Tumgik
#ni le vendeur.
homomenhommes · 2 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 140
Une fois la surprise (pour Daniel le vendeur) passée d'avoir vu Ammed (en shorty cuir et tong) nous ouvrir la porte, Marc nous envoya nous laver pendant qu'il se changeait. J'emmenais alors notre nouvel ami au sous sol. Nouvel ébahissement et blocage à la porte. Je le poussais jusqu'aux sanitaires où nous avons pris une douche cote à cote. Une fois secs, j'enfilais un jock et lui en tendais un autre. Il a fallu que j'insiste un peu car il voulait remettre ses vêtements. Je lui expliquais que nous étions un couple assez libéré comme il avait pu s'en apercevoir et que nos hommes de service avaient été choisis en fonction et donc qu'il ne choquerait personne. Il a fallu que je fouille dans le placard à jock pour lui en trouver un à sa taille. Poche moyenne (c'est toujours plus bandant quand elle est étirée par un sexe un peu à l'étroit) mais taille fine (34/36). J'ai fini par trouver dans les jocks achetés pour Jimmy. Couvert de la sorte il était d'un coup beaucoup plus timide, se demandant certainement, malgré mes explications, où il avait bien pu tomber. Voyant son désarroi, je lui assurais qu'il ne ferait que ce qu'il désirerait et rien d'autre et en plaisantant, j'ajoutais que nous n'avions jamais violé que des mecs consentants.
Nous sommes remontés au salon. Marc nous attendais en shorty Aussiebum dans un canapé un apéro à la main. De l'autre coté de la baie vitrée, la piscine éclairée a attiré le regard de Daniel. Je lui proposais un bains avant le diner. Il a hésité puis m'a dit non. Marc a alors appelé Samir pour qu'il nous serve. Comme moi, Daniel a pris un whisky, servi bien tassé. Discussion sur tout et rien. Nous en avons appris un peu plus sur notre invité. Notamment que son patron le baisait régulièrement depuis sa première année d'apprentissage de mécano chez lui. Puis formation en vente, il est devenu son meilleur vendeur. Mais depuis un an, il se faisait à son tour le dernier apprenti mécano que son boss avait embauché, un jeune mec mignon come tout (d'après ses dires). Issu d'une famille d'ouvrier (certaines tournures de phrase nous le rappelaient), il n'avait plus que sa mère. Marc lui dit comprendre son boss car il (Daniel) est très " sexe " et quelque soit le client, homo ou hétéro, son magnétisme attire et fait merveille dans la vente.
Samir vient nous prévenir que nous sommes servis. A table il perd un peu de sa timidité et commence à nous questionner à son tour. Marc décrit en quelques mots son taf et moi je lui dis que je suis Escort (c'est toujours mieux que pute quand même !). Ça l'intrigue, il me demande en quoi cela consiste. Je lui dis qu'il suffit d'être jeune, bien foutu et pas trop moche ni trop con puis de sortir au bras de meufs ou de mecs et presque toujours de finir dans leur lit, tout ça de façon bien rémunérée. Il rigole et me dit que c'est pas vrai. Je l'assure du contraire, confirmé par Marc. J'ajoute qu'avec son physique et ses goûts, il pourrait le faire sans problème. Il me dit que lui sa passion c'est la moto, mécanique, pilotage... que c'est surement incompatible et puis qu'il faut connaître les gens. Je le sens quand même intéressé. Je me promets de lui en reparler le lendemain matin.
Le diner se termine et je propose à Daniel de rester dormir ici car l'apéro plus le vin à table, il dépasse allègrement les 0,5g. Du coup, au salon nous prenons café et alcool. Marc m'appelle à ses cotés. Il me prend la tête et la plaque sur son paquet. Je dégage son sexe, passant le bord du shorty juste sous les couilles et commence une pipe comme je sais qu'il aime. D'abord le gland, un bon moment, puis cm par cm je l'enfonce dans ma bouche puis ma gorge. A quatre pattes entre ses jambes, j'en suis encore à titiller ses terminaisons nerveuses que je sens la grande langue de Daniel me lécher le trou. Je bande et distend la poche de mon Bike. La main de Daniel vient vérifier mon état et accompagne le bouffage de mon oignon par une branlette. Sous l'excitation, j'avale rapidement mon homme jusqu'aux couilles. Il me maintient la tête enfoncée dessus jusqu'à ce que je manque d'air. Ça me fait monter encore plus vite en pression. Marc demande alors à Daniel de m'enculer et lui dit où il peut trouver kpote et gel à portée. La bouche toujours prise, je sens le froid du gel sur mon trou précéder la douce chaleur de sa bite. Je me détends pour qu'il entre facilement. Ses mains sur mes hanches il commence à me limer le trou. En un an d'actif, il a bien pris le coup pour sodomiser avec efficacité. Je sens bien sa queue, toute sa longueur comme son diamètre intéressant. Marc se retire et nous demande d'aller sur la table basse. Je m'y place sur le dos et à genoux, Daniel se replace dans mon anus. Marc alors se positionne au dessus de moi et après m'avoir mis ses couilles dans ma bouche demande à Daniel de le sucer. Il s'exécute sans cesser de me défoncer le cul. Marc apprécie la langue hors du commun de Daniel et de son efficacité sur son gland. Plusieurs fois Marc monte aux portes de l'éjaculation mais se retient. Marc se dégage et se kpote pour enculer Daniel. Il le couche sur moi et tête contre tête nous nous roulons un patin ou sa langue vient me chatouiller la glotte. Je sens les coups de reins de Marc en Daniel de mon cul à ma bouche. C'est trop bon !
Après un bon moment de ce régime, je jute entre nos abdos, serrant spasmodiquement la queue de Daniel. Ça le fait jouir à son tour et il entraine Marc avec lui. Alors que nous désaccouplons Daniel nous dit qu'il avait jamais pris son pied comme ça. Nous le croyons sans problème.
Nous discutons encore quelques instants puis nous allons nous coucher. Daniel dans une des chambres d'amis.
Le lendemain matin, nous étions tous debout de bonne heure (enfin 8h). Marc s'est pressé et nous nous sommes retrouvés Daniel et moi seul devant nos bols de café. Avant la fin du petit déj, Daniel avait repris de lui même le sujet de mon travail avoué. Il voulait savoir si j'étais sérieux quand la veille je lui avais dit que son physique lui permettrait d'être Escort. Question culture générale, ce serait probablement un peu juste mais j'en ai rencontré des plus moches et plus con !
Je confirmais mes propos de la veille et il me demanda si ça payait bien. Car même meilleur vendeur de la concession ce n'était quand même pas le Pérou.
Je lui demandais jusqu'où il était capable d'aller avec un mec d'un certain âge. Il me dit ne rien en savoir puisqu'il n'y avait jamais pensé. Je réfléchissais à savoir comment aborder ce point. Ne voyant que dans mes clients fortement teubés, je lui demandais s'il s'était déjà fait enculé par du gros calibre. Il me dit que son boss était équipé d'un 22 x 7 et me demanda si ça en faisait partie (des grosses bites). Comme je trouve que le diamètre est plus important que la longueur, je lui dis oui et je lui proposais de rencontrer André mon banquier et le père de Ric. il est assez âgé et exigeant. De plus j'ai confiance en son jugement. Lui saura me dire si Daniel est capable ou pas.
J'expliquais mon plan à Daniel, tout en lui précisant que même cet essai lui rapporterait de l'argent. Quand je lui ai dit le montant, il en est resté sur le cul, pas loin d'1/4 de son salaire mensuel en une seule rencontre. Il me demanda alors combien je me faisais par mois. Après quelques hésitation je lui donnais un chiffre un peu en deçà de la réalité. il me dit alors mieux comprendre. Il me demanda s'il pourrait faire une prestation par semaine, ça doublerait son salaire. Je lui dis que cela dépendrait de ses clients. Avant qu'il ne parte au travail, j'appelais André pas pour savoir s'il était preneur, ça j'en étais sûr, mais pour quand. Après 5mn à parler à l'un et l'autre, je leur ai trouvé un soir commun rapproché.
Avant qu'il ne parte, je lui ai glissé l'adresse et le n° de tel d'André.
J'ai appelé ce dernier dans la soirée du rendez vous, impatient d'en savoir plus (mon coté voyeur probablement). Daniel lui avait donné entière satisfaction et même s'il était un peu léger comme Escort, son coté sexe brut emporterait l'adhésion. Cela nécessitait quand même quelques conseils qu'il me savait capable de lui donner. Par contre il me dit qu'il ferait une bonne pute.
J'ai demandé comment il s'en était sorti coté sexe justement. André m'a raconté qu'il avait trouvé devant sa porte un ptit gars tout en cuir, casque sur la hanche, un peu stressé. Il l'avait fait entré et lui avait demandé de se déshabiller. Après quelques contorsions dues à la combi une pièce, il l'avait fait tourner devant lui en t-shirt et shorty, puis shorty seul et enfin à poil. Il avait été surpris par l'étroitesse de son bassin et comme moi s'était trompé sur la taille de sa bite qui du coup paraissait beaucoup plus grande. Il avait aimé son petit cul rond et le reste de son corps. André avait remarqué que sa timidité s'était envolé avec ses vêtements et qu'il ne faisait aucun problème à se montrer sous toutes ses coutures. Avant de passer au sexe, il l'a un peu fait parler et il m'a confirmé que si son coté classe ouvrière avait un certain charme, son phrasé était quand même un peu trop " basse extraction " et que sorti du domaine mécanique, il n'y avait pas grand chose. ; A moins qu'il ne trouve un client que le voudra quasi muet, il serait meilleur en sexe uniquement. Je le pressais de tout me raconter, je connais André, il a du bien en profiter. Ce qu'il m'a dit, m'a conforté dans mon opinion. Après une pipe des plus correcte pour une première devant une bite pareille, avec beaucoup de gel et de poppers (que Daniel découvrait pour la première fois), il lui a mis ses 27cm tout entier dans le cul. Effectivement pour le diamètre et sur 22/23cm ça a été assez facile mais il avait du le travailler pour les 4 derniers cm. Comme un bon petit soldat, Daniel avait serré les dents et encaissé comme un pro. Ils étaient encore emboités quand Ric est rentré. Même si Daniel avait voulu se dégager, l'emprise du 27x7 dans son anus l'en aurait empêché. Ric s'est mis aussitôt à poil et les a rejoint. Daniel du coup a profité de ce dernier. Pipe jusqu'à l'os, puis enculage en règle à la demande d'André qui en a profité pour tester son coté actif. Là, il a passé le combiné à son fils pour qu'il m'en parle en direct. Ric m'a dit avoir bien apprécié Daniel, queue correcte, coups de reins bien menés, il avait bien aimé. Pendant qu'il se faisait enculer par lui, il lui a montré comment avaler un montre comme son père. Sans réussir complètement il a amélioré sa pipe. Puis André est revenu dans son cul pour s'y vider (dans la kpote). André m'a dit avoir bien aimé le rapide resserrage de sphincter. Cela ne l'a pas empêché de rouvrir le passage à coups de rein. Daniel lui a juté sur les abdos de Ric puis s'est effondré dessus pour lui rouler un patin. Surpris Ric s'est laissé faire et comme moi a été surpris par sa langue.
Je téléphonais après à Daniel pour avoir son avis. Après un même récit à quelques détail près, la fébrilité remplaçant le stress et le court instant de panique à la vue du sexe d'André au lieu du moment d'admiration, il me dit avoir super aimé ce plan. Surtout quand le fils est arrivé et qu'il a pu être actif aussi. Je lui demandais si la vue et la présence d'un " vieux " l'avait fait débander. Il m'a répondu que non il avait été raide depuis qu'il avait posé son cul sur sa moto en partant de chez lui jusqu'à ce qu'il se vide les couilles. Il a juste ajouté s'être fait engueulé par André car il n'avait pas réclamé son salaire avant de " jouer " avec son client.
Pour me remercier, il m'a dit qu'il surveillerait lui même les préparations qu'Eric demandera sur son GSXR. Avant de raccrocher, il m'a avoué n'avoir pas été à l'aise du tout avec les questions de " culture générale ". De mon coté je lui dis que c'était son point faible et que ça pourrait peu être le pénaliser coté Escort mais pas coté cul. Il m'a avoué être plus à l'aise dans cette partie de la relation. Je lui dis alors qu'il y avait des clients pour cela uniquement.
JARDINIER
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would you stop
+
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alexar60 · 10 months
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Puzzle
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La brocante occupait tout le quartier. Il y avait tellement de monde que Maël n’arrivait pas à avancer. Lui qui détestait les brocantes, il devait la traverser pour rentrer chez lui. Il marchait lentement, trop lentement, au pas des visiteurs en quête d’un achat débile. Par moment, il regardait le ciel en se demandant quel crime avait-il commis pour mériter cela. Le temps semblait long alors que d’habitude, la distance était courte, très courte.
Soudain, Il s’arrêta subitement. Ses yeux fixèrent une image sur une boite. Elle attirait Maël comme un pot de miel sur une mouche. Il approcha du stand tenu par un homme âgé d’une soixantaine d’années. Malgré le temps automnal, il portait un débardeur blanc. Le jeune homme s’attarda sur la boite. L’image représentait une partie d’un tableau du peintre Jérôme Bosch. Plus précisément l’Enfer.
Il est complet. Il est à vous pour cinq euros.
Maël ne regarda pas le vendeur. Il demeurait obnubilé par l’image des corps subissant mille tortures au milieu d’instruments de musique. Il sortit son portefeuille et sans chercher à négocier, donna la somme convenue. Puis il partit, le puzzle sous le bras,  en marchant au rythme de la foule toujours lente. Derrière lui, l’homme en marcel marmonna quelques mots : « Content de m’en être débarrassé ».
Lorsqu’il entra dans son appartement, il posa la boite sur la table basse, avant d’aller sur son ordinateur pour lire et répondre à quelques mails professionnels. Ce n’est qu’après le diner qu’il se souvint du puzzle. Le jeune homme regarda la boite en se demandant pourquoi avoir acheté cette chose, surtout qu’il n’aimait pas les puzzles. C’est trop chiant, trop pénible. Cela demande énormément de patience et même s’il ne contenait que 600 pièces, il ne le ferait jamais. Cependant, le dessin de Bosch l’intriguait. Il le regarda une nouvelle fois, observa quelques détails morbides, une flute dans un rectum, un démon dévorant un homme... Il se sentit hypnotisé par le puzzle quand une sonnerie retentit. Dès lors, il oublia la boite sur la table basse et rejoignit quelques amis l’attendant dans la rue.
A son retour, quelle ne fut pas sa surprise de découvrir la boite ouverte. En effet, le couvercle était posé à côté de la boite, ainsi que deux morceaux comme si quelqu’un avait commencé le puzzle. Maël fouilla son logement à la recherche d’individus, mais il ne trouva personne ni ne découvrit d’infraction. Dès lors, il s’assit dans son canapé et observa le jeu. Il prit le couvercle, regarda le tableau avant de le reposer. Par curiosité, il attrapa deux pièces, et chercha à quel endroit de l’image elles correspondaient.
Il ne remarqua pas la nuit se finir ni le jour se lever. Maël continua de compléter le puzzle, morceau par morceau. Il se débattait, perdait une demi-heure rien que pour trouver où placer telle tête. Ici, c’est du noir, là de l’ocre. Ses yeux ne se fermaient pas, continuant, oubliant la fatigue. Enfin, la sonnerie d’un réveil sortit Maël de sa concentration. Il devait aller travailler. Il se leva, prit une douche, un café puis il quitta l’appartement.
De retour après 18H, Il retrouva ses habitudes jusqu’à ce qu’il réalise que le puzzle était toujours sur la table basse. Toutefois, Il eut l’impression qu’il manquait la moitié des pièces déjà placées. Il s’assit, observa la boite et sans attendre, comme envouté, il repartit dans la construction du jeu.
Il manipulait les pièces, cherchait à les emboiter correctement. Il demeurait concentré si bien qu’il ne répondit pas à un SMS ; il ne chercha même pas à s’intéresser à l’expéditeur. Maël ne se rendit pas compte du temps non plus. Il retrouva ses esprits en entendant le réveil sonner. Encore une fois, il repartait travailler sans avoir dormi.
Plus les journées passaient, plus le puzzle lui prenait la tête. Après une semaine, il réalisa que ce jeu de société n’était pas normal. En fait, il découvrait des pièces manquantes, rangées dans la boite au lieu d’être sur le plateau. Il ne comprenait plus jusqu’au ras-le-bol. A ce moment, d’un geste de colère, il remit les morceaux dans la boite. Cette nuit, Maël put enfin dormir.
Le soleil venait de se lever lorsqu’un bruit fort réveilla le jeune homme. Sur le coup, il pensa à un meuble tombé. Il se précipita dans le salon. Maël fut stupéfait de trouver la boite du puzzle, normalement rangée au-dessus d’une armoire, sur la table basse. Son couvercle était ouvert, de même, deux pièces posées invitaient Maël à continuer de finir le tableau.
Il resta un instant à observer l’enfer dessiné sur le couvercle. Tout à coup, il recommença le puzzle. La détermination envahit son regard, il avait envie de le terminer. Il installa les pièces les unes après les autres. Il ne pensait que pour ce puzzle. Le téléphone sonna, il ne répondit pas. Le dimanche passa sans qu’il ne puisse en profiter. Il demeura concentré à vouloir installer tel ou tel morceau correspondant. Le tableau commençait à prendre forme. Toutefois, lorsqu’il partit réchauffer une boite de conserve, il fut déçu de trouver des pièces manquantes au puzzle. Quelqu’un ou quelque-chose s’amusait à défaire son œuvre.
Maël ne comptait plus les journées. Le puzzle le rendait fou. Il voyait les briques bouger, les couleurs s’envoler. Il sentit une brulure lorsqu’il toucha le dessin d’une flamme. Il entendit des voix, des lamentations, des hurlements et des crépitements entrecoupés de rires. D’ordinaire sympathique et détaché, Maël ne dormait plus, il ne mangeait plus. Il essaya de ne plus cligner des paupières quand il vit une pièce disparaitre subitement après deux secondes d’inattention.
Puis il entendit de la musique, flutes et harpes accompagnait de la viole et un tambour. Ce dernier frappait en cadence au rythme de son cœur. Il se sentait épuisé, seulement c’était devenu plus fort que lui : il devait finir ce puzzle !
Un message de son patron ainsi que de quelques amis signalaient leur inquiétude à son égard. Mais rien n’y fait, il ne les écouta pas. Il persistait à vouloir finir le puzzle qui parut sans fin. « Seulement 600 pièces ? Non, il en fait bien plus ! » Réalisa-t-il. Puis il se concentrait encore et encore sur le jeu de société. Il essaya d’imbriquer deux morceaux en vain, il trouva enfin le corps d’un damné. Il avait faim, il avait soif, pourtant il continuait comme un désœuvré.
Le tambour battait toujours au rythme de son cœur. Il ne resta plus que dix morceaux à installer. Maël trouva leur emplacement facilement les uns après les autres. La musique s’essouffla lentement, les cris ne résonnèrent plus. Le tambour frappait avec une cadence plus lente. Plus que trois…Enfin l’avant-dernier. Puis, il ferma les yeux…le tambour s’était tu.
En entrant dans l’appartement, après avoir fracassé la porte à coup de hache, les pompiers se doutèrent de ce qu’ils allaient trouver. A cause de l’odeur qui empestait les escaliers de l’immeuble. Le corps putréfié de Maël restait étendu sur le canapé. Une volée de mouches sortit lorsqu’un des pompiers ouvrit la fenêtre. Les autres ne purent qu’attendre la police pour faire constater la mort du locataire des lieux.
Stéphane avait vingt ans d’expérience. Il était habitué à ce genre de situation. Son regard croisa le puzzle sur la table. Il remarqua la pièce encore installée dans la boite. Dès lors, il l’a pris et la plaça terminant ainsi le tableau.
Le pauvre, dit ironiquement un de ses collègues. Il n’a pas pu finir son puzzle.
Le pompier se pencha pour mieux regarder le jeu. Il pointa l’index vers un petit personnage à la droite d’une harpe.
C’est marrant, il a le même visage grimaçant que notre client.
Ils sortirent pour respirer autre chose que la mort. Pendant ce temps, un souffle comme un long râle sortit du tableau. Le puzzle réclamait une nouvelle victime.
Alex@r60 – août 2023
Peinture : Détail de L’Enfer (volet de droite du triptyque du Jardin des Délices) par Jérôme Bosch
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clhook · 11 months
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Ce week-end j'étais en quête d'un canapé avec mon keum on a fait un million de magasins sans rien trouver mais le dernier c'était une dinguerie, déjà on entre le gérant nous saute dessus. Je déteste ça mais bon c un vendeur il fait son job bref il nous demande ce qu'on recherche donc on lui dit gniagnia un canapé d'angle convertible mais pas trop long parce qu'on n'a pas la place, il demande si on des animaux donc je dis oui un petit chat et là il dit "ah pour les chats c'est à l'étage... j'ai des fusils" euh quoi ???????????????????????????? avec mon keum on s'est regardés puis on l'a regardé en mode "bah si tu veux qu'on te donne de la tune peut-être ne menace pas de tuer notre chat ? c juste une suggestion" et ensuite il nous a montré TOUS les canapés de son magasin, il comprenait aucun indice qu'on lui lançait pour qu'il nous laisse trkl on lui disait "ah on va prendre des photos" "on va réfléchir" "on va revoir celui de tout à l'heure" mais le mec ne captait RIEN il commençait à partir puis il revenait vers nous et il voulait tout nous vendre genre il disait "celui-là si vous le prenez je vous donne 3 cousins avec" "ah celui-là je peux vous faire une réduc" "celui-ci on peut ajouter des appuie-têtes" "ah et au fait j'ai des beaux sacs là à 15€ au lieu de 109€" mais tg on veut pas un sac ni des coussins on veut un canapé mon gars !!!!!!!!!!!!! et le clou du spectacle quand il nous a dit "ça fait 40 ans que je suis dans la vente moi" eh bah mon bon monsieur un jour il faudra apprendre à être sympa avec vos clients ptdr
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histoire-glitchienne · 9 months
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Bienvenue chez Les Warren… Un couple diablement controversé
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 Bienvenue chez les Warren « chasseurs de fantômes ». Ed se présente comme étant démonologue autodidacte, safemme quant à elle, se dit médium et claire-voyante, capable de communiquer avec les esprits. Le couple n’a jamaisdemandé d’honoraires pour leur travail. Néanmoins, leurs publications, leurs conférences ainsi que les consultations surdes films relatant leurs expériences paranormales leur a apporté un franc succès financier[1].
 Il existe un certain nombre d’articles et d’ouvrages retraçant le parcours professionnel des Warren ; la plupartd’entre eux sont élogieux et ne remettent pas en question la sincérité et l’honnêteté du couple ceci en ce qui concernecertains faits qu’ils relatent et qui seront repris au cinéma, notamment dans Amityville et The Conjuring. Notons quel’activité du couple Warren, à ma connaissance, n’a jamais été le sujet d’étude sérieuse mis à part, peut-être, l’article surlequel je me suis basée pour écrire cette chronique. En effet, les faits qui y sont relatés semblent beaucoup plus objectifsque le reste de la bibliographie qui leur est consacrée. L’un des principaux « problèmes » à souligner est le fait que laplupart des ouvrages ont été écrits par des proches des Warren, Gérald Brittle, par exemple. De ce fait, les propos sontsouvent élogieux et ne remettent rien en question, ni la vie « pieuse » des Warren ni la véracité des expériencesparanormales du couple.
Il en est de même pour les ouvrages publiés de manière plus tardive, comme c’est le cas pour Les dossiers Warren 1 et 2écrits par Marie Alsina, « blogueuse réputée » dans le monde francophone. Je pense qu’un bouledogue français, enadmettant qu’il puisse écrire, aurait une syntaxe et un style bien plus léger et agréable. En outre, à l’instar des «biographes » précédents, elle dépeint Ed et Lorraine Warren comme étant un couple « pieux », volant au secours des genspar pure bonté d’âme. À aucun moment, elle ne sous-entend que les faits rapportés par les Warren aient pu être exagérésvoire manipulés.
Néanmoins, les journalistes Kim Masters et Ashley Cullins travaillant pour The Hollywood Reporter[2] ont écrit un articleintitulé :  War Over « The Conjuring » : The Disturbing Claims Behind A Billion-dollar Franchise. Il s’agit sans doute del’un des articles les plus pertinents qui aient été écrits à ce sujet. De ce fait, à défaut de pouvoir effectuer une rechercheacadémique, par manque de sources et de ressources fiables, je proposerai ici, de retranscrire l’article dans les grandeslignes. Je me baserai également sur d’autres articles critiques majoritairement américains et anglais…
Les films “basés sur des faits réels… »
 Les spécialistes en marketing ont souvent trouvé pertinent et vendeur d’indiquer que le film d’horreur que l’ons’apprête à visionner est, soi-disant, « basé sur des faits réels ». Toutefois, il n’existe ni loi ni règle explicite réglementantl’usage de ce terme. De ce fait, les cinéastes sont absolument libres d’exagérer les faits prétendument « vrais » sansrisquer quoique ce soit. Il y a eu, dans le passé, des contestations en ce qui concerne certains faits dits «réels » rapportésdans les films tels que The Hurricane de Norman Jewison et Zero Dark Thirty de Kathryn Bigelow mais les tribunaux ontfait preuve d’indulgence. Remarquons tout de même que ces deux derniers films relatent davantage de « faits réels » queThe Conjuring. En considérant tous les faits surnaturels contenus dans les scénarios de cette série de films, il était évident,pour les réalisateurs et la production, que les spectateurs n’interprèteraient pas l’histoire au premier degré. Quoiqu’il ensoit, tant les crédules que les sceptiques se sont rués sur The Conjuring permettant à Warner d’engendrer un bénéfice d’1.2milliard de dollars. Ces profits ont été à la source d’une longue série de conflits et de controverses à propos des histoiresdu couple Warren.
Le couple Warren au cinéma versus dans la réalité…
 Le premier film The Conjuring, tourné au début des années 70, relate l’histoire d’une famille vivant dans uneferme du Rhode Island. Cette bâtisse serait hantée par l’esprit d’une sorcière. Ed et Lorraine, interprétés respectivementpar Patrick Wilson et Vera Farmiga, interviennent alors afin de libérer l’endroit de l’esprit maléfique. Le scénario n’est pasdénué de romantisme puisqu’à un moment donné Lorraine s’adresse à Ed en lui demandant : « Vous souvenez-vous de ceque m’avez dit lors de la nuit de noce ?» et à Ed de lui répondre : «  Vous avez dit que Dieu nous a réunis pour une raison.» Toutefois, comme nous l’avons souligné auparavant, leur couple n’était ni pieux ni idyllique puisqu’Ed entretenait une «relation » avec une fille de 15 ans et, d’après ce que l’on sait, Lorraine ne s’y est jamais opposée.
Penney…
 Ed Warren était âgé d’une trentaine d’années lorsqu’il rencontre, pour la première fois, son amante de 15 ans sacadette… Au début des années 60, le couple Warren ne gagnait pas encore des milles et des cents. De ce fait, Ed s’étaitfait embaucher en tant que chauffeur de bus à Monroe (Conneticut) alors que Penney était une lycéenne de la villevoisine. Les deux ont alors entamé une « relation amoureuse ». En 1963, elle emménageait chez le couple… En novembre2014, Penney aurait fait une déclaration évoquant ses souvenirs ; au début, elle dormait dans une chambre située en facede celle du couple. Quelques temps plus tard, un appartement fut construit pour elle, au-dessus de la maison des Warren.Elle partage ses souvenirs en racontant : « Une nuit, il dormait en bas (…) Une nuit, il dormait en haut[3]. »
 Or, même en 1963, une adolescente n’emménageait pas chez un couple sans se faire remarquer. Par ailleurs, levoisinage a dénoncé cette situation graveleuse et indécente. Et surprise…Penney (pas Ed !)[4] a été arrêtée par la policelocale. Selon sa déclaration de 2014, elle a passé une nuit dans la prison de North End à Bridgeport alors que les policierstentaient de la persuader de signer le procès-verbal rapportant l’affaire. Etant donné qu’elle refusait de coopérer, elle a dû,sur ordre du tribunal, se présenter à un bureau pour jeunes délinquants. (Alors qu’Ed n’est pas du tout inquiété…)[5]Penney aurait dit à plusieurs reprises qu’Ed était l’amour de sa vie. De son côté, le couple Warren la présentait tantôtcomme une nièce tantôt comme une pauvre fille recueillie par charité…
 En mai 1978, alors que Penney âgée d’une trentaine d’années tombe enceinte d’Ed. En 2014, elle confessera queLorraine l’a persuadée (forcée ?)[6] d’avorter puisque la naissance d’un bébé pourrait créer rumeurs et scandale au sein del’opinion publique et ainsi ruiner la carrière des Warren. Lorraine, en tant que « fervente catholique » aurait dit à Penney :« le vrai dieu, c’est l’argent [7]». Dans un enregistrement obtenu par The Hollywood Reporter, Penney raconte non sansémotion : « Ils voulaient que je dise à tout le monde que quelqu’un était entré dans mon appartement et m’avait violée, etque je n’avais aucunement l’intention de tomber enceinte. J’avais tellement peur. Je ne savais pas quoi faire, mais j’aiavorté. Le soir, lorsqu’ils sont venus me chercher à l’hôpital, ils sont sortis, m’ont fait la leçon et m’ont laisséetranquille[8]. » Elle a également affirmé qu’Ed pouvait être violent envers Lorraine. Un jour, il l’a frappée si fort qu’elleen a perdu connaissance. D’autres fois, il la giflait pour la faire taire : « Certains soir, je pensais qu’ils allaients’entretuer[9]. »
Néanmoins, Lorraine Warren semble vouloir empêcher que certains aspects sordides et embarrassants de sa vie de couplesoient exposés sur grand écran. Son contrat avec New Line (consultant) comprend des clauses inhabituelles. En effet, lesfilms The Conjuring ne devaient montrer qu’une image positive du couple. Toutes allusions concernant une relationextraconjugale ou une sexualité déviante devaient être exclues du scénario. L’avocate Jill Smith affirme qu’elle n’avaitjamais établi de telles clauses auparavant bien que certaines personnes cédant leurs droits d’auteur restreignent la libertéde représentation. Elle aurait effectué des transactions afin de restreindre de manière drastique certains aspects del’histoire apparaissant comme étant odieux puisqu’ils ne sont aucunement pertinents à la compréhension de l’histoire.Selon elle, le public n’est pas censé être au courant de tels agissements.
En 2013, peu après le lancement du dernier film, le producteur Tony de Rosa-Grund, a envoyé un courriel à la direction deWarners et de New line afin de les informer que l’histoire des Warren avait été fortement enjolivée. Il a déclaré dans soncourriel qu’une femme proche des Warren avait été : « mortifiée quant au portrait inexact de la relation entre Ed etLorraine Warren[10]. »
Nous ne savons pas comment la production a réagi à ces allégations mais ce que l’on sait de manière certaine se trouvedans le fait que l’on a continué à dépeindre les Warren comme étant un couple heureux, pieux et conventionnel. Warners’est refusé à tout commentaire. Ed Warren est décédé en 2006, et l’avocat de Lorraine Warren, Gary Barkin, affirmequ’elle n’a jamais été au courant de rien et que par. Le fait de son âge avancé, 90 ans, elle se trouve dans l’incapacité derépondre à ces allégations. Notons que les avocats des Warren ont souligné qu’il s’agissait d’une vendetta liée à unebataille juridique : Derosa-Grund a affirmé qu’il a été injustement exclu des suites et des retombées que le film a suscité,et plus particulièrement de profits financiers.
De Rosa-Grund écrit : « Ed était un pédophile, un prédateur sexuel et un mari violent[11]. » Lorraine Warren a, en touteconnaissance de cause, couvert ses agissements pendant 40 ans. Selon lui, ils n’ont fait que de mentir au public. Contretoute attente, le scénario de The Conjuring 2, sorti en 2016, ne fait qu’amplifier l’image pieuse et idyllique du coupleWarren. Les experts juridiques affirment que Warners et New Line n’ont pas grand-chose à se reprocher en permettant unereprésentation autant romancée du couple. D’après eux, à la fin de chaque film, Warners inclut un avertissement : « Lesdialogues, ainsi que certains personnages et évènements contenus dans le film relèvent de la fiction[12]».
L’avocat Lincoln Bandlow, spécialisé dans le domaine de la production cinématographique, déclare : « Le film est moinsagréable si les chasseurs de fantômes sont une bande de connards que personne n’aime. Il faut que vos protagonistessoient sympathiques[13]. » Il poursuit en précisant que ces films ne racontent que des histoires de spectres et, de ce fait,ils ne sont pas strictement historiques. La procureure Lisa Callif, conseillère des producteurs indépendants, convient quele problème est davantage une question de relations publiques que de droit. Les cinéastes pourraient facilementargumenter que la version hollywoodienne ne reflète pas la réalité et se justifier en déclarant vouloir s’en tenir à la version« heureuse. »
Quant à Penney, aujourd’hui âgée de 70 ans, il semble qu’elle n’ait jamais reçu un seul centime de la recette des films,bien qu’elle y ait participé à plusieurs reprises. Elle ressent une grande rancœur envers Lorraine mais garde de bonssentiments à l’égard d’Ed. Par ailleurs, ils sont restés en bons termes jusqu’à sa mort, en 2006. Néanmoins, de manièreparadoxale, elle semble davantage en vouloir à Lorraine de ne pas l’avoir aidée à sortir de cette situation aliénante : «Etant plus âgée, je ne comprends pas pourquoi Lorraine m’a laissée vivre avec eux dans cette maison[14]. » D’autres fois,je m’interroge : « Pourquoi ai-je fait cela ? Pourquoi ai-je bousillé ma vie ainsi ? Parfois, je mets en colère en pensant àquel point l’on m’a privée de beaucoup de choses[15]. »
Derrière les phénomènes paranormaux…
 En 1990, Ed a prétendu avoir capturé la « dame blanche » sur une bande magnétique. Ce fantôme hanterait lecimetière Union à Easton, dans le Conneticut. En réalité, il s’agissait de Penney qui s’était fabriqué une robe avec desfeuilles blanches… Son but était évidemment d’aider Ed à maintenir sa réputation de « chasseur de fantôme ». Bien quel’article ne s’attarde pas sur cet aspect, il paraît évident que le couple Warren ait amplifié voire inventé les phénomènesparanormaux bien avant que les réalisateurs de films d’horreur n’entrent en scène.
En réalité, il n’existe que peu de sources soulignant l’exagération des « évènements paranormaux. » évoqués par lecouple. Quelques revues cinématographiques et journalistiques l’ont fait, c’est le cas par exemple de la revue HorreurQuébec. En effet, l’article Le procès du démon : l’histoire derrière « The Conjuring : The devil made me do it[16]»,souligne le fait que le couple semble avoir profité de la maladie mentale de certaines personnes en faisant croire qu’ils’agissait d’une possession démoniaque. En effet, dans The Conjuring 3, il est question d’un meurtre commis sousemprise démoniaque. Gérald Brittle[17], sous la direction à peine dissimulée de Lorraine, prétend retracer la « véritable »histoire de cette famille dans son livre The Devil in Conneticut. Suite à sa republication en 2006, une partie de la familleen question a porté plainte pour « diffamation », « détresse émotionnelle infligée intentionnellement et violation de leurdroit à la vie privée.[18]» Sans surprise, Gérald Brittle et les Warren ont maintenu leur version des faits précisant que si lefils de la famille avait été possédé, c’était uniquement par la faute de la mère et de la fille qui avaient côtoyé une sectesataniste…Rien que ça ![19]
En outre, une enquête menée par la New England Skeptical Society en 1997, a conclu que le couple Warren était, dans lemeilleur des cas, « des conteurs d’histoires de fantômes vides de sens et, au pire de dangereux fraudeurs[20]. »
[1] https://www.hollywoodreporter.com/tv/tv-features/war-conjuring-disturbing-claims-behind-a-billion-dollar-franchise-1064364/ [2] Magazine américain consacré à l’industrie du cinéma. [3] https://www.hollywoodreporter.com/tv/tv-features/war-conjuring-disturbing-claims-behind-a-billion-dollar-franchise-1064364/ [4] Commentaire personnel [5]Commentaire personnel [6] Hypothèse personnelle [7] https://www.hollywoodreporter.com/tv/tv-features/war-conjuring-disturbing-claims-behind-a-billion-dollar-franchise-1064364/ [8] Ibid. [9] Ibid. [10] Ibid. [11] https://www.hollywoodreporter.com/tv/tv-features/war-conjuring-disturbing-claims-behind-a-billion-dollar-franchise-1064364/ [12] Ibid. [13] Ibid. [14] Ibid. [15] Ibid. [16] https://www.horreur.quebec/le-proces-du-demon-l-histoire-derriere-the-conjuring-the-devil-made-me-do-it/ [17] Gérald Brittle est, en quelque sorte, le biographe attitré des Warren. [18] https://www.horreur.quebec/le-proces-du-demon-l-histoire-derriere-the-conjuring-the-devil-made-me-do-it/ [19] Ibid. [20] https://the-line-up.com/ed-and-lorraine-warren#
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icariebzh · 3 months
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Quelques jours, peut-être même quelques semaines, portées par un vent du sud les rumeurs du Printemps avaient envahi les coeurs et les conversations. On leur trouva des noms de fleurs pour en faire des bouquets de liberté, généreux, audacieux, sans réserve...
Comme un rêve qui s'attrape si l'on veut bien y croire, il semblait  alors que le mouvement des idées en cavale prenait de l'ampleur, ça faisait envie et si lui il réussissait à ouvrir sa cage "pourquoi pas moi" disait l'Homme-orchestre et  tout autant oiseau ..
Une autre fois, après sa toilette bisannuelle  la machine s'arrêta. Sans prévenir, sans crier gare, ni train, ni ouf,  on aurait mieux fait de ne toucher à rien dit la voix-off et l'expert qui justement présent diagnostiqua quelque chose de terrible -ou pas- mais alors précisa t-il , dans ce cas il faudrait  comprendre cela comme un signe-avant-coureur d'une future catastrophe annoncée et dans l'autre...Soupir! Pour tenter le tout pour le tout on décida d'aller lui changer sa mémoire à l'animal électrique. Qui sait, peut-être  qu'en effaçant de trop mauvais souvenirs qui fatiguaient inutilement un appareil déjà bien essoufflé... Chez le vendeur de mémoire en barrettes, l'expert opta pour un plus grand modèle et... de retour sur le théâtre des opération, la machine  avait reprit son ronronnement comme si de rien n'était  et même  avec une respiration plus légère mais là... A force de croire ou d'espérer, on se fait  des idées qui ne ressemblent pas toujours ni souvent à la réalité, des idées toutes chiffonnées. 
Un autre jour, les machines tombent du ciel  emportées par les vagues de l'Histoire, des machines infernales déguisées en courants-d'air. Et comme au loup  si elles te touchent t'es mort mais des fois tu le sais pas encore.
Aujourd'hui, j'ai vu que le fleuriste pas très loin du cimetière  faisait des prix sur le jasmin. Les fleurs de la révolution ne se conservent pas si longtemps sans doute. Mais, a t-on bien coupé les tiges, changé leur eau? 
L'expert est reparti chez lui , en bas de la carte où l'on annonce de fortes précipitations.On a rangé le jeu de tarot et les dés. Tout est sous contrôle.
En sommes.
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lalignedujour · 6 months
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Parfois, je me dis que pourquoi pas, quelqu'un pourrait frapper chez moi en me disant "tu ne te souviens sans doute pas de moi, mais..." et me ramener des décennies en arrière.
C'est vrai, dans les films, on se met souvent du point de vue de la personne qui frappe à la porte. Jamais en face. Ça se trouve, la personne qui doit ouvrir la porte était en train de réchauffer un plat, d'étendre une machine, ou de se prépare à aller bosser, et elle doit gérer un truc qui date de quand elle avait 25 ans.
Donc, moi je prends un jour off pour gérer ça. J'ai imprimé mon calendrier outlook et je l'ai punaisé sur la porte pour que chacun·e puisse réserver un slot d'une heure.
Je les imagine déjà s'enchaîner :
-mon crush de lycée
-la fille du Loiret avec qui je discutais sur le chat AOL en 2001
-une ado qui dit qu'elle est ma fille
-ma prof de Français de 4ème qui est fière de ma maîtrise des figures de style (c'est pour vous que je les fais, Madame Maynard)
-mon cousin a priori mort, et en fait qui est pas mort
-le vendeur du Bricoman où j'ai volé des écrous à 16 ans
-et enfin, la postière qui vient sans enveloppe ni colis, mais juste avec elle. Car elle vient me livrer la vérité, elle vient m'avouer qu'elle est en réalité... ma mère, et également... Madame Maynard.
(Grosse journée.)
Mais aussi bien, il y aura personne et ça m'aura offert un bon petit divertissement ahah ma vie est si folle (folle) FOLLE.
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pompadourpink · 2 years
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hi! is albert camus' la peste hard to read for a beginner?
Hello,
Compared to his non-fiction (le Mythe de Sisyphe might be the hardest) I don't find it offensive so you will be okay if you can tell the main tenses apart and are armed with patience and Word reference. Here is the beginning:
Les curieux événements qui font le sujet de cette chronique se sont produits en 194., à Oran. De l'avis général, ils n'y étaient pas à leur place, sortant un peu de l'ordinaire. A première vue, Oran est, en effet, une ville ordinaire et rien de plus qu'une préfecture française de la côte algérienne.
La cité elle-même, on doit l'avouer, est laide. D'aspect tranquille, il faut quelque temps pour apercevoir ce qui la rend différente de tant d'autres villes commerçantes, sous toutes les latitudes. Comment faire imaginer, par exemple, une ville sans pigeons, sans arbres et sans jardins, où l'on ne rencontre ni battements d'ailes ni froissements de feuilles, un lieu neutre pour tout dire ? Le changement des saisons ne s'y lit que dans le ciel. Le printemps s'annonce seulement par la qualité de l'air ou par les corbeilles de fleurs que des petits vendeurs ramènent des banlieues; c'est un printemps qu'on vend sur les marchés. Pendant l'été, le soleil incendie les maisons trop sèches et couvre les murs d'une cendre grise ; on ne peut plus vivre alors que dans l'ombre des volets clos. En automne, c'est, au contraire, un déluge de boue. Les beaux jours viennent seulement en hiver.
I'd call it a soft B1 since you do need a lot of vocabulary but the syntax is easy. It is in my 'French novels' section if you want to get the PDF.
Hope this helps! x
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Un résumé se trouve en fin de poste
Par un beau matin de Septembre, je m'éveillai suite à un rêve agité, portant sur la cuisson d'un saumon à l'aneth. D'un coup, je sursautais! Aneth! Qu'était elle devenue, elle qui avait disparu au beau milieu de la ville d'Hanoï ? Était elle seulement encore vivante après tout ce temps ? Je commençai immédiatement une enquête, fouillant avec acharnement l'internet mondial, dans l'espoir de trouver des signes du persil, fussent-ils sur le dark web. Après des minutes frénétiques de recherche, je finis par tomber sur une obscure conversation WhatsApp, qui, bien que vieille de plusieurs secondes, pouvait tout aussi bien dater du siècle dernier. Doué d'un esprit de déduction peu commun, je conclus que si je voulais retrouver ma camarade, il me fallait me rendre en pays lointain, peuplé de petits vendeurs d'orange et de flûtes de pan.
Ni une ni deux, je courus vers le premier avion que je vis, stationné entre deux camions de pompiers. Je profitais que l'attention générale soit tournée vers un réacteur de l'avion, et lorsqu'une lance à incendie fut utilisée pour arroser celui-ci, je me glissai dans l'appareil. Je pus profiter des deux heures d'attente qui suivirent, d'une part pour regretter mon choix, et d'autre part pour observer des experts en action. Ceux-ci m'étaient facilement reconnaissable grâce à leur comportement typique, si semblable à celui de mes directeurs de thèse. En effet, ceux-ci se tenaient le menton entre leurs mains et fixaient d'un air perplexe et intense le réacteur, réaction parfaitement similaire à celle mon équipe lorsque je leur présentais mes résultats. Après une correspondance sans heurts, où je pense avoir humblement battu le record du 500m dans les couloirs de l aéroport de Madrid, puis découvert avec joie que mon prochain avion accusait lui aussi un retard de deux heures, je m'endormis paisiblement en direction de Lima. Les collations frugales fournies dans l'avion purent heureusement être compensées par l'équivalent en fondant au chocolat du lembas. Cette denrée, généreusement offert par ma maman, comblait aisement les besoins caloriques hebdomadaire d'un adulte. J'atterris sans encombres à Lima
Après quelques menues péripéties, dont la récupération de ma carte bancaire, avalée par un ATM taquin, je finis par atteindre mon auberge. Quelle ne fut pas alors ma surprise d'y découvrir Aneth! La pauvre enfant semblait encore secouée par ses mois laissés à l'abandon, mais nul doutes qu'elle se remettrait vite maintenant que j'allais la ramener en France.
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Résumé : ne voyagez pas avec AirEuropa
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tournevole · 1 year
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. La vie est un mythe. Mon âme et moi, nous fîmes nos bagages et cherchâmes dans le quartier un gîte qui n'aurait été qu'un gîte. Le pain est simple, l'amour est simple, la mort est simple. Pourquoi les pauvres hommes ont-ils voulu la vie si compliquée ? Pourquoi la bourrent-ils à l'envi de leurs fantaisies ? Que de fatigues, et que de déchets ! ...Ils nous convient dans leurs théâtres pour écouter des dialogues de vendeurs aux soutiens-gorge, ou dans leurs parlements pour entendre des harangues de tambours de village, ou dans leurs salons pour admirer la Vénus Teinturière. Vivre ! Docteur, je voudrais vivre ! Pourquoi les hommes ne sont-ils pas comme les feuilles d'un arbre, toutes propres, silencieuses et discrètes ? Faut-il des âmes d'élite ? Oui, bien, il en faut. Et des cerveaux de princes et des sensibilités de grands hommes. Oui, mais il ne faut pas que celles-là. Paris doit avoir avant tout des habitants et non pas des génies à chaque étage, comme des dentistes ou des tailleurs à façon. Je ne suis qu'un homme qui veille dans son phare, une abeille qui porte sur son dos son miel noir, un passant parmi les passants. J'aime la vie, comme les courtilières aiment leur chemin, et les tuiles leur coude à coude aux tempes des maisons. Je voudrais faire mon devoir d'homme parmi des spectacles réels, "dans de la banalité riche". Je voudrais qu'il n'y eut qu'un phare tous les mille mètres sur cette route qui nous mène à la mort. Des génies, mais des hommes. Non, je ne suis pas théologien, ni un fasciste, ni un rouge, ni un mauve, ni un syndiqué, ni un des plus brillants romanciers de ce temps, ni l'auteur dramatique le plus en vue, ni le commis voyageur le plus actif de la Pensée Française, ni quelqu'un des pontifes les plus adorables des Lettres, ni un charmant causeur, ni un ornement des salons. Je ne suis qu'une lampe de chair et d'ombre. Je sens pourtant ce qui est bien et ce qui est faux. J'ai attaché mon existence au corbillard des pauvres. Et j'aime mieux mordre dans le saucisson de la mère Bourdognon que de me prendre au sérieux. Tous ces génies me font peur. Si au moins ils avaient apporté des joies, s'ils avaient créé quelque chose ? Car enfin, il y a eu Rabelais, Balzac, Pascal, Baudelaire, Stendhal, Musset, le père Hugo, ce grand prêteur dont ils taisaient tous le nom. Il y a eu Rimbaud, Mallarmé, Verlaine et Debussy. Même, il y a eu Bizet et Fragonard. Et tous ceux qui les précèdent. Alors, qu'on ne secoue pas les braves gens dans leur lit parce que le jeune Pèteprouf a accouché d'un pouâme, d'une piécette, d'une musiquette, d'une historiette ou d'une peinture lurette. Sinon, nous allons appeler les artilleurs à leurs pièces à notre tour, nous autres qui avons cent ans et plus de coins de Paris, et de bouquins, et d'application. Nous aussi, nous avons une Révolution qui menace derrière nos fagots. Mais une révolution obscure, digne, toute en veilles fantastiques, en velléités de bonne tête. Un coup de tête de Poésie, une déclaration d'amour plus artiste à la matière. Une autorisation donnée aux hommes de se risquer entièrement, corps et âme, dans l'aventure ! Il faudrait une Révolution du courage contre la facilité, de la méditation contre le bagout, de l'art vrai contre l'art à portée de tous. Et de mon cañon de silence et de lassitude, je les vois venir, ceux qui la feront, au nom de l'honneur de sentir. »
Léon-Paul Fargue (1876-1947) - " Azazel " - Haute solitude. Paris, Émile-Paul frères , [1941].
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lounesdarbois · 2 years
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Semaine du 9/5
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Lundi. Etude, travail. Jeunette le soir, qui rentre d'une journée à la mer. Elle reste deux heures, part, puis revient plus tard. Elle met "sa musique", notamment Sébastien Tellier (bonne surprise). Prenant place devant le PC, elle fait sa sélection, explique en quoi les morceaux me sont dédiées par des paroles toutes en clin d’œil, ceci avec mille façons et minauderies charmantes.
Mardi. Matinée au marché. Moiteur et chaleur de l'atmosphère comme les matins au Vietnam. Travail en journée, entrainement le soir. La salle de boxe est attenante à une salle de "muscu". Comparaison des silhouettes : l'art Déco est à la musculature de l'athlète grec ce que le Rococo est à la musculature bodybuilding.
Mercredi. Livraisons. Jeunette au téléphone, furieuse pour un incident de la veille. Scène. Puis elle revient, plus gentille encore. 
Jeudi. Achat d'un cadeau chez Carhartt pour un camarade. Vendeuse visiblement LGBT vous réserve un accueil glacial puis elle s'engage dans une sorte de bras de fer mental de froideur qui contraste fort avec les injonctions à la courtoisie, avec la surveillance draconienne qui prévalaient dans ce type de job que je faisais à l'occasion, au début des années 2000.
La nouvelle conseillère bancaire en ligne fait des siennes. Les banques vident vos comptes en vous ponctionnant de mille grignotages par des frais, des agios, des provisions, sans vous prévenir. Dans le même temps elles requièrent des vérifications doubles et triples par "clé digitales" pour que vous puissiez accéder à votre propre compte. Lorsque faire son propre secrétariat devient un parcours du combattant...
Soir. Entrainement.
Vendredi. Courses en prévision de ce qui va suivre.  Visite de * venu de Cannes pour quelques jours. Camarade de 25 ans, connu en 1997 à Grenoble. Nous faisons bombance d'un poulet rôti "Français en exil", puis marchons dans le quartier. * tombe une bouteille de vodka, sans moi qui puis à peine en supporter une goutte.
En rentrant nous nous amusons beaucoup du jargon juridique du règlement intérieur de l'immeuble que nous lisons à haute voix plusieurs fois, avec plusieurs accents: "Chaque ayant-droit s'engage à jouir bourgeoisement de son bien immobilier dont il détient la jouissance exclusive en propriété privée, ce dans le cadre strictement prévu par la loi, d'une manière conforme en tous points aux dispositions prévues par l'article... (etc)"
Samedi 14 Mai.
Je traîne * à l'entrainement de boxe. Nous trempons chacun notre maillot puis rentrons. * répare des néons du plan de travail de la cuisine. Il faut aller au "Brico" chercher des pièces manquantes. En chemin nous nous laissons distraire par la vitrine d'un de ces clubs de sport en salle aux murs tous noirs. Nous entrons, un monsieur tout fier nous met la main dessus immédiatement et nous tient une demi-heure pour vendre les services de son club. Nous ne comprenons rien. Tout n'est que "Xcross", "kettlebell", "workshops", "mobility", "TRX", puis "TRX flow", etc. Pourtant nous acquiesçons, pris par l'aspect incongru de la scène, curieux de voir où cela mènera. C'est une expérience... Je ne sais si ce genre de vendeur m'inspire de la peine ou de la colère et demeure stupéfait de la confiance en soi de ce genre de profil. Pas une seconde le monsieur n'a soupçonné qu'il perdait son temps avec nous, ni même n'a demandé quels étaient nos besoins, nos habitudes, nos centres d'intérêt bref, les bases du "probing" et de l'AIDA (Attention-Désir-Intérêt-Achat). Oh mon Dieu si j'avais agi ainsi chez Nespresso ou chez SThree à l'époque, comme les managers m'auraient rabroué!
Aller-retour au "Brico", nous rentrons peaufiner les réparations puis prenons la route direction Seraing dans la province de Liège pour rendre une visite. Grand beau temps, mais toujours cette déglingue sociale latente qui rôde, qui colle au cul de la Belgique francophone. Nous savons tant de choses et ignorons pourtant comment vivre.
Soir, retour à Bruxelles, apéritif place Jourdan, puis pizza du samedi comme de vrais papas Italiens. Atmosphère d'été, ambiance de station balnéaire du sud de la France.
Jour du Seigneur. Seul à l'office du matin. Joie du Regina Caeli: chant bref, ramassé, heureux. 
Retour, café araméen avec *, puis nous montons voir Y* chez lui, un vieux Belge qui nous raconte son passé de braqueur des années 70, sa cavale de 10 années au Venezuela, en Afrique, des faits tous vérifiés, point d'affabulations! Il a 4 enfants de 3 femmes différentes. Dire que notre génération s'embarrasse de mille scrupules inquiets avant même d'avoir un seul enfant...
Après-midi. Kermesse devant une église du quartier européen. Nous mangeons, buvons et parlons avec les passants à droite et à gauche. Un ami se joint à nous, il m'enchante à évoquer l'histoire des Chams du Vietnam et du Cambodge, dans leurs zones de peuplement que j'ai connu en 2006, peuple extrêmement beau, proche des Khmères et de cette Asie brune davantage artiste qu'industrieuse, à l'encontre de l'Asie jaune. Autour de nous, de nombreuses filles dont certaines assez charmantes. Je prends quelques numéros, et une fille qui pourtant s'était refusée quelques mois plus tôt, me lance un regard noir alors qu'elle me voit en compagnie d'une autre. Elles vous veulent "célibataires et fidèles", ces chères petites désormais! Les deux camarades et moi descendons à Saint-Josse puis remontons à Schaerbeek, place Dailly, en terrasse. Journée de canicule paisible, passée à traîner, à rire et boire, à croiser des connaissances, à taper la discussion, la vie... Plus tard, dîner ensemble à la maison, puis un tour au parc où nous prenons le frais jusque tard dans la nuit allongés dans l'herbe, tenant des conversations d'hommes. Ce con de * manque de déclencher une embrouille avec 3 cailleras en trottinette parce qu'il les vise de loin avec un pointeur laser. Le genre d'habitudes contractées à Grenoble il y a plus de 20 ans, lorsque nous étions une bande de types aguerris et renseignés.
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homomenhommes · 17 days
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 163
Vernissage expo de Moitié chez Bo-gosse
Bo gosse 35 ans "la Palmyre " actif 24x5.5 et moitié artiste et 20ans crevette passive
J'ai reçu, il y déjà quelques semaines un carton d'invitation pour un vernissage à la galerie de Bo-Gosse (cf. mes dernières vacances à La Palmyre). Il m'invitait pour l'inauguration de l'exposition d'oeuvre de son petit mec et artiste. Comme cela tombait une semaine où Marc était en déplacement, j'invitai Emma à y aller avec moi.
Nous sommes arrivés la veille à Paris, toujours ce même palace où nous sommes reçu comme des rois. Le même suite nous y attend. Le service défait nos valises et emporte chemises et chemisiers au repassage. Emma me traine place Vendôme chez notre " bijoutier " attitré. Nous sommes reçu par le vendeur avec qui j'ai déjà eu quelques relations. Accompagné comme je le suis, il est d'une discrétion parfaite. Je porte à l'oreille le rubis qu'Emma m'avais offert. Elle demande à voir la commande qu'elle leur avait passée. Le vendeur nous fat entrer dans un salon et nous apporte un plateau sur lequel trônent 4 saphirs de la même taille que mon rubis. Je commence à dire à Emma que ce n'est pas mon anniversaire ni ma fête, mais elle me coupe. Elle examine chaque pierre, s'informant de sa provenance puis fixe son choix. Un saphir birman d'un bleu profond. Je dois l'essayer de suite. Le vendeur met mon rubis dans une pochette et je garde mon nouveau cadeau à l'oreille. Au moment de sortir, alors qu'Emma s'écarte pour admirer une vitrine de bijoux, le vendeur me demande si je suis sur Paris pour quelques jours. Je lui dis que j'essayerai de passer le lendemain matin, le vernissage n'ayant lieu qu'en soirée.
Retour à l'hôtel où, après un diner délicieux, je fais l'amour avec Emma.
C'est vrai que je préfère le faire avec un mec mais Emma, c'est différent. Elle n'est pas prude coté sexe et nous avons, ensemble, essayé pas mal de trucs.
Quand nous rentrons dans notre suite, nos vêtements son revenus du repassage et pendent sur les cintres. Je la pousse et la fait tomber sur le grand lit. Il ne nous faut que deux minutes pour nous retrouvés nu l'un contre l'autre.
Je m'écarte un peu et l'examine de la tête au pied, ce qui me vaut une remarque amusé sur ma goujaterie. Il n'empêche qu'elle est encore super bien foutue et peu de jeunes femmes de 25 ans pourraient rivaliser. Pas un gramme de graisse superflue, pas de culotte de cheval ni de cellulite, un vrai top modèle ! Je la pousse sur le dos et me couche sur elle. Mes lèvres rejoignent les siennes et nous nous roulons un patin excitant. Je la sens frémir sous mon corps alors que je bande comme un malade. Elle écarte légèrement les cuisses et mon gland vient se positionner à l'entrée de son vagin. Malgré mon poids, elle roule du bassin et frotte son clito sur mon gland. Ses tétons durcissent contre mes pecs. Je glisse le long de son corps sans que ma bouche ne quitte sa peau. Menton, cou, poitrine, tétons, ventre, nombril, mont vénus et grandes lèvres que j'écarte de langue pour atteindre son clito. Je l'aspire et elle se cambre de plaisir. Je tête quelques instant cet organe du plaisir et arrive à lui arracher un premier orgasme. Elle mouille bien et je n'attends pas pour placer mon sexe dans sa chatte. Une bonne poussée et mes 20cm sont en elle. Elle relève ses jambes pour me ceinturer avec. Ça me laisse plus de latitude pour la limer. Je me lubrifie bien la queue de sa mouille et me prépare à passer par sa porte arrière. Elle me connaît et sait bien que cela va lui arriver. Imperceptiblement j'augmente la course de mes va et vient jusqu'à déculer totalement avant d'entrer de nouveau. Je la laisse décider elle même. A un moment elle bascule son bassin alors que je suis sorti d'elle et de ce fait présente son anus sous mon gland. Quand je pousse à nouveau, je sens une petite résistance qui s'efface d'un coup de rein plus puissant. Je m'enfonce alors bien serré par son anus. Trop bon, c'est autre chose qu'un vagin même bien musclé. La constriction d'un sphincter est autrement plus forte. Je ne peux m'empêcher de gémir ! Emma aussi. Deux, trois va et vient pour vérifier que je suis suffisamment lubrifié pour ne pas la blesser et je me lâche. Elle s'accroche à moi alors que mes bras sont tendus contre le matelas pour éviter que je ne l'écrase. Et je laboure, la bourre. Trop bon ! Bien que n'ayant apporté de gode pour stimuler de concert son vagin, j'arrive à lui provoquer un deuxième orgasme. Ses dernières contractions me font jouir à mon tour et j'explose dans son cul. Je roule sur le coté et elle se retrouve couchée sur moi, la tête sur mes pecs. Nous nous endormons ainsi. Réveil en pleine nuit, froids, poisseux...Je fais couler un bain pour Emma et me douche pendant qu'elle se détend dans l'eau chaude. Je la rejoins et ce faisant, provoque un mini tsunami local, vite absorbé par les tapis de bains. Alors que l'eau refroidit, nous passons nous rincer sous la douche. Retour au lit.
Je me réveille à l'odeur du petit déjeuner, seul en travers du grand lit, nu sur les draps. Je me redresse et vois Emma en peignoir devant un plateau regorgeant de nourriture. Avant que j'ai pu ouvrir la bouche elle me dit que le serveur n'avait pu retenir un sifflement admiratif à la vue de mon dos et qu'il s'était rattrapé en la félicitant d'un " Madame doit être heureuse ".
Je me lève et nu, je la rejoins. Je meurs de faim ! il est presque 11h. J'ai un vague regret en pensant à mon vendeur qui doit m'espérer. Nous sautons le déjeuner et retrouvons Kev et son boss pour le café. Avec Kev, nous nous racontons nos derniers avatars quand Emma et son ami discutent travail. Je leur propose de nous accompagner ce soir au vernissage. Ils en discutent 5 minutes et acceptent ma proposition. Ils passeront nous chercher à notre hôtel.
Je meurs d'envie de baiser avec KEV, son patron s'en aperçoit et nous dit de filer, qu'il nous laisse une heure. Je jette un coup d'oeil à Emma qui m'autorise d'un hochement de tête et comme deux gamins pris en faute, nous nous éclipsons, direction l'appart de Kev à 5mn à pied.
Nous courrons presque sur le trottoir et commençons à nous exciter dans l'ascenseur. Le temps d'arriver sur son palier, Kev a la chemise qui sort du pantalon et la braguette qui baye. Je ne suis guère mieux. Dès la porte refermée, nous nous sautons dessus. Je le couche dans l'entrée et le mets nu. De son coté il n'est pas resté inactif puisqu'à peu près au même moment je suis dans le même état. Je constate avec plaisir que sa situation sédentaire ne lui a pas fait prendre du poids. Il rigole et m'entraine jusque dans le séjour en me rappelant qu'il s'est inscrit à une salle de gym où il a trouvé ce qu'il fallait coté cours et appareils de muscu ainsi que coté mecs. Nous continuons nos ébats, un bon 69 nous empêche de parler. Le super actif à bien évolué en recto-verso. Alors que quand je l'ai connu, il n'était qu'enculeur de vieux, maintenant il ne crache pas sur une bonne queue sauf pour la lubrifier ! Nous nous suçons comme deux affamés. Les gland pénètrent nos gorges.et plusieurs fois l'un et l'autre nous avons été obligés de nous reculer pour éviter un " départ " précipité. Kev se décide le premier et, à 4 pattes me présente son cul. Le temps que je me kpote, il se prépare le trou avec deux doigts plein de gel. Je pose mon gland sur son anus et m'accroche à ses hanches. Je le fais attendre quelques secondes et au moment où il commence à s'impatienter, je m'enfonce d'un trait. Ça lui coupe toute envie de récriminer. Je me mets à le limer tout en lui faisant remarquer que de ce coté là, il s'était bien assoupli. Alors que je m'encule bien profond, il me raconte quelques un de ses plans à la salle de sport. Ça ne fait que m'exciter encore plus. Il me raconte avec un débit haché le premier plan qu'il s'est fait avec le prof de fitness (actif) et celui de muscu (passif). Comment il s'est retrouvé en sandwich entre les deux et comment il s'est pris une méga jouissance. Je ralentis mes mouvements, je ne veux pas jouir alors qu'il ne m'a pas encore enculé. Je me retire et nous échangeons nos places. Il est toujours aussi bon coté actif. C'est avec art qu'il s'enfile en moi. Je sens chacun de ses 21cm traverser mon anus. Je tends la tête en arrière et il se penche pour qu'on se roule un patin. Je prend un plaisir fou à me faire sauter par Kev. On échange une dernière fois nos places et je l'encule jusqu'à remplir ma kpote. Il se jute dans la main. Notre heure est déjà passée ! nous prenons 5mn pour une douche et je remets mes vêtements froissés (en sportswear, ça passe) alors qu'il est obligé de changer de chemise (boutons arrachés) et de costume (trop bouchonné).
Nous nous pointons avec exactement 1/4 d'heure de retard et les joues rouges de nous être pressés. Regards désabusés de nos deux " parents " (et amants) respectifs. Nous quittons Kev et son boss momentanément et allons faire les boutiques, ce coup ci de vêtements. Je dévalise une boutique de sous vêtements en slips et shorty ES, Calvin Klein, triple X ...et en profite pour acquérir quelques maillots pour la piscine chez Emma. Nous ajoutons un passage chez un chemisier où en plus d'acheter quelques chemises, je trouve des cravates dont une que je fais mettre en paquet cadeau pour Kev.
Retour à l'hôtel où nous avons juste le temps de nous changer pour le vernissage.
Je finis de nouer ma cravate que l'accueil nous prévient que nous sommes attendus.
En entrant dans la voiture, je tends à Kev son cadeau. Enchanté, il l'ouvre, et la trouve très belle, au point de la mettre tout de suite en remplacement de celle qu'il portait. Quelques 10 minutes de voiture et le chauffeur nous dépose devant la galerie. Filtre à l'entrée, Bo-gosse que j'avais appelé dans l'après midi a bien laissé les instructions et nous entrons. Il y a déjà pas mal de monde. Je déambule parmi les amateurs d'art, Emma appuyé à mon bras. Kev et son boss partent de leur coté. J'aperçois " Moitié " qui me remarque aussi et vient se jeter à mon cou avec roulage de pelle. Ce n'est qu'à la fin de celle ci qu'il remarque Emma en train de le fixer avec amusement (elle sait que je les ai rencontrés pendant les vacances). Je fais les présentations et j'ai le plaisir de le voir légèrement rougir. L'arrivée de Bo-gosse dissipe le léger malaise. Je remarque tout de suite qu'il est toujours aussi canon. Comme nous nous embrassons...sur les joues, je me colle à lui et sens contre ma cuisse sa bite généreuse. Ils nous accompagnent pour le reste de la visite. Nous aimons bien la peinture de " Moitié ". Nous croisons Kev et son Boss qui ont le même avis que nous. Emma flash sur une grande toile au figuratif traité avec un mélange de cubisme et d'Andy Warhol. Le boss de Kev craque plutôt pour une petite toile et moi une intermédiaire représentant un mec façon " odalisque " très bandant (cul étroit, épaule larges, belle bite à moitié réveillée posée sur sa cuisse droite) pour le bureau de Marc. Je m'écarte d'eux pour aller chercher Bo-gosse et lui faire part de nos désirs. Je le retrouve entouré d'un aréopage de langues qui pendent et de paires d'yeux en admiration. Il profite de mon arrivée pour les laisser sur place et m'entrainer, par une petite porte, au calme. Enfin façon de parler !
Il me plaque contre cette porte et m'écrase la bouche de ses lèvres. J'entrouvre les mâchoires et nos langue se touchent, se lèchent, se battent entre elles. Je sens contre ma cuisse se développer la queue qui lui pend entre les jambes. Je glisse à ses genoux et ouvre sa braguette. Son gland ne reste pas longtemps à l'air libre. Il trouve l'abri de ma bouche puis de ma gorge direct. Trop bon !
Je défais ma ceinture et baise pantalon et slip alors que je me relève. Je lui tends une kpote et lui présente mon dos. Quelques claquements de latex plus tard, je me sens planté par ses 24cm épais. Un vrai hussard ! Je l'ai bien senti passée, mais quelque part c'est ce que je cherchais !! Il me saute rapidement et violemment, il ne nous faut pas 5mn pour exploser, moi sur le bois de la porte, lui au fond de mon cul.
Réajustés, un verre d'eau pour retrouver notre calme et nous réapparaissons comme si de rien n'était. Dès la porte franchie, je reprends notre conversation sur l'acquisition des trois toiles. Bo-gosse me dit que nous ne sommes pas obligés, Emma et nos amis que nous venons alors de rejoindre l'assurent que cela n'a rien à voir avec une quelconque obligation. Nous convenons que " Moitié " fera la livraison à Kev (son boss ayant acquis la toile pour lui) et qu'ils s'arrangeront pour venir passer un WE à la maison pour me livrer le cadeau de Marc et ils s'assureront alors de la livraison à Emma.
Le boss de Kev (je vous dévoile son prénom : Henri) se pose la question de la décoration de l'entrée de ses bureaux parisiens et demande à " Moitié " s'il serait capable de lui peindre un tableau de 3 mètres de large sur 2 mètres de haut sur le thème de sa société. A la réponse positive, il lui demanda alors de lui présenter dès que possible 2 ou 3 projets avec un devis.
Nous les quittons, content de nos achats, nous finissons la soirée au fouquet's où Henri nous offre à diner.
JARDINIER
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la pièce à conviction
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laplumedebrume · 1 year
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Le calendrier de l'avent
Le stand des Vœux envolés était placé au fond du village de Noël, entre celui du vin chaud et celui des bouillotes faites en chaussettes orphelines recyclées. Giselle ne l'avait encore jamais vu. Elle visitait ce marché chaque année sur la petite place de Houxville. Des odeurs de pain d'épices et de clous de girofle enveloppaient les chalets fumants. Au sol, le tapis rouge était encore imprégné de neige fondue.
— Bonjour ! Dit le vendeur des Vœux envolés en voyant la vieille dame approcher. — Cette pièce est magnifique, répondit Giselle. Elle pointa du doigt une jolie maison en bois tout ornée de gravures. — C'est un calendrier de l'avent. Il est spécial et entièrement conçu de mes mains ! Il vous fera retourner en enfance ! — Je ne vois aucune case à ouvrir ? Remarqua l'intéressée. — Elles sont invisibles pour le moment, précisa le vendeur. Elles apparaîtront une à une, un jour après l'autre. Son mécanisme est réglé comme une horloge. L'objet énigmatique intrigua Giselle, qui décida de se l'offrir. Elle avait envie de s'amuser un peu. Le 1er décembre à 17 heures, un "clic" retentit sur le petit meuble de salon de Giselle. La première case venait de s'ouvrir comme un tiroir. Giselle jeta un œil à l'intérieur pour découvrir sa surprise. Elle fut d'abord déçue de ne pas trouver une gourmandise à savourer. Elle récupéra une minuscule pièce de métal dorée. Ce n'était ni un bijou ni une broche. Cela ressemblait plutôt à un débris d'objet brisé. Elle le déposa sur une coupelle. Le lendemain, le clic de la seconde case dévoila une nouvelle petite pièce, presque identique à la première. Giselle se rendit au village de Noël pour revoir le vendeur. En arrivant, elle tendit la main pour lui montrer les morceaux. — Je crois qu'il y a un problème, annonça-t-elle. — C'est tout à fait normal ! Rétorqua le vendeur. Vous finirez par comprendre… Un peu de patience ! L'homme lui offrit tout de même quelques chocolats avant de la saluer. Les jours suivants, Giselle continuait de rassembler les pièces du calendrier, qu'elle disposait dans l'ordre sur une coupelle en porcelaine. Le 23e jour, elle découvrit un morceau plus grand que les autres, à la forme arrondie. Elle le déposa à côté des autres. La réponse était là. Toutes les pièces formaient une clé. Giselle les assembla et attendit avec impatience la dernière case. Le lendemain, dès qu'elle entendit le "clic", elle se précipita vers la maison de bois. La case était bien plus grande et ne comportait rien à part une serrure. Giselle tourna la clé à l'intérieur. De l'autre côté, il y a avait une vieille feuille de papier enroulée par un ruban violet. Giselle dut s'asseoir. En déroulant le papier, elle découvrit une lettre écrite il y a plus de 60 ans, par elle-même. La petite fille qu'elle était s'adressait au Père Noël. Les larmes de la vieille dame se mirent à couler sur le papier. " Cher Père Noël, je sais que je ne suis pas toujours la plus sage à la maison mais c'est que je m'ennuie. Peut-être qu'avec une sœur jumelle, ce sera plus facile pour m'amuser. Mais je ne sais pas si les lutins peuvent fabriquer des vraies personnes… Embrasse mon chien Gingembre s'il est avec toi maintenant. Giselle."
Giselle se réveilla le lendemain avec la lettre serrée contre sa poitrine. Elle se leva et passa plusieurs fois devant son sapin sans remarquer celle qui se tenait juste à côté. Sa vue lui faisait défaut sans ses lunettes. Une fois posées sur son nez, elle poussa un grand cri. Son double se tenait devant elle, un grand sourire aux lèvres. — Bonjour Giselle, c'est moi ! La sœur que tu attendais pour t'amuser ! Les deux sœurs passèrent la journée ensemble. Elles s'installèrent devant la cheminée pour se raconter des histoires et des souvenirs d'enfance. Giselle se sentait comblée. La présence de sa jumelle n'était pourtant pas éternelle. Elle disparut au coucher du soleil, après d'émouvants adieux gardés à jamais dans le cœur de la vieille dame.
Fin.
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lemondeabicyclette · 2 years
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RAPPORT ID NUMERIQUE/ UNIVERSITÉ DE NEW YORK (NYU)
Le Digital Welfare State & Human Rights Project de l'Université de New York (NYU) a lancé en juin dernier un nouveau rapport : Paving a Digital Road to Hell ? A Primer on the Role of the World Bank and Global Networks in Promoting Digital ID.
Les acteurs mondiaux, menés par la Banque mondiale, promeuvent énergiquement les systèmes d'identification biométriques et autres systèmes d'identification numérique qui sont de plus en plus liés à des violations des droits de l'homme à grande échelle.
Un rapport de chercheurs de l'Université de New York met en garde contre le fait que ces systèmes, promus au nom du développement et de l'inclusion, n'atteignent ni l'un ni l'autre. Le rapport affirme que "malgré les bonnes intentions incontestables de certains, [ces systèmes] pourraient bien paver une route numérique vers l'enfer".
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Les gouvernements du monde entier ont investi massivement dans des systèmes d'identification numérique, souvent dotés de composants biométriques (Digital ID). La prolifération rapide de ces systèmes est motivée par un nouveau consensus de développement, conditionné et promu par des acteurs mondiaux clés comme la Banque mondiale, mais aussi par des gouvernements, des fondations, des vendeurs et des sociétés de conseil.
Ce nouveau « consensus fabriqué » soutient que l'identification numérique peut contribuer à un développement inclusif et durable - et qu'elle est même une condition préalable à la réalisation des droits de l'homme.
S'inspirant du système Aadhaar en Inde, le dangereux modèle d'identification numérique qui est promu donne la priorité à une "identité économique".  L'objectif de ces systèmes est principalement d'établir l'"unicité" des individus, généralement à l'aide de technologies biométriques. L'objectif ultime de ces systèmes d'identification numérique est de faciliter les transactions économiques et la prestation de services du secteur privé.
Les promesses d'inclusion et d'économies numériques florissantes peuvent sembler attrayantes sur le papier, mais les systèmes d'identification numérique ont systématiquement échoué à tenir ces promesses dans des situations réelles. En fait, des preuves émergent de nombreux pays, notamment du méga projet d'identification numérique Aadhaar en Inde, des violations graves et à grande échelle des droits de l'homme liées à ce modèle.
Pendant ce temps, les avantages de l'identification numérique restent mal définis et mal documentés. Il semble que ceux qui en profitent le plus soient "un petit groupe d'entreprises et de gouvernements". Après tout, là où les systèmes d'identification numérique ont eu tendance à exceller, c'est en générant des contrats lucratifs pour les entreprises de biométrie et en améliorant les capacités de surveillance et de contrôle de la migration des gouvernements.
Avec un soutien aussi puissant, l'identification numérique a pris l'apparence d'une machine infernale inarrêtable et d'une marque inévitable de la modernité et du développement au 21e siècle, et les voix dissidentes de la société civile ont été discréditées faisant obstacle au progrès. Néanmoins, le rapport appelle les organisations de défense des droits de l'homme, les autres organisations de la société civile et les défenseurs qui se sont peut-être tenus à l'écart de ces débats à s'impliquer davantage.
Les violations réelles et potentielles des droits de l'homme découlant de ce modèle d'identification numérique peuvent être graves et potentiellement irréversibles. La communauté des droits de l'homme peut jouer un rôle important en veillant à ce que de tels changements transformationnels ne soient pas précipités et soient basés sur des preuves et des analyses sérieuses. Lorsque cela s'avère nécessaire pour sauvegarder les droits de l'homme, ces dangereux systèmes d'identification numérique devraient être totalement arrêtés.
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herveperotin · 2 years
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Comment obtenir en 45 jours des liquidités avec un patrimoine investi principalement en immobilier ? Détenir des biens immobiliers reste un des objectifs majeurs pour une grande partie des français. Cependant, lorsque le patrimoine est en quasi totalité investi en immobilier, il n’est alors ni facile ni rapide d’avoir des liquidités à disposition. En effet, procéder à une vente prend du temps, et vendre sous la contrainte peut pousser à vendre même si le contexte économique ne s’y prête pas nonobstant le problème actuel du taux de l’usure qui bloque les opérations de prêt hypothécaire ou encore de vente à soi-même. Il existe notamment une solution pour rendre liquide son titre de propriété, ce qui permet de disposer rapidement d’une somme d’argent sans avoir à affronter le barrage de l’analyse bancaire et des taux de l’usure. Cette solution est le vente à réméré (introduite dans le code civil en 1804 et aujourd’hui cette vente avec faculté de rachat est encadrée par ce même code par les articles 1659 et suivants). Il est possible de faire une vente avec faculté de rachat (vente temporaire). C’est un acte notarié permettant de vendre temporairement son bien pour en dégager des liquidités. Le vendeur reste occupant du bien sur une durée déterminée à l’avance, maximum 5 ans. Sur cette durée, il profite d’une faculté réglée par acte notarié d’une clause de rachat exclusive et irrévocable à un prix prédéfini, en échange d’une indemnité d’occupation et de jouissance exclusive du bien. Généralement le prix de vente correspond à 60% de la valeur vénale du bien. Au terme, le vendeur peut racheter son bien ou alors le vendre à un tiers au prix du marché et récupérer la différence avec le prix de rachat prédéfini. Le jour du remboursement du montant alloué, il y aura une annulation de l’acte de vente, permettant de ne pas perdre l’avantage de l’antériorité  de la détention du bien quant au calcul de la plus-value. Cette solution s’adresse principalement aux personnes qui n’ont plus de solutions auprès du système bancaire et qui ne souhaitent ne pas être dépossédées de leur bien immobilier. Nos experts accompagnent les clients avec une étude personnalisée. Pour cela, vous pouvez nous joindre au 01.42.58.92.68 ou au 06.70.66.49.07 ou encore par email à [email protected]
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omagazineparis · 11 days
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6 astuces responsables pour renouveler son dressing
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Les beaux jours pointent le bout de leur nez, certes, mais l’arrivée de l’été marque également le retour de cette exclamation inévitable : “j’ai rien à me mettre !”. Alors Mesdames cette fois on se retient et on change la donne. Pour renouveler son dressing, plus de razzias chez Zara : cette année on achète malin ! Pour vous aider, voici quelques conseils à suivre. Plateformes de revente en ligne Acheter ne veut pas toujours dire acheter neuf ! La plateforme de revente Vinted en est le parfait exemple. Quotidiennement, les utilisateurs nommés “vinties” mettent en vente leurs vêtements, chaussures et articles de maison à des prix très attractifs. Très fonctionnel, le site permet donc d’acheter très rapidement, les prix pouvant même être négociés d'un commun accord avec le vendeur. Pas d'inquiétude concernant la propreté, les vêtements sont notés en fonction de leur état. De fait, vous êtes informés de leur qualité. Par ailleurs, en cas d’interrogations, un chat est disponible avec le vendeur pour demander de plus amples explications. Par conséquent, Vinted est la parfaite alternative pour renouveler son dressing avec des looks à moindre coût. Néanmoins, il existe d'autres plateformes de revente entre particuliers sur Internet, vous pouvez les découvrir juste ici. Locations de vêtements pour les grands évènements Qui n’a jamais acheté une tenue de fête pour ne plus jamais la reporter ensuite ? Nous sommes évidemment toutes passées par là, mais ces achats inutiles sont révolus ! En effet, de nouvelles plateformes en ligne proposent un service de location de vêtements pour de petites durées. Par exemple, le site Panoply vous donne accès à un vestiaire ultra luxe où plus de 3000 pièces de créateurs peuvent être louées entre 4 et 8 jours. Dans une gamme de prix plus accessible, le site Les Cachotières propose une location jusqu’à 9 mois en avance pour vos futurs évènements. Ainsi, fini les robes cocktails portées une seule fois traînant ensuite au fond des placards. Alors plus d’excuses, le plus dur c’est de choisir ! Abonnements en ligne pour des vêtements au mois Si le concept de location de vêtements vous plaît, il est également étendu au format d’abonnement au mois pour renouveler sa garde-robe mensuellement. C’est par exemple ce que propose le site Le Closet. À partir de 39 euros/mois, la plateforme vous livre 2 articles et 1 accessoire. L’abonnement est sans engagement et les livraisons et retours sont gratuits. Ainsi, plus de prise de tête, votre dressing se voit accueillir de nouvelles pièces tous les mois ! Et si vous avez un coup de cœur pour un vêtement, il est même possible de l’acheter avec un tarif préférentiel. Le Closet propose donc une formule 100% gagnante. Alors ni une ni deux : portez, renvoyez et recommencez ! Vintage : friperies et vide-greniers Acheter malin c’est avant tout donner une seconde vie à des vêtements laissés de côté. Par conséquent, rien de mieux que de se perdre dans les friperies et les vide-greniers pour trouver la pépite dont vous rêviez. Ces lieux sont de véritables cavernes remplies de trésors. Alors même si certains peuvent ressembler à de vrais capharnaüms, on se retrousse les manches et on fouille. Ayez confiance, vous serez gagnantes en tous points :  - Économie assurée pour le porte-monnaie avec des prix minis.  - Découverte de pièces uniques que vous ne retrouverez nulle part. - Participation à la protection de l’environnement en recyclant des articles déjà portés. Et si vous n’avez vraiment pas le coeur à fouiner pendant des heures, il existe même des friperies en ligne pour trouver votre bonheur. Vous pouvez d’ailleurs retrouver notre sélection juste ici. Ainsi, stimulez votre âme d’exploratrice et partez à l’aventure dans les plus belles friperies et vide-greniers de votre région ! Friperies : royaume du vintage à moindre coût Vide-greniers : endroits incontournables des bonnes affaires Upcycling : donner une nouvelle vie à ses vêtements L'upcycling, ou "surcyclage" en français, permet de donner une seconde vie aux vêtements et tissus usagés en les transformant en pièces neuves. Ainsi, en cette période où il est fortement recommandé de rester chez soi, quoi de mieux que de fouiller dans ses armoires et faire preuve d’un peu de créativité. Alors on ressort les fils, les aiguilles, les ciseaux et on customise ce vieux jean qu'on ne porte plus depuis des années en l'upcyclant en short ! De même, si vous n’avez pas l’âme d’une créatrice, vous pouvez également investir dans des marques qui prônent elles-mêmes l’upcycling. Si cette tendance vous intéresse, vous pouvez aller découvrir les marques mode qui s’engagent dans l’upcycling juste ici. Sur le même thème : La slow fashion : c’est quoi et comment la suivre ? Slow fashion : acheter moins mais acheter mieux  La slow fashion désigne des collections de vêtements conçus pour allier mode, qualité et respect de l’environnement. Le principe est donc de proposer une pièce confectionnée plus consciemment, avec des tissus de qualité. Cette fabrication plus haut de gamme engendre une hausse de prix, certes, mais compensée par la résistance du vêtement qui tient bien plus longtemps. Ainsi, pour renouveler son dressing de façon intelligente, rien ne sert d’acheter mille et une pièces compulsivement. Optez plutôt pour des vêtements issus de la slow fashion, vous ferez des économies d’argent et gagnerez du temps tout en faisant un geste pour l'environnement. Par ailleurs, si vous souhaitez vous documenter plus en profondeur sur la mode responsable, rendez-vous juste ici.  Les valeurs mises en avant par la slow fashion Alors pour l’arrivée de ce bel été, on change de mentalité ! Avec toutes ces alternatives, fini les achats compulsifs qui finiront dans les placards. On choisit plutôt la prise de conscience. Comme quoi, lorsque l'on veut renouveler son dressing, faire des économies d’argent peut très bien se combiner avec la protection de l’environnement. Par conséquent, voici notre recette gagnante pour une nouvelle garde-robe : achetez malin, osez les friperies et convertissez vous à la slow fashion ! Read the full article
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amazingmastery · 29 days
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Comment Vendre sur Amazon : Deviens un Vendeur Amazon FBA et Transforme Ta Vie 🧞‍♂️
Trouver l’équilibre entre passion et sécurité financière n’est pas une utopie, mais une réalité à portée de main. Si, comme beaucoup d’autres, tu es tiraillé entre le désir de quitter un emploi qui ne t’apporte ni satisfaction ni épanouissement et la peur de perdre la sécurité financière qu’il représente, cet article est fait pour toi. Imagine-toi lançant un business qui non seulement te…
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