#cirque le soir

[callmebyyournamephoto]

Timothée at the Cirque Le Soir nightclub in London, february 2019

#timothée chalamet #timothee chalamet #2019 #london #cirque le soir

[viptableslondon]

Book VIP Table in cirque le soir Club

That should hit the spot before you go back into the Cirque le Soir to dance the night down. London’s most exclusive guestlist and personality table reservation service. However, communicate with us for personality Cirque le Soir table booking, If you wish to enjoy the night festivity of the VIP tables Cirque le Soir. We give a pleasing guest list as well as exclusive reservations for you.

#Vip table cirque le soir #cirque le soir #cirque le soir table

[zot3-flopped]

Partying in Vegas.

I think I finally get it now. We always wondered why she kept behaving so weirdly compared to other A-list people. That's because she's uneducated. She can't behave like other A list people because she's not like them. She's not educated enough, at least. She won't even educate herself like Harry. Her mind is so limited with just parading herself with her man because her mind can only think that way. That's why Joe's privacy didn't make sense to her. That's why she called Joe's privacy a cage, or basement or something. Her mind can't conceive that. She's a fucking numbskull. 😆 🤣 😂 😹

She's certainly not a big reader or she'd never describe feeling 'caged' in a Hampstead mansion just because Joe didn't want to go out clubbing. Instead of settling down with a book, she probably paced the rooms every night wishing she was at Libertine or Cirque le Soir.

Travis is a party animal who loves nightclubs and bars as much as she does (and Louis does) so they're an ideal match.

#anti taylor swift #travis kelce

[ernestinee]

J'avais oublié à quel point le cirque me fait du bien !

La saison des cours a repris hier soir, avec de la jonglerie. L'ado est dans le même cours que moi ainsi que mes profs de trapèze. La prof est Roumaine, j'adore comme elle roule ses r et comme elle m'appelle Ferguson, avec "on" et pas "one".

Je suis sortie de là en ayant totalement oublié que ma journée avait été harassante. Réellement. Ça m'a totalement rechargée!

Aujourd'hui je suis en chill forcé parce que j'ai prêté mon pc à une collègue, et puis je bosse fin de journée, après l'horaire scolaire. L'ado vient en bus jusqu'au bureau.

Je me suis un peu entraînée aux exercices de coordination d'hier soir, j'ai jonglé un peu, le "3 balles" normal mais en essayant d'en passer une par dessous la jambe. Et j'ai lu.

Et Muffin est un pot de colle, je l'adore.

Je me disais que l'apprentissage, c'est vraiment ce qui me rend heureuse. Que ce soit les balles ou la remédiation des troubles visuo-attentionnels. Surtout avec Muffin qui veille.

[lepartidelamort]

Européennes : plus de 8 juifs sur 10 vont faire barrage à Jordan Bardella (sondage)

Malgré les très nombreux efforts de l’extrême-droite démocratique, les juifs demeurent invariablement hostiles aux Français de souche.

Ils s’apprêtent à plébisciter électoralement les macronistes, à 33%.

Si l’on y ajoute l’ensemble des partis en dehors du RN, ce sont plus de 80% des juifs qui vont faire barrage à Bardella. Reconquête! ne compte pas ici, puisque c’est la branche officielle du Likoud israélien.

De leur côté, les musulmans optent résolument pour la gauche, à 70%.

Ce n’est pas faute de les courtiser, mais avec 18%, le RN totalement aligné sur le gouvernement de Benyamin Netanyahu ne reçoit au mieux que de l’indifférence pour salaire de sa servilité.

Le jeu n’en vaut très clairement pas le chandelier à sept branches.

Bien loin de décourager Marine Le Pen, cette vigoureuse ingratitude tribale va convaincre l’alcoolo-tabagique de courtiser encore plus vivement ces juifs au cœur de pierre.

Le naufrage

En dépit de l’insistance médiatique à propos de ces élections européennes, l’écrasante majorité des gens s’en fout complètement.

Hormis les boomers et quelques exaltés, personne n’y accorde d’attention et escompte bien boycotter ce cirque électoral.

Il n’y a aucun enjeu et il faut le dire et le répéter : voter ne sert strictement à rien. Aucune élection n’a jamais rien résolu en France. En 150 ans de régime républicain, si voter pouvait résoudre quelque chose, nous en serions informés. D’ailleurs, en France, les changements sont toujours révolutionnaires. Une république est renversée, remplacée par une autre, d’ailleurs systématiquement pire que la précédente. Nous en sommes tout de même à la cinquième, l’air de rien.

La démocratie ne peut pas être la solution au problème qu’elle pose.

En restant chez eux, les gens admettent que c’est une escroquerie grotesque.

Quoi qu’il soit, quand ils votent les musulmans plébiscitent la gauche – pour les allocations, les mosquées et le racisme antiblanc – et les juifs soutiennent à fond les macronistes, qui représentent simplement la gauche au pouvoir. Pour ces juifs, les quelques 450,000 migrants afro-musulmans que Macron importe annuellement ne posent aucun problème dans la mesure où l’ensemble de l’appareil d’état est mobilisé par eux et pour eux.

Peu importe ce que racontent ces juifs sur leurs plateaux de télévision, ils sont en parfaite sécurité, protégés dans leurs quartiers réservés du matin au soir par des centaines de milliers de flics et de militaires.

Certes, les musulmans leur en veulent, mais ils en veulent aussi aux Blancs et, au quotidien, les Blancs payent un tribut infiniment plus lourd à la violence afro-maghrébine que les juifs. D’ailleurs, à chaque fois que l’extrême-droite démocratique se met à pleurnicher sur le sentiment d’insécurité des juifs, un sentiment qui ne repose sur rien, elle invisibilise sciemment les véritables victimes de la violence quotidienne : les Blancs.

Cette réalité rend encore plus ignoble le numéro permanent de déférence que jouent Le Pen et sa clique en direction du CRIF et de la LICRA.

Démocratie Participative

#dempart #france #élections européennes #oy vey !

[carraways-son]

Lundi

Il fait très doux ce soir. Au bout de la flèche, le grand cirque Platon (Plato), d'environ 100km de diamètre. Et pour réveiller la nuit, deux citations piochées dans un carnet de 2005 : "Dormeur aux yeux grands ouverts, je m'enveloppais de silence, je me cuirassais d'hébétude, je me retenais de vivre comme un plongeur retient sa respiration." (Dominique Jamet, Notre après-guerre), et : "C'est tellement bon de tout oublier, de se sentir libre et idiot." (Siri Hustvedt, Tout ce que j'aimais).

#HM #Pseudo-journal #18 mars 2024

[valleedulys]

C'est quand même incroyable d'être adulte mais d'avoir un chat qui t'engueule quand c'est l'heure d'aller dormir.

Tous les soirs à 21h passé c'est le même cirque, qu'est-ce que ça va être pendant les vacances ?

#photoblog #photos #picture #photography #chat #cat #cute #go to bed #sweet #valleedulys

[allen-san]

Seiyuu : Sanae Kobayashi / Ayumu Murase ( 2016 )

Prénom : Allen

Nom : Walker .

Origine : anglaise .

Taille : 1,68 m .

Poids: 58 kg .

Âge : environ 15 ans.

Anniversaire : inconnu .

Groupe sanguin : O .

Objet : il possède un golem nommé Timcanpy que lui a donné Marian Cross ( qui lui appartenait avant ) .

Particularité : Ses yeux sont de couleur Argent-gris-cendre .

Allen est rejeté très tôt par ses parents biologiques à cause de son bras gauche anormal. Il grandit dans la rue seul et effectue des petits boulots pour se nourrir. A 7 ans, il rencontre Mana Walker dans un cirque qui y travaille comme clown. Mana décide de s'occuper de lui et deviendra ainsi son père adoptif. Il le recueil un soir de Noël. Ils voyageront ensemble pendant 3 ans suite à quoi Mana disparaîtra d'un accident de carrosse .( Qui selon des rumeurs aurai était orchestré par le comte ).

Le Comte Millénaire lui demandera alors s'il souhaite ressusciter Mana. En acceptant, Allen le transforme en Akuma et Mana maudit Allen pour ce qu'il a fait. Il le blessera à l'œil gauche ce qui vaudra à Allen sa marque rouge (ainsi que la faculté de voir l'âme des Akuma par cet œil) , quelque jours plus tard ses cheveux devinrent blancs ( brun a l'origine ) à cause de sa tristesse( d'où le proverbe qui dit d'une personne triste ou inquiète qu'elle se fait des cheveux blancs .).

Son Innocence, jusque là inactive, réagira indépendamment de sa volonté et détruira Mana . Après ce tragique accident, il est récupéré par le Général Cross Marian auprès duquel il apprendra le travail d'exorciste. Au départ, il ne souhaite que libérer les Akuma mais au cours du temps il décidera que son bras gauche sert pour les Akuma et son bras droit pour les Humains.

Allen est le seul à pouvoir contrôler la première Arche. Auprès de Mana, il a appris les symboles qui composent la partition de piano, l'instrument étant le cœur de l'Arche pour la déplacer. Selon la prophétie d'Hevlaska, Allen est le « destructeur de temps » et serait le seul à pouvoir tuer le Comte Millénaire. Il est l'héritier de la mémoire du 14e Noah( nommais aussi le "Musicien" ) et risque de finir rongé par l'âme du 14e et devenir un Noah. Jusque là, Allen ne faisait jamais preuve d'une réelle agressivité ou envie de tuer envers les membres du clan Noah sachant qu'ils sont semblables aux humains. Road lui fera remarquer d'ailleurs lors de leur première rencontre qu'il finira seul et détesté de tous.

Du fait de son lien avec le 14e, il est surveillé par Howard Link.

Malédiction : L'Œil maudit

Son œil gauche est noir avec une Pupille formée de cercles concentriques rouges et lui permet de voir l'âme d'un Akuma et de les repérer pour les détruire. Plus tard , lors de sa rencontre avec Krory , celui-ci devient plus puissant car il permet aux exorcistes proches d'Allen de voir également l'âme de l'Akuma. L'œil peut se régénérer s'il est détruit.

Innocence : God Hand ( Main de Dieu ) .

Son Innocence réside dans son bras gauche et c'est une Innocence de type parasite (ou symbiotique), celle-ci est greffée à la place de son bras gauche depuis sa naissance, elle lui donne un aspect desséché et rouge sombre. Elle prend généralement la forme d'une énorme griffe argentée qui découpe de l'Akuma (technique de « Cross Grave »). Elle peut également se transformer en une épée d'énergie pure ou en canon gatling qui tire des balles d'énergie en rafale . Elle peut se modifier afin d'être uniquement constituée d'énergie pure. De plus, l'œil d'Allen évolue afin de pouvoir distinguer plus d'Akuma simultanément, plus vite et plus loin.

Évolution de l'Innocence : Crown Clown

Après avoir perdu son Innocence suite à sa rencontre avec Tyki Mikk, il pourra la récupérer car elle se sera implantée directement dans son cœur, chose inédite, même pour une arme de type symbiotique. Son taux de synchronisation est meilleur et son bras s'intégrera mieux à son corps. Lorsque nôtre héros dépasse les 100 % de synchronisation , son bras se transforme en une épée blanche et or semblable à celle du Comte

#d.gray-man #manga #allen walker

[blamemma]

for you, my sacrifice is too high - Daniel/Max, 6k.

One of those private booths at Cirque Le Soir. That’s where the boys wanted to go. Was booked ages ago.

Daniel rolls his eyes. It’s one of the last places he wants to go. It’s not how he wants to celebrate. But he knows he has to show face. To thank the engineers and the strategists and the media team for all they’ve done so far. He’ll show face.

I’m heading to Tape. Keep in touch tho? We can head somewhere else.

It’s normal for him and Max to find each other. They’ve stumbled into this pattern of locating one another, finding excuses to leave their other friends, enjoying each other’s company, being responsible for one another, ending up in the same hotel, same room, same bed.

#Maxiel #maxiel fic #dr #mv #mp #fic #if anyone is interested xx

[eiffel21]

Humanité

Dans un roulement de tambour, le lion s’avance vers le dresseur, gueule ouverte et rugissements. Plus un bruit sous le chapiteau, le public retient son souffle. L’objectif est de taille : sauter à travers un cerceau enflammé, placé à 2 mètres de hauteur. Comme au ralenti, ses postérieurs fléchissent puis le propulsent en hauteur, le corps entier s’étirant alors qu’il franchit le cercle de feu. A la réception, quelques mètres plus loin, la fanfare reprend et le public applaudit à tout rompre. L’animal, blasé, retourne sur son tabouret, attendant son tour pour la parade finale.

Marius, le dresseur, remarque l’attitude du lion. Non qu’elle soit nouvelle ou récente, mais quelque chose dans son regard et sa tête baissée le touchent particulièrement ce soir. La lassitude de l’animal semble rejoindre celle du dresseur, épuisé des tournées dans toute l’Europe. En son for intérieur, une seule question tourne en boucle : pourquoi ?

C’est alors que le changement advient, dans un sursaut d’humanité. Sous les protestations du patron du cirque et le regard médusé du public, Marius dépose son fouet, ouvre la cage aux lions et se dirige vers la sortie, les animaux derrière lui. Le rideau rouge se referme et avec lui, des années de captivité et de domination.

#30jourspourécrire #eiffel21 #jour10

[lesgenouxdanslegif]

LES FOUS SERONT LACHES.

Jeudi soir, les dingues du Grand Raid partent en diagonale. Une course à part, un rite initiatique pour beaucoup où tout peut basculer très vite, les espoirs rongés par les cailloux et les rêves dégommés par les racines. Il y a d’abord ce départ, celui dont tout le monde parle, celui où tout le monde part trop vite. Les premiers sentiers et les premières danses. Les gamelles. Les chevilles qui se tordent à angle droit dans la nuit fraîche avant la fournaise. Puis vient enfin le jour, les cirques où on évolue sans filet, de toute manière si on entre dans Mafate il faudra bien en sortir. Les genoux demandent grâce, les cuisses veulent s’affaler sur un canapé devant la télé et ne plus bouger, les cerveaux sont cramés par des calculs impossibles. Il faut pourtant avancer, s’accrocher aux arbres et à ses rêves, frotter le museau sur ces pentes aussi raides que les corps. Puis les assistances qui ressemblent à des repas de famille, les gosses qui tapent dans les mains poussiéreuses et ces genoux qui hurlent désormais tellement forts qu’on doit les museler avec des bandes élastiques. Il faut encore avancer ti pas ti pas, essuyer sur ses joues la sueur et les larmes, discuter en tête à tête avec son cœur et fixer ses démons droit dans les yeux. Le stade est juste là, encore un dernier supplice au paradis et l’herbe accueillera les corps épuisés. Le Grand Raid de La Réunion est bien plus qu’un ultra trail. On y trouve autre chose.

Photo Alexis Berg

[ironstrangeao3]

La Temporada del Circo

by hiatus_sensei

Bienvenidos a Le Cirque du Soir, un circo que viaja por el país para alegrar a la gente con su magnífica función. Por favor, ven y disfruta de la magia del arte circense. Prueba el exquisito algodón de azúcar y asómbrate de los trucos del mago.

Stephen Strange trabaja en el circo, conoce su secreto, pero nunca lo revelara.

Words: 907, Chapters: 1/?, Language: Español

Fandoms: Marvel Cinematic Universe, Iron Man (Movies), Doctor Strange (Movies)

Rating: Mature

Warnings: Rape/Non-Con

Categories: F/M, M/M

Characters: Stephen Strange, Original Male Character(s), Peter Parker, Clint Barton, Tony Stark, Steve Rogers, Natasha Romanov (Marvel), Other Marvel Characters, Original Female Character(s)

Relationships: Stephen Strange/Tony Stark, Clint Barton & Stephen Strange, Peter Parker & Stephen Strange, Stephen Strange & Original Male Character(s), Stephen Strange & Other(s)

Additional Tags: Alternate Universe - No Powers, Thriller, Blood and Torture, Ephebophilia, Minor Character Death, Minor Depictions Violence, Stephen Strange-centric, Stephen Strange Needs a Hug, Minor Clint Barton/Natasha Romanov, Minor Stephen Strange/Other(s), Circus, The Author Regrets Nothing, No Beta Readers We Like Tony in What if?

source https://archiveofourown.org/works/47604703

#tony stark #stephen strange #ironstrange #fanfic #ao3

[viptableslondon]

Cirque le soir Table Booking

Cirque le Soir is a perfect club for you if you like partying. The ideal mixture of wild and extravagance creates a wicked scene; the best of London devotes their wakeful nights here. Cirque le Soir is where the. Crazy parties happen, so you can expect several shows during the week, including a circus carnival with everything you wish to be in a circus but more alluring and not to forget exotic dancers. Owing to its luxury, the only way to gain access to the club is to reserve the Table in advance through VIP Table Booking at Cirque le Soir.

#Cirque le soir Table Booking #Cirque le soir Table

[ernestinee]

Oh j'ai un pavé à écrire ! Hier soir c'était cirque. Création et répétition. J'adore cette ambiance où les cerveaux bouillonnent de créativité, où les idées se mettent ensemble.

La troupe fait partie d'une balade nocturne. Pendant plusieurs années, cette promenade était liée à Halloween. Public costumé, artistes effrayants, décors lugubres, tout ce qu'on attend d'une promenade d'halloween jusqu'au jour où l'ambiance a dégénéré.

Plusieurs années de suite, l'ambiance devait être de plus en plus effrayante et a fini par attirer des gens qui se cachaient derrière leurs masques pour être réellement effrayants eux aussi.

Ils ont terrorisé les enfants, lancé des cailloux sur les acteurs et sur la troupe du cirque (dont je ne faisais pas partie à l'époque, mon fils non plus), démoli des décors... Les artistes se sont petit à petit désolidarisés de tout ça.

Pendant quelques années, la promenade a eu mauvaise presse puis un nouveau collectif s'est installé dans le centre culturel et la promenade d'halloween s'est transformée en promenade historique autour des légendes de la région. Et je vis dans une région riche en histoires de sorcières.

Au début, des gens ont été mécontents parce qu'il n'y avait plus rien d'effrayant (à part ceux qui voulaient brûler les sorcières), puis les habitudes se sont installées et la promenade a retrouvé la confiance des acteurs, des musiciens et des circassiens de la région. Aujourd'hui, elle mélange l'histoire magique et réelle, passée, présente et future en mettant la lumière sur les artistes qui font et feront bouger la région.

Et nous incarnons un vieux cirque traditionnel sur ses derniers moments, en pleine décrépitude mais toujours amoureux de notre art.

Quelques jongleurs par-ci, une voyante par là, des monocycles, une femme à barbe, un homme de feu (mon ado ����) une magicienne, un homme fort, des siamoises, une ménagerie.... Les rôles et les curiosités du cirque traditionnel sont tous représentés. Le public se promène au milieu de tout ce petit monde et ne sait pas où regarder tant on veut leur montrer qu'on aime ce qu'on fait, qu'on le fait bien et qu'on ne veut pas que notre cirque tombe.

Puis les plombs sautent parce que notre système électrique est fragile. On râle, on râle, on appelle notre homme à tout faire qui est aussi notre clown blanc, il n'y a pas de petites économies. Le public appelle avec nous. Il arrive court partout à la recherche du disjoncteur. Il remet le courant et la magie commence. Des milliers de nouvelles lumières sont maintenant allumées et créent un chemin vers notre chapiteau de fortune qui n'a même pas de toile.

Monsieur Loyal prend la tête de ce qui sera une parade, passe devant chaque artiste pour le présenter et l'inviter à le suivre avec son public. On passe devant les trapézistes, les funambules, le feu, la magie, emportant chaque artiste... Et tout le monde se réunit devant le chapiteau. La danse commence, on forme une masse compacte et unie puis on se détache et chacun passe montrer sa spécialité. Les roues, les acrobaties, la jonglerie, le lancer de couteaux, les géants... De quoi mettre en évidence qu'au cirque comme ailleurs c'est la diversité qui est le moteur de l'unité.

Et puis on retourne chacun sur son podium, dans son stand ou sur son arbre (les trapèzes sont attachés à des branches c'est incroyable) jusqu'à ce que l'électricité saute de nouveau.

(La photo est de l'année dernière, l'histoire était différente mais c'est le même chapiteau)

[quentinbidaud22-23]

POST 1

L'aventure de madame Muir, Joseph L. Mankiewicz 1947 Une histoire d'amour entre une femme et un fantôme, une vieille maison sur une falaise. Incontournable.

Mon oncle, Jacques Tati 1958 La rencontre poétique de deux mondes, l'ancien et le moderne. Des personnages attachants. Cela pourrait être un poème de Prévert, mais c'est un film de Tati.

L'année dernière à Marienbad, Alain Resnais 1961 Un immense jardin à la française, un colossal escalier, Delphine Seyrig et Giorgio Albertazzi qui ne cessent de rejouer la scène d'un rendez-vous manqué. Un chef-d'oeuvre qui gardera son mystère à jamais.

Judex, Georges Franju, 1963 Digne des romans feuilletons du XIXe siècle, un justicier mystérieux qui s'attaque au banquier malhonnête. Des combinaisons noires, des intrigues, des masques en forme d'oiseau.

Les lèvres rouges, Harry Kümel, 1971 La suite vampirique de Marienbad, Delphine Seyrig en comtesse immortelle buvant le sang des pensionnaires d'un hôtel d'Ostende.

La montagne sacrée, Alejandro Jodorowsky, 1973 Délire hypnotique et fou, conte alchimique dans lequel les maîtres des neufs planètes devront gravir la montagne sacrée pour trouver la réponse savoureuse au grand mystère de l'existence.

Céline et Julie vont en bateau, Jacques Rivette, 1974 Deux sorcières solaires errant dans le Paris des années 70. Une maison mystérieuse, des numéros de magie. Un film à regarder à l'endroit ou à l'envers, éveillé ou endormi.

Complot de famille, Alfred Hitchcock, 1976 Le dernier film d'Hitchcock, une fausse voyante et un chauffeur de taxi à la recherche d'un diamant volé. Un film du dimanche soir.

Stalker, Andreï Tarkovski, 1979 Un voyage à travers des paysages de science fiction délabrés porté par une musique sublime. Une sorte de rêve.

The Fog, John Carpenter, 1980 Une malédiction s'abat sur une ville de Nouvelle-Angleterre. Un brouillard vert fluorescent duquel émerge des fantômes. Une animatrice de radio tente de sauver les habitants depuis un phare isolé. Un film glacial et génial.

Fitzcarraldo, Werner Herzog, 1982 Un homme passionné d'opéra entreprend de faire passer un bateau par dessus une montagne en pleine jungle amazonienne. On ne saurait le décrire autrement.

Et vogue le navire, Federico Fellini, 1983 Un film comme un roman, au début du XXe siècle, des personnages hauts en couleurs embarquent à bord d'un paquebot afin de rendre hommage à une célèbre cantatrice.

Paris, Texas, Wim Wenders 1984 Un homme qu'on croyait mort sort du désert et retrouve peu à peu les vestiges de sa vie passée. Une sorte de mirage porté par une musique sublime.

Phenomena, Dario Argento, 1985 Un film d'horreur comme on n'en fait plus. Un adolescente qui parle aux insectes sur les traces d'un tueur en série. Jennifer Connelly invoquant une nuée de mouches, scène culte.

Les ailes du désir, Wim Wenders 1987 Un très grand film de Wim Wenders. Un ange tombe amoureux d'une acrobate de cirque et décide de devenir mortel. Une promenade dans le Berlin des années 80. Peter Falk se frottant les mains dans la brume matinale. Incontournable.

Prince des ténèbres, John Carpenter, 1987 Le film d'horreur le plus terrifiant. Un groupe de scientifiques découvre que l'Eglise a caché au monde le fait que Dieu n'existe pas. A sa place, une entité ténébreuse qui va bientôt se libérer. Vous ne vous regarderez plus jamais dans un miroir sans penser à ce qui vous attend de l'autre côté...

Drugstore Cowboy, Gus Van Sant, 1989 Une petite bande de camés braque des pharmacies pour se défoncer. Leur chef décide de se ranger mais le passé ne s'oublie pas facilement. Un conte étonnamment léger. Une apparition de William Burroughs dans toute sa majesté.

Meurtre mystérieux à Manhattan, Woody Allen, 1993 Un couple farfelu mène l'enquête sur la mort de leur voisine de palier. Le New York des années 90, des rebondissements, et Anjelica Huston au faîte de sa gloire en auteur de romans policiers.

La cité des enfants perdus, Jean-Pierre Jeunet, 1995 Dans une cité portuaire verdâtre, des enfants disparaissent. Un savant fou tente vainement de voler leurs rêves. Un film génial, complètement glauque et immersif. Des costumes incroyables de Jean-Paul Gaultier. Un monde en soi.

Dead Man, Jim Jarmush, 1995 William Blake tue un homme par erreur et prend la fuite, accompagné de l'indien Nobody, qui le prend pour l'esprit du célèbre poète anglais. Un récit initiatique tout bonnement génial, bercé par les improvisations de Neil Young à la guitare. Le meilleur rôle de Johnny Depp. Une apparition éclair de Robert Mitchum dans son dernier rôle.

The pillow book, Peter Greenaway, 1996 La fille d'un célèbre calligraphe, devenue mannequin, recherche un homme capable de lui écrire un compliment sur toute la peau. Elle finit par devenir elle-même calligraphe et décide d'écrire un livre sur le corps de son amant. Un film sublime.

La légende du pianiste sur l'océan, Giuseppe Tornatore, 1998 Un bébé est retrouvé dans la cale d'un paquebot. Devenu adulte, ainsi qu'un pianiste légendaire, il se mesure aux plus grands musiciens de son temps mais n'a jamais posé le pied à terre. Un conte magistral et bouleversant.

Mulholland Drive, David Lynch, 2001 Un rêve, un cauchemar. Une femme amnésique, aidée par une actrice en herbe, part à la recherche de son identité. Un film porteur d'un mystère insondable. A voir et à revoir à l'infini.

La famille Tenenbaum, Wes Anderson, 2001 Une famille de génies, disloquée par des querelles intestines, tente de se retrouver. Un vrai poème visuel, drôle et touchant. On aimerait vivre dedans.

Kill Bill, Quentin Tarantino, 2003 Un chef d'oeuvre absolu. Le personnage d'Uma Thurman en guerrière vengeresse que rien ne pourra arrêter, figure allégorique mue par une force supérieure. Les cinq points et la paume qui font exploser le coeur.

The Fall, Tarsem Singh, 2006 Un homme alité dans un hôpital raconte une histoire à une petite fille. En échange, elle dérobe pour lui des ampoules de morphine. Et le conte se mêle à la réalité. Visuellement grandiose et éblouissant. Une scène d'ouverture mémorable.

The Fountain, Darren Aronovsky, 2006 Trois histoires entremêlées pour n'en former qu'une seule, celle de la recherche de la vie éternelle. Des scènes se déroulant dans le plan astral, toutes d'or en fusion et d'extase mystique. A couper le souffle.

Melancholia, Lars Von Trier, 2011 Une planète s'approche dangereusement de la terre et s'apprête à l'engloutir. Deux soeurs, deux entités contraires, se dirigent en silence vers la fin du monde. Une expérience totale portée par des symphonies sublimes et des tableaux de Bruegel.

Only Lovers Left Alive, Jim Jarmush, 2013 Un couple de vampires sublimes portent sur le monde un regard désabusé. Sur fond de rock indé lancinant, à travers Détroit ou Tanger, la décadence d'une communauté en train de disparaitre.

Les Garçons Sauvages, Bertrand Mandico, 2017 Un groupe de jeunes garçons commet un crime impardonnable. Ils sont condamnés à accompagner en mer un capitaine étrange et colérique. Un voyage vernien, totalement organique et sensuel. A la croisée de William Burroughs et de l'île au trésor, de Cronenberg et du club des cinq.

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♛ EXTRA! by princess adelaide windsor

following in the footsteps of her father, prince james windsor, who recently released his tell-all book ‘SPARE’, three years after the family stepped down from their royal titles, the youngest princess is now telling her side of the story. although now a new york times best seller, the book is being criticized for it’s elaborate fabrications, out of place stories and general nature of entitlement. under the cut are some quotes from the book.

“gran-gran, who you may know as the queen (r.i.p girlie pop) had a corgi fetish, like, it was actually absurd. and anytime i slept at her house, those little wiener looking freakazoids would climb into my bed chambers and hump mr. giggleman mcgee, the stuffed sloth that i’ve had since i was a baby, gifted to me by my lovely godparents david and victoria...beckham, you’ve heard of them, right? anyway, one night, corgi #5 literally wouldn’t stop so i picked it up, carried it outside buckingham palace and let it go into the streets of london to fend for it’s weird, horny self. i helped make the missing puppy posters that the guards hung all over london, but i knew the truth. and i knew that no one fucked with mr. giggleman mcgee.” -  chapter 4 ‘the corgis from hell vs. me and mr. giggleman mcgee - i always win.’

“i was devastated. i felt like my whole world was crashing down around me. it was like, totally worse than if they were to ever discontinue the shade jungle red at nars - they gave me an audi instead of a bugatti, when my dear cousin, little miss perfect charlotte, had gotten a bugatti for her sweet sixteen the year before. i knew right then and there that they hated me. so that’s why i drove it into the river thames - not because i was drunk, but because the car was super duper ugly." - adelaide windsor, chapter 6 ‘the not so sweet sixteen’

“it was a friday night at cirque le soir and i totally won’t blow up his spot and say names...so let’s just tall him gugh hrant, was quite literally looking at me like a panther looks at it’s prey. and i was just like obsessed much? so after i did some bumps off of the fingernail of a famous british model with fabulous eyebrows that was like bffs with karl lagerfeld, i won’t name names agian, so let’s call her dara celevigne, i followed him outside when he stepped out to smoke and let’s just say, this man had totally seen better days. it was a really pathetic time, he prob forgot to take his viagra, so i like closed my eyes and just pretended he was his character in notting hill. not everyone can say that they lost their v-card to gugh hrant outside of a pub in london, right?’  .  - adelaide windsor, chapter 9 ‘v-card, swiped!’

“they were the most selfish little twits i’ve ever met in my life. who the hell has a twenty second anniversary vow renewal? apparently they do. as if their wedding wasn’t gaudy enough - not that i was there, but aunty cate certainly didn’t look as pretty as my mom did on her wedding day, her frown lines were already out in full force. i was like way too old to be a flower girl, but they insisted on making me one and they put me in this bridgerton looking bullshit that i literally couldn’t breathe in. like you know when you and your friends get held hostage on the coast of morocco on a pirate ship and they like, put a bag over your head and scream at you to give them all your money? that’s totally what this dress felt like. and the worst part? i had just gotten back from my tour of the arctic, so my nips were still completely frostbitten, but aunty cate and uncle willy didn’t care, they wouldn’t even reschedule and forced me to wear that dress that my nips were poking out of the entire time!” - adelaide windsor, chapter 11 ‘as cold as ice’

“after gran died i was like, extra sad-ish i guess. but i got to inherit so much of her fabulous jewelry because i was obviously her favorite. charlotte always thought she was the favorite but charlotte has also always been a dumb twit. after the funeral i was wearing one of the necklaces she gave me and charlotte was just like, totally jealous, so she attacked me and tried to rip the necklace off my neck! of course, she spun it and made it seem like i was fighting with her because she had been spotted on a date with the prince of greece who i literally dated when i was fifteen...like, sloppy seconds much? but that little bitch has always been jealous of me and always made me look like the crazy one. and that was the last day i ever spoke to her. she stuffs her bra, btw. pathetic, right? like, just get a boob job, you loser.” - adelaide windsor, chapter 14 'cousins by blood, enemies by choice’

'when my parents told me and my brothers that we were leaving and relinquishing our royal titles, i was fuming. i mean, nobody in the family pulls off a crown the way i do, so i got a little desperate. if i couldn’t be the princess of the uk, i was totally going to be the princess of something. so i started like, banging a bunch of royal dudes - saudi arabia, denmark, spain,japan, belgium, denmark again because he had a hotter older brother that just got divorced, i mean, you name it. i totally became the united nations of royal men. but then i realized, i don’t need a title to be royal, i’m literally the most perfect human ever. so i made the move, titles left behind, and i’ve made a name for myself here. sure, i’ve only been in a few t.v shows, but world domination is totally on the way. wait, you guys saw euphoria right? how good did my tits look in it? see! there was no lasting damage left behind from the frostbite incident!’   - adelaide windsor, chapter 18 'america and the beautiful....it’s me, i’m the beautiful.’

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