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#Germaine Rocher
history-of-fashion · 4 months
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1950-1959 Womens cocktail dress by Germaine Rocher (Sydney)
velvet, silk, textile, metal
(Powerhouse Museum)
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• Evening dress with stole.
Designer/Maker: Germaine Rocher; Worn by: Kathleen Munro (Sydney, New South Wales, Australia)
Date: 1950-1960
Medium: Silk, textile, metal.
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litas-writings · 6 months
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Die Edelstein-, Silber- und Vergissmeinnicht Trilogien sind miteinander verbunden (und Wolkenschloss irgendwie auch)
//!\\SPOILER //!\\ Für alle oben genannten Buchreihen!
Das habe ich schon früher immer gedacht, als ich Silber gelesen habe, was ja genau wie Rubinrot in London spielt. Da habe ich mir immer vorgestellt wie Gwendolyn in Tempel durch die Zeit springt, während Liv in Hampstead lustig durch Träume spaziert.
In beiden Roman-Reihen ist nicht so recht klar, wo der magische Teil aka das Zeitreisen und die Traumtüren eigentlich herkommen. Natürlich gibt es den Grafen von St-Germain in der Edelstein-Reihe, der den Chronographen entdeckt und die ganzen Prophezeiungen schreibt. Die Frage ist nur: Warum gibt es überhaupt Zeitreisende? Wo kommt der Chronograph her? Der Graf hat ihn zwar entdeckt aber nicht gebaut! Wo kommt er also her? Woher wusste der Graf dass dieses Teil mit Zeitreisen verbunden ist? Ähnliche Fragen kann man sich auch bei Silber stellen: Warum können Liv und die anderen sich gegenseitig in ihren Träumen besuchen? Die ganzen Rituale stellen sich ja als kompletter Schwachsinn heraus. Nichtdestotrotz gibt es diese Traumtüren und eine Erklärung zu ihrer Existenz bekommen weder die Figuren, noch der Leser.
Und dann kommt Vergissmeinnicht um die Ecke: im ersten Teil gibt es einige Easter-eggs zu Rubinrot und Silber. Zum Beispiel der Wasserspeier Bax der von Matilda mit Xemerius verglichen wird. Oder der Saum, den Menschen nur in ihren Träumen betreten können. Im zweiten Teil wird das alles natürlich eindeutig, mit Professor Cassian, der in London von der Geheimloge der Wächter erzählen möchte, dann aber von Fee unterbrochen wird; oder eben Matilda die mit Bax' Hilfe ihre Traumtür entdeckt und somit in den Saum gelangen kann. Und schon hat man eine Erklärung für die Unerklärten Dinge der zwei früheren Trilogien: Zeitreisende haben einen Ursprung, nämlich aus dem Saum. Beziehungsweise sind sie entfernte Nachkommen von Saumwesen. So erkläre ich es mir jedenfalls. Denn in diesem Fall haben sie keine Lentigos, die in Vergissmeinnicht alle Nachfahren haben. Aber vielleicht haben die Zeitreisenden auch eine Art Lentigo und wissen es nur nicht. Schließlich hat Gwendolyn ein Muttermal in der Form eines Halbmondes unter ihrem linken Auge. Möglicherweise sind die Zeitreisenden mehr Mensch als Saumwesen, weswegen ihre Lentigos sich im laufe der Generationen mehr und mehr zu etwas weniger magischem entwickelt haben d. h. ein etwas ausgefallenes Muttermal. Gut, Gideon scheint kein ausgefallenes Muttermal zu haben, genausowenig wie Lucy und Paul und die anderen Zeitreisenden...
Dennoch ist seit dem zweiten Teil Vergissmeinnicht klar, dass die Zeitreisenden auch dort existieren und dass sie den Saumwesen wie Cassian bekannt sind. Also müssen sie in irgendeiner Weise mit dem Saum verbunden sein. Eine Zufriedenstellende Erklärung kriegt man jedoch für die Traumtüren und Korridore aus Silber, denn man erfährt, dass diese dem Untergrund angehören, welcher ein Teil des Saums ist.
Was Wolkenschloss betrifft, hat dieses Buch deutlich weniger Verbindungen mit den drei anderen Reihen, was größtenteils daran liegt, dass es weniger fantastische Elemente dort gibt. Dennoch gibt es auch dort einige Parallelen, zumindest zu Vergissmeinnicht. Das ganze Hotel scheint seinen eigenen Willen zu haben, denn es hilft und rettet die Protagonistin Fanny an mehreren Stellen. Aber besonders auffällig ist der Concierge des Hotels, Monsieur Rocher, der angeblich nicht älter wird, wenn man dem russischen Oligarchen Viktor Igorov glauben soll. Laut ihm ist er Monsieur Rocher schon als 12-jähriger in diesem Hotel begegnet und dieser scheint seitdem nicht gealtert zu sein. Auch sonst wird Monsieur Rochers Alter nie genannt und Fanny bezeichnet ihn als alterslos. Monsieur Rocher könnte also ein Arkadier aus dem Saum sein, da diese unsterblich sind, was erklären würde warum er nicht älter wird.
Als großer Fan der Edelstein und Silber Reihen habe ich mich sehr gefreut, Anspielungen auf die beiden Trilogien in Vergissmeinnicht zu entdecken. Außerdem habe ich das Gefühl, dass mit Vergissmeinnicht Fragen beantwortet werden, die man sich in den anderen Reihen gestellt hat. Wenn Kerstin Gier also weiterhin Verbindungen zwischen Vergissmeinnicht und den anderen Reihen herstellt und somit womöglich ein einziges Universum erschafft, wird das meiner Meinung nach richtig interressant und ich kann es jetzt schon kaum erwarten den dritten Teil von Vergissmeinnicht zu lesen ^^
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lupitovi · 1 year
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La grève Je m’attends à recevoir le heaume, le bouclier et la lance. Je suis prêt à faire l’impasse sur la barde de croupe et le chanfrein, aucune écurie à l’horizon, je me prépare à défaut au combat à pied. Mais aucun son de marteau sur l’enclume, point de forgeron pour me remettre une épée, ou de devanture cachée sous l’atelier avec armurerie gravé sur l’enseigne. Je peux encore décider au dernier moment d’aller au front ou pas. Bientôt, je devrai remplir une feuille et déclarer mon intention de participer à la guerre, avec possibilité aussi de renoncer. Pour une épopée, stylo bille à la main sur le bois traité de la feuille, cela me semble manquer de ferveur. Perceval aurait-il accepté de compléter les cases vides pour sa quête du Graal ? Je me rassure tant bien que mal, il aurait laissé le scribe rédiger. Je ne refuserais pas d’avoir Excalibur en main, mais j’ai beau parcourir la forêt de Saint-Germain, aucun rocher ne fait office de fourreau. Les chevaliers se révoltent contre le châtelain et ce dernier ne comprend point, il est toujours prêt à discuter. Expert de l’écoute, somnifère de la parole, logorrhée en intra, son champ de bataille est la salle de réunion. Combattre sur ses terres, et plus particulièrement en cet endroit précis, exclusivement en cet endroit, relève en soi de l’épopée. Tenter de grimper le long des remparts constitués d’un lexique poreux, pour ne pas dire grumeleux, s’agripper aux mots glissants, lisses comme une photo retouchée pour faire baver ceux qui scrollent, semble chose impossible, aventure des plus vaines. L’anesthésie par la parole est un beau subterfuge qui peut user si nous laissons le châtelain maître du temps. Ce dernier, que j’imagine du haut de sa tour de briques au fond du couloir troisième porte à gauche, souhaite nous imposer de nouvelles règles et accepte de discuter sur la mise en forme. Les termes, à l’aspect juridique aussi flou qu’indécis, sont déjà tranchés, à nous de choisir la police et la taille. Il ne nous reste plus qu’un moyen d’être entendus, laisser la loc au dépôt, poser les outils, la clé BL et la clé Denys. Nous arrêtons le temps imposé. Je ne mesure pas alors que cette période demandera encore plus d’efforts que le travail, dans le corps et les pensées ; mais ce sont des efforts voulus, sucrés bien qu’avec une légère acidité, pimentés aussi, avec de la corne sur chaque lettre, une épaisseur qui n’empêche pas de saisir chaque information, car nos sens semblent alors s’aiguiser. Nous avançons de pair avec une sensibilité accrue, avec une perception qui s’expérimente au gré des enjeux. Il en est du moins ainsi pour Pablo, Ach et Gaël. Car ils se présentent chaque matin dans le poumon du mouvement, afflux d’air indispensable pour que nous puissions avancer, dans l’assemblée générale, l’AG. Je ne sais pas s’ils sont l’air ou la part constituante de l’organe. Probablement un peu des deux. Il existe des poumons de différentes tailles. À son commencement, le nôtre est grand. Il est composé de ceux qui transforment la tension pour la réduire au voltage de la gare, telles des alvéoles où se déroulent les échanges gazeux avec le sang ; de télécoms dont la salle contient des milliers de jarretières de toutes les couleurs, des nœuds impossibles, telles des bronchioles qui acheminent l’air ; tandis que les aiguilleurs régulent le diaphragme et la cage thoracique. Il me semble reconnaître la voix de l’un d’eux, celui qui décroche avec un PRS pourri j’écoute, le Paris trop mûr pour protester contre la moisissure des murs de leur poste d’aiguillage. J’aperçois celles qui établissent nos fiches de paie et avec qui vaut mieux pas se prendre la tête explique Jacques (pragmatique), venu nous soutenir : responsables de la trachée, je risquerais d’avoir l’air coupé et la carte bloquée. Les guichetiers gèrent les bronches, autant de branches d’arbre comme ces tuyaux à air propulsé dans lesquels ils envoient les cartouches contenant le cash. Je rencontre pour la première fois Miss Ink and Mister Gorgo. Ils sont chefs de bord, les plèvres entourant le poumon. Je découvre aussi des métiers qui, malgré toute la pédagogie, restent à jamais une énigme. Je dois me résigner à accepter mes lacunes en anatomie. La gare est immense dédale de bureaux de salles de couloirs et autres escaliers quart tournant colimaçon ou hélicoïdal l’intérieur s’apparente à celui du Louvre sans les œuvres Il en faut de l’espace pour y disposer un tel poumon le corps humain l’englobe dans la cage thoracique Autour de la marquise, de grandes salles spacieuses pourraient tous nous accueillir mais le maître des lieux n’est pas tenu de nous les prêter Tant bien que mal nous réussissons parfois à en obtenir une exiguë et mal insonorisée mais avec du chauffage et quand le poumon est trop gros nous n’avons d’autre choix que d’occuper un des couloirs extérieurs de la gare malgré le froid et la brise matinale le courant d’air traversant les allées Nous sommes des centaines sous le panneau d’affichage à palettes dont les lettres se meuvent telle une mitraillette mais à une fréquence basse car ceux qui font tourner les trains sont bras croisés Dans ce combat ni coup d’épée ni artère tranchée ça ferait pourtant un si beau film d’aventures Il y a de la tension et du pouls mais ce n’est pas cinématographique Un micro et une sono sont au centre des attentions chacun peut s’exprimer ça grésille ça larsen ça rebondit par ricochet contre les murs Un peu moins de réverb Charlie please Le poumon fait des bruits d’estomac affamé Geoffroy de la Salamandre grève dans son refuge il n’apprécie guère la foule et s’il tolère les heures de pointe c’est uniquement seul dans la cabine de conduite il ne vit malheureusement pas les nombreuses discussions qui se concentrent les raisonnements qui se construisent Le poumon crache des idées de cerveau décloisonné Jacques propose d’organiser les piquets rendez-vous dès quatre heures du mat’ pour occuper le dépôt convaincre ceux qui ne sont pas encore dans le mouvement Si faire grève c’est se lever toujours à trois heures honnêtement je vois pas l’intérêt observe Ach entre deux bâillements Et il est vrai que je préférerais qu’il en soit dispensé quand il me fixe après une extrême mat’ je crois qu’il me provoque en duel Je découvre à travers les piquets de grève un nouveau métier associant communication et exposés un métier d’encadrant mais non rémunéré Je dois convaincre ceux qui n’ont pas quitté leur poste du bien-fondé de notre mouvement ceux qui hésitent notamment dont j’aurais pu faire partie Je tombe aussi sur des sceptiques et découvre ceux qui nous évitent qui se faufilent discrètement dans la cabine mais que nous irons voir au pied de la machine Les premiers jours l’enthousiasme transporte les sceptiques il éloigne surtout pendant un temps le fatalisme cette sangsue qui paralyse les rêves Adama ne prend pas le micro il parle en petit comité mais présente bien les choses Nous devons gagner le plus vite possible car, insensibles au contexte, les factures s’empilent Mais en même temps se battre pour ses convictions ça n’a pas de prix Une interrogation s’infiltre dans la mécanique de ma pensée le numéro un continuerait-il à tenir sa position si, comme nous, il n’était plus payé ? Au petit matin sous les projos du dépôt les néons tremblotants des groupes se forment et se rendent au triage pour convaincre sous le regard de l’huissier ceux qui doivent dégarer Nous marchons sur le ballast et devant les portes des usines pour entraîner celles et ceux qui sont aussi attaqués le poumon se contracte comme un ischio-jambier proche de la ligne d’arrivée Yann entre deux bouchées d’orange conduisant la poussette où trône sa fille qu’il est obligé d’amener suggère de monter un comité de grève pour que nous choisissions nos propres représentants pour que les doléances viennent du poumon même C’est lui qui s’essouffle s’intoxique et se purifie il n’y a pas de raison qu’il ne prenne pas en main l’ensemble du corps Le poumon fait du deux cents battements par minute comme un cœur transi En entendant cette proposition j’ai des réminiscences du séminaire d’histoire prodigué au cours de ma formation par Gérard et Jacques sur le retour de Dijon et si le premier était mon moniteur le second avait Yann pour apprenti Tout en mâchant son agrume je le vois remettre sur les rails du présent un passé conté sur la ligne Willy observe l’huissier et l’essaim de cadres priés par plus haut de sortir de leur lit avant l’aube pour nous surveiller Il laisse échapper qu’à la première heure les grévistes iront bloquer les départs des garages d’Achères suffisamment fort pour que les bourdons l’entendent et se lèvent avant l’aube le lendemain Puis d’un air laconique mais très discrètement se tourne vers nous Je vous propose de faire une grasse mat’ demain Je le découvre machiavélique Je ne saisis alors pas tous les rouages les mots cachés sous les mots les faux amis des véritables ennemis la pression qui s’exerce sournoisement alors que nous usons toute notre énergie pour ce qui nous paraît de plus en plus évident je me sens comme l’air compressé dans le réservoir principal prêt à être propulsé dans la conduite pour servir ensuite à ouvrir et fermer les portes du train Je découvre en substance que le poumon est un organisme à part entière qui se transforme au gré de son expérience qui se contracte parfois mais dont la paroi se renforce Nous finissons par nous essouffler le poumon a lentement rétréci une forme de rancœur chez certains d’entre nous s’immisce comme un courant résiduel qui parcourt le corps des années plus tard elle perdure parfois jusqu’au prochain combat Peut-être ne prenons-nous pas pleinement la mesure de ce que recèle cet organisme ce micro-organisme, ce fœtus, cet être encore tout de nu vêtu dont les habits seront des cicatrices Les particules qui le constituent sont les exécutants de l’Entreprise nous n’intégrons pas la part décisionnaire nous n’avons pas accès au cerveau nous sommes pourtant tous les autres membres tous les autres organes et ce corps en gestation que nous formons devrait se saisir des commandes Chaque gréviste peut prendre le micro intervenir, témoigner, proposer certains ont le discours porté par l’émotion trouvent naturellement l’intonation d’autres comme Willy avancent à tâtons tentent d’élever la voix et la font dérailler J’observe ses progrès À force d’entraînement il trouve son style jongle avec les mots, rebondit sur les syllabes ses phrases purgées des disfluences verbales des débuts En retrait, j’admire Gaël ne prend pas la parole ce qui surprend tant Miss Ink que Mister Gorgo sans que je cherche à en comprendre la raison il reste dans cet ensemble qui écoute et vote la continuité de la grève ou la reprise du travail mais nous tombons sur sa bouille en couverture de La Vie du Rail sa posture regard déterminé et bras croisés est saisie et nous nous empressons d’acheter le numéro La Star ouais ! Gaël étincelle sans avoir besoin de monter sur scène Contrairement à Kamal Lors de la dernière manifestation, un gruppetto en queue du peloton a abordé le cortège des danseuses et machinistes de l’Opéra de Paris. Ils ont eu droit à une visite privée du monument de Garnier, jusqu’aux dessous du plateau présenté comme un bateau avec sa soute, où les machinos installent les rues et les fausses rues qui font apparaître un danseur ou un décor. Sur la scène, Kamal s’est mis à entonner l’air du Commendatore de Don Giovanni. Pablo rapporte au micro l’épopée, prétendant, un brin critique, qu’il manquait un peu de talent lyrique, mais que le public restait silencieux, subjugué, de la fosse jusqu’aux balcons, car en tout point absent. Costière, mât, cabestan et autres cintres permettant d’envoyer les voiles, leurs guides les ont abreuvés de mots d’une autre langue. Et Kamal leur a promis en retour qu’il les fera monter en cabine ; quand les trains rouleront de nouveau. J’aurais aimé les alerter sur cette proposition. Une voix que je crois familière glisse alors sous la caténaire. On lui tend le micro, elle refuse de la main aux phalanges infinies. Elle s’exprime pour la première fois et elle cherche parfois ses mots, non pas qu’elle ne les ait pas, nous sentons qu’elle tente de les remplacer, pour en atténuer la charge émotive, ou tout simplement pour nous protéger. Je plonge dans ses syllabes et son parler kalach, qui parfois coupe les mots ; elle ne s’éternise pas sur eux, elle rebondit, tranche et taille à la tronçonneuse. Elle est plus du genre freinage d’urgence que freinage modulé, bien plus BP Urge qu’électrique. Je pense enfin la reconnaître. La voix qui annonce parfois que le train d’isepteur’ quarant’ quat’ pour Mantes-la-Jolie partira d’la voie quinz’ ! Elle travaille au centre opérationnel escale dont la physionomie s’apparente au centre de contrôle mission d’une sonde spatiale explorant le système solaire. Je perçois cependant qu’il n’y a pas ce r roulé, qui traîne légèrement des pieds, comme une loc marchant au pas. Elle appuie chacun de ses mots par des gestes, je sens qu’elle tente de les retenir, ils sont comme castrés, inhibés dans leur expression, et s’ils étaient libérés je me demande si je n’assisterais pas à un tuto de boxe thaï. J’en fais part à Willy qui estime que je me trompe complètement, ce serait plutôt Dragon Ball après censure. Quant à Pablo, il n’a aucune opinion. Je ne demande même pas à Yann, tout concentré sur son quartier d’orange. Je ne sais s’il serait pertinent pour une mouche de virevolter autour. Suis-je influencé par ce regard noir prononcé dont les mouvements décrivent un mélange d’assurance et d’énergie éhontée, de persistance et de rage comprimée ? Je ne sais pas encore qu’elle se nomme Hidaya, ni qu’elle entamera plus tard une formation Mécano. Je sens simplement qu’elle pourrait me pousser à écrire un jour. Alors que l’usure et l’érosion d’une lutte semblent inévitablement nous aspirer, elle m’inspire. J’ignore encore que le seul fait de lutter est une victoire en soi reste un goût amer dans la bouche, un goût de défaite car désormais nous devrons tous trimer plus Putain, je suis rentré dans la boîte il me restait trente-deux ans désormais, il m’en reste trente-quatre Plus j’avance, plus ça recule constate Ach Malgré cela je découvre pas à pas que Le pire des combats, c’est celui qui n’a pas lieu ce que synthétise Adama à la feuille avant de me commander
Mattia Filice - Mécano 
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claudehenrion · 7 months
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Retour à Ravenne
Une des rares choses que j'ai trouvées agréables pendant mon exercice de ''retrait de la vraie vie pour cause de désespoir profond'', c'est la possibilité de pouvoir rêver à des hypothèses qui ne font normalement pas partie de mes soucis quotidiens. Par exemple, je n'ai jamais le temps de me poser des questions comme : ''Le monde allant si mal, où ai-je envie de me réfugier, pour attendre la fin ?''... Sorti des poncifs incontournables (''les villes où je pourrais vivre, hors Paris, sont Rome et Athènes'' –auxquelles j'ajoute, moi, mon cher Rabat, unique objet de mes désirs secrets), on est très vite essoufflé. L'île Maurice, peut-être ? Et au delà ?
C'est lors d'une de ces ''rêveries d'un promeneur solitaire'' que m'est revenu, brutalement, un souvenir en forme d'éclair : Ravenne, à laquelle tant de moments d'extase m'attachent. On a beau avoir été prévenu par des parents ou des amis qui y ont été avant vous, l'électro-choc culturel, historique, esthétique et autres est assuré. En venant de Rome, il a d'abord fallu traverser ce désert humain et artistique qu'est la côte entre Ancona et Cesenatico : un étalage de toute la laideur, la vulgarité, la prétention, le néant dont est capable notre époque. Des foules immenses, heureuses de leur ''laisser-aller'', des hordes de caricatures déguisées en touristes, des tenues ''négligées'' par millions, des usines à malbouffe par centaines de milliers, des hôtels moches par dizaines de milliers, des SUV trop gros par milliers... tout est laid, vulgaire, raté... Au loin, le rocher de San Marino domine à pic ce paysage désolé, mais n'intéresse personne : il est trop loin du bruit et des ''boum-boum'' des sonos trop fortes...
On manque d'abandonner lorsque cela se transforme en marécages plus ou moins asséchés, assez désespérants, car on a l'impression qu'ils ne vont jamais finir... Et tout-à-coup, un panneau, à droite, inespéré : ''Ravenna, 3 km''. Zut : Il est trop tard pour découvrir la ville. Un autre panneau, en face ''Lido di Ravenna, 1 km''. Le temps de trouver un hôtel les pieds dans l'eau, de piquer une tête dans l'Adriatique et de louer ''una Vespa'' pour pouvoir se prendre pour Gregory Peck et Audrey Hepburn dans ''vacances romaines'' (l'obligation de porter des casques –rouges dans ce cas-- garantissant que le rêve ne durera que quelques secondes !), et on est prêt pour la visite.
Et c'est là que le ciel vous tombe sur la tête : tout est beau, tout est grandiose, tout est à dévorer des yeux... Cette petite ville portuaire du delta du Po, de nos jours endormie et un peu boudée par les hordes assoiffées de vide ensoleillé et de nuits passées à se trémousser en rythme, fut en d'autres temps la seule ''charnière'' entre l'Empire romain d'occident, en chute vertigineuse, et l'Empire byzantin, alors au faîte de sa gloire. Devenue Capitale à la place de Rome, elle a entretenu pendant près de trois siècles l'héritage gréco-latin, devenant un foyer de maintien et le creuset de ce qui sera l'Europe.
Dans un ballet étourdissant –dont les traces s'étalent devant vous à chaque tour de roue de votre ''Vespa''-- apparaissent et disparaissent des empereurs éphémères, des rois barbares (germains, burgondes, wisigoths, voire huns), des généralissimes félons et des nobles exarques, des archevêques simoniaques et des cardinaux sans points éponymes (mais empêtrés dans le débat mortel du ''filioquisme'' qui offrira, un peu plus tard, Constantinople à l'islam... et nous à un futur peu prometteur), des architectes de génie, des créateurs de merveilles et des bâtisseurs pleins d'une foi évidemment d'inspiration divine, qui vont donner naissance à un monde nouveau dont la beauté vous explose littéralement au visage, dans un mariage réussi entre Rome, Byzance, Athènes, Jérusalem et tout le ''mare nostrum', dont Charlemagne s'inspirera (entre 793 et 813) dans la construction de sa Chapelle Palatine à Aix --dans laquelle il voudra être enseveli. en 814.
Décrire les monuments dignes de visite est inutile : d'abord parce que nous sommes dans un Blog, pas dans un guide touristique, et ensuite parce que... ils le sont tous ! En revanche, j'ai envie, en me replongeant dans les souvenirs de ces heures bénies, de vous expliquer le besoin que ces rues créent de vous faire revivre des moments de cette antiquité finalement proche (ou : rendue plus proche, grâce à elle) : c'est un temps peu connu de notre histoire, les programmes officiels ayant quelque peu tourné le dos à l'Empire byzantin. Outre Ravenne, j'ai ressenti cette attirance pour revivre l'épopée de Byzance-Constantinople dans les déserts de Syrie ou de Jordanie, où je ne pouvais me décider à quitter telles ruines de cités qui avaient été immenses (des arènes avec 15 000 places, ça implique des vraies ''villes'', avec cent mille habitants et plus !). Il faudra la poussée furieuse de l'islam pour mettre le mot ''fin'' sur cette merveilleuse aventure.
En 1453, Constantinople assiégée par Mehmet II el-Fatih (= le Conquérant) et sentant le danger de cette terrible menace, à supplié Venise, alors immense puissance maritime, d'envoyer sa flotte de galères pour desserrer l'étau. Mais l'une était ''filioquiste'' et l'autre, pas et cette querelle sur une préposition adverbiale (''par'', pour l'un, ''et'' pour l'autre !) a entraîné la fin du grandiose Empire byzantin... et a coûté aux générations suivantes un demi-millénaire (pour le moment) de malheurs, de contraintes, d'épreuves, de guerres (et de terrorisme !) et, depuis peu, de drames indescriptibles liés à la violence inhérente à l'Islam. L'histoire n'étant parfois qu'un éternel recommencement, fasse le ciel qu'une redite du destin de Ravenne (par exemple autour des mots ''amalgame'', ou ''migrant'' en lieu et place du ''filioque'' d'alors) nous soit épargnée, à nous et à nos descendants !
H-Cl.
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actu24hp · 1 year
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Thierry Henry prévient le PSG
Le champion du monde 1998 ne reconnaît plus le Paris Saint-Germain de Christophe Galtier, et s’inquiète à quelques jours du match de Ligue des champions contre le Bayern Munich. Comme beaucoup. Rien ne va plus au Paris Saint-Germain. Ce samedi, Neymar et compagnie se sont cassés les dents sur le Rocher. Monaco s’est aisément imposé 3-1 face au club de la capitale. Quatrième revers pour le PSG en…
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blog59-world · 2 years
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À l’instant
Marie-lyne Bezille 5 h · Les socialos qui s'accrochent au PS comme des ( vieilles )moules à leur rocher , et qui soutiennent les propos honteux et indignes de Roussel , qui , je le rappelle a été à cette manif de flics d'extrême-droite qui , ont démontré à quel point le racisme fait des ravages au sein de la police . Je ne suis pas contre les policiers ! je suis contre les mauvais flics qui profitent de leur statut pour frapper , mutiler , de " se faire du gauchiste et du basané " , comme je l'ai entendu dans la bouche de policiers indignes de la fonction et , qui oublient qu'ils sont au service de la population , et pas au service du pouvoir , quand en plus , ce pouvoir est d'une bestialité , d'une brutalité qui ne devrait JAMAIS être dans un État de droit . Risquer de perdre un œil , une main ou même sa vie parce que on exerce son droit à manifester . Dans un pays qui se targue de respect des droits humains est-ce normal ?? Je n'ai que faire de tous ces " moralisateurs " dont la morale est à géométrie variable . Le courage en politique c'est aussi de soutenir et , SURTOUT de soutenir ceux et celles que ce gouvernement ne cesse de porter à la vindicte populaire , et ce , même en allant sur les terres des pires fachos , des brutes de cette droite-extrême et autres groupuscules nazis . Taha se retire donc de cette élection , les sales fachos ont donc gagné cette partie mais , pas la guerre ! Je me fous des " biens pensants " et autres maints faux sages ! Tous ces bourgeois qui ne pensent qu'à leurs petites fesses ! A la fin ce sont les gens de courage qui gagneront ! L'Histoire de France à ses héros , elle a aussi hélas ses charognes . Le bien n'est pas du côté des flagorneurs , qui changent d'opinion selon le moment . Faut être du bon côté du manche , du bon côté de la matraque surtout ! et ces socialos et autres cocos sont hélas du côté de ceux qui tiennent les matraques et de ceux qui ordonnent les coups de matraques . C'est pas joli joli tout ça ! J'ai de plus en plus un grand dégout de ces gens là ! Cela me rappelle ce que me disait ma grand-maman Germaine à propos des " résistants " de la fin de la guerre qui , encore quelques temps avant criaient " Vive le maréchal ! vive Pétain " et , qui du jour au lendemain criaient " Vive De Gaulle " . Tous ces " Monsieur et Madame Poissonard " du " Au Bon beurre " de Jacques Duquenne .
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gibier3000 · 2 years
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mali-umkin · 2 years
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Marcel Pagnol, French novelist, filmmaker and playwright was born 127 years ago today on February 28th, 1895 in Aubagne.
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Pagnol is regarded as one of France's greatest 20th-century writers and is notable for the fact that he excelled in almost every medium—memoir, novel, drama and film. As of today he is still well-known in popular culture for his autobiographical works, mainly La Gloire de mon Père and Le Château de ma Mère, made even more famous thanks to Yves Robert's film adaptations. Marcel's childhood with his mother Augustine, father Joseph, brother Paul and little sister Germaine is a key part of French literature and film culture, and an ode to Southern France - as are his most famous plays, like his Trilogie Marseillaise.
Amongst his most notable works are La Gloire de mon Père, Le Château de ma Mère, Le Temps des Secrets, L'Eau des collines (Jean de Florette et Manon des Sources), Topaze, Trilogie Marseillaise (Marius, Fanny, César), La Femme du Boulanger, La Fille du Puisatier.
On his grave in the little cimetery of La Treille, you can read the epitaph "Fontes amicos uxorem dilexit" - Il a aimé les sources, ses amis, sa femme.
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Je suis né dans la ville d’Aubagne, sous le Garlaban couronné de chèvres, au temps des derniers chevriers.
Garlaban, c’est une énorme tour de roches bleues, plantées au bord du Plan de l’Aigle, cet immense plateau rocheux qui domine la verte vallée de l’Huveaune.
La tour est peu plus large que haute : mais comme elle sort du rocher à six cents mètres d’altitude, elle monte très haut dans le ciel de Provence, et parfois un nuage blanc du mois de juillet vient s’y reposer un moment.
Ce n’est donc pas une montagne mais ce n’est plus une colline : c’est Garlaban, où les guetteurs de Marius, quand ils virent, au fond de la nuit, briller un feu sur Sainte-Victoire, allumèrent un bûcher de broussailles : cet oiseau rouge, dans la nuit de juin, vola de colline en colline, et se posant enfin sur la roche du Capitole, apprit à Rome que ses légions des Gaules venaient d’égorger dans la plaine d’Aix, les cent mille barbares de Teutobochus.
- Marcel Pagnol (« La Gloire de mon père » – 1957)
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picotludique · 3 years
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Seul ou avec d'autres from donna picker on Vimeo.
La rentrée à l'Université de Montréal en 1961. Aujourd'hui, ce film produit un effet similaire au travail photographique, à savoir, faire sortir du néant les ombres de la réalité. Seul ou avec d'autres éclaire le fantôme de ce que fut cette université au début de la Révolution tranquille. Nonobstant les méandres scénaristiques des amours d'automne sur le campus, ce long métrage fait défiler la topographie exacte d'un ensemble alors beaucoup plus petit, où apparaissent le sociologue Guy Rocher et deux des Cyniques, Marcel Saint-Germain et Marc Laurendeau. (R. La Rochelle)
Réalisation
Denys Arcand Denis Héroux Stéphane Venne
Scénario
Denys Arcand Stéphane Venne
Images
Michel Brault Claude Héroux : assistant Jean-Pierre Payette : assistant André Saint-Denis : assistant
Producteur
Denis Héroux
Interprétation
Michelle Boulizon : Michelle Nicole Braün : 1 ; Nicole André Dubois Serge Grenier Marc Laurendeau : monologue des Cyniques Pierre Létourneau : 2 ; Pierre Carl Mailhot Marie-José Raymond : 3 ; Marie-José Guy Rocher Marcel Saint-Germain : 4 ; l'homme du Devoir
Musique
Stéphane Venne
Interprète musique
François Cousineau : et son ensemble
Scripte
Josiane Guillemin
Prise de son
Marcel Carrière
Montage images
Bernard Gosselin : assistant Gilles Groulx
Photographe de plateau
Michel Brault
Producteur délégué
Georges Lefebvre
Société de production
Association générale des étudiants de l'Université de Montréal (Québec)
Laboratoire
Mount-Royal Films
Générique additionnel
Michel Brault : assistance technique Serge Grenier : (texte du cours de morale) Gilles Groulx : assistance technique
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history-of-fashion · 3 months
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ab. 1955 Day dress by Germaine Rocher (Sydney)
wool, textile, plastic
(Powerhouse Museum)
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fawnvelveteen · 5 years
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Étude publicitaire pour Paul Poiret (Advertising study for Paul Poiret 1926)
1926 Germaine Krull Achat grâce au mécénat de Yves Rocher, 2011. Ancienne collection Christian Bouqueret.
Centre Pompidou, Paris. Musée national d'art moderne/Centre de création industrielle. © Estate Germaine Krull, Museum Folkwang, Essen. Photo : © Centre Pompidou, MNAM-CCI, Dist. RMN-Grand Palais / Georges Meguerditchian
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panterashadow · 5 years
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LÄ P'TÏT£ GR£NÖÜÏLL£ 1977
L'ÄS DÜ ₩£ST£RN (Ä)
ÄNDRÉ GÜÏTÄR
P∆ÑT£R∆'SH∆DØ₩
STŪDÏÖ VERSĪÖN
https://youtu.be/M3Ol8wIYoPQ
PÄRÖL£S
♪ La P'tite Grenouille ♪
La p'tite grenouille dit au crapaud
Passe-moi trente sous t'auras d'la peau ma crisse de chienne
Mais le crapaud lui répondit Moi je n'veux pas sortir la nuit pis j'garde mes cennes
C'était une chatte et un matou Qui se disaient des p'tits mots doux en d'sous du poêle
Soudain la chatte se fâcha et dit Mon tabernak de chat essaye pas d'm'avoir
Et pis moé quand j'ai vu ça J'me suis fait faire une graine en bois, deux gosses en laine
On s'est mis à deux pour la crosser Elle ne voulait pas décharger la p'tite enfant d'chienne
Les p'tites filles à Campbellton Y sont chaudes comme des moutonnes les p'tites bonyennes
Ça se déculotte sur l'bord d'la côte Et pis une botte attend pas l'autre avec Antoine
Un habitant ben orgueilleux S'était fait faire une graine.de bœuf grosse comme la miene
En allant fourrer ses vaches Elles lui faisaient la grimace en enfant d'chienne
Y a des p'tites filles à St-Zénon Qui aiment s'faire pogner les tétons les p'tites bon-yennes
Si elles portent les culottes fendues C'est pour mieux s'faire pogner l'cul en enfant d'chienne
Un p'tit morpion motocycliste Prenait mon trou pour une piste roulait sans trève Quand soudain dans un détour Il fit un dérapage et pis tomba dans merde
Je ne suis pas curieux je voudrais bien savoir Pourquoi les filles blondes ont le poil du cul noir Pourquoi les grosses négresses à 90 ans S'arrachent le poil des fesses pour en faire des brosses à dents
Ah si mon coeur était grenouille je me creuserais un lac Pis moé j'aime ça quand ça chatouille Quand ça fait flic que flic que flic que flac
C'est mon oncle Armand en sautillant Pognait les cuisses à ma tante Alice Ma tante Germaine se courbait l'corps Suçait la graine à mon oncle Hector
Fourrez-vous madame Giroux, Fourrez-vous madame Giroux Fourrez-vous madame Giroux dans votre grand trou
La poche à mon grand-père est au plafond pendue Ma grand-mère en st-ciboire lui arrache le poil du cul Elle monte en haut dans l'escabeau pour en extraire le jus
V'la l'escabeau par terre grand-maman su l'cul
En bicycle à gazoline envoye donc fendue Fourre par en avant oui t'auras des beaux enfants
Les p'tites filles du Rocher Percé Moi j'vous dit qu'elles sont bien faites Mais elle ne veulent pas faire minette Pour un paquet de cigarettes
En bicycle à gazoline envoye donc fendue Fourre par en avant oui t'auras des beaux enfants
J'en ai fourré des gaspésiennes Moi j'vous dit qu'elles ont le sang chaud J'en ai eu pour une semaine A m'frotter le bout d'la graine Pis d'avoir mal aux gorlots
Pogne moi donc l'cul Germaine j'te pognerai l'tiens t'a l'heure Tu l'as pas vu ma graine quand elle est à sa longeur Montes en haut dans ma chambre étends-toi sur mon lit Tu l'auras dans ta grande fente la pissette du St-Esprit
C'est la fête à St-Antoine la fête d'un grand jobeur Ma femme s'est trouvée pleine dans semaine des quarante heures
C'est d'la faute à sa mère si elle lui a pas cousu La petite boutonnière à deux pouces du trou d'cul
Si tu m'aimerais chéri tu me f'rais cuire des nouilles Et pendant que tu y es tu me sucerais les boules
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gdm74 · 3 years
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Salon International du Livre de Montagne de Passy - Dimanche 8 Août 2021 - Le style alpin du Mont-Blanc à l'Himalaya from Godefroy de MAUPEOU on Vimeo.
Le style alpin du Mont-Blanc à l’Himalaya
avec Michel Zalio, Bernard Germain, Nathalie Lamoureux, Gilles Modica et, sous réserve, François Damilano
Le style alpin est un art de vivre, de grimper et d’écrire, avec élégance, émotion, efficacité en accord parfait avec le rocher, la neige, la glace. C’est la marque d’une évolution des pratiques vers davantage de souplesse et d’autonomie. C’est une recherche de la perfection. C’est une conquête de soi-même, pour soi-même. Et jamais la trace ne s’efface ni sur la neige, ni dans les livres.
Réalisateur : Godefroy de MAUPEOU Cadreurs : Cécile Lugrin - Godefroy de MAUPEOU
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lamilanomagazine · 1 year
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Vanity Fair presenta in occasione del Salone del Mobile "We can be heroes" - gli eroi della generazione green
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Vanity Fair presenta in occasione del Salone del Mobile "We can be heroes" - gli eroi della generazione green.  Tema dell’edizione 2023 è il cambiamento attivo: We Can Be Heroes. Tutti possiamo essere gli eroi della generazione green, dando il nostro contributo concreto per cambiare le cose. Solo impegnandoci tutti insieme, ognuno per le proprie competenze, possiamo pensare di costruire un futuro migliore. È arrivato il tempo di fare sul serio: servono azioni decise, idee innovative, serve tutta l'esperienza dei grandi imprenditori e tutta l'audacia dei ragazzi più idealisti. Nel Vanity Fair Social Garden, ci si incontrerà per questo, per mettere a terra i semi e far crescere intenti concreti e azioni pratiche per vedere come le cose potrebbero già funzionare in modo diverso: usando meno energia, riciclando gli scarti, rispettando il lavoro di tutti. E così, durante tutta la settimana, è stato organizzato un ricco palinsesto di tavole rotonde, workshop, laboratori per bambini e masterclass, momenti di intrattenimento per mettere tutti davanti alla consapevolezza che siamo noi i responsabili di quello che sarà. L'evento, inserito all’interno del circuito della Milano Design Week, è reso possibile grazie al contributo dei partner: Haier, St-Germain, Uriage, Yves Rocher, Xerjoff. Si ringrazia anche WallPepper®/Group. Vanity Fair Social Garden è aperto gratuitamente al pubblico nei seguenti giorni e orari: il 18 aprile dalle ore 14:30 alle ore 20 e dal 19 al 23 aprile dalle ore 11 alle ore 20. Maggiori informazioni sono disponibili su vanityfair.it.... #notizie #news #breakingnews #cronaca #politica #eventi #sport #moda Read the full article
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seneweb · 3 years
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avant Leipzig, le PSG craque à Monaco
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Ligue 1 : avant Leipzig, le PSG craque à Monaco
 Quatre jours avant un match crucial en Ligue des Champions contre le RB Leipzig, le Paris Saint-Germain s’est incliné vendredi soir face à l’AS Monaco (3-2), à Louis-II, pour le compte de la 11e journée de Ligue 1. 
Après huit succès d’affilée, la série du Paris Saint-Germain s’est arrêtée vendredi soir sur le Rocher au terme d’une rencontre renversée par l’AS Monaco (3-2), dans le cadre de la 11e journée de Ligue 1. À sa main en première période et reparti à la pause avec deux buts d’avance, signés Kylian Mbappé (25e, 37e sur penalty), le tout avec deux buts refusés à l’attaquant français et Moise Kean, le club de la capitale va afficher en seconde période un visage alarmant. 
Acculés par des locaux bien plus tranchants dans la zone de vérité, les hommes de Thomas Tuchel cèdent sur un doublé de l’attaquant allemand Kevin Volland (52e, 66e) et un penalty transformé par l’entrant Cesc Fabregas (84e), sur une action marquée par l’expulsion d’Abdou Diallo. S’ils conservent la tête du classement avec quatre points d’avance sur Monaco, qui remonte provisoirement à la deuxième place, les partenaires de Keylor Navas ne préparent pas la venue de Leipzig, mardi, de la meilleure des manières. 
Auteur: topmercato.com – Seneweb.com
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