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#agent du nucléaire
francoisege · 2 years
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On ne peut défier la chance impunément
On ne peut défier la chance impunément
Nous étions si fragiles…     Mais Dieu allait abandonner la France… L’énergie électrique française était produite, depuis le dernier quart du vingtième siècle, par une cinquantaine de réacteurs dont plus de la moitié avaient dépassé depuis longtemps la limite d’âge prévue par leurs concepteurs, et que l’exploitant rafistolait tant bien que mal en dépensant des sommes inconsidérées pour assurer…
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lepartidelamort · 4 months
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Déjà, il faut savoir qui produit cette « étude ». Ou plutôt qui finance quoi.
Sur 1 847 105 €, le réseau « Action Climat » est financé à hauteur de 1% par ses adhérents, mais à plus de 50% des fonds privés. Le gouvernement ajoute 31% du total.
Voici la liste des financeurs ayant soutenu le Réseau Action Climat en 2022 :
Agence française de Développement (AFD) Agence de la Transition Écologique (ADEME) Climate Works Commission Européenne (Programme LIFE) ECOS EUKI Feedback Fondation Carasso Fondation Européenne pour le Climat (ECF) Fondation pour le Progrès de l’Homme (FPH) Fondation Oak Mairie de Paris Ministère de l’Europe et des Affaires étrangères Ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des Territoires
Dès lors que l’on trouve la Commission Européenne, on sait à quoi s’en tenir. La municipalité écolo-socialiste de Paris est du même calibre.
Le plus intéressant est toutefois l’identité des fondations privées, car nous parlons nécessairement de fonds issus du monde des affaires, pas des impôts.
La fondation Feedback a été créé par Hal Harvey, un agent des familles Rockefeller et Hewlett qui a été chargé d’infiltrer les bureaucraties gouvernementales de nombreux pays.
Il a été baptisé « l’écologiste le plus puissant du monde » par le journal allemand Die Zeit. Disposant de fonds illimités pour recruter, former et soudoyer, il a méthodiquement pris le contrôle du ministère de l’économie allemand après une décennie d’infiltration. C’est lui qui a nommé l’un de ses associés à la tête du ministère, l’écologiste de gauche radical Robert Habeck.
Vu de France, personne ne comprend l’acharnement du gouvernement allemand à poursuivre une politique anti-nucléaire tout en s’alignant sur Washington qui mène une guerre contre l’alliance énergétique germano-russe. Sans le gaz russe, l’industrie allemande est condamnée à moyen terme face aux concurrents mondiaux.
Les Allemands ne le comprennent pas davantage. Une enquête de novembre dernier indique que 73% de l’opinion allemande désapprouve l’action du gouvernement Scholz. Les écologistes sont à 12% d’intentions de vote. Il faut préciser qu’en plus de Habeck, l’écologiste Annalena Baerbock occupe le ministère des Affaires étrangères où elle impose les vues des juifs de Washington, tant sur l’Ukraine que la Palestine.
Une autre fondation citée est la fondation Carasso, de son nom complet Fondation Nina et Daniel Carasso. Daniel Carasso est le juif séfarade qui a fondé Danone. La fondation est dirigée par leur fille, Marina Nahmias.
La Fondation Européenne pour le Climat est une organisation fondée en 2008 qui est présidée depuis 2017 par la juive séfarade Laurence Tubiana. C’est elle qu’Emmanuel Macron avait mandaté pour circonscrire la crise des Gilets Jaunes via la Convention citoyenne pour le climat.
La crise avait été déclenchée par la hausse mécanique des taxes sur le carburant votée par la majorité socialiste sous la présidence Hollande, première étape vers le rationnement de la consommation de la classe moyenne maquillée en « écologie ».
La fondation Oak, quoique officiellement située en Suisse, est une structure légalement basée dans l’île anglo-normande de Jersey, un paradis fiscal d’où elle gère une fortune colossale. Rien qu’en 2018, elle a accordé 350 millions de dollars de dons à diverses initiatives, notamment contre l’utilisation des énergies fossiles. Après des recherches poussées, la presse américaine a découvert qu’elle était indirectement contrôlée par la Banque Royale du Canada via une filiale, la RBC Trust Company Jersey Limited.
La Banque Royale du Canada n’est pas détenue par l’État Canadien, mais par des actionnaires, dont le groupe Vanguard qui gère plus de 7,000 milliards de dollars d’actifs dans le monde.
Personne ne va jamais voir qui finance ces coquilles vides écolo-réchauffistes qui payent des provocateurs pour bloquer les routes ou saccager les musées.
De bout en bout, la finance internationale est le commanditaire et cette finance veut que la plèbe intègre l’idée qu’elle ne pourra plus manger de viande, ni rouler en voiture.
Le discours sur l’apocalypse climatique ne sert qu’à faire accepter une baisse drastique du niveau de vie, baisse devenue inévitable avec l’énorme masse de dettes qui écrase les états occidentaux.
« Les résultats montrent qu’il est possible de réduire de 50% la consommation de viande tout en satisfaisant l’adéquation nutritionnelle et sans avoir recours à des produits enrichis ou à des supplémentations », ce qui « conduirait à une réduction de l’impact carbone de l’alimentation comprise entre -20% et -50% selon le type de changements alimentaires associés ». L’alimentation représente 22% de l’empreinte carbone de la France, et « 60% de ces émissions proviennent de la production, au niveau agricole, des aliments que nous consommons ». L’étude souligne qu’en France, « après deux décennies de baisse entre 1990 et 2012, la consommation de viande par habitant affiche une légère hausse depuis une dizaine d’années ». « La consommation de poulet par habitant en France a en effet plus que doublé entre 2000 et 2022 », ajoute l’étude. Plus généralement, « la quantité de viande consommée par habitant en France est aujourd’hui deux fois supérieure à la moyenne mondiale ».
La moyenne mondiale est notamment calculée en intégrant ce que mangent les noirs et les indiens tous les jours.
Tant que vous mangerez à votre faim, les financiers internationaux estimeront que vous vous gavez, vous et vos enfants, et ils voudront vous enlevez le pain de la bouche pour vous ramener dans le rang.
Le réseau Action climat, qui fédère une trentaine d’associations, et la Société française de nutrition, ont effectué « un travail de modélisation de régimes alimentaires durables » avec le bureau d’études MS Nutrition. L’étude prend comme référence les engagements pris par la France dans le cadre de sa 2e Stratégie bas carbone, qui vise notamment une réduction des gaz à effet de serre de son secteur agricole de 46% d’ici 2050.
Ce sont aussi ces financiers qui éradiquent les agriculteurs avec un mécanisme de concentration des fermes. L’accumulation de normes pseudo écologiques visent à éliminer d’office les agriculteurs qui ne peuvent pas suivre. L’objectif est de détruire la capacité de production.
Si vous vous demandez pourquoi ces financiers planifient cette liquidation des koulaks, c’est très simple : pourquoi attendre une dépression sans précédent, avec son lot de révolutions et de violences, si l’on peut ajuster la demande en compressant l’offre autoritairement ?
Pas d’offre, pas demande, c’est facile.
Dans l’esprit des financiers internationaux, il faut vider les étalages avant que les plébéiens ne soient trop pauvres pour se payer quoi que ce soit et ne demandent des comptes.
En leur disant que s’il n’y a rien dans les magasins, c’est pour survivre à la fin du monde, les affamés sont censés avoir l’impression d’être des ascètes, pas des gueux.
C’est un pari risqué, mais les banquiers juifs sont décidés à le tenter.
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neverfadeaway-rpg · 1 year
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▬ Chronologie de NIGHT CITY ▬
TW ; Guerre, nucléaire, morts.
▬ 1994 ; Fondation de la ville _ Née au cœur de la Californie en tant que Coronado City, la ville est renommée en 1998 en Night City, en hommage à Richard Night, son fondateur.
▬ 1996 ; les USA s'effondrent _ Le gang des 4, un groupe formé par des agents du FBI, de la CIA, du NSA et de la DEA, s'applique à infiltrer le gouvernement et à tout détruire de l'intérieur. On appelle l'événement The Collapse, littéralement la chute des USA ; la bourse mondiale disparaît et le dollar s'effondre, les américain·e·s vivent une des périodes les plus sombres de leur histoire. ▬ Du fait de leurs statuts spéciaux et importants, les corporations trempent partout dans le monde en politique, dans les gouvernements, tirent les ficelles... Ce qui ne pouvait mener, à un moment ou à un autre qu'à un conflit, d'une envergure aussi grande que l'influence des corporations : une guerre. ▬ La 1ère guerre des corporations a éclaté entre Euro Business Machines et Orbital Air en 2004 - un de ses deux principaux affrontements a lieu en orbite - tandis que la 2ème guerre corporative a débuté en 2008 et a opposé deux géants du pétroles, SovOil et Pétrochem. Ces guerres n'ont pas eu un impact véritablement mondial mais ont démontré aux puissant·e·s que ce genre de pratique était "une façon de faire du commerce et du business tout à fait viable". C'est ce qui a entraîné des conflits beaucoup plus importants, comme la 3ème et la 4ème guerre des corporations.
▬ 2016 ; 3ème guerre corporative _ Aussi appelée Guerre du Net, cette guerre a eu une ampleur énorme en opposant plusieurs corporations mineures mais dans un combat de netrunners sur le NET. Elle se termine lors de la même année, et elle entraîne la chute du NET tel qu'on le connaissait à l'époque. 80% du world wide web est détruit.
▬ 2022 ; 4ème guerre corporative _ Opposant les deux mégacorporations Militech et Arasaka, cette guerre-là a directement impacté Night City lorsqu'en 2023, une équipe de la première corporation a posé une bombe dans la tour de la seconde, en plein centre de la ville, détruisant une partie de la place centrale, Corpo Plaza, dans le City Center. Arasaka perd cette guerre et est exclue hors du territoire. ▬ La bombe qui a détoné dans la tour a tué 15k de personnes sur le coup, et on estime qu'avec les radiations, l'effondrement des buildings autour et toutes les conséquences qui s'en sont suivies... le nombre de victimes tourne autour des 100k. Pendant plusieurs années, le centre de Night City a été nommé "Hot Zone", n'étant rien d'autre que des débris, des radiations et des ruines. ▬ La reconstruction de la Corpo Plaza dans City Centre est entreprise en 2030 et dure des dizaines d'années. ▬ Entre 2025 (fin de la guerre) et 2040, les NUSA prennent forme et deviennent les Nouveaux USA.
▬ 2070 ; Guerre d'Unification _ Night City devient une cité-état, en signant un traité d'indépendance avec les NUSA. Arasaka ayant apporté son aide dans cette entreprise, la corporation est autorisée à revenir sur le sol américain. Les états indépendants continuent de tenir tête au gouvernement pour garder leur statut, encore de nos jours, les NUSA cherchant perpétuellement à revenir à une unification complètement.
[ spoilers du jeu pour 2077 ]
▬ 2077 ; Attaque de la tour Arasaka _ La nouvelle a fait grand bruit, donnant aux citoyen·ne·s de la ville une impression de déjà vu ; un·e mercenaire s'est attaqué à la tour d'Arasaka et a détruit Mikoshi ; la data fortress qui servait à Arasaka pour stocker les âmes avec leur programme relic.
[ fin des spoilers ]
▬ 2078 ; début d'année, date encore inconnue, 21h43 _ il se passera un truc, probablement _ vous le saurez très bientôt, promis;
Voici pour la cinquième annexe dévoilée, tournée autour de la chronologie de Night City. N'hésitez surtout pas si vous avez des questions, notre ASK est ouvert, et vous pouvez également nous retrouver sur notre discord !
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entomoblog · 2 months
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Comment les rayonnements aident-ils à lutter contre les insectes ravageurs, y compris en lutte biologique ? | AIEA
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Les rayonnements peuvent aider à surveiller et à combattre les ravageurs, et ainsi à prévenir les risques que ceux-ci constituent pour la santé humaine et animale, les écosystèmes et la sécurité alimentaire.
  Vladimir Tarakanov, Bureau de l’information et de la communication de l’AIEA
Ruchen Zhao, Bureau de l’information et de la communication de l’AIEA
  25/04/2024
  "... Les méthodes radiologiques de lutte contre les ravageurs sont notamment la technique de l’insecte stérile (TIS), la stérilité héréditaire et la lutte biologique."
  [...]
  Contrairement à la TIS et à la méthode de la stérilité héréditaire, qui reposent essentiellement sur les techniques nucléaires, la lutte biologique n’utilise ces techniques que dans des cas spécifiques.
  Les rayonnements peuvent être utilisés pour améliorer les résultats, le rapport coût-efficacité et la sûreté de l’élevage, du transport et du lâcher de ces ennemis naturels des ravageurs. Ils permettent également d’améliorer les résultats de la méthode et de réduire certaines contraintes d’utilisation. Par exemple, les rayonnements peuvent être utilisés pour réduire les coûts d’élevage d’agents de lutte biologique.
  Dans le cas des parasitoïdes, ils peuvent aider à affaiblir les défenses naturelles de l’insecte hôte (réponse immunitaire) pour accroître la productivité et le taux de survie des parasitoïdes, tout en prévenant le développement des insectes hôtes, pour que seuls les parasitoïdes émergent des pupes. Lorsque certains insectes hôtes survivent, les rayonnements permettent de les stériliser pour éviter de lâcher des insectes hôtes fertiles, qui peuvent devenir des parasites dans leur nouvel environnement (voir l’infographie).
  Dans certains cas, de faibles doses de rayonnements peuvent également favoriser la reproduction de certains prédateurs et faciliter ainsi la lutte biologique dans les zones où ces prédateurs ne menacent pas certaines populations d’insectes.
  L’irradiation facilite également le transport d’insectes prédateurs et de parasitoïdes (agents de contrôle biologique). Lors du transport, les parasitoïdes peuvent avoir besoin d’insectes hôtes pour survivre, et les insectes prédateurs peuvent avoir besoin d’autres insectes pour se nourrir. Ils sont donc généralement transportés avec leurs « insectes proies » ou les œufs de ces derniers. Toutefois, les parasitoïdes ne détruisent pas tous les insectes hôtes. Si ces derniers parviennent à survivre lors du transport et sont lâchés dans l’environnement, ils deviendront des ravageurs. En irradiant l’insecte hôte avant le transport, on s’assure qu’aucun nouveau ravageur ne sera lâché accidentellement dans la zone de lutte biologique."
  [Image] La lutte biologique permet de combattre les insectes ravageurs et l’irradiation de l’hôte de l’agent de lutte biologique permet d’éviter l’introduction accidentelle de nouveaux ravageurs dans l’environnement (Infographie : Adriana Vargas/AIEA).
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infosisraelnews · 5 months
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L'Iran a exécuté un "conseiller de Khamenei" accusé d'espionnage pour le compte d'Israël
Les services de renseignement des Gardiens de la Révolution ont arrêté Mohsen Sarwani (24 ans) et l’ont accusé d’aider le Mossad israélien. En outre, trois agents du Mossad auraient été arrêtés et auraient projeté d’assassiner des scientifiques nucléaires. Selon le rapport, il s’agissait d’un étudiant en droit de 24 ans qui conseillait le guide suprême iranien Ali Khamenei. Saravani a déclaré…
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news24fr · 1 year
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Le Premier ministre pakistanais Shehbaz Sharif a déclaré qu'il était honteux qu'un pays, qui est une puissance nucléaire, doive mendier au milieu de son économie défaillante, a rapporté The News International. S'adressant à la cérémonie d'évanouissement des agents stagiaires du Service administratif du Pakistan (PAS) samedi, Shehbaz Sharif a déclaré que cela l'embarrassait vraiment de demander de nouveaux prêts, ajoutant que la recherche de prêts étrangers n'était pas la bonne solution pour relever les défis économiques du Pakistan, car les prêts le feraient. doivent être retournés. Il a déclaré que lors de sa récente visite aux Émirats arabes unis (EAU), le président Cheikh Mohammed ben Zayed avait annoncé un nouveau prêt d'un milliard de dollars au Pakistan. S'exprimant à l'occasion, le Premier ministre pakistanais Shehbaz Sharif a également félicité l'Arabie saoudite pour son soutien financier, ra rapporté The News International. Pendant ce temps, le Pakistan envisage d'approcher des pays amis, en particulier l'Arabie saoudite, pour des dépôts supplémentaires sur une base immédiate dans le but de combler le financement jusqu'à ce que les choses soient finalisées avec le Fonds monétaire international (FMI), ont déclaré des sources à The News International. Des sources gouvernementales ont déclaré que les autorités saoudiennes «étudiaient» la perspective de nouveaux dépôts au Pakistan au milieu de la crise des réserves de change. Un haut responsable du ministère des Finances a déclaré que la situation politique incertaine entravait le processus de prise de décision, rendant difficile pour les décideurs politiques de faire les choix difficiles nécessaires à la relance du programme du FMI, selon le rapport. Des sources officielles ont indiqué à la publication que le gouvernement n'a pas beaucoup de temps pour agir car les réserves de change détenues par la Banque d'État du Pakistan (SBP) s'épuisent à un rythme rapide. Au 6 janvier, les réserves de change détenues par le SBP s'élevaient à seulement 4,3 milliards de dollars. Les réserves en devises des banques commerciales s'élevaient à 5,8 milliards de dollars, portant les réserves cumulées du pays à environ 10,18 milliards de dollars. Les réserves de SBP ont chuté de 12,3 milliards de dollars au cours des 12 derniers mois ; de 16,6 milliards de dollars le 22 janvier 2022 à 4,3 milliards de dollars le 6 janvier 2023. Il y a quelques jours, Shehbaz a laissé entendre que la mission d'examen du FMI pourrait se rendre au Pakistan, mais cela n'a pas encore eu lieu, a rapporté The News International. Les experts disent qu'il y a un manque de compréhension pour aller de l'avant et que la situation a atteint un point où seule une action avec une vision claire peut éviter la crise. De plus, la stratégie du gouvernement visant à obtenir des apports en dollars des pays amis et à les utiliser comme financement relais jusqu'à ce que le programme du FMI soit relancé a jusqu'à présent échoué. Des pays amis comme l'Arabie saoudite ont étudié la possibilité d'un dépôt supplémentaire de 2 milliards de dollars, mais on ne sait pas encore combien de temps ils prendront pour prendre la décision, a rapporté The News International. Les Émirats arabes unis (EAU) ont également accepté de renouveler 2 milliards de dollars de dépôts existants, mais rien de précis concernant la demande de dépôt supplémentaire de 1 milliard de dollars n'a été mentionné dans une déclaration conjointe publiée à l'issue de la visite du Premier ministre dans le pays. Notamment, la visite de la mission d'examen du FMI n'a pas encore été confirmée en raison de l'incapacité du gouvernement à prendre des décisions impopulaires, notamment la hausse des tarifs du gaz et de l'électricité et la prise de mesures fiscales supplémentaires. Les mesures sévères prises par le gouvernement ne pouvaient qu'ouvrir la voie à l'achèvement de la 9e revue en cours dans le cadre du mécanisme élargi de financement (EFF), a rapporté The News International.
(À l'exception du titre, cette histoire n'a pas été éditée par le personnel de NDTV et est publiée à partir d'un flux syndiqué.)
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zehub · 2 years
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Appel à la grève dans les centrales nucléaires françaises Si la grève venait à durer, cela pourrait mettre à mal le calendrier de redémarrage de réacteurs d'EDF.
[VIDÉO] ▶️ L’intersyndicale CGT- CFE-CGC/Unsa - CFDT a lancé un appel aux agents du parc nucléaire français pour l’organisation d’une journée de grève, ce jeudi 6 octobre. Une revalorisation des salaires sera réclamée pour faire face à la crise. Si la grève venait à durer, cela pourrait mettre à mal le calendrier de redémarrage de réacteurs d'EDF. · Sujets de société : Appel à la grève dans les centrales nucléaires françaises.
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lecoque · 2 years
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******* INFO-POÉTIC *******
******* PHRANCOPHONÉC *******
******* T A Y T A Y *******
---------------- APOLLO 23 CNAS ---------------
Revenir on arrière se n est de la fuite
Ou se retirer on ariere se n est la retrait
marcher on ariere se n est de la charette
Ou on ariere toute se n est de la rinette
On refait les calcules que pour les recette
Et on refait les compt que pour les dettes
Et on refait les analyses que pour les doute
on refait les docier classer pour fair requette
Toute répétition est benefic pour les decouvrte
On retrouve des resulta faux et non exact
On retrouve se qu on a oublier par votre faute
on retrouve d autres gent introduit sur la listte
on retrouve d autres agent qui brouille la pist
Si on retourne on trouve l abondoner des citte
Si on retourne on trouve l oublier des ritte
Si on retourne on trouve la victime des put
Si on retourne on trouve l inocent des mixette
On trouve LE proprietre de la cnas des satelite
On trouve LE proprietre d air bus des transit
On trouve LE proprietre du t.g.v ferovial bregit
On trouve LE proprietre de la cea du total zite
Veronica le proger airo naval d akeoukhe targit
Ariane la derivee concubine d essa la violette
Le redoutable sous-marin nucléaire tret vite
La fayette le souverain rose de lee la fayitte
On retrouve que s est lui pour chanel sa bite
paris saint germain le prince de gaule mouzabit
Pour L O.M marceille le prince petain le hacanit
Pour CAP RASSE EL HAMERA red star et poet
banque EL AHLY le coque mi azehary mi coopT
Pour la nasa le pant franco-americain qu un mit
Pour holywood disny de brodway de canne cote
Pour Washington joker du petrol et gaz des hut
Pour tenessee couronne d oum keltoum d egypt
Queen rock and rol ou jamaic ithiri ithioupi haitit
malika de la radio television du cair d el houcinit
Philips franco-musulmant odio visuel art ou r.t
Tele com de la bibliothec de de gaule du tv.net
Orascom tele com du nord afric oronge com bet
Mobelis mobil djizi ouridou bouig tele com tete
Le retour cause la revision pour vérifier les idit
Le sans scrupule anti americain na pas de limite
Pour devnir à la place d un autre comme un illit
Pour l eter il fallait eter offetiellement un pipit
Non d etre un sainge qui copie tout et qui immit
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******* D A V I N C H I *******
(Idicas poem tremblr info- poetic le votre)
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encontrefr · 3 years
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S’opposer au concept de résilience ? Enjeux politiques et musicaux d’une notion.
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En février 2021 sortait l’ouvrage de Thierry Ribault illustrant un tournant participationniste des politiques publiques par l’expérience de la catastrophe nucléaire de Fukushima. Contre la résilience, à Fukushima et ailleurs ( l’ouvrage de Thierry Ribault, publié à l’Échappée ) propose de défaire ce que serait une «  idéologie » de la résilience, accusé de se «  faire passer pour la réalité alors qu’elle ne fait qu’exorciser la catastrophe, la dépouillant de son caractère profane en la consacrant »[1] À partir de cet ouvrage, en somme très pertinent concernant l’expérience japonaise, il convient de se demander si la résilience serait l’équivalent de la pensée confondant mérite et malheur.
À l’heure d’une crise sanitaire sans fin, où les gouvernements demandent à toutes et à tous résilience et patience, comment l’expérience politique de la résilience nucléaire japonaise permet-elle d’éclairer celle, actuelle, issue de la pandémie de covid-19 ? Comment la techno apparaît comme révélateur, ou point aveugle, de cette résilience dans le discours gouvernemental ?
De l’utilisation d’une notion à un concept
Revenons tout d’abord à l’avènement de la notion. La résilience, c’est tout d’abord un héritage sémantique lié aux matériaux. Le terme traduit leurs capacités à « absorber de l’énergie sous l’effet d’une déformation ou d’un choc, avant de revenir à un état initial ». Adaptation et solidité, donc.
Depuis les années 40, la notion est utilisée principalement en psychologie positive puis elle rentre principalement dans le champ de l’écologie dès les années 1970, face à la catastrophe annoncée. À partir des années 1990 et 2000, la notion est associée à un ensemble d’« expériences douloureuses » individuelles ou collectives (maladies, deuils, catastrophes naturelles, crises économiques/sociales/ sanitaires, etc.)
En France, la notion a été importée et popularisée principalement par les travaux du neuropsychiatre Boris Cyrulnik pour aider notamment les agents faisant face à toutes sortes de traumatismes et d’épreuves. D’inspiration Nieztchienne, même si le trauma percute et laisse son empreinte dans le corps, la résilience permettrait de sublimer l’expérience, en tout cas, de continuer d’exister.
Et c’est ici que Thierry Ribault intervient : la résilience est dangereuse, principalement en politique publique.
Faite d’adaptation et de pliage, la résilience a pour objectif de se renforcer en quelque sorte après ladite épreuve.
Pour Ribault, plus simplement, elle est « l’art de prétendre résoudre l’impossible ». Si cette notion est désormais rentrée dans le langage commun – en témoignent les nombreux appels à la résilience depuis plus d’un an – la notion peut devenir concept politique lorsqu’elle est la solution, et non plus seulement une façon de faciliter les solutions à apporter, car « c’est là le principe de la résilience : préparer les récepteurs au pire sans jamais en élucider les raisons ».
Préparer au pire : confinements sur confinements, plus de musique techno depuis plus d’un an. Prévisions annoncées : 2021 sera l’ère des épidémies, il faudra faire face. Mais comment faire face ? En s’habituant ? En étant « résiliant » ?
On a vu que finalement, fin avril 2021, les confinements à la chaîne et le couvre-feu à 19h depuis presque sept mois constituent une nouvelle habitude – certes douloureuse – mais qui fut finalement globalement très respectée : est-ce le bien-fondé de la mesure ou la peur de perdre de l’argent face à la menace (une amende de 135 euros) qui convainquit les agents d’être résilient, de s’adapter ? Peut-on parler d’individus résilients ? Comment y faire face sans déprimer ?
Finalement, cela risque d’être l’enjeu central de la période post-covid. Récemment, radio parleur se demandait si la souffrance et la santé mentale des français était politique. Est-ce qu’accéder à la résilience, c’est un acte politique ? Il me semble que ce serait plutôt tenter de sortir une oreille du tunnel, se reposer (un peu) parmi les difficultés.
Mais alors, maintenant, qu’est-ce qu’on fait ? On attend ? Et jusqu’à quand ? Nous prenons peur collectivement en apprenant que le covid risque d’être un petit apéro sanitaire face à ce qui pourrait nous attendre ? Et si, plutôt, on réfléchissait à pourquoi le covid est apparu ? Comment faire pour qu’il ne soit plus ?
« Fukushima comme Covid-19 constitue désormais un concept en soi, une abstraction anhistorique qui (…) fait passer pour une entité objective ce qui est un fait social » .
Dans ce sens, Eva Illouz indique que le concept de résilience ne doit pas servir la cause néo-libérale, ou, de façon mieux dite, « ne doit pas faire accepter la violence de la société ultra-compétitive ». Mais n’est-ce pas, justement, ce qui est en train de se passer actuellement ?
Résistance, fabrication du monde et ignorance organisée : la thèse de Ribault
Reprenons l’ouvrage de Ribault. Sa thèse principale est la suivante : la résilience s’appuie sur une non-connaissance, une sorte d’ignorance organisée qui permettrait de passer outre les risques annoncés. À Fukushima, cela s’illustre par la volonté des pouvoirs publics de permettre le retour des habitants sur les terres contaminées : les terres ne seraient plus contaminées, et, même si le recul scientifique manque (de la même manière que le débat autour du déploiement de la 5G en France), l’affirmer permet de devenir résilient, de « continuer à vivre ». Or, les risques encourus sont réels : être résilient, serait-ce prendre le risque de continuer à vivre comme si l’événement n’avait pas eu lieu, finalement ?
En tout cas, l’exemple de Fukushima mais aussi du Covid-19, censés pouvoir permettre de penser au « monde d’après » ne semblent pas avoir au cœur des réflexions qu’ils soulèvent les raisons du désastre pour en sortir : le nucléaire d’un côté, le mode de vie capitaliste de l’autre. (« Préparer au pire sans jamais élucider les causes », donc.)
Cela revient à une « technologie du consentement » et à une « idéologie de l’adaptation » qui entraine une « culture du risque » ( politique du coup risque/bénéfice) mais aussi, et surtout, une responsabilisation individuelle.
Les gestes barrières ! Et puis, s’il arrive malheur, le non-respect de la consigne sera ciblé par les pouvoirs publiques comme première cause de responsabilité : pas le nucléaire, pas le mode de vie qui détruit les écosystèmes, etc. mais bien les façons dont les individus vivent avec les dangers.
La musique techno, un facteur de résilience politique ?
La résilience semble aussi être facteur du déploiement de la musique techno : face à la désindustrialisation de la ville de Detroit, du chômage montant et du travail difficile à l’usine pour les agents qui en bénéficient toujours, la machine aliénante devient objet de création.
La techno naît en effet de cette récupération de l’objet de travail ; la machine ; à un objet de création musical qui deviendra par le biais un objet politique.
En effet, Encontre s’attache à montrer les liens entre contestations sociales et musiques technos, et la démonstration de la machine comme objet politique de création peut être retrouvé ici.
Quand cette machine deviendra importante et cristallisera l’attention et les populations dans les clubs, et que des États comme l’Angleterre obligerons ces derniers à fermer à 1 ou 2 h du matin – interdisant de facto à la musique techno de subsister – les subcultures se réinventeront et évolueront en créant les Free parties et les teufs dans les années (1990).
En 2020 et 2021, les clubs sont fermés. Les free et les teufs recherchés, brandies comme des ennemies publiques numéro 1, mettant la vie d’autrui en danger.Si la musique techno est un exemple résilience, elle est pourtant un «  mauvais exemple » pour le gouvernement, une sorte de «  mauvais » risque, celui pris à danser ensemble, a contrario du « bon risque » qui serait de travailler ensemble.
Serait-il le moment de remettre en cause ce concept, et cette adaptation constante qui lui est propre, en réfléchissant foncièrement à la manière dont il est possible de vivre, sans Etat sécuritaire et capitaliste ?
[1] Voir L’ouvrage de Thierry Ribault, Contre la résilience, à Fukushima et ailleurs, l’Échappée, 2021
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olivierdemangeon · 4 years
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  En sommeil depuis 1903, un volcan entre en éruption sur la mythique et majestueuse montagne de Baekdu, mettant toute la péninsule coréenne en danger…
    “Baekdusan” (백두산), ou “Ashfall” pour la distribution internationale, est un film d’action sud-coréen datant de 2019 dirigé par Lee Hae-jun et Kim Byung-seo. Les acteurs principaux sont Lee Byung-hun, qu’on a pu voir dans “The Fortress” (2017), Ha Jung-woo, qu’on a pu voir dans “1987: When the Day Comes” (2017), Ma Dong-seok, qu’on a pu voir dans “The Gangster, The Cop, The Devil” (2019), Bae Su-ji, qu’on a pu voir dans “Real” (2017), Jeon Hye-jin, qu’on a pu voir dans “RV: Resurrected Victims” (2017), et Lee Sang-won, qu’on a pu voir dans “The Spy Gone North” (2018). Ce métrage est également connu sous le titre de “Mount Paektu” et il est paru le 19 décembre 2019 en Corée.
L’histoire proposée par “Ashfall” nous invite à suivre Jo In-chang (Ha Jung-woo), chef d’une unité de démineurs de l’armée, à quelques jours de la retraite, et futur papa. Alors qu’il se rend à l’hôpital pour accompagner son épouse, Ji-young (Bae Suzy) pour une échographie de contrôle, un tremblement de terre de forte magnitude vient ébranler le cœur de Séoul, détruisant les infrastructures et effondrant des buildings. Le mont Paektu, un volcan situé sur la frontière entre la Chine et la Corée du Nord vient de rentrer en éruption. In-chang va être réquisitionné par les hautes autorités pour participer à une mission spéciale. Sous l’initiative du professeur Kang Bong-rae (Ma Dong-seok), il va être tenté de faire exploser une charge nucléaire dans l’une des galeries d’une mine désaffectée située en Corée du Nord. Pour se faire, un commando va devoir s’infiltrer au Nord, pour libérer, Lee Joon-pyeong (Lee Byung-hun), un agent double, qui connaît l’emplacement des bombes nucléaires. Les choses vont terriblement se compliquer lorsque des mafieux chinois et des militaires américains vont interférer avec la mission sud-coréenne, afin de récupérer le matériel nucléaire…
Après avoir visionné le film, une fois que l’on met le nez dans les éléments techniques pour rédiger cette critique, le premier élément qui interpelle, c’est le décalage entre la qualité plutôt moyenne du scénario et le nombre de mains qui se sont activées pour l’écrire. En effet, le script concocté par Kim Byeong-seo, Kim Tae-yoon, Kwak Jeong-deok, Lee Hae-joon, et Lim Joon-hyung, est plutôt simpliste. Un volcan menace d’entrer en éruption et de détruire toute la péninsule coréenne. Pour éviter la catastrophe, les sudistes imaginent qu’en faisant exploser une charge nucléaire en un point bien précis, la pression sur le volcan va être réduite au point d’empêcher la catastrophe. La Corée du Sud n’ayant pas la puissance de feu nécessaire, il est préconisé d’aller piquer les dernières charges nucléaires aux voisins nordistes et de les faire péter au plus près du volcan, c’est-à-dire à la frontière sino-coréenne.
Sauf que quoi ? Sauf que les ricains qui supervisent le démantèlement nucléaire nord-coréen n’apprécient guère l’initiative sud-coréenne. Ils voient d’un mauvais œil que leur colonie s’amuse à envoyer des hommes en territoire ennemi. Ils voient d’un mauvais œil que les sudistes fassent mumuse avec une charge nucléaire, et ils voient d’un mauvais œil qu’on envisage de faire exploser la chose. Un commando est donc chargé de mettre bon ordre à tout cela, quitte à canarder tout le monde sans discernement, et dans une attitude très arrogante et très symptomatique du comportement américain. Pour corser l’ensemble, on ajoute quelques mafieux chinois venus, eux aussi, récupérer le matériel nucléaire. Le tout dans la plus pure indifférence pour les citoyens nord-coréens dont le pays n’est plus qu’un champ de ruines après le tremblement de terre.
Après une petite introduction destinée à nous présenter celui qui sera le personnage principal de l’histoire, arrive la scène la plus spectaculaire du film, le tremblement de terre. C’est spectaculaire et digne des meilleurs films catastrophe tel que “San Andreas” (2015) de Brad Peyton qui voyait Dwayne Johnson se démener comme un beau diable face aux effets dévastateurs qui frappaient Los Angeles et San Francisco alors que la fameuse faille de San Andreas s’ouvrait. Le gros souci, c’est qu’une fois passée cette séquence, tout aussi impressionnante soit-elle, le soufflé retombe quelque peu à plat. On bascule dans quelque chose d’assez basique. La présence de Lee Byung-hun et de Ma Dong-seok au casting n’y change d’ailleurs pas grand-chose.
Et justement, du côté des personnages. Il y a quelques critiques de cela, pour “The Bad Guys: Reign of Chaos” (2019), je disais que Ma Dong-seok devenait la caricature de lui-même. Le voilà dans un rôle à contre-emploi, soit un scientifique qui s’est spécialisé dans l’étude du volcan Paektu, et semble détenir la solution pour éviter la destruction de toute la région. Un personnage, qui, sans que l’on sache clairement pourquoi, semble vouloir cacher son identité coréenne, préférant faire croire qu’il est américain. Le personnage incarné par Lee Byung-hun est plus intéressant. Agent secret nord-coréen ayant fourni des informations aux Américains, il est indispensable à la réussite de la mission. Toutefois, il est en proie à des conflits internes, culpabilisant de ne pas avoir pleinement assumé son rôle de père, il cherche à retrouver son enfant dans le chaos. Le côté mélodramatique est mal ajusté pour qu’on adhère pleinement à sa détresse. Reste donc le “héros” de l’histoire interprété par Ha Jung-woo. Le type se retrouve embringué dans cette histoire un peu malgré lui alors qu’il aspire à être près de son épouse qui attend leur premier enfant. Maladroit, peu aguerri à l’action, il fait de son mieux pour mener à bien ce qui ressemble de plus en plus à une mission-suicide.
Les valeurs de production concernant “Ashfall” sont d’un très haut niveau. La photographie Kim Jee-yong est totalement excellente. Les effets spéciaux sont spectaculaires, d’ailleurs, Andras Ikladi sera récompensé d’un Grand Bell Award pour son travail sur ce métrage. Les décors sont chaotiques à souhait et le contraste entre les deux Corée est tout à fait réaliste. Les fusillades sont impressionnantes et l’ensemble des effets pyrotechniques sont impressionnants. La bande originale signée Bang Joon-seok vient très bien appuyer les différentes ambiances du film et le montage offre un film de 128 minutes bien équilibrées qui aurait pu gagner en dynamisme en synthétisant quelques scènes. On notera que Lee Byung-hun a été gratifié du Grand Bell Award du Meilleur Acteur pour ce film, bien que personnellement, il ne m’ait pas spécialement impressionné dans ce film.
En conclusion, “Ashfall” est un bon film d’action disposant d’une histoire simple, d’une intrigue captivante et d’un développement classique. Le rythme est plutôt équilibré, le récit est fluide et la narration est linéaire. La photographie est bonne et les effets spéciaux sont spectaculaires. Les scènes d’action, les fusillades et les explosions sont très bien orchestrées. La distribution offre de bonnes prestations dans l’ensemble. Les fans de Lee Byung-hun seront comblés même si je lui ai préféré Ha Jung-woo. Bien que ce métrage soit largement au-dessus de la moyenne, il est quelque peu décevant par rapport à l’engouement qu’il a suscité et sans parler des péripéties que nous avons rencontrées afin de pouvoir le visionner…
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    ASHFALL (2019) ★★★✭☆ En sommeil depuis 1903, un volcan entre en éruption sur la mythique et majestueuse montagne de Baekdu, mettant toute la péninsule coréenne en danger...
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claudehenrion · 4 years
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''La poule, les renards et les naïfs...'' (fable, d'après Michel Onfray)...
  Comme cela arrive parfois, Michel Onfray va prendre ma place, aujourd'hui. Pendant longtemps, je n'ai pas été d'accord avec une seule de ses idées... et puis, le temps passant, il a mis dû mettre de l'eau dans son vin, car je me surprends souvent à souscrire à ce qu'il écrit. Dans la suite logique du ''billet'' d'hier, au moment où Eric Ciotti remet son rapport  parlementaire sur les événements de la Préfecture et où la partie gauche de l'inconscient français –celle qui préfère ''le poids des mots'' au ''choc des photos''- balance sur un retour contre nature des djihadistes en France, ce texte ‘’vieux’’ de 3 mois est d'une actualité brûlante
A bas bruit... par Michel Onfray  (11 octobre 2019).
.Une première chose sidérante est qu’un homme radicalisé et connu comme tel dans son service ait pu être habilité "secret défense" par l’État français afin de travailler pendant plus d’une décennie dans le cœur nucléaire du renseignement pour la lutte contre le terrorisme notamment islamiste. Que dirait-on d’un paysan qui nourrirait tous les jours un renard au cœur même de son poulailler? Qu’il est cinglé? Oui, et on aurait raison…
Une autre chose est qu’on apprend de la bouche même du ministre de l’Intérieur auditionné par les sénateurs qu’il existe actuellement une vingtaine de policiers radicalisés (qui seraient suivis, nous dit-il par des fonctionnaires parmi lesquels se trouvent peut-être des radicalisés pas encore détectés). Que dirait-on cette fois-ci d’un paysan qui nourrirait tous les jours un élevage de renards au milieu de ses poules? Qu’il est vingt fois plus cinglé que le précédent. Et l’on aurait encore raison… (NDLR : cette liste augmente sans cesse. Hier (05/02/2020), la vingtaine que dénombrait Castaner, soi-disant ''l'homme le mieux informé de France'' (tu parles !) atteint les 110... Et nous sommes loin du compte, tout le monde le sait !)                                                                                                                                     La question des journalistes et des éditorialistes est: "que faut-il en faire?", et chacun de piquer du nez dans son assiette médiatique. Les plus audacieux évoquent ''un reclassement'' -ce qui, en filant la métaphore, signifie: on déplace les renards, mais on les garde pas bien loin des poules, à portée de gorge…
La gauche crie à l’islamophobie : un radicalisé est peut-être un terroriste en puissance mais le dire est un procès d’intention, il faut qu’il passe à l'acte. Et encore... car quand le terroriste en puissance est devenu terroriste en acte et qu’il a laissé quatre cadavres dans leur sang sur le sol, on finit par expliquer que la tuerie n’a rien à voir avec l’islam, qu’on pratique l’amalgame, etc. De bonne âmes frottées de sophistique vont dire ou penser que le policier qui a arrêté le terroriste dans sa course aurait pu tirer dans les jambes pour ne pas le tuer, ou que, affligé de surdité, le tueur qui brandissait un couteau n’a pu entendre les diverses sommations qui lui ont été faites. Il y aurait là quelque chose comme de l'illégalité, un vice de forme ou de procédure qui pourrait bien se retourner contre… le policier qui a arrêté le massacre ! D’ici à ce qu’un avocat propose d’indemniser la famille du renard qui a répandu la terreur, il n’y a qu’un pas…
La droite regarde ce que pense la gauche, et comme elle a peur que les médias l'accusent de faire le jeu de l’extrême droite, elle bafouille la même chose, avec quelques variantes infinitésimales, pour marquer la différence : elle est d’accord pour éloigner le renard du poulailler, mais de dix mètres plus loin que la gauche…
En fait, ces gens-là pensent tout bas ce que le Hadama Traoré de Gonesse, qui voulait organiser une manifestation de soutien au tueur, clame tout haut : ce terroriste n’est pas un terroriste, c’est "une crème" d'homme -ose-t-il dire- qui a été poussé à bout par son chef de service, une meuf blanche qui persécutait en lui un homme de couleur, qui plus est musulman et handicapé. Harpon était donc dans un état de légitime défense quand il a tué… Conclusion: le renard était une poule et les poules, des renards… On a pris l’habitude de ces inversions de valeurs en tout.
Je suis tout de même étonné qu’on se demande quoi faire des radicalisés -et des dizaines d’anciens combattants de l’Etat islamique qui risquent de rentrer de Syrie après l’attaque des Kurdes par les Turcs…- alors que l’Etat français sous régime maastrichtien sait très bien quoi faire avec ceux qu’il considère comme de véritables ennemis !
Ce qui choque, c'est le ''deux poids, deux mesures'' qui gangrène désormais toute la société française, et les instances officielles au tout premier chef. Quelques exemples ? Philippe Verdier, tout d'abord, qui présentait la météo sur France 2, a été licencié le 12 octobre 2015 au motif de "climato-scepticisme"… Quelle faute avait-t-il commise ? Avoir mis en évidence, dans un livre (Climat investigation), la collusion de scientifique et de politiques, d’hommes d’affaires et d’ONG environnementales pour propager un credo qui attribue une seule cause au réchauffement climatique (qu'il ne nie pas). Mais il ne pense pas ''comme il faut''... et on va donc invoquer un faux prétexte… Viré !
Autre exemple, Mathieu Faucher, instituteur à Malicorney, dans l’Indre, 200 habitants. En 2017, il a été suspendu de ses fonctions par l’Etat français pendant quatre mois, sanctionné, puis muté pour avoir fait travailler ses élèves sur des textes de la Bible (aurait-il eu les mêmes problèmes avec un extrait du Coran ? Bien sûr que non, et on l’aurait même cité comme un modèle de pédagogisme progressiste !).                                                                                                                                        Autrement dit, si l’on est un islamiste radicalisé qui travaille dans le renseignement, l’Etat français ne peut rien faire, sinon attendre le prochain massacre pour accrocher des légions d’honneur posthumes sur des coussins posés sur des cercueils en présence de familles détruites.
En revanche, si l’on étudie dans une école primaire un texte de la Bible (comme "malheur à la ville dont le prince est un enfant" par exemple --L’Ecclésiaste X.16), si l’on incite à réfléchir sur les causes du réchauffement climatique en dehors de la seule raison anthropique et en convoquant la science et non pas les vieilles ficelles des sectes apocalyptiques et millénaristes qui foisonnent en ces temps de civilisation qui s’effondre, si l’on balance une vanne de comptoir qui génère un rire gras, si l’on affirme qu’un président de la République ne devrait pas faire du doigt d’honneur un argument politique destiné aux électeurs du Rassemblement national…, on devient un contrevenant plus coupable qu’un homme qui se réjouit des morts de l’attentat de Charlie-Hebdo.
Si on met ce genre d’individu à l’abri des foudres qui, dans notre régime orwellien (mais sous le drapeau maastrichtien), s’abattent sur un instituteur laïc, un climatologue rationaliste, un humoriste populaire ou un philosophe critique, c’est qu’effectivement une guerre civile a commencé, à bas bruit.
Michel Onfray
NDLR : La ''Une'' du Figaro titrait, hier (5 février 2020) : ''L'Etat impuissant face à la radicalisation de ses agents'', ce qui m'a remis en mémoire le texte ci-dessus. Transports publics, Aéroports, Police, Justice, Prisons, Ecole, Médias, Syndicats, monde du Sport...  l'Etat est totalement démuni devant la radicalisation de ''français administratifs''... Mais à force de refuser la réalité, de condamner toute personne qui décrit ''ce qui se passe'', à force de travestir les faits, de mentir sur à peu près tout et de ne pas vouloir désigner son ennemi par son nom... ''tout est pourri au Royaume de France'' (aurait pu écrire Shakespeare). Seul ennui : rien ne permet de penser que les mondes politique, médiatique, intellectuel, professoral, universitaire, littéraire ou radio-télévisuel soient prêts à ouvrir enfin les yeux, et ce constat est dramatique. C’est souvent que les jours, les mois qui viennent vont être endeuillés par ce ''néo-esprit de Münich'' dont  nous n'avons pas fini de reparler ici, hélas...      
En attendant, voici revenu le temps des vacances, que je souhaite, pour vous, pleines de bonheurs, petits et grands. Et nous nous retrouverons, si Dieu le veut, le Jeudi 27 février (’’date à reporter sur votre agenda’’, selon la formule consacrée) pour de nouvelles réflexions et... de nouvelles aventures...
H-Cl. 
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L’art d’être un jerk en politique.
Vendredi et Samedi dernier, j’ai participé à une simulation de la crise au Moyen-Orient. On m’a attribué le rôle du leader suprême de l’Iran. J’ai gracieusement pris plaisir à insulter et à menacer mes enemies😈. J’ai été une enflure et un jerk avec pas mal tous le monde.
Vendredi
J’ai tout d’abord essayé de convaincre la Chine et la Russie de me donner une bombe atomique. Ils ont tous deux refusés pour des raisons évidantes. Ensuite j’ai essayé de convaincre Ben (dans le rôle d’Assad, le dictateur syrien) d’attaquer et d’exterminer les rebelles et les Kurdes. Malheureusement pour moi (et pour lui), il ne m’a pas écouté. Benjamin Giltner I told you that you had to deal with those annoying rebels 😉. Pendant ce temp, j’ai continué à affirmer que j’allais détruire et anéantir Israel, et ques les kurdes n’étaient que de vulgaires terroristes.
Mon plus grand objectif était de convaicre l’Ouest de retirer leurs sanctions contre moi. J’ai essayer de leurs parler, mais ils m’évitaient. J’ai alors été obligé de les forcer à venir me parler. J’ai capturé un bateau français et là soudainement toute l’Europe voulais avoir une entrevu avec moi. L’Europe voulais me parler, mais pas les USA. J’ai donc compris que je n’avais pas mis assez de pression. Mon dernier plan a été de kidnaper l’ambassadeur saoudien en Irak.
Samedi
J’ai mis place mon plan pour forcer les USA a venir me parler. J’ai affirmé que l’Iran n’avait aucun lien avec le Kidnapping de l’ambassadeur saodien et que c’était un cover up de la CIA. J’ai ensuite arrêtés deux voyageurs américians sous prétexte qu’ils étaient les agents du CIA dernière le kidnapping. Sorry Ahmad Omid Arman, I really wanted to talk with you. J’ai aussi annoncé la création d’un nouveau mouvement ayant pour but d’exporter la révolution islamique mondialement. Étonnamment les USA m’ignorait toujours.
Nous avons eut un meeting à l’ONU portant sur la crise dans le nord de Syrie. J’ai volontairement utilisé mon temps de parole pour menacer mes enemis, même si ça n’avait pas du tout rapport avec le sujet de la rencontre. Lors du vote j’ai affirmer aider les réfugiés (même si en réalité j’avais aucune intation de les aider). C’était juste pour garder une bonne image. Le prochain vote portait sur le statut des kurdes syriens. J’était le seul pays à affirmer que les kurdes étaient des terroristes. Pendant ce temps, Ben a réussi à unir la Syrie sous son régime. À la fin de la round, nous avons appris qu’une revolution à amener un regime pro west au pouvoir en Irak.
Je devais dealer avec l’Irak. J’ai fait une alliance secrete avec les kurdes, la Russia nous a fourni des armes, la chine nous a fournis de l’argent. Nous étions prêt à envahir l’Irak. J’ai envoyé en Irak des troupes iraniennes avec des uniformes kurdes. Mon objectif était de placer un puppet en Irak et ensuite avec l’aide de la Turquie, annexer les territoires kurdes. Pendant ce temps, j’ai fait un deal avec la Turquie pour attaquer les kurdes dans le futurs. You see Sabor Stanizai, in the game we never liked you and we always wanted to attack you. At first with syria, but Ben way was too nice, so we sided with Turkey against you. We were just using you in Irak.
L’Ouest m’ignorait toujours, alors j’ai arrêtés 20 étudiants britanniques pour espionnage, j’ai capturé un bateau allemand et j’ai mit a mort les deux américains. Maintenant, l’Ouest voulait m’écouter. Nous avons eut un court meeting, mais rien n’a abouti. Pendant ce temp, j’ai construit deux centrales nucléaires.
Nous étions prêts à attaquer Israel, quand les rebelles ont trahis Ben et l’on forcé à s’enfuir en Russie. Dans le chaos j’ai envoyées mes millices à Damas pour prendre le pouvoir. Le jeu s’est terminé dans un chaos total. L’onu n’a pas pu s’entendre et aucune resolutions n’ont étés prise. La Syrie était dans l’anarchie et l’Irak dans une nouvelle guerre civile.
J’ai été félicité pour my malevolent smile, my schemes, plots and tactics. Un professeur m’a même dit que if one day you become a president, I will get out of your country 😅. Vous m’avez donner le rôle du méchant, qu’est ce que vous vous attendiez 😆.
J’ai aussi reçu la seconde position. Les Usa ont finis premier, moi deuxième et la Chine troisième.
Thank you for organizing the game. It was amazing!
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Captain Marvel (Anna Boden & Ryan Fleck – 2019)
Ou, pourquoi le féminisme ne peut et ne doit pas combattre le patriarcat « à la loyale ».
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C’est dans un paysage de désolation absolue que sort en salles en 2019 (année de la meuf) Captain Marvel : les Avengers sont dans une phase d’essoufflement critique, Wonder Woman (DC Comics – Patty Jenkins, 2017) a définitivement enterré le féminisme teinté de militantisme LGBTQ de sa matrice de papier et tout le monde ne craint qu’une chose, c’est de perdre la talentueuse Brie Larson dans le marécage nauséabond du film de comics.
Et pourtant, c’est avec une vague excitation et un étrange espoir que je me rends dès la sortie en salles pour ce qui me semble pourtant être les dernières heures du Titanic (si le Titanic avait eu bien sûr une longévité de près de 15 ans avant de sombrer comme la saga Avengers). Qui sait ? Les derniers opus MCU hors Avengers ont su garder la flamme vive et assez robuste pour susciter notre engouement. Avec Spiderman : Homecoming, le premier épisode de Doctor Strange et l’incroyable Black Panther, la franchise a su se renouveler en sortant des sentiers battus pour acquérir un nouveau public et surtout gagner la bataille de l’éthique.
Et c’est précisément ce qui nous intéresse chez Captain Marvel. Petit topo sur ce personnage ressorti de derrière les fagots : le premier Captain Marvel est en réalité l’officier Kree (mâle) dénommé Mar-Vell, espion transfuge qui se prend d’affection pour la cause humaine. Pour l’adaptation de Boden et Fleck, la franchise a décidé d’adapter l’un des nombreux alias et personnages alternatifs du héros, l’une des deux versions féminines : Carol Danvers a.k.a. Miss Marvel (de 1977 à 1980, Ms. Marvel en anglais), Binaire (de 1981 à 1997), Warbird (de 1998 à 2002), puis à nouveau Miss Marvel (de 2006 à 2012) et, depuis 2012, Captain Marvel.
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A l’inverse du personnage d’origine, Carol Danvers est une humaine qui acquiert les pouvoirs du premier Tesseract trouvé sur Terre. Et tandis que l’on sent venir à plein nez les thèmes réchauffés de la binarité, du déchirement des origines etc. le film prend une tournure tout à fait intéressante. La situation initiale dépeint une jeune officier Kree, en proie à des cauchemars récurrents et à des sautes d’humeur que le spectateur hâtif attribue déjà à son origine humaine, car chacun sait que ce qui différencie les humains des aliens est l’évident mauvais caractère des uns opposé au flegmatisme des autres. (Dénoncez-vous M. Macron !)
Mais précisément, ce n’est pas en tant qu’humaine que Danvers peine à trouver sa place. C’est en tant que femme. Rebaptisée Vers par son mentor Yon-Rogg, le colonel Kree en charge de son intégration, son nom lui a été tronqué et dissimulé au même titre que les réelles mesures de son pouvoir. Cette espèce de babysitter de l’armée Kree lui interdit par ailleurs de l’utiliser, rabâchant à qui mieux-mieux qu’elle n’est que dépositaire de ce pouvoir, celui-ci pouvant lui être retiré à tout moment, et que sa véritable force est justement de se passer de son usage, mais surtout quand il s’agit de lui mettre une volée de bois-vert à l’entraînement…
A ce stade, on comprend déjà que le type est louche.
Ce n’est que lâchée en pleine nature avec sa chatte et son couteau que Vers se révèle à elle-même. Celle-là même à qui on avait rabâché qu’elle n’était pas prête au combat, qu’elle ne pouvait se passer ni du tutorat d’un homme ni d’un dispositif d’entrave, débarque en milieu hostile et se débrouille très bien toute seule ! Combattante aguerrie et esprit acéré, Vers évolue sur Terre en faisant fi des consignes émanant de sa hiérarchie. C’est bel et bien seule qu’elle fait avancer sa mission aussi bien que son introspection personnelle.
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Car s’il est un personnage irrésistible, le jeune agent Nick Fury qu’elle rencontre sur Terre et qui l’accompagne dans sa quête, notre Samuel L. Jackson lifté pour l’occasion, reste sagement à sa juste place d’adjudant. Il sait être drôle sans être lourd, utile sans s’accaparer le leadership, compréhensif sans man-splaining. Bref, étonnement, Nick Fury est ce que les féministes peuvent appeler un allié. L’intrigue avance, et c’est là toute la singularité de Captain Marvel, sans l’intervention d’un héros masculin. Soudainement, on commence à desserrer les mâchoires, état critique dans lequel nous avait laissé Wonder Woman, où toute une chacune avait assisté – atterrée – au revirement d’intrigue dans lequel Diana Prince, reine des Amazones, demi-déesse invincible, malgré sa puissance héritée des divinités grecques, avait EVIDEMMENT besoin d’un homme ! Une espèce d’insignifiant mortel, vantard et ignorant, qu’elle avait littéralement tiré du caniveau, devait être son héros et son salut.
Ici au contraire, Boden & Fleck ont pris soin d’écarter toute ambigüité quant à l’indépendance de Danvers. Et à commencer par son indépendance sentimentale. Fait assez rare pour être souligné, le film se passe savamment d’une intrigue amoureuse qui aurait été de toute façon maladroite, mal amenée et malvenue. Qu’on se le dise, Captain Marvel n’a besoin de personne et encore moins d’un homme collé à ses basques. Et plus précisément, il n’y a dans cette galaxie aucun homme qui égale ou surpasse ce personnage. Son mentor est une femme, le Docteur Wendy Lawson, géniale inventrice du moteur supralumique exploitant le Tesseract à l’origine des pouvoirs de Captain Marvel et militante en faveur des droits des réfugiés. Elle puise également ses forces dans sa relation à Monica Rambeau, mère-célibataire et pilote, sa coéquipière de l’armée de l’air et alter-ego (Monica Rambeau est l’autre alias féminin de Captain Marvel dans l’une des versions du comic). Trois figures de femmes fortes qui se renforcent mutuellement et offrent à voir une superbe manifestation de la vraie sororité.
Autre fait encore plus rare : il n’y a dans Captain Marvel, aucune scène de nudité ou angle ambigu. A aucun moment n’est fait étalage d’un centimètre de peau racoleur et gratuit. Bien que je ne condamne en aucun cas la nudité, il y avait toujours chez le Wonder Woman de Patty Jenkins un quelque chose de dérangeant dans la façon d’exposer le corps de Gal Gadot. Je dis bien « dans la façon » et non « dans le fait », car la tenue étoilée emblématique imaginée par Charles Moulton est pour moi symbolique de l’émancipation féminine. Courte, peu couvrante, composée de bottes et d’un fouet, elle s’inspirait directement du triangle amoureux BDSM que Moulton composait avec sa femme Elizabeth et leur amante Olive. La blessure est d’autant plus profonde que Patty Jenkins est pourtant une icône du cinéma féministe avec son film Monster. Ici, elle se laisse aspirer par la franchise DC et se retrouve à « faire du Snyder même plus Snyder que Snyder » délaissant son style et son talent pour en plus livrer une icône féministe LGBTQ à la satisfaction du public masculin. Et Moulton de se retourner dans sa tombe « Même les filles ne voudront pas être des filles tant que nos archétypes féminins manqueront de force, de vigueur et de puissance. »
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Ce sont tous ces torts que vient corriger Captain Marvel. Elle est l’archétype de ce personnage puissant et indocile que l’on attendait précisément dans Wonder Woman. Carol Danvers emprunte avec nous et pour nous ce chemin tortueux de l’émancipation. D’abord entravée et soumise à la dictature du corps masculiniste, elle se laisse physiquement et psychologiquement maîtriser par Yon-Rogg et l’Intelligence Suprême, la plus haute autorité Kree, à qui elle croît devoir son pouvoir. Le tour de force du patriarcat est de nous faire croire que notre liberté est celle qu’on nous laisse. Or précisément, il ne peut y avoir de liberté dans un espace d’expression créé par et pour le patriarcat. Les règles du jeu elles-mêmes sont biaisées et formulées dans l’intention d’auto-préserver celui-ci. Le message du film est que la femme la plus puissante et la plus crainte est celle qui n’attend aucune validation d’un homme.
Ainsi, l’extrême jubilation vient je crois du combat final, tant attendu, entre Captain Marvel et son ex-supérieur Yon-Rogg. Toute une tension est bâtie entre ces deux antagonistes, d’abord alliés, éternels concurrents puis ennemis déclarés. A ce moment de l’intrigue, le doute est complètement levé sur la supériorité manifeste de Captain Marvel. Elle vient d’envoyer par le fonds 3 navires amiraux Kree et retourner à l’expéditeur une quinzaine d’ogives nucléaires… Là-dessus, cet impertinent et mesquin petit mâle vient encore lui faire l’affront de la défier en combat singulier et « à armes égales ». Et là est tout l’enjeu de Captain Marvel mais aussi de toutes les femmes.
Pourquoi sommes-nous toujours sommées de cette injonction de jouer « à la loyale » alors que cette politesse ne nous a jamais été faite ? Est-ce que Serena Williams combat à armes égales quand un arbitre lui impose pénalité sur pénalité quand elle ose contester un arbitrage ? Est-ce que Cécile Duflot combat à armes égales quand elle s’empêche de dénoncer l’agression qu’elle a subi de Denis Baupin pour ne pas être accusée de vouloir le déstabiliser alors qu’ils sont en compétition pour la tête d’EELV ? Est-ce que tu combats à armes égales contre ton collègue dans la course aux promotions quand tu sais qu’après tes heures de bureau tu commences une deuxième journée de courses, de cuisine et de ménage ? Non, nous n’avons jamais combattu à armes égales. Nous avons toutes toujours combattu avec un bras attaché dans le dos.
Il est donc extrêmement jubilatoire même si, je le conçois, purement fictionnel, d’assister à ce dernier combat. La meuf est vener, elle a eu une rude journée et elle doit encore se taper son CONNARD d’ancien patron qui sait qu’il ne peut absolument pas gagner ce combat mais fait encore le fier et a l’audace d’insinuer qu’elle ne pourrait rien contre lui « à armes égales ». Et vous savez ce qui arrive à ce genre de types ? Un blast de la puissance d’un Tesseract dans le bide.
YASS.SLAY.QUEEN !
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skizzmalo · 5 years
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Disparition
  Wilhem Roark fixait l’oeil hagard la multitude d’écrans qui tapissaient les murs du poste de commandement bunkerisé qu’il avait rejoint depuis le début des événements. Tous ses conseillers tant scientifiques que militaires partageaient sa stupéfaction. D’une certaine manière, voire fleurir des champignons nucléaires sur les panneaux ultra-HD, ne l’aurait pas autant terrifié… L’obélisque de Columbia venait de disparaître, l’édifice glorieux venait littéralement de se volatiliser sous leurs yeux, et tandis qu’il tentait de reprendre ses esprits, une voix de femme l’interpellait avec force via le vid-écran allumé en face de lui.
__ Mr le Président ! Mr le Président ! Le Capitole, il…
__ Quoi !? Qu’est-ce que vous dîtes agent Polaski ?!
__ Un halo lumineux a commencé à se former tout autour de la structure du bâtiment et…
__ Donnez l’ordre d’évacuation immédiatement, se ressaisit-il en un instant.
__ C’est en cours, Monsieur.
  Dieu tout-puissant, songea-t-il, faîtes que nous ayons encore le temps. Les touristes en visite à Paris qui s’étaient retrouvés dans l’enceinte de la Tour Eiffel une heure plus tôt n’avaient pas eu cette chance. Le phénomène invraisemblable qui avait débuté à 7 heure 00 ne touchait, directement, qu’à des structures inertes, les victimes de ces désintégrations n’étaient que des victimes collatérale du processus extraordinaire auquel il assistait en direct depuis maintenant deux heures.
  De toute sa vie, jamais il ne s’était senti si impuissant, l’ennemi, quel qu’il soit, était invisible, introuvable, et son pouvoir était sans commune mesure avec celui de quelque nation que se soit… Il devait s’y résoudre, le phénomène était mondial et aucun groupe terroriste n’aurait jamais pu développer une telle technologie et la garder secrète… L’attaque venait des étoiles. D’une puissance extra-terrestre ! Mais dans quel but détruisaient-ils les plus belles créations du génie humain ? Et d’ailleurs, les détruisaient-ils vraiment ? Les pyramides d’Égypte avaient été les premières à disparaître… Puis les Palais d’Angkor… Les Temples Mexicains… Le Parthénon… La Grande Muraille...  En quelques heures, l’espèce humaine s’était faite dépouiller des vestiges de son Histoire séculaire… Pourquoi ?
                                                                      **
    Samir Bruchec’h fixait l’écran de son PC, complètement dépité. Le court paragraphe qu’il venait de terminer, ne le satisfaisait en rien. Ampoulé, mal amené, rythmiquement faible… Il avait toujours eu du mal à bien achalander les phases descriptives de ses romans, mais là, il touchait le fond. Aussi, quand    
retentit la sonnette de la porte, accueillit-il le signal sonore sans rouspéter. Son voisin Raymond lui apportait sans doute le surplus de mûres de sa collecte du matin et certainement aussi diverses inepties qu’il se faisait une joie de partager avec qui voulait bien les entendre, ça tombait bien, Samir avait besoin de faire le vide. Mais ce ne fut pas Raymond qui apparut dans la lumière de ce début d’après-midi, mais une jeune femme, physiquement quelconque et revêtue d’un survêtement informe. Une touriste qui s’est perdue… songea-t-il avant qu’elle ne se présente à lui.
__ Oui…?
__ Vous êtes bien Samir Bruchec’h, l’écrivain ?  
__ Ça dépend, se méfia-t-il, c’est pourquoi ?
__ Il faut que nous ayons une petite conversation, puis-je entrer ?
__ Heu… C’est pas pour me vendre quelque chose, hein ? Parce que j’ai tout ce qu’il me faut…
__ Non, ce qui m’amène est d’une nature toute différente. Puis-je ?
__ Vous n’êtes pas une fan en manque de reconnaissance non plus ?
__ Non… écoutez nous n’avons pas le temps pour ce genre de trivialités, s’impatienta-t-elle.
__ Bon… Qu’est-ce que vous voulez alors ?
__ Avez-vous allumé votre téléviseur au cours des deux dernières heures ?
__ Non, moi la télé…
__ Écoutez la radio ?
__ Encore moins… Dîtes c’est pour un sondage ou une connerie du genre ? Parce que si c’est pour ça…
__ Vous ne disposez de connexion internet, n’est-ce pas ?
__ Non, ça me gênerait dans mon travail… Bon, écoutez, ça suffit cet interrogatoire, j’ai du travail et…
__ Allumez votre téléviseur.
__ Quoi… Bon, au-revoir ! Allez sonner chez Raymond, la maison mitoyenne : là voyez, dit-il en désignant du pouce le domicile de son voisin, vous faîtes le tour. Il adore parler de tout et de rien avec n’importe qui, vous devriez vous entendre à merveille !
__ Allumez-le. Ensuite vous accepterez certainement de me parler, conclut-elle, stoïque, tandis qu’il fermait la porte à son nez.
   Samir soupira en s’asseyant sur une des chaises du salon et se saisit de son paquet de cigarette qu’il délesta d’une unité. Il s’alluma sa clope puis se rendit dans l’espace cuisine pour se servir un nouveau café. Il demeura un instant perdu dans ses pensées, maugréant diverses imprécations à l’endroit des femmes et de l’inconnue à sa porte avant de se décider à suivre son conseil, malgré le concert de reproche que s’apprêtait à lui servir les voix de la raison dans l’espace confinée de sa boîte crânienne. N’importe quoi… Tout pour éviter de bosser… Non mais tu t’es vue là !? l’agressèrent-t-elles, tandis qu’il se saisissait de la télécommande poussiéreuse du téléviseur qu’il n’allumait jamais. Constatant que l’écran n’avait qu’un flou neigeux et criard à offrir, il se rendit à ses côtés pour effectuer les branchements  nécessaires à son bon fonctionnement.
   Il resta incrédule un moment, zappant de chaîne en chaîne pour constater qu’elles n’avaient qu’un seul type de programme à offrir, des flash spéciaux d’information relatant de la soudaine et inexplicable disparition de tous les monuments de France et du nombre de victimes effroyables que ce phénomène tragique autant qu’inexplicable, avait engendré… Au bout de trois minutes, il se leva en trombe de sa chaise et ouvrit violemment la porte d’entrée. La jeune femme était toujours là, installée sur le banc accolé au mur de sa maison.
__ Qu’est-ce que c’est que cette histoire !? Comment Steph’ a réussi à monter un canular pareil !?
__ Un canular ? Qu’est-ce que vous voulez dire, répondit-elle en ombrant son regard vers lui.
__ Oh ne jouez pas la plus fine avec moi ! Ça ne peut pas être vrai… C’est Steph’ ou alors le gouvernement !?
__ Bon... puis-je entrer maintenant ?
__ Mais je vous en prie… l’invita-t-il, une sale grimace au lèvres.
    Elle s’installa sur sa chaise et l’invita à le rejoindre d’un geste du bras, il ferma la porte plus calmement qu’il ne l’avait ouverte et accepta son invitation, tout en la fixant l’oeil noir. Elle regardait le téléviseur en hochant de la tête avec contrition, zappant d’une chaîne à l’autre rapidement.
__ C’était malheureusement le seul moyen, déclara-t-elle tant pour elle même qu’à l’attention de Samir.
__ De quoi vous parlez là, qu’est-ce que c’est que ces conneries et… Comment vous faîtes ça !? S’éberlua-t-il en constatant que si les chaînes défilaient les unes après les autres sur l’écran au bon vouloir de l’inconnue, la télécommande était toujours là où il l’avait laissée, et non sous le contrôle de la jeune femme.
__ Ah… oui, je peux influer sur ce type d’ondes mineures au moyen de mon esprit, mais là n’est pas le sujet, nous devons…
__ Ahahaha… Mais j’ai compris ! s’exclama-t-il, vous êtes une transhumaine !
__ Pardon ?
__ Mais oui, c’est ça… J’aurais dû y penser avant, toutes mes excuses ! Cela dit, je vous tire mon chapeau, c’est un canular de très haut niveau et…
__ Bien, nous avions envisager ce scénario. Tout d’abord, je m’excuse par avance pour ce que je vais vous faire subir, il n’en résultera aucune séquelle physique, je vous rassure, un vague sentiment d’humiliation, peut-être. Mais puisque vous n’êtes toujours pas disposer à m’écouter, je me vois obliger de vous y contraindre.
__ Qu’est-ce que…
  Mais avant qu’il ait pû répondre quoi que se soit, il constata avec horreur que sa langue ne lui obéissait plus, ni ses jambes, ni ses bras. Sa tête restait fixe, et seuls ses yeux et ses oreilles continuaient à fonctionner normalement. Le souffle de sa respiration lui parvenait clairement, ainsi que les battements de son coeur et il implora du regard l’inconnue de stopper son attaque psychique, tant la peur accélérait le rythme de ses organes vitaux.
__ Bon, battez des paupières deux fois,et je vous libérerais de mon étreinte sensorielle… Seulement si vous vous pensez maintenant prêt à m’écouter sans me couper la parole. D’accord ?
  Il cligna des yeux de toutes ses forces, et comme promis, la jeune femme le libéra de son terrifiant état d’impuissance. Aussitôt, il serra les poings pour vérifier de la dextérité de ses doigts et ahana quelques voyelles dans le même temps avant de tourner ses yeux vers l’inconnue. Il peina à garder son calme, mais se décida à rétablir le dialogue, il fut le premier surpris des mots qu’il prononça :
__ D’accord, murmura-t-il le souffle court, je suis prêt à vous écouter.
__ Voilà qui est mieux, acquiesca-t-elle au bout d’un sourire qui se voulait rassurant mais qui n’eut qu’un effet médiocre sur l’état d’esprit de Samir. Je vais vous expliquer ce qui se passe en ce moment, mais pour se faire, il faut que je vous raconte tout depuis le début… Si un aspect de ce que je vais vous exposer vous semble trop complexe, n’hésitez pas à me poser des questions, mais n’oubliez pas que nous ne disposons que de peu de temps.
__ D’accord…
__ Bien. Cette histoire débute il y a 65 millions de vos années terrestres quand un…
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entomoblog · 2 months
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Trois projets de recherche soutenus pour prévenir les maladies infectieuses émergentes zoonotiques 
See on Scoop.it - EntomoScience
En 2023, le gouvernement a lancé un premier appel à projets du Programme de recherche France 2030 (PEPR) PREZODE (pour PREventing ZOonotic Diseases Emergence), dont l'objectif est de soutenir des projets interdisciplinaires de recherche fondamentale qui viseront à mieux comprendre les liens entre les activités anthropiques, les changements globaux et les mécanismes d'émergence de maladies zoonotiques.
  Attualità | Università di Corsica Pasquale Paoli | Université de Corse Pasquale Paoli
CHJARA BATTESTI | Mise à jour le 16/04/2024
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NDÉ
Agence de l'innovation en santé
Il y a 2 semaines
  📢 Annonce des 3 lauréats de l’appel à projets du programme de recherche PREZODE (Preventing Zoonotic Diseases Emergence)   📝 Le programme de recherche PREZODE s’inscrit dans le volet recherche de la stratégie d'accélération maladies infectieuses émergentes et menaces nucléaire, radiologique, biologique et chimique coordonnée par l’Agence de l’innovation en santé, dans le cadre du plan #France2030.   ❕ Il vise en particulier à renforcer la production de connaissances et le développement d’outils pour définir des stratégies innovantes de réduction des risques et de détection précoce des émergences de maladies zoonotiques.   Les trois projets lauréats sont menés par un consortium interdisciplinaire, constitué chacun de 6 à 13 équipes possédant des expertises complémentaires dont les travaux seront soutenus à hauteur de près de 9 millions d’euros de France 2030. Ce programme de recherche est piloté par l’IRD, le CIRAD, et l’INRAE et opéré par l’ANR (Agence nationale de la recherche).   🏆 AMAZED – coordonné par Jean-Bernard DUCHEMIN, Institut Pasteur de la Guyane – va étudier les mécanismes d’émergences d’arbovirus avec une approche « une seule santé » dans plusieurs territoires ultramarins (Guyane, Caraïbes, Pacifique Sud) ainsi qu’au Cameroun et en France continentale.   🏆 ARCHE – coordonné par Alessandra FALCHI, Università di Corsica Pasquale Paoli et Aix-Marseille Université – vise à comprendre les déterminants de l'émergence du virus de la fièvre hémorragique de Crimée-Congo (CCHFV – transmis par les tiques aux humains et aux animaux) dans différentes régions du sud de la France.   🏆 ZOOCAM – coordonné par Frédéric THOMAS, CNRS – vise à comprendre : la dynamique des agents zoonotiques circulants/émergents en Camargue ; les facteurs humains et environnementaux qui influencent la diffusion des agents zoonotiques, en particulier le franchissement de la barrière d’espèce ; si les risques zoonotiques actuels et émergents peuvent être modélisés/prédits ; 4) la perception du risque par les acteurs locaux.    ➕ Il complète le programme de recherche France 2030 Maladies infectieuses émergentes, piloté par l’Inserm à travers l’ANRS Maladies infectieuses émergentes.  
via https://www.linkedin.com/posts/univcorse_cp-france-2030-pepr-prezode-activity-7185934541180563458-R5r6
  [Image] PREZODE Initiative (@PREZODE_Intl) / X https://twitter.com/PREZODE_Intl
  Bernadette Cassel's insight:
  'Prezode Prévenir risques émergence zoonoses & pand' in EntomoScience
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infosisraelnews · 1 year
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"Normalement, on ne fait pas la fête en public dans un restaurant" : la catastrophe en Italie et les doutes du monde du renseignement
Le désastre des agents de renseignement du lac Majeur continue de remuer le monde. Le “Times” britannique a rapporté que les personnes impliquées ont peut-être travaillé pour contrecarrer un accord iranien d’achat de composants liés au nucléaire, ou ont visité un centre de recherche traitant des techniques pour empêcher la propagation des armes nucléaires. Près de deux semaines se sont écoulées…
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