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#septième ciel
game-of-kinks · 1 year
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Septième ciel - Toutes les cartes sont dispo sur @tire-une-carte Bon jeu !
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elwenn-dreaming · 1 year
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J'ai vu tes tags sur "la petite mort", et pareil, j'ai seulement entendu des anglophones l'utiliser. À tous les coups ça doit être une vieille expression du XIXè ou d'encore avant qui est passé dans le langage anglais mais qui est sorti du nôtre. Genre comme "connoisseur", plus personne n'utilise cette orthographe en France de nos jours, pourtant c'est toujours utilisé en anglais. Ou encore, "sacrebleu"
Ça doit être ça ! Encore que j'ai entendu sacrebleu utilisé, même si c'est plus volontairement usagé que réellement usité. Tout comme jarnicoton et l'imparfait du subjonctif.
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nemosisworld · 1 month
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Je suis - ta passion, ta trêve du dimanche, Ton septième jour - et ton septième ciel.
Marina Tsvétaïéva
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icariebzh · 6 months
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Mon premier est un lundi une semaine qui s'annonce en gare du petit-jour. Mon second est sur le pont et il cherche tant bien que mal, sa mer cachée derrière la brume Mon troisième a pris les couleurs du froid, des pluies et arc en ciel mélangés Mon quatrième est arrivé à temps pour distribuer ses cartes aux autres. Mon cinquième, dans ses rêves d'Amorique hisse la voile pour délaisser le port dont il a déjà oublié les ombres fugitives, tellement il s'empresse de suivre le large. Mon sixième a droit pour lui tout seul à une symphonie de lumières qui incendie le ciel, cap à l'est. Mon septième ne parle plus ou alors il faudrait vraiment prêter l'oreille mais ici tout se vend finalement et surtout son âme à la poésie... Mon huitième n'a plus d'adresse il liquide et s'efface dans la vague. Mon neuvième fait ses prières au vent, à la lune et aux sirènes. Et mon tout forme un ensemble qui n'a strictement rien à voir sauf peut-être un dauphin, loin devant, qui trace pour lui Mais en est-il vraiment sur?
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lisaalmeida · 11 months
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Sur tes lèvres je dépose le plus doux des baisers
Sous tes lèvres tendrement je m'en vais caresser
Le fruit de nos étreintes et de tes sensations...
Sur tes lèvres qui ont un parfum délicieux
J'ai l'impression de m'envoler aux cieux
Entre tes levres qui sont pour moi une merveille
C'est là que j"ai trouvé en toi le septième ciel...
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darefollowme · 1 year
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1. Connaissez-vous bien la fête du Têt vietnamien 2023?
Le Têt Nguyen Dan, ou Tet en abrégé, est la plus grande fête des Vietnamiens et est aussi l’occasion d'accueillir la nouvelle année et de célébrer le passage d’une saison à une autre par le biais de rituels et de festivités.
Le Têt se déroule chaque année en fonction du calendrier lunaire, entre le premier et le septième jour de l’année lunaire, soit toujours entre la dernière semaine de janvier et la troisième de février. La célébration de la fête du Têt est donc la plus longue des vacances qui peut durer jusqu’à sept à neuf jours. Cette année 2023, elle a lieu le dimanche 22 janvier 2023.
Au Vietnam, chaque nouvel an lunaire est placé sous un signe astrologique auquel est rattaché un animal symbolique. Et 2023 pour les Vietnamiens, c’est l'année du Chat, commençant le 22 janvier 2023 et se terminant le 9 février 2024. Selon 12 signes vietnamiens des animaux, le Chat est un symbole de longévité, de paix et de prospérité dans la culture vietnamienne. Ainsi, 2023 s’annonce comme une année d'espoir et de belles opportunités.
2. Activités dans la phase préparatoire avant le Têt
La phase préparatoire du Têt s’avère la meilleure période pour l’immersion culturelle. Les commerces tournent en plein régime pour répondre aux demandes des foyers qui souhaitent bien préparer le Têt afin d’accueillir une meilleure année à venir.
2.1 Culte du Génie du Foyer des Vietnamiens
Le travail de préparation pour la fête du Têt vietnamienne commence généralement à partir du 23 Décembre lunaire, à savoir une semaine avant le Têt, où on célèbre la Fête des Génies du Foyer. Ces génies (Dieu de la cuisine, Dieu de la terre, Déesse des emplettes) quittent le foyer où ils sont hébergés pour s'envoler vers le ciel et faire un rapport de la vie de ce foyer pendant l’année écoulée à l'Empereur de Jade. Les génies lui demandent aussi la chance, la santé, la prospérité ainsi que le bonheur pour les membres de la famille. Ils reviendront dans les foyers la nuit du passage à la nouvelle année.
En réalité, les Vietnamiens préparent les offrandes traditionnelles et en particulier trois carpes en papier ou vivantes qui servent de “moyen de transport” pour que les Génies du Foyer voyagent vers le Ciel. De plus, les gens préparent trois vêtements en papier dont trois chapeaux emboîtés et trois paires de bottes ainsi que les objets votifs en forme d'argent pour ces Génies.
Les plats traditionnels sont déposés sur l’autel pour célébrer les divinités, les ancêtres et prier pour que la nouvelle année apporte une bonne santé et de la prospérité. Après la cérémonie tenue généralement avant midi, les vêtements et les papiers votifs sont brûlés et les carpes sont relâchées dans un étang ou une rivière.
2.2 Nettoyage et décoration de la maison
Une semaine avant le Têt, nettoyer la maison est une tradition du Têt à se débarrasser de l'ancien pour faire de la place au nouveau. Cela porte en effet le message de réorganiser le "désordre" de la vieille année pour en accueillir une nouvelle "pacifique et prospère" avec le Nouvel An plein de chance et de fortune.
Tous les membres de la famille font le ménage à fond dans leur maison et particulièrement les décorent ensemble avec des fleurs pour donner un coup de fraîcheur pour la fête. Les fleurs de pêchers et les fleurs d'abricotier sont des symboles qui apparaissent exclusivement pendant les vacances du Têt. La couleur rouge pâle de la fleur de pêcher apportera de la chance, tandis que le jaune d'abricotier exprime la fortune aux propriétaires.
2.3 Préparation de Banh Chung – gâteau de riz symbolique du Têt
Célébrer le Têt vietnamien signifie aussi “manger tết”, ce qui confirme le rôle important de la cuisine dans le nouvel an lunaire vietnamien. Les Vietnamiens sont tous occupés pour acheter les ingrédients nécessaires afin de préparer les plats traditionnels, surtout le Banh Chung.
Confectionner le Banh Chưng est une activité exprimant le plus précisément l’ambiance du Têt. Même si cette tradition se perd progressivement dans les grandes villes, cette activité traditionnelle reste en vigueur à la campagne.
2.4 Culte des ancêtres
Avant le Têt, les descendants se rassemblent en grand nombre pour rendre visite et nettoyer les tombes de leurs ancêtres.  En allumant des tiges d’encens à l’autel, les vietnamiens invitent dévotement leurs ancêtres à rentrer au foyer pour passer quelques moments en famille. La fumée qui s' échappe sert de lien entre le monde sur Terre et l’au-delà.
Pendant toute la fête, le plateau du foyer est toujours rempli de bons plats symbolisant l’espoir d’une nouvelle année prospère pour toute la famille. Il est certain d’avoir un plateau de cinq fruits différents, tels que des bananes, des pamplemousses, des oranges et d'autres fruits tropicaux pour exprimer les souhaits de la famille. Par exemple : un régime de bananes (unité), le kaki ou piment rouge (chance), le papaye, la pastèque (suffisance), la grenade (beaucoup d’enfants), etc…
Après avoir fait des offrandes aux ancêtres, toute la famille se réunit pour déguster un repas de Têt.
2.5 Réveillon du Nouvel An
Le dernier jour de l'année, tous les membres de différentes générations se rassemblent pour profiter du dernier repas en parlant de ce qui s’est déjà passé dans l'année pour marquer la clôture d’une année. L'atmosphère de la réunion est toujours la plus merveilleuse et la plus heureuse de toute l'année.
À la veille du Nouvel An, les jeunes vont regarder le feu d’artifice, tandis que les personnes âgées et les adultes restent à la maison et font des offrandes pour les ancêtres.
3. Moeurs pendant la fête du Têt
3.1 Prière à la veille
Une fois que les feux d’artifice sont terminés, les gens se ruent vers les pagodes bouddhistes et temples pour solliciter la chance parfois en achetant quelques objets spécifiques tels que des cannes à sucre et du sel. D’une part, les cannes à sucre représentent la retrouvaille familiale, entre les vivants et leurs ancêtres défunts.
D’autre part, le sel, signifiant la mer selon la croyance, est synonyme d’une richesse sans limite. En achetant du sel et des cannes à sucre à la maison, les Vietnamiens espèrent d’avoir une bonne année avec beaucoup de joie et de fortune.
3.2 Coutume “le premier invité qui compte”
Le 1er jour de la nouvelle année, qui est d’une importance cruciale, influence le reste de l’année pour les Vietnamiens. Pour cette raison, la première personne qui franchit le seuil de la maison doit être souvent choisie à l’avance parmi les membres de la famille en observant les signes du zodiaque qui sont porteurs de chance pour ce nouvel an. Cette personne adaptée, douce, joviale et honnête arrive souvent juste après minuit avec de petits cadeaux pour son hôte.
3.3 Rendre visite à la famille et aux amis
“Le premier jour du Têt est pour le père, le deuxième pour la mère, le troisième pour les enseignants”. Ce dicton vietnamien révèle bien le mode de vie pendant le Têt, préservé de génération en génération. Les premiers jours du Nouvel An sont considérés comme les plus importants de la fête du Têt vietnamienne. On rend également visite aux proches paternels et maternels. Les grands offrent aux enfants des étrennes pour leur souhaiter la sagesse et de bons résultats dans leurs études, alors que les petits souhaitent à leurs aînés une bonne santé.
En outre, la rencontre des voisins et des familles vivant autour sert à leur souhaiter de bonnes choses pour la nouvelle année. Cette rencontre aide les gens à se lier ensemble, à supprimer toutes les mauvaises choses de l'année précédente pour accueillir avec joie la nouvelle année. Lors de la fête du Têt vietnamienne, les élèves viennent rendre visite aux enseignants afin de leur transmettre les meilleurs vœux.
3.4 Offrir de l'argent porte-bonheur “Lì Xì”
Les enveloppes rouges “Lì Xì” deviennent une mascotte de la fête du Têt depuis longtemps. Ils sont données aux plus jeunes et aux membres de la famille proche le premier jour de la nouvelle année lunaire. Ces pochettes sont remplies d'argent et porte chance à la personne à qui on la donne et qui nous souhaite la bonne année à cette occasion.
3.5 Demande une calligraphie
En parlant d’art, les Vietnamiens ont pour habitude de se rendre chez un maître calligraphe à cette période de l’année afin de retranscrire leurs souhaits en idéogrammes. On retrouve souvent la paix, le bonheur, la santé, la fortune ou encore la longévité. Cette tradition reflète le grand respect des Vietnamiens pour le savoir et l’enseignement. S’offrir des calligraphies qui dégagent le plus grand espoir pour un nouvel an devient une activité culturelle depuis longtemps.
3.6 Festivals après les vacances du Têt
Le Têt se termine lorsque les papiers votifs sont brûlés et que les offrandes sont retirées des autels pour être partagées à tous les membres de la famille. Il est temps que les gens se joignent à des festivals dans tout le pays, comme le festival des pagodes, les courses de bateaux, ….. Les festivals seront organisés pendant un mois après la fête du Têt.
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jogallice · 3 days
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Aujourd’hui, mercredi 24/04/24, Journée mondiale de la lutte contre les méningites 🙏 Journée mondiale des animaux dans les laboratoires 👀 et Fashion Revolution Day 🤜
J’espère que vous avez pris le temps cette nuit d’observer la Pleine Lune rose d’avril qui devait illuminer le ciel de France 🤩 Visible la nuit dernière à minuit, le spectacle était une illumination complète à 180 degrés opposée au Soleil 🌕
Sept dictons du jour, le septième est offert : « À la saint Fidèle… : 
… débourre la muscadelle.  » 1️⃣
… fleurit la mirabelle. » 2️⃣
… jamais le ciel ne se voile. » 3️⃣
… niche l’hirondelle. » 4️⃣
… plante l’asphodèle. » 5️⃣
… près du bassin reviennent les précieux urodèles. » 6️⃣
… un médecin vous fera payer cher une visite jusqu'à la tour de Babel. » 7️⃣
Et quatre autres dictons pour la route : « Après la saint Fidèle, il est bien rare qu’il gèle. » 🌡 « Pas d'hirondelle à la saint Fidèle et les haridelles deviennent des modèles. » 🐦 « Plante un houx à la saint Fidèle pour décorer sainte Adèle (24 décembre). » 🎄 « Sème des radis la saint Fidèle, tu en récolteras toute une ribambelle. » 👨‍🌾
Bon troisième jour de la semaine à tous et à toutes 🌲
Et bonne fête aux Fidèle 😘 Aux infidèles aussi 😉
📷 JamesO PhotO à Annecy le mardi 23/04/24 📸
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Paris, 1783
Ma chère Virginie,
Ô mon amante, vous souvenez-vous de notre amour ancien ?
À l’origine, je me pavanais dans cette ruelle pour finalement atterrir dans ce théâtre à Paris. La salle était remplit d’aristocrates, mais seul votre regard m’a attiré.
Après cela, je suis retourné plusieurs fois dans ce théâtre et je vous apercevez rayonnante comme le soleil à chaque rencontre. Cela est venu presque naturellement, nos regards timides sont transformés en parole puis en lettres d’amour.
Nous nous sommes revus maintes fois, encore et encore, sauf que cette nuit là était différent, car envahi par les effets de l’alcool. L’ivresse guidait machinalement nos gestes et nous vêtements froisser atterrissaient est sur le sol. Nos esprits embrumés rendaient nos mouvements pressés mais précis. Nos voix s’entremêlaient dans une symphonie parfaite puis arriva le bouquet final, nous montâmes ainsi au septième ciel avec ce douloureux plaisir.
Ô mon amante, vous souvenez-vous de notre plaisir ancien ?
Au réveil, je me sentais comme sur un nuage, et souvenir de l’extase de la veille en coffret rester dans mon esprit. Les tulipes fleurissaient et les oiseaux chantaient , c’était une journée parfaite pour un thé verveine qui coulera dans nos veines et jouera ainsi de ses phénomènes. Lorsque mon regard rempli d’amour et d’espoir avais croisé le votre, vos yeux maussades me confirmèrent vos intentions. Les draps froid et vos gestes brusques me brisèrent le cœur, à cette heure vous vous souciez plus des mœurs que de nos sentiments si passionnels et réciproques . Vos cris me percèrent les tympans et mes milles supplications ne vous arrêtèrent pas. L’orage hurlait mais ses cris n’était pas aussi fort que mes sanglots.
Ce soir-là était différent, même si j’avais vécu vingt cinq années sans vous, je me sentais pourtant si vide et si brisée . Vos mains tremblantes conséquences de vos sanglots incontrôlable, restaient dans mon esprit sans pouvoir s’enfuir. Ce soit là était différent, je voyais deux fois plus d’étoiles que d’habitude, j’étais belle est vivante, mais ce soir là je finirai inerte sur le sol, avec le seul bruit des insectes me tenant compagnie. Si les larmes servaient de remède au malheur, et le pleurer pouvez la tristesse arrêter, je crois bien que je serai guérite depuis bien longtemps.
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game-of-kinks · 8 months
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Septième ciel Toutes les cartes sont dispo sur @tire-une-carte / English version is at @play-my-game
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nemosisworld · 1 year
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Je suis - ta passion, ta trêve du dimanche, Ton septième jour - et ton septième ciel.
Marina Tsvetaieva
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icariebzh · 1 month
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Mon premier est un lundi une semaine qui s'annonce en gare du petit-jour. Mon second est sur le pont   où il cherche tant bien que mal, sa mer cachée derrière la brume. Mon troisième a pris les couleurs du froid, des pluies et arc en ciel mélangés. Mon quatrième est arrivé à temps pour distribuer ses cartes aux autres. Mon cinquième, dans ses rêves d'Armorique hisse la voile pour délaisser le port, dont il a déjà oublié les ombres fugitives, tellement il s'empresse de suivre le large. Mon sixième a droit pour lui tout seul à une symphonie de lumières qui incendie le ciel, cap à l'est. Mon septième ne parle plus ou alors il faudrait vraiment prêter l'oreille; mais ici tout se vend finalement et surtout son âme. Mon huitième n'a plus d'adresse il liquide et s'efface dans la vague. Mon neuvième fait ses prières au vent, à la lune et aux sirènes. Et mon tout forme un ensemble qui n'a strictement rien à voir sauf peut-être un dauphin, loin devant, qui trace pour lui Mais en est-il vraiment sur?
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plumedepoete · 10 months
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Une certaine fille - David Frenkel
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Noémie, petite Montreusienne (habitante de Montreux en Suisse) aux yeux couleur bleu ciel, étincelait de ce charme enfantin qui amène à la chérir. Toutefois, aux yeux de sa mère, Claudine, elle n’était qu’une enfant dont elle devait s’occuper, devoir maternel oblige. Très souvent harassée par la fatigue que lui procurait son travail d’infirmière, elle ne prodiguait à sa progéniture que le minimum vital d’affection. Son père, Paul, directeur d’une grande entreprise spécialisée dans l’innovation informatique, était le plus souvent aux petits soins des clients à l’étranger que de s’occuper avec attention d’un foyer où l’amour paternel aurait pu s’engranger. Les deux géniteurs, eux-même souffrant aussi d’avoir été durant leur enfance en proie à une certaine indifférence affective, succombaient inconsciemment à la chape de plomb de l’indifférence de l’amour parental. En manque de câlins parentaux et engoncée dans son mal-être, Noémie n’avait pas tête à la camaraderie avec les autres enfants de son âge. Elle ne trouvait diversion à sa souffrante existence qu’en s’empiffrant de sucreries. Des bonbons aux biscuits, en passant par les chocolats, tout était bon pour qu’elle oubliât sa faim de tendresse parentale. Cependant, à mesure que Noémie grandissait, la solitude filiale dévorant goulûment les friandises l’engageait dans un cul-de sac qui n’en finissait pas de rimer avec dépression ; et dans les abîmes de la déprime, elle entrevoyait le suicide comme ultime secours. C’était un crépuscule d’été, le soleil dardait se derniers rayons sur la cour de l’immeuble. Croyant sa fille endormie, Claudine entra doucement dans la chambre afin de récupérer la serpillière qu’elle y avait laissée. Elle fut prise d’épouvante lorsqu’elle vit sa fille debout sur le large rebord de la fenêtre oscillo-battante ; ils habitaient au septième étage de l’immeuble. « Que fais-tu, Noémie, descends de là, tout de suite ! Lui hurla-t-elle. – Je veux me suicider ! répondit-elle en s’apprêtant à tourner machinalement la poignée. » Heureusement, la fenêtre se bloqua. Noémie avait oublié que la poignée de cette vieille fenêtre s’ouvrait après avoir pressé sur la languette d’acier. « Mais qu’est ce qui t’arrive, es-tu devenue folle ? – Personne ne m’aime dans cette maison ! Se lamenta-elle en pleurs. – Mais qu’est-ce que tu me racontes ? Papa et moi, nous trimons afin que rien ne te manque, et toi tu nous fais un coup pareil . Allez, descends de là tout de suite. » Noémie se résigna, et descendit de là, non s’en avoir lancé à l’adresse de sa mère : « Sors maintenant de ma chambre.  – Non, je ne te laisserai plus toute seule. lui cria la mère » Reculant sur le seuil de la porte, Claudine appela la cuisinière. Elle lui ordonna de garder sa fille, le temps qu’elle cherchât à contacter le médecin de famille. Celui-ci vint rapidement. Quand il rentra dans la chambre de Noémie, sa mère qui s’y trouvait fut en proie aux sanglots. Après lui avoir balbutié en quelques mots le geste de sa fille, le médecin mit la main sur l’épaule de la maman en disant : « Calmez vous Madame, on va appeler l’ambulance pour amener votre fille aux urgences, dit-il en composant le numéro. » En entendant ces mots, Noémie eut une convulsion de révolte qui se manifesta par des cris inhumains et des gestes d’épouvante. « Non, non, non, pas l’hôpital.  – On t’enlèvera là-bas, tes angoisses, lui dit sa mère. – Je ne veux pas, je veux qu’on m’aime, vociféra-t-elle. – Mais, on t’aime, ma fille, et tu verras, à l’hôpital aussi, tout le monde t’aimera » Loin de la calmer, Noémie tomba en légère épilepsie. Le médecin l’allongea et la mis sur le côté en position latérale de sécurité. Les ambulanciers ne tardèrent pas d’arriver et l’embarquèrent au grand dam de celle-ci. A l’hôpital, on fit à Noémie une injection de la dernière génération. Au cours du mois que dura son hospitalisation, un traitement médicamenteux fut associé à des séances de psychothérapie. Ces séances mirent en évidence le manque d’amour parental dont elle était victime. Avant que Noémie retourna chez elle, le psychothérapeute convoqua les parents et leur en fit part. Si dans un premier temps les parents s’efforcèrent de satisfaire les besoins d’amour de leur fille, leurs efforts avaient pour elle un goût qui refuse de se satisfaire des affections mises en scène, tant cela puait l’artificiel. Aussi tomba-t-elle dans une dépression se manifestant de manière différente. Refusant de se lever le matin, elle resta cloîtrée dans son lit jusqu’à point d’heures. Désemparés, abandonnant toute perspective de guérison psychothérapique, et craignant un second geste suicidaire de leur fille, ils prirent la décision de l’interner à l’asile des aliénés. En plus de leur médecin de famille, ils firent appel à un de ses confrères afin que les deux certificats médicaux nécessaires pour justifier leur demande furent établis. Après avoir obtenu l’autorisation de l’autorité compétente, et devant son refus de se faire interner, on administra à Noémie un sédatif par inhalation qui la plongeait dans un profond sommeil. Internée contre son gré dans une maison d’aliénés, Noémie se réveilla dans une chambre vide de tout mobilier, mais pleine de fantômes imaginatifs. Sa profonde dépression l’amenait à s’imaginer qu’en dehors de la chambre une créature se tenait derrière la porte et attendait qu’elle sorte pour lui planter un couteau, car ses parents désiraient se débarrasser d’elle. Désirant mourir, elle voulu sortir de la chambre, mais la porte était fermée à clé. Elle se recroquevilla alors sous sa couverture, comme elle le faisait à la maison lorsqu’elle avait l’impression d’être une pestiférée. Peu de temps après, un infirmier entra et s’adressa à Noémie : « Venez je vous amène chez le médecin chef qui va vous examiner ». En entendant cette voix qui lui semblait parvenir de la froide maison de ses géniteurs, Noémie eut alors des spasmes de révolte ponctués par des cris. L’infirmier, un homme solidement bâtit, la prit alors dans ses bras et l’emmena dans la salle des douches de l’asile. Le jet d’eau sur la peau la calma. Toutefois, elle continuait de gémir continuellement : « Personne ne m’aime, mes parents m’ont abandonné ici ». L’infirmier devant sa détresse, la remit au lit et appela le médecin qui s’empressa auprès de Noémie. « Tu dis que personne ne t’aime, raconte-moi  donc. – Papa et maman ne m’aiment pas vraiment, hoqueta-t-elle en sanglotant.  – J’arrangerai ça, allez, lui dit le médecin d’une voix douce, allez au réfectoire prendre votre déjeuner. » Accompagnée d’un infirmier, Noémie pénétra dans une salle où étaient installées de grandes tables. Elle s’y attabla, comme les autres malades, seule. Comme c’était le jour où le médecin voyait les familles, il convoqua d’urgence Claudine et Paul. Alors que l’on avait emmenée Noémie à l’atelier d’ergothérapie, les parents se présentèrent devant le médecin. « Je vous ai convoqué d’urgence, car votre fille n’a pas sa place ici, dit-il d’un ton péremptoire. – Pour-pour qu-quoi ? bégaya Paul, le père. – Elle est juste en manque d’amour. – Pourtant, mon épouse et moi, efforçons-nous lui donner. – Vous avez lâchez le mot, la racine de son mal, leur répondit-il avec un sourire narquois. Donner de l’amour à la chair de sa chair, devrait se faire sans aucun effort, cela doit être inné en vous. » Le couple demeurant interloqué, le médecin ordonna ; « Allez, reprenez votre fille, elle n’a rien à faire ici. » Claudine et Paul se rendirent tout penaud à l’atelier d’ergothérapie pour prendre possession de leur fille. Dans cette univers froid et étranger, Noémie en les voyant arriver eu un élan naturel vers ses parents. Les enlaçant affectueusement, elle eu ses mots : « je vous en prie, emmenez-moi d’ici. » Les parents, eux, mus par le sempiternel ressort insensible, l’embrassèrent à peine sur le front. On aurait dit que les paroles du médecin gisaient dans les limbes de leur ego. Comment avait-il osé stigmatiser leur conduite, alors que leur entourage professionnel les portât aux nues ? Claudine était adulée pour son savoir-faire avec les malades, et Paul était grandement apprécié par ses subalternes, tant sa psychologie envers eux était empreinte de sympathie. Les trois s’en allèrent récupérer les affaires. Durant tout le trajet du retour, aucune marque d’affection ne fut adressée à l’enfant ; évitant de la tenir par la main, le papa l’empoignait par le haut du bras comme un simple machin. Inconsciemment, les géniteurs ne pardonnaient pas à leur fille d’avoir enclenché l’appréciation peu flatteuse du médecin sur eux. Arrivés à la maison, Les parents mirent sèchement au pas leur progéniture lorsqu’elle fit la fofolle en chantant à tue-tête. Accablée par tant de carence affective, Noémie, leur hurla : «vous ne voulez pas de moi, alors, je vais me jeter sous une voiture». Puis, elle ouvrit la porte palière, et s’échappa. En dévalant les escaliers, elle loupa la dernière marche, et s’affala de tout son long sur le sol juste au moment où une voisine sorti de l’ascenseur appela les parents. Heureusement la chute fut sans gravité. Après cet incident, les parents changèrent d’attitude et accordèrent à leur fille un tant soit peu d’affection. «Ô notre chérie, s’exclamèrent-ils en chœur, sache que tu es notre bien le plus précieux, même si nous te le monteront pas toujours». Se forçant à être rassérénée, Noémie tenta de reprendre le cours du quotidien. Cependant, la résolution parentale s’effilochant au fil des jours, Noémie ne tarda pas à retomber dans les travers de la dépression, au grand désarroi des parents. Ils finirent par admettre que c’était plus fort qu’eux, ils n’arriveront jamais à donner à leur fille cette sollicitude qui vient du cœur. Aussi se dirent-ils puisse leur fille trouver, à défaut d’amour parental, au moins une amitié sans fard. Un mois après la tentative de suicide, les parents emmenèrent Noémie qui fêtait ses quinze ans dans un des restaurants les plus huppés de la place. Avant qu’on leur eût servi le désert, le papa prit la parole : «Écoute, Noémie, tu es malheureuse chez nous, ne vaudrait-il pas mieux pour toi que l’on t’inscrive dans un internat ou tu pourrais, en plus des études, te faire des camarades, voire des amis ? – Çà marche, répondit-elle.» De ne plus être confrontée à une relation avec les parents se réduisant au nécessaire lui permettrait de lâcher prise à la frustration de ne pas être aimée. Aussitôt décidé, aussitôt fait, deux semaines avant la rentrée scolaire, Noémie fut inscrite dans un internat lyonnais situé non loin du collège qu’elle fréquentait. Toutefois, elle ne pouvait s’y adapter. Sevré d’affection parentale, elle s’était confinée dans une tour de solitude où s’appesantir sur soi-même était sa seule marque d’affection. Son esprit ne concevait pas qu’une relation avec des camarades de classe pouvait lui apporter une satisfaction affective. Aussi, la vie en commun avec les pensionnaires se nourrissait de communications et d’échanges réduites au strict minimum. Déjà en difficultés avec les résultats scolaires à l’école et au collège, Noémie, à l’internat, était toujours en proie avec ceux-ci. A la maison, le manque d’amour parental, la réfugiait en elle-même  Elle, l’enfant rejetée, n’avait que faire des résultats scolaires qui iraient enfler l’égo de ses parents. Ce n’était pas les relations stéréotypées avec les internes qui allait la pousser à sortir de son cocon individuel et avoir des ambitions d’études. Elle rata donc son diplôme de fin de scolarité obligatoire et quitta l’internat une année après qu’elle y fut entrée. Âgée de seize ans, les parents s’inquiétèrent du devenir de leur fille. Ils entretenaient des relations de bonne entente avec le maire de la commune, aussi, Paul, le père saisit-il l’occasion de l’installation d’un ordinateur dans l’appartement du dignitaire pour lui faire part de sa préoccupation. Celui-ci lui proposa d’engager Noémie comme fille à tout faire, car sa bonne de service allait le quitter dans trois mois. Il fut convenu qu’après cette période de mise au courant la fille sera rémunérée selon un salaire fixé après entente entre les parents et le maire. Noémie, devenue femme, ne resplendissait pas d’un éclat particulier. Maigrichonne, fluette, petite tête rondelette, aux yeux verts pâle et à la bouche rétrécie, seul son front plissé sous l’effet de certaines paroles lui donnaient une certaine identité. Assignée aux basses besognes du ménage, et le maire et sa famille la considérant comme un outil à son service, Noémie se raccrochait à sa bouée de solitude qui lui servait si souvent de lâcher prise. Toutefois, lors des rares fois où au hasard des rencontres les gens la gratifiaient de paroles aimables son front se marquait de plis, tant elle fut joyeusement surprise. Chaque mercredi, son jour de congé hebdomadaire, avant de rendre visite à ses parents, elle s’arrêtait en chemin pour s’immerger dans l’ambiance d’un marché qui se tenait non loin d’où ils habitaient. Y déambulant régulièrement, certains habitués la saluaient et lui demandaient comment elle allait. Cette bienséance convenue lui faisaient chaud au cœur et s’extériorisait sur son front, peu habituée qu’elle était à ce qu’on s’intéressât à elle en dehors d’instructions esclavagistes. Huit ans après être entrée au service du Maire, le père de Noémie, Paul, mourut subitement d’une crise cardiaque. Pour son épouse se fut le coup de massue. Leur bonne entente conjugale émerveillait plus d’un. La mort du conjoint déchira comme un poignard la musique amoureuse émanant de deux âmes sœurs. Claudine ne s’en releva pas et tomba dans une grave dépression l’entraînant dans un état grabataire qui se prolongea dans le temps. La magnanimité jaillit alors des profondeurs intimes de Noémie ; elle avait beau avoir gros contre sa génitrice, mais la magnanimité portée par la force du cœur la conduisit auprès d’elle. Ce qui ne l’empêcha guère d’être agitée par des pensées hostiles. Ainsi, bien des disputes et réconciliations nourrissaient leurs relations. Quelques temps passèrent ainsi entre l’occupation de Noémie au service du Maire et le cœur au service de la maman, cela jusqu’au jour où les capacités psychiques de cette dernière se détériorèrent jusqu’à tomber dans une sénilité précoce. De condition modeste, et devant se contenter d’une assistance sociale minimale, la maman devint dépendante de l’aide que lui apportait sa fille. Celle-ci faisait de son mieux. Cependant, les altercations provenant de malentendus dus à la perte de mémoire empoisonnaient de plus leurs relations. La mer de souffrance prenait un goût de rance. Un jour de grande désespérance, la mère et la fille entrèrent en transe ; la mère s’époumona : « Ciel atroce », la fille cria : « Nature féroce » ; les deux éclatèrent en longs sanglots coulant à flots. Epuisées, elles gisaient inertes, et, quand par leur fenêtre ouverte, une musique émouvante, envoûtante, magnifia ces deux existences éprouvantes, le Requiem du divin Mozart, passa par là comme par hasard. Claudine mourut sur le champ prise d’une crise d’épilepsie. Quant à Noémie, elle succomba d’une crise cardiaque. Sainte Noémie, tu t’es sacrifiée pour ta mère ; attachée à son esprit, tu fleuris la terre.                                                             F I N David Frenkel Read the full article
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manounoucka · 10 months
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Cette passion était encore plus séduisante qu’avant et me redonner un sentiment que l'éternité pouvait être rassemblée qu’en un seul instant : ce présent ensemble. Quand on ressent cet amour pour quelqu'un, cela dépasse en intensité tout le reste. Je penser ressaisir cette occasion unique, magnifique et fascinante qui me re transporter au septième ciel rien qu’en étant à côté de lui. Cette passion amoureuse etait un embrasement, un feu qui ravager tout mon négatif : mon passé pesant, tout ces souvenirs douloureux, le mal que l’on avaient pu se faire mutuellement des années avant, son interminable absence. Mes sentiments dépasser une fois de plus ma raison, j’étais dans un état tel que le temps s’arrêter lorsqu’il me resserrer enfin contre son corps.
Mais finalement j’étais seule à le ressentir. Seule à y croire. Il ne m’a laisser que dû désespoir et la sombre envie de replonger dans mon échappatoire.
Broken. Broken. Broken.
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diagirlsrua · 11 months
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Character: Sakamaki Reiji
CD: とある預言者の、運命 Seiyuu : Katsuyuki Konishi Mai : Le fait que cette chanson inclut littéralement une licorne et de l'allemand, est la raison pour laquelle son adaptation a été une torture pour moi. J'ai beau avoir de la famille Allemande, je ne comprends pas un mot d'allemand, alors, entendre Reiji parler Allemand fut... Compliqué, pour dire. Mais en outre, même si Mr Butterfly Mask reste ma favorite, celle-ci est la seconde. Lien de la chanson: ici.
A certain Prophet’s Fate
鬱蒼とした黒い森(シュヴァルトヴァルト)
処女を溺愛(うやま)う、ユニコーンの背に乗り
皓皓(こうこう)と光る月、風が戦(そよ)ぎ、
妖精たちの祈祷(ざわめき)に、心躍らせて疾駆する
Au sein de la dense foret noir de Schwarzward, 
En seinte adoration de la vierge, chevauchant un cheval à corne, 
Une lune lumineuse, une brise fraîche, 
Accompagnée des turbulents rituels, les coeurs s’emballent davantage
契約した『悪魔』の追撃が あるとも知らずに──
Inconsciente que la “calamité” contracter s’avance—
あゝ、愚かなる少女(もの)よ(零落(おちぶ)れて)
その硝子の仮面は(罅(ひび)割れて)
決して 振り返らぬ約束を反故(ほご)した罪
Ah, mais quelle petite chose insensée es-tu, jeune fille (tombant en ruine) 
Ce masque de verre qui t’appartient (commence à se craqueler) 
Décidant, sans jeter un regard vers les promesses déchirées par tes péchés. 
「貴女にはあれほど、きつく言ったというのに」
“Tu n’en fais qu’à ta tête, même si je t’ai prévenue fermement.”
猛り狂った一本角、天高々突き上げられ
乱れ咲く薔薇(ヴィ・ローゼ) 顔に飛び散った
真紅の呪詛(ジュソ)は 我が眷属の運命(シックザール)
堕ちた魂(ゼーレ)、もう二度と……
Une solitaire corne pleine de rage, décidée à s’orienter vers les Septièmes Ciels
Comme une rose à l’éclosion chaotique, éparpillée sur ton doux visage
Le carmin profond, la nature de la malédiction née du destin même de notre famille
Une âme damnée, qui ne-... 
「逃げられないと知れ!!」
“Tu sais que tu ne peux t’échapper !!” 
失踪してく知識体系(ヴィァセンシャフト)
秩序(ゲフュール)を毀(こわ)した、恥知らぬ拳(て)により
罪々(SinSin)と積もる雪、贖(あがな)えなく
城壁すらも凌駕し、神に祈っても手遅れで
Une science mourante, 
Tes apparences démolies, sous l’emprise d’un poing désinvolte, 
Tandis que ces péchés s’empilent tels de la neige, il n’y a plus d’espoir pour la rédemption, 
Leurs grandeurs surpassant les murs de ton château, il est trop tard pour prier Dieu lui-même
永遠の代償、その、『虚無』を受け止められず──
Incapable de saisir ce rien absolu, ce prix éternel—
あゝ、夢を見た罰よ(なぜ、見るか)
この螺旋の迷路は(続いてく)
断じて 吸血(す)い尽さぬ、規則(りせい)を保てなく
「クククッ……それとも、今すぐ、逝きたいと?」
Ah, cette punition dont tu rêvais. (Pourquoi l’ai-je aperçu ?) 
Ce labyrinthe circulaire ne (possède aucune fin) 
La seule issue, à moins que ne t’assèche, les lois de la logique n’y survivront pas. 
“Hmhmhm… Ou alors, préfères-tu mourir d’ores et déjà?” 
欲に狂った疾風(シュトゥルム) 、野原(のうり)を凪ぎ、刈り獲られ
霧散した薔薇(ヴィ・ローゼ) 脳を横切った
真紅の残存理念(ゲデヒトニス)は 我が眷属の運命(シックザ-ル)
堕ちた魂(ゼーレ)、もう二度と……
Dans cet ouragan mené par le désir, mon esprit atteint l’accalmie, tout sens de la pensée se tarissant. 
Comme une rose volant à l’éclat, tranchant mon esprit même
Ce seul souvenir étant le destin de notre famille 
Une âme damnée, qui ne-... 
「……──離れては、いけません」
「クククッ……もう、理解して頂けたでしょうか?」
「貴方は私に吸血(す)われ続ける運命(さだめ)なのです」
「……──この予言は、絶対です」
「……だから、目覚めなさい……」
「我が眷族(いちぞく)となって覚醒するのです」
「暗闇(やみ)の中(あと)でしか視えない何かを、貴方と……」
「……──感じたい」
“Je ne te laisserai jamais partir… ” 
“Hhm, tu devrais avoir compris désormais, n’est-ce pas ?” 
“Il en va de ton destin, que ton sang devienne mien.” 
“Cette prédiction est absolue.” 
“Alors… Réveille-toi.” 
“Éveille-toi et devient une partie de notre famille.” 
“Au sein de ses ténèbres, aveuglé par la noirceur, à tes côtés…”
“Je veux pouvoir le ressentir !”
猛り狂った一本角、天高々突き上げられ
乱れ咲く薔薇(ヴィ・ローゼ) 顔に飛び散った
真紅の呪詛(ジュソ)は 我が眷属の運命(シックザール)
堕ちた魂(ゼーレ)、もう二度と……
堕ちた魂(ゼーレ)、もう二度と……
Une solitaire corne pleine de rage, décidée à s’orienter vers les Septièmes Ciels
Comme une rose à l’éclosion chaotique, éparpillée sur ton doux visage
Le carmin profond, la nature de la malédiction née du destin même de notre famille
Une âme damnée, qui ne-... 
「……──わかりましたか?
よろしい、それでは永遠(とわ)に、私のものになりなさい」
“L’as-tu désormais compris ?
Très bien, dans ce cas, devient mienne pour l’éternité.” 
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les-petites-meufs · 1 year
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Avec une jolie jeune femme ronde
Ce n'est pas pour rien que je me montre presque nue comme cela devant toi, mais c'est surtout parce que j'ai atteint que l'on s'occupe de moi dans cette position. Tu vois que je suis une jolie femme ronde, tu aimes les gros seins ? Les gros culs ?La vérité, c'est que je ne suis pas farouche dans la chambre à coucher, et je suis même capable de belles prouesses. Tu pourrais peut-être vérifier par toi-même ?
Je n'ai trouvé personne cette année, et j'avoue que c'est un échec en ce qui me concerne. D'ordinaire, j'arrive toujours à passer quelques mois avec un homme, mais cette fois-ci, je ne suis tombée que sur des clochards. Pas eu envie de les revoir une deuxième fois. Alors j'espère qu'avec toi ça va changer, et que tu sauras me faire monter au septième ciel.
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