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#papier bulle
petitmonsieur1 · 2 months
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Matteo
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Qui fait encore la cuisine avec un rouleau à pâte
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packmeupeu · 3 months
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cryptophasia-nabros · 5 months
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Norway says its moose statue is tallest. What a load of bull, Canada retorts. - The Washington Post
https://www.washingtonpost.com/world/2019/01/31/norway-says-its-moose-statue-is-tallest-what-load-bull-canada-retorts/
Not content to let Colbert, an admitted American, compare Mac to a “papier-mâché dog from an abandoned theme park,” Moosehead Breweries (no relation) is donating $25,000 Canadian dollars, or about $19,000, to the cause.
https://www.cbc.ca/news/canada/saskatchewan/mac-moose-tallest-moose-jaw-1.5314141
"I think he looks distinguished," Tourism Moose Jaw's executive director, Jacki L'Heureux-Mason, said Tuesday.
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Don't worry, everything ended peacefully. (Ie. Canada won.)
https://www.cbc.ca/news/canada/saskatchewan/moose-truce-twinning-cities-1.5046232
It has been agreed that Mac will reclaim the title as world's tallest moose with alterations that will be paid for with a $25,000 donation from Moosehead Breweries. Meanwhile, the four-year-old statue named Storelgen in Stor-Elvdal, will "forevermore be known as the shiniest and most attractive moose in the world."
Because, clearly, researching this moose conflict is the best use of my time.
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pwlanier · 9 months
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PAPIER MACHE BULL HEAD.
American or European, late 19th-early 20th century.
Most likely a trade sign. Layers of paint.
Garth’s
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ashleabechaz · 7 months
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Trash Bull - Not only is he celestial but he also has a bonus face on his nose (now you’ll never unsee it, you’re welcome 💅) Papier-mâché trash mask for the trash wall no 3 🚮🗑️
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morg-art · 6 months
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Quoi de mieux pour commencer ce blog que mon frère tout puissant ?
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3 portraits de lui au scotch, au papier découpé et le dernier au papier bulle avec des patins de chaises.
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echo-s-land · 4 months
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Blaguer sur le fait que les chats préfèrent les cartons et le papier cadeau plutôt que leurs jeux et puis passer un quart d'heure à éclater du papier bulle
That's me
I did that
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packmeupeu · 4 months
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charlottescasket · 5 months
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~~Introduction Post!~~
Hello! I’m Charlotte. You can call me Char for short :)
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I use any pronouns, and am fine with any gendered terms being used.
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I’m a lesbian!
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My main fandom is IT, but I’m also into TADC, Chucky (the series), IANOWT, Stranger Things, FNAF and various others. I occasionally make fanart and write ff(but will not post any fanfic on this account).
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MASSIVE CAT PERSON. Cat haters are a red flag🚩 I ❤️ bats, rats, snakes, dogs, birds and so many other animals too!
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ANTI SPIDER KILLERS!! SPIDERS ARE PRETTY!! (I once stepped on a spider and cried. HwaaA)
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I have a black cat (Esther), a tabby (Grumpy), a pit bull (Guillermo), a blue heeler (Roxy), a Rooster (Sol), a tarantula (Technically my brothers now[Pennywise]) and a ball python(Schmendrick)! I might post about them sometimes :)
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Currently still in high school. Hopes to become a mortician/some kind of funeral home worker.
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Other hobbies of mine include reading, sewing, sculpture(clay, papier-mâché, gluing random things together, etc!), cosplay, hiking, building stick shelters outside for funsies, making cool outfits for myself and other random crud
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Chronically unmotivated
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morphinedoutretombe · 2 years
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Sais tu ce qui ressort réellement de mes mots? En quoi l'encre se déguise pour survivre ? Vois tu l'invisible entre mes lignes? Tout change autour de moi quand je laisse mon imagination graver le papier, les murs ou ce qui se trouve à ma portée... L'air s'assombrit et le reste se dissimule dans le brouillard... Dans cette petite bulle, je suis celle que je veux... Oubliant les maux, les âmes toxiques...
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swedesinstockholm · 10 months
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19 juin
de retour dans mon lit. il m’a répondu cet après-midi dans le train, il m’a dit de lui dire quand je revenais comme ça on pourra remettre ça, et malgré sa non démonstration de preuves, ç’a rouvert une petite fenêtre d’espoir dans ma tête. j’arrive pas à concevoir l’idée qu’il soit pas tombé sous mon charme. ce soir en allant promener le chien avec maman je lui ai tout raconté, ce qui a un peu remis les choses en perspective parce que bon, ça arrive, sauf que là ça fait la deuxième fois que ça m’arrive en cinq mois. je lui ai raconté qu’il m’avait chanté ma chanson sur rebeka warrior et elle m’a dit que ça lui plaisait peut être pas que j’aime les filles aussi, comme si on était en 1950. il m’a littéralement chanté rebeka rebeka, pas en entier, juste le début, mais il se rappelait des paroles et de la mélodie et il se rappelait qu’on voyait pas mes mains dans la vidéo. et il est sensé ne pas avoir de crush sur moi??
ce matin pendant que je me plaignais de r. au téléphone assise sur le rebord de la baignoire devant la machine à laver, un type de la coloc du dessus est rentré dans la salle de bain et puis il m’a vue et il est ressorti aussi sec en s’excusant et tout d’un coup je me suis sentie terriblement normale, assise sur le rebord de cette baignoire un peu cradasse, en train de faire ma machine avec la fenêtre grande ouverte tout en téléphonant à ma soeur pour me plaindre des garçons. il me manquait plus qu’une cigarette à la main pour que ça fasse comme un film des années 90 avec parker posey ou winona ryder. je l’ai recroisé plus tard alors qu’il sortait de sa chambre et j’ai commencé à m’imaginer qu’il avait tout entendu depuis le début: mes conversations au téléphone avec m., mes monologues pour me calmer, mes chansons inventées pour me rassurer, mes insultes contre mon téléphone, mes soupirs, toutes les fois où j’ai jeté mon téléphone sur le lit, mes respirations profondes à la fenêtre sensées me calmer, le bruit de mon stylo sur le papier de mon journal qui gratte qui gratte qui gratte. sans oublier l’intégralité de la saison 1 de the ultimatum queer edition.
20 juin
je lui ai écrit cet après-midi à 17h18 assise sur le bord de mon lit, je lui ai dit que j’avais crushé sur lui et puis je passe à la photo du sac poubelle rose surmonté du sac à crottes vert menthe pour dédramatiser/faire diversion, je sais pas trop. je me répétais en boucle une chanson inventée qui disait what’s the worst that could happen, the worst already happened, pour garder les pieds au sol. the worst being la journée de dimanche quand mes bras et mes jambes pesaient une tonne et que je me suis retrouvée à lire des listes de signes indiquant qu’un premier date s’est bien passé (je les avais tous cochés sauf le rapprochement physique). ça peut pas être pire que dimanche. même s’il me répond qu’il m’aime pas. je risque de passer une grosse nuit de merde dans le flixbus pour berlin mais tant pis j’avais pas le choix, j’étais obligée de lui dire.
23 juin
on est vendredi et la brique dans mon ventre qui me plombe le corps et le tire vers le bas est toujours là. il m’a toujours pas répondu mais il a liké ma story ce matin et j’ai demandé à n. what does it MEAN parce que j’imagine toujours qu’elle a réponse à tout mais elle a juste dit i don’t know but it’s so mean!! elle me dit de lui écrire hey i don’t do subtext, mais elle a une façon tellement différente de communiquer avec les garçons que moi, et puis j’ai l’impression que ce que j’avais avec r. était une petite bulle spéciale, beaucoup plus spéciale que ses flirts à elle, comme à l’époque où je pensais que ce que j’avais avec a. était beaucoup plus spécial que ce que f. avait avec sa copine. tout doit toujours être spécial avec moi, je suis spéciale et mes relations doivent être spéciales comme moi. et par spéciale, je veux dire mieux évidemment. plus vrai, plus intense, plus profond, plus intéressant, plus important. si j’étais pas scorpion ascendant lion il faudrait l’inventer. c’est moi qui ai inventé la constellation du scorpion et mes pieds flottent loin, très loin au dessus de la terre, ils gravitent sur antares, ma vraie maison, là où la réalité est fabriquée très, très loin de la surface.
dans la nuit de mercredi à jeudi mes pieds touchaient les pieds d’un mec qui sortait de prison au milieu du couloir du flixbus, alors que j’essayais de dormir recroquevillée sur mes deux sièges, la tête sur mon sweat en guise de coussin, après avoir pleuré toutes les larmes de mon corps contre la vitre. avant de partir il m’a lancé un long coup d’oeil sur le parking et j’étais tellement désespérée que j’étais pas complètement contre une petite romance avec lui, en théorie, pas en pratique, il faut pas exagérer non plus. quand on a passé la frontière j’ai été aveuglée par des énormes flash sur le côté de la route et la police est montée dans le bus d’une manière un peu violente pour vérifier les papiers, ils ont fait sortir mon partenaire de romance hypothétique parce qu’il trouvait pas le papier qui lui donnait l’autorisation de voyager ou je sais pas quoi et ça a duré des heures et je commençais un peu à m’inquiéter.
en attendant je suis encore allongée sur le lit de quelqu’un d’autre à me morfondre sur r. au lieu de sortir, mais hier j’étais dehors et quand on est rentrées dans une librairie qui passait rihanna ça m’a fait penser à sa soeur et j’ai failli m’écrouler de chagrin sur le parquet en repensant au moment où on avait parlé d’elle et que je me sentais déjà pratiquement comme un membre de sa famille, adoubée par sa soeur et tout. j’ai tout le temps envie de prendre des trucs en photo pour les lui envoyer mais je peux pas, je dois garder un semblant de dignité dans cette affaire. j’ai très envie de me remettre à faire des diptyques aussi depuis qu’il m’a dit que mes photos étaient très jolies. quand il m’a présentée à son amie neptune à la soirée il a dit je te présente lara, elle est poétesse, et puis plus tard il m’a demandé si ça m’avait pas dérangée qu’il me présente comme poète et j’ai dit non pas du tout, je vais même t’engager comme agent. la deuxième fois il m’a présentée comme son amie. lara, une amie, et puis quand son amie flutiste m’a demandé si elle pouvait me lire quelque part j’ai dit qu’il fallait venir à mes lectures et il a ajouté qu’on pouvait lire des trucs sur ig aussi, déjà en train de faire son travail d’agent. hier pendant que j’attendais n. qui nous prenait des trucs orientaux au halloumi assise à une table en bois sur le trottoir de kreuzberg je ruminais ma mélancolie en pensant à la pâtisserie orientale où j’ai dit que j’avais envie de manger des gâteaux qui ressemblaient à un anus et puis il m’a payé mon burek et il avait l’air tellement fier de savoir que ça s’appelait un burek et j’ai dit tu m’enverras la facture en rigolant parce que bon ça faisait le deuxième truc qu’il me payait un truc quand même.
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ernestinee · 1 year
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// Matin. Heure encore sombre. Sortir de la maison, fine bruine désagréable, pester sur la météo. Une bretelle du sac à dos sur l'épaule, la capuche de sa veste sur la tête. Pester sur l'été encore loin.
Il sort du pâté de maison, marche encore machinalement 5 minutes, descend les escaliers. L'air puant et le brouhaha de la station de métro. Il visualise mentalement sa journée. Les cours, la BU, manger un truc, les cours, la BU, rentrer trop tard, manger en vitesse ce que sa mère aura laissé pour lui dans le frigo, Twitch un peu s'il a le temps ou insta puis dodo.
Le métro arrive mais ce n'est pas le sien. L'air chaud, les tenues des gens, l'incivisme de certains qui poussent pour rentrer. Il soupire doucement. La journée va être longue mais ça tombe bien, il a beaucoup à faire. Dernière année de Master.
Trois minutes plus tard son métro arrive, il laisse passer les plus pressés. A cette heure ci, il y a des places assises de toutes façons.
Il s'installe, garde sa capuche, enfonce la main dans le fond de sa poche pour y retrouver ses airpods, les visse dans ses oreilles et démarre Apple Music, une playlist un peu chill, une bulle avant l'effervescence de la ville, de la journée, des étudiants, de son cerveau.
// Matin brumeux et froid en pleine campagne. Ado levé au treuil, douche, petit déj, vêtements, chaussures. T'as un contrôle aujourd'hui ? Et ton bouquin c'est pour quand ? T'es sûr qu'il n'y avait rien pour maths ? J'avais rien à signer ? Allez on s'active, tes chaussureuh.
Dans la voiture, l'ado décide de la musique, chipote dans Spotify pour faire découvrir des sons. Elle apprécie, ils parlent de la drill, de ce qui la différencie du rap, des influences de Ziak, de ses textes un peu trop explicites, des anciens rappeurs, du concert de NTM où elle était allée, des morceaux à textes, des morceaux à ambiance, de Nekfeu. Il met un son de Nekfeu accompagné de Dinos. Elle connaît par cœur le moment où ça va vite et il est impressionné. Puis il parle du rap plus chill, il change de morceau, met Dinos seul. 93 mesures. L'intro au piano envahit la voiture et son cœur rate un battement. Elle fait semblant de rien. Celui là aussi, elle en connaît chaque rime, chaque note, chaque silence. Ça la remet quelques mois en arrière, elle pense à lui. Elle fait semblant de rien.
// Le métro s'efface, les gens disparaissent. Il croise les bras au dessus de son sac plaqué contre lui, incline la tête vers l'arrière, ferme les yeux et se laisse bercer par la musique. Disiz, Youssoupha, Dinos.
Dinos. Changer de morceau. Ne plus penser à elle.
Le trajet se prolonge. Il sort à son arrêt, émerge de la musique et de la station de métro, marche encore un peu et arrive à l'université. Les études sont sacrées pour lui. Jusqu'au soir, il absorbera chaque mot prononcé par ses profs, il sera intéressé et concentré. Aux heures de fourche, il ira à la BU pour s'avancer dans son travail, réaliser ses tp, faire des recherches pour sa première thèse. Après les cours, il ira encore à la BU jusqu'à la fermeture, pour travailler au calme dans cette ambiance studieuse qu'il apprécie.
// Arrivée à l'école. "Oublie pas que tu prends le bus" et "Concentre toi bien en maths hein". La musique se coupe, le tel de l'ado étant maintenant trop loin pour le bluetooth.
Repartir de là. Une playlist de rap pour rester dans la continuité. Soleil Noir, nouvel album de Dooz Kawa et ses potes. Sa voix éraillée, sa poésie, ses jolis mots, mettre du beau et de l'harmonie dans ce qui est cru.
La journée démarre doucement et en musique, avec cette petite pointe de nostalgie qui s'élargit comme une tache d'encre dans son cœur en papier froissé. Un soupir plus tard et les larmes pointent.
Ça vient de loin, d'il y a des mois. Penser à lui, à la musique découverte avec lui, aux moments passés en pleine nuit assise par terre dans les toilettes, seul endroit calme de la maison, les écouteurs sur les oreilles à l'écouter parler "Je sais pas y a quoi mais j'ai pas envie de couper aujourd'hui" "tu me rends fou je deviens fou c'est pas possible" "tu fais quoi si j'arrive maintenant là ?" "Tu ferais quoi si on était célibataires tous les deux?"
Elle lui répondait en chuchotant, écoutait ses silences, sentait ses hésitations, entendait ce qu'il ne disait pas.
Elle se gare pour reprendre ses esprits. Coupe la musique. "Tu es trop jeune" "Et toi tu ferais quoi ?" Silence, sanglots et murmure de la circulation, oreilles qui sifflent.
"Je jouerais avec le feu, je te rendrais folle comme tu me rends fou", cerveau qui implose. Cette sensation insupportable d'être vide.
Respirer.
Respirer.
Encore.
Se recentrer. Remettre la musique, pas Dinos, remettre le contact, repartir. Ne plus penser à lui.
Laisser la journée s'écouler, profiter des bons moments, rassurer, apprendre, être patiente.
Et puis le soir arrive, elle retrouve son conjoint et son ado, elle est repassée acheter de quoi faire une soupe. Pas de musique, la tv déclame les infos, en vod parce qu'il est tard. Ça va trop fort pour elle. Et il y a trop de lumière. L'ado en a marre de la soupe, le conjoint raconte sa journée. Et toi ça a été ? Oui oui nickel.
Bien sûr, elle taira les plaies encore ouvertes du matin.
// Il quitte la bibliothèque universitaire pour reprendre le métro. Il fait déjà noir. Il met sa capuche malgré qu'il ne pleut plus. Les mains dans les poches. La fatigue lui barre le front, les lumières de rue sont un peu crues. Heureusement il fait calme, il entend plus loin la circulation des rues plus fréquentées. Ses pas résonnent sur le trottoir un peu humide.
Elle, elle s'inquiétait pour lui. "Mais t'as pas peur de rentrer si tard ? Moi je serais tétanisée". Il sourit en se souvenant comme il l'avait laissée sans voix en lui répondant "Oh tu sais en général c'est plutôt de moi dont on a peur". Après elle avait été désolée et il lui avait envoyé de la musique.
Il la chasse encore de son esprit. Ne plus penser à elle.
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