, intention malicieuse. Espionner en toute impunité.
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traitor-for-hire · 2 years
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Les Quatre Filles March, chapitre 40
La vallée de l'ombre de la mort
Une fois la première amertume passée, la famille accepta l’inévitable et essaya de le supporter de bon cœur, en s’aidant les uns les autres de l’affection accrue qui vient tendrement lier les familles dans les périodes troublées. Ils mirent de côté leur peine, et chacun fit sa part pour faire de cette dernière année une année heureuse.
La chambre la plus plaisante fut réservée à Beth, et tout ce qu’elle aimait le plus y fut rassemblé — fleurs, tableaux, son piano, la petite table à ouvrage, et les chats bien-aimés. Les meilleurs livres de Père y firent leur apparition, le fauteuil de Mère, le bureau de Jo, les plus beaux dessins d’Amy, et tous les jours Meg amenait ses bébés en un pèlerinage d’amour, pour ensoleiller la journée de Tante Beth.
John mit discrètement de côté une petite somme, pour pouvoir avoir le plaisir de fournir à la malade les fruits qu’elle aimait et qui lui faisaient envie. La vieille Hannah ne se lassait jamais de concocter des mets délicats pour tenter un appétit capricieux, laissant tomber quelques larmes tout en travaillant, et de l’autre côté de l’océan arrivaient des petits cadeaux et des lettres enjouées, qui semblaient porter des bouffées de chaleur et de parfums venues de pays qui ne connaissent pas l’hiver.
Ici, chérie comme une sainte du foyer sur son autel, se tenait Beth, aussi calme et industrieuse que jamais, car rien ne pouvait changer sa nature douce et généreuse, et même en se préparant à quitter la vie, elle essayait de la rendre plus gaie pour ceux qui resteraient en arrière. Les doigts affaiblis n’étaient jamais au repos, et un de ses plaisirs était de fabriquer de petites choses pour les écoliers qui allaient et venaient quotidiennement — de laisser tomber de sa fenêtre une paire de mitaines pour des menottes pourpres, un carnet à aiguilles pour la petite mère de nombreuses poupées, des essuie-plumes pour de jeunes écrivains travaillant d’arrache-pied à des forêts de pattes-de-mouche, des albums pour les yeux amateurs d’images, et toutes sortes d’objets plaisants, jusqu’à ce que les réticents grimpeurs à l’échelle de l'apprentissage voient leur chemin jonché de fleurs, pour ainsi dire, et en viennent à considérer la gentille donatrice comme une sorte de fée marraine, assise au-dessus d’eux, qui les couvrait de cadeaux miraculeusement adaptés à leurs goûts et à leurs besoins. Si Beth avait voulu la moindre récompense, elle la trouvait dans les petits visages joyeux toujours tournés vers sa fenêtre, avec des saluts et des sourires, et dans les drôles de petites lettres qui lui parvenaient, pleines de taches d’encre et de gratitude.
Les quelques premiers mois furent très heureux, et Beth regardait souvent autour d’elle en disant « Que c’est beau ! », comme ils étaient assis tous ensemble dans sa chambre ensoleillée, les bébés en train de remuer et de gazouiller sur le sol, mère et sœurs en train de travailler, et père en train de lire, de sa belle voix, des passages des livres vieux et sages qui semblaient riches en mots bons et réconfortants, tout aussi applicables maintenant qu’au moment où ils furent écrits, des siècles plus tôt, dans une petite chapelle, où un prêtre paternel enseignait à ses ouailles les dures leçons que nous devons tous apprendre, essayant de leur montrer que l’espoir peut réconforter l’amour, et la foi rendre possible la résignation. Des sermons simples, qui allaient droit à l’âme des auditeurs, car le cœur du père était dans la religion du ministre, et les fréquentes hésitations de sa voix donnaient une double éloquence aux mots qu’il disait ou lisait.
Ce fut une bonne chose pour tous, ce temps paisible pour les préparer aux tristes heures à venir, car petit-à-petit, Beth dit que l’aiguille était « trop lourde », et la rangea pour toujours. Parler la fatiguait, les visages la troublaient, la douleur la fit sienne, et son esprit tranquille était tristement perturbé par les maux qui affligeaient son faible corps. Pauvre de moi ! Que de journées pénibles, que de longues, longues nuits, que de cœurs endoloris et de prières implorantes, quand ceux qui l’aimaient furent forcés de voir les fines mains tendues vers eux, suppliantes, d’entendre le cri amer, « Aidez-moi, aidez-moi », tout en sentant qu’ils ne pouvaient aider. Ce fut une triste éclipse de l’âme sereine, une courte lutte de la jeune vie avec la mort, heureusement brèves ; et puis, la rébellion naturelle passée, l’ancienne paix revint, plus belle que jamais. Dans le naufrage de son corps frêle, l’âme de Beth se renforça, et bien qu’elle dise peu, ceux qui l’entouraient sentirent qu’elle était prête, et virent que le premier pèlerin appelé était aussi le plus apte, et attendirent avec elle sur le rivage, essayant de voir les Anges venus l’accueillir à sa traversée de la rivière. 
Jo ne la quittait pas même pour une heure depuis que Beth avait dit « Je me sens plus forte quand tu es ici ». Elle dormait sur un sofa dans la chambre, se réveillant souvent pour attiser le feu, pour nourrir, ou soulever ou assister la patiente créature qui ne demandait que rarement quoi que ce soit, et « essayait de ne pas déranger ». Tout le jour elle hantait la pièce, jalouse de toute autre infirmière, et plus fière d’avoir été choisie que d’aucun autre honneur que lui avait jamais accordé la vie. Ce furent des heures précieuses et utiles pour Jo, car en ces moments son cœur recevait les leçons dont il avait besoin. Des leçons de patience, si gentiment enseignées qu’elle ne pouvait échouer à les apprendre, la charité pour tous, l’esprit aimable qui peut pardonner et véritablement oublier la méchanceté, la loyauté au devoir qui rend le plus dur aisé, et la foi sincère qui ne craint rien, mais croit sans le moindre doute.
Souvent, quand elle se réveillait, Jo trouvait Beth en train de lire son petit livre fatigué, l’entendait chanter doucement pour occuper la nuit sans sommeil, ou la voyait reposer sa tête entre ses mains, tandis que les larmes coulaient lentement entre les doigts translucides, et Jo étendue la regardait avec des pensées trop profondes pour les larmes, sentant que Beth, à sa façon simple et désintéressée, essayait de se détacher de sa chère ancienne vie, et de se préparer pour la vie à venir, par des mots de réconfort sacrés, des prières silencieuses, et la musique qu’elle aimait tant.
Voir ceci fit plus pour Jo que les sermons les plus sages, les hymnes les plus saints, les prières les plus ferventes qu’aucune voix ne pourrait proférer. Car ses yeux rendus clairs par de nombreuses larmes, et son cœur attendri par la peine la plus douce, elle reconnut la beauté de la vie de sa sœur — sans histoire, sans ambitions, mais pleine des vertus authentiques qui « sentent bon, et fleurissent dans la poussière », l’oubli de soi qui fait que les plus humbles sur Terre sont plus tôt récompensés aux cieux, le véritable succès, possible pour tous.
Une nuit où Beth regardait les livres sur sa table, pour trouver quelque chose qui lui ferait oublier la fatigue mortelle qui était presque aussi difficile à supporter que la douleur, en tournant les pages de son vieux favori, Le Voyage du Pèlerin , elle trouva une petite note, gribouillée de la main de Jo. Le nom attira son œil, et les lignes brouillées lui certifièrent que des larmes étaient tombées dessus. 
« Pauvre Jo ! Elle dort si bien, je ne vais pas la réveiller pour lui demander la permission. Elle me montre toutes ses choses, et je ne pense pas que ça la dérange si je lis ceci », pensa Beth, avec un regard vers sa sœur étendue sur le tapis, les pinces à côté d’elle, prête à se réveiller à l’instant où la bûche tomberait en morceaux.
MA BETH
Assise patiente dans l’ombre
        Dans l’attente de la lumière bénie
        Une présence sereine et vertueuse
        Sanctifie notre foyer en peine.
        Les joies, les espoirs et les chagrins terrestres
        Se brisent comme l’onde sur la rive        
        De la rivière profonde et solennelle
        Où elle se tient maintenant de son plein gré.
Ô ma sœur, en t’éloignant de moi,       
        Des soucis humains et des conflits,
        Laisse-moi en cadeau ces vertus
        Qui ont embelli ta vie.
        Très chère, accorde-moi cette grande patience
        Qui a le pouvoir de soutenir
        Un esprit enjoué, qui jamais ne se plaint,
        Dans sa prison de douleur.
Donne-moi, car j’en ai bien besoin,
        Ce courage, tendre et sage,
        Qui a verdi le sentier du devoir
        Sous ton pas résolu.
        Donne-moi cette nature généreuse,
        Qui, avec une charité divine,
        Peut pardonner les torts au nom de l’amour.
        Doux cœur, pardonne les miens !
Ainsi notre séparation perd chaque jour
        Un peu de son amertume,
        Et en apprenant cette dure leçon,
        Ma terrible perte devient un gain.
        Car le contact du chagrin rendra
        Plus sereine ma nature sauvage,
        Donnera à la vie de nouvelles aspirations,
        Une confiance nouvelle en l’invisible.
Désormais sauve de l’autre côté de la rivière,
        Je verrai à jamais
        Un esprit du foyer bien-aimé,
        Qui m’attend sur le rivage.
        Espoir et foi, nés de ma peine,
        Deviendront des anges gardiens,
        Et la sœur partie avant moi, par leurs mains
        Me conduira jusqu’à la maison.
Aussi floues et tachées, piètres et bancales que furent ces lignes, elles apportèrent un air de réconfort indicible au visage de Beth, car son unique regret avait été d’avoir fait si peu, et ceci semblait lui assurer que sa vie n’avait pas été inutile, que sa mort n’apporterait pas le désespoir qu’elle craignait. Comme elle se tenait assise, le papier plié entre ses mains, la bûche brûlée s’effondra. Jo se réveilla en sursaut, attisa la flamme, et se glissa au chevet du lit, espérant que Beth dormait.
« Je ne dors pas, mais je suis si heureuse, ma chérie. Tu vois, j’ai trouvé ceci et je l’ai lu. Je savais que cela ne te gênerait pas. Ai-je été tout ça pour toi, Jo ? » demanda-t-elle, avec une sincérité humble et pensive.
« Oh, Beth, tellement, tellement ! », et la tête de Jo vint se poser sur l’oreiller à côté de celle de sa sœur.
« Alors je n’ai pas l’impression d’avoir gâché ma vie. Je ne suis pas si bonne que tu le dis, mais j’ai essayé de bien faire. Et maintenant, quand il est trop tard pour seulement commencer à faire mieux, c’est un tel réconfort de savoir que quelqu’un m’aime autant, et pense que je l’ai aidé.
— Plus que n’importe qui au monde, Beth. Je pensais que je ne pourrais pas te laisser partir, mais j’apprends à ressentir que je ne te perds pas, que tu seras plus pour moi que jamais, et que la mort ne peut nous séparer, malgré les apparences.
— Je sais qu’elle ne le peut pas, et je n’en ai plus peur, car je suis sûre que je serai toujours ta Beth, pour t’aimer et t’aider plus que jamais. Tu dois prendre ma place, Jo, et être là pour Père et Mère quand je serai partie. Ils vont se tourner vers toi, ne leur fais pas défaut, et s’il est difficile de travailler seule, souviens-toi que je ne t’oublie pas, et que tu seras plus heureuse ce faisant qu’en écrivant des livres magnifiques ou en visitant le monde entier, car l’amour est la seule chose que nous pouvons emporter avec nous quand nous partons, et il rend la fin si aisée.
— Je vais essayer, Beth », et en cet instant Jo renonça à sa vieille ambition et se voua à une autre, nouvelle et meilleure, en reconnaissant la pauvreté des autres désirs et en éprouvant la réconfort béni de la croyance en l’immortalité de l’amour. 
Ainsi passèrent les journées de printemps, le ciel se fit plus clair, les fleurs firent leur apparition assez tôt, et les oiseaux revinrent à temps pour dire adieu à Beth, qui, comme une enfant fatiguée mais confiante, se tenait aux mains qui l’avaient guidée toute sa vie, comme Père et Mère la menaient tendrement à travers la Vallée de l’Ombre de la Mort, et l’abandonnaient à Dieu.
Il est rare, si ce n’est dans les livres, que les mourants prononcent des mots mémorables, voient des visions ou nous quittent dans un état de béatitude, et ceux qui ont assisté au  départ de bien des âmes savent que pour la plupart, la fin vient aussi naturellement et simplement que le sommeil. Comme Beth l’avait espéré,  la marée « descendit sans peine », et dans l’heure sombre avant l’aube, sur le sein où elle avait pris sa première inspiration, elle rendit paisiblement son dernier souffle, sans adieux mais avec un regard aimant et un léger soupir. 
Avec des larmes et des prières et de tendres mains, Mère et sœurs la préparèrent pour le long sommeil duquel la peine ne la tirerait plus jamais, voyant avec gratitude la belle sérénité remplacer bientôt la patience pathétique qui leur avait si longtemps brisé le cœur, et sentant avec une joie révérencieuse que la mort était pour leur chérie un ange bienveillant, et non un fantôme redoutable.
Quand le matin vint, pour la première fois en bien des mois le feu était éteint, la place de Jo était vacante, et la chambre était très silencieuse. Mais un oiseau chantait gaiement sur une branche en bouton, tout proches, les perce-neige fleurissaient à la fenêtre, et le soleil de printemps rayonnait comme une bénédiction sur le visage paisible sur l’oreiller — un visage empli d’une paix dénuée de souffrance, à tel point que ceux qui l’aimaient souriaient à travers leurs larmes, et remerciaient Dieu que Beth, enfin, ne souffre plus.
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sadistiicangel · 18 days
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• SWEET DREAMS BITTER NIGHTMARES •
CHAPITRE 2: Attention... Ça tourne !
°°°
Trois jours plus tard… Trois long jours qui avaient paru une éternité.. Syana se réveilla. Difficilement.. et avec bien des douleurs mais sans aucun "souvenirs" ne lui paraissant “réels” pour les jours passés... Et pourtant, son corps lui faisait bien comprendre que tout l'était. Mais... Sans comprendre ce qu'elle avait pu vivre, subir. La seule vague de souvenirs qu'elle avait était… ces choses lui étant arrivé. Ces étrange choses. Ces événements passés et ce… monstre?
Cette chose s'en étant pris à elle.
Mais, était-ce réel ou dans sa tête ? Son ventre lui faisait si mal au point même que bouger trop soudainement ou manger était horrible, tout comme pour son bras. Cette sensation, comme s'il avait été arraché puis remis comme à une poupée. Ou bien même sa gorge. Quelle horreur. Une horreur bien trop réelle pour être imaginée. Avait-elle fait quelque chose de mal pour avoir aussi mal ? Pour subir autant de choses ? Ou était-ce le simple fait d'exister et être comme elle était qui lui valait tout cela ?
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Un long soupire passa ses lèvres alors qu'elle restait assise, serrant sa peluche requin contre elle, ne sachant que faire de plus. Mais— ah! En plus.. avec tout cela… elle n'avait en rien pu faire ses courses- Gaah… La bleutée baissa la tête en faisait une petite moue, riant alors nerveusement, en se disant même qu'elle était… véritablement maudite. Elle qui n'aimait pas sortir, si c'était ce qui l'attendait à chaque fois maintenant, elle préférait encore crever de faim. Penser à une chose aussi stupide que ses courses après ce qu'elle venait de vivre…
« Yuyu… Dommage que tu peux pas faire les courses à ma place, hein- … Oui je sais, "Grunk!" Tu veux ta salade— … »
La voix encore cassée et douloureuse, elle parlait comme elle le pouvait; en de petits soupirs douloureux. Elle regarda son cher lapin vadrouiller ainsi, faire ses zoomies habituels avant de venir flop contre son petit dodo. La vie de lapin comme lui devait être formidable. Un long soupir passa ses lèvres, se transformant en un grognements de douleur avant de tousser péniblement. Elle avait mal, certes, mais elle pouvait le supporter, comme d'habitude. Elle ne savait plus comment ces douleurs étaient “réellement” apparues, de façon réalistes et non aussi stupide comme son esprit le lui disait.., Aka… avoir été maltraité par une chose inhumaine, mais tout irait bien. Comme d'habitude, n'est-ce pas-?
Se relevant sur ses deux pieds, elle alla se saisir de son sac, étant à moins d'un mètre, sortant alors une petite boîte à médicaments. Hmm… un Doliprane suffirait pour le moment, au moins le temps de sortir faire ce qu'elle espérait être des courses. Elle l'avala en se pinçant le nez, tirant la langue ensuite. Décidément, c'etait toujours chiant à prendre. Dire qu'en à peine quelques semaines et voulant simplement sortir, sa vie entière était passée de banale à beaucoup trop mouvementée. C'était à peine croyable.. Elle regarda alors son lapin ainsi au sol, un léger sourire aux lèvres, se décidant à aller nourrir son petit gremlin albinos.
Ceci fait et un moment plus tard, ayant attendu que son médicament fasse un minimum effet, la voilà chaussures aux pieds, veste mise, et avec un magnifique écusson au coude, un chat… elle ne se souvenait pas en avoir mis un à cet endroit, mais ça donnait un certain style! Même si… au bras ou elle avait mal, c'était une étrange coïncidence mine de rien. Elle souffla lentement, prenant son petit porte-monnaie et son sac, hésitant un long moment, étant devant sa porte d'entrée, les yeux fermés. Devait-elle… y aller ? Quelque chose, une soudaine peur, semblait la retenir, l'empêcher… C'était totalement idiot, que pourrait-elle avoir de plus que ce que son esprit lui remémorait inlassablement, comme un rêve lucide. Ce monstre, cette chose, elle avait simplement dû la rêver, l'imaginer de toutes pièces depuis son esprit farfelu, oui… Elle devait simplement être…
Paranoïaque.
Ahah..
Ces choses qu'elle avait dû imaginer à la place de la réalité, pour combler sa peur de la foule ou d'être au contact d'autres gens, sans doute… Hah.
Enfin, c'est ce qu'elle aurait espéré. La voilà fuyant à nouveau la réalité, espérant s'en sortir sans dégât… Pourquoi toutes ces choses lui arrivaient comme ça, d'un coup, du jour au lendemain -?! Elle n'avait rien demandé, elle n'avait rien souhaité de tel-...
Elle…
Elle avait souhaité.
Ce stupide vœu fait face à ce magasin. C'était… impossible ! Elle refusait de croire que parmis tous les gens de l'univers, son vœu avait été réalisé, surtout de cette façon. Elle avait demandé une vie plus "vivante", non de mourir bêtement lors d'une sortie !
Serrant la clanche de sa porte, elle ravala péniblement sa salive, cette dernière passant bien mal, tout en étant au bord des larmes. Et si .. si elle était comme cette chose qu'elle avait vu-? Elle se cogna la tête d'un coup, contre sa porte, geignant alors de douleur en se frottant le front avec sa main.
« Mais quel con put- Gaaah….- Aïe aïeuh—… Une douleur en plus, trop cool— Ahah ..»
Ses jérémiades fini, elle regarda par le judas de sa porte. Personne…
pourvu qu'elle ne rencontre personne cette fois. Elle n'avait qu'à passer deux arrêts, et elle pourrait faire des courses, en toute sécurité ! Syana fit signe à son cher Yuyu, qui devait se poser bien des questions sur la santé mentale de sa maîtresse parfois, avant d'y aller. Clés en poche, la voilà partit, bien rapidement, comme pour éviter quoi que ce soit, éviter tout monde possible…
Éviter de revivre ce que son esprit tentait de lui remémorer. Si ces choses étaient véritablement… vraies.
Maintenant en ville, ayant décidé de marcher et de non prendre un quelconque bus ou tram, elle remettait en question son choix.
Pourquoi je suis sortie.
Pourquoi j'suis aussi con.
Pourquoi je suis pas resté bêtement dans mon lit à la place de me trauma encore plus -?!
Se disait-elle tout en marchant.
À son grand malheur, elle fut en plein.. "embouteillage de monde-?", comme elle appelait la chose. Ses écouteurs dans les oreilles, elle regarda à droite, à gauche, agitant ses doigts dans les poches de sa veste comme à son habitude, voulant éviter une crise de n'importe quel genre. Panique, peur, tout. Mais être dans un tel nœud de gens, venant de tout les sens, c'était impossible d'avancer -?! Impossible. Dire que quelque jours avant, les rues qu'elle prenait quotidiennement était littéralement vide.
Le karma, le monde entier, était contre elle, impossible autrement- elle avança, se faufilant entre les gens, voulant au minimum avancer, ce sortir de cette longue rue.
« … Chance sur mille… un milliard, Sya'... Bordel, pourquoi toujours moi…-? »
Elle chercha alors un potentiel endroit calme, ou elle pourrait se reprendre, se calmer, être un peu hors de cette foule… Mais être bousculé tél un chiffon, telle une feuille au vent, et réfléchir en même temps n'étaient pas deux choses qui allaient ensemble pour elle. Pris de panique, elle se tourna, faisant alors face à un mur, en effet, à force d'être bousculé de la sorte, son chemin avait totalement… dévié. Un mur en coin. Elle était totalement bloqué à présent ! Entre ces murs, et les gens passant en trombes. Mais la chose la plus étrange, comme si elle ne semblait pas en avoir eu assez, était qu'elle voyait des gens. Non pas en face d'elle ou derrière elle en tournant la tête, surtout vu ce à quoi elle faisait face, mais… derrière ce mur. Des hommes en uniformes blanc, faisant passer des gens sous un étrange…. Bâton ? Elle ne savait absolument pas ce qu'était cette chose, mais la plupart des gens semblant y passer .. ne sortaient pas. Qu-... Elle recula alors, prise de peur et semblant se poser bien des questions à nouveau. Voir au travers d'un mur était impossible ! Mais.. bien du monde semblaient la fixer à présent, ayant reculé au point d'être à nouveau dans la foule, alors que quelque seconde avant, tout le monde l'ignorait tel un fantôme. Son regard ambrée regardant rapidement de droite à gauche, les gens la fixant, elle fut prise de court et d'une panique impossible à exprimer, quand une femme la pointa du doigt, hurlant un;
« Regardez-la ! Elle en fait partie! Sa réaction le prouve– T-Tuez la—!! »
Ne comprenant rien à rien, elle secoua vivement et négativement la tête, disant qu'elle ne faisait partie de rien. C'était quoi encore, comme histoire -?! Pourquoi devrait-on la tuer en plus de cela-?! Elle partit dans le sens inverse à ces gens, un étrange frisson parcourant son corps.
Faire partie de quoi ?
La tuer pour quelle raison ?
Qu'avait elle fait de mal a cet instant ?
Pourquoi et comment avait-elle pu voir… au travers d'un mur-?!
Dans l'incompréhension totale de cette suite d'événements, elle sentait que sa tête n'en pouvait plus, tout comme elle. Son corps étant déjà étrangement faible depuis plusieurs jours, elle ne savait que faire, hormis fuir.
Enfin…
C'est ce qu'elle aurait aimé faire-
Fuir.
Sa tête heurta un corps, jurant aussitôt en se mordant la langue, elle recula, prête à fuir à nouveau, à détaler au sol s'il le fallait, avant de sentir quelqu'un lui agripper le poignet mais non brutalement, plutôt… doucement, comme pour lui dire de se tenir en place. Surprise mais aussi effrayé de ce geste, elle tourna doucement la tête, les yeux rougissant de larmes…
Encore une fois, sa simple sortie finissait ainsi- c'était… une horrible habitude qu'avait pris sa vie décidément. Mais elle fixa cette main, voyant un homme habillé de noir, un long trench-coat bordeaux sur les épaules, index contre ses lèvres à lui en signe de ne pas faire de bruits. Il lui fit signe de la suivre, la tirant avec lui, évitant avec brio et aisément tout ce monde. C'était incroyable…
L'homme devait avoir… la vingtaine, qui sait, à vue d'oeil, les cheveux mi-longs d'un magnifique châtain/brun, coiffés en arrière, une longue tresse à l'avant d'un côté de son visage. Les yeux noisette si elle avait vu malgré la vitesse. Elle ignorait tout de cet homme, mais… il ne semblait pas avec ceux en blanc ni même de l'avis de la tuer comme les autres l'avait si expressément hurlé, ceux la poursuivant alors, mais dont le bruit semblait s'éloigner au fut et à mesure que l'inconnu la guidait plus loin. Peut-être aurait-il des réponses…Hein ? Peut-être pourrait-il l'aider à comprendre tout celà, pourquoi sa vie avait tant changé-? Non .. c'était idiot de penser comme ça, de ce dire qu'un simple Inconnu allait avoir les réponses à ses stupides questions. Comment ces choses si étranges n'arrivaient qu'à elle… Réfléchissant bien trop, elle ne réalisa pas de suite que leurs fuite était finie, et que cet homme l'avait emmené devant un arbre. Immense. Si grand qu'il était digne d'un bâtiment haut de dix étages. Enfin… au minimum. Vu le tournis que celà lui donnait, ce devait même être plus ! Elle le regardait, son nœud en plein milieu lui faisant penser à la façon dont elle les dessinait il y a bien longtemps. Mais le plus surprenant pour le moment était ces choses répartit sur les longues branches. Elle pencha la tête, tendant son bras libre comme pour les toucher sans y parvenir, n'en revenant pas, avant de voir cet homme, bras croisés contre son torse, la fixer, l'air sérieux mais à la fois surpris. Agréablement surpris…
« Donc tu peux le voir. Bien. Si ces hommes t'auraient attrapé tu aurait pû dire adieu à ta vie. Comme les autres quoi. Heureusement que ma patrouille se faisait à ce moment.
-C… C'est… censée être… rassurant…?
- Oui. Entre.
- Huh…? S-Stop–! »
Un soupire d'exaspération passa les lèvres de l'homme au manteau, il la prit par les épaules pour la pousser bien rapidement avant de la faire passer au travers de l'arbre, par ce nœud. Tout aussi étrange que ces propos, Syana hurla de surprise avec sa voix encore faible, finissant a l'intérieur, à genoux. Les mains au sol et tremblante de cette surprise. C'était… digne d'un conte de fée tout ça, c'était pas la réalité -! Elle regarda autour d'elle, tournant sur elle-même tout en tapant le sol rapidement, comme pour s'assurer de la chose, la vue semblant la choquer au point de faire une dizaine de tours sur elle-même pour admirer tout cela.
À l'intérieur, cet "arbre" ressemblait en tout point à un immeuble, où tout du moins, diverses pièces reliées par des escaliers. Des étagères aux murs les plus proches ainsi que divers livres, des milliers de livres et ce genre...d'aquariums cylindriques, vides, mais bien présents dans le fond de la pièce. Elle ne savait que dire, hormis…- si… y avait-il des murs ici-? Ou est-ce que ses yeux lui jouaient encore des tours à ne pas les voir par elle ne sait quelle magie —?!
Son cœur battant à une vitesse bien trop élevée, elle crut tomber en arrière, avant de se cogner , à nouveau… et donc de voir un homme derrière elle, vêtu d'un costume étrangement stylisé, une capuche sur la tête.Dos à celui-ci et étant toujours au sol, elle releva la tête pour le regarder…
Cet homme-ci devait avoir sans doute la cinquantaine, ou plus âgé quoi. Des cheveux courts et blancs cendrés, malgré cette capuche les couvrant. Des yeux d'un magnifique vert pâle, digne de pierre de jade, donnant un magnifique contraste. Le plus surprenant étant cet air si apaisant et réconfortant qu'il affichait et dégageait.
La jeune aux oreilles pointues le regarda, se tournant et relevant aussitôt comme par réflexe, détestant être dos aux gens. Qui- Qui était-il-..? Pourquoi avait-elle cette impression de l'avoir déjà vu… Cette étrange impression alors qu'elle ne le connaissait absolument pas…
« Merci, Nathan. Je te suis reconnaissant de ton aide ici. …Mademoiselle, vous êtes en sécurité ici. Puisque cela fait la seconde fois que nous nous rencontrions, je me présente… Je me nomme Garance et je suis celui à la tête de cette “organisation” dirons-nous. Je vous prie de me suivre..
-Seconde… fois ? Huh…? -Elle pencha la tête en haussant un simple sourcil- Et …Si je… r…re…refuse…?
- Tu souhaites peut-être retourner dehors et ne rien comprendre ? Comme tu l'as si bien fait jusqu'à maintenant ? Vas-y alors, hop. -Il lui fit un signe de la main- Allez. Nous ne connaissons pas ton rang donc tu as une possibilité sur trois d'être tué ou de crever comme un chien coûte que coûte.
- Nathan ! Il suffit. »
Avait fait franchement le dénommé Nathan, avant de se faire réprimander, sa langue étant aussi affûté qu'un couteau, et sa franchise… digne de la sienne quand elle ne connaissait pas quelqu'un ou qu'elle était dans son dis mauvais "mood".
Hah…
Mais, elle regarda l'homme à la capuche, le suivant tout simplement. Mourir-... Ce mot lui résonnait à présent en tête. Pourquoi devrait-elle mourir comme un criminel -? Elle n'avait rien fait pourtant ! Rien à avouer ou même à culpabiliser. Elle fut conduit face à l'un de ces étranges aquarium, qui avait attiré son regard peu de temps avant. Regardant ce dernier, elle tourna pourtant la tête à sa droite, là où l'homme était debout, le fixant dans la plus grande incompréhension…
« Assieds-toi je te prie. Calme toi et imagine toi plonger dans une immense bulle. Une bulle où tu es en sécurité. Aussi épaisse qu'un char d'assaut et loin de tout… Peux-tu y arriver ?
-.... Huh-? Hmmh…- Je… Hmn-
- Doucement, doucement… parfait-... Maintenant, pose les mains sur la paroi, ton front également et… Ahah— parfait nous y voilà, ouvre les yeux, doucement…
- …Qu- Ah-! HAH— QU-?! »
Écoutant cet homme à la voix douce, mais semblant se méfier de lui malgré cela, elle fit comme indiquer, mais au moment même ou son front toucha cette parois... elle eut l'impression de fondre au travers, d'entrer dans quelque chose de si confortable et apaisant. Ce qui se confirma quand elle ouvrit à nouveau les yeux sous la demande de ce Garance, voyant une douce lumière émanant tout autour de l'aquarium. Prise de surprise, elle hoqueta à nouveau, regardant autour d'elle, ses cheveux flottant comme dans de l'eau, alors qu'aucun liquide n'était présent à l'intérieur, d'autant plus qu'elle pouvait respirer à plein poumons…surprenant, fascinant… le calme se faisant sentir ainsi, elle souffla, de bonheur, les yeux brillants. Où qu'elle soit, elle aurait bien voulu avoir la même chose chez elle! Même si son tout petit appartement n'aurait sans doute pas la place. Du coin de l'oeil, elle pu apercevoir les deux hommes parler, se signer plusieurs gestes, le calme aux visages, avant que le plus âgé, celui à la capuche, ne lui tapote l'épaule, signe de sortir. Ce qu'elle fit, à contrecoeur, face à cette sérénité qu'elle avait pu ressentir..
« Puis-je savoir ton prénom ?
-….. -Elle recula de quelques pas, serrant son haut à elle-
- N'aie crainte, allons... S'il te plaît— Nous ne te feront rien de mal, au contraire... Nous allons t'aider et répondre à ce que tu souhaites. Nous sommes tous similaires ici, et tu es des "nôtres" si je peux me permettre de te dire.
- ….. Syana-... Syana Rheim…
- Syana… Merci. Ton rang est le cinq, tu semble détenir un pouvoir te permettant de voir au travers de tout; Humains, murs, portes, qu'importent les choses. Un pouvoir impressionnant je dois l'avouer... Mais, je suppose que tu n'en avais pas conscience... N'est-ce pas ?
- …. N… Non- c'est… impossi- C-Comment…–?
- Je vois… toutes ces choses étranges y sont liés et ces "hommes en blancs" que tu as dû voir sont ceux devant arrêter les gens comme nous, ceux à "pouvoirs". Je sais que cette histoire doit te paraître folle et irréelle, digne d'un rêve, mais je peux t'assurer que ce n'est que la vérité. Alors … je t'écoute; as-tu des questions ?
- P…Pourquoi tout ça est apparus d'un coup… ? Pourquoi moi...? Un jour j'étais normale et tranquille .. et a-après… tout était comme ça, je pouvais voir ces…. Ces horreurs, au travers des murs, et des choses bizarres arrêtent pas de m'arriver.. tout les jours- je… je comprends rien-! J'ai l'impression de devenir folle-
- Malheureusement tout est réel…. Tout. Ce monde, ces choses, nous… tout existe. Je suppose également que tu as dû avoir un élément déclencheur, quelque chose qui t'as fait sortir de ton quotidien. Ou bien même un désir. Quelque chose aussi petit et impossible soit-il, non… ?
- Uh… Je… voulais simplement une vie moins ennuyeuse- être un peu plus… normale— et quand je suis passé devant ce magasin, je l'ai souhaité et le jour d'après… BAM ! J.. J'ai rien fait de mal, je vous promets monsieur Garance ! Je… je voulais pas, je- J—
- … Je vois. -Garence pencha la tête tout en se tenant le menton- Je vois Syana, calme toi ma chère… nous t'aideront, je te le promets. Nathan, je compte sur toi pour l'aider. Ton pouvoir est de loin le plus utile de tous les membres ici et tu es l'un des plus informés et fort ici-même.
- … Je n'ai de toute façon pas le choix hein, alors soit. J'accepte.
- Je… je veux rentrer, ça recommenc— … mal… à la têt-... »
Mais la pauvre bleutée n'avait pas pu en dire d'avantage ni entendre plus, son mal de tête revenant ainsi que ses douleurs, elle ne réalisa que trop tard qu'elle venait de tomber au sol, ou sur quelqu'un... Comment pouvait-elle le savoir dans cet état, un malaise. Toutes ces choses… tant de nouvelles choses…. Pouvait-elle véritablement compter sur ces gens ? Contrairement aux autres, elle n'avait pas eu cet étrange sentiment de malaise, de mal être. Cette envie de fuir et de se cacher loin… ces gens semblaient… différents, et ils l'étaient, en soit. Oui. Tout comme elle, elle n'était pas si… normale, banale, bien que toujours digne d'un fantôme par moment…
Peut-être que ces gens pourraient l'aider, en tout, et ne pas rester dans l'incompréhension.
Elle espérait…
Ce tournant était quelque chose qu'elle n'aurait jamais prévu, et qu'elle n'avait pas su gérer…
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NEW FANFIC SERIE - PROBLEMATIC SEASON 3
18+ content, minors dni
/!\ MAJOR SMUT, +18 CONTENT /!\
NOTE : this is all for fun, please keep in mind that no hate is sent to any of the people mentioned, THIS IS A FANFIC FOR FUN 🩷
All of the people mentioned in the fanfic are adults
FR FANFIC
——-
EPISODE 11 : FUCKSGIVING PT. FINALE
Thicc de Shygirl résonne dans les enceintes de la salle principale de ShinSoo, baignée dans les faisceaux de lumières.
Tu regardes Intak, ne comprenant pas vraiment ce qu’il fait.
Son regard est confiant, tu ne sais pas ce qu’il a derrière la tête mais il sait ce qu’il fait.
« Tu t’amuses ma poupée ? » te demande-t-il, le regard noir.
Le regard d'Intak est sombre, mais empreint d'un désir intense qui transperce l'obscurité de ses pupilles.
C'est comme si chaque éclat de ses yeux reflétait une passion brûlante, suffisante pour consumer tout sur son passage. Tu te sens captivée par cette intensité, attirée par la force de son regard qui semble vouloir tout dire sans prononcer un mot.
La tension monte alors qu'Intak se rapproche de ta nuque, sa présence envahissant ton espace personnel alors que vous dansez ensemble, serrés contre la musique pulsante.
Tu te sens prise entre deux feux, entre l'attraction magnétique d'Intak et la présence imposante de Sangyeon à tes côtés. Chaque mouvement, chaque contact, enflamme davantage les flammes de la passion et du désir qui brûlent en toi, créant un tourbillon d'émotions indomptable.
« Qu’est ce que tu fais Intak ? » tu lui demandes en fronçant les sourcils.
« Et toi ? qu’est ce que tu crois faire avec Sangyeon ? » répond t’il alors que sa langue parcourt le bas de ta nuque jusqu’à ton oreille.
Alors qu’un frisson parcourt toute ta colonne vertébrale, tu poses tes deux mains sur le torse d’Intak afin de le repousser.
Tu sens la fermeté de ses pectoraux musclés sous tes mains, chaque mouvement révélant la puissance contenue dans son corps.
La proximité physique amplifie encore plus les sensations, créant une connexion électrique entre vous alors que vous vous laissez emporter par la musique enivrante et les pulsations de la nuit.
« Si tu veux que je recule tu n’a juste qu’à me demander » dit-il en plongeant son regard sombre dans le tiens.
Tu connais ce regard et ce n’est pas de la haine… il est désireux.
« SANGGGGGG »
Alors que les lèvres d’Intak ne se trouvaient qu’à quelques centimètres des tiennes, une petite voix vient appeler Sangyeon.
Sang arrête de danser et se retourne.
Tu tournes la tête et analyses la jeune femme qui semble connaître Sangyeon.
Sang s'approche avec confiance, sa carrure imposante transparaissant à travers sa chemise blanche moulante.
Son visage arbore un léger sourire chaleureux alors qu'il se rapproche pour faire la bise à la jeune femme, dégageant une aura amicale et détendue malgré l'atmosphère chargée d'électricité dans la pièce.
Tu les observe discuter alors que tu sens les mains d’Intak caresser tes hanches.
La jeune inconnue est est petite et brune, ses cheveux encadrant délicatement son visage.
Ses yeux, joliment maquillés en yeux de chat, captivent par leur intensité. Elle porte une robe noire moulante qui met en valeur ses courbes, ajoutant à son charme.
Son sourire est éclatant, illuminant son visage d'une douce chaleur, et lui confère une aura de gentillesse et de convivialité. Elle dégage une allure élégante et séduisante qui attire immédiatement l'attention.
Elle flirte avec Sang ? Tu n’arrives pas à entendre leur conversation à cause de la musique.
Alors que tu continues de les regarder, Intak attrape ton menton, plaçant ton visage devant le sien avant de te dire « Eh, c’est ici que ça se passe » en souriant en coin.
Ton esprit est beaucoup trop préoccupé.
« Désolée Intak, j’ai besoin de prendre l’air » tu lui réponds avant de t’approcher d’une des baies vitrées ouverte pour l’espace fumeur.
Intak te regarde, planté là, t'éloignant de lui alors que tu te diriges vers la baie vitrée pour prendre l'air, laissant derrière toi un sentiment de malaise dans l'atmosphère.
Tu t'appuies contre l'ouverture de la baie vitrée et prends une grande inspiration d'air frais, laissant le vent caresser ton visage tandis que tu tentes de calmer les tourments qui agitent ton esprit.
Natty, avec une cigarette à la main, remarque ta présence alors qu'elle discute avec quelqu'un.
Elle arrête sa conversation, te remarque, et se dirige vers toi en t'appelant par ton nom, probablement curieuse de savoir pourquoi tu es à l'écart.
« Bah alors ma belle ? tu va pas danser ? » demande t’elle en reprenant une latte.
« J’ai eu ma dose » tu lui dis en fermant les yeux, prenant l’air.
Natty fronce les sourcils avant de répondre « Dis moi qui t’emmerde que j’aille lui casser la gueule, petit bonus si c’est la chae »
Tu ris « non non, c’est pas chae ce soir, personne ne m’embête, je veux juste prendre l’air ».
« Si tu le dis » dit-elle avant de reprendre une latte, elle se retourne et te dit « Je retourne à ma discussion, on se voit plus tard ma belle ! »
Tu acquiesces en souriant.
Tu te diriges de nouveau vers le centre de la piste de danse, te mêlant à la foule qui se trémousse au rythme de la musique. Ton regard se fixe sur le bar, attiré par la perspective d'une pause rafraîchissante.
La piste de danse est animée par des jeux de lumières colorées qui dansent au rythme de la musique, créant une ambiance électrique et envoûtante.
Les gens se déhanchent avec enthousiasme, certains levant les bras en l'air, d'autres effectuant des pas de danse synchronisés. Le bar est éclairé par des lumières tamisées, ajoutant une touche d'intimité à l'atmosphère festive.
Au fur et à mesure que tu t'approches, tu sens l'excitation monter en toi, t'imaginant savourer un rafraîchissement bien mérité après toute ce moment bizarre avec Sangyeon et Intak.
D’ailleurs… Sangyeon n’a rien dit quand Intak était contre toi ? bizarre, il ne l’a peut être pas vu.
Tu arrives au bar et te prends martini blue.
Alors que tu sirotes tranquillement ton martini, tu vois Jang en haut de la balustrade au téléphone, elle a l’air contrariée.
Tu tournes le regard et voit Mingi, assis à côté de toi, sa chemise blanche entrouverte, les cheveux un peu humide et des lunettes de soleil à verres bleus.
« Mingi en train de se bourrer la gueule au bar… quelle surprise » tu lui dit en le regardant.
« Je suis affreusement sobre ce soir, surtout si je dois surveiller la petite teigneuse » dit-il en baissant ses lunettes, te regardant dans les yeux.
Tu balaies la salle du regard.
« Tu fais mal ton boulot, je sais même pas où elle est » tu réponds à Mingi, ton verre à la main.
Il remet ses lunettes et sourit avant de dire « Tant que moi je le sais, c’est le principal ».
Tu fronces les sourcils.
« Elle est où ? » tu lui demandes.
« Elle te fera pas chier là où elle est, c’est le principal » répond t’il en prenant un verre.
« Tu l’a baisée ? » tu lui demandes en levant un sourcil.
Mingi repose son verre en riant.
il te répond « Le jour où je la baise elle est plus de ce monde, t’as vu sa taille ? même mon poing est plus large que sa ch- »
« MINGI SALE CON »
Vous vous retournez tous les deux sur Chaewon qui arrive sur vous, visiblement furieuse.
Elle te regarde de haut en bas avant de dire « J’aime bien ta robe ».
?????? quoi
Elle se retourne sur Mingi avant de lui attraper la chemise.
« Je peux savoir pourquoi tu m’a bloquée dans les toilettes ?! T’as carrément cassé la serrure SALE CON » dit-elle en essayant de crier par dessus la musique.
Mingi sourit en coin avant de répondre « Du calme guapita, j’ai du la casser en fermant la porte avec ma puissance de mâle alpha »
Tu ricanes en prenant une gorgée de martini.
Chaewon lève les yeux au ciel.
« Tu peux lâcher ma chemise tu sais ? » dit-il à Chae.
Chae se penche sur Mingi et fais quelques baisers sur son col de chemise.
« Eh tout doux guapita » dit-il en souriant.
Tu poses ton verre sur le bar et t’apprêtes à lui tirer les cheveux.
Chae se relève, plusieurs marques de baisers laissées sur la chemise blanche de Mingi.
Elle prend le verre de Mingi, se recule et lui dit « Bonne chance avec ces traces quand tu croiseras Kazuha ce soir ».
Elle ricanne, prends une gorgée dans le verre de Mingi et disparaît dans la foule.
« Quelle petite allumeuse celle là » dit-il en soupirant.
« Allumeuse ? tu va te faire défoncer par Kazuha » tu lui réponds.
« Ouais allumeuse, j’ai failli bander » dit-il avant de commander un autre verre.
Tu lèves les yeux au ciel
« Mingi.. t’es vraiment le pire » tu lui dit avant de regarder ailleurs.
« Je sais que tu ne le penses pas, donc ça me touche pas princesse » dit-il avant de scroller sur son téléphone.
Tu balaies la salle du regard.
« Dis moi, tu connais bien Sangyeon ? » tu lui demandes
« Oui, pourquoi ? » te répond t’il.
« Tu sais c’est qui genre une petite meuf brune, super jolie, très expressive ? » tu lui demandes.
« Je vais avoir besoin de plus de détails là, c’est une meuf qui était trop proche de lui SELON TOI ? » dit-il en te regardant et levant un sourcil.
Tu la vois au loin.
Tu attrape le visage de Mingi, lui tourne en direction de la fille mystérieuse, la pointe du doigt et lui dit « ELLE »
Mingi ricanne.
« Pourquoi tu veux savoir qui c’est ? » demande t’il en souriant.
« Mingi tu fais chier, dis moi qui c’est » tu lui demandes en fronçant les sourcils.
« J’ai quoi en échange ? » il te demande en relevant ses lunettes.
Tu réfléchis, Mingi est toujours très bon en affaires.
« Mingi, c’est littéralement une info que je demande, je vais pas te proposer quelque chose en échange » tu lui réponds en soufflant.
« Tant pis, je vais aller m’amuser avec ça » dit-il en mettant sa main dans sa poche avant de sortir l’une des photos qu’il a gardé.
« RANGE ÇA » tu lui dis en te jetant sur les photos.
Il les range avant que tu ne lui arrache des mains.
Il se lève, étire ses bras musclés et te dit « Si tu ne veux pas faire affaire, reste dans tes infos » dit-il en souriant et en disparaissant dans la foule à son tour.
« UGH » tu laisses échapper en tapant sur le bar.
Tu montes les escaliers et atteins l'étage supérieur, où des sofas confortables sont disposés autour de petites tables basses.
Tu choisis un coin tranquille et t'assois, appréciant le calme relatif de cet espace comparé à l'agitation de la piste de danse en bas.
C'est l'endroit parfait pour prendre une pause et observer discrètement ce qui se passe autour de toi.
Alors que tu regardes les publications de X Updates, relatants les excès des étudiants, tu aperçois une photo de Mingi et toi au bar, ainsi qu’une autre photo plus zoomée, sur les traces de baiser sur son col de chemise avec comme description « Princesse pornstar et son prince du pétrole en pleines négociations »
« Tu fais la une ma cochonne » dit Jang en s’approchant de toi avec sa grosse fourrure blanche.
Jang s'assoit gracieusement à côté de toi, drapée dans sa fourrure blanche qui lui donne une allure élégante et sophistiquée.
Son regard semble pétillant d'excitation alors qu'elle prend place à tes côtés, prête à partager un moment de complicité avec toi dans cet espace plus calme de la soirée.
« Très drôle, les baisers c’est pas moi » tu lui réponds.
Elle ricanne avant de répondre « Ça je le sais, sinon il y en aurait sur son caleçon aussi »
« Depuis que t’as couché avec lui j’en veux plus » tu lui réponds avec un air de dégoût.
Elle fronce les sourcils avant de répondre « Je t’interdis de dénigrer ma petite chatte comme ça, et arrête un peu, je sais que tu l’aimes bien le petit Mingi, j’ai vu les photos que t’as soumis au comité » dit-elle en te regardant avec un air coquin.
« QUOI » tu lui réponds en écarquillant les yeux.
« Ouais, j’ai pouvoir de regarder n’importe quelle photo de faite » dit-elle en riant.
Tu hésites à lui demander.
« Pour celles d’Intak j’ai jamais vu aussi soft, rassure toi, cependant j’étais obligée de le faire rentrer vu qu’il était avec Kazuha et que j’aurai fini accrochée à une remorque sur l’autouroute si je faisais rentrer son frère mais pas elle » dit-elle en riant.
« Tu me rassures » tu lui répond.
Jang te regarde d’un air joueur.
« Donc t’es toujours amoureuse ? » en souriant.
Tu soupires.
« Okayyyy okayyy on parle pas de sentiments ce soir, c’est la LUXURE ce soir ! » dit-elle avant de se lever et jeter sa fourrure sur le sofa.
Elle commence à se trémousser sur la musique en caressant sa robe en diamants.
« Où est San quand on a besoin de lui ? » tu dis à haute voix en levant les yeux au ciel.
San débarque en courant.
« Qui m’a appelé ? » dit-il essoufflé.
« Incroyable » tu marmonnes.
« Oh San… cette robe est si serrée » dit Jang en gémissant.
San sourit en coin avant de prendre la fourrure sur le sofa et attrape Jang avant de la mettre sur son épaule.
« a tout à l’heure » dit Jang en t’envoyant un bisou alors que San part en direction du salon privé avec elle.
Tu secoues la tête en riant et continue de scroller sur ton téléphone.
Le son des talons aiguille résonne à travers la pièce, annonçant l'approche d'Iroha.
Tu sens sa présence se rapprocher de toi, anticipant avec curiosité ce qu'elle pourrait avoir à te dire ou à partager dans cet instant de calme au milieu de l'agitation de la soirée.
« Je peux m’assoir ? » demande t’elle doucement.
« Bien sûr Iroha » tu lui dit en tapant sur le sofa.
Elle s’assoit à tes côtés et pose sa tête sur ton épaule.
« On peut aller a Tokyo pour le nouvel an ? c’est pas si loin en avion, ça me ferait plaisir de présenter mes amies à mes parents, et je te ferais découvrir ma ville » demande-t-elle en regardant la foule en bas à travers la fenêtre.
« Je sais pas trop, je sais pas si Jang a déjà préparé quelque chose ou non… sinon oui ça me ferait plaisir Iroha » tu lui réponds.
« Oh c’est vrai ?? Je vais en parler à mes parents demain, on a largement la place pour tous vous accueillir, ce serait trop cool » dit-elle en prenant ta main.
Le temps pouvait sembler court, mais chaque moment passé avec Iroha avait été rempli de découvertes, de rires et de complicité.
Malgré cette brièveté, tu ressentais déjà un lien fort avec elle, une connexion profonde qui transcendaient les mots et les gestes, une affection sincère qui grandissait chaque jour un peu plus.
Tu te sentais chanceuse de l'avoir rencontrée et reconnaissante pour chaque instant partagé avec elle.
« T’as perdu Jake ? » tu lui demandes.
« Non non, il a du s’éclipser, il m’a dit qu’il avait un truc d’important à faire donc il m’a fait un bisou sur le front et il est parti, il m’a dit qu’il reviendrait dans la soirée » elle te répond en te faisant des papouilles sur le bras.
La semi insonorisation de la pièce permet de vous détendre et de prendre une pause dans l’agitation de la soirée.
Tu continues de scroller ton téléphone.
Plusieurs minutes s’écoulent.
« Il t’a dit à quelle heure il revenait ? » tu demandes à Iroha.
Iroha ne répond pas.
« Iroha ? » tu recommences.
Tu te penches et te rend compte qu’elle s’est endormie sur ton épaule.
Tu attrapes un coussin, te décales légèrement et couche Iroha sur le sofa.
Iroha, paisiblement endormie sur le sofa, semblait enveloppée dans une aura de douceur, son visage serein éclairé par la lueur tamisée de la pièce.
Sa robe rose, drapée autour d'elle, ajoutait à son apparence délicate, lui conférant une aura de féérie.
Dans son sommeil, elle semblait aussi paisible et gracieuse que la belle au bois dormant, attendant simplement le baiser du prince charmant pour la réveiller de son doux rêve (toujours porté disparu).
Tu quittes la pièce silencieusement et retourne essayer d’en savoir plus sur l’amie de Sang.
Alors que tu regardes à droite, à gauche pour essayer de mettre la main sur cette fille, tu te cognes contre un torse.
« Mais regardez qui va là » dit-il en riant.
Juyeon, debout devant toi, arborait un sourire malicieux, ses yeux pétillants exprimant une lueur taquine.
Son allure athlétique était mise en valeur par sa posture décontractée, ajoutant à son charme naturel.
Son regard, à la fois joueur et séducteur, captivait ton attention, te faisant ressentir un mélange d'amusement et de fascination.
« Oh désolé Juyeon je t’avais pas vu » tu lui dis en te tenant le front.
« Mes pectoraux t’ont fait si mal que ça ? » dit-il en riant.
« Très drôle Juyeon » tu lui réponds en fronçant les sourcils.
Il te regarde de haut en bas, ses yeux dévorant ton corps.
« Ça te dirait qu’on sorte un soir ? » te demande-t-il.
Il continue « promis on parlera pas de Paradise si tu veux pas en parler ».
Tu t’apprêtes à lui répondre avant que votre conversation ne soit stoppée.
« Tu perds pas de temps toi, c’est pas parce que j’ai dis que j’aimais bien ta robe qu’il la trouve belle aussi » te dit Chaewon en croisant les bras.
« T’es toujours si désagréable » lui dit Juyeon en riant.
« Tu riais moins quand tu la baisait dans le jacuzzi » dit Chae en levant les sourcils.
« Moi au moins je l’ai pas poussée du premier étage » lui répond t’il en levant un sourcil à son tour.
un silence s’abat entre les deux.
« Tu comptes baiser avec Juyeon ? » te demande Chae en te regardant dans les yeux.
« Qu’est-ce que ça peut te faire au juste chae ? » tu lui réponds.
« Je me ferais un plaisir d’en informer Intak, le pauvre, tout seul assis dehors, il est en proie à de grosses lionnes ce soir » dit-elle en faisant une moue moqueuse.
« Quand tu dis lionnes, si tu te vises, c’est plutôt GROSSE CHIENNE que tu devrais utiliser, tu t’es trompée d’animal » dit Natty en s’approchant de vous.
Chae la regarde en haussant les sourcils.
« T’es la fille la plus vulgaire que j’ai pu rencontrer dans toute ma vie, et même les putes du bois sont moins vulgaires que toi, t’as encore les ongles oranges à cause de ta consommation excessive de Cheetos et tu pues la clope » répond Chaewon à Natty.
Natty commence à retirer ses créole en te disant « tiens moi ça, je vais lui arracher ses extensions de petite salope ».
Juyeon s’interpose en disant « Personne ne va arracher les extensions de personne, on se détend, c’est une journée de fête, vous vous batterez demain s’il vous plaît les filles. faites un effort ».
« Barbie malibu appelle Ken plage JE RÉPÈTE, KEN PLAGE DÉGAGE DE MON CHAMPS DE VISION AVANT QUE JE TE DÉMONTE » crie Natty.
« complètement tarée celle là » marmonne Chae.
« Du calme Natty ça va » tu lui dis en lui rendant ses créoles.
Natty fixa Chae avec un regard déterminé, ses yeux lançant des éclairs, signifiant clairement qu'elle était prête à arracher ses cheveux en un clin d'œil pour remettre cette dernière à sa place.
« Je paie ma tournée ! » s’exclame Juyeon en vous amenant avec lui vers le bar.
Vous vous dirigez tous les quatre vers le bar, encouragés par la générosité de Juyeon qui annonce qu'il va payer la prochaine tournée.
Tu te retrouve assise entre Chaewon et Juyeon, Natty est assise de l’autre côté de Juyeon.
« On peut aller discuter dehors ? » te demande Chaewon.
Tu acquiesces.
« CRIE SI T’AS BESOIN ET J’EXPLOSE CETTE SALE PUTE » crie Natty.
« ON EST DES FILLES CIVILISÉES NOUS » crie Chaewon en direction de Natty.
Natty lui fait un doigt.
Chaewon et toi vous dirigez vers la baie vitrée qui offre une vue sur l'extérieur.
Vous vous arrêtez devant la baie vitrée, captivées par la vue nocturne de la ville qui s'étend sous vos yeux.
Les lumières scintillantes et les mouvements des voitures créent une ambiance hypnotique. Le bruit de la musique étouffée de la fête se mêle au murmure de la nuit, créant une atmosphère à la fois festive et paisible.
« Tu voulais qu’on discute de quoi ? » tu lui demandes, toujours sur tes gardes, ne sachant pas de quoi Chaewon est capable après t’avoir jetée du premier étage.
« Je sais qu’on est pas amies et on le sera jamais, je voulais juste qu’on discute toutes les deux. Parce qu’en fin de compte je te déteste parce que je déteste Jang. » te dit Chae en sirotant son cocktail rose.
« C’est pas faux, mais t’es la fille la plus insupportable que je connaisse, en plus t’as couché avec Intak » tu lui réponds froidement.
Elle lève les yeux au ciel avant de répondre « Arrête de remettre toute la faute sur moi, Intak et moi, tout comme toi, sommes adultes. Ce que j’ai fait, Intak l’a fait aussi, aucun de nous deux n’a forcé l’autre tu sais ».
Tu recules et lui dit « La conversation est terminée ».
Chae soupire « Je n’éprouve pas d’animosité contre toi là hein, je veux juste qu’on discute comme deux adultes responsables ».
Tu lèves les sourcils et lui répond « Tu nous a jetés toutes les deux du premier étage Chaewon, à travers une vitre. »
« Erreur de parcours » dit-elle avant de reprendre une gorgée.
Elle reprend la parole « Je veux juste que tu saches que tout ça c’est derrière moi, évidemment je ne suis pas neutre face à Intak mais je vais plus me battre physiquement pour un garçon »
« Qu’est ce que je suis censé répondre à ça ? » tu lui demandes.
« Rien, je ne m’attendais pas à ce que tu m’écoutes à vrai dire, cependant tu sais maintenant que je n’ai rien contre toi en particulier » dit-elle en esquissant un léger sourire.
« Très bien, merci pour ton honnêteté Chaewon ». tu lui réponds.
« Je te laisse, je retourne m’amuser » dit-elle avant de disparaître à nouveau dans la foule.
Tu te retrouves dans une sorte de brume mentale, où les mots semblent flotter sans but précis, et où les pensées s'entrechoquent sans cohérence.
Les émotions se mêlent dans un tourbillon confus, rendant difficile de discerner la réalité de l'illusion.
Cette confidence inattendue t’a laissé dans un état d'incertitude et de confusion.
Tu t’assoies dehors sur un banc, tu prends l’air et essaie de remettre de l’ordre dans cette soirée.
Une forme s’assoit à côté de toi en disant « Quelle soirée, t’as bien raison de t’isoler ».
Tu te retournes vers elle et quelle surprise.
La jeune femme mystérieuse s’est assise à côté de toi.
« Ouais, il fait un peu trop chaud à l’intérieur » tu lui réponds.
Elle rit.
Vous restez quelques minutes dans le silence, à profiter du calme et de l’air frais.
C’est le bon moment.
« Je t’ai pas demandé, c’est quoi ton nom ? » tu lui demandes
« On s’est déjà croisé à la cafétéria je crois, toi je sais qui tu es, tout le monde parle souvent de toi » dit-elle en riant.
Tu souris en soupirant « La célébrité malgré moi »
Vous riez toutes les deux.
« Moi c’est Hyein, enchantée » dit-elle en souriant.
Vous êtes assises sur un banc à l'extérieur, baignées par la lumière tamisée de la nuit.
Autour de vous, le silence du campus contraste avec l'agitation de la soirée à l'intérieur.
Les étoiles scintillent doucement dans le ciel obscur, ajoutant une touche de magie à votre conversation.
Hyein et toi échangez des mots dans un murmure complice, partageant des anecdotes sur vos amis, vos centres d’intérêts...
Le vent caresse doucement vos visages, apportant une fraîcheur bienvenue dans la chaleur de la nuit.
« Et sinon… tu connais Sang d’où ? » tu lui demandes en pleine conversation.
« Oh Sangyeon ? tu le connais aussi ? » dit-elle surprise.
« Oui, je le connais très bien même » tu lui réponds.
« Alors c’est assez long, mais je me considérerai comme sa meilleure amie » dit-elle en souriant.
« Je vois » tu lui réponds en te forçant à sourire.
Elle se retourne vers toi « Il est beau hein ? Franchement je vais pas te mentir quand je te dis que j’étais amoureuse de lui tout le long qu’on était au lyc��e ensemble mais je lui ai jamais dit » en riant.
« AHAHAHAH »
tu n’a jamais sorti un rire aussi FAUX.
« Bon, ça m’a fait plaisir de te rencontrer mais Minji doit me chercher, on se revoit bientôt ? » te dit-elle en attendant ta réponse.
« Oui ! à bientôt Hyein » tu souris.
Quelle poufiasse.
Non, tu remets tes idées en place, c’est juste sa meilleure amie, no big deal.
Tu te sens prise de fatigue, tu décides de rentrer.
Tu envoies un message rapide à Iroha pour lui indiquer que tu rentres à la résidence.
Une fois fait, tu te retrouves seule dans la nuit, marchant d'un pas déterminé sur le chemin qui te mène à la résidence.
Autour de toi, l'obscurité de la nuit est entrecoupée par les lumières des lampadaires qui éclairent faiblement ton chemin.
Le silence de la nuit est presque palpable, seulement brisé par le doux murmure du vent dans les arbres et le léger crissement de tes pas sur le sol.
Malgré la tranquillité apparente, tu restes sur tes gardes, consciente de ton environnement et de la solitude de la nuit.
Chaque bruit te fait sursauter légèrement, mais tu continues à avancer avec détermination, pressée de retrouver le confort et la sécurité de ta résidence.
Tu mets tes écouteurs et mets de la musique afin de te détendre et te vider l’esprit.
Alors que la musique envahit ton esprit, tu fais le vide sur toute ta soirée.
Soudain, une personne attrape ta taille et te serre contre elle.
Tu sursautes et retire tes écouteurs.
« Une si jolie poupée seule dans la nuit ? Notre première rencontre ici ne t’a pas servi de leçon à ce que je vois » te dit Intak, un sourire en coin.
« Tu m’a fait peur Intak » tu lui réponds en soupirant.
« Je me dois de te raccompagner jusqu’à ta résidence, j’aimerai pas qu’il t’arrive quelque chose sur le chemin du retour » dit-il, le regard sur la route.
« J’ai pas besoin de toi Intak » tu lui dis en le regardqnt.
" je t'ai pas demande ton avis" te repond t’il en souriant.
Tu souris et vous marchez tous deux en direction de Nymphéa.
D'une démarche lente mais assurée, tu avances dans la nuit, accompagnée par Intak.
Sa présence à tes côtés te réconforte, et tu te sens protégée dans ses bras. Son contact te réchauffe dans la fraîcheur de la nuit, apaisant tes inquiétudes et tes craintes.
Vous cheminez ensemble, échangeant parfois quelques mots dans le silence de la nuit, mais le plus souvent laissant simplement la quiétude de l'instant vous envelopper.
Chaque pas que vous faites rapproche un peu plus de votre destination, et malgré la noirceur de la nuit, tu te sens en sécurité dans les bras d'Intak.
“On est arrivés princesse” dit-il en te laissant sa veste.
“Merci Intak” tu lui réponds en souriant légèrement.
Il sourit.
Alors que tu passes la porte de Nymphéa, tu te rends compte que la résidence est vide.
Intak, prenant le chemin pour sa résidence en empruntant le sentier face à Nymphéa, serein, quand soudainement, il entendit son nom derrière lui.
Tu étais dans l’encadrement de la porte de Nymphéa.
“Oui ?” te répond t’il.
Tu lui réponds, jouant avec le noeud sous ta poitrine “Tu veux pas m’aider à retirer ma robe ?”
FIN DE L’ÉPISODE 11
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laviedecam · 9 months
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Bon,
Récemment en France, ils ont enfin sorti la G3 des poupées Monster High. Jouet de mon enfance j'ai bien sûr sauté dans un magasin de jouets pour en acheter une. Puis deux. Puis trois...
Bon j'en ai 5 maintenant.
Tout cela pour dire : comme quand j'avais 10 ans je passe ma vie au magasin de jouets. Et j'y ai finalement trouvé l'objet idéal pour remplacer le peu d'affection que mon chat veuille m'offrir : un Tamagotchi ! J'ai l'ai appelé Niko en référence à ce garçon sur lequel j'ai crushé pendant tout le collège.
Bon c'est sûr qu'un Tamagotchi peut pas faire de câlins ni de ronrons. Mais au moins il est content quand je joue avec lui et que je lui donne à manger.
Je crois que j'ai un manque terrible d'affection.
Et un syndrome de Peter Pan.
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gwennpetrichor · 1 year
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I now need a Wallace&Gromit Alarm clock...
(scroll for English)
Tiktok m'a appris l'existence des Radio-réveils et pendules officiels "Wallace et Gromit", et je suis désormais déterminé-e à en trouver au moins une en état de marche...
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Vous pouvez en voire une en fonctionnement chez ce collectionneur : https://www.tiktok.com/@veganluke/video/7193382915525332230
Mais il y a aussi ce modèle : https://www.tiktok.com/@pgtipsal/video/7092809887666801926 Avec la musique du film !
En tout cas cette collectionneuse a un problème technique avec le sien, donc je vais taguer Foon dans la version anglophone des fois que... https://www.tiktok.com/@realvintagedollshouse/video/7226779167960943898
Ce genre de vidéos me frustre un peu car il y a en moi le désir de collectionner les jouets des années 90 et les maisons de poupée... le soucis c'est que je collectionne déjà les livres, les articles de papèterie et les chats, donc mon logement et mon cerveau arrivent à leurs limites...
Aussi je ne me suis jamaise remise émotionnellement de la destruction de mes poly-pockets im-pe-ccables par mes cousines laissées sans surveillance, et ma mère qui fait "mais enfin c'est juste des jouets"...
Non, maman, ce n'était pas "juste des jouets", et mes picsous magasines n'étaient pas juste des magasines ! (en plus je n'en avais pas beaucoup car j'avais un magasine par mois max donc il fallait laisser des mois pour d'autres sujets !)
***
Tiktok taught me the existence of official "Wallace and Gromit" alarm-clocks, I am now determined to find at least one in working condition…
You can see one working on this collector's Tiktok : https://www.tiktok.com/@veganluke/video/7193382915525332230
But you can also see this one : https://www.tiktok.com/@pgtipsal/video/7092809887666801926 With the music theme from the movie !
And this collector has a technical issue with hers, so I'm tagging @foone here just in case… https://www.tiktok.com/@realvintagedollshouse/video/7226779167960943898
This kind of videos are kinda frustrating to me as I wish to collect 90's toys and doll houses… The issue is that I already collect books, stationnary, and cats, so my habitat and my brain are reaching their limits…
Also I never recovered emotionnaly from the destruction of my Im-pe-cable Polly-Pockets by my cousins who were left unsupervised with it, and my mother said "It's only some toys…"
No, mommy, it was not "just some toys", and my Scrooge McDuck magasines were not "just some magazines" ! (on top of that I didn't have many, I was allowed a magazine a month, max, so I had to let some months for other topics !)
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8H14
Bonjour, j'ai fait un rêve chelou.
Dans mon rêve j'étais dans ma chambre de l'hopital. Et je voyais un chat sur le bureau. Je me suis dis mais qu'est ce qu'il fait là. Mais ensuite je me suis dit non ça doit être une hallucination à cause des effects secondaires des medicaments. Puis après y a ma voisine de chambre qui vient et je lui demande si elle aussi vois le chat. Et elle me dit que non. Et genre après elle me dit qu'elle voit un chat transparent. Puis le chat disparait et je me dit bizzare mais en dessous du chat Il y avait une boite avec à l'intérieur des os. Mais en faite c'était un truc chelou de marabou y avait des os, des tête de poupées plantées sur des os de poulet. Y'avait des cheveux, des letters, des papiers. Enfin bref...je me souviens dans le rêve ça me dégouté de toucher la boite😂😂
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lesombresdeschoses · 1 year
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NEW KILLER STAR
Wonderland Realm, le parc d'attraction récemment construit près de Londres, accueillait des centaines d'enfants se hâtant d'explorer la nouveauté de la région. Le château des esprits damnés, le cirque des monstres, la tour des Enfers, le train magique et tant d'autres divertissements, plus variés et féeriques les uns que les autres :
— Waaaaa ! C'est le Pays des merveilles ici ? Où est Alice ? Je veux voir le Lapin Blanc !
— Attends un peu, nous n'avons pas encore payé nos entrées.
— Je veux voir le Fairy Manor !
— Patience Luc, on y va.
Wonderland Realm, le monde où l'imaginaire prend vie. Le petit Luc tira sa maman par la main pour entrer plus vite dans le Manoir Féerique.
— Qu'est-ce qu'il fait noir ici. Luc ne t'éloigne pas trop, tu vas te perdre.
L’enfant, envoûté par l'endroit, n'entendait plus que les battements de son cœur, excité à l'idée de découvrir les merveilles de ces lieux.
— Aah ! Luc esquive de justesse le crochet du capitaine du même nom : ouf cette automate m'a fait peur ! Quel réalisme ! C'est fou !
Luc avançait dans les couloirs sombres :
— Peter Pan ! Oh, le chat et le loup de Pinoccio ! Il faut que je me méfie d'eux, ils sont louches, dans l'histoire ils piègent la pauvre petite marionnette dans un horrible théâtre de poupées esclaves !
— Bonjour, mon garçon, lance le chat.
— Bonjour, le chat.
— Alors mon garçon, te serais-tu perdu dans nos contrées fabuleuses ? demanda le renard.
— Non, je suis venu visiter le château. Mais vous êtes des automates, comment se fait-il que vous parliez comme si vous étiez vivants ?
— Ici, les choses sont bien plus qu'elles ne paraissent. Regarde.
Un lapin blanc surgit d'une des galeries et lui fit un signe de la main.
— Va mon petit, suis-le. Si tu veux en voir plus, ajouta le loup.
L'enfant partit à la rencontre du personnage, qui tourna les talons aussitôt.
— Vite, vite, mon ami, nous allons être en retard !
— En retard pour aller où ?
— En retard pour rejoindre la Reine des Songes !
Luc avait du mal à courir après l'animal, ce dernier était très rapide.
— Ça te dirait d'apprendre à voler Luc ? On arriverait plus vite au pays des songes, n'est-ce pas ? Mais ne t'inquiète pas, notre Reine va t'apprendre.
Le garçon avait hâte de rencontrer cette magicienne, qui l'intriguait de plus en plus. Ils s'arrêtèrent devant une toute petite porte dorée.
— J'ai la clé. Tu es assez fin pour te faufiler, suis-moi, lui lança le lapin en s'engouffrant dans l'ouverture.
L'enfant se mit à quatre pattes, puis suivit son nouvel ami. La trappe en or menait à une pièce vide au milieu de laquelle une jeune femme vêtue de blanc était assise :
— Bienvenue, messire Luc, lui dit-elle d'une voix chantante.
— Bonjour, madame la Reine des Songes.
— Mes amis m'ont dit que tu voulais apprendre à voler, afin d’être plus rapide, pour rejoindre notre monde à ta prochaine visite.
— Oui madame, lança l’enfant enthousiaste.
— Il s'agit, cependant, d'un sort secret. Personne ne doit voir mon sceptre, autrement le charme ne pourrait opérer. Tu devras fermer les yeux.
— D'accord.
Luc ferma les yeux. La jeune femme sortit une machette de sous sa jupe blanche immaculée et lui trancha la gorge. Puis elle lui transperça le cœur en enfonçant violemment la lame dans la poitrine du petit cadavre.
L'enfant s'envola au-dessus du Manoir.
— Oh c'est magique ! Regarde maman, je vole !
Quelque part, dans l'une des chambres de la bâtisse, un hurlement d'horreur mêlé de désarroi retentit, jusqu'à faire tressaillir les murs.
*
LE TUEUR D'ENFANTS A ENCORE FRAPPÉ .
Cette fois-ci la victime est une fillette de neuf ans, de Fulham. Talia Thorne était allée chercher sa petite sœur à la maternelle, mais on ne la vit jamais arriver. Son corps fut découvert quelques rues en contrebas de son domicile, la gorge tranchée et la poitrine transpercée.
*
La Reine des Songes, penchée au-dessus du lit des parents endormis du jeune Benjamin, récitait un sortilège destiné à les garder enfermés dans un sommeil aussi profond qu'un coma. Le petit Ben se brossait les dents dans la salle de bain.
— Viens ici Ben, sors de ta cachette. Je te sens. Je sens ton odeur nauséabonde. Trouvé.
Ben, surpris, réussit à s'échapper de la salle d'eau.
— Papa, maman, au secours la tueuse d'enfants, elle est là, elle est chez nous !
Le gamin se rua dans la chambre de ses parents, les secoua, leur monta dessus pour tenter de les réveiller. Rien n'y fit.
— Mon sort est puissant, lança la jeune femme adossée au chambranle de la porte.
Le pistolet de papa, dans le tiroir ! pensa le petit. Il se jeta sur le meuble à côté de son père endormi, puis en sortit un revolver qu'il se hâta de braquer sur la psychopathe. Le coup de feu partit sans prévenir, la touchant à l'épaule :
— Sale petit démon, je vais te tuer !
Ben ouvrit la fenêtre à côté de lui et sauta aussitôt. Il atterrit sur le toit couvrant l'entrée de la maison, puis se laissa glisser le long d'une des poutres de maintien, non sans quelques égratignures. Il leva les yeux, vit la tueuse à la fenêtre. Blessée, elle s'était résignée à ne pas le poursuivre. Ben s'enfuit dans les rues.
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saibhaktabrasill · 1 year
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#French 14.mar.23 Quel devrait être l'impact du chant du nom du Seigneur et du temps passé en noble compagnie ? Bhagavan l’explique avec amour aujourd'hui. Une personne qui prétend être allée au bord de la mer et avoir joué avec les vagues doit produire, comme preuve, au moins une paire de pieds mouillés, n'est-ce pas ? De même, lorsque vous venez dans cette mer du Satsang (la compagnie des personnes pieuses) et que vous partagez les vagues de bonheur, la preuve est dans l'œil qui devient humide de pleurs, dans le cœur qui exulte quand un autre est heureux. Même lorsque vous écoutez, vous ramassez le miel comme le fait l'abeille lorsqu'elle visite les fleurs. Il a été dit que le monde devient Sai-mayam (plein de Sai), avec le Sai-namam (nom de Sai) sur toutes les lèvres. Je veux que ça aille plus loin. Je n'insiste pas non plus pour que ce soit le nom « Sai ». Le monde doit devenir Paramatma-mayam (empli du Suprême), avec n'importe lequel des nombreux noms et formes du Suprême sur les lèvres des personnes et devant leur mental ! C'est la même substance versée dans des moules différents. Comme les poupées en sucre que les enfants recherchent, qu’elles soient sous forme de chats, de chiens, de vaches et de chevaux, toutes ont la même douceur. Un enfant préfère cette forme et ce nom ; un autre pleure pour une autre poupée ! Le même Être Divin apparaît à des moments et à des endroits différents, en prenant des Noms différents. Discours Divin du 26 février 1961. Il possède tous les noms et répondra à chacun d'entre eux. Imaginez-Le sous n'importe quelle forme en méditant sur Lui ; Il assume cette forme tout en conférant la Grâce. #sathyasai #saibhakta #sathyasaibaba #saibaba https://www.instagram.com/p/CpyXa0tuUbc/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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lagendageek · 1 year
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Japan Manga Wave Auxerre aura lieu du 17 au 18 juin 2023 à Auxerre (89) : Festival sur le mangas comics jeux vidéo cinéma. Japan Manga Wave Auxerre est une convention axée autour de la culture japonaise. De nombreuses animations, conférences, expositions et shows sont prévus autour de la culture japonaise, de la pop culture, des jeux vidéo, des réseaux sociaux, du cosplay, des mangas, des comics, des tatouages, de la danse ainsi que des concerts….Ça sera une expérience inoubliable avec de nombreux invités, artistes, exposants et visiteurs. 👉 Le lieu de tous les passionnés de Pop culture, de rencontre entre passionnés de manga. 👉 Des expositions sur la culture japonaise 👉 Des tournois de jeux vidéo, des concours cosplay et des concerts 👉 Des acteurs, des youtubeurs, des comédiens ou encore des influenceurs pour partager leurs passions de la Pop Culture 👉 Des espaces de restauration japonaise traditionnelle ainsi que des plats adaptés à tous les âges INFORMATIONS PRATIQUES Date : Samedi 17 et dimanche 18 juin 2023 2023 9h-19h30 Tarif : 1 jour : Offert avec billet PRÉVENTE: Bracelet Porte – Bonheur Maneki Neko ou Omamori INDIVIDUEL : 12€ sur place – 10€ en prévente en ligne FAMILLE (2 adultes et 2 enfants de 7 à 15ans) : 35 € GROUPE (6 personnes) : 50 € Tarif spécifique (enfant- de 6 ans, PMR, sur présentation d’un justificatif) : gratuit Pass week-end (2 jours ) : Offert avec billet PRÉVENTE: Bracelet Porte – Bonheur Maneki Neko ou Omamori INDIVIDUEL 18€ sur place – 15 € en prévente ligne FAMILLE (2 adultes et 2 enfants de 7 à 15ans) : 45 € GROUPE (6 personnes) : 65 € Tarif spécifique (enfant- de 6 ans, PMR, sur présentation d’un justificatif) : gratuit Pass VIP : 45 € (2 jours) Entrée anticipée à 9h00 1 Tote bag Japan Manga Wave 1 Pass week-end ( entrée samedi et dimanche 30 minutes avant les autres visiteurs et coupe-file) 1 Figurine Dragon dans un œuf rétroéclairé par une ampoule LED 1 Bon pour un repas dans le restaurant de votre choix (valeur 16€) 1 Marque page style Horreur Japonais 1 Aimant pour réfrigirateur 1 Poster illustration style manga A4 Pass VIP SAKURA (2 jours) : 65 € Entrée anticipée à 9h00 1 Tote bag Japan Manga Wave 1 Pass week-end ( entrée samedi et dimanche 30 minutes avant les autres visiteurs et coupe-file) 1 Figurine Pop 1 Bon pour un repas dans le restaurant de votre choix (valeur 16 €) 1 Eventail japonais 1 Poupée Daruma japonaise 1 Boîte de 3 poupées traditionnelles japonaises 1 Paire de baguettes japonaises en bambou 1 Affiche du festival Pass VIP JMW (2 jours) : 85 € (offre limitée) Entrée anticipée à 9h00 1 Tote bag Japan Manga Wave 1 Pass week-end ( entrée samedi et dimanche 30 minutes avant les autres visiteurs et coupe-file) 1 Katana de votre choix de nos partenaires (valeur 45 €) 1Coffret 5 chats porte-bonheur japonais Maneki Neko 1 Masque Demon de style japonais Kitsune 1 Figurine Dragon dans un œuf rétroéclairé par une ampoule LED 1 Bon pour un repas dans le restaurant de votre choix (valeur 16 €) 1 Poster illustration style manga format A31 Tableau suspendus de style japonais 1 Affiche du festival Pass SUPER VIP JMW (2 jours) : 150 € (offre limitée à 15 places) Entrée anticipée à 9h00 Accès aux salons lounge Déjeuner avec les VIP 1 Tote bag Japan Manga Wave 1 Pass week-end ( entrée samedi et dimanche 30 minutes avant les autres visiteurs et coupe-file) 1 Katana de votre choix de nos partenaires (valeur 45 €) 1 Coffret 5 chats porte-bonheur japonais Maneki Neko 1 Mask Demon de style japonais Kitsune 1 Figurine Dragon dans un œuf rétroéclairé par une ampoule LED 1 Bon pour un repas dans le restaurant de votre choix (valeur 16 €) 1 Poster illustration style manga format A31 Tableau suspendus de style japonais 1 Affiche du festival Lieu : Auxerrexpo, 1 rue des plaines de l’Yonne, 89000 Auxerre
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bienchienfr · 1 year
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7 Adorables Grandes Races de Chats
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Lorsque vous décidez d'accueillir un nouveau chat à la maison, vous devez prendre en compte la taille de votre futur ami félin. Si vous vivez dans un petit espace, un chat plus petit sera probablement une meilleure option. Mais si votre maison peut l'accueillir, une grande race de chat est certainement à envisager. En fonction de votre style de vie et de vos préférences, vous pouvez vouloir un chat avec lequel vous pourrez vous asseoir et vous détendre, ou un chat qui pourra vous suivre dans toutes vos aventures.Pourquoi est-il si difficile de résister aux grands chats ? Peut-être est-ce leurs grosses pattes, leurs longues moustaches ou leurs grandes oreilles qui ne demandent qu'à être grattées. En fait, les grandes races de chats ont souvent une personnalité plus grande que nature qui correspond à leur morphologie ! Que vous soyez à la recherche d'un nouvel animal de compagnie ou que vous souhaitiez simplement adorer de puissants miaous, voici 7 grandes races qui vous séduiront à coup sûr.
Adorables Grandes Races de Chats
1. Maine Coon
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Si vous êtes à la recherche de gros chats duveteux à caresser toute la journée, vous n'avez pas besoin de chercher beaucoup plus loin que l'adorable Maine Coon. Le Maine Coon, fort et hirsute, est un grand chat domestique bien proportionné. Pesant jusqu'à 20 livres, mesurant jusqu'à 40 pouces de long et doté d'un gros pelage duveteux, c'est un chat qu'il faut aimer. Bien que chaque membre d'une race soit différent, les chats Maine coon ont une réputation de gentillesse et de patience. Avant d'adopter un Maine coon, assurez-vous que vous êtes prêt à le brosser et le baigner régulièrement et à lui donner beaucoup d'attention.2. Savannah
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Le chat Savannah est un croisement entre un chat domestique et un serval, un chat sauvage africain de taille moyenne aux grandes oreilles bien distinctes. Habituellement, les chats Savannah pèsent entre 3 et 7 kilos, les mâles étant plus gros que les femelles. Ces chats rayés sont également assez longs - de 13 à 20 pouces sans la queue. Le Savannah a besoin d'une famille qui joue régulièrement avec lui, car c'est un chat très actif et curieux. Il est important de garder un œil sur eux dans un foyer comptant plusieurs animaux, car les Savannahs sont des chasseurs par nature et peuvent essayer de bondir sur d'autres animaux.3. Sibérien
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Chat puissamment bâti, le Sibérien est un spectacle remarquable avec sa queue en panache, ses grandes pattes et ses yeux qui transpercent l'âme. Le Sibérien est très joueur, il n'a pas besoin de beaucoup de soins, il est bon avec les enfants et les autres animaux de compagnie, il est affectueux et il aime le plein air. Le sibérien est un favori des personnes souffrant d'allergies car il présente généralement une concentration plus faible d'une enzyme allergène dans sa salive, ce qui signifie que sa fourrure et ses squames sont souvent plus faciles à tolérer pour les gens. Malgré leur grande taille, les chats sibériens sont de grands sauteurs et adorent bondir du point le plus haut.4. Ragdoll
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Le Ragdoll est non seulement l'un des plus grands chats d'appartement, mais aussi l'un des félins les plus sociables que vous puissiez rencontrer. Les Ragdolls sont surtout connus pour leur nature docile et affectueuse, qui, combinée à leur grande taille et à leur peluche, en fait le partenaire idéal pour les câlins. Les Ragdolls s'effondrent dans les bras de la personne qu'ils aiment lorsqu'on les prend dans ses bras, comme une poupée de chiffon. Le pelage du Ragdoll peut se décliner dans une gamme étonnante de couleurs, dont le chocolat, le lilas, le bleu crème et le seal. De plus, presque tous les Ragdolls ont de magnifiques yeux bleus ! 5. Ragamuffin
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Ce gros chat d'appartement a peut-être un nom inhabituel, mais sa fourrure semblable à celle d'un lapin et son apparence adorable ne manqueront pas de conquérir votre cœur. Vous devrez tout de même porter votre RagaMuffin de 10 kg, car il a tendance à devenir mou lorsqu'il est câliné et porté. Préparez-vous à un grand nettoyage en raison de leur mue. Les Ragamuffins sont également très affectueux, doux et intelligents. Ils s'entendent bien avec les enfants et les autres animaux de compagnie et préfèrent les grattoirs à vos meubles. Si vous aimez que votre chat soit toujours à vos côtés, ce chat de salon est peut-être ce qu'il vous faut. 6. Chat des forêts norvégiennes
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Cette grande race de chat au pelage soyeux est originaire de Norvège, où elle est connue sous le nom de Skogkatt, qui se traduit par chat des forêts. Cette race particulière est connue pour être en bonne santé, forte et affectueuse. Avec ses quatre pattes sur la balance, il pèse entre 12 et 16 livres, mais il semble plus lourd avec son abondante fourrure. Les chats des forêts norvégiennes sont lents à mûrir et atteindront leur taille adulte vers l'âge de cinq ans. Les chats des forêts norvégiennes adorent grimper, il est donc important de leur fournir un grand espace d'exploration dédié. 7. Le British Shorthair
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Le British Shorthair est connu à la fois pour son apparence et pour sa personnalité typiquement facile à vivre et amusante. Alors que la plupart des chats préfèrent la branche la plus haute de l'arbre à chat, le British Shorthair, en peluche et mignon, préfère garder ses quatre pattes au sol. L'un des premiers chats de race, le British Shorthair est élevé depuis plus de 100 ans, ce qui lui donne beaucoup plus d'histoire que les nouvelles races. Les British Shorthair sont à leur meilleur avec les enfants, et les enfants adorent ces amis en peluche qui sourient. Read the full article
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revedeleda · 1 year
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la langueur
nous, on n’a pas compté dans la structure, tu vois, regarda-t-elle sa poupée allongée comme un petit chat alangui en pleine séance d’étirement
parce que le sale boulot au planning, tu vois, c’est de compter les morts, on allonge leurs cadavres sous des draps blancs et on les entrepose dans la salle d’accueil en attendant qu’on vienne les récupérer
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laplumedebrume · 1 year
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Le cabinet de curiosités
Mady entra dans la boutique de son oncle sous le son du vieux carillon accroché à la porte. Ce n’était pas la première fois que Jean faisait appel à sa nièce pour réaliser son inventaire. Il lui fallait une personne minutieuse, et de son côté Mady avait besoin d’un job d’été.
“Bazarrerie”. Comme ce nom pouvait l’indiquer, la boutique était un véritable cabinet de curiosités. Partout les étagères débordaient d’objets improbables provenant des quatre coins du monde. Les clients se demandaient souvent comment tant de choses pouvaient tenir dans un si petit espace. Ceux-ci n'avaient d'autre choix que de respecter l'écriteau collé sur la vitrine, “pas plus de 5 personnes à la fois”. Jean partit en voyage et laissa les clés du commerce à sa nièce le temps de l'inventaire. Celle-ci rendait si souvent visite à son oncle qu'elle se sentait là-bas comme chez elle. Après trois jours entiers et plus de mille objets comptés, Mady voyait enfin le bout de la liste : 1 rostre de poisson-scie 1 crâne de chat 1 carapace de tortue 1 prothèse de hanche 1 masque mortuaire 2 crânes humains 1 tsantsa 1 affiche d’anatomie humaine 2 poupées de porcelaine 1 globe terrestre 1 dentier Un seul objet manquait. Il s’agissait de la tsantsa, la tête humaine rétrécie qui provenait d’Amazonie. La jeune femme inspecta de nouveau la boutique en passant toutes les étagères au peigne fin. Sans succès. — Fergus ! s’exclama-t-elle soudain en portant la main devant la bouche. Fergus était son compagnon à quatre pattes, un jeune chien chinois à crête. Ce jour-là, Mady l’avait emmené avec elle pour ne pas être seule dans la boutique.
Dès son arrivée, il fut si agité devant tant de bibelots que la jeune femme dut l’installer dans l'arrière-cour. Il dormait paisiblement lorsque Mady l’approcha. Comme elle le craignait, la tsantsa se trouvait bel et bien à côté de Fergus. Elle ramassa la petite tête en la saisissant délicatement par ses longs cheveux noirs. Elle l'observa de plus près pour constater les dégâts. Quelques crocs avaient laissé des marques sur le front et les joues. La tsantsa était si dégoulinante de bave que Mady décida de la passer sous l’eau.
Elle emprunta l’escalier pour se rendre dans la cuisine de son oncle, qui habitait au-dessus de sa boutique. Elle commença à nettoyer la tête sous un léger filet d’eau puis savonna les cheveux. Il ne lui restait plus qu’à la sécher délicatement pour terminer. Mady allait attraper un chiffon lorsqu’elle sentit une vive douleur dans la main gauche. Elle poussa un cri d’horreur quand elle vit la tsantsa en train de mordre son index. Son expression avait également changé. Elle semblait en colère et ses yeux écarquillés se révulsaient. La jeune femme ne parvenait pas à retirer son doigt et la petite bouche serrait de plus en plus fort. — Lâche-moi tout de suite ! cria Mady, prise de panique. Elle se débattait tant bien que mal pendant que Fergus, apeuré, aboyait au rez-de-chaussée. Il fallait immédiatement trouver une solution avant que la situation ne s'aggrave sérieusement. En fouillant dans l’une de ses poches avec l'autre main, la jeune fille trouva la tétine que sa petite sœur avait égarée chez elle. Tentant le tout pour le tout, elle glissa la sucette entre les dents de son agresseur. — Ça marche ! s’exclama Mady tandis que la douloureuse pression sur son doigt commençait à s'atténuer. Quelques secondes plus tard, son index fut enfin libéré. La tsantsa, suçant désormais la tétine, sombra à nouveau dans un profond sommeil. Mady soigna son doigt puis remit la son agresseur à sa place en boutique, au milieu des crânes humains.
Il fallut expliquer la situation au retour de Jean. Mises à part les blessures de sa nièce, celui-ci, habitué des curiosités, fut plutôt amusé. Il raconta cette histoire tout autour de lui si bien que la tsansta devint une véritable attraction. Aujourd’hui encore, les gens viennent de tout le pays pour voir, de leurs propres yeux, “la petite tête endormie de la bazarrerie”.
Fin.
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