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#dominique camus
reno-matago · 1 year
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do you have any recommendations to look into French witchcraft?
english or french texts would be wonderful
- Claude Seignolles • Les Évangiles du Diable (contient des grimoires), in-con-tour-nable!
- Le Picatrix, La Poule Noire, Le grand et le petit Albert...
- Christophe Auray : L'herbier des paysans, des guérisseurs et des sorciers
- Dominique Camus (livres)
- Jean-Luc Caradeau sans doute?
- Jeanne Favret-Saada, ethnologue
- Paul Sebillot Le Folklore de France - ( Précieux!) (Pdf dispos www.berose.fr)
- Ce site regorge de Folklore français:
@wanderersinn et j'en oublie! Désolé j'ai supprimé le message par erreur!
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WEEK SIX LINEUP
Not much to add here, I don't think. We continue with the new 6-option model on the polls. The submission form has closed again, with around 1,400 total submissions. Thank you all for your patience with me over the past week or so, and I hope you enjoy this week's lineup as well.
Jae-ha - Yona of the Dawn
Vanitas - Vanitas no Carte
Noé Archiviste - Vanitas no Carte
Jeanne the Hellfire Witch - Vanitas no Carte
Dominique de Sade - Vanitas no Carte
Yoite - Nabari no Ou
Miharu Rokujo - Nabari no Ou
Tobari Durandal Kumohira - Nabari no Ou
Uriel - Omniscient Reader's Viewpoint
Yoo Joonghyuk - Omniscient Reader's Viewpoint
Han Sooyoung - Omniscient Reader's Viewpoint
Yoo Sangah - Omniscient Reader's Viewpoint
Biyoo - Omniscient Reader's Viewpoint
Jung Heewon - Omniscient Reader's Viewpoint
Lee Gilyoung - Omniscient Reader's Viewpoint
Shin Yoosung - Omniscient Reader's Viewpoint
Ib - Ib
Garry - Ib
Mary - Ib
Daniil Dankovsky - Pathologic
Artemy Burakh - Pathologic
Clara - Pathologic
Kenzo Tenma - Naoki Urasawa's Monster
Eva Heinemann - Naoki Urasawa's Monster
Johan Liebert - Naoki Urasawa's Monster
Nana Osaki - Nana
Nana Komatsu - Nana
Nervous Subject - The Sims 2
Pascal Curious - The Sims 2
Ophelia Nigmos - The Sims 2
Tank Grunt - The Sims 2
Loki Beaker - The Sims 2
Ren "Nero" Atsushi - The Boy Who Fell
Henry Jekyll - The Glass Scientists
Jack Twist - Brokeback Mountain
Ennis del Mar - Brokeback Mountain
Alma Beers - Brokeback Mountain
Lureen Newsome - Brokeback Mountain
Nurm - Minecraft Story Mode
Felisin Paran - Malazan Book of the Fallen
Antarcticite - Houseki no Kuni
Aechmea - Houseki no Kuni
Dietfried Bougainvillea - Violet Evergarden
Aragaki - Megalo Box
Kyoya Ootori - Ouran Highschool Host Club
Tsuchigomori - Jibaku Shonen Hanako-kun
Shun - Saint Seiya
Camus - Saint Seiya
Junpei - Jujutsu Kaisen
Mikoto Suoh - K Project
Hoid - Cosmere
Zakuro Oshigiri - The Ones Within (ナカノヒトゲノム【実況中】)
Jesse Ditley - The Raven Cycle
Wybie Lovat - Coraline
Dameon - Obernewtyn
The Gray Man - The Raven Cycle
The Cabbage Man - Avatar: The Last Airbender
Mindy St Claire - The Good Place
Michael - The Good Place
Shawn - The Good Place
Toph Beifong - Avatar: The Last Airbender
Benoit Blanc - Knives Out/Glass Onion
Miles Bron - Glass Onion
Kagura - Inuyasha
Mikage - Gen'ei EP -Envy Phantom-
Hikari - Arcaea
Jack Torrance - The Shining
Hakuno Nekoda - NOISZ STΔRLIVHT
The Quangle Wangle - The Quangle Wangle's Hat
Benten - Uchouten Kazoku
Lorem - Angels With Scaly Wings
Noble Heart Horse - Care Bears
Ryan Goldsmith (Golden Ryan) - Tiger and Bunny: The Rising & Tiger and Bunny 2
Elfo - Disenchantment
Jack Merridew - Lord of The Flies
Noah Czerny - The Raven Boys
Courtney - Dead End Paranormal Park
Coraline Doll - Coraline
Spencer Reid - Criminal Minds
Shinya Oedo - PriPara
Akira - Wii Sports
Bouncer - Stardew Valley
Wario - Super Mario
Clark Kent - My Adventures With Superman
Linus van Pelt - Peanuts
Pearl - Splatoon
Romeo Montague - Romeo and Juliet
Mr Bobinsky - Coraline
Nimona - Nimona
Goldenloin - Nimona
Megan - But I’m A Cheerleader
Steve - The Owl House
Fiver - Watership Down
Sundew - Wings of Fire
Micheal Falk - The Onion
B. F. Bugleberry - Jermaverse
Jerma - Jerma Dollhouse
Earthworm Sally - Flamingo
Sammy the Strawberry - Flamingo
Filipe - Flamingo
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already-14 · 2 years
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Georges Bataille
DISCUSSION SUR LE PÉCHÉ
Présentation de Michel Surya
Texte intégral de la conférence prononcée le 5 mars 1944 par Georges Bataille, et de la célèbre « discussion » qui a suivi. Étaient notamment présents, à l’invitation de Marcel Moré : Arthur Adamov, Maurice Blanchot, Pierre Burgelin, Simone de Beauvoir, Albert Camus, Jean Daniélou, Dominique Dubarle, Maurice de Gandillac, Jean Hyppolite, Pierre Klossowski, Michel Leiris, Jacques Madaule, Gabriel Marcel, Louis Massignon, Maurice Merleau-Ponty, Jean Paulhan, Pierre Prévost, Jean-Paul Sartre...
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(via Bataille Georges | MOTS LIÉS)
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christophe76460 · 10 days
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✝️ Orphelin de Dieu ✝️
Les hommes sont orphelins de Dieu ! Ils ressentent en eux une sorte de vide. Albert Camus écrivait¹ : «Les hommes pleurent parce que les choses ne sont pas ce qu’elles devraient être.» Quand bien même les plus remarquables d’entre nous possèderaient le pouvoir sur les autres, ils s’apercevraient qu’ils n’en n’ont aucun sur leur propre vie, sa durée et sa profondeur.
Ce sentiment d’être orphelin explique pourquoi les hommes n’atteignent pas la plénitude qu’ils souhaitent connaître. Ayant la pensée de l’éternité², ils souffrent de l’incohérence que suscite la mort physique. L’homme comprend que le corps doit finalement mourir, mais son esprit ne peut s’y résoudre.
Notre esprit porte la trace d’un Dieu perdu et l’Évangile de Christ, qui se traduit par «bonne nouvell», nous propose de retrouver ce Dieu si longtemps absent de notre cœur. Pierre dit : Seigneur, à qui irions-nous ? Notez que la réponse est dans la question ! Dans le récit des Évangiles, nous découvrons un Seigneur que nos cœurs attendaient inconsciemment. Jésus porte en lui la réponse à notre besoin universel de plénitude et d’éternité.
Aujourd’hui, si vous vous reconnaissez en tant qu’orphelin de Dieu, laissez-vous adopter par Christ pour que vous puissiez appeler Dieu : «Père !»
Dominique Moreau
¹ Caligula, ch.3, scène 11
² Ecclésiaste 3.11
__________________
Lecture proposée :
Lettre aux Galates, chapitre 4, versets 1 à 7.
Vivre aujourd'hui, 4 mai 2024
Copyright © 2024 Editions CAEF
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yes-bernie-stuff · 11 days
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Orphelin de Dieu 04/05/2024
Simon Pierre lui répondit: Seigneur, à qui irions-nous ? Tu as les paroles de la vie éternelle. Jean 6.68
Les hommes sont orphelins de Dieu ! Ils ressentent en eux une sorte de vide. Albert Camus écrivait¹ : « Les hommes pleurent parce que les choses ne sont pas ce qu’elles devraient être ». Quand bien même les plus remarquables d’entre nous possèderaient le pouvoir sur les autres, ils s’apercevraient qu’ils n’en n’ont aucun sur leur propre vie, sa durée et sa profondeur.
Ce sentiment d’être orphelin explique pourquoi les hommes n’atteignent pas la plénitude qu’ils souhaitent connaître. Ayant la pensée de l’éternité², ils souffrent de l’incohérence que suscite la mort physique. L’homme comprend que le corps doit finalement mourir, mais son esprit ne peut s’y résoudre.
Notre esprit porte la trace d’un Dieu perdu et l’Évangile de Christ, qui se traduit par « bonne nouvelle », nous propose de retrouver ce Dieu si longtemps absent de notre cœur. Pierre dit : Seigneur, à qui irions-nous ? Notez que la réponse est dans la question ! Dans le récit des Évangiles, nous découvrons un Seigneur que nos cœurs attendaient inconsciemment. Jésus porte en lui la réponse à notre besoin universel de plénitude et d’éternité.
Aujourd’hui, si vous vous reconnaissez en tant qu’orphelin de Dieu, laissez-vous adopter par Christ pour que vous puissiez appeler Dieu : « Père ! »
Dominique Moreau
¹ Caligula, ch.3, scène 11 ² Ecclésiaste 3.11
__________________ Lecture proposée : Lettre aux Galates, chapitre 4, versets 1 Or, aussi longtemps que l'héritier est enfant, je dis qu'il ne diffère en rien d'un esclave, quoiqu'il soit le maître de tout;
2 mais il est sous des tuteurs et des administrateurs jusqu'au temps marqué par le père.
3 Nous aussi, de la même manière, lorsque nous étions enfants, nous étions sous l'esclavage des rudiments du monde;
4 mais, lorsque les temps ont été accomplis, Dieu a envoyé son Fils, né d'une femme, né sous la loi,
5 afin qu'il rachetât ceux qui étaient sous la loi, afin que nous reçussions l'adoption.
6 Et parce que vous êtes fils, Dieu a envoyé dans nos coeurs l'Esprit de son Fils, lequel crie: Abba! Père!
7 Ainsi tu n'es plus esclave, mais fils; et si tu es fils, tu es aussi héritier par la grâce de Dieu.
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charlottalaregion · 6 months
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mon compte-rendu subjectif du conseil régional novembre 2023
Devant le conseil régional, deux rassemblements de courageux bravant la pluie : les salariés de l’IPR - Institut Paris Région - institut d’urbanisme qui défend son indépendance contre la volonté de mainmise politique de la région et de V. Pécresse ; et le collectif de défense du triangle de Gonesse qui bataille contre l’implantation de la gare inutile et d’une cité scolaire.
Ce sera le dernier conseil régional de Ghislaine Senée, récemment élue Sénatrice. On est tout triste de perdre notre présidente, qui démissionne, refusant le cumul des mandats. Bravo et merci Ghislaine ! Kader Chibane prend sa suite à la tête du pôle écolo.
On commence la séance par un hommage à Dominique Bernard. Puis ce sont les questions d’actualité.
LREM pose encore la question du harcèlement scolaire, mais sans que ca fasse vraiment avancer le sujet
Le RN fustige les subventions de la région sur tel ou tel film, supposé d’idéologie de gauche. Cela donne une idée de ce que donnerait une politique culturelle avec le RN au pouvoir : la cata pour la création. Il faut dire que la région IDF est très active pour aider le cinéma et la droite joue le jeu de ne pas intervenir de façon idéologique.
Nous posons la question des projets inutiles et routiers en Ile de France, du BIP dans le 95 à l’A104bis dans le 78, en passant par la cité scolaire à Gonesse. Pécresse défend la route à fond ! Elle l’aime, elle l’adore, tout comme elle adore la voiture individuelle, pour “réindustrialiser” et “faire du lien”... Que des contresens avec toutes les études scientifiques et urbanistiques.
Le PS et le PC posent la question de l’état des lycées. Pécresse répond encore et encore en parlant du bilan de la gauche (oui elle ose encore après plus d’un mandat). Après elle dit qu’il y a eu des problèmes dixit : le Covid et Anne Hidalgo ! WTF.
L’UDI pose la question de la régionalisation de service PAM, transports à la demande des personnes en situation de handicap. En effet, le transfert de la gestion de Paris, du 94 à la Région a généré une grosse dégradation de la qualité de service. Bon c’est la faute à Kéolis l’opérateur qui a gagné le marché. Ah bon ? le privé ça ne marche pas ?
LR parle de l’assassinat de Dominique Bernard et de la montée de l’antisémitisme … pour développer un discours très sécuritaire sur les lycées. Donc ce sera une surenchère sur les caméras, les brigades régionales de sécurité et même des maîtres chiens, alors que la police reste une compétence nationale.
LFI pose la question des punaises de lit (pff), mais aussi de la politique “antighetto” qui est en fait très anti logement social. Tiens, Pécresse demande de bétonner - pardon de ne pas limiter les capacités de construction - et avoue que le SDRIF-E sera là pour ça !
Une motion est proposée par l’exécutif sur le conflit au proche-orient. Cette motion, dont le texte de départ était inacceptable, a beaucoup évolué dans le bon sens. La majorité du pôle écolo reste contre, en raison du non appel au cessez le feu. Nous faisons “Ne participe pas au vote” surtout pour rappeler qu’il n’est pas de la compétence d’une collectivité de prendre part dans des positions diplomatiques françaises.
On a la nausée quand on écoute le RN qui ose citer Camus. Pécresse les calme direct en parlant ouvertement d'hypocrisie. Une fois n’est pas coutume, on applaudit.
On passe au vote sur l’accord Beaune-Pécresse sur le financement des transports. C’est évidemment un accord à minima, qui fait des collectivités et des usagers, les variables d’ajustement. A terme c’est bien un pass Navigo, à 100 €. Aucune des propositions faites pendant la concertation, notre plan B, n’ont été entendues… 
Pour le débat d’orientation budgétaire, la droite parle toujours de “sérieux” budgétaire, mais ça rabote sur beaucoup de secteurs. Et côté recettes, ils radinent par exemple, sur la taxe carte grise en supprimant le rabais pour les véhicules peu polluants. Le problème c’est que ce budget ne prendra pas en compte la réalité de l’IDF, avec l’inflation, les inégalités sociales, la galère dans les transports … et qu’il loupera encore une fois les enjeux environnementaux et climatiques. 
On vote, à bulletin secret, le renouvellement de la commission permanente, et on perd 1 poste sur 6 ; 1 voix a manqué. Mauvaise journée pour l’écologie. C’est une voix en moins pour tout le reste du mandat… 
Une prime de pouvoir d’achat exceptionnelle est proposée pour les agents de la région. Mais il s’agit d’une simple application d’un décret ! La région aurait pu revaloriser les salaires.
Le bilan des aides montrent que les aides baissent pour les PME, notamment culturelles (effet post-covid), sans aucune aide particulière aux structures de l’économie sociale et solidaire, qui sont en difficulté. Et beaucoup est consacré à la recherche et au développement … mais c’est tout pour des entreprises privées. 
Nous présentons un vœu sur le glyphosate, en ce jour néfaste, où l’Europe a décidé l’autorisation de ce poison pour encore 10 ans.  L’idée, par ce vœu, est de réaffirmer la volonté de sortie des pesticides, par des subventions à l’agroécologie et des aides à la conversion, de refuser les fonds aux exploitations qui ont recours au glyphosate, de passer à 50% de produits bio dans les cantines scolaires… La droite vote contre et prétend que c’est une accusation des agriculteurs - alors que ce sont eux les premières victimes  - et ressort tous les clichés anti-écolos de base. Et ose comparer le glyphosate aux vaccins et aux médicaments. Plus c’est gros…
Les socialistes présentent un voeu sur les nuisances sonores aériennes. Mais un peu timide et ne voulant pas condamner la construction sur le triangle de Gonesse juste sous le couloir aérien. Bof. Je vote pour quand même.
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angelanatel · 11 months
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Identitarismo - Les Identitarians
França, anos 60
O movimento identitário ou identitarianismo é um movimento de extrema-direita popularizado na Europa pós segunda guerra, afirmava o direito dos povos de origem europeia a uma cultura e territórios exclusivaos. Tem origem na linda e liberal... França baseando-se nas ideias da moderna filosofia alemã, a partir dos anos 60 tem a contribuição de Alain de Benoist, Dominique Venner, Guillaume Faye e Renaud Camus. Acreditam que existem modos de vida que são típicos a seus povos. São influenciados pela Revolução Conservadora Alemã e pelas teorias do Terceiro Reich através da Nova Direita Européia.
Alguns identitários defendem explicitamente a xenofobia e o racialismo. A maioria limita as declarações públicas a uma linguagem mais dócil e ao dog whistle. Promovem a criação de estados brancos, e políticas de exclusão de migrantes e residentes não-brancos. O Movimento Identitário foi classificado em 2019 pelo Gabinete Federal para a Proteção da Constituição alemã como ideologicamente pertencente ao extremismo de direita.
Tem influência entre os nacionalistas brancos da América do Norte, Austrália e Nova Zelândia O Southern Poverty Law Center, baseado nos EUA, considera muitas dessas organizações como grupos de ódio .
Camus, Jean-Yves; Lebourg, Nicolas (2017). Far-Right Politics in Europe (em inglês). [S.l.]: Harvard University Press. ISBN 978-0674971530
Camus, Jean-Yves (2019). «Alain de Benoist and the New Right». In: Sedgwick, Mark. Key Thinkers of the Radical Right: Behind the New Threat to Liberal Democracy (em inglês). [S.l.]: Oxford University Press. pp. 73–90. ISBN 9780190877613
Mudde, Cas (2019). The Far Right Today (em inglês). [S.l.]: John Wiley & Sons. ISBN 978-1-5095-3685-6
Taguieff, Pierre-André (2015). La revanche du nationalisme: Néopopulistes et xénophobes à l'assaut de l'Europe (em francês). [S.l.]: Presses Universitaires de France. ISBN 978-2-13-072950-1
Teitelbaum, Benjamin R. (2017). Lions of the North: Sounds of the New Nordic Radical Nationalism (em inglês). [S.l.]: Oxford University Press. ISBN 978-0-19-021259-9
Vejvodová, Petra (Setembro de 2014). The Identitarian Movement – renewed idea of alternative Europe (PDF). ECPR General Conference (em inglês). Masaryk University, Brno: Department of Political Science, Faculty of Social Studies. Consultado em 10 de maio de 2017
Virchow, Fabian (2015). «The 'Identitarian Movement': What Kind of Identity? Is it Really a Movement?». In: Simpson, Patricia Anne; Druxes, Helga. Digital Media Strategies of the Far Right in Europe and the United States (em inglês). Lanham, Maryland: Lexington Books. pp. 177–90. ISBN 978-0739198810
Zúquete, José Pedro (2018). The Identitarians: The Movement against Globalism and Islam in Europe. [S.l.]: University of Notre Dame Press. ISBN 9780268104245
Pesquise antes de aplaudir qualquer coisa na internet.
Acesse mais materiais relacionados em https://drive.google.com/drive/folders/1vo8MKiu2H07V_wtJV_Fn6w-9St0cxXBl
Siga e aprenda com https://twitter.com/suelifeliz
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galleriaartethule · 2 years
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Catalogo della mostra costo 12 euro.
Contiene ritratti di:
Anna Andreevna Achmatova (1889 - 1966)
Hannah Arendt (1906 - 1975)
Ingmar Bergman (1918 - 2007)
Georges Bernanos (1888 - 1948)
Jorge Luis Borges (1899 - 1986)
Cristina Campo (1923 - 1977)
Albert Camus (1913 - 1960)
Louis Ferdinand Céline (1894 - 1961)
Joseph Conrad (1857 - 1924)
Gabriele D’Annunzio (1863 - 1938)
Giorgio De Chirico (1888 - 1928)
Fedor Dostoevskij (1821 - 1881)
Thomas Stearns Eliot (1888 - 1965)
Oriana Fallaci (1929 - 2006)
William Faulkner (1897 - 1962)
Ennio Flaiano (1910 - 1972)
Giovanni Gentile (1875 - 1944)
Giovannino Guareschi (1908 -1968)
Knut Hamsun (1859 -1952)
Aldous Huxley (1894 - 1963)
Ernst Jünger (1895 - 1998)
Alexandre Kojéve (1902 - 1968)
Anna Kuliscioff (1855 - 1925)
Leo Longanesi (1905 - 1957)
Howard Phillips Lovecraft (1890 - 1937)
Vladimir Majakovsky (1893 - 1930)
Filippo Tommaso Marinetti (1876 -1944)
François Charles Mauriac (1885 - 1970)
Yukio Mishima (1925 - 1970)
Guido Morselli (1912 - 1973)
José Ortega Y Gasset (1883 - 1955)
George Orwell (1903 - 1950)
Giovanni Papini (1881 - 1956)
Boris Pasternak (1890 - 1960)
Cesare Pavese (1908 - 1950)
Luigi Pirandello (1867 - 1936)
Edgar Allan Poe (1809 - 1849)
Ezra Pound (1885 - 1972)
Giovanni Prezzolini (1882 - 1982)
Jean Raspail (1925 - 2020)
Roger Vernon Scruton (1944 - 2020)
Giuseppe Sermonti (1925 - 2018)
Cardinale Giuseppe Siri (1906 - 1989)
Aleksandr Isaevič Solženicyn (1918 - 2008)
Oswald Spengler (1880 - 1936)
John Ronald Reuel Tolkien (1892 - 1973)
Dominique Venner (1935 - 2013)
Simone Weil (1909 - 1943)
Da richiedere a
www.italiastorica.com
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alexlacquemanne · 3 years
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Juin MMXX
Films
Max et les Ferrailleurs (1971) de Claude Sautet avec Michel Piccoli, Romy Schneider et Georges Wilson
Deux sœurs pour un roi (The Other Boleyn Girl) (2008) de Justin Chadwick avec Scarlett Johansson, Eric Bana et Natalie Portman
Rien ne va plus (1997) de Claude Chabrol avec Michel Serrault, Isabelle Huppert, François Cluzet et Jean-François Balmer
Le Ruffian (1983) de José Giovanni avec Lino Ventura, Bernard Giraudeau et Claudia Cardinale
La Menace (1977) de Alain Corneau avec Yves Montand, Carole Laure et Marie Dubois
Certains l'aiment chaud (Some Like It Hot) (1959) de Billy Wilder avec Marilyn Monroe, Tony Curtis et Jack Lemmon
Le Mur de l'Atlantique (1970) de Marcel Camus avec Bourvil, Peter McEnery, Sophie Desmarets et Jean Poiret
Danger : Diabolik ! (Diabolik) (1968) de Mario Bava avec John Phillip Law, Marisa Mell, Michel Piccoli et Claudio Gora
Starsky et Hutch (Starsky & Hutch) (2004) de Todd Phillips avec Ben Stiller et Owen Wilson
Le Seigneur des anneaux : Les Deux Tours (The Lord of the Rings: The Two Towers) (2002) de Peter Jackson avec Elijah Wood, Sean Astin et Viggo Mortensen
La Grande Cuisine (Who Is Killing the Great Chefs of Europe?) (1878) de Ted Kotcheff avec George Segal, Jacqueline Bisset, Robert Morley, Madge Ryan, Philippe Noiret et Jean Rochefort
Quand l'inspecteur s'emmêle (A Shot in the Dark) (1964) de Blake Edwards avec Peter Sellers, Elke Sommer, George Sanders et Herbert Lom
Meurtre au soleil (Evil Under the Sun) (1982) de Guy Hamilton avec Peter Ustinov, Nicholas Clay, Jane Birkin et Diana Rigg
Spectacle
Hirondelles de saucisson (1990) de François Rollin
Le fusible (2017) de Sylvain Meyniac avec Philippe Dusseau, Gaëlle Gauthier, Arnaud Gidoin, Juliette Meyniac, Irina Ninova et Stéphane Plaza
L’Exoconférence (2014) d’Alexandre Astier
Le jeu de l’amour et du hasard (2018) de Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux avec Laure Calamy, Vincent Dedienne, Clotilde Hesme, Nicolas Maury, Alain Pralon et Cyrille Thouvenin
Séries
Top Gear Saison 22, 13, 21, 18, 11, 12
Road Trip en Australie - Retour en 1940 - Road Trip à Tchernobyl - La fièvre du vintage - Spécial Journée Circuit - L’art de la chasse - Une course comme sur un green - Construire l’impossible
Comissaire Dupin
La Morte rose
The Grand Tour Saison 3, 1, 2
Scotch Single Malt - Les bras cassés à la Barbade - Les vacances du simplet - Jaaaaaaaags - Course polaire - Virée à l’italienne
Chapeau melon et Bottes de Cuir Saison 4
Le Fantôme du château De'Ath - Avec vue imprenable - Les Aigles - Cœur à cœur 
Friends Saison 1
Celui avec George - Celui qui hallucine - Celui qui aimait les lasagnes - Celui qui fait des descentes dans les douches - Celui qui était comme les autres - Celui qui a du jus - Celui qui a perdu son singe - Celui qui a un rôle
Kaamelott Livre I, V, VI
Corvus Corone - Le Royaume Sans Tête - Le Dernier Jour - Centurio - Arturi inquisito
Stargate SG-1 Saison 6
Réunion
Livres
La classe américaine de Michel Hazanavicius et Dominique Mézerette
Kaamelott Tome 5 : Le Serpent Géant du Lac de l'Ombre d’Alexandre Astier et Steven Dupré
Kaamelott Tome 8 : L'antre du Basilic d’Alexandre Astier et Steven Dupré
Kaamelott Tome 9 : Les renforts maléfiques d’Alexandre Astier et Steven Dupré
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the-golden-city · 4 years
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I couldn’t sleep last night and because I’m insane I decided to write down every named character in Shoukoku no Altair that I could think of. After some revision I’ve come to a total of 220 individuals (although two particular names both belong to one person). You can find the complete alphabetical list below. How many do you recognise? If you can think of any I’ve missed, I’ll be impressed!
Also I didn’t include Burak Pasha because we only know his title, not his name.
Abbas
Abdül
Abel
Abiriga
Adán
Ahmet
Akbar
Alain
Alfred
Alois Reuss
Alonso
Alphonse
Al-Sakal
Amadeo Boccanegra
Anselm Tott
Anton Adam
Antonio Lucio
Apollodorus
Aquiles
Astolphe Camus
Augusto
Ayşe (Armut)
Azer (Hilâl)
Bahram
Balaban (Al-Kaplan)
Balş (Çöl)
Barbaros (Bayrakta)
Basil
Battista di Orsini
Bayram
Becker
Belén
Bernadette
Beyazit (Ulema)
Bilge
Blanca
Bonneau
Brigitta Grimaldi
Bruno
Bulut
Can
Carré
Carvajal
Casimir
Cassandra
Caterina
Caterina di Rossi
Cecilia Brega
Cem
Cemil (At-Nalı)
Christhard Bertz
Cırgal (Pota)
Coco
Colbert
Colette
Conrad
Constantinus
Corentin Pineau
Cornelia Nord
Coubertin
Cyrus
Daniel Bieger
Davud (Kundaracı)
Defter
Derecho
Dietrich Meissner
Dirk Wichter
Domas
Dominique Autun
Donatello d'Oria
Doruk (Tazı)
Edmond
Eldrhein
Eleonor
Elmer Schmidt
Elvan
Emilio
Emirhan (Direği)
Enis
Erbach
Eric Eisenstein
Erzsébet
Eugene Camus
Eustache
Fatma (Nilüfer)
Franz
Friedrich Meissner
Fuat (Falı)
Gerardo
Gertrud
Giacomo Loredan
Gianpaolo Cavallo
Gilbert Kirchel
Gilles Printemps
Gino Boccanegra
Giovanni di Orsini
Giulio
Glalat Bellrik
Göker
Goldbalt
Gottlieb Kreuzer
Grimm
Gunther
Gürsel
Gustav
Güvenç
Guy
Hakan
Halil (Şehir)
Haluk
Hasan
Haşim
Hassler
Herzog
Hüseyin
Hyacinthe
İbrahim (Şapka)
Idris
Ildebrando
İlkay (Deve)
İskender
İsmail (Silâh)
Izquierdo
Jacques Jourdain
Johan Frentzen
Julio
Jürgen
Kara-Sakal
Karl Meissner
Kasım
Kemal
Kevin
Khusraw
Klaus Altdorfer
Koran
Kuper
Kureyş
Kurt (Kurt)
Lancel
Lelederik
Lein
Leonardo
Lilli Kokoschka
Lorenzo Festa
Luca
Mahmut (Tuğril)
Marc
Marcantonio d'Este
Marco Quirini
Margit
Marianne
Marino
Mark Blumenthal
Marzio Bacci
Metin
Mina
Murat (Ikizler)
Mwanaidi
Nazar (Nargile)
Nicephorus
Nicolo
Nigrina
Niki
Noël
Nurcan (Şanslı)
Oliva
Orhan (Kılıç)
Oscar Bernet
Osthoff
Otto Bernet
Paolo
Peyman
Phoenix
Piet Meissner
Pio Manfredi
Preuß
Rakhmonov
Randini di Fini
Regulus
Roni Boccanegra
Roxelana
Ryan Lowe
Salomon
Samuel
Şara
Saruca (Tesisat-Kapı)
Schübel
Seda
Selim (Yüz-Maske)
Selman
Serap
Siegfried Kaufmann
Şihabeddin (Fırça)
Silvestro Brega
Simon Blanchard
Soranzo
Süleyman (Kara-Kanat)
Taner
Theo Androsch
Thibault
Toygar
Tristan Barét
Tuncer (Ozan)
Ümit (Makas)
Uno
Urbano
Usman (Yıldırım)
Uzun (Yağ)
Valentín
Vasco
Victorino
Vincent
Virgilio Louis
Volker Winkelmann
Wilhelm Meissner
Xenon
Yixin Wang
Zağanos (Zehir)
Zeki (Mimar)
Zsigmond
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reseau-actu · 6 years
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La jeune droite intellectuelle ne rase plus les murs
L’hégémonie de la gauche dans la jeunesse française est révolue. La droite intellectuelle ne rase plus les murs et conquiert même les plateaux télévisés. Mais cette embellie doit davantage à la crise de notre société multiculturelle qu’au travail idéologique mené par quelques jeunes plumes au conservatisme parfois trop dogmatique.
Jadis, le monde était simple : les jeunes votaient à gauche, militaient à gauche, pensaient à gauche. Moralement discrédité à la Libération, le camp conservateur pliait l’échine devant une gauche qui s’arrogeait le monopole du cœur et de la vérité. Sartre pouvait exciter la haine de classe en accusant à tort un notaire de meurtre, Mitterrand dépasser l’entendement en promettant de sortir du capitalisme en cent jours, SOS Racisme fasciser quiconque questionnait la société multiculturelle, les jeunes générations acquiesçaient.
Or, voilà qu’après une longue éclipse, quelques francs-tireurs conservateurs creusent le sillon tracé par leurs aînés et franchissent les portes des médias. Zemmour et Buisson ayant ouvert la voie, Mathieu Bock-Côté, Eugénie Bastié (Le Figaro, Limite), François-Xavier Bellamy courent les plateaux télévisés, des revues comme Éléments sortent de la marginalité, des instituts de formation catholiques, identitaires libéraux ou un peu de tout cela à la fois émergent. Le tout est encouragé par la nouvelle mission métapolitique – gagner la bataille des idées – que s’assigne la jeune garde conservatrice, dont la coqueluche se nomme Marion Maréchal, et la base hésite entre un vote LR ou FN.
Quand la droite bat le pavé…
Aussi fluctuants soient ses contours, reste un mouvement de fond, que le brillant trentenaire Alexandre de Vitry pointe dans son pamphlet Sous les pavés, la droite : la jeune droite conservatrice ne craint plus de s’affirmer comme telle, de se doter d’une idéologie et de repenser son rapport au libéralisme. Ce n’est pas la première fois qu’émerge une jeunesse de droite revendiquant haut et fort cette étiquette. Le 30 mai 1968, les jeunesses gaullistes étaient sorties du bois pour soutenir le Général contre la « chienlit » des lanceurs de pavé. Tout en s’inscrivant dans cette lignée, les jeunes sarkozystes du début des années 2000 assumaient un rapport décomplexé à l’argent et à la réussite sociale qui les distinguait des caciques chiraquiens. Quelques années plus tard, poussée par l’offensive sociétale du quinquennat Hollande, une génération de jeunes catholiques conservateurs se soulève contre le mariage pour tous. Cette dernière vague investit le domaine des idées et porte un projet politique de transformation de la société.
Pour Alexandre de Vitry, c’est là que le bât blesse : la droite trahit sa nature pragmatique à force de battre le pavé et de forger une idéologie cohérente, sûre d’elle-même et dominatrice. Cette quête du Grand Soir conservateur ignore toute la complexité du réel, les invariants de la nature humaine et les pesanteurs du monde. Ici, entre en jeu la littérature, laquelle rappelle à l’homme son devoir d’humilité. En prétendant faire table rase du réel qui lui déplaît (liberté sexuelle, homoparentalité, droit à l’avortement…), une certaine droite suridéologisée rejoint les errements démiurgiques d’une gauche que l’idée de rupture obsède depuis la Révolution française. De sorte qu’un 10 mai 1981 conservateur pourrait bien être suivi de lendemains qui déchantent rappelant le tournant de la rigueur de 1983.
Conservateurs de souches
Parlons franc. Si sa défense paradoxale du droit à la contradiction et sa critique du pavlovisme antilibéral font l’effet d’un grand bol d’air, le réquisitoire ad hominem que dresse Vitry frôle parfois l’antifascisme policier, dont une certaine gauche est si friande. Mais à tout péché miséricorde. Grâces lui soient rendues, ainsi qu’à Eugénie Bastié, pour avoir engagé un dialogue fécond dans nos colonnes.
Cette jeunesse intellectuelle hostile aux mots d’ordre de 68 n’a pas surgi tout armée du crâne de Jupiter. Dans l’opinion, une vague générationnelle s’y reconnaît. « La jeunesse est à l’image de la société française : très divisée et diverse. 25 % des jeunes ont voté Mélenchon, mais toute une frange qui vit de plain-pied dans la société multiculturelle est en attente de valeurs d’ordre », indique le politologue et directeur d’études de l’IFOP Jérôme Fourquet. De l’avis quasi général, à droite, l’insécurité culturelle engendrée par une immigration massive inassimilée explique à la fois l’importance du vote FN et le repli identitaire de nombreux catholiques, de plus en plus opposés au pape François. N’en déplaise aux antiracistes professionnels, beaucoup des jeunes adversaires du multiculturalisme partisans d’une immigration limitée, sinon de la remigration, ont des origines exotiques. Français de plusieurs souches, ils désarçonnent le camp d’en face, à l’image de l’avocat libertaire Nicolas Gardères : « Le véritable renouveau de la droite n’est pas dans les idées, il est dans l’incarnation. Son discours est de plus en plus porté dans le champ politico-médiatique par les femmes comme les porte-parole de la Manif pour tous, des homosexuels (Philippot) et des hommes appartenant à des minorités religieuses (Zemmour). »
A lire aussi: « Le conservatisme semble sorti de l’ombre »
Vu de gauche, l’itinéraire d’un Édouard Chanot, journaliste-chroniqueur sur la chaîne russe Radio Sputnik, paraît incompréhensible, tant il défie les a priori. Ce trentenaire franco-philippin met à l’actif de la droite culturelle deux grandes victoires sémantiques, remportées notamment sur le front de la lutte contrer l’islamisme : « La désignation de l’ennemi et la reconnaissance de facto du “grand remplacement”. » L’expression forgée par Renaud Camus fait florès dans les médias, même pour la dénoncer, quoique Chanot préfère parler de « grande balkanisation », persuadé que notre société se communautarise à mesure que les flux migratoires progressent. La reconnaissance de cet état de fait n’est sans doute pas entièrement imputable aux intellectuels qui confirment ce diagnostic aisément observable au quotidien. « Ce ne sont pas les idées qui dominent le monde, mais les circonstances », glisse l’ancien étudiant d’Assas, successivement militant UNI, auditeur de l’Institut de formation politique (IFP), membre des cercles conservateurs américains, puis élève de l’Institut Iliade, fondé après le suicide de l’essayiste néo-païen Dominique Venner, figure de la droite radicale identitaire. Un cursus honorum qui résume les tours et détours de sa quête de sens. « Mes amitiés avec cette mouvance étonnent toujours, mais j’ai beaucoup lu le philosophe Léo Strauss qui prône le retour aux Anciens », explique Chanot. Et sur le marché de l’identité, l’Institut Iliade « pour la longue mémoire européenne » offre une formation clé en main autour de la tradition, des mythes hors d’âge et autres expressions d’une identité charnelle résolument völkisch.
« Le discours de la gauche se heurte aujourd’hui à la réalité »
À la confluence de la mouvance identitaire, de l’antilibéralisme et du conservatisme, François Bousquet, 50 ans, rédacteur en chef d’Éléments et gérant de La Nouvelle Librairie, se réjouit de voir la tectonique des plaques intellectuelles bouger. « Difficile de nier qu’il y a un renouveau intellectuel du conservatisme qui profite plus à la droite qu’à la gauche, autrement affectée par la crise de l’idéologie du progrès », diagnostique-t-il. Pour s’en convaincre, il suffit de jeter un œil sur les couvertures d’Éléments, publication de la Nouvelle Droite devenue un magazine qui a pignon sur rue : les intellectuels de gauche, Onfray, Gauchet, Julliard, Guilluy, s’y bousculent presque ! Sur fond d’antilibéralisme, le magazine aux éditos signés Alain de Benoist redistribue les cartes du jeu idéologique. Pour la philosophe analyste du discours politique et des idéologies Nathalie Krikorian, « on assiste aujourd’hui à une forme de décomposition des idéologies, en particulier à gauche. La seule chose qui a permis à la gauche française de survivre, dans son aberration révolutionnariste et égalitariste, c’est son discours immigrationniste et différentialiste des années 1980. Mais il se heurte aujourd’hui à la réalité. » Les idées circulent tant et si bien d’un bout à l’autre du champ intellectuel que le droit à la différence, popularisé par la Nouvelle Droite, a été repris par l’antiracisme mitterrandien. C’est au nom de ce même droit que François Bousquet revendique aujourd’hui un éloge de la frontière contre « la montée de l’indifférenciation, de sociétés indifférenciées suite à un lissage universel ».
Pour autant, cette jeune garde conservatrice est loin d’occuper tout l’espace à droite où cette vague antilibérale suscite quelques étranglements. Avec Alexandre de Vitry, de jeunes libéraux moquent la Sainte Trinité de l’antiprogressisme, formée par Michéa, Guilluy et Orwell. Au côté de Benjamin Demeslay, le rédacteur en chef de L’Incorrect, Gabriel Robin, 33 ans, prépare pour début 2019 la sortie du Non du peuple, un essai explicitement dirigé contre le conservatisme antilibéral. Robin dénonce le nouveau prêt-à-penser des légions de la Manif pour tous, dont le gros livre rouge est La Cause du peuple, de Patrick Buisson : « Dans l’imaginaire de la droite française des années 2000 et 2010, la France périphérique tient la place du tiers-monde pour la gauche post-68. Pour Buisson, la Manif pour tous sera pour la “France de Johnny” ce que les bolcheviks furent aux damnés de la Terre, une élite régénérée portant sur ses épaules un peuple méprisé. »La droite quart-mondiste existe, tout le monde l’a rencontrée en librairie. Pour Robin, Buisson fantasme avec style et brio un peuple paré de toutes les vertus conservatrices. Tout comme, sur le flanc gauche, Michéa associe un peu trop mécaniquement aux gens ordinaires la common decency orwellienne. Faut-il avoir oublié Céline pour croire que la pauvreté rend vertueux…
Cherchez le peuple
Paradoxalement, la jeune droite libérale cède à la vieille tentation maurrassienne de calquer ses schémas idéologiques sur les attentes du « pays réel ». Ainsi, toutes les études d’opinion confirment une montée des valeurs consuméristes et individualistes dans la jeunesse française, d’ailleurs majoritairement partisane du mariage et de l’adoption homosexuels, aux antipodes de la Manif pour tous. Quant à la France périphérique, si bien décrite par le géographe Christophe Guilluy, ses habitants rêvent moins d’une nouvelle chouannerie que d’un libéralisme tempéré par des frontières. « Le Français moyen assimile le libéralisme au fait de payer moins d’impôts, de travailler plus pour gagner plus, ou d’entreprendre sans être trop entravé. C’est d’ailleurs une des raisons du succès de Nicolas Sarkozy en 2007 », analyse Gabriel Robin. Cela ne signifie pas, tant s’en faut, que le peuple des campagnes et des pavillons ne s’intéresse qu’à l’argent. Nombre de Français périphériques céderaient volontiers aux sirènes d’un « populisme patrimonial » (Dominique Reynié) à même de préserver leur mode de vie, s’il existait.
Le décalage entre la France concrète et la vision qu’en ont certains intellectuels conservateurs s’explique peut-être aussi par un biais sociologique. Dans ce qui reste de France catholique bourgeoise, des soixante-huitards au carré, enfants gâtés de la démocratie et de la révolution sexuelle, exercent un droit d’inventaire légitime, mais parfois inconséquent, sur notre société libérale. Ainsi, « aucune doctrine n’est moins comprise que le libéralisme, en France », regrette le philosophe Raphaël Enthoven : « Ce n’est pas la liberté du renard dans le poulailler. Rien n’est pire, aux yeux d’un libéral, qu’un individualisme échevelé, qui se satisfait de la guerre de chacun contre chacun. Un libéralisme bien compris suppose l’égalité des chances (sans laquelle la concurrence est faussée) et le respect de la loi (qui est la même pour tous) », poursuit ce républicain de gauche. Là se trouve l’une des clés de la convergence entre antilibéraux des deux rives qui s’exprime dans les colonnes d’Éléments ou de Limite. En faisant indistinctement feu sur le libéralisme, l’individualisme et le multiculturalisme, ces théoriciens ressuscitent des formes sophistiquées de communautarisme, fût-il socialiste ou chrétien. « Les uns veulent remettre le maître d’école au centre du village, les autres le curé », en sourit Gabriel Robin.
C’est dans ce tourbillon idéologique qu’Emmanuel Macron a bâti sa victoire à la dernière présidentielle. Renvoyant dans les cordes droite et gauche, Jupiter a coiffé sur le poteau tous ceux qui pensaient l’enjeu identitaire incontournable. Les intellectuels conservateurs sont donc encore loin de réunir derrière eux un bloc majoritaire. C’est à partir de ce constat que Marion Maréchal a créé l’Institut de sciences sociales, économiques et politiques pour former les cadres conservateurs de demain. À l’université, l’hégémonie de la gauche, moribonde ou contestée ailleurs, est toujours écrasante. Le sorbonnard et professeur certifié Lucien Rabouille, 24 ans, constate : « En termes de masse critique, on est écrasé. Il y a des phalanges de sociologues et d’historiens Insoumis », du Collège de France à la plus modeste fac de province. Un peu comme Alexandre de Vitry, il estime que la droite intellectuelle fait fausse route en se piquant d’idéologie : « Il faudrait laisser la prétention de l’objectivité à la gauche. On n’est pas armés pour se battre sur ce terrain. » Certes, mais pourquoi renoncer au combat politique alors que tant de défis se posent à la société ? Dans son dialogue avec Vitry, Eugénie Bastié entend tenir les deux bouts de la chaîne. Littéraires et politiques pourraient s’accorder sur la reconnaissance d’ « une forme d’incomplétude, de modestie face à l’histoire, de refus de l’utopie » qui ne dispense pas la droite d’avoir des idées politiques. Aux nouveaux hussards de relever le gant !
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"Chaque génération, sans doute, se croit vouée à refaire le monde. La mienne sait pourtant qu’elle ne le refera pas. Mais sa tâche est peut-être plus grande. Elle consiste à empêcher que le monde se défasse", constatera Albert Camus.
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diaely · 6 years
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Astfel, ceea ce se numește supranatural este de fapt doar naturalul necunoscut sau neînțeles de către persoanele care nu au acces la el prin cunoștințele lor sau prin predispozițiile lor psihologice.
Dominique Camus, „Puteri și practici vrăjitorești: anchetă asupra practicilor actuale de vrăjitorie”
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grandhotelabyss · 3 years
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In late 2019, I happened across Dominique Eddé’s Edward Said: His Thought as a Novel in the public library, read it for perfectly non-prurient reasons given its staid jacket copy, was startled to find it was in part the memoir of an illicit love affair, and was finally impressed by the acute critique of the limits I’ve always met in Said’s thought despite its impressive passion and erudition. 
Eddé identifies Said’s preference for Conrad over Dostoevsky and his dismissal of Camus as indices of heights and depths his “secular criticism” cannot reach—a reproof of Said more cogent than any I’ve ever read, and I’ve read plenty. I quoted a key passage here over a year ago, and I place it here again:
Said is more threatened by Dostoevsky’s world than by Conrad’s. Dostoevsky destabilises and disarms him, whereas Conrad provides him with a clock and a context in which to reconcile anxiety and ethics, his two preoccupations. Anxiety absorbs guilt, ethics offers him a way out which, though insufficient, has the great merit of calming anxiety by offering a morality founded on will, character and action—the morality of ‘doing what you have to do.’ In other words, steering the ship to port, against all diabolical temptations and notably money and women. There is nothing of this in Dostoevsky, for whom external and internal storms are intertwined, will has little power against instinct, reason is infiltrated by madness and the shadow of God is everywhere, including within characters who are unbelievers. Here lies the gulf between the worlds of these two novelists. God and madness haunt Dostoevsky’s world but are absent from that of Conrad who, although he too exists in an atmosphere of torment, nerves and guilt, invents a form of order founded on morality, whereas Dostoevsky follows chaos through the soul’s every fold and wrinkle.
I wrote a quick reaction to Eddé’s poetic memoir/critique, which strangely remains to this day—save a recent brisk, polemical, and paywalled treatment in the academic journal symplokē—the only public review of the book in the English-speaking world.
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ericfruits · 4 years
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The continuing influence of “The Conformist”
Normal people The continuing influence of “The Conformist”
Fifty years on, Bernardo Bertolucci’s portrait of fascism is still chilling
Books, arts and culture Prospero
Jul 1st 2020
by J.B. | VENICE
BORN IN 1941, Bernardo Bertolucci grew up amid the cultural renaissance of post-war Italy. The years of fascist rule were over; in cinema neorealism became eminent, while Italian chic was taking over the world of fashion. Bernardo’s father, Attilio Bertolucci, was a famous poet and film critic; Bernardo began writing aged 15 with a view to pursuing a career in poetry. It was at the University of Rome—and thanks to Attilio’s connections—that he was introduced to film-making. He worked as an assistant to Pier Paolo Pasolini, a neorealist director, and made his first film at 22. By 1970, and not yet 30, he had made five movies and collaborated with some of Italy’s most acclaimed auteurs.
It was in 1970 that Bertolucci would release his masterpiece. He counted among his friends Alberto Moravia, a novelist who had been so critical of Benito Mussolini’s regime that his books had been censored and he had been forced to write under a pseudonym. In 1951 Moravia had published “The Conformist”, a postmortem of fascism steeped in the same existential dread as Albert Camus’s “The Outsider” (1942). Bertolucci’s adaptation of “The Conformist”, which had its premiere 50 years ago on July 1st 1970, catapulted him to international fame.
The conformist of the title, Marcello Clerici (Jean-Louis Trintignant), longs to lead what he considers a “normal life”. In Rome in 1936, normality means joining the National Fascist Party, and Marcello uses his friendship with a right-wing intellectual to get a job interview at the secret police. The colonel who assesses Marcello considers him an enigma, motivated neither by ideology nor by money, yet accepts him to the force anyway. Indeed, Marcello seems willing to assume any intellectual posture. He goes to confession at the behest of Giulia (Stefania Sandrelli), his socialite fiancée, despite the fact that he is not a believer. His apparent embrace of Catholicism—much like his marriage and his fascism—is part of his pursuit of normality.
Marcello’s honeymoon provides the cover for his first mission as a thug for the Organisation for Vigilance and Repression of Anti-Fascism. The newlyweds set off for Paris, where he is to make contact with his old university tutor, Professor Quadri (Enzo Tarascio), whom the fascists want dead because of his vocal opposition to the regime. In Bertolucci’s non-linear narrative, the film begins in Paris on the morning of the assassination attempt as Marcello and an associate pursue Quadri and his wife, Anna (Dominique Sanda), through the snowy French countryside.
From there, the film jumps backwards and forwards in time, and flashbacks grasp at the mystery of what drives Marcello. Perhaps his need for normality is rooted in the dysfunction of his own upper-class family, given that his father is in an insane asylum and his mother is a morphine addict. Perhaps it is a result of a traumatic event in his childhood: the film suggests that Marcello was the victim of sexual abuse, but it is unclear what exactly took place and whether the young boy did kill his abuser in self-defence.
Throughout, the protagonist remains a slippery subject. Marcello readily admits that he doesn’t love Giulia and, once in Paris for their honeymoon, embarks on an affair with Anna, who in turn is intent on seducing Giulia herself. The only constant is Marcello’s indecision about whether he will go through with the murder. When given a gun, he strikes a series of poses, but later admits he doesn’t even know how to use it. His attitude is one of ironic detachment. His fascist salute seems like a provocative joke.
The film itself maintains an ironic detachment and there is a dissonance between the bitterness of the story and its cinematic beauty. The lush score is by Georges Delerue, who also provided the music for Jean-Luc Godard’s “Le Mépris” (1963), another adaptation of Moravia’s work. Vittorio Storaro’s cinematography is stunning: he uses a bright palette of golds and blues to evoke Paris, contrasting it with the shadowy greys of fascist Rome. The film’s aesthetic is influenced by American gangster movies, as well as by the so-called Telefoni Bianchi (“white telephone”) films of the fascist period, with impeccable period design and decadent villas. The colours, the way the camera moves and the editing all highlight that this is a production which, like Marcello, is well aware of its own posturing.
“The Conformist” would become a major influence on the “New Cinema” movement of the 1970s and early 1980s and on later artists. Francis Ford Coppola recruited Storaro to shoot “The Godfather Part 2” and “Apocalypse Now”, while the Coen Brothers used Bertolucci’s film as a visual template for their debut feature, “Blood Simple”. An alienated and unreliable antihero was a crucial part of Martin Scorsese’s “Taxi Driver”. An episode of “The Sopranos”, called “Pine Barrens”, is an extended homage to “The Conformist”.
Bertolucci’s work is chillingly relevant in 2020, too, given the recent rise of nationalist extremism. Despite its ambiguities “The Conformist” is uncompromising in its condemnation of Marcello: it suggests that his narcissistic nihilism is worse than fascism, even as it facilitates it. In the end, there is little difference between playing at being a fascist and being one.
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nyxphalis · 4 years
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