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#l'express styles
unes23 · 5 months
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Natalia Vodianova by Matthew Brookes for L'Express Styles
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lucaf2019 · 3 months
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L'Express Styles, febbraio 2014
📷 Luciana Val e Franco Musso
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voss117 · 1 year
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Natalia Vodianova by Matthew Brookes - L'Express Styles May 2015
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voguefashion · 2 years
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Gaspard Ulliel photographed by Julien Vallon for L'Express Styles, 2016.
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modelsof-color · 1 year
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Mayowa Nicholas by Jamie Morgan for L'Express Style Magazine - November 2019
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forcedfemme-me · 1 year
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Daria Werbowy by Cass Bird in L'Express Styles
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hyperannotation · 1 month
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HYPER-ANNOTATION: PORNOGRAPHIE POSTHUMAINE
KENJI SIRATORI
"Cela nous amène à Kenji Siratori, dont le projet ne peut être défini, ne peut être réduit à aucun mode occidental de compréhension et est en fait une annihilation complète de tous les modes d'identité et de représentation occidentaux. Dans son travail, nous arrivons à la fin du projet humain et humaniste. On ne peut pas le décrire, on doit y entrer, le vivre de manière viscérale et l'induire à entrer en nous dans son appauvrissement, une annihilation choquante de tout ce que nous avons jamais pensé être ou devenir. Pour devenir inhumain, il faut effacer les textures superficielles de notre histoire, de notre chair, de notre pensée. Sous les contours sombres de cette chair réside la vérité inhumaine de notre avenir si nous lui permettions de s'épanouir depuis l'Abîme." - Steven Craig Hickman
Kenji Siratori est un écrivain japonais de glitch et une figure éminente de la littérature cyberculte. Son style combine des éléments de cyberpunk et de littérature expérimentale, fortement influencé par la société en réseau et la technologie numérique. Siratori a commencé sa carrière d'écrivain sur Internet, et ses œuvres ont été publiées sur diverses plates-formes en ligne et sites web. Son style utilise des techniques d'art glitch pour entrelacer le texte littéraire, en découpant des mots et des structures, créant un esprit unique et un délire qui séduit les perceptions sensorielles des natifs du numérique. Les œuvres de Siratori se caractérisent par des lettres et des images déformées, restant instables tout en créant un monde enchanteur et énigmatique. Ses romans et essais abordent des thèmes liés aux relations complexes entre les ordinateurs et les humains, à la fusion de la technologie et du corps, ainsi qu'à d'autres thèmes de la société moderne. La littérature glitch de Siratori a eu une influence considérable non seulement au Japon, mais aussi sur les artistes et les amateurs de littérature du monde entier. Ses œuvres ont non seulement ouvert une nouvelle voie dans la littérature de la cyberculture, mais ont également largement utilisé le glitch comme moyen d'expression, faisant de lui un pionnier dans le domaine du glitch littéraire. Kenji Siratori est reconnu comme un écrivain de glitch distingué qui apporte une nouvelle perspective à la scène littéraire contemporaine et influence fortement l'expression de l'ère numérique. Ses œuvres combinent la philosophie de l'art glitch et l'esprit du cyberpunk, offrant des perspectives sur l'avenir.
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aurevoirmonty · 2 months
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Labour, travail
Pour ce qui est des changements de valeur attachés aux mots, changements qui indiquent clairement un changement radical de vision du monde, le cas le plus typique est peut-être le terme travail. En latin, ce mot a principalement une connotation négative. Bien que dans certains cas, il puisse se référer à l'activité en général — comme dans l'expression labor rei militaris, l'activité dans l'armée — sa signification prédominante exprimait l'idée de labeur, d'épuisement, d'effort désagréable et parfois même de malheur, de tourment, de fardeau, de punition. Le terme grec ponos avait un sens analogue. Ainsi, laborare pouvait aussi signifier souffrir, être angoissé ou tourmenté. Quid ego laboravi ? signifie : 'Pourquoi me suis-je tourmenté ?' Laborare ex renis, ex capite signifie : souffrir de maux de dos ou de tête. Labor itineris signifie : la fatigue et les inconvénients du voyage — et ainsi de suite.
Le Romain, donc, n'aurait jamais pensé faire du travail une sorte de vertu et d'idéal social. Pourtant, la civilisation romaine ne peut guère être décrite comme une civilisation de paresseux, de flâneurs et 'd'oisifs'. La vérité est qu'à cette époque, il y avait un sens de la distance. 'Travailler' se contrastait avec agere, l'action au sens supérieur. 'Travailler' correspondait aux formes sombres, matérielles, serviles et insignifiantes de l'activité humaine, et se référait à ceux pour qui l'activité était déterminée exclusivement par le besoin, la nécessité ou un sort malheureux (le monde ancien avait aussi une métaphysique de l'esclavage). Opposés à de telles personnes étaient ceux qui agissent au sens propre du terme, ceux qui se consacrent à des formes d'action libres, non physiques, conscientes, délibérées et dans une certaine mesure désintéressées. En effet, le terme 'travail' n'était pas appliqué dans le cas d'une personne qui exerçait des activités matérielles, mais plutôt il était appliqué avec un certain caractère qualitatif, sur la base d'une vocation authentique et libre ; une telle personne était un artifex (il y avait aussi le terme opifex), et cette vision était également conservée à des époques ultérieures, dans le climat et le style des corporations d'artisans traditionnels.
Le changement de sens et de valeur du mot en question est donc un signe très clair du caractère plébéien qui est de plus en plus venu dominer le monde occidental, une civilisation de plus en plus façonnée par ce qui dans toute hiérarchie sociale complète sont les strates les plus basses. Le 'culte moderne du travail' est d'autant plus aberrant qu'aujourd'hui, plus que jamais, dans notre régime d'industrialisation, de mécanisation et de production de masse anonyme, le travail a nécessairement perdu toute valeur supérieure qu'il aurait pu avoir. Malgré cela, nous en sommes venus à parler d'une 'religion du travail', d'un 'humanisme du travail' et même d'un 'État du travail', faisant du travail une sorte d'impératif éthique et social insolent pour tout le monde, auquel on a presque envie de répondre avec défi par le dicton espagnol El hombre que trabaja pierde un tiempo precioso (l'homme qui travaille perd un temps précieux).
Plus généralement, j'ai déjà noté à une autre occasion que le monde traditionnel se distingue du monde moderne par le fait que tandis que dans le premier 'travailler' pouvait prendre la forme d'une 'action' ou d'un art, dans le monde moderne, même l'action et l'art prennent parfois le caractère de 'travail' — c'est-à-dire, d'une activité contrainte, opaque et intéressée, effectuée, non selon une vocation, mais selon le besoin et, surtout, pour le profit, pour le lucre.
Julius Evola, La Décadence des Mots
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oviri7 · 1 year
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« On a tant écrit sur le style gothique qu'on a tendance à y voir une évidence, or il reste l'une des réussites humaines les plus remarquables. Depuis la première expression architecturale de la vie civilisée, par exemple la pyramide de Sakhara, l'homme avait conçu les bâtiments comme un poids sur le sol. Il avait accepté leur nature matérielle et, bien qu'il eût tenté de la transcender en recourant à la proportion et à la couleur des marbres précieux, il s'était toujours trouvé limité par les problèmes de stabilité et de poids. En définitive, ils le maintenaient rivé au sol. Désormais, grâce aux artifices du style gothique - le fût entouré d'une cépée de colonnes, qui fuse directement dans la voûte et l'arc brisé - il pouvait rendre la pierre légère, telle l'expression légère de son esprit. »
Kenneth Clark - Civilisation
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l-o-t-m · 1 year
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Liv Tyler
for L'Express Styles, 2012
Photo by Mariano Vivanco
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L'urbanisme subit depuis cinquante ans la dictature de la laideur, du non-sens ou du court terme : cités-dortoirs sans horizon, zones pavillonnaires sans âme, banlieues grises servant de dépotoirs municipaux, interminables centres commerciaux qui défigurent l'entrée des villes, proliférations des “ non-lieux ” anonymes qui s'adressent à des usagers pressés, centres-villes livrés aux seuls commerces et dépouillés de leur vie traditionnelle (cafés, universités, théâtres, cinémas, squares, etc.), juxtaposition d'immeubles sans style commun, quartiers délabrés et laissés à l'abandon entre deux rafistolages ou, au contraire, surveillés en permanence par des vigiles et des caméras-espions, désertification des campagnes et surpopulation urbaine.
On ne construit plus des habitats pour vivre, mais pour survivre dans un environnement urbain défiguré par la loi de la rentabilité maximale et de la fonctionnalité rationnelle. Or, un lieu est d'abord un lien : travailler, circuler, habiter, ne désignent pas des fonctions isolables, mais des actes complexes intéressant la totalité de la vie sociale.
La ville doit être repensée comme le lieu de rencontre de toutes nos potentialités, le labyrinthe de nos passions et de nos actions, plutôt que comme l'expression géométrique et froide de la rationalité planificatrice. Architecture et urbanisme s'inscrivent par ailleurs dans une histoire et une géographie singulières dont ils doivent être le reflet. Cela implique la revalorisation d'un urbanisme enraciné et harmonieux, la réhabilitation des styles régionaux, le développement des hameaux et des villes moyennes en réseau autour des capitales régionales, le désenclavement des régions rurales, la destruction progressive des cités-dortoirs et des concentrations strictement commerciales, l'élimination d'une publicité omniprésente, ainsi que la diversification des modes de transport : abolition de la dictature de la voiture individuelle, transport de marchandises par le rail, revitalisation des transports en commun, prise en compte des impératifs écologiques.
Manifeste : la Nouvelle Droite de l'an 2000.
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unes23 · 3 months
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Ginta Lapina by Rafael Stahelin for L'Express Styles
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lucaf2019 · 1 year
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L'Express Styles, 12 maggio 2010
📷 Stephane Bodin
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raisongardee · 1 year
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“La stratégie néo-capitaliste doit donc sur le plan idéologique des principes, de la morale, des conduites de consommation - pour conquérir des marchés – casser, liquider, broyer ces valeurs éthiques ; la "société d’abondance" doit promouvoir les valeurs inverses de consommation, le gaspillage, de fête, de libidinalité. Le freudo-marxisme remplit cette fonction : il doit liquider l'éthique (proposée comme moralisme répressif de papa !...) Il doit liquider l'économie (de l’accumulation), l'inhibition, les valeurs traditionalistes. Aussi, le modèle de la nouvelle consommation sera l’émancipation par la transgression. Le modèle de consommation de la marchandise du néo-capitalisme sera immanent à la marchandise. Le capitalisme a pu ainsi mettre dans le produit lui-même l'expression idéologique. Il vend de l'idéologie, du mode de vie, du style de vie. La modernité de son produit et la liquidation des vertus des modes de production antérieurs. Consommer, c'est s'émanciper, transgresser, c'est être libre, jouir, c'est être révolutionnaire ! Autrement dit, la stratégie néo-capitaliste de séduction des populations vouées à la nouvelle production (vers la nouvelle société) s’objective dans la marchandise. Celle-ci est d'abord une forme de relation qui détourne de la lutte des classes et qui propose comme libération la modalité même de l'aliénation. 
Michel Clouscard, Néo-fascisme et idéologie du désir, 1972.
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realhankmccoy · 10 months
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When I lived in Austin I really got into these lists by Eater, tracking so many down just shy of religiously, and I'm using this one now in Montreal. I've been to 2 / 38 thus far, unless you count former trips here... I think L'Express is on the list which would put me at 3.
Anyhow, these aren't 'the best' restaurants but L'Express is a must.
I'm going to utilise this list, too:
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lilias42 · 9 months
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Série de portrait : la génération des grands-parents !
Bon ! ça fait un moment que je travaille sur eux alors, les voici : les principaux personnages de la génération des grands-parents !
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Ces deux-là auront une petite scène qui leur sera consacré mais, pour le moment, voici déjà leur visage en gros ! Il s'agit des grands-parents de Sylvain du côté de son père Isidore : Erika Gautier, héritière puis margravine de leur marche, et Halfdan qui est un commerçant et ancien soldat sreng. Personne ne connait le père d'Isidore à part les plus proches amis d'Erika, surtout sous Clovis où elle sait que le tyran aurait tué son fils mais, le secret est resté dans la famille malgré toutes les pressions qu'elle a subi. Sylvain n'a su qui était son grand-père que quand il est devenu adulte de sa mère (car évidemment que Fregn est arrivé à retrouver la vérité et à recoller les morceaux), car Isidore refuse de parler à qui que ce soit de son père et préfère traiter sa mère de p*te et de traitresse à Faerghus, plutôt que d'admettre qu'elle n'a aimé qu'un homme dans sa vie, soit Halfdan, et donc qu'il est à moitié Sreng, même s'il adorait son père quand il était petit. Ici, j'ai tenté de donner la même position qu'académie!Sylvain à Halfdan pour marquer le lien de parenté, ainsi que leurs couleurs mais, en inversé, histoire de marqués qu'ils sont en couple.
Fun fact : sur mon carnet, les cheveux d'Halfdan (en crayon de couleur "sanguine" pur) ont plus la couleur de ceux de Sylvain qu'Erika qui les a orange plus vif malgré les deux couches de rouge mais là, ils font plus bruns et ceux d'Erika font plus roux-rouge comme Sylvain donc, on s'y retrouve !
+le motif au feutre sur le torse d'Erika était censé être l'emblème de Gautier mais, je me suis emmêlé les pinceaux en la passant au noir alors, ça ressemblait plus à celui de Gloucester alors, je l'ai retravaillé pour que le motif ressemble à un soleil stylisé avec une lune à cause d'Halfdan qui lui disait qu'au soleil, sa chevelure semble prendre feu et briller. Pour ses deux grains de beauté sous l'oeil, même si ce n'est pas du tout une légende scandinave, j'avais entendu dire qu'au Japon, un grain de beauté sous l'oeil symboliserait une larme et un destin tragique, ce qui irait bien à Erika qui n'a jamais pu vivre son amour avec Halfdan au grand jour, puis qui s'est vu rejeté par son fils à cause de cet amour. Par contre, elle aurait beaucoup aimé voir son petit-fils se rapprocher des srengs et embrasser complètement ses origines grâce à Fregn (avec qui elle s'entendait très bien).
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Deuxième couple : Guillaume et Aliénor ! Si je suis un peu déçue de l'expression de Guillaume qui manque de mordant comparé à celui qu'il pouvait être, je suis plutôt contente d'Aliénor sur laquelle j'ai expérimenté plein de trucs ! (notamment les lunettes, c'est une des première fois que j'en fais !) Normalement, elle a un reflet roux dans les cheveux mais après une couche de jaune, puis une d'orange clair, puis une autre de jaune pour la rendre plus blonde que rousse, puis encore une autre d'orange pour tenter de lui redonner un peu de reflet, j'ai jeté l'éponge et passer une dernière couche de jaune pour qu'elle soit blonde, tant pis. Son foulard aussi est une expérimentation. Les photos qui m'ont servi de modèle reprennent des modes plus anciennes que pour Guillaume mais, je trouvais que ça lui allait bien vu qu'elle est la magicienne du groupe et que son style est un peu vieillot, il vise surtout le pratique.
Pour les couleur aussi, j'ai utilisé les deux même crayons pour leurs vêtements mais, en inversé. Aliénor ne porte même pas de couleur la liant à la famille Dominic car, elle a complètement épousé les intérêts des Fraldarius donc, elle porte leurs couleurs, notamment sur son voile où c'est le plus voyant et son chapelet porte l'emblème de Fraldarius. Pour Guillaume, il a les cheveux noirs de sa famille qui partent dans tous les sens domestiqués avec sa tresse, et il porte son alliance autour du cou pour éviter de la perdre ou qu'elle ne le gêne au combat quand il tire à l'arc ou manie Moralta, même si son rôle de protecteur est plus mis en avant avec Aegis à son bras ici (bras droit vu que comme quasi tous les Fraldarius, il est gaucher)
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Ensuite, on a Nicola à gauche, et la matriarche Catherine Charon de l'autre !
Nicola n'est pas colorié car, je n'ai pas pile le bon brun pour ses cheveux alors, il attendra que je mette la main sur un bon crayon de bonne qualité pour avoir des couleurs. Ils sont censé être brun très foncé à la limite du noir, ce qui lui permettait de se faire passer pour Guillaume quand ils étaient petits et que des assassins de Clovis ou d'autres tentaient de le tuer, même si Guillaume lui a toujours formellement interdit de se faire passer pour lu afin d'éviter qu'il ne se fasse tuer par erreur (et ceux qui auraient touché à un cheveu de son meilleur ami et quasi frère adoptif auraient tous signé leur arrêt de mort) Quand ils seront plus vieux, Nicola aura le visage bien plus carré et sera plus grand que lui alors, cela évitera à Guillaume de s'inquiéter pour ça. Dans l'idée que j'en ai, physiquement, il ressemble un peu à Gilbert mais, en vraiment bon compagnon et chevalier malgré ses origines roturières et le fait qu'il ne sera jamais adoubé pour rester au service des Fraldarius.
Pour la matriarche Catherine, elle a les cheveux verts des nabatéens, mais ses yeux sont aussi bleu que ceux de sa petite-fille Cassandra / Catherine. Cette dernière reprendra d'ailleurs son nom pour lui rendre hommage : c'est un prénom relativement courant donc, elle ne se fera pas pincer dessus, ça permet de rappeler son affiliation aux Charon, et de montrer son respect pour sa grand-mère. Plus femme de loi que de guerre, c'est elle qui a mise en place une très grande partie de l'appareil idéologique justifiant le coup d'Etat de Ludovic, notamment en s'appuyant sur les travaux de ses ancêtres de la guerre du Lion et de l'Aigle, Sybille et Irina Charon-Ordélia. Malgré tout, c'est une combattante à mains nues confirmés, ce que j'ai tenté de rappeler avec les cicatrices qu'elle a sur les mains : ne vous fiez pas à son air de bureaucrate très souvent enceinte (elle a eu douze enfants après tout et blague elle-même sur le fait qu'elle a défié les statistiques en ayant onze filles d'affilés [ce qui est l'idéal pour une famille très matriarcale comme celle des Charon] et pour sa dernière grossesse, elle a eu son seul garçon avec Kimon, qui est devenu le petit frère le plus gâté et embêté par ses soeurs de l'histoire !), elle casse aussi des bouches comme sa fille Héléna qui lui ressemble beaucoup de caractère en moins cassant, et sa petite-fille Cassandra qui casse autant des bouches qu'elle !
(pas de dessin de son mari par contre, les hommes Charon sont inexistant dans ma tête sauf par obligation scénaristique ou quand c'est Théo qui a un passe-droit)
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Et enfin, faites entrer le roi pour le dernier avec Ludovic ! Ici, il est un peu plus âgé que pour les autres qui sont plus de l'époque du coup d'Etat contre Clovis. Ici, je dirais que Ludovic est à la fin de sa vie quand il est rongé par la tuberculose mais, il restera jusqu'à la fin un roi fort et fier qui regarde droit devant lui et continue à avancer pour le bien de son Royaume malgré son propre corps qui le trahit !
Comme Simplex, il a les yeux vairons : un bleu roi comme tous les Blaiddyd, l'autre bleu d'eau comme l'oeil qu'à donné Pertinax à Simplex après la révolution contre les maitres et la fin de l'esclavage. Pour lui, ça peut aussi montrer son lien privilégié avec les Fraldarius. D'ailleurs, lui aussi est habillé au couleur de Guillaume et Aliénor : il ne porte que du sarcelle ou du bleu-vert, aucun bleu tout court un peu sombre comme Dimitri ou Lambert, pour bien montrer son lien avec la famille du Loup et le fait qu'il est contre la manière de penser de sa famille et surtout de Clovis.
Et voilà ! J'espère qu'ils vous ont plu !
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