Tumgik
#porte du temps
les-portes-du-sud · 3 months
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Vous avez également appris ce secret grâce à la rivière ; que le temps n'existe pas ? Que le fleuve est partout à la fois, à la source et à l'embouchure, à la cascade, à la traversée, au courant, dans l'océan et dans les montagnes, partout, et que le présent n'existe que pour lui, et pas l’ombre du passé ni l’ombre du futur.
Hermann Hesse
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ficuscircus · 1 year
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"Parce qu'entre nous c'est lentement" : le ✨ rota ✨
J'associe tellement de chansons à cette fic que je voulais en garder une trace ! En voici un aperçu : elles correspondent parfois à des ambiances, parfois à des passages précis... Et elles me ramènent toujours aux blorbos. Bonne lecture et bonne écoute 🤗
💕 Fic par l'incontournable @bourbon-ontherocks 🎼 Modèle par Freepik
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jezatalks · 4 months
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J'ai fait cette image pour mes potes car on m'a demandé 1 à 2 fois par jour pendant près d'une semaine si VRAIMENT je n'étais pas japonaise ou si aucun de mes parents ne l'était.
En vrai c'est pas si méchant, je m'en fiche un peu mais le fait qu'on me le demande autant de fois en peu de temps m'a rendu perplexe. De plus, DEUX FOIS on a insisté à ce que je montre mon passeport/carte d'identité pour le prouver car selon eux, juste des yeux en amandes et le teint mat font que je suis japonaise.
Ah, peut être parce que j'arrive à bien maîtriser la prononciation des phrases de base + "Aaaaah, mmh, je suis désolée, mon japonais n'est pas bon." (En un japonais parfait) et ça les déconcerte
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(Source : Insolentiae.com 221020)
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arttemperaaudran · 1 month
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proustianlesbian · 4 months
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thinking about my history teacher this year who is so sweet. like yesterday i had a colle with him and like since i knew i was the last one i took the opportunity to tell him (i cried, before for something else, while doing it, and after because of another thing) that i was very probably autistic and he was so kinda about it, i could just cry thinking of it 🥺, it was the first time i said this to someone irl and i'm glad it was him. also i saw that he had the book "the priory of the orange tree" on his desk, i haven't read it but i had recognised the cover because it was on several "lesbian books recomendations" posts i have seen. so slayy father lesbian ally king i guess !! (he was reading it today too, he's only at the start.)
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coovieilledentelle · 9 days
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Faire l’amour, ça commence le matin par le premier regard que l’on se donne, le premier sourire, la première caresse et le premier bonjour.
Faire l’amour, c’est d’apporter le petit déjeuner au lit ou simplement un café, un jus de fruits accompagné d’une petite chanson d’amour ou de mots tendres récités avec toute la gaucherie dont on peut faire preuve.
Faire l’amour, c’est lancer à l’autre dans la glace un clin d’œil complice lorsqu’il fait sa toilette, c’est aussi l’embrasser sans raison, juste pour le plaisir de le faire, sans rien attendre en retour.
Faire l’amour, c’est demander à l’autre quelle nuit il a passé et écouter attentivement sa réponse. C’est prendre le temps de se regarder, de se parler et de se toucher avant d’entreprendre la journée de travail.Faire l’amour, c’est accompagner l’être cher à la porte au moment où il se prépare à partir; c’est de lui souhaiter une bonne journée; c’est de s’installer à la fenêtre et lui faire un signe de la main en affichant son plus beau sourire.
Faire l’amour, c’est de se téléphoner pour un rien, juste pour se dire que l’on s’aime ou prendre des nouvelles; c’est de se faire des surprises sans rien attendre en échange.
Faire l’amour, c’est prendre l’autre dans ses bras chaque fois que c’est possible, juste pour sentir la chaleur de l’être aimé, rétablir le contact et se donner de l’affection.
Faire l’amour, c’est parfois d’accorder à l’autre la liberté de vivre pour lui-même, sans attachement excessif, en lui laissant sentir qu’on l’aime toujours même si nos corps sont loin l’un de l’autre; c’est d’être assuré que nos âmes se moquent des distances et sont tendrement enlacées en toute situation, quelque soit le nombre de kilomètres qui nous séparent.
Faire l’amour, peut aussi se résumer en une pensée lancée vers l’autre, les yeux fermées, pendant un instant.
Faire l’amour, c’est de s’accueillir et de s’étreindre au retour à la maison, c’est de s’informer de ce que l’autre a vécu durant la journée, c’est également le petit verre de vin que l’on prend le temps de déguster ensemble en se racontant toutes sortes de choses ou en goûtant tout simplement la sagesse du silence.
Faire l’amour, c’est même d’écouter le télé, serrés l’un contre l’autre, c’est de rire ou de s’émouvoir ensemble, c’est de vivre à deux et nourrir cette complicité de n’importe quelle façon.
Enfin, faire l’amour, c’est aussi « faire l’amour », mais ce n’est pas que ça! C’est une partie d’un tout indispensable… tout simplement, comme un dessert qui vient couronner un repas succulent.
J’ai compris un jour que je ne voulais plus me contenter que du « dessert », … je désire le repas au complet et surtout le dessert n’est pas indispensable à la fin de chaque repas.
Page La Voie de la Sagesse
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eddy25960 · 2 months
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Je suis la maison de l'automne, écho de l'ocre et du temps. Je porte les cicatrices du passé, et dans mon silence, résonne l'écho des saisons perdues.
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RPG et anxiété.
Tw : Anxiété généralisée.
Encore un sujet qui va me stresser une fois publié, dont j'avais envie de parler sans trop savoir comment et, ce soir, je tente le coup. Parlons "relations" sur les réseaux/rpg et anxiété ! C'est quelque chose dont je souffre et contre lequel je lutte à peu-près chaque jour. Les pensées intrusives sont terribles, la crainte qu'un quiproquo débile plus encore suite à des évènements passés qui, j'en suis certaine, auraient pu être évités. Je peux me prendre la tête et réfléchir trop vite, trop longuement, sur des petits riens un peu insignifiants tout en craignant que certaines situations passées se reproduisent. Quand c'est comme ça, j'ai tendance à serrer les dents, attendre que mes craintes soient indirectement contredites et respirer de soulagement après en silence, et hop ni vu ni connu ! (Appelez moi la houdini du stress. Bon par contre, les maux de ventre sont un peu moins fun. ) L'objectif n'étant pas de me flageller mais ne pas empiéter sur l'espace des autres. Oui, c'est contraignant, mais mes troubles ne doivent jamais empiéter sur le loisir des autres. C'est mon problème, je suis suivie pour ça.
Néanmoins, tout ce que je peux dire c'est qu'il est plus qu'essentiel de :
Tenter de communiquer en cas de doutes. Et surtout, ne pas faire de suppositions qu'on valide par le biais de nos propres certitudes et rejeter une personne sous prétexte qu'elle n'a pas su communiquer une information selon vos propres critères. (on le rappel, les troubles dys, la neuAtypie, la fatigue etc... existent.) En discutant, on se rend très souvent compte qu'en réalité, ce n'est pas du tout ce qu'on pensait. On s'épargne ainsi un drame inutile - a-t-on vraiment le temps pour ça, btw ? (NON.) - et l’opportunité de, peut-être, renforcer des liens entre Rpgistes tout en mettant à la porte des comportements problématiques qu'on a trop longtemps laissé passer par le passé. (En évitant de mettre de côté des personnes sous prétexte qu'elles sont un peu différentes, au passage.)
Ne pas oublier qu'on ne sait pas tous forcément parler de nos doutes ou qu'on a pas toujours envie de le faire par crainte d'agacer l'autre, qu'on est des êtres humains avec une vie en dehors du RPG, de tumblr, de discord, et qu'on est désormais nombreux-ses à être plus qu'adulte avec une vie IRL franchement déjà assez compliquée. (Et puis bon, les étudiant-es et/ou les plus jeunes aussi ont le droit d'être crevé-e-s, et on connaît ni la vie des autres, ni leurs contraintes ou l'état de leur santé.)
On va pas le répéter - si - mais la bienveillance, vraiment, c'est un banger. À consommer sans modérations.
Pour ma part, je ne peux que conseiller aux personnes de venir me parler si quelque chose a été mal perçu. Et sentir sans avoir de confirmations, tourner en rond sur 'ce truc qui ne va pas mais impossible de savoir quoi', c'est quelque chose de profondément déstabilisant ?
En ce qui concerne la gestion de ma propre anxiété, je ne sais toujours pas totalement comment vraiment vivre avec, mais je le fais au quotidien et je suppose que je chaque jour, je me débrouille un peu mieux. C'est pas mes seules contraintes, néanmoins, les autres sont bien plus privées.
Bref, je sais pas trop si ce poste est bien utile ou sera bien perçu mais voilà.
Des bises sur vous,
Swan qui ne sait pas si elle va laisser ce poste ?
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les-portes-du-sud · 4 months
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Nous vivons comme des aigles, nous voyageons d'un endroit à l'autre dans le temps, et avec la différence des temps, les cœurs restent au même endroit dans le temps, car l'aliénation et la solitude sont une arme mortelle que seuls ceux qui en ont goûté ressentent.
Alex Ice
Ph : Gennady Blokhine
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coolvieilledentelle · 2 months
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C'est quoi faire l'amour finalement ??
Ça commence le matin par le premier regard que l’on se donne, le premier sourire, la première caresse et le premier bonjour...
Faire l’amour, c’est d’apporter le petit déjeuner au lit ou simplement un café, un jus de fruits accompagné d’une petite chanson d’amour ou de mots tendres récités avec toute la gaucherie dont on peut faire preuve.
C’est lancer à l’autre dans la glace un clin d’œil complice lorsqu’il fait sa toilette, c’est aussi l’embrasser sans raison, juste pour le plaisir de le faire, sans rien attendre en retour.
Faire l’amour, c’est demander à l’autre quelle nuit il a passé et écouter attentivement sa réponse. C’est prendre le temps de se regarder, de se parler et de se toucher avant d’entreprendre la journée de travail.
C’est accompagner l’être cher à la porte au moment où il se prépare à partir; c’est de lui souhaiter une bonne journée; c’est de s’installer à la fenêtre et lui faire un signe de la main en affichant son plus beau sourire.
Faire l’amour, c’est de se téléphoner pour un rien, juste pour se dire que l’on s’aime ou prendre des nouvelles; c’est de se faire des surprises sans rien attendre en échange.
C’est prendre l’autre dans ses bras chaque fois que c’est possible, juste pour sentir la chaleur de l’être aimé, rétablir le contact et se donner de l’affection.
Faire l’amour, c’est parfois d’accorder à l’autre la liberté de vivre pour lui-même, sans attachement excessif, en lui laissant sentir qu’on l’aime toujours même si nos corps sont loin l’un de l’autre; c’est d’être assuré que nos âmes se moquent des distances et sont tendrement enlacées en toute situation, quelque soit le nombre de kilomètres qui nous séparent.
Cela peut aussi se résumer en une pensée lancée vers l’autre, les yeux fermées, pendant un instant.
Faire l’amour, c’est de s’accueillir et de s’étreindre au retour à la maison, c’est de s’informer de ce que l’autre a vécu durant la journée, c’est également le petit verre de vin que l’on prend le temps de déguster ensemble en se racontant toutes sortes de choses ou en goûtant tout simplement la sagesse du silence.
C’est même d’écouter le télé, serrés l’un contre l’autre, c’est de rire ou de s’émouvoir ensemble, c’est de vivre à deux et nourrir cette complicité de n’importe quelle façon.
Enfin, faire l’amour, c’est aussi « faire l’amour », mais ce n’est pas que ça ! C’est une partie d’un tout indispensable… tout simplement, comme un dessert qui vient couronner un repas succulent...
J’ai compris un jour que je ne voulais plus me contenter que du « dessert »... je désire le repas au complet et surtout que le dessert, n’est pas indispensable à la fin de chaque repas !
Auteur inconnu
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borgien · 10 months
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Pour ce rendez-vous, elle m’avait laissé ce message : « Tu enterras dans la chambre de l’hôtel, enlèvera tous tes vêtements, mettra le collier et ta laisse et la cage sur ton sexe, tu t’agenouilleras, les yeux au sol et tu m’attendras.
Je tombe à genoux : sensations de la moquette sur mes genoux, le cuir autour de mon cou et le poids de la cage en métal tirant sur mes couilles entre mes jambes, l'impression exquise d'être son jouet, sa chose...
Les minutes passent : 5 minutes? 15 minutes? 30 min? Le temps s'est arrêté, je n'ai conscience que du poids de la cage, de l'humidité que je peux ressentir. Du coin de l'œil, je vois la porte s'ouvrir lentement. Je ne lève pas les yeux.
Elle marche lentement vers la fenêtre, et tire les rideaux pour que la lumière soit tamisée. Elle s'approche de moi, je vois ses bottes. Une touche dans le bas de mon dos me fait sursauter, sa cravache, glissant le long de ma colonne vertébrale, elle l'utilise pour ébouriffer mes cheveux, puis la remonte du bas du centre jusqu'à mon cou.
Je sens soudain la cravache fouetter mes couilles. Une douleur aiguë me parcourt et je sursaute. Écarte tes jambes pour que je puisse avoir accès à tes couilles. Elle se déplace pour être derrière moi, et je sens soudain la cravache me claquer les couilles...
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microcosme11 · 7 months
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This is only part of a love letter Napoleon wrote
Je ne sais pas quel sort m’attend ; mais s’il m’éloigne plus longtemps de toi, il me [devient] insupportable ; mon courage ne va pas jusque-là. Il fut un temps où je m’enorgueillissais de mon courage, et quelquefois, en jetant les yeux sur le mal que pourraient me faire les hommes, sur le sort que pourrait me réserver le destin, je fixais les malheurs les plus inouïs sans froncer le sourcil, sans me sentir étonné. Mais aujourd’hui, l’idée que ma Joséphine pourrait être mal, l’idée qu’elle pourrait être malade, et surtout la cruelle, la funeste pensée qu’elle pourrait m’aimer moins, flétrit mon âme, arrête mon sang, me rend triste, abattu, ne me laisse pas même le courage de la fureur et du désespoir… Je me disais souvent jadis : les hommes ne peuvent rien à celui qui meurt sans regret ; mais aujourd’hui, mourir sans être aimé de toi, mourir sans cette certitude, c’est le tourment de l’enfer, c’est l’image vive et frappante de l’anéantissement absolu. Il me semble que je me sens étouffer. Mon unique compagne, toi que le sort a destinée pour faire avec moi le voyage pénible de la vie, le jour où je n’aurai plus ton cœur sera celui où la nature aride sera pour moi sans chaleur et sans végétation… Je m’arrête, ma douce amie ; mon âme est triste, mon corps est fatigué, mon esprit est étourdi. Les hommes m’ennuient. Je devrais bien les détester : ils m’éloignent de mon cœur.
Je suis à Port-Maurice, près Oneille ; demain, je suis à Albenga. Les deux armées se remuent ; nous cherchons à nous tromper. Au plus habile la victoire. Je suis assez content de Beaulieu ; s’il manœuvre bien, il est plus fort que son prédécesseur. Je le battrai, j’espère, de la belle manière. Sois sans inquiétude, aime-moi comme tes yeux ; mais ce n’est pas assez : comme toi ; plus que toi, que ta pensée, ton esprit, ta vie, ton tout. Douce amie, pardonne-moi, je délire ; la nature est faible pour qui sent vivement, pour celui que tu animes. [...]
Adieu, adieu, je me couche sans toi, je dormirai sans toi, je t’en prie, laisse-moi dormir. Voilà plusieurs jours où je te serre dans mes bras, songe heureux mais, mais, ce n’est pas toi…
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I don’t know what fate awaits me; but if it keeps me away from you any longer, it [becomes] unbearable to me; my courage only goes so far. There was a time when I prided myself on my courage, and sometimes, casting my eyes on the harm that men could do to me, on the fate that destiny could have in store for me, I stared at the most incredible misfortunes without frowning, without feeling surprised. But today, the idea that my Joséphine could be unwell, the idea that she could be ill, and above all the cruel, fatal thought that she could love me less, withers my soul, stops my blood, makes me sad, dejected, does not even leave me with the courage of fury and despair… I often used to say to myself: men can do nothing to those who die without regret; but today, to die without being loved by you, to die without this certainty, is the torment of hell, it is the vivid and striking image of absolute annihilation. I seem to be suffocating. My only companion, you whom fate has destined to make with me the painful journey of life, the day when I will no longer have your heart will be the day when arid nature will be for me without heat and without vegetation… I stop, my sweet friend; my soul is sad, my body is tired, my mind is dizzy. Men bore me. I should hate them: they take me away from my heart.
I am in Port-Maurice, near Oneille; tomorrow I'm in Albenga. The two armies move; we seek to deceive each other. The most skilful wins. I am quite happy with Beaulieu; if he maneuvers well, he is stronger than his predecessor. I will beat him, I hope, in a good way. Don't worry, love me like your eyes; but that’s not enough: like you; more than you, than your thought, your spirit, your life, your everything. Sweet friend, forgive me, I am delirious; nature is weak for those who feel keenly, for those whom you animate. [...]
Goodbye, goodbye, I'm going to bed without you, I'll sleep without you, please let me sleep. It's been several days since I held you in my arms, happy dream but, but, it's not you…
link to the entire letter on napoleonica
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from-derry · 3 months
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Il est 18h, vous entendez l’appel au centre bourg du shérif, diffusé sur les hauts parleurs, la sonnerie qui a dû servir d’alerte incendie il y a peut-être des décennies vous appelle à tous rentrer chez-vous.
C’est le deuxième et dernier rappel que la nuit va tomber, les adjoints et le shérif sont passés auparavant dans les rues en interpellant les gens qu’il était l’heure de ranger et se préparer pour la nuit. Vous accélérez le pas, vous n’êtes pas sûr d’atteindre la maison à temps – à trop vous presser, vous sentez que de votre sac tombe votre gourde (vous notez que c’est devant le diner, mais ne vous retournez pas pour la ramasser, elle sera là – peut-être – demain).
Vous n’auriez pas dû vous arrêter pour boire un dernier café avec Paul et Emily, et vous sentez votre cœur battre plus fort, autant par le rythme imposé que par le bonheur de voir qu’on vous attend à la porte.
Elle se referme derrière-vous et tout le monde se prépare pour la nuit, la mécanique est rodée, qui va cacher les fenêtres, qui s’assure que toutes les ouvertures sont fermées, qui vérifie que les talismans sont bien à leurs places.
« Chérie, tu ne vas pas me laisser dehors, c’est moi. »
Tous les regards se sont détournés de la fenêtre.
Bienvenue à Derry, petite ville d’une centaine d’âmes – au dernier recensement. Il y fait bon vivre, selon certains, la nourriture y est bonne, fraiche, les gens s’entraident, tout le monde est accueillant - tant qu’on peut vous voir à la lumière du jour. De toute façon, on ne quitte pas Derry – il n’y a aucune barrière, ne vous inquiétez pas. Il n’y a juste pas de sortie.
Vous pouvez suivre l'avancement du projet juste ici ou nous suivre directement pour ne rien rater ! ❤
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blinding-lights-rpg · 1 month
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OUVERTURE DU SERVEUR DISCORD
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Le serveur discord de BLINDING LIGHTS ouvre officiellement ses portes !
>> rejoindre le discord
La préouverture du forum aura lieu le 29 Mars pour la communauté discord, et se poursuivra jusqu'au 4 Mai, une période d'un mois qui permettra à chacun·e de prendre ses marques, de s'installer et de créer des liens avant l'ouverture au reste des joueurs·euses. Ça nous permettra aussi à nous de modifier ou de revoir des petites choses en fonction des retours des bêta testeurs. (Oui parce que personne est parfait mes vies, et surtout pas nous ehhhh)
Toustes celleux qui songent à rejoindre le forum sont les bienvenu·e·s à tout moment s'iels souhaitent brainstorm à plusieurs, discuter de potentiels liens et participer à la préouverture. On adore se creuser la tête et construire des choses ensemble, alors si vous voulez venir avec des ébauches et réfléchir avec la communauté sur ce que vous pourriez faire, n'hésitez pas à nous rejoindre !
Merci à toustes pour l'engouement que vous avez montré ces derniers jours envers ce projet qui nous tient tant à cœur et qu'on a gardé tout ce temps au chaud !
J'allais dire "on mord pas", mais je crois que ça fait has-been, alors non, on mord pas, mais on casse des dents à la place. 🤜🦷
Dates à retenir :
29 Mars à 22h (horaire changeante toutes les 2 minutes) : Préouverture du forum pour la communauté discord 4 Mai : Ouverture officielle du forum
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fieriframes · 2 months
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[Who planted the dark seeds of your dreams?]
XIII - La Marche Triangulaire
Environ deux semaines plus tard, les livres sont arrivés. Deux grosses briques. C'était vraiment un plan formidable.
Je dois dire que ce sont de très belles rééditions. Comparé à l'article que j'ai imprimé, par exemple, les illustrations sont incroyablement claires, comme si quelqu'un avait voyagé dans le temps et scanné la première édition. Clair, seulement visuellement. Leur signification n'était certainement pas claire. Stéganographie surtout était jolie, avec ses instructions détaillées pour invoquer les esprits.
Le processus de traduction (Stéganographie était en latin) a été lent, mais il est vite devenu évident que les livres ressemblaient essentiellement à l'écriture d'un fou, et je savais qu'il y avait même une autre couche de folie cachée ou cryptée dans le texte. J'étais entouré de notes sur papier, d'articles, de livres, comme un vrai fou moi-même. Et comme tant de fois ces derniers mois, j'étais perdu.
Eh bien, les livres n'étaient pas utiles pour résoudre le puzzle, mais j'ai découvert que c'étaient de très bons oreillers. Un nuit, la traduction m'endormait et je me suis réveillé avec mon visage collé sur Polygraphie. L'article que j'ai imprimé, qui contenait une copie de la couverture du livre, était juste à côté. En regardant la couverture de si près (peut-être de trop près), je l'ai finalement vu. Les clés.
Dans l'article, l'homme tenait deux clés, mais dans le livre, c'était trois. Au début, je pensais que la photo dans l'article était simplement dégradée, mais il y a beaucoup de numérisations haute définition en ligne, et toutes contenaient deux clés, pas trois. Le description partout était: "Trithème, s'agenouillant et présentant son livre à l'empereur Maximilien. Derrière lui, Haselberger détient deux clés." C'est très subtil, mais quand regardé côte à côte, c'est si évident. Au lieu de deux clés, dans mon exemplaire, j'en ai vu trois.
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Tout le reste était pareil. J'ai jeté Polygraphie de côté et coincé mon nez dans Stéganographie.
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C'était beaucoup moins évident, mais je l'ai trouvé. Partout, la porte avait deux fenêtres, mais dans chez Mars Éditions, il y avait trois:
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Clefs altérées, portes altérées. Dans quel but ? Quelque chose de si subtil, si caché devait être important, mais pourquoi ? Trois : un nombre sacré et magique. Une trinité. 
Je suis retourné à Nuit Sans Fin et j'ai recommencé depuis le début. En pensant au chiffre 3, pour la première fois, le triangle de la première page (le triangle réapparu sur la dernière page) m'a semblé important. Ensuite, je suis revenu aux livres Trithème et au chiffre expliqué dans l'article. Pour dériver l’incantation, on prend la deuxième lettre d’un mot sur deux. Le nombre critique ici est donc 2. Deux. Deux clés. Deux fenêtres. Mais ce chiffre n'a pas fonctionné. Peut-être que le nombre qu'on cherche n'est pas deux, mais trois. Trois clés, trois fenêtres. Trois, le nombre sacré. Le numéro du triangle. Peut-être qu'on doit prendre chaque troisième lettre de chaque troisième mot dans Nuit Sans Fin ? Qu'une seule façon de le savoir.
Cet esprit ondulant Ce voyageur capuchonné Qui existe odieusement ailleurs  Vous vagabondiez et elle fantasmait  Elle a cultivée, avec les philosophes  une incantation évidente Pour les lucifuges Pour les moqueurs Ce fantôme fieffant Loin des fadasseries terrestres et badines Ils se perchaient Les cormorans aporétiques Une plaine vaste
Le résultat:
daphnisegoinsilvishincusqueadsideranotus
Mon cœur battait à tout rompre. J'ai immédiatement reconnu le nom Daphnis du tableau Et In Arcadia Ego et j'ai su que c'était la clé.
J'ai répété ce processus depuis le début du livre et suis arrivé au paragraphe suivant après avoir rempli là où je supposais que les espaces et les ponctions devaient se trouver :
Après être arrivé au lieu où se confondent existence et non-existence, une porte verte est apparue, invoquée là depuis les plaines pastorales de la plus ancienne Arcadie. J'ai chanté à la porte ces paroles qui précédaient les ténèbres : Daphnis ego in silvis, hinc usque ad sidera notus.
J'aurais dû être heureux que tout ce qui avait conduit à ce moment n'était pas une coïncidence après tout, mais tout à coup, j'ai été terrifié.
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