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#la maternité
maracujapassion · 9 months
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Vous avais-je déjà dit que partir avec deux enfants de 7 et 2 ans c'était sport ? Non ? Je vous le dis donc.. (heureusement il y a aussi de bons côtés et des bons souvenirs).
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lolochaponnay · 5 months
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Une femme enceinte de sept mois, se rend à la maternité où elle doit accoucher, pour les dernières formalités. On lui demande : - Le papa de votre enfant sera-t-il présent lors de l'accouchement ? - Cela m'étonnerait. Mon mari ne peux pas le sentir !
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youreditingteamfr · 2 years
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Retouche Photo De Tête Rapide - YourEditingTeam
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worobujufib · 2 years
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range. Vous s.
Montage : pour Honda x-adv 750 2017–2018, mode d'emploi de 45 pages inclus, Distance de réception : e 00 M (espace ouvert). Power Consumption: 8 W,La plupart des huiles essentielles s'utilisent de cette façon. Inhalation humide : au préalable l'huile essentielle sera versée dans un grand volume d'eau
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fumiko-chiyoko · 2 years
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krasivaa · 5 months
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BREAKING NEWS:
Princess Claire of Luxembourg gave birth to a baby Prince on the 7th of January, 2024!
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👶🍼 Mir sinn immens frou d’Gebuert vun eisem Jong matzedeelen.
De Prënz ass den 7te Januar 2024 an der Maternité Grande-Duchesse Charlotte op d’Welt komm.
Den neigebuerene Prënz dréit den Numm Balthasar Felix Karl.
Hie weit 3.220 kg an ass 50 cm grouss.
De Puppelchen an d‘Prinzessin Claire si bei beschter Gesondheet.
Félix a Claire
mam Amalia a Liam
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👶🍼 Nous sommes heureux d'annoncer la naissance de notre fils, né le 7 janvier 2024 à la Maternité Grande-Duchesse Charlotte.
Le nouveau-né Prince s'appellera Balthasar Felix Karl.
Il pèse 3.220 kg et mesure 50 cm.
Le bébé et la princesse Claire sont en parfaite santé.
Félix et Claire
avec Amalia et Liam
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👶🍼 It is with great joy that we announce the birth of our son.
The prince was born on 7th January 2024 at the Maternité Grande-Duchesse Charlotte.
The newborn Prince will be named Balthasar Felix Karl. He weighs 3.220 kg and measures 50 cm.
Prince Balthasar and Princess Claire are in perfect health.
Félix and Claire
with Amalia and Liam
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👶🍼 Mit großer Freude geben wir die Geburt unseres Sohnes bekannt.
Der Prinz kam am 7ten Januar 2024 in der Maternité Grande-Duchesse Charlotte zur Welt.
Der neugeborene Prinz wird den Namen Balthasar Felix Karl tragen.
Er wiegt 3.220 kg und misst 50 cm.
Prinz Balthasar und Prinzessin Claire sind bei bester Gesundheit.
Félix und Claire
mit Amalia und Liam
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via courgrandducale official Instagram account
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icariebzh · 4 months
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 "Nous allons tous mourir. Ce n'est qu'une question de patience. Le processus, si l'on peut dire, est déjà engagé. Tout joue contre nous : les statistiques, le temps, et même les places financières. Nous voilà embarqués dans une vraie sale histoire. Alors autant vous la raconter dans ses moindres détails. Elle commence au début des années 1950 avec la germination de l'emblématique génération des baby-boomers. Usée par la friction des conflits, la mort était, à cette époque, tenue pour un sport démodé. Chacun pensait à revivre, replanter, repeupler les nations, passer de la civilisation des cimetières à celle des maternités. C'est ainsi que naquit l'avant-garde de l'après-guerre. Pour ces enfants du regain l'on espérait un mieux. Ils eurent le meilleur. Un futur de fourrure doublé d'un univers en expansion. Le progrès leur offrit un monde de Teppaz et de berlines automatiques pourvues de directions assistées. Cette génération-là, la plus nombreuse de toute l'histoire de l'humanité [...], d'abord joueuse, se révéla très vite avoir une âme de propriétaire et décréta que l'avenir, le monde et ses environs lui appartenaient. Aujourd'hui, la grande armée continue sa marche forcée vers la quête du bonheur éternel. Pourtant, chez les plus informés de la troupe, la cadence a changé. Et c'est du pas de l'explorateur craintif que certains avancent vers l'âge de l'intranquillité. Quinquagénaires recomposés, « viagratisés » et sur la vie assurés, ils sentent que le piège du temps est en train de se refermer sur eux, qu'ils vont bientôt tomber, d'abord par centaines, puis par milliers, par colonnes, par grappes. Bref, en masse. Avec l'extinction prochaine des baby-boomers nous allons entrer dans ce que les économistes spécialisés appellent déjà la « golden era of death ». Cet âge d'or de la mort, Wall Street, les milliardaires, les banquiers, les investisseurs de tous pays l'ont bien sûr anticipé. Aux États-Unis, et dans de nombreux pays occidentaux, les spéculateurs ont racheté les maisons funéraires, les cimetières et toutes les entreprises et services se rattachant à ce secteur d'activité. Une industrie qui, rien qu'aux États-Unis, brasse la somme de 17 milliards de dollars. Les retours sur investissement sont calculés, les statistiques bouclées, les paris ouverts, les dates plus ou moins balisées. La finance a misé contre nous tous. D'énormes paquets. Ce qui n'est jamais bon signe. De cet âge d'or, pour une fois, nous ne verrons pas le bout. Nous n'en serons même pas les figurants ni les acteurs. Seulement les victimes et les vecteurs."   Jean-Paul Dubois extrait de: "L'Amérique m'inquiète et autres récits" 
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phinae-simblr · 4 months
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J'ai fait une petite pause Sims pour réparer mon jeu qui avait quelques bugs bizarres. J'avais aussi un peu de lassitude car ces temps-ci jouer consiste surtout à voir des jeunes parents nourrir des bébés et apprendre à marcher à des bambins. C'est très routinier et je pensais prolonger la pause une bonne partie de cette nouvelle année. Mais après 2 mois sans jouer, mes sims m'ont manqués ! Alors c'est reparti... toujours avec les mêmes bambins et bébés, que j'ai envie de voir grandir.
Hier j'ai donc retrouvé les jumeaux Fiorino et Junia, qui occupent beaucoup leurs parents, Ingrid et David, au point qu'ils n'ont plus le temps de s'embrasser alors qu'ils en meurent d'envie. Ingrid ne travaille que 3 jours par semaine, elle n'a donc pas encore utilisé ses congés de maternité. Les jumeaux ont tout l'étage de la grande maison pour eux seuls, avec des jouets partout, dont ceux fabriqués par Kiki, leur mamie. Mais je leur fais surtout acquérir du charisme avec le lapin lapiquelquechose, parce que c'est ce qu'il y a de moins marrant à travailler par la suite. Ou alors il faudrait mettre un golf dans chaque maison.
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Quelques trucs bien. Juin 2023
Ces “Quelques trucs bien” s’inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, publié au Tripode. 
Pas 3 par jour pour ma part, mais une volonté régulière de gratitude et d’optimisme. 
Entendre un rossignol chanter à la nuit tombée 
Essayer une robe toute en soie pour le mariage civil de ma fille. Apprécier la douceur et arrêter mon choix  
Partir un week-end en bateau et en pseudo colonie de vacances avec les collègues. Fêter le départ en retraite du doc mais regretter déjà son absence future
Faire le premier bain de mer. Manger des fruits de mer 
Partir une journée en Italie, sur la Riviera dei fiori. Apprécier la Dolce vita 
Recevoir un paquet dans ma boîte aux lettres. Me réjouir comme d’un cadeau. Reconnaître une amitié en découvrant deux livres à lire 
Prendre conscience parfois que le boulot est vraiment difficile : urgence, violence et négligence 
Consoler une collègue de travail qui craque et éclate en sanglots. La prendre dans mes bras et ne rien dire puisque trop c’est trop 
Préparer mon sac pour le séjour aux îles ce week-end. Me sentir adolescente, prévoir bouteille d’alcool et cigarettes 
Acheter un nouveau maillot de bain. Une pièce. Penser que cela sied à mon âge. Me trouver quand même sexy 
Attendre la naissance du bébé, au jour le jour. Attendre, être patiente et avoir hâte ! 
Subir encore un orage de grêle à la mi-juin. Il n’y a plus de saison ! Apercevoir les premières lucioles. Sentir venir l’été 
Découvrir un délicieux salon de thé dans le village, qui fait aussi bouquiniste, pour accueillir les moments précieux comme une rencontre avec mon amie Béa 
Retrouver ma cousine et retourner 10 jours en adolescence. Retrouver les secrets et les confidences, sans regrets et avec confiance
Parler avec ma cousine de mon hyper-sensibilité enfin acceptée et du chemin parcouru jusqu’à maintenant 
Regarder avec ma cousine de vieilles photos de famille : mon père enfant, mes oncles et tantes, mes grands-parents paternels, mes arrière-grands parents aussi. Des générations, jeunes alors, aujourd’hui disparues et qui vivent encore en nous. Montrer et raconter les images en noir et blanc à mon fils
Recevoir l’annonce du départ à la maternité pour ma fille. Pleurer de joie et sentir les flots d’émotions déborder par les yeux sans discontinuer pendant les 23 heures du travail
Être rassurée d’entendre ma fille au téléphone, elle-même apaisée de la douleur par la péridurale. L’écouter parler d’amour intense et immense pour son conjoint et cette nouvelle famille qui arrive avec son bébé. Pleurer encore d’amour pour l’enfant qu’elle était et la maman qu’elle devient
Boire une bouteille de Prosecco avec ma soeur et ma cousine en attendant la naissance du bébé. M’endormir dans l’ivresse et la fatigue
Me réveiller toutes les 2 heures en guettant un message. Recevoir la première photo de ma fille et mon petit-fils peau à peau
Guetter encore des nouvelles de ma fille. Attendre vainement dans l’angoisse que la délivrance se soit bien passée. Pleurer encore au téléphone quand nous pouvons enfin nous parler 
Tenir enfin ce bébé nouveau-né dans mes bras. Pleurer et m’émerveiller devant la perfection de son anatomie et le naturel des réactions des jeunes parents 
Recevoir la visite de ma fille avec son conjoint et leur bébé nourrisson. Le présenter à la famille, et pleurer encore partageant l’émotion de ma mère, devenue arrière-grand-mère et de ma nièce, hyper-sensible elle aussi
Sentir la fin d’année scolaire se précipiter. Fêter les départs des collègues de travail. Trouver les mots pour rendre hommage 
Dire au revoir et à l’année prochaine pour l’Atelier d’écriture 
Penser à de nouveaux projets et de nouvelles médiations de travail 
Attendre avec impatience les vacances d’été 
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gay-impressionist · 1 year
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les lesbiennes/wlw francophones vous devez écouter le podcast Voyage au Gouinistan
genre vraiment. j'ai écouté la moitié et je suis déjà so hyped
c'est fait par christine gonzalez (vous la connaissez peut-être par ses chroniques sur france inter) et aurélie cuttat, deux journalistes suisses qui sont lesbiennes et en couple
ça parle d'être lesbienne : de toutes les facettes de cette identité et de la communauté, des choses douloureuses comme la found family, le sexe, la maternité ou encore les différences générationnelles. et c'est surtout des conversations entre elles et leur potes, des potes de potes, leur famille, des inconnu.es, etc donc vous avez differentes histoires et vécus
+ c'est inclusif + ça vous fait découvrir la situation en suisse et la scène lesbienne de la suisse romane ✌️
➡️ à retrouver sur la RTS ou via le podcast Programme B de Binge Audio
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Un livre.....une histoire 📚
Saisir une nouvelle chance... au risque de tout perdre ?
Seule dans le manège face à Furtivo, Tess prend son temps. Pas de longe, ni de stick. Juste son regard et ses mots pour amadouer ce pur-sang effarouché. Elle patiente, ça ne la gêne pas. De la patience, elle en a à revendre.
Cela fait quinze ans que Tess et Manuel essayent d'avoir un enfant. Unis par une même passion pour les chevaux, ils ont appris à dompter leurs sentiments aussi bien que leurs bêtes. Cependant au fond de Tess, le doute s'insinue : à quoi bon continuer ?
Alors quand se présente une opportunité professionnelle au Parc des Légendes, véritable institution en Vendée, elle commence à entrevoir une autre vie, dans le monde du spectacle équestre. Au risque de s'éloigner définitivement de Manuel, mais n'a-t-elle pas déjà trop attendu pour laisser passer cette chance ?
******
J'ai pris beaucoup de plaisir à retrouver la plume de Delphine Giraud. Dans ce roman, le thème de la maternité à une place tout aussi centrale que celui du monde équestre.
Avec beaucoup d'émotion et de sensibilité, l'auteur nous immerge dans la vie d'un parc équestre, au milieu des chevaux à dompter, à apaiser, à aimer.
Au coeur de la problématique de conception d'un enfant, la transmission prend une place importante. Ce qu'une mère transmet à son enfant, ce qu'un humain transmet à l'animal et ce que nous transmettons à notre propre corps via nos émotions.
Les émotions peuvent entraîner des répercussions importantes sur notre propre santé, c'est ce lien que l'auteure met en évidence dans son roman.
Un roman tout en douceur et en émotion qui nous fait nous interroger sur notre propre patrimoine génétique.
Bonne lecture ! 📚
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soitamespieds · 9 months
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La Dominante Gynarchique : La Guerrière au Cœur du Patriarcat
Dans les sables mouvants de l’histoire, où des forces contradictoires tirent l’humanité dans toutes les directions, une figure se détache du lot : la dominante gynarchique. Elle est l’incarnation d'un pouvoir féminin, une force pure dans un monde principalement régi par une autorité patriarcale. Mais qui est-elle? Elle est une guerrière, une dirigeante, une visionnaire qui ne voit pas le monde comme il est, mais comme il pourrait être.
Dans les sociétés patriarcales, les femmes ont longtemps été considérées comme des êtres inférieurs, bonnes uniquement pour les tâches ménagères, la maternité et le mariage. Mais la dominante gynarchique refuse ce rôle subalterne. Elle est bien plus que ce que la société attend d'elle. Elle est une guerrière, armée non pas de lames ou d'armures, mais de courage, de résilience et de perspicacité.
Elle comprend que la véritable guerre n’est pas toujours celle des épées et des flèches, mais celle des idées et des croyances. Dans un monde où la voix des femmes est souvent étouffée, elle élève la sienne, forte et sans peur, défiant ceux qui voudraient la réduire au silence. Elle sait que pour changer le monde, il faut commencer par changer les esprits.
La dominante gynarchique est une source d'inspiration pour toutes les femmes, et même pour les hommes. Elle rappelle que le pouvoir ne réside pas dans le sexe, mais dans la capacité à diriger, à inspirer et à apporter des changements positifs. Elle nous montre que même dans les situations les plus désespérées, il y a toujours une lueur d'espoir.
Dans un monde où les structures patriarcales semblent omniprésentes, la dominante gynarchique est un phare de lumière, montrant la voie à suivre. Elle est un rappel que le changement est possible, que les femmes ont le pouvoir de façonner l'avenir, et que chaque acte de défiance, petit ou grand, est un pas vers un monde plus égalitaire.
La dominante gynarchique est la preuve vivante que le féminin n'est pas faible, qu'il ne se contente pas de suivre, mais qu'il mène. Elle est le visage de la résistance, du courage et de la détermination. Et tant qu'elle sera là, la gynarchie continuera de défier et de bouleverser l'ordre établi, ouvrant la voie à un avenir où tous les individus, quels que soient leur sexe ou leur statut, sont traités avec respect et dignité.
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maaarine · 3 months
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Wallonie: une mère sur deux risque une dépression post-partum (Sandra Durieux, Le Soir, 22 fév 2024)
"« Pour moi, rien n’est agréable dans la maternité, tout n’est que souffrance, fatigue et inquiétude. »
Voilà 18 mois maintenant que Margot a donné naissance, à 30 ans, à son petit garçon.
Dix-huit mois qu’elle éprouve un profond mal-être que jamais elle n’aurait imaginé ressentir.
« Je n’avais aucun souci de santé mentale avant mon accouchement, confie-t-elle.
Au contraire, j’étais plus du genre à prendre les gens qui en souffraient de haut, en disant qu’il suffisait de le vouloir pour s’en sortir.
Maintenant je sais ce que c’est d’être dans un état tel d’angoisse, de dégoût et de culpabilité qu’on se pose la question de savoir s’il ne faudrait pas en finir.
Je ne franchirais pas le pas mais j’ai du mal à apercevoir la lumière au bout du tunnel. »
Un bébé arrivé très rapidement alors que jusque-là, elle ne souhaitait pas avoir d’enfant, un allaitement quelque peu forcé à l’hôpital, un petit bout hospitalisé à 6 semaines, un compagnon indépendant qui doit très vite reprendre le travail et un entourage qui juge son mal-être comme étant « normal »
(…)
Solidaris a également épinglé des profils particulièrement à risque : chez les néo-mères, la monoparentalité, la mauvaise santé du nouveau-né, le fait que celui-ci soit le fruit du premier accouchement, le fait d’avoir moins de 25 ans et le fait d’avoir accouché par césarienne sont des facteurs qui augmentent significativement le taux d’initiation d’une consommation d’antidépresseurs après la grossesse.
Elle montre également que les mères aidantes proches, ayant perdu leur emploi, victimes de violences, ayant fait l’expérience de difficultés avec le personnel soignant et bénéficiant de peu de soutien sont davantage à risque de dépression du post-partum.
Pour Solidaris, au regard de sa prévalence, la dépression post-partum est tant un enjeu de santé publique que de justice sociale et de genre.
« Et il existe, selon nous, plusieurs leviers d’action sur lesquels travailler pour endiguer ce phénomène, assure Basile Cornet, expert Etudes et plaidoyer chez Solidaris.
Ainsi, nous réclamons des mesures de soutien aux parents comme l’extension du congé de maternité à 21 semaines, une augmentation des places en crèches et leur mise à disposition sans conditions ou encore un alignement du congé de naissance (du co-parent) sur celui de la mère.
La jeunesse des mères est un facteur de risque. Il faut une généralisation des cours d’Evras et une pérennisation du droit à l’IVG.
Nous estimons aussi qu’il faut un screening systématique pour la dépression du post-partum pour la mère et le co-parent. »
Pour Margot, ce suivi par les professionnels devrait presque être forcé.
« Car à force d’entendre l’entourage nous dire que ce qu’on vit et subit après la naissance est normal, on finit par le croire et on se dit que nous aussi on va surmonter cette angoisse seule.
Or ce n’est pas le cas. On se sent de plus en plus incompris, incapable et coupable de ne pas être une bonne mère au fil des semaines.
On s’isole de plus en plus et on tombe dans un cercle vicieux très dangereux. J’aurai aimé que quelqu’un me force à en sortir. »"
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selidren · 9 months
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Champs-les-Sims - Eté 1908
10/10
Pour ma part, je mentirai en disant que l'expérience de ma maternité n'est pas épuisante. Avoir en même temps quatre enfants est compliqué, non seulement en matière de grossesse ou d'accouchement, mais aussi sur ma vie quotidienne. J'ai bien entendu la chance de ne pas être seule, avec Madame Eugénie qui me dispense ses connaissances tentaculaires sur l'éducation des enfants. C'est une femme pourvue d'une énergie tout bonnement spectaculaire, qui s'active partout, va partout (avec une canne mais tout de même), et ce à plus de quatre-vingt ans. Cet âge s'accompagne également d'avis quelques peu vieillots dont je dois m'accommoder, mais comme me l'a confié ma belle-soeur, Marie Barbois, toute aussi agaçantes que puissent être certaines de ses interventions, on ne peut tout simplement pas se passer d'elle. Et je n'ai pas vraiment le choix. Je dors beaucoup et des nourrices doivent s'occuper de Sélène et Marc-Antoine la plupart du temps. Fort heureusement, ils sont en passe d'être sevrés, je pourrai ainsi me concentrer sur d'autres pans d'éducation.
Constantin, comme il vous l'a dit, s'occupe de préparer sa prochaine campagne de fouilles, la première dont il sera en charge. Il est aux anges bien entendu. J'espère de tout coeur pouvoir de nouveau l'accompagner, car même pour une mère comblée telle que moi, l'appel du désert et des ruines est puissant. Pour cela, il faut que les enfants grandissent un peu. Mon mari est d'un naturel assez impatient, comme vous l'avez vu plus tôt, mais quand il s'agit de moi, il est d'une patience exemplaire. Adelphe m'a confié qu'il s'agissait là d'une grande preuve d'amour pour lui qui est fort peu démonstratif. Je commence cependant à peine à appréhender la profondeur de la relation qui unit Constantin à son cousin (mais on pourrait tout aussi bien l'appeler son frère), et sachez qu'il a été très difficile de les séparer quand la famille Barbois est partie s'installer dans une maison non loin de chez nous. Bien qu'il m'ait assuré que cela était pour le mieux, Constantin l'a très mal vécu, du peu que j'ai pu en voir. Non pas parce qu'ils ne se voyaient plus, par bien des aspects cela n'a guère changé, mais mon mari déteste de ne plus savoir Adelphe à la maison, comme il me l'a confié l'autre soir. C'est pour cette raison que je suis ravie que son travail lui change ainsi les idées.
J'espère pouvoir vous écrire à nouveau sous peu, pour faire ainsi plus ample connaissance avec vous. Sachez que mon mari vous tient en haute estime.
Avec l'assurance de mes salutations les plus sincères et respectueuses,
Albertine Le Bris
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Watch "Naissance à la maternité - L'accouchement de Coralie qui doit gérer toute seule sans le père" on YouTube
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eirianeira · 1 month
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Mon bébé,
Je n'aurai pas cru vivre si bien cette nouvelle grossesse.
J'ai hâte de te découvrir et de te faire découvrir aux personnes que je chéri.
Ta famille t'attends déjà avec tant d'impatience malgré notre situation un peu compliqué.
Et bien que nombreuses soient mes craintes et peurs, je suis plus qu'heureuse de te sentir en moi, grandir et être déjà si loin dans cette expérience.
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Tu es là,
Tout ce que j'espérais le plus dans ma vie.
La grossesse et l'accouchement ont été merveilleux malgré certains désagréments évidents,
Je ne pouvais pas espérer meilleur bébé que toi.
Je n'aurais jamais cru que nous, notre quotidien, la maternité soient si faciles et agréables,
Et quand je vois toutes mes craintes effacées en quelques minutes,
Je me dis être la plus chanceuse.
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Je vois déjà le temps passé,
Si rapidement malheureusement,
Je profite comme je peux de toi,
De nous,
De nos moments.
C'est magique d'être Maman..
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