Tumgik
#abus de pouvoir
basilepesso · 2 months
Text
Flicards : je vous l'ai dit hier soir, vous pratiquez un harcèlement intense et totalement criminel sur moi et mes amis et notamment ma compagne et collaboratrice Anne Pangolin Guéno, et mon ex-compagne.
J'ai prévenu que nous vous attaquerions collectivement en justice, et j'ai donné le chef d'accusation. Vu les circonstances votre carrière est LITTÉRALEMENT TERMINÉE.
Cela dit vous avez la possibilité de vous arrêter immédiatement, et nous réfléchirons aux suites à donner à vos agissements. L'IGPN va de toute façon être saisie en France, et les organes identiques dans les autres pays.
Basile Pesso.
8 notes · View notes
helshades · 1 year
Text
Eure : après une banderole anti-Macron, un retraité condamné
Ça, c'est juste parce que l'Empoudré fulmine d'avoir perdu le procès qui l'opposait à Michel-Ange Fiori, lequel avait représenté le chef de l'État policier français avec une moustache du genre à lever le bras.
4 notes · View notes
alain-keler · 8 months
Text
Tumblr media
Dimanche 3 septembre 2023.
Paris, place Saint-Michel. Rassemblement de membres d’un collectif « Défendre la démocratie israélienne ». Pas beaucoup de monde, pas assez de monde. Il fait beau, chaud, il y a encore un air de vacances. 
Je vais transcrire une partie du tract distribué. Il a le mérite d’être clair :
  « La coalition gouvernementale formée par le Premier ministre israélien B. Netanyahou en décembre dernier veut procéder à une »réforme judiciaire » affirmant que celle-ci corrigera « l’activisme judiciaire », ajoutant que les juges de la Cour Suprême ,e sont pas élus par le peuple.
Cette « réforme » et les autres initiatives législatives du gouvernement israélien actuel représentent la menace la plus importante depuis 75 ans à laquelle Israël doit faire face.
 Cette « réforme » est une tentative des extrémistes religieux et des ultra-nationalistes d’étriper la démocratie israélienne en attaquant ses gardiens. C’est aussi un moyen pour B.Netanyahou, accusé de corruption, fraude et abus de confiance dans trois affaires, d’échapper à la justice.
 … Ce gouvernement messianique et dictatorial a déposé 225 projets de loi qui visent à contrôler les médias, contrôler les professeurs dans les écoles publiques, réviser le code électoral pour mieux bâillonner l’opposition, discriminer les LGBT et les arabes israéliens ; transférer encore plus de pouvoir aux tribunaux rabbiniques pour mieux effacer les femmes de l’espace public et en faire des citoyens de seconde zone. Sans parler des milliards de shekels distribués aux colonies et aux ultra-orthodoxes au détriment de l’école publique, du logement, de la sécurité.
La démocratie israélienne est au bord du gouffre. Tous  les samedis soir depuis janvier dernier-36 semaines à ce jour-des dizaines de milliers de citoyens manifestent dans le calme, à Tel Aviv et dans 150 autres lieux du pays pour défendre leur démocratie ».
  Tout est dit, ou presque.  À titre personnel, j’approuve cet appel qui fait écho aux manifestations pour préserver la démocratie en Israël. J’ai été depuis longtemps très critique de l’occupation de la Cisjordanie et de la manière dont sont traités les palestiniens par les colons et l’armée. L’assassinat de Yitzak Rabin avait condamné le processus de paix avec les palestiniens. L’extrême droite et les messianiques sont au pouvoir aujourd’hui.
6 notes · View notes
claudehenrion · 5 months
Text
''Comprendre... aujourd'hui ?''
Votre courrier, chers Amis-lecteurs, est une source, pour moi. Au milieu de plein de remarques intéressantes, vous me demandez, depuis 3 semaines : ''Où va la guerre entre Israël et les palestiniens –ou le monde arabe ? Quelles solutions ?'' et vous me dites : ''Pourquoi affirmez-vous, contre la totalité des médias et des politiciens, que l'islam est non-miscible avec tout système autre que lui-même ?''. Essayons une ébauche de réponse... déjà faite, ici, souvent, et que je vous ai promise, dans l'éditorial d'hier.
Un mot d'explication, en avant-propos : je partage avec mes amis d'enfance le privilège d'avoir été élevé au Maroc, pays d'islam incontesté –la famille royale marocaine, avec laquelle j'ai eu la chance d'être très intime, revendique une descendance ''alide'' du Prophète. Dans ce pays, une très importante communauté juive vivait –sauf rares exceptions-- en harmonie avec les institutions, les habitants, et la Puissance ''protectrice''... Tout petit, déjà, j'étais sensible à cette ''confrontation pacifique'' et je vous en ai souvent parlé. Sur ordre paternel, j'ai lu le Coran, comme mes 5 frères et sœurs, dès nos 15 ans (et souvent, depuis, partiellement), et j'ai suivi plus tard les cours du Grand Rabin Sitruk sur ''la foi d'Israël''. Ce sujet m'a donc passionné toute ma vie... d'où que, arabophone de surcroît, j'aie l'audace d'en parler.
1– La guerre au Moyen-Orient : cette appellation est mensongère, car elle ratatine une conflagration planétaire à des considérations géographiques locales... Mais il est très difficile, pour un esprit ''occidental'' du XXI ème siècle, d'admettre que le sentiment religieux puisse avoir, sur celui qui l'a reçu en partage, un pouvoir mobilisateur 10, 100 ou 1000 fois supérieur à ce que ne peut pas produire un attachement intellectuel à des idées creuses, fabriquées de toutes pièces (même si, comme la ''tolérance'' ou la ''laïcité'', elles ont parfois l'air nobles et belles : n'ayant pas de fondements au plus profond de notre être, elles peuvent parler à la raison, mais pas au cœur de l'Homme qui, ne l'oublions pas, est ''un animal religieux'', disait Mark Twain dans ''Cette maudite race humaine''.
Petit rappel : A partir du XIX ème siècle, dans la droite ligne des idées des soi-disant ''Lumières'' (à ceci près que Voltaire, qui n'était pas du tout athée, lui, récusait ce mot : ''Nous ne sommes pas des lumières''), un mouvement d'idées destructrices, sous couvert de ''progrès'' contre les abus de l'Eglise du temps, a attaqué tout ce qui pouvait véhiculer l'idée de religion en Europe, culminant à la fin de ce siècle avec la citation tronquée de Nietzsche ''Dieu est mort'' (1882) dont Durkheim disait, avec prémonition : ''Dans le sillage de cette mort de Dieu, Nietzsche annonce la fin de son meurtrier ; c'est l'éclatement du visage de l'homme dans le rire, c'est le retour des masques, c'est la dispersion du temps (...) et l'absolue disparition de l'homme''... (NB : nous y sommes, hélas !).Soutenues par les budgets monstrueux que le communisme alors triomphant consacrait à la ''Propaganda'', ces affreuses idées sont devenues dominantes dans tout l'Occident... et sans doute faut-il trouver là la principale cause de l'effondrement moral puis, plus récemment, politique de notre civilisation. Mais c'est un autre sujet).
Jusqu'au brutal effondrement en cours, les idées portées par notre civilisation judéo-chrétienne ont connu un énorme succès, un peu partout, et nous avons donc cru que notre ''point de vue'' sur toute chose était devenu le seul qui présente de l'intérêt, le seul digne d'être pris en considération et, à la limite, ''le seul vrai'', voire ''le seul, tout court''... ce qui rend presque compréhensible la myopie d'un Francis Fukuyama sur ''la fin de l'Histoire'' (1992) : le monde entier, pensions-nous, a soif et faim de notre Liberté, de notre Egalité, de notre Fraternité (un peu moins, car personne ne l'a jamais vue nulle part, à ce jour), de notre Démocratie (pourtant réduite à son ombre, en France) et de notre Laïcité (une ''ex-belle idée'' déformée à en mourir, remplacée pour son et pour notre malheur, par un affreux Laïcisme de combat, intolérant comme personne, au nom (?) d'une fausse tolérance intégriste).
Au moment où une nouvelle religion débarque sous nos latitudes, conquérante, expansionniste, intolérante, violente et agressive dans sa version ''2, revisitée'', nous n'avons à lui opposer que la vacuité eschatologique de concepts verbeux et irréalistes.Le mal est tel que nous n'arrivons même plus à comprendre qu'Israël, qui n'appartient à notre ''camp'' que pour ''tout ce qui n'a pas ou peu d'importance humaine –c'est-à-dire l'économie, devenue prépondérante à nos yeux décadents'', qui a compris, lui, qu'il s'agissait d'un combat ''à mort'' (même si les mots pour le dire dépassent la pensée, pour le moment. Après... je ne sais pas) entre deux gladiateurs qui ne peuvent s'échapper de l'arène. Simplement... devinez qui doit logiquement sortir vainqueur d'un combat entre ''Quelque chose de fort'', ici... et ''Des concepts creux'', là ?
Quelles solutions ? La réponse, en quelque sorte, vient d'être donnée : un combat de ce format ne peut se conclure que par la victoire totale de l'un des protagonistes, et on peut déduire des ''attendus'' ci-dessus que toute solution du type ''Deux Etats'', ce rêve utopiste partagé par 100 % des gens ''intelligents'' du jour, ne serait, au mieux, qu'un nouveau délai avant une reprise des combats, l'un des protagonistes n'envisageant aucune autre solution que la disparition totale de l'autre... qui est dès lors contraint de s'aligner. D'ailleurs tous les leaders du monde musulman se retrouvent sur ce point : ''Peu importe une victoire temporaire d'Israël, le temps et la démographie jouent en notre faveur'' ! Et ils ajoutent, apparemment sûrs de leur coup : ''Israël ne fêtera pas son centenaire, en tant qu'Etat''. Ce n'est pas rassurant ? Mais seul notre angélisme béat des 50 dernières années a pu nous faire croire que l'Histoire pouvait être autre chose que dramatique !
2- L'islam... et les autres : même les plus ''bouffe-curés'' d'entre nous ont pris l'habitude de voir le monde à travers les mots, les idées et les concepts de la chrétienté vidés de leur sens, les plus incultes allant jusqu'à re-baptiser ''valeurs de la République'' toutes les vertus inventées et proposées par la révélation christique (on appelle cette ''fidélité involontaire'' la religion culturelle. Elle frappe même ceux qui ne la pratiquent pas). Notre rêve... en était un, et le réveil est pénible : l'islam vient nous rappeler que d'autres critères existent, et que notre individualisme est détesté par l'exigence de ''soumission'' inconditionnelle des musulmans. Rien de ce que nous croyons, faisons, aimons, vivons, désirons... n'a de sens à leurs yeux, et rien de ce qu'ils considèrent ''fondamental'' ne correspond à ce dont nous rêvons : l'islam se trouve, de par ses choix culturels et cultuels, dans cette position ''conflictogène'' avec toutes les civilisations existantes...
Conclusion : qui de sensé pourrait croire une seconde que l'huile, par la seule intervention de théories, de gauche et en ''--isme'', puisse se mêler durablement à l'eau ? Ce sujet est si vaste que nous y reviendrons très bientôt. Mais on nous permettra, en attendant, de nous inscrire en ''contre'' sur toutes les proclamations insensées de ceux –même s'ils sont très majoritaires en ce moment-- qui pontifient sans savoir de quoi ils parlent, et affirment, sans savoir pourquoi, des contre-vérités depuis longtemps démontrées impossibles (Le ''Deux pays'' est une fausse solution en trompe l’œil, inventée par des occidentaux pour des occidentaux (tout comme l'islamisme, d'ailleurs !), et tout-à-fait insoutenable pour un musulman ''pur jus'').
NDLR : Pour vivre en harmonie avec le reste de l'humanité et toutes les autres civilisations, l'Islam devrait abandonner des pans entiers de sa pratique (comme ont réussi à le faire les juifs et les chrétiens). Pour le moment... ce n'est pas à l'ordre du jour ! Mais alors... pas du tout !
Pour conclure, une information que peu de commentateurs pourront vous donner, et qui sonne comme un clin d’œil dramatiquement ironique : le tristement célèbre ''Hopital al-Shifa'' porte un nom prometteur, le mot arabe Shifa voulant dire guérison ! On peut toujours rêver...
H-Cl.
6 notes · View notes
havaforever · 6 months
Text
Tumblr media
LE THEOREME DE MARGUERITE -
Rivé aux émotions d’une mathématicienne qui se sent en décalage avec le monde, ce récit d’apprentissage passe par différentes atmosphères et s’appuie sur une mise en scène énergisante, des belles trouvailles et des moments de grâce.
Un peu prévisible mais touchant et souvent humoristique, ce film donne à ressentir la passion de Margueritte tout en explorant un milieu méconnu, très majoritairement masculin et concurrentiel. C'est ce qui fait l'intérêt du film, même si son charme réside bien ailleurs.
C’est la narration qui reste étonnante, faite de petits bouts étonnants comme les parties de majong clandestines, ou les scènes en boite de nuit avec la belle Noah. L'ensemble reste sans prétention, ce qui lui donne assez de rondeur pour reconnaître au film une capacité à exciter même l’imagination des non matheux desquels je fais partie. Rien d’évident à filmer le ping-pong intellectuel fait de fonctions et d'intégrales, mais il se mène comme un pas de deux à suspense, et on se laisse alors cueillir par le phrasé tremblé de la Franco-Suisse Ella Rumpf.
Malgré une fin un brin fleur bleue, Anne Novion réussit un pari difficile : restituer la fougue, la créativité, l’obsession de la recherche en mathématiques…rendre cinématographique une discipline réputée peu sympathique et à laquelle personne – ou presque – ne comprend rien.
Elle parvient à nous faire ressentir la passion de celles et ceux qui la pratiquent à un haut niveau tout comme ses applications dans la vie de tous les jours. Elle nous ouvre également les portes d'un monde finalement semblable à tant d'autres, gouverné par l'esprit de compétition, les abus de pouvoir et un certain machisme masculin. C’est sur le registre de la traduction du langage mathématique en langage cinématographique et poétique que le film s’avère le plus original. Les lignes de raisonnement et équations abstraites (et véridiques) se projettent sur les murs transformés en tableau noir, telles des hiéroglyphes indéchiffrables pour le commun des mortels.
NOTE 13/20 - Ella Rumpf, nous attache à son caractère presque autiste, comme en sont dotés certains HPI. Les esprits chagrins diront que tout est cousu de fil blanc dans la progression dramatique et que cette boss des maths finira bien à un moment ou à un autre par s'ouvrir un tant soit peu au monde extérieur et à l'amour, comme de bien entendu, pour un succédané de comédie romantique. 
Mais c'est justement ça qu'on aime.
3 notes · View notes
raisongardee · 11 months
Text
Tumblr media
“[…] il faut au moins reconnaitre qu’adultes et enfants se trouvent à des places différentes et tirer les conséquences de cet état de fait. Il ne s’agit pas pour autant de penser – selon une idéologie qui a longtemps été dominante – que l’enfant n’est qu’une coquille vide que l’éducation va se charger de remplir. Mais il ne s’agit pas non plus de permettre à la génération des adultes de se soustraire à sa "mission", à cette tâche qui consiste à inscrire l’enfant dans sa lignée et à lui transmettre sa culture, ne serait-ce que pour lui léguer la capacité critique qui lui permettra par la suite de remettre en question les valeurs de ceux qui l’ont précédé. Or, et c’est là la difficulté qu’on rencontre, la promotion des "droits de l’enfant", à la suite de la confusion que nous avons identifiée plus haut, est aujourd’hui emportée par le courant puissant du démocratisme qui s’est donné pour tâche de nous débarrasser de toute inégalité. De ce fait, la prééminence de l’adulte, et par extension sa différence de place par rapport à la génération suivante, est devenue suspecte. Comme si elle ne pouvait que permettre la réédition des abus de pouvoir d’hier. Il ne s’agit plus en fait de respecter l’enfant comme un sujet en devenir, mais plutôt de le considérer d’emblée comme un sujet à part entière…, ce que précisément, par définition, il n’est pas. Penser que "l’enfant est une personne", pour reprendre l’aphorisme bien connu de Françoise Dolto, veut dire qu’il y a en chaque enfant la potentialité d’un désir en devenir à respecter. Mais cela ne signifie certainement pas qu’il faut réaliser tous ses vœux à la lettre ou qu’il faut lui demander son avis à propos de décisions qui ne sont pas de son ressort.”
Jean-Pierre Lebrun, La perversion ordinaire, 2015. 
7 notes · View notes
ciboulo · 11 months
Text
Normalement vendredi j’étais en congé mais mes boss ont décidé d’enlever mon congé. Le truc c’est que je suis pas dispo pour travailler demain alors tantôt je suis allé leurs dire que je ne serais pas là demain. Ils m’ont regardé d’un air ahuri en me disant "Tu vas avoir une absence non-autorisé!!!". Ils ont essayé leurs abus de pouvoir mais je sais qu’ils ont trop besoin de moi pour me donner une quelconque punition. Après c’est leur problème aussi, il n’avait qu’à me laisser mon congé. C’est moi qui devrait être en colère !!
13 notes · View notes
est-ce · 4 months
Text
Extraction\ : Pouvoir vendre
 Ici live state penitentaries prison farms dore machines de ma voix ce qui doit être gardé et ce qui doit être changé abus jugé trop controversé par le vendeur de disques no agreement je les dominais sans effort bonnes têtes.
(idem, 2019)
3 notes · View notes
basilepesso · 2 months
Text
Flicards vous êtes littéralement fascinants de connerie et de folie on va vous attaquer collectivement en justice pour harcèlement (et pas que) sur victimes d'actes de torture et de barbarie. Vous êtes foutus.
-Je n'ai AUCUN CASIER JUDICIAIRE dans aucun pays. J'ai vécu en France métropolitaine, en Espagne, et à la Réunion.
-Je n'ai AUCUN HISTORIQUE DE VIOLENCE SCOLAIRE.
-Je ne TUE NI EN VRAI NI À DISTANCE.
-Je lutte contre la violence quotidiennement en particulier en France depuis 2 017. J'ai ainsi subi ainsi que ma femme et collaboratrice un boycott terrifiant étant donné que je m'occupe beaucoup de violence de rue et qu'elle n'est pas blanche en Occident et surtout en France.
-La rumeur sur moi "sorcier serial killer télépathe" qui ne court pas que chez des clampins atteint des proportions mondiales et gravissimes. Je ne détaille pas les faits liés à ces délires pour l'instant, et ne dis pas qui en est atteint.
-Les massacres et autres afflictions non létales de type paralysie des jambes continuent depuis le 13. Non, je n'ai ni grimoire ni marmite ni chapeau pointu. Vous êtes PSYCHIATRIQUEMENT MALADES et devez vous faire interner pour notre sécurité.
Basile Pesso.
2 notes · View notes
aurevoirmonty · 5 months
Text
Tumblr media
"Tu ne verras jamais des statues de cinquante pieds de haut de seigneurs de guerre et d'empereurs, ni ne ressentiras le triomphe de la conquête. Tu ne verras jamais l'homme vivre comme les anciens rêvaient qu'il le ferait, tout simplement parce qu'un couple de rats s'est frayé un chemin jusqu'à des positions de pouvoir. Ils ont dit que le passé est faux. Ils ont dit que des envahisseurs devraient prendre ta terre. Ils ont dit que c'est acceptable d'adopter l'apathie. Tu es une victime de la technocratie, d'un abus appelé 'civilité.' On t'a privé d'une vie sincère et épanouissante."
Mike Ma, Architecture du harcèlement
3 notes · View notes
whencyclopedfr · 5 months
Photo
Tumblr media
Townshend Acts
Les Townshend Acts sont une série de lois adoptées par le Parlement britannique entre 1767 et 1768 pour taxer et réglementer les treize colonies d'Amérique du Nord. Lorsque les colons, considérant que ces lois constituaient un abus de pouvoir, protestèrent, la Grande-Bretagne envoya des troupes pour faire respecter ses mandats, ce qui entraîna l'escalade de la révolution américaine (c. 1765-1789).
Lire la suite...
2 notes · View notes
raisongardee · 1 year
Text
Tumblr media
Nous avons acquis une conception très singulière du bonheur, qui se confond presque systématiquement avec une certaine intensité de sensation. Dans un environnement bruyant et coloré qui procède comme un signal, il s’agit de prendre sa part de stimulations jugées d’autant plus agréables qu’elles sont fortes et intenses. Or cette intensité n’est pas le bonheur, mais le simple effet d’une réaction chimique qui a la sûreté d’un processus mécanique. C’est un transport qui nous enlève à nous-même, sans examen ni délibération, avec la force d’une émotion qui ravit notre âme sans consulter notre esprit.
C’est ainsi que, dans une sorte d’hypnose permanente, des existences entières peuvent se vouer à la recherche de réactions dont l’intensité est spontanément prise pour du bonheur. Ces stimulations en sont cependant la parfaite contrefaçon, une sorte de chantage à la récompense qui enchaîne l’âme à ses cinq sens. Le sucre, le sexe et l’alcool tiennent les premières places de cet arsenal, immédiatement suivi par tout ce que convoite le regard.
L’intensité est d’abord mécanique, avec tout ce que le besoin d’une dose de sensation peut avoir d’impitoyablement narcissique. Rien, en effet, n’est plus superficiel que ces associations de divertissement et de satisfactions personnelles trouvées en commun mais auxquelles nul n’est disposé à retrancher la moindre part. Chacun est ainsi l’instrument de la jouissance de l’autre, dans le cavalier seul qui se cache derrière toutes les complicités festives.
L’intensité est ensuite triviale, car ce sont les déclencheurs les plus épais qui garantissent les expériences les plus marquantes. Le raffinement et la subtilité sont des signaux beaucoup trop faibles pour stimuler en masse et sans effort. Que l’on songe seulement aux préférences de la majorité, les statistiques de l’audimat fournissant ici la preuve de ce dont la moindre expérience du monde suffit à donner l’impression.
L’intensité est enfin marchande, dans la mesure où les conditions de la stimulation sont produites industriellement et proposées contre argent. De là le pouvoir des maîtres en sons, images, et signaux en tout genre, qui tiennent ainsi entre leurs mains les cerveaux en lesquels ils savent déclencher le plaisir. Cette capacité ouvre un immense marché, et sait donner l’impression que toutes ces "offres" sont véritablement au profit de ceux qui les saisissent. Cet échange, surtout lorsqu’il repose sur des stimulations purement visuelles et sonores, consiste à monnayer des artifices contre une simple réaction chimique.
Mais par-dessus tout, l’intensité est un mensonge qui porte en lui la promesse du manque, de la frustration, et de toutes les souffrances d’une baisse programmée. Non seulement, et même si les marchands de bonheur en promettent un "haut débit", les conditions de la stimulation menacent constamment de faire défaut, mais le support physiologique de ces sensations finit également par s’émousser. Si le breuvage ne manque pas, l’âge gâte de toute façon le palais. Dans une sorte de malédiction, les abus accélèrent une décrépitude qui finira aussi par les compromettre. 
Le vrai bonheur ne procède pas d’une quantité de sensations, mais de l’approfondissement qualitatif du mode d’être. Il découle d’une façon de voir et de sentir le réel dans une proximité lucide et directe, simple et transparente. Loin de toute intensité qui brouille la vision et engorge la perception, la profondeur désencombre le regard et la sensibilité, et rend plus présent aux choses. Une telle façon d’être implique exercice et concentration, au contraire de toutes les distractions excentriques. Mais au lieu de fatiguer le système en le stimulant, et de lui procurer l’ivresse du surrégime, la simplicité conduit aux joies de la stabilité et d’une force justement dite "tranquille".  
Le bonheur n’est donc pas agitation et remplissage, qui aliènent à une certaine épaisseur triviale et marchandée, mais clarté, paix, harmonie, et tout ce qui indique une façon d’être en prise avec la simplicité naturelle du réel. C’est dans le regard, et plus précisément encore dans la conscience, c’est-à-dire dans la façon de voir et de sentir, que se trouve le chemin d’un tel bonheur. Toujours la profondeur se distingue de l’intensité, et s’en préserve aussi comme d’une perturbation.  
Qui sait encore se promener en forêt, voir et sentir la force des arbres immobiles dont le vent complice fait chanter la présence ? Dans la profondeur de ces instants, nulle intensité, tout est rétention, silence et majesté qui parlent à l’âme nue. Au contraire du bariolé, du criant, du remuant, la grande beauté se passe d’exagération. Ainsi en va-t-il de la musique, de la peinture, du vêtement, de la langue, de l’architecture… pour lesquels le classique s’impose comme un sommet. Après lui, l’expression se fait de plus en plus intense et extériorisée, jusqu’aux formes agressives et épaisses dont se charge aujourd’hui toute chose. Le véritable bonheur est alors recouvert par des distractions qui veulent en effacer jusqu’à la notion, mais dans la solitude et le silence se tiennent encore ceux qui se souviennent.  
12 notes · View notes