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#il me pense si conne
magicarpedore · 1 year
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Quand l’équipier flemmard me prend clairement pour une débile et pense fièrement pouvoir me manipuler, alors que je cherche, note et transmets chacun de ses plus petits écarts pour pouvoir le faire virer.
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perduedansmatete · 6 months
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en fait que je sorte ou pas que je sois avec des gens que j'aime ou toute seule dans mon lit que je me sente seule ou pas je finis toujours par chialer le week-end là ce soir je passais une super soirée puis vers quatre heure un gars qui m'a traumatisé l'année dernière est rentré là où j'étais ou il était là avant mais je l'avais pas vu je sais pas et j'ai eu envie de chialer instantanément ensuite il m'a parlé je sais même plus ce qu'il m'a dit j'ai automatiquement oublié en me rendant compte qu'il captait même pas qu'on s'était déjà rencontrés et à ce moment là j'étais toute seule j'envoie des messages pour dire ahah il y a le gars qui m'a traumatisé mais pas de réponse puis plus tard son pote vient me voir me dit nanana tu dégages quelque chose depuis tout à l'heure blablabla je sais pas quoi et j'étais incapable de répondre j'avais juste envie qu'il parte l'ami platonique entendait pas ce qu'il disait il m'a dit après t'aurais du me dire de le dégager quand il m'a dit en substance que j'étais une connasse de ne pas accepter ses compliments ou je sais pas quoi puis il m'a dit un peu comme son pote l'année dernière que j'étais jeune blablabla sous entendu que je suis une petite conne bref après ça l'ami platonique me réconfortait en me disant que j'étais pas toute seule que ça allait puis "on est là t'inquiète" et je le savais très bien ça mais j'ai plus réussi à ressortir la boule de mon ventre et à retenir les larmes de mes yeux donc je suis allée chialer plus sérieusement aux toilettes il m'a forcé à sortir en me disant que ça faisait au moins quinze minutes ce qui est faux je pense d'ailleurs au début il m'a demandé si je vomissais puis après il a essayé de me faire re rentrer dans la soirée mais j'arrivais plus il m'a pris un uber je voulais pas être dans une voiture avec un mec mais j'avais pas envie de lui dire et de l'emmerder donc je suis montée dedans et il était trop mimi il m'a demandé comme c'était ce club donc je lui ai fait la pub même si j'arrête pas de râler sur ses récents changements puis on a parlé de rap et de queen il était très gentil mais une fois sortie de la voiture et maintenant que je suis toute seule dans mon lit je continue de pleurer avec ma boule au ventre bref une belle fin de soirée
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e642 · 3 months
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Encore une fois, me voilà sur le banc du réconfort. Il fait beau et bon. Trop beau et bon pour un premier mars. J'ai revu mes copains de la fac hier. C'était sympa. On a tous pris des chemins de vie si différents.. et, finalement, à comparaison égale (basée uniquement sur les cours), je dois être de ceux qui s'en sort le mieux. Je les trouve courageux certains d'avoir arrêté les études. J'aurais pas pu. Pas que j'en ai pas envie mais il me faut un cadre. Il m'en a toujours fallu un. Aussi détestable et anxiogène soit-il. Avoir eu mon semestre avec une relativement bonne moyenne ne m'aura pas donné l'entrain et la motivation escomptée. Je me sens toujours autant stressée de rater et fatiguée d'avance de devoir continuer. Je vais le faire, pas de soucis mais il y a cette pression de la constance, il faut que je garde des notes correctes et je sais pas si j'en serai capable. Je dois dire que si dans 1 an et demi pour les masters, j'en ai à nouveau aucun, ça m'atteindra car j'aurais deux licences inutiles. Et ça a beau être dans longtemps, ça me paralyse. D'ici la fin de l'année scolaire, il faudra que je mette un terme à ma relation actuelle également, je ne sais pas comment je vais m'y prendre s'il ne fait pas de faux pas. Enfin, pas de faux pas majeurs justifiants une rupture conventionnelle de relation. Ça aussi, je ne sais pas trop comment me positionner. J'en parlais hier avec les potes, ils me demandaient tous comment ça se passe avec lui. J'ai évidemment pas dissimulé l'incident de septembre me faisant passer pour une conne. Et je n'ai pas non plus minimisé ce que je pense. Tous sont interloqués de me voir rester. Et j'y réfléchis de plus en plus, pourquoi rester alors que ça me convient si peu. Je crois, tout d'abord, que c'est avant tout, malheureusement, de l'opportunisme. Je sais que j'ai un certain confort en restant dans cette relation. Je profite de pouvoir me coucher contre le même corps, avoir de la chaleur de la même personne. En fait, en un sens c'est rassurant et ça ne puise pas d'énergie. L'adaptation a été faite. Et c'est ça que j'ai eu mal à quitter car je sais très bien que je n'aurai plus, pendant longtemps, les ressources de refaire ce travail d'habitation de l'Autre. Aussi paradoxal que ce soit, j'ai toujours eu du mal avec l'instabilité émotionnelle et surtout sexuelle. Après avoir passé bien 2 années à voir un nombre de personne affolant, j'ai plus envie de ça. C'est trop épuisant de côtoyer des gens qui ne sont personne. De m'adapter pour de la courte durée. J'ai plus envie de m'amuser. J'ai envie de me poser avec quelqu'un qui me fait réfléchir/rire et qui me fait bien l'amour. Là, j'ai 50%. Cette facilité dure depuis plus d'un an, il faudra y mettre un terme avant de rentrer dans des engagements plus sérieux. Cependant, je n'ai pas envie d'être la personne qui quitte sans réelle raison apparente aux yeux de tous, j'ai pas envie d'être détestée. C'est puéril mais je trouve ça injuste. Personne ne connait notre vie à tous les deux et même si d'extérieur ça peut paraître idyllique, je n'ai pas envie d'être incriminée pour une rupture que les autres trouvent injustifiée. Ce serait la double peine. Mais, évidemment, je sais qu'on ne peut pas tout avoir non plus. Maintenant que j'ai un semblant de stabilité dans ma vie seule à nice, je ressens de moins en moins l'envie de cette relation. Les choses se mettent en place, il faut alors laisser tomber les béquilles tant que ce n'est pas entièrement encore hors de mon contrôle. Je sais que c'est toxique ce que je fais et franchement pas correct. Je n'ai jamais pensé ça, aujourd'hui marque la naissance de cette première pensée: j'espère qu'il me trompera ou me quittera pour me délester de cette charge. Sinon, je devrais le faire. Je le connais maintenant trop pour attendre des changements importants au point de me faire remettre ma décision en question.
Dans un post d'il y a quelques temps, je parlais du fait que je détestais les gens qui ne parlaient pas, ne communiquaient pas à propos de leurs réelles sentiments. Le fameux temps de latence émotionnel. Ça me paraît maintenant bien déplacé de ma part d'avoir donné émis mon avis. La lucidité n'empêche rien. J'ai pas d'excuse. Ou seulement celle de me dire que je n'y tiens pas assez pour faire les choses le plus dans les règles possible. Et c'est pire sûrement.
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lupitovi · 11 months
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Shaka Ponk - Tout le monde danse 
Je sors à peine de la crise de nos quarantaines  Et je me traîne, j’me traîne. Les autres sont repassés sur le même thème Mais je ne suis pas la même, pas la même. 
Même si tout le monde danse en belle Assemblée et que le beat cogne Même si quelques-uns pensent à se rassembler et que les flics cognent 
Everybody dance Everybody dance 
Everybody dance Everybody dance Everybody dance Everybody Everybody dance Everybody dance Everybody dance Everybody 
Tout le monde danse quand ces gens-là claquent des doigts Mais moi je danse pas. 
Tu dis que l’amour existe et que le SYS t’aime Mais je suis ken, j’suis ken Tout le monde s’écrase, toute le monde rejoue la même scène Mais ça ne vaut pas la peine, pas la peine. 
Même si tout le monde danse pour ne pas penser (Ou ne pense qu’à dépenser) Même quand tous ces gosses pensent à tout balancer c’est du mineur en majorité. 
Everybody dance Everybody dance Everybody dance Everybody Everybody dance Everybody dance Everybody dance Everybody  
Tout le monde danse quand ces gens là claquent des doigts Mais moi je danse pas. 
Je danse pas cet air, Je danse pas les fausses guerres. Je danse pas quand on me dicte tout et son contraire. J’danse pas quand ces gens là claquent des doigts. Les aiguilles de fer dans des clés de bras, j’danse pas . Je danse pas pour le beat qui s’agite dans le ministère Big Pharma, j’danse pas Quand la vie s’enterrent sous les carrières leurs messages d’amour pour la terre, j’danse pas. 
 Les badass qui t’défoncent, qui t’effacent, qui t’encrassent l’art,  la terre et les artères en fêtant des lois, votées au pas de l’oie, dans des orgies romaines , Paris 7éme. 
Je danse pas Et je prends pas la pose, pour qu’on nous fourre des doses sous hypnose médiatique les Trois Singes en laisse, pour une Presse en sbire Ne rien voir, ne rien entendre et ne rien dire 
J’danse pas Quand ces gens-là claquent des doigts,  Je pense pas, comme ces tâches qui croient que pour que rien ne s’effondre, il suffit de s’en foutre. Et ce cri de la Vie, que personne n’écoute. 
J’danse pas pour les mass médias, pour les putes à clic et les politiques qui s’échangent des gosses par millions de minois mijotés,  asservis pour les putes à lobbies sur insta. 
J’danse pas sur la peur, les coups bas, les muselières aux infirmières Les docteurs bannis des médias pour laisser les antennes aux promos de la haine d’un faux candidat. 
J’danse pas pour ces mioches au pouvoir  Des urnes fourrées au désespoir J’danse pas pour ces sales gosses ripous qui cassent le vivant comme un vieux jouet dont on se fout. 
J’danse pas Si on me prends pour une bonne J’danse pas Quand on me prend pour conne Je danserai toujours pour ma belle Daronne pour pas que sa Nature ne nous abandonne. 
Tout le monde danse quand ces gens-là claquent des doigts Mais moi je danse pas. Tout le monde danse quand ces gens-là claquent des doigts Mais moi je danse pas. 
Mais comme il suffit de ne pas s’en faire et se faire notre mère la terre Comme il suffit de ne pas s’en faire Comme il suffit de ne pas s’en faire.
Ne pas s’en faire et se faire notre mère la terre Il suffit de ne pas s’en faire Il suffit de ne pas se faire chier. 
Mais comme il suffit de ne pas s’en faire et se faire notre chère mer Comme il suffit de ne pas s’en faire Comme il suffit de ne pas s’en faire. 
Ne pas s’en faire et se faire notre mère la terre Il suffit de danser binaire Il suffit de ne pas se faire chier.
Everybody dance Everybody dance Everybody dance Everybody
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nvminnd · 7 months
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Allez je réponds au ask meme de @girafeduvexin
1/ Personnage(s) préférés ?
Ça change souvent, mais en définitive je dirais Léodagan, Loth et Galessin (après y'en a plein d'autres que j'aime beaucoup)
Léodagan parce qu'il me fait beaucoup rire et que j'aime bien son côté "aboie plus qu'il ne mord". J'aime surtout les fois où il veut juste faire la conversation, comme ça, pour parler
Loth, me jugez pas, mais c'est de la pure projection. On se ressemble sur pas mal de points, (en ce qui concerne la manière de penser, j'entends. Je vous rassure, je ne trahis pas systématiquement toute personne qui m'est proche....pas systématiquement.)
Galessin c'est surtout que j'aime bien les personnages sous developpés, et si en plus le perso en question est sarcastique, un peu renfermé et moralement gris, il m'en faut pas plus
2/ Personnage(s) que tu détestes ?
Déteste c'est un peu fort, mais j'aime vraiment pas Lancelot (quel que soit le moment dans la série). Je le trouve très intéressant et bien construit en tant que personnage, mais je ne l'apprécie pas du tout...
Je suis pas fan d'Aconia non plus, ni de Karadoc (surtout à partir du livre IV)
3/ OTP
Ce qui se rapprocherait le plus d'un OTP serait Bohort/Léodagan, je les ship, c'est indéniable, mais plus dans le fandom que dans la série. J'aimerais pas forcément qu'ils concrétisent dans la série mais j'aime lire des fanfics sur eux, vous voyez ?
4/BroTP
Arthur/Perceval, leur relation est incroyable
Bohort/Le duc d'Aquitaine. Ils sont faits pour être BFFs
Bohort/Guenièvre, pareil ils sont faits pour s'entendre et parler fleurs et déco
Yvain/Gauvain, pas besoin d'expliquer je pense
Loth/Guenièvre, je sais c'est étrange mais ils m'avaient l'air d'avoir une bonne complicité quand Lancelot et elle sont venus déjeuner en Orcanie. Loth, étant assez bavard, entretient le besoin de discuter de Guenièvre, et Guenièvre a une sincerité dans ses relations et une bienveillance qui pourraient être bénéfique à Loth.
Léodagan/Galessin, vous allez me dire que ces deux là ont été assis l'un à côté de l'autre à la table ronde pendant 15 ans et qu'ils se sont jamais amusés à cracher dans le dos d'Arthur et Lancelot en douce ? Sarcastic soulmates. C'est les deux collègues qui passent leur pause café à rouspéter de tout et qui deviennent potes liés par le seum.
5/ Notp
Je sais, je vais en offenser plus d'un, mais je déteste vraiment Pendranièvre. Guenièvre mérite mieux, la manière dont Arthur la traite me met souvent mal à l'aise, et même si j'adore leurs moments de complicités, j'espère surtout pour eux une belle relation platonique.
6/ Tu as aimé le film ?
Malheureusement, pas tellement. Je l'ai trouvé très mal rythmé, le développement des persos qu'on connait n'était pas terrible, trop de fan service (parfois on avait l'impression que c'était écrit pas des fans lourdinges), et beaucoup de points qui auraient dû être assez épiques (les moments de retrouvailles par exemple) ont manqué de saveur à mon humble avis. Je pense que A.A aurait eut intêret à avoir un co-réal, comme sur ses Astérix. Après je comprends et je respecte sont ambition de vouloir faire lui-même son projet. Très honnêtement, j'irai voir la suite uniquement parce que je veux savoir comment tout ça se finit.
7/ Est-ce que les fans de Kaamelott sont relous ?
Ça dépend lesquels...En fait le soucis c'est que la plus grosse majorité des "fans" de Kaamelott se limitent à une approche très superficielle de la série. Ils balancent des répliques, refont des épisodes....mais quand tu commences à vouloir parler théories, analyses, relations entre les personnages, etc. Ils sont paumés. Le meilleur exemple, c'est tout ces "fans" qui sont persuadés que Guenièvre est conne. Alors ça pour balancer des "Arthour Cuouillère" ils savent faire du bruit, mais quand c'est pour débattre sur la profondeur du personnage de Guenièvre y'a plus personne. Maaaais il y a tout de même des fans qui sont très sypas et intéressants. Ils se trouvent en général sur tumblr ;)
8/ Headcanon que tu adores
Que Galessin a en partie élevé Gauvain. C'est tellement logique quand on y pense. Dommage qu'ils ne se parlent jamais dans la série.
Que Arthur, sûrement inconsciemment, considère Perceval comme un fils, et que c'est son départ qui a provoqué un vide en lui, lui donnant envie de chercher ses enfants dans le livre V
9/ Headcanon adopté par le fandom que tu détestes
Je sais pas...que Arthur et Guenièvre sont endgame peut être ?
10/ Musique pref
Est-ce que ça compte le "L'auberge était complète, revient petit oiseau ?"
11/ Épisodes préférés ?
La délégation Maure. Perceval est en roue libre
La poétique. En plus de la relation Perceval/Arthur, y'a aussi une belle petite leçon d'ecriture qui n'est pas pour me déplaire
Celui où Perveval demande à Arthur s'il l'aime, je me souviens plus du nom
L'Escorte. On se sait.
Le Oud II. Tout est parfait dans cet épisode.
Dagonet et le Cadastre. Le début des embrouilles
Après y'a aussi des scènes que j'aime beaucoup, en gros tout ce qui concerne les Orcaniens, et le dîner avec le duc d'Aquitaine dans le livre V
12/ Unpopular Opinion
À partir du livre V, Perceval se transforme peu à peu en comic relief relou. Il est le meilleur de lui-même quand il est avec Arthur, et même si je comprends l'idée de le faire s'émanciper, je trouve que Karadoc (et plus généralement son duo avec Karadoc) le tire vers le bas. Son développement ne va pas du tout dans le bon sens. Dans KV1 il est même agaçant. C'est presque un assasinat de personnage, tant il passe de "un des meilleurs persos de fiction jamais conçu" à "comic relief qui gueule trop".
L'acharnement de la série contre Mewanoui est très lourd. Elle fait ce qu'elle a à faire pour se sortir de sa situation, et même si ses méthodes sont discutables, elle n'est pas la seule à faire des coups tordus. Pourtant on nous rappelle bien 12 fois par épisodes que c'est une grosse morue.
A.A a du mal avec le format long. Ce n'est pas la tournure plus sombre à partir du livre V qui me dérange, c'est le manque de rythme. Pour quelqu'un qui s'y connait autant en storytelling, je trouve qu'il n'en maîtrise pas trop les codes et qu'il se perd dans le fait de voulour raconter trop d'histoires en même temps.
Paradoxalement, les personnages avaient de meilleurs développements dans les épisodes courts. On les voyait évoluer subtilement, peut être parce qu'il n'y avait pas (ou moins) la pression d'une intrigue fil rouge à mener. À partir du livre V, les personnages sont au service du plot. Leurs caractères, leurs relations et leurs ambitions changent pour s'accomoder aux besoins du plot, et parfois ça n'a pas trop de sens.
Et sinon, je n'aime pas les passages à Rome (je ne trouve pas ça spécialement interessant à titre purement subjectif. Les amourettes d'Arthur me soulent plus qu'autre chose)
13/ Espoirs pour la suite ?
KV2 : reconstruction de Kaamelott, y compris reconstruction des relations entre les personnages. Je veux voir de vraies retrouvailles, avec des conflits, des interrogations, de la joie...
Une évolution travaillée de la relation Arthur/Guenièvre. Escalader une tour c'est gentil mais ça compense pas 15 ans de maltraitance. Si Arthur et Guenièvre devaient développer une relation romantique, j'espère que ça se fera sur le long terme et que Arthur se ratttapera vraiment. Pas juste "j'ai fait UN truc gentil et c'est bon ça efface tout"
Un retournement de veste (voire une rédemption ?) de Loth. Encore mieux si c'est Galessin qui a enfin une prise de conscience et qui suggère à Loth de se ranger du côté d'Arthur (du moins le temps de rétablir l'équibre à Kaamelott, avant, éventuellement dans un second temps, de trahir.)
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claudehenrion · 15 days
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''Le toboggan de l'enfer... ''
Cet excellent titre n'est, hélas, pas de moi, mais de Gaëtan de Capèle, que je n'ai pas l'honneur de connaître, mais qui me pardonnera, je l'espère, ce petit emprunt qui résume bien le déroulé de la ''course à la mort'' dans laquelle nos maîtres-à-penser-de-traviole nous ont lancés, sans raison et sans justification autre que de croire que leur inculture profonde les autorise à détruire tout ce qui a marché pendant des millénaires, jusqu'à eux : ces idiots se croient plus malins que tout ce qui les a précédés sur terre. Ces lumières éteintes se persuadent qu'il y aurait eu, comme aurait pu le chanter Dutronc... ''Trois cents générations de cons absolus... et (puis) moi, et moi, et moi...''
(Nb : En réalité, c'est infiniment plus : si on prend comme point de ''départ'' de l'homo sapiens un reste fossile vieux de 200 000 ans, et si on divise 200 000 par 30 (=''une génération''), on se découvre pas loin de 7000 générations d'ancêtres communs à tous les hommes. Pas mal, non ?).
Le rapport des forces, en cette période de grande tristesse et de drames potentiels illimités peut se décrire conne suit : d'un côté, les fondements solides, éprouvés et démontrés, qui sont la base de notre civilisation occidentale, dite aussi (ce qui n'est pas sans intérêt) judéo-chrétienne (NDLR : qu'on ne lise pas, ici, ce que je ne pense pas : elle est loin d'être parfaite –qu'est-ce qui est parfait, sur Terre ?--, mais elle n'a cessé d'être et de se laisser améliorer, depuis quelque 2000 ans –et c'est d'ailleurs ça, sa plus grande force !).
De l'autre côté, plutôt face à face que ''en face'', un fatras d'idées à peine ébauchées, à la fois pétries et polluées de faux bons sentiments, de vrais mensonges dégoulinants de sensiblerie victimaire et de superficialité larmoyante : les idées soi-disant ''à la mode'' disent vouloir tout changer mais n'arrivent qu'à tout détruire. Pourquoi une immense majorité de français croit-elle malin de tourner le dos à tout ce qui serait bon pour elle et pour eux, et de brandir, plus ou moins, les poisons d'un futur sans espoir ?
A ma droite, donc, un ''corpus doctrinarum'' cohérent, pensé, logique, rationnel, ''cogité'' si vous me permettez... et à ma gauche, un amoncellement indigeste d'idées glanées au gré des événements, réputées apparemment bonnes, mais n'ayant jamais dépassé un premier degré d'analyse (càd du niveau du ''ressenti immédiat', et pas du tout du ''réfléchi''), dont pas une seule n'a été testée ni essayée avant sa mise en œuvre et qui, plus grave encore, n'a jamais fonctionné nulle part –j'insiste : nulle part, jamais ! Le résultat est épouvantable : un groupuscule de gens qui ne sont remarquables que par leur inculture, leur inaptitude à être conseilleurs, leur nullité ''XXL'' tous azimuts et leur inconséquence encyclopédique... a ou ont décidé qu'il était plus facile de se laisser glisser sur le sentier de plus grande pente que de lutter dans l'espoir d'un résultat meilleur.
Pour reprendre une image ''limite lieu commun'', il est plus facile de se laisser entraîner par le courant facile du ''changement pour le changement'' que de nager à contre courant –sauf que, ce faisant, on est sûr de ne jamais arriver à l'endroit où on avait décidé d'aller. Cette manière de refuser toute intelligence ne peut conduire que vers le néant de ces mortelles ''lois sociétales'', dans un premier temps, et ouvrir ensuite la voie vers une catastrophe totale et définitive --et nous sommes en route vers cet enfer qui a nom : la non-prise en mains de la dette... le refus de voir l'immigration en cours pour ce qu'elle est –une invasion... la trouille de reconnaître la vérité sur les drames nés de l'effroyable gestion de la crise prétendue ''du covid''... ou les folies en cours dans le traitement infantile de la crise ukrainienne... Autant de bonnes raisons de paniquer.
La situation, qui a été prévue, annoncée et répétée par pratiquement toutes les sources possibles, se résume à une prise de conscience brutale : notre ''le plus jeune Président jamais élu'' (NDLR : comme on aurait aimé avoir un adulte mature à ce poste, au lieu d'un gamin inexpérimenté qui offre, par caprice, ses joujoux nucléaires à n'importe qui, sans contrepartie !) vient d'avoir comme une espèce de révélation : ''la France est au bord du gouffre''... et il a l'air d'être totalement surpris de cette découverte (NB : sur laquelle même Moscovici, pourtant nettement plus stupide que la moyenne, attirait régulièrement son attention : personne, parmi les Nuls qui nous gouvernent –ou nous embrouillent, plutôt-- ne pourra jamais dire ''Je ne savais pas'' !).
Sans la perversité militante de quelques petits juges endoctrinés, c'est dès 2007 que, si on avait pris quelques petites mesures salvifiques, on aurait évité ce grand plongeon vars l'Horreur majuscule : François Fillon, le seul qui avait la stature voulue à ce poste, a été interdit d'élection... comme n'importe quel colonel de n'importe quelle république bananière, supplanté par un autre colonel tout aussi nul... Il ne restait plus qu'à laisser s'enfiler toutes seules les perles puantes de la doxa progressiste, c'est-à-dire toutes les conneries perverses qu'on nous a imposées sans la moindre raison, sous couvert de covid... et ensuite les folies indescriptibles d'une ''gestion de crise par des amateurs immatures''. Aujourd'hui, on ne peut que constater et déplorer l'étendue des dégâts et l'immensité du gouffre qui nous aspire !
La Cour des Comptes chiffre à 50 milliards minimum le montant de l'impasse financière à ''boucher'', si on veut avoir une petite chance d'échapper aux sanctions à venir des agences réputées insensibles aux gadgets de ces ''communicants'' qui font la pluie et le mauvais temps à l'Elysée... Le vrai courage serait de tailler ''pour de vrai'' dans le maquis (sciemment rendu inextricable) des prestations sociales, des subventions perverses et des soins gratuits à toute l'Afrique, a interdire le remplacement d'un ''ponctionnaire'' sur deux --sauf postes ''régaliens'' sous certaines conditions-- au lieu d'en embaucher 60 000 par an (Sarko... Réveille-toi : ils sont devenus fous !)--, et à sabrer dans ces services faussement prétendus ''publics'' dont l'obésité chronique est un frein à tout. On a là la preuve que les limites du système ont été atteintes : demander à des fonctionnaires de diminuer... le nombre de fonctionnaires, c'est idiot !
Mais rien de tout ça n'est ''dans les tuyaux'' : le déficit budgétaire 2023 ne sera pas, mais pas du tout, dans les clous : il erre ! Au lieu des 4,9% du PIB annoncés, on est à 5,6 %. ''Ouch !'', commente l'excellent site TTSO qui précise qu'un dîner de crise à l’Elysée a soi-disant brainstormé sur les moyens éventuels de colmater la brèche. Nos ''lumières éteintes'' n'ont trouvé que les imbécillités habituelles (habituelles, mais... mortelles !) chères à ''la Gauche la plus bête du monde'' : taxer les milliardaires... ou les superprofits... ou les retraités ! Ou plutôt –et ça sera la décision finale, dès le lendemain des ''européennes'' : les trois !
Pour le moment, la position officielle reste ''Non, pas d'impôts nouveaux'', ce qui est un mensonge de plus : personne, en France, n'a le moindre doute sur la manifestation permanente mais cachée des dangereux ''créatifs'' des Finances et sur la valeur morale de cette posture électoraliste ! Matraquage, gros mensonges, et les habituels arguments puant la ''moraline'' que la gauche aime tant, sont les nouvelles mamelles de l'ex-France, absorbée depuis par l'Europe... sans le moindre bénéfice pour personne. On était le peuple le plus lourdement taxé au monde ? Eh ! bien... qu'à cela ne tienne : un peu plus ou un peu moins, n'est-ce pas, vu de Bercy, ce cauchemar permanent, c'est bonnet blanc--blanc bonnet... ce qui est faux, bien sûr, comme tout le reste !
H-Cl.
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elinaline · 1 year
Note
D'un côté derrière Jeanne & son afterlife française, y a toute cette polémique sur une vision de l'histoire de France. La gauche (dont je suis heureuse de faire partie) a un peu abandonné l'histoire médiévale aux fachos. Pas dans le sens où "gnagnagnagna on a pas dignement hérité de nos canons historiques on est des cancres volontaires" mais dans le sens où on a abandonné toute identification historique avec le médiéval, mis à part les Jacqueries & deux trois artistes/penseurs (Louise Labé ou Triboulet par exemple). Il y a énormément de médiévistes de gauche, beaucoup plus que les fachos (merci à Philippe Ariès et à Foucault, entre autres) mais ils font une histoire sans "Roman National" sur cette période. On me dira que c'est très bien et que le roman national est une invention de la restauration/du second empire/de la troisième république et le creuset du nationalisme rance, et on aura raison. Seulement, il est illusoire de penser qu'à gauche on a pas notre propre Roman national, nos canons à nous (Marat, Robespierre, Hugo, Louise Michel, Jaurès, Léon Blum, j'en passe et des meilleures). Mais le fait de commencer ce Roman à la révolution et d'avoir le reste comme histoire "des petits" et "des artistes" avant avec une vision très universitaire des choses laisse un trou béant où la droite tradi n'a aucun problème à remplir le vide. Tout ça pour dire que je ne vois pas pourquoi Jeanne devrait leur appartenir plus à eux qu'à nous, et que leur arracher des mains ne me déplairait pas. La Jeanne Butch/Transmasc de Feinberg est pas plus conne que la leur
Au risque de me répéter pour la troisième fois, j'ai peut-être pas été assez claire, je dis pas qu'on devrait abandonner Jeanne d'Arc à l'extrême droite, je dis qu'elle est un symbole d'extrême droite ce qui veut dire qu'il faut être un minimum vigilant quand on partage des trucs en ligne pour pas littéralement partager des créations néo nazies sous couvert d'autre chose. Ça serait profondément hypocrite de ma part de me croire plus intelligent que Feinberg ou de dire que je n'apprécie pas l'utilisation du personnage pour le genderfuck de Gerard Way, mais j'ai vraiment littéralement vu des gens partager des publis de la droite catho traditionaliste et réactionnaire parce qu'ils avaient l'esthétique Jeanne d'Arc, et ce matin c'était une publi d'un mec avec une référence aux jeunesses hitlériennes dans son URL.
Être vigilant aux dogwhistle ça ne me paraît pas équivalent à abandonner quelque chose qui fait sens tu vois ce que je veux dire ? Et créer un Roman ça ne veut pas dire non plus complètement passer sous le tapis les autres significations d'une figure historique en tout cas je l'espère.
Je tiens à présenter mes excuses au préalable si le ton de ce message paraît sec, je sors d'ag pour voir que j'ai gagné des centaines de notif sur ma réaction au saut du lit et je suis carrément à court de spoons ^^" je parle sans animosité aucune et je pense que sur le fond on est d'accords
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grompf3 · 9 months
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"Mais c'est que les femmes sont aliénées !"
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Une petite anecdote sur le féminisme.
Ou plutôt une certaine conception du féminisme.
Un souvenir qui remonte à pas mal d'années. C'était le soir, j'étais dans ma bagnole, et j'écoutais Forum, une émission d'actualités et de débats sur la RTS (radio publique suisse).
Une politicienne genevoise, située à gauche de la gauche et connue pour son engagement féministe, était interviewée.
Cette politicienne, qui venait de se prendre une veste à une élection (élection au Grand Conseil, le parlement cantonal, si ma mémoire est bonne), parlait en mode "LES femmes veulent ceci", "LES femmes demandent cela".
Et la journaliste lui a posé une question.
Une question toute bête, du genre : "Mais comment expliquez-vous qu'il n'y ait pas plus de femmes qui vous suivent ?" (ou "qui vous soutiennent ?").
La question est pas conne, hein. Une politicienne passe à la radio, ne dit pas "je suis d'avis que" ou "selon moi, il faut", mais, systématiquement, "LES femmes veulent ceci", "LES femmes demandent cela".
Et, visiblement, il n'y avait pas tant de femmes que ça pour lui accorder leur bulletin de vote, à elle et à son parti.
Qu'a répondu notre brave politicienne ?
"MAIS C'EST QUE LES FEMMES SONT ALIÉNÉES !"
"Aliénées"
Voilà
Alors, oui, je sais que "aliénée", ça ne veut pas dire ici "bonne à se faire enfermer dans un asile".
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S'il y a des amateurs ou amatrices de philo qui veulent en profiter pour développer sous ce billet (ou ailleurs sur les RS), pas de souci.
Moi je ne vais pas m'improviser expert du domaine et je vais juste vous renvoyer vers Wikipedia.
Mais moi c'est l'absence de nuance et de doute, l'immédiateté de la réponse, qui m'avait frappé. Et tout cette logique qu'il y a derrière.
"M'asseoir sur un tabouret 5 minutes pour réfléchir et me demander comment ça se fait que ces femmes, au nom des quelles je prétends parler, n'en ait majoritairement pas grand chose à foutre de mes discours ? Hors de question ! Elles sont aliénées. Point."
J'y ai souvent pensé depuis que je suis sur les RS. Parce que dans la vraie vie, je rencontre pas ça.
Je dois venir traîner sur les RS pour voir passer certains discours. Pourtant, je bosse dans le social, en institution, dans un milieu majoritairement féminin et où je dirais qu'il y a une sensibilité "de gauche" assez marquée.
Je ne suis pas un golden boy à Wall Street, hein.
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Ce côté que se donnent certaines personnes pour parler au nom d'un groupe social, en mode "moi je suis éveillée, moi je sais, les autres sont aliénées", ça fait bcp de bruit, ça prend bcp de place.
Et surtout ça bloque tout.
"Pas question de perdre 5 minutes à dialoguer avec une de ces personnes au nom desquelles je prétends parler. Elles sont aliénées."
Je vais pas repartager des screens ici, mais je pense que plusieurs d'entre vous ont vu divers exemples, sur les RS, de ce qu'il se passe parfois avec ça.
Quand une de ces personnes, qui prétend exprimer la volonté DES femmes s'en prend à un mec, c'est facile : on balance l'accusation de "masculinisme toxique" (ou un truc du genre), et, éventuellement, on remet une couche sur le thème du "refus de remettre en cause le patriarcat".
Mais quand c'est une meuf la cible, c'est pas fondamentalement plus compliquée. Parce que la meuf qui s'accorde le droit de pas être d'accord, elle se retrouvera classée dans cette catégorie infamante, quelque part entre la trahison et la bêtise pure.
Alors vous aviez peut-être vu passer ces histoires de recours à des appellations de type "token meuf."
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Il y a aussi tout le discours sur "On sait bien que dans toutes les catégories d'oppressés il y a des individus qui se mettent du côté des oppresseurs."
Une fois (ça remonte à 2 bonnes années), j'avais même vu passer une de ces personnes qui, face à une interlocutrice qui exprimait son désaccord, s'était contentée de répliquer un truc du genre "ce que j'ai voulu dire était plus subtil, vous ne pouvez pas comprendre".
Vraiment la réplique bien hautaine, pour bien faire piger que l'autre n'avait pas le niveau.
Imaginez une seconde, que, moi, Grompf, je réplique un truc comme ça à une meuf.
Sérieusement, essayez d'imaginer ce que ça déclencherait.
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Je serais bon pour la damnation éternelle ! Mon cas serais réglé, j'irais brûler en enfer.
Mais là, non. Ça passe. C'est fait au nom du "féminisme". Alors c'est bon.
"MAIS C'EST QUE LES FEMMES SONT ALIÉNÉES !"
J'y repense parfois.
Elle est bien pratique cette logique, hein. Le mec qui me contredit est un horrible machiste. La nana qui me contredit est une aliénée.
Pas besoin de se creuser la tête
Pas besoin d'écouter.
Facile.
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tournesolaire · 8 months
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C'était vraiment trop trop chouette, ça m'avait tellement manqué
Je pense que je me lasserai jamais de ce sentiment, cette impression d'être à sa place, d'être vraiment heureux
On a tourné pendant plus de deux heures dans le village comme des gros débiles, on désespérait vraiment, on était à bout de nerfs et on arrivait pas à trouver (tout comme une vingtaine de camions d'ailleurs), mais aux alentours de 2h du matin ALLELUJAH ON EST ENFIN ARRIVÉS BORDEL et ça faisait TELLEMENT DE BIEN D'ÊTRE LA
J'ai passé les trois quarts de la nuit toute seule avec Kevin comme à chaque fois et c'était vraiment cool, il m'aidait a tenir debout quand j'étais un peu trop bourrée et moi je veillais sur lui et je rattrapais la bouteille quand elle tombait par terre
Cette nuit il a été "raisonnable", il a pris 2 gouttes de L et 3 pointes de K et puis au final il a revendu sa k, du coup il était bieeeeen mais ça allait, il avait juste des hallus cool
Je me suis surprise à beaucoup le regarder cette nuit, j'étais vraiment contente d'être avec lui de nouveau devant des caissons et même si maintenant il n'y a plus rien d'ambigu, l'alcool me donnait envie de l'embrasser (ce qui ne s'est évidemment pas passé)
Peut-être que je raconterai des petits détails de souvenirs au fur et à mesure qu'ils me reviennent
Ce matin je suis allée me poser un peu dans la voiture avec Kevin et j'ai fait une mini mini sieste, lui il pouvait pas dormir a cause des hallucinations du coup mais il s'est un peu reposé
Quand on est retourné au mur quelqu'un avait ramené des pains au chocolat de la boulangerie ???? Tellement adorable omg <3
On a vu pleiiiin de gens d'ailleurs, on a vu Enzo (le gars trop drôle que j'avais rencontré au Melt avec Thibault), un copain de Jay, Pops, Juju etc
On s'est fait des copains
Comme je suis débile cette nuit j'ai parié sur le fait qu'il n'y aurait pas les flics a la sortie ce matin, grossière erreur, du coup j'ai fumé un petit peu sur le joint de Kevin malgré ses multiples nons, alors quand ce matin on a vu le camion qui faisait camping a la sortie du chemin pour arrêter toutes les voitures avec tests alcoolémie et salivaire je me suis sentie vraiment conne
Ça a été tout un bourbier le moment de partir, in faisait que de reculer le moment fatidique, en plus on n'avait plus d'essence c'était vraiment n'importe quoi, on s'est retrouvé avec un énorme attroupement de gens autour de la voiture et tout le monde dessinait dessus (avec la poussière sur les vitres)
(je me souviens que quelqu'un a demandé à Kevin et moi si on était ensemble et ça me fait rire qu'on nous demande a chaque fois)
Le retour était chouette, on a été chercher de l'essence et pendant que je faisais le plein Kevin et Lila sont allés chercher a manger, ça faisait un peu ambiance film road trip c'était rigolo
J'aimerais garder pour toujours aussi cette image et ce coeur remplit d'amour et de joie que j'avais quand, dans la voiture, on avait les fenêtres ouvertes et on chantait tous en cœurs l'Hymne de nos campagnes, c'était vraiment beau
La famille m'avait manqué et je suis pas déçue de l'avoir retrouvée, même si ça me rend un peu triste de savoir que les prochaines fois ce sera sans Kevin a cause de son nouveau travail
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amyjeanledger · 2 years
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Tout ce que j'ai pas pensé à te dire.
Parce qu'on sait jamais, parce que ça nous tombe dessus, parce qu'on y pense pas. J'y ai pas pensé, je crois que j'ai juste, genre, pas pris en compte qu'un jour tu serais plus là. Et je me sens conne à t'écrire une lettre que tu liras jamais sur l'écran de mon téléphone. Je repense à la Somme, parce que je m'en souviens un peu, aux mardis soirs qu'on passait ensemble et je m'en veux d'en avoir loupé quelques uns, je m'en veux de pas être venue te voir aussi souvent que j'aurai dû, je m'en veux de pas être là avec toi, mais j'ai peur et c'est dur. Et se cacher ça rendra pas la chose moins réelle. Tu m'as tant appris, tu m'as tellement apporté et j'aimerais que ce jour n'arrive jamais et je sais que tu veux pas d'épanchements, que tu veux pas de beau discours, mais j'ai besoin de coucher ça quelque part.
Je culpabilise, beaucoup, et je te revois serrer ma main alors que je te raconte des conneries, je t'entends encore te soucier de tout l'univers que t'as créé autour de toi, de cette famille que t'as fédéré aussi, de nous tous, que t'as élevée. J'admire ta force, ta résilience, ta sagesse. Je t'ai jamais entendu te plaindre. Tu vois, Romain il te l'as dis, mais vraiment t'as été la meilleure, un modèle. J'aurai jamais pu rêver mieux que toi. Alors je suis reconnaissante au ciel, en lequel tu crois tant, d'avoir eu la chance, le privilège, que tu sois la a éclairer nos vies.
Y a tellement de choses que j'aurai aimé qu'on partage encore toutes les deux, te dire que je t'aime de vive voix, même si c'était pas tellement ton truc et même ça tu vois, tu vois t'as jamais eu besoin de le dire, tu nous a toujours irradiés de ton amour. T'en a chié, mais t'as jamais craché sur la vie. Tu me verrais là, tu serai pas fière, parce que j'ai pas ta force. M'effondrer comme un château de cartes parce que tu risque de plus être là. Je sais, je sais que c'est la vie, mais je peux te jurer que le premier qui me le diras, je vais lui casser les genoux. Parce que c'est nul, vraiment, vraiment super nul.
Je t'aime, je t'aime.
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borderlife-wtf · 2 years
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Solitude à deux
Comment vas-tu ?
Tres difficile de répondre à cette question ; j’ai deux bras, deux jambes, je respire, j’arrive à fonctionner sans larme ni état d’âme mais c’est justement le hic je devrais être effondrée, je devrais pleurer sans discontinuer, mais j’ai chaussé le masque d’Anonymous et je fonctionne : je débarrasse le lave-vaisselle, habille mon fils, emmène son frère au collège.
Je déteste cet état, c’est celui qui suit les grosses disputes, quand j’ai été profondément blessée mais que je continue à faire ce qui doit être fait : travailler, ranger, nettoyer.
Quand je réfléchis aux options possibles, elles sont restreintes.
Il m’a mis au pied du mur, « arrête de faire ta conne « , «tu as un rapport de merde à la vie, un rapport de merde à tes enfants, mais oui suicide-toi de toute façons on va tous mourir, tes enfants seront orphelins c’est parfait » Deux possibilités : il a conscience qu’il « prend un risque » que je suis capable de le faire et inconsciemment il cherche à provoquer une délivrance, car je lui pèse trop ; soit il pense réellement que je manipule ses sentiments en faisant du chantage au suicide.
Je devrais préférer la seconde option à la première, car quoi de plus terrible que de se savoir mariée à quelqu’un qui souhaite, même inconsciemment, me voir morte ? Eh bien dans mon cerveau de borderline seulement remplie par le regard de l’autre, que la personne la plus proche de soi puisse vous soupçonner de malhonnêteté alors que vous mettez tellement d’énergie à exprimer le plus sincèrement et le plus précisément vos pensées et émotions profondes, est insupportable ; vous êtes prise d’un vertige terrifiant, comme un petit enfant qui souffre et que l’on refuse de croire ; vous êtes niée. Combien de fois ais-je tenté de mourir et quelle souffrance de constater que ça n’a pas fonctionné. L’envie réelle et sincère de mourir donne-t-elle pour autant le courage d’avoir physiquement mal par une mort violente plus efficace ?
Et comme vous êtes une coquille vide, vous ne pouvez même pas vous apaiser en vous recentrant sur ce que vous savez de vous puisque à l’instar des autres malfaisants vous ne vous croyez pas vous- mêmes.
Cette phase aussi je la déteste, quand au lieu de panser vos blessures et d’estimer que vous êtes victime d’une situation conflictuelle où vous avez certes votre part de responsabilité, mais l’autre se montre gratuitement méchant, vous vous passez au crible d’un réquisitoire intérieur : vous vous soupçonnez : comme je suis coupée de mes émotions souvent je ne les découvre que lorsque la colère explose ou les cris jaillissent. Alors quand je suis dans une phase « neutre », je suis incapable de savoir ce que je ressens : je dois donc simuler des discussions intérieures entre un procureur m’accusant de tous les maux et un avocat pour voir qui a les arguments les plus probants.
Souvent je regarde l’autre, et je culpabilise de ses difficultés, des torts que j’ai pu avoir, de la peine qu’il doit ressentir même sur des sujets totalement extérieurs à notre conflit – Alors je mets un mouchoir sur ma peine et mon immense solitude.
Quelle plus grande souffrance que de souffrir sans que personne ne le sache ?
Oui c’est puéril ce besoin de hurler ma douleur, de confronter le monde à ma colère, de l’obliger à affronter le torrent de mes larmes ; mais là encore il faut se nier pour épargner l’autre.
Accepter de répondre à des appels de proches qui veulent prendre de vos nouvelles sans vraiment savoir comment vous allez.
Si je m’écoutais je couperai les ponts avec tous ceux qui ne peuvent absorber ma réalité pour qu’en plus de terriblement souffrir, je ne dépense pas d’énergie à rassurer les autres qui ne veulent pas vraiment savoir, juste être rassurés, même à tort…
Déjà ils aimeraient que j’aille bien, c’est une gentille attention et je dois leur en être reconnaissante –
Il trouvait notre engueulade pathétique, car nous étions dans un endroit sympa, festif et que, incapable d’être heureuse je « faisais ma conne » ; factuelle ment j’étais juste agacée qu’il n’ait pas appelé notre fils pour savoir s’il dormait chez un ami ou non, mais il a du estimé que mon agacement était l’énième de trop, dans une journée, dans une vie, alors de toute sa condescendance il m’a conseillé d’arrêter de faire ma conne et de profiter ! – Cette injonction m’a semblé contradictoire : comment profiter d’un moment partagé avec quelqu’un qui estime qu’on est conne ?
Le problème quand vous êtes viscéralement attachée à l’honnêteté intellectuelle et que vous passez votre temps à vous remettre en question car vous avez une très mauvaise image de vous, c’est que l’autre ne se donne pas le quart de la moitié la même peine. Il ne s’embarrasse pas, lui, à se demander s’il n’est pas malhonnête ; non il donne libre cours à son regard unilatéral sans remise en question et avec une profonde impression d’avoir raison.
Je l’envie.
Si Dieu existe, alors je dois faire passer les autres avant moi quel que soit le prix à payer, même si ca veut dire me taire et encaisser le reste de ma vie ; la religion prétend que Dieu aime infiniment chacun d’entre nous mais si je suis en conflit avec les autres je dois me faire passer après, on nous enjoint d’aimer les autres comme nous-même mais dans le fond on nous demande de ne pas nous aimer suffisamment pour nous protéger de ceux qui nous font souffrir, on nous interdit un égoïsme salvateur et auto protecteur.
Je n’ai pas le droit de quitter le foyer, de divorcer, de laisser mes enfants. Et de toutes façons pourquoi faire puisque seule je n’existe plus ?
Seule, je regarde le plafond pendant plusieurs heures d’affilée en me demandant ce que je devrai ou aimerai faire.
Jusqu’à quand peut-on vivre en étant si profondément malheureux ? Je hais mon travail, je vis avec un conjoint avec qui je me déchire depuis 20 ans, j’élève des enfants qui m’épuisent et ne sont pas très attachés à leur mère dépressive et gueularde, je n’ai aucun ami, ni activité, ni cercle social, ni psy, ni traitement, je suis dans une solitude et un dénuement extrêmes.
Mon amie, ma sœur, toi qui n’existe que dans mes rêves, je t’appellerais et sans dire un mot, tu saurais, alors tu laisserais tout et tu me rejoindrai, toujours sans parler on se prendrait dans les bras, et le reste du monde pourrait bien aller se faire voir !
Puis les mots viendraient dans la confiance de se savoir aimée, comprise dans son intégralité, les nœuds se déferaient, la sœur transperce la forme du discours colérique ou larmoyant pour comprendre le fond. Alors une fois confessée, le cœur allégé d’avoir pu exprimer, j’écouterai celle dont les conseils seraient forcément les bons puisqu’ils reposeraient sur une réelle compréhension.
Alors je n’aurais plus besoin d’être ma propre sœur, exercice rendu impossible par la détestation profonde de ce que je suis.
Alors je pourrai pardonner celui qui m’a blessé sans me sentir niée.
Je trouve vertigineux l’écart abyssal entre les libertés dans l’absolu qui pourraient être les miennes et le carcan de non choix qui m’oppresse.
Je pourrais faire mon sac, aller à la gare, me réinventer, me planter, dormir dans la rue, partir et voir ce qui se passe.
Mais le crédit de la maison, les enfants, …
Ils ne sauront jamais l’immense sacrifice qu’on a fait en restant ensemble pour els épargner, on eux estimeront seulement qu’on n’a accepté de vivre médiocrement sans joie et sans amour. Deux râtés qui n’ont pas su imaginer autre chose.
Ultime sacrifice que celui qui ne se saura jamais!
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e642 · 5 months
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Bon. Faut faire un point là. Hier soir je sors de 10h de BU avec ma famille nombreuse (groupe de projet). J'ai eu l'impression d'être super nany trop grave, jme suis pris la tête avec une d'elles aussi. En même temps c'est possible d'être aussi conne ? C'est bien la seule à s'étonner d'avoir redoubler 2 fois. Fr en 4 ans t'es allé jusqu'en L2, moi en 4 ans, jsuis allée en L2 d'une autre filière après avoir eu une licence. Dsl je rage mais elle rend fou a pas réfléchir, à croire que c'est payant. Je sors à 19h et là je capte que j'ai 2500 trucs à faire avant demain. Car demain, donc aujourd'hui, je rentre chez mes darons pour les vacances de Noël (j'ai trop hâte de voir ma tante alcoolique pour le 24 et 25, son taux d'alcoolémie me manque trop -non-). Évidemment étant adulte maintenant et loin, faut tout ranger, laver, préparer la valise, tout débrancher, couper l'eau, jeter les poubelles ect. + J'avais d'autres trucs à faire et à penser à surtout pas oublier. Donc jdors pas, jme prends un coup de speed monumental et jcommence à penser a plein de trucs: jpensais à prendre le train plus tôt pour faire une suprise à mon mec et arriver en avance chez lui sans le prévenir après jme suis demandée s'il méritait vraiment que jme casse le fion à ce point, jsuis arrivée à la conclusion que non. Ensuite, jme suis demandée pourquoi moi je le trompais pas, est ce que c'était par conviction et respect ou est-ce que j'avais juste pas eu d'occasion. Je tairai cette conclusion. Après jme suis demandée si ma mère m'aimait puisque les remboursements de ma mutuelle arrivent sur son compte et qu'elle veut pas me passer mes 150€ investis en échographies, et examens. Pk elle me laisse dans la merde ? Après jme suis rassurée sur les cadeaux que j'allais pas offrir ou ceux qui seraient nazes car mon mec m'offre le mien aujourd'hui, selon le niveau je pourrai aviser, ça m'a soulagée, j'espère il m'a rien offert de fou. Après j'ai pensé au fait que les partiels c'est bientôt et que la seule chose que j'ai fait à peu près bien c'était m'assoir en amphi mais rien d'autres. Bref ça m'a pris du temps de penser à ça. Donc j'ai pas dormi en fait. Là je commence à tout ranger et tout faire niquel. Comme j'suis folle, je prends tout en photo: la porte fenêtre fermée, les multi prise bien éteintes, l'eau coupée, la porte fermée (ça me permet de pas angoisser pour rien). J'arrive à partir pour le train en avance j'suis contente, puis, sur le chemin, le premier tiers je pense, j'ai une pensée intrusive : "dis meuf tes sûre de pas avoir laissé le gaz allumé par hasard ? T'sais que tout pourrait exploser et t'aurais aucune assurance parce que ce serait juste de ta faute grosse merde, va voir". Après réflexion je cède. Je cours à mon appart. Et ce n'est que dans l'ascenseur que j'ai réalisé 2 choses:
j'ai des plaques à induction
jvais rater mon train
Voilà. Jen peux plus.
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aylieheals · 4 months
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J'ai toujours pensé que c'était difficile de changer mais que cela était rendu possible lorsque l'on ressent au plus profond de nous même que cela en vaut la peine. Lorsqu'on se remet en question, qu'on regrette, qu'on admet que l'on a pu avoir tort. Le plus dur est probablement d'admettre que l'on s'est trompé. Maintenant j'ai compris que cela ne sert à rien de se remettre en question. Ma mère m'a dit, arrête d'être si binaire, arrête de voir le monde en noir ou blanc, accepte les nuances de gris, personne n'est parfait, tout le monde fait des erreurs, en vaut-il la peine ? Quelle conne ai-je été pour l'écouter. Je pense que ses conseils m'ont définitivement fait perdre foi en l'humanité. La seule fois de ma vie où j'ai décidé de faire le premier pas et de retourner en arrière ne m'aura fait que le regretter. Il ne faut penser qu'à soi dans ce monde et être égoiste quoiqu'il arrive. Je n'essaierai plus jamais de faire des concessions car les autres n'en feront de toute évidence pas. Les gens ne sont que déception. Je ne changerai plus d'avis sur la question.
Je le déteste, du plus profond de moi. C'est sûrement mieux comme ça, c'est plus facile d'oublier, de passer à autre chose, de le remplacer, de trouver mieux. J'ai confondu seconde chance et perte de temps. Et par seconde chance, je ne disais pas "lui donner une seconde chance" mais "donner une seconde chance à ce nous", à tous ces bons moments passés, à ce qui m'a rendu heureuse. J'efface définitivement tous ces moments de ma mémoire, ils étaient fake, ils n'étaient que mensonge, ils n'ont jamais existé, comme lui n'existe plus pour moi et n'existera jamais plus. Peu importe ce qu'il devient ou ne devient pas, ce n'est plus mon combat. Je voulais enfin me focaliser sur les bonnes choses en lui, sur tout ce que je ne recherche pas et qui pourtant pouvaient être positives, me donner du temps pour comprendre, pour découvrir d'autres de ses facettes et enterrer celles dépressives et anxieuses, avec des horaires foireuses, essayer de faire marcher tout ça quoi, malgré les troubles, l'instabilité, je pensais être prête à surmonter ça, partir en week end, sortir, aller au musée, acheter un set de legos, se promener en ville, essayer les vêtements les plus laids possibles dans les magasins, tout simplement arrêter de voir ce côté si noir en lui. Je regrette d'avoir été si positive pour une fois, la positivité me réussit mal, quelle idiote j'ai été de penser que j'aurais la force et le courage de faire arrêter quelqu'un de broyer du noir alors qu'il se morfond depuis des années et s'engouffre dans des profondeurs indicibles. Je préfère rester pessimiste, c'est une sorte d'auto protection en réalité. J'y ai pourtant cru. J'y ai réfléchi. J'ai eu tort, encore. Les bons moments passés ne pèseront jamais autant dans la balance que le poids de la déception et de la frustration. Cela m'ouvre enfin les yeux, il n'en a jamais eu la réelle envie, ni le courage, ni la force, ce n'est qu'un mytho, pour agir comme ça. Il n’avait aucun sentiment, il profitait juste du moment, il ne faisait que mentir. Quelqu’un qui a vraiment des sentiments ne give up pas comme ça. A croire qu’au final j’en avais plus que lui. Que c’était juste un terrible hypocrite qui prétendait de jolies choses jusqu’au jour où elles se présentent réellement à lui et qu’il ne peut alors que fuir. J'aurais du comprendre qu’il avait un problème c’était évident à prendre du tertian comme Ghislain le fou, c’était sous mes yeux, j’étais aveuglée. Il se sentait probablement juste seul et essayait de combler un vide. Il aurait pu le combler avec n’importe qui, la première venue. Dommage que ce soit tombé sur moi.
C'est peut être enfin le calme après la tempête.
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channetti · 5 months
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Mes amis m'insupportent en ce moment depuis longtemps.
Je ne suis libre de rien. Je ne suis pas libre de faire, de penser, de dire, de prévoir, d'espérer... c'est étouffant. Mes amis ne me foutent jamais la paix sur rien. Je veux partir en weekend ? Ah oui mais ça fait 2 semaines qu'on s'est pas vu... Je veux partir en voyage ? Ah oui mais avec moi tu dis toujours que t'as pas les moyens... Je veux fréquenter un nouveau mec ? Ah oui mais tu le fais passer avant tout le reste... Je veux dire que j'en ai marre des attardés mentaux du village ? Ah oui mais tu rejettes toute notre culture maintenant aussi... Je ne suis pas d'accord avec ce que tu penses ? Ah oui mais tout ce que je dis c'est de la merde pour toi... J'ai pas envie de te rendre ce neuf cent quatre-vingt-sixième service parce que ça m'arrange vraiment pas du tout ça me met limite dans la merde ? Ah non mais pas de souci je vais dormir dans la rue c'est pas grave...
Le pire dans tout ça, c'est ce que c'est de ma faute. Je les ai laissés avoir ce genre de comportement avec moi et maintenant ils pensent que c'est normal. Et aujourd'hui si je changeais, si je disais "non", ils penseraient que je suis manipulée par quelqu'un d'autre, car je suis désormais en couple avec un homme qui a plus de caractère que moi et qui sait se respecter donc si je faisais la même chose ce serait forcément sous son influence, car je n'ai pas de volonté propre. Je ne suis qu'un chiffon. Un chiffon peut-il décider par lui-même s'il n'est pas contrôlé ? Bien sûr que non.
Au départ, le mépris que m'inspirent mes amis mes bourreaux me rend folle de rage, et puis je réfléchis à mon sujet, et là je me sens abattue, car en fait je suis faible. Ce ne sont pas les pervers narcissiques et autres sociopathes de ma vie que je dois blâmer mais simplement moi-même. Espèce de chiffe-molle, honnêtement tu l'as bien mérité. Tu n'avais qu'à être un peu moins conne. Tu laisses la vie te rouler dessus comme un cafard trop lent qui traverse la chaussée. On n'a que ce qu'on mérite. "Oh, s'il vous plaît ! aimez-moi, aimez-moi !" C'est lamentable.
Mais malgré la répugnance que je m'inspire, je reste convaincue que si quelqu'un doit aller en thérapie pour le bien de nos sphères sociales respectives, c'est eux avant moi. Je suis peut-être une merde, mais eux sont tarés.
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onmyweed · 6 months
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Mercredi 9 août 2023.
Kingston Upon Thames.
Point de vue de Joseph.
- Reveilles toi gros con. J'entends la voix de Finn, mon frère.
Je remet ma tête sous ma couette.
- Lâches moi, j'ai mal à la tête.
J'entend des bruits de bouteilles en verrez, certainement celles que j'ai vu hier soir.
Je sortis ma tête de la couette et vis effectivement Finn avec ma bouteille de vodka vide à la main.
- Je vois ça. Il jette la bouteille dans la poubelle de ma chambre d'une manière assez vulgaire. Viens, on a des trucs à faire aujourd'hui.
- Non, je reste ici.
- Joseph Michael Cole n'est pas d'humeur pour sortir... Il me regarde d'un oeil étrange, et je n'aime pas ça.
Le démon de minuit t'as piquer, ou c'est le fille que j'ai vu dans la voiture avec toi hier qui t'as piquer ?
- Putain mais ferme la, j'ai trente quatre ans, j'ai plus besoin de baby-sitter.
Je lui lance mon coussin dans la gueule, mais ça le fait rire plus qu'autre chose.
- Donc, c'est cette fille. Mais tu sais quel âge elle a ?
Merde. Finn marque un point. Quel âge a Alaé ? C'est vrai qu'elle paraît jeune maintenant que j'y pense.
- Elle est majeure, c'est déjà pas mal.
Enfin j'espère.
Il faut que je demande à Alaé quel âge elle a, car je ne peux pas lui faire faire le tapin si elle est mineure, et je n'aurais meme jamais du coucher avec elle sans savoir son âge... Mais elle m'a comme hypnotisé, peut être car on se ressemble physiquement, ou bien mentalement, ou alors parce que je la sens dangereuse et impossible à impressionner.
Malheureusement pour elle, à ce jeu là, je suis le plus fort et personne ne peut m'égaler, parce que moi aussi je n'ai peur de rien et comme elle, je n'ai plus d'âme depuis bien longtemps.
Alaé m'a rembarrer hier, je n'ai pas apprécier, et donc pour ça, elle sera ma pute.
- Oh oh je te parle !
Finn était à présent assit sur mon lit.
- Mais lâches moi !
- Il faut que tu prennes tes médicaments.
- Je les emmerde ces médocs de merde, ils me bouffent le cerveau, j'ai pas besoin de ça.
- C'est pas plutôt toute la came que tu prends qui te bouffe le cerveau ?
- Vas te faire foutre, et dégage.
Finn ne dit rien de plus et finit par partir. J'espère qu'il ne va pas entrer dans la deuxième chambre parce que Alaé est censée être là.
Je me lève enfin de mon lit et enfile un caleçon, je prend la clé de la deuxième chambre que j'ai préalablement fermée au cas où une certaine petite baggareuse aurait voulu partir pendant la nuit.
Quelle pute. Je me sens énervé quand je pense à elle. Peut importe.
J'ouvre la porte de la chambre avec la clé.
Personne.
J'aime pas ça, mais vraiment pas du tout.
Le fenêtre est ouverte, je cours directement vers cette dernière. Il y a un espèce de traillage à côté de la fenêtre, et elle a du descendre par là.
Je ne sais pas pourquoi mais je me met à rire, les nerfs. Oui, c'est les nerfs.
Cette petite garce a descendu quatre étages en passant par la fenêtre.
J'avoue que je suis responsable pour ce coup-ci. J'ai été faible. J'ai coucher avec elle car je la trouvais attirante, mais je l'ai enlevée pour rien, elle m'avait simplement croiser au pub, ça aurait pu s'arrêter là, mais moi, comme un con paranoïaque j'ai penser qu'elle m'avait reconnue et qu'elle allait me balancer alors qu'il n'y avait aucune raison.
En revanche, maintenant c'est différent. Je l'ai séquestrer toute la nuit chez moi, elle aurait de bonnes raisons d'aller balancer.
Je prend mon téléphone portable et appelle Josh.
" - Oui mec
- Josh je veux que tu me mette trois hommes devant le commissariat, trois autres devant la gendarmerie pour toute la journée. Si ils voient une fille blonde, les yeux bleus avec pas mal de tâches de rousseurs, ils vont la voir pour lui demander son nom et si elle dit qu'elle s'appelle Alaé vous me la ramenez, saine et sauve.
- Ok pas de soucis"
Je raccroche et pars m'habiller. Après ça, je tire trois traces de blanche et me met en route.
Je prend mon téléphone portable et rentre dans mon application Gps. Cette petite conne pensait vraiment que j'étais un amateur.
Quand elle s'est engueuler avec justement Josh hier au pub, son téléphone était posé sur le comptoir. José, le barman s'est simplement contenté de le prendre et de rentrer une petite puce microscopique dans l'appareil et le reposer sur le comptoir comme si de rien n'était.
Quelque chose m'échappe, mais quand Alaé est rentré au pub et qu'elle n'a vu que des hommes, pourquoi n'a-t-elle pas fait demi tour ?
Parce que c'est une grosse salope.
Oui, bonne déduction.
Le téléphone de Alaé capte vers Bristol.
Je me met en route jusqu'à la petite ville qui a bercer ma jeunesse, j'en ai fais des conneries à Bristol, bien que j'en fasse encore ici aussi, et même 15 ans après.
Je m'allume une cigarette.
Pourquoi je ne l'ai simplement pas laisser partir libre ? Il a fallu que je fasse le con.
Tout ça pour avoir raison une fois de plus.
Quand je vais retrouver Alaé, je vais la niquer, dans tous les sens du terme.
Elle ne peut pas m'éviter, je sais exactement ce que je fais, et elle ne m'echappera pas.
Comme l'a dit mon frère, j'ai des pulsions à tendance un peu obsessionnelles. J'avoue que la plupart du temps, mes obsessions se tournaient plutôt vers les fils de pute qui voulaient ma peau, que ce soit les flics, ou bien les autres. Mais là c'est différent. L'objet de mon obsession est une fille, qui je l'espère, est majeure.
~~
J'arrive à l'adresse où est censé être Alaé. C'est un parc.
Je la vois, il est midi et il n'y a personne dehors. Seulement elle, assise sur un banc, dos à moi.
Je m'allume une cigarette et avance doucement vers elle.
Je m'asseois à côté de Alaé. Elle tourne la tête vers moi, et se recule légèrement.
- Ne fais pas semblant d'avoir peur, tu n'as pas peur. Je lui dis, et elle hausse les épaules.
- Comment tu m'as retrouver ?
- Secret professionnel.
- Pourquoi tu es là Joseph ? Il faut que j'aille faire la pute dès maintenant ?
- Étant donné que tu t'es barrée en pleine nuit par la fenêtre je devrais te faire tapiner immédiatement, mais en réalité tu ne m'as rien fait, alors je ne te ferais rien faire.
Mais qu'est-ce qu'il m'arrive ? C'était pas du tout ce que j'étais censé lui dire.
- Merci. Elle me dit sans pour autant me regarder.
Pourtant, moi je la regarde. Ses yeux mauvais, sa bouche tirée. Elle me fait beaucoup penser à moi. C'est une tête brûlée.
- Tu as quel âge ? Je lui demande.
- Dix neuf ans.
Ouf. Un soucis en moins. Et toi ?
- Trente quatre.
- Avec ta gueule d'ange, je me demande comment c'est possible que tu sois aussi mauvais. Alaé venait de me clouer sur place.
- Je pourrais te retourner le compliment, on se ressemble physiquement, et pourtant tu as l'air aussi mauvaise que moi à l'intérieur.
- Je suis très mauvaise.
Elle sourit tout en regardant au loin.
- Tu as manger ? Je lui demande.
- Non.
- Viens. Je me lève du banc et lui tend ma main. Elle la prend directement et se lève.
- J'ai la voiture de Tabatha.
- On ira la prendre après, viens dans ma voiture.
Elle ne dit rien et me suit.
Je me gare devant le B.C Bristol. C'est un street food.
- Tu connais ici ? Elle me demande.
- Tu aimes quoi comme hamburger ?
- Avec du cheddar et du boeuf.
- Et la boisson ?
- Un coca.
- J'arrive.
Je sors de la voiture et entre dans l'enseigne.
Point de vue de Alaé.
Pourquoi Joseph me fait-il autant d'effet ? Lorsqu'il est près de moi, je ressens des sortes de frissons et pourtant dieu sait que je ne l'apprécie en rien... Mais mon corps et mon cerveau m'indiquent le contraire.
Quand je repense à la manière dont nous nous sommes touchés hier, mon coeur palpite. C'était comme si on s'était toujours connus, comme si nos corps se connaissaient. C'était magique et hors du temps.
Mais dès lors que nous avions fini, il avait reprit son regard froid et méprisant.
Dix minutes plus tard, Joe revient avec la poche de nourriture.
Il me donne ma boîte avec mon hamburger et ma boisson. Je croquais dedans.
- C'est super bon ce truc. Je dis, la bouche pleine.
- Le meilleur de Bristol.
- Tu connais ici ?
Je demande et Joseph hoche la tête.
- J'y ai pas de très bon souvenirs, mais oui je connais bien.
- Quels mauvais souvenirs ?
- C'est pas ton problème ça.
Son sourire a toujours l'air de cacher quelque chose, c'est très intriguant.
- Pourquoi tu me regarde comme ça ? Je lui demande.
- Je peux te retourner la question ?
- Et je serais assez intelligente pour ne pas te répondre.
Nous sourions.
Je finis mon hamburger et mon coca dans le silence et m'allume une cigarette.
- Merci, c'était très bon. Je lui dis.
- Pourquoi tu es venue jusqu'ici ? Me demande Joseph.
- J'ai rouler sans vraiment savoir où j'allais.
- Ta grand mère sait que tu es là ?
- Oui, j'ai la permission de vingt heures.
- Tu n'as pas eu peur de mettre ta grand mère en danger en partant de chez moi?
- Tu n'as pas une tête de tueur de mamie, puis je sais que tu la connais.
- Je connais tous le monde ici.
- Tu connais quarante mille personnes ? Ça m'étonnerait.
Je riais.
- Pas mal d'entre eux en tous cas.
Il sort de sa voiture et part au guichet de retrait en face de nous.
Cette banque a l'air sinistre et abandonnée, mais elle ne l'est sans doute pas puisque le guichet marche.
D'ailleurs je devrais peut être payer mon repas à Joe.
Lorsqu'il reviendra je lui dirais.
Il est au telephone. Il est habillé en long manteau marron avec un jean noir et une chemise blanche en dessous.
Il était beau, merde, vraiment beau, et puis le charme, c'est ce qui fait la beauté d'un homme, et je le trouve très charmant.
Il raccroche le téléphone et revient dans la voiture.
- Je te ramène à la voiture de ta grand mère et tu me suis pour rentrer jusqu'à Kingston.
- Ok.
Il démarre la voiture et nous faisons demi tour pour revenir à la voiture de Tabatha.
On arrive rapidement devant le parking qui mène au parc.
J'allais sortir de la voiture mais Joseph me prend par le poignet.
- Tu penseras à changer ton pansement. Il me dit. Je touche mon front et ressens encore une lourde douleur, j'avais presque oublier que j'avais ça au front. Je devrais penser à prendre une douche.
- Tu veux que je te paye mon repas ?
Joseph met sa main gauche sur ma nuque et rapproche mon visage du sien brusquement.
- Ne viens plus au bar de hier, c'est dangereux. Il me regarde dans les yeux.
- Mais moi j'ai peur de rien.
Ses yeux brillent, ils sont scintillants.
Il déplace sa main gauche sur ma joue et caresse cette dernière avec son pouce.
- Je sais pas ce que tu m'as fais, et j'aime pas ça. Il embrasse mes lèvres, doucement, avec plus de tendresse.
- De toutes façons, on ne va plus se voir non ?
Je parlais doucement, pourquoi ? Aucune idée. Les yeux de Joseph étaient tellement troublants...
- Non, normalement on se reverra pas. Il dit, et je hoche la tête.
- Alors salut.
- Ouais, salut.
Je sors de la voiture et me dirige vers celle de Tabatha.
Je sors un pochon de beuh et me roule un petard.
Ce jeune que j'ai vu sur l'aller pour Bristol était sympa, je lui ai donner vingt livres et il m'a donner dix grammes. Je pense qu'il voulait me draguer, et que c'est pour ça qu'il m'a offert au moins cinq grammes gratuitement. Tant mieux, je ne reverrais jamais ce garcon, mais au moins j'en ai profiter sans même le vouloir.
Je pourrais me faire à ce pays, tout est tellement différent. L'ambiance, les magasins, les pubs, les garçons...
Joseph n'est toujours pas parti. Je sais qu'il m'a dit que je devais le suivre jusqu'à Kingston Upon Thames, mais j'ai un GPS sur mon téléphone, je peux y aller toute seule.
Je finis mon roulage et allume le joint ainsi que la voiture, Joe aussi démarre et passe devant moi, je le suis donc.
En même pas 48 heures j'ai coucher avec un bandit, j'ai failli me faire tuer par un ami à Joseph, et en plus, j'ai été à Bristol.
À vrai dire, je pense que c'est la cocaïne qui me fait tenir, bien que j'en ai pris seulement hier. L'effet commence à se dissiper, je sais que quand je vais dormir, ça va être une journée entière, car j'ai beau n'avoir peur de presque rien et avoir une grande gueule comme un homme, mais je suis avant tout humaine et donc je me fatigue à un moment.
Je vois Joseph rouler en face de moi, je suppose qu'il m'a dit de le suivre car il connaît des raccourcis que j'ignore. Il m'a dit qu'il connaissait bien Bristol donc cette ville ne doit avoir aucun secret pour lui.
Je tirais sur mon joint, er continuais la route tout en écoutant les diverses musiques qui passent à la radio.
~~
J'arrive en bas de chez Tabatha, et je vois la voiture de Joseph se garer à côté de moi.
Il sort de sa voiture.
- Je voudrais bien ton numéro, si tu veux ?
- D'accord.
Il s'approche alors de moi et je lui épèle mon numéro de téléphone.
Il me regarde.
- Merci, bonne soirée.
- Toi aussi Joe.
Je rentrais chez Tabatha sans me retourner.
Je lui plais, c'est sur que je lui plais. Il me plaît aussi. Mais je ne veux pas commencer quoi que ce soit avec qui que ce soit. Je ne ressens rien, et l'amour est un poison, les relations en elles-mêmes sont des poisons. Je ne peux pas laisser ça arriver.
Je ne saurais l'expliquer, mais quelque chose en moi adorerais revoir Joseph. Ça fait tellement cliché d'être sous le charme d'un homme mysterieux et qui plus est, imprévisible. On dit que les opposés s'attirent, mais deux êtres qui se ressemblent autant mentalement que physiquement, que dit-on de ces gens là ?
Je n'en sais rien... En fait, en ce qui concerne cet homme je ne sais rien, je suis totalement perdue.
Finalement, je n'aurais pas dû sortir. Ça ne m'a apporter que des ennuis. Pourquoi est-ce que je ne peux pas être comme toutes ces filles, aller au lycée, avoir un petit copain que je verrais au café le plus proche pour qu'on révise ensemble ? Pourquoi je ne peux pas être ce genre de fille qui a un copain parfait, un travail ou des études parfaites ? Quelques fois, je me dis qu'être différente c'est une chance, et puis la seconde d'après, je me dis "j'en ai rien à foutre putain" . Alors je ne suis jamais vraiment avancée.
Dieu a décider de me créer ainsi, c'est bien pour une raison. Je suppose.
J'entrais chez Tabatha, qui m'attendait devant la porte telle un gendarme.
- Qu'est-ce qu'il se passe ?
- Hier, Joe vient presque pour t'enlever, ce matin tu rentres et tu me dis que tu t'es enfui par une fenêtre, et maintenant je te vois avec lui, rigoler et faire je ne sais quoi d'autre.
Tabatha, elle par contre, ne rigole pas cette fois-ci.
- Je suis revenue entière, c'est ce qui compte non ?
- Ce qui compte ce n'est pas que tu reviennes, c'est que tu ne partes pas, et encore moins avec ce garçon-ci.
- Je sais que ça peut te paraître étrange, mais il n'est pas mechant Tabatha, et puis je suis rentrée à l'heure, sans égratignures.
- Tu es défoncée, tes yeux ne voient même pas correctement ! Je t'ai fais confiance et je n'aurais pas dû, je pensais que ta mère exagérait, mais tu arrives toujours à te mettre dans des situations périlleuses, alors maintenant tu vas dormir et on en reparlera demain.
Je ne demande pas mon reste et pars dans la chambre qui m'est attribué. Qu'est-ce qu'il fallait que je lui dise ? Que ce qu'elle raconte est faux ? Que je n'attire pas les problèmes ? Ce serait mentir. Depuis aussi loin que je me souvienne, ma grande gueule m'a souvent amenée à me retrouver dans des situations embarassantes.
Je devrais apprendre à me la fermer, mais je ne peux pas, la parole est mon système de défense. Si je perd cette parole, je perd aussi une partie de moi. Je me sentirais vide sans elle.
Je prend une cigarette de mon paquet, déjà presque vide. Je l'allume et regarde par la fenêtre que je viens d'ouvrir.
La pluie s'est arrêter, et je finis ma cigarette dans le calme et dans mes pensées.
- Tabatha ! Je peux prendre une douche ? Je demandais en criant presque pour qu'elle m'entende.
- Oui, et débarrasse toi de cette odeur de cul.
Outch. Je ne connaissais pas Tabatha sous cet angle. Elle peut être assez mauvaise finalement.
J'entre dans la salle de bain. Elle était assez petite et la baignoire est ancienne, bien que très propre. Tabatha prend soin de cet appartement mais les murs sont à démolir, et les meubles à changer. Cet appartement pourrait avoir un potentiel, même la salle de bain est assez grande.
Je me déshabille et entre dans la baignoire.
Au moment où je me nettoyais, je me rend compte que je me debrasse en même temps de l'odeur de Joseph, c'est comme si j'enlevais l'empreinte qu'il avait laisser sur ma peau.
Je me nettoie rapidement et sors de la baignoire avant d'attraper la serviette rose en face de moi et de me sécher.
Putain de gouttes qui glissent sur mon dos.
Je ne supporte pas ça. J'ai horreur des cheveux mouillés.
Je me sèche à la va vite et met ma tête en avant d'enrouler ma serviette autour de mes cheveux, et transformer cette dernière en un espèce de turban.
J'entend Tabatha discuter, elle doit être au téléphone. Je décide de coller mon oreille à la porte de la salle de bain.
Je ne peux pas ouvrir, elle n'est pas loin derrière et je me ferais prendre. Tout est plus intéressant lorsque l'on écoute les gens sans qu'ils le sachent.
" - Moi aussi Richard... / Non, chez moi ce n'est plus possible / Parce-que Alaé et Joseph sont en contact / Oui, il ne faut pas laisser ça passer, ma petite fille est en danger / Que veux tu faire ? On est vieux maintenant je ne sais pas si on peut faire grand chose / oui tu as raison, je vais l'appeler / moi aussi Richard, je t'aime "
Je rêve. Non mais je rêve. Alors là c'est le pompon !
Je pensais que Tabatha parlait avec ma mère, ou bien une amie, mais en fait non, elle parle à son copain ? Amant ? J'ai plus l'impression que ce soit son amant plutôt que son compagnon à vrai dire. À ce que j'ai compris, Tabatha a dit qu'ils ne pouvaient plus se voir chez elle, lui étant sans doute marié, ils ne peuvent pas aller chez lui. En plus elle parle de ma vie privée à n'importe qui. En tous cas, ce Richard a l'air de connaître Joseph, et ça, c'est à approfondir.
J'enfile un tee shirt blanc et un jean slim bleu et des chaussettes. Je sors de la salle de bain et entre directement dans ma chambre, mais Tabatha entre sans même frapper.
- J'ai fais quelque chose de mal ? Je lui demande. Elle est entrée tellement vite que j'ai cru qu'elle allait me dire que la maison est en feu.
- Non.
Elle referme la porte aussitôt. Elle est bizarre.
Je prend mon téléphone portable. Rien.
Je repose ce dernier vulgairement sur mon lit. Je peux apercevoir en face de moi quelques maisons assez bourgeoises. Elles sont un peu éloignées mais avec des jumelles je pourrais mieux voir.
Ce n'est pas de ma faute, j'adore les maisons, elles ont quelque chose de très.... Cambriolables.
Mais ce n'est pas aussi facile que dans les films, déjà, pour que ce soit fait correctement, il faut plusieurs jours sans sortir, et c'est ce qu'il va m'arriver je pense. Tabatha m'a bien fait comprendre que je ne sortirais plus. Ou du moins sans elle.
En tous cas, je ne savais pas que à soixante trois ans elle a toujours une vie sexuelle. C'est .... Bizarre. Je sais que c'est comme ça pour tous le monde, mais c'est quand même bizarre.
Elle est quand même jeune, ma mère a 40 ans et moi dix neuf. On fait les enfants assez jeunes dans ma famille, mais je trouve ça cool. Malgré tout, je ne veux pas d'enfants. Je trouve que c'est chiant, et que ca crit. Je ne vois pas l'intérêt pour être honnête. On est déjà assez dans la misère pour en apporter à un autre petit être qui n'a rien demander. C'est mon choix, c'est comme ça.
Maintenant que j'y pense, Joseph ne s'est pas protégé lorsque nous avons coucher ensemble... Je prend la pilule donc la grossesse n'est pas un problème, mais par contre les maladies sont un problème.
Je ne sais pas avec qui Joe a coucher avant moi, il se peut qu'il ai été un peu partout... Je veux dire, je ne dois pas être la seule à être sensible à son charme, et c'est un sacré beau parleur assez convaincant lorsqu'il s'y met.
Peut importe, je verrais bien, je m'en branle en fait.
- Tu as manger ? Tabatha crie.
- Oui c'est bon merci.
Elle ne répondit pas.
Mon téléphone vibre.
J'ai un appel, c'est un numéro que je connais pas, certainement Joseph.
Je répond.
«- Allô ?
- C'est moi.
Il dit comme si j'étais censé savoir. Bien que je le savais.
- Oui ?
- Je crois que ... Merde ... Ouais je crois que je veux bien être avec toi un peu, aujourd'hui ou demain, tu vois.
J'entend à sa voix qu'il a bu, et qu'il est en train de tirer sur une clope, ou un joint.
Mon coeur tape fort contre ma poitrine.
- Ouais, enfin, je crois que je suis interdit de sortir.
- Ça va t'arrêter ?
- En fait, non.
Je pouvais sentir qu'il souriait au téléphone.
- Tu vas passer par la fenêtre de chez ta grand mère aussi ?
- Je vois pas d'autres solutions.
- Je t'envoie un message quand je suis en bas. » il raccroche.
Super.
Je vais à la fenêtre, nous sommes au troisième étage, chez Joseph il y'en a quatre, mais ici, il n'y a pas de traillage. Il est actuellement quinze heures, donc Tabatha va certainement faire la sieste d'ici sous peu, sauf si elle s'est donner pour mission de ne pas me laisser voir Joe puisque c'est ce qu'elle a fait comprendre à ce Richard.
Maintenant, comment faire ? À vrai dire, c'est assez simple. J'ai toujours avec moi une ancre, comme l'ancre d'un bateau. C'est assez lourd et c'est pour ça qu'avant de partir de chez mes parents je l'ai mise dans mon sac tout au fond pour qu'ils ne s'en rendent pas compte, et pensent que j'ai pris deux tonnes de vêtements. De toutes façons, c'est moi qui ai porté ce sac.
Il ne s'agit évidemment pas d'une vraie ancre, car c'est réellement très lourd et je ne pourrais pas l'emporter partout où je vais. Mais c'est une réplique, et ça accroche très bien aux fenêtres.
Je prends au moins les dix draps qui se trouvent dans le placard en bois de la chambre et les assemble en faisant des nœuds. J'espère que Tabatha ne va pas arriver dans la chambre sans prévenir comme il y a vingt minutes.
Mon téléphone vibre et j'en conclus que Joseph est en bas.
Je récupère mon assemblage qui est en fait assez long.
J'ouvre la fenêtre, je vois Joe en bas, il regarde en ma direction et s'avance en souriant, ayant comprit que je voulais qu'il réceptionne le bas du drap. Il mit sa cigarette entre ses lèvres et me tends ses mains comme pour indiquer qu'il est prêt.
Je jette ma confection et il l'attrape. J'accroche ensuite les crochets de l'ancre au bord de la fenêtre et vérifie que c'est bien solide.
Je passe ensuite par dessus la fenêtre et commence à descendre doucement. Ça va que ce n'est quand-même pas tr��s haut.
J'arrive rapidement en bas et Joseph me donne sa cigarette. Je la prend et tire une latte.
- Et tu le récupère pas ?
- Je verrais bien, mais Tabatha va se rendre compte que je suis partie. Elle va tout récupérer.
Joseph sourit et nous entrons dans sa voiture, heureusement que j'ai pris mon sac à main.
- Tu fais souvent ça ? T'echapper par les fenêtres ? Il me demande, je peux sentir qu'il a bu du whisky.
- Ça m'arrive.
Joe démarre la voiture et nous prenons la route pour aller je ne sais où.
Un silence reigne tout d'un coup, et Joe doit ressentir la même chose que moi puisqu'il allume le poste de radio, laissant la première station sur laquelle il tombe.
- Je peux te poser une question ? J'ose rompre le silence.
- Ouais.
- Est-ce que tu te protèges avec les autres filles ? Parce que tu sais...
- T'inquiète pas j'ai pas le sida, on va faire des test maintenant si tu veux. Il me coupait la parole. Quel toupet, il ose être énervé, mais c'est une question normale.
- Non, c'est bon.
Il ne répond pas et le calme pesant reprit.
Pourquoi m'a-t-il appeler si il décide d'être teigneux ? Simplement parce que je suis un petit jouet, il sait que je viens d'arriver et il me prend pour une petite chose fragile que l'on peut manipuler, sauf qu'il est tombé sur le mauvais numéro, il ne sera pas hargneux avec moi plus longtemps.
- Tu comptes me répondre de cette manière à chaque fois que je vais parler ? Parce que je peux aussi me barrer. Je ne me démonte pas, j'en oublie presque qu'il a déjà été soupçonné de meurtre.
- Surveille ton langage avec moi, je suis pas ta grand mère ou ta mère !
Je ne sais pas ce qui me prend mais je serre le frein à main d'un seul coup, obligeant Joseph a maneuvrer pour ne pas avoir d'accident avec la voiture derrière nous.
Une fois que le danger est évité, Joseph se gare dans un chemin assez boueux. Merde.
Il arrête le moteur de la voiture et prend ma nuque très brutalement. Sa mâchoire est serrée et ses yeux rejettent de la haine.
- Écoutes moi bien petite garce... Il attrapait mes cheveux et les tirait légèrement. Ma machoire se crispe. Je vais lui niquer ses morts. Personne ne me fait ça et encore moins une sale pute qui couche avec n'importe qui, j'avais décidé de t'epargner mais tu desobeis, et moi on ne me désobéi pas.
Il prit ma tête et la cogne contre le tableau de bord. Merde.
Je relève la tête et lui met mes deux doigts dans les yeux, mais il ne tarda pas à entrer les siens dans ma bouche. Sa main libre tirait mes cheveux et je décidais de mordre ses doigts.
Il les enlevait directement par douleur et j'en profitais pour lui donner un coup de boule.
Il me lâche et j'en profite pour sortir de la voiture et courir aussi proche de la route que possible.
Je me sens tomber à terre, c'était lui, Joseph. Ce misérable petit fils de pute sans cœur et sans remords. Je n'arrêtais pas de bouger mes jambes afin qu'il n'essaie pas de m'atteindre. Je pourrais essayer de me relever mais il en profiterait pour me maîtriser encore une fois.
Quand je pense que j'ai coucher avec lui.
Il sort une arme de son pantalon et je me relève alors.
- Vas y, tire, je te jure que tu me rendrais un énorme service. Je riais, je ne sais pas si c'était nerveux ou simplement que ça venait du coeur.
Je le vis arriver vers moi, et après, plus rien. Le trou noir.
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ecrismoiecristoi · 6 months
Text
R
Bon j’ai passé un stade et c’est l’enfer
Je le kiff beaucoup trop. Ce qu’il dit, ce qu’il fait, damn ça me prend. Et le pire c’est que j’ai l’impression qu’il ne fait rien, qu’il ne dit rien. Mais le peu qu’il fait pour moi c’est déjà fort. Genre le peu où se regarde. Le peu où il me caresse, le peu de mots qu’il me dit. Tout ça c’est déjà fort.
Mais je sens que je me perd la dedans. Il me prend. Genre je pense trop à lui c’est horrible. Je ne contrôle plus grand chose. Et j’ai tellement peur qu’il se foute de ma gueule, genre vraiment je me chie dessus.
A tel point que je fais en sorte de voir d’autres gars pour me sortir lui de la tête, ne serait-ce que le temps d’une soirée (voir même 2h si je suis honnête envers moi-même).
Genre ma plus grand motivation à voir d’autres gars c’est faire de nouvelles expériences, et avoir profité car je suis sure que lui est entrain de profite (ainsi je me sentirait moins prise pour une conne genre c’est donnant donnant). C’est méprisant d’en arriver là. Mais j’arrive pas à faire autrement il commence à m’obséder ptn. Et faut que je sois sûre de ne pas tomber dans le cycle classique de « je quitte un gars, je m’amourache d’un nouveau, le premier venu ». Comment savoir si juste j’ai besoin de quelqu’un ou si j’ai besoin et envie de lui. Je n’arrive pas à faire la différence
Déjà ça me saoule d’avoir besoin de qui que ce soit. J’aimerai bien être indépendante. Mais est-ce que c’est un état qui est possible d’attendre. Genre de n’avoir besoin qui que de soit ?
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