Tumgik
#plage du ris
ecoleplonevez · 1 year
Text
Pêche au chalut à la plage du Ris pour les CM.
Dans le cadre du projet mené avec le parc marin sur la forme et la texture des animaux et végétaux marins, les CM ont appris à pêcher au chalut...
Turbot, sole, barbue et carrelet, ils ont pu différencier ces différents poissons plats, les mesurer et comparer leur forme et leur texture...une expérience très enrichissante pour les enfants qui ne connaissaient pas cette technique de pêche...
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
1 note · View note
coovieilledentelle · 22 days
Text
Tumblr media
Je ne changerai jamais mes amis fantastiques, ma vie merveilleuse, ma famille bien-aimée pour des cheveux moins gris ou un ventre plus plat. En vieillissant, je suis devenue plus amicale envers moi-même et moins critique envers moi-même.Je suis devenu mon ami…Je ne me blâme pas d'avoir mangé des biscuits supplémentaires, de ne pas avoir fait le lit ou d'avoir raté quelque chose de stupide dont je n'avais pas besoin. J'ai le droit d'être désordonnée, d'être extravagante. J'ai vu beaucoup de chers amis quitter ce monde trop tôt, avant de réaliser la grande liberté du vieillissement Qui m'en voudra si je décide de lire ou de jouer sur mon ordinateur jusqu'à quatre heures du matin et de dormir jusqu'à midi? Qui me critiquera de rester au lit ou devant la télé aussi longtemps que je le souhaite. Je vais danser avec ces merveilleux tubes des années 60 70 et 80 et si en même temps je veux pleurer pour un amour perdu …Si je veux, je marcherai le long de la plage en short trop allongé sur un corps en décomposition et plongerai dans les vagues avec abandon, malgré le regard pénalisant des autres . Ils vieilliront également. Je sais que parfois j'oublie, mais il y a des choses dans la vie qui devraient aussi être oubliées. Je me souviens des choses importantes. Bien sûr, au fil des ans, mon cœur s'est brisé. Mais les cœurs brisés nous donnent force, compréhension et compassion. Un cœur qui n'a jamais souffert est immaculé et stérile et ne connaîtra jamais la joie d'être imparfait. J'ai la chance d'avoir vécu assez longtemps pour avoir mes cheveux gris et mon rire juvénile gravés à jamais dans les sillons profonds de mon visage. Beaucoup n'ont jamais ri, beaucoup sont morts avant que leurs cheveux ne deviennent argentés.
En vieillissant, il est plus facile d'être positif. Vous vous souciez moins de ce que les autres pensent. Je ne me remets plus en question. J'ai gagné le droit de faire des erreurs. Donc, pour répondre à votre question, j'aime être vieux. J'aime la personne que je suis devenue. Je ne vivrai pas éternellement, mais tant que je serai encore là, je ne perdrai pas de temps à regretter ce qui a pu être ou à s'inquiéter de ce qui sera. Et si je le veux, je mangerai un dessert tous les jours. Avec du Champagne.
Que notre amitié ne soit jamais séparée, car elle vient du cœur !
26 notes · View notes
inemi · 7 months
Text
Tumblr media
Plage, plage sauvage, mer tout autour
Du haut rivage, les mouettes du soir appellent
Face à face, mains dans les mains
Câlin, attentionné, amoureux
Ils marchent le long de la plage vers l'automne
La, la, la, la, la, la, la, la, la, la
La, la, la, la, la, la, la, la, la, la
La, la, la, la, la, la, la, la, la, la
La, la, la, la, la, la, la, la, la, la
Il n'y a pas si longtemps, je marchais sur ce chemin avec toi
Le vent nous a embrassés avec le bruit d'une vague
Face à face, mains dans les mains
Au soleil, je ris avec toi
Je marche le long de la plage avec amour
La, la, la, la, la, la, la, la, la, la
La, la, la, la, la, la, la, la, la, la
La, la, la, la, la, la, la, la, la, la
La, la, la, la, la, la, la, la, la, la
La plage, la plage sauvage, ne nous entend pas aujourd'hui
Mon nom n'est plus écrit sur le sable mouillé
Face à face, mains dans les mains
On se souvient, on réfléchit, aujourd'hui on est lointain
Même si hier ils étaient amoureux
La, la, la, la, la, la, la, la, la, la
La, la, la, la, la, la, la, la, la, la
La, la, la, la, la, la, la, la, la, la
La, la, la, la, la, la, la, la, la, la
La, la, la, la, la, la, la, la, la, la
La, la, la, la, la, la, la, la, la, la
La, la, la, la, la, la, la, la, la, la
La, la, la, la, la, la, la, la, la, la
9 notes · View notes
Text
Tumblr media
Je ne changerai jamais mes amis fantastiques, ma vie merveilleuse, ma famille bien-aimée pour des cheveux moins gris ou un ventre plus plat. En vieillissant, je suis devenue plus amicale envers moi-même et moins critique envers moi-même.Je suis devenu mon ami...Je ne me blâme pas d'avoir mangé des biscuits supplémentaires, de ne pas avoir fait le lit ou d'avoir raté quelque chose de stupide dont je n'avais pas besoin. J'ai le droit d'être désordonnée, d'être extravagante. J'ai vu beaucoup de chers amis quitter ce monde trop tôt, avant de réaliser la grande liberté du vieillissement Qui m'en voudra si je décide de lire ou de jouer sur mon ordinateur jusqu'à quatre heures du matin et de dormir jusqu'à midi? Qui me critiquera de rester au lit ou devant la télé aussi longtemps que je le souhaite. Je vais danser avec ces merveilleux tubes des années 60 70 et 80 et si en même temps je veux pleurer pour un amour perdu ...Si je veux, je marcherai le long de la plage en short trop allongé sur un corps en décomposition et plongerai dans les vagues avec abandon, malgré le regard pénalisant des autres . Ils vieilliront également. Je sais que parfois j'oublie, mais il y a des choses dans la vie qui devraient aussi être oubliées. Je me souviens des choses importantes. Bien sûr, au fil des ans, mon cœur s'est brisé. Mais les cœurs brisés nous donnent force, compréhension et compassion. Un cœur qui n'a jamais souffert est immaculé et stérile et ne connaîtra jamais la joie d'être imparfait. J'ai la chance d'avoir vécu assez longtemps pour avoir mes cheveux gris et mon rire juvénile gravés à jamais dans les sillons profonds de mon visage. Beaucoup n'ont jamais ri, beaucoup sont morts avant que leurs cheveux ne deviennent argentés. En vieillissant, il est plus facile d'être positif. Vous vous souciez moins de ce que les autres pensent. Je ne me remets plus en question. J'ai gagné le droit de faire des erreurs. Donc, pour répondre à votre question, j'aime être vieux. J'aime la personne que je suis devenue. Je ne vivrai pas éternellement, mais tant que je serai encore là, je ne perdrai pas de temps à regretter ce qui a pu être ou à s'inquiéter de ce qui sera. Et si je le veux, je mangerai un dessert tous les jours. Avec du Champagne. Que notre amitié ne soit jamais séparée, car elle vient du cœur !
8 notes · View notes
sarahaubel · 7 months
Text
Super Lune Bleue.
Tumblr media
Ce soir après le dîner je lui ai dit, “ne m’attend pas, j’ai de l’inspiration, je vais écrire un peu.” Ça fait pompeux le “j’ai de l’inspiration, je vais écrire un peu”. Autant dire “ Pardonne-moi j’ai un Renaudot sur le bout de la langue.” M’enfin. Je l’ai dit. Je me sentais très nostalgique, sensible avec le sarcasme pas loin, un bon cocktail qui a fait ses preuves. J’ai cru que j’allais pondre des choses drôles sur des sujets légers. C’est tout l’inverse. Ça arrive. Je vais bien, rassurez-vous. Visiblement pas ce soir entre 22 et 2h mais j’insiste, ça va (Papa j’ai dit CA VA, t’affole pas. Je t’aime).
1er chapitre de mon recueil “Y a d’la joie”.
Un million de solitudes dans un seul corps. Ça s'y bouscule, ça pousse les organes pour se faire de la place. “Les poumons, un seul ça lui suffira. L’estomac, Jean-mi, on va lui couper en 4 de toute façon elle bouffe comme un moineau. Le cœur il lui sert plus à rien on va lui ranger au fond des chaussettes”. Peut-être qu’elles se sont dit ça mes solitudes ce soir. Parce que je sens bien que je lui marche dessus à mon cœur. Ca fait un bruit flasque et humide, reconnaissable entre tous. La symphonie du myocarde écrabouillé. Un grand succès au top 50 qui revient chaque année en trombe après l’été, le 17 juin ou aux fêtes de Noël. C’est qu’elle est pas marrante-marrante la bougresse. Aujourd’hui mon vide est tellement volumineux qu’il déborde dans mon assiette, dégouline sur mes chaussures, sort par mes narines comme deux spaghettis gigantesques. Mais personne capte rien. C’est ça le vide. Sinon ce serait du cinéma. Regardez comme je suis vide ! Non. On est vides. Point. Demain ça ira mieux ils disent. Enfin. Ils diraient si ils savaient.
Allez. 2e chapitre. Plus personnel. Je fais don de mon âme à la patrie reconnaissante.
Je me souviens de ce jour où étendus sur la plage tu me regardais dormir. Mes yeux se sont ouverts sur les tiens. Deux sentinelles amoureuses noyées dans mon visage abandonné. L’angoisse m’a engloutie. Ne refais plus jamais ça. A trop me détailler tu feras s’effondrer les ruses dont j’abuse pour paraître plus belle que je ne le suis. Tu verras pousser mes défauts comme des bourgeons pourris avant d’avoir éclos. Corps difforme et monstrueux avec pourtant mon rire et mes éclats. Regarde-moi à juste distance quand je bouge, quand je danse, quand je ris, quand je m’assied sur ton sexe et sois gentil laisse en place le masque que je met tant d’efforts à porter. Ne t'avise plus jamais d’observer la bête assoupie.
Sinon ça va vous ?
Edit : On est le lendemain matin. C’était soir de Super Lune Bleue. Y a que les cons pour dire qu’il n’y a pas de hasards. Par chance elle revient en 2037. Sauvée.
5 notes · View notes
enthychee · 9 days
Text
Les vagues m'avaient laissé sur la plage, confiante, j'attendais qu'elles me reprennent. Mais plus le temps passait plus le doute m'envahissait...
Allais-je revenir en arrière? Je ne m'étais jamais posé la question, elles m'avaient toujours reprise, toujours ramenée. Les vagues n'avaient jamais faillies. Ce sont de dures maítresses, mais elles sont fidèles. Rester sur le rivage, etre oubliée, exclue, non, cela ne pouvait pas se produire.
Chez moi, on dit que la mer reprend toujours les siens...
''Chez moi!“... Comment ai-je pu dire '''chez moi!' comme ca... comme-ci c'ètait vrai. Je ne suis pas de là bas. Oui, la mer m'a adopté, mais elle n'est pas ''chez moi''... chez moi c n'est pas bleu, c'est blanc, gris parfois. Moi-meme... l'auriez-vous devinée, je suis rouge. Enfin... j'étais rouge. Mais la-bas, le rouge n'existe pas, la mer le deteste. Elle l'efface, l'englouti dans le tenebre de ses abimes. Elle a effacé mon tout mon rouge.... J'avais aussi un peu de blanc et de noir. J'étais si fière lorsque chez moi lorsque pour la première fois, on avait écrit ''Coca cola'' sur mon corps fièrement bombé, lorsque tout en moi pétillait de bonheur. Mais cet instant de grace, ce moment ou jài été pleine, parfaite, neuve... n'a pas duré. J'ai vite été mise en boite.
L'horreur... non seulement ma beauté était caché mais je devais vite découvrir que nous étions des milliers, semblables. Autant de corps rouges, bombés, pétillants... Ce jour là fut dramatique. Emmenée de force je devais quitter mon usine, mon ''chez moi'' pour ne jamais y revenir.
Depuis cet instant j'ai été trimballée de ''chez moi'' en chez moi... Il y a eu le cargo, le magasin, le stock, le frigo du restaurant... Je crois que ca a été mon ''chez moi'' préféré, il y avait la lumière qui mettait en valeur nos coprs. On s'y sentait bien. C'est vrai c'etait un peu la compétition, notamment avec les bouteilles en plastique qui nous regardait de haut car elles on pouvait ''voir ce qu'elles avaient dans le ventre''... des pimbeches! Mais dans le fond on s'aimait bien. Notre plus grand plaisir était de voir la tete des clients, parfois tout rouges, parfois à nous regarder comme si le choix entre l'une de nous pouvaient renverser leur vie entière. On était désirées, importantes, vitales parfois.
Et puis mon jour est arrivé. Je l'ai immédiatemment su: je partirais avec elle! Dès qu'elle est rentrée, entre nous c'était une évidence. Elle était au moins aussi belle que moi! Mais à sa facon... blonde, jeune, de grandes lunettes de soleil noires qu'elles n'avait pas pris la peine d'enlever. Dans le fond, ca me plaisir... Son regard n'appartiendrait qu'a moi!
Je savais que ce serait un beau moment, elle enlèverait ses lunettes en ouvrant mon oppercule. Nous serions seules. Je pétillerais pour elle. Ses mains vernies m'enserrerait, et je perlerais de froid dans la chaleur de cet été étouffant. Mes gouttes de condensation coulerait sur ses mains délicates...
Elle m'a emmené sur son yatch, J'étais ivre de bonheur. Un comble pour un soft me direz-vous! J'allais etre une cannette de yatch! Je remerciais le capitalisme qui m'avait fait naítre et m'offrait cette vie incroyable!
A peine arrivé, elle s'est jeté sur mon opercule... Tout est allé si vite.
Elle n'a pas enlevé ses lunettes. Elle m'a bu sans me regarder. Elle a roté. C'était fini. Je n'étais plus rien. Vidée.
Alors j'ai compris... compris que je n'avais jamais rien compris.
Je n'avais jamais considéré la suite... mon destin était d'etre choisi, bu et de rendre heureux... mais je n'avais jamais pensé à l'après.
Ses mains m'ont étranglé, derriére ses grands verres noirs j'ai senti son regard se poser sur moi.
''Bon pour la planète on verra une prochaine fois...''. Sa première et dernière phrase. Puis dans un éclat de rire et elle m'a jeté par dessus bord.
J'existais pour la rendre heureuse, mais c'est seulement en me jetant qu'elle a ri
L'océan a avalé ma peine. Vidée je l'ai laissé me remplir jusquà l'engloutissement. Je n'étais plus rien.
L'océan me deteste... mais il m'enveloppe. Il a d'abord détruit mon rouge et puis il me ronge un peu chaque jour. Je suis une cannette de chagrin, ma vie se reduit en rancon de mon exaucement: toujours enveloppée, jamais plus abandonnée
Ma vie rongée pour une maison d'éternité... alors pourquoi, sur le sable suis-je de nouveau rejetée?
0 notes
erotiqueb · 7 months
Text
Une correction méritée
Samedi midi. Il a enfin cessé de pleuvoir mais, le ciel reste très gris. Je ne pense pas qu’on va être en mesure d’aller faire une randonnée, encore moins d’aller à la plage. On a passé l’avant-midi à jouer à des jeux de société, certains plus coquins que d’autres. Ça m’inspire pour le programme d’après-midi, disons.
Pendant que mon chum est parti prendre une douche, je prépare des petites pâtes au pesto pour dîner, rien de compliqué. Je dévisse le couvert du pot que j’ai apporté et je hume son arôme de basilic et d’ail : j’ai très bien réussi cette batch. Ça m’ouvre l’appétit. J’aime bien cuisiner sur un poêle de camping au propane, ça a un petit quelque chose de pittoresque.
J’aime bien imaginer mon copain dans la douche aussi, nu et plein de savon.
Justement, j’ai à peine le temps de couper un peu de persil pour décorer les assiettes qu’il arrive tout essoufflé. Il me regarde comme si il voyait un fantôme et me demande si j’étais dans les douches il y a un instant.
– Euh, comme tu vois, je suis ici, je fais cuire des pâtes…
Son air déconfit m’intrigue. J’espère qu’il n’est rien arrivé de grave. Il commence à me parler de comment sont les douches du bloc sanitaire ouest : désertes et un peu décrépites.
– C’était comme tu disais : il y avait pas grand monde…
– Ouain. Mais les douches marchaient, c’était correct?
– Si, si. Quoique assez mal entretenues, un peu crades tu vois… des trous dans les murs...
– Ah c’est poche.
– Enfin, un trou. Il y en avait qu’un...
– Ok mais, viens-en au fait?
– Ben, j’ai vu qu’il y avait cette ouverture dans le mur de la douche et du coup j’ai voulu voir si…
– Si…?
– ...j’ai voulu voir ce que ça faisait tu vois, alors j’ai passé un doigt et puis bam! comme ça, il y avait quelqu’un de l’autre côté.
– Oh attends, tu parles du genre d’ouverture dans le mur qui est faite pour s’échanger des p’tites faveurs?
– Ouais, dit-il en regardant par terre. Et puis après ben, je me suis mis dedans et... ben j’ai cru que c’était toi qui me faisait un petit scénario tu vois…
– Non! Tu me niaises!
– J’te jure. Mais, je comprends rien, pourquoi tu m’as dis d’aller à ces douches-là tout à l’heure?
– Incroyable, tu t’es fait faire une pipe dans les toilettes?! Écoute, on venait dans ce camping quand j’étais jeune pis, dans le temps, on se faisait dire de pas aller à ces douches-là parce qu’y avait du monde qui faisaient «des affaires». Je t’ai envoyé là parce que je me disais qu’il y avait personne mais, je pensais pas que la légende allait se manifester genre 30 ans plus tard! Pour vrai, c’est quoi les chances? Y’a quelqu’un qui attends là toute la journée ou quoi? Eille, t’es sûr tu t’es pas fait sucer par un fantôôôôme?
Je ris mais, ça c’est un récit qui m’excite. Je veux des détails. Cependant, pas question de lui faire savoir que j’approuve entièrement ce qui vient de se passer, il faut que je reste dans mon rôle de maître après tout. Il mérite une punition, ça c’est sûr. Mais pas avant de m’avoir tout raconté.
Semble-t-il qu’il s’est fait pomper bien fort pendant quelques secondes par on-ne-sait-qui, que ça a cessé quand il commençait à s’échauffer un peu trop. Puis ça a repris, d’abord doucement, ensuite il s’est senti aspiré et ça a encore arrêté quand il était sur le bord de venir. Pauvre coco. Ça lui apprendra à transgresser les règles.
Oh que ça me fait bander de savoir qu’il n’a pas eu le temps de jouir et qu’il est encore dans tous ses états. Surtout que je le garde bien chaste depuis plusieurs, plusieurs jours. Je vais d’ailleurs m’assurer qu’il le reste encore un peu, c’était ça le deal. C’est notre petit jeu du moment: il porte une cage de chasteté et je garde la clé. Mais, je n’ai pas l’impression que je pourrais la lui remettre en ce moment. Je lui dit de baisser ses culottes sur mon ton le plus autoritaire.
Son pauvre sexe a vécu beaucoup d’émotions, il est encore un peu trop gros pour la cage. Je vais chercher de l’eau froide et je lui verse direct dessus. Voilà qui est mieux. Allez hop, on barre à double tour. C’est une des affaires qui m’excite le plus, savoir qu’il est enfermé et super en manque. Ça me fait capoter. Je le fait mettre à genoux et lui ordonne de me faire exactement ce qu’il a reçu comme traitement à son glory hole, dans les moindres détails.
Il met ses mains dans son dos, bon garçon. Il commence par promener sa langue sur toute la longueur de mon shaft, puis sur le gland, il tourne dessus. C’est déjà très chaud. Il me prend dans sa bouche et se met à sucer avec beaucoup de ferveur. Wow, c’est… fort! Je ne sais pas comment il a fait pour ne pas exploser quand il a subi ça. Il laisse échapper des gémissements en me suçant tellement il est plus capable. Pauvre petit. Moi, je ne me gêne pas pour me laisser aller, je suis fucking excité et ça s’entend. Mais après à peine quelques secondes il arrête. Je vois que son visage est un peu crispé de douleur et il se penche en se tenant les parties.
– Ça va tu?
– J’ai tellement mal aux couilles.
Il va peut-être falloir relâcher un peu de pression... mais pas trop quand même. Je lui fait confiance, quand il veut arrêter de jouer, il me le dit. Il recommence à me lécher le sexe comme au début. Je ferme les yeux, je respire vite, je pousse des grognements. C’est la première fois qu’on se rend aussi loin dans le edging et ça me rend complètement fou. De savoir que ses couilles sont pleines et qu’il est sur le bord de craquer, qu’il ferait n’importe quoi pour que je le fourre, c’est un niveau d’excitation ultime pour moi. J’ai envie de lui agripper les cheveux et de faire faire ce que je veux à sa tête mais il me surprend. Il met sa bouche autour de mon pénis et fait des succions sans bouger. Je me rappelle que je lui ai dit de me faire exactement ce qu’il s’est fait faire donc ça veut dire qu’il ne me laissera pas éjaculer. Ça m’allume encore plus. Il m’enfonce encore plus profondément dans sa gorge, jusqu’à avoir un petit gag reflex, puis se retire. Il me regarde avec ses lèvres complètement mouillées de salive, et me dit que c’est comme ça que ça s’est terminé.
Personnellement, j’en peux plus déjà. Je ne sais pas comment il fait quand on joue à ça, pour rester aussi longtemps sans venir. Sans même pouvoir bander, dans sa cage. Je suis excité à mort mais j’ai envie de rester dans mon personnage, je ne veux pas gâcher le jeu pour lui non plus. Je lui dit d’aller se mettre à quatre pattes dans la tente, en essayant de me garder une contenance. J’enlève mon pantalon qui était resté à moitié baissé et le rejoins. Faisons une petite expérience : voyons s’il arrive à rester dans la cage pendant que je le baise.
Je m’agenouille derrière lui et m’enduis le sexe de lube. J’ai vraiment de la misère à me contenir, je pense pas que je vais durer longtemps mais, tant pis, il n’y a que moi qui doit venir de toute façon. Je commence avec un doigt, juste pour réchauffer. Il gémis. On va se permettre de le laisser se décharger un peu, mais sans qu’il bande. Je ne veux pas qu’il en profite trop. C’est ça le jeu. Je masse lentement sa prostate.
– C’est dur d’être en cage hein? Tiens, ça va te faire du bien. Ouais, t’aimes ça...
– Oh putain baise-moi! Allez, met-la moi!
Mon français de chum qui me supplie de le baiser, ça ne manque jamais de m’exciter. Ah ben si c’est ça qu’il veut, son trop-plein va devoir attendre : j’enchaîne rapidement avec mon shaft. Je lui mets bien profond, je me gâte. J’accélère la cadence. Je lui donne des claques sur son petit cul. Je m’imagine comment il me mettrais fort si on décidait d’inverser les rôles en ce moment et ça me fait presque venir en quelques coups. Il faut que je me retienne encore un peu pour ne pas avoir l’air trop excité. En tant que dominant, je dois garder un certain sang-froid. Je vois qu’il essaie de se contrôler aussi, pour pas bander. Je ralentis, je lui dis toutes les « saloperies » qu’il aime entendre. Je me retire pour reprendre la tâche que j’avais commencée manuellement.
À peine quelques mouvements et le liquide se met à couler comme un filet de bave de son sexe, condamné à rester mou. Voilà qui devrait suffire à le soulager. À mon tour maintenant. Il aime que je l’utilise comme mon objet, et c’est ce que je compte faire. Ses lamentations m’ont survolté, je me replonge en lui avec empressement. J’empoigne ses hanches pour les amener vers moi, je le fais bouger au lieu de faire moi-même le va-et-vient, en croyant que ça va m’éviter de contracter des muscles et que je vais durer plus longtemps. Mais il se met à faire lui-même le mouvement, il veut aller plus vite et plus fort. J’essaie de lui dire les petites insultes qu’il aime bien mais j’y arrive plus, je peux juste faire des « aaah ». C’est lui qui a pris le contrôle, il me domine sans que je m’en sois rendu compte.
– p’tit criss tu… aah… tu fais exprès… ouh! tu veux me faire venir… ahh...
Mes mots deviennent inintelligibles, se transforment en halètement. Je suis au point de non-retour. Dans un élan animal, je le reprends par les hanches et je donne les dernières poussées en grognant, pour finir sur un cri.
C’est moi qui domine la plupart du temps mais je me surprends à avoir hâte qu’il me rende la monnaie de ma pièce. Je l’ai assez fait souffrir, quand il va décider de prendre sa revanche, je vais y goûter.
Tumblr media
0 notes
problematicseries · 7 months
Text
Tumblr media
NEW FANFIC SERIE - PROBLEMATIC SEASON 2
18+ content, minors dni
/!\ MAJOR SMUT, +18 CONTENT /!\
NOTE : this is all for fun, please keep in mind that no hate is sent to any of the people mentioned, THIS IS A FANFIC FOR FUN 🩷
All of the people mentioned in the fanfic are adults
synopsis : Suite à un bal de promo plus que désastreux, tu va passer tes vacances avec tes amies dans un hôtel luxueux réservé uniquement à l’élite de la jeunesse de Los Angeles. Vous croyez que les vacances allaient être de tout repos ? vous vous trompez.
FR FANFIC
Mentions de Jang Wonyoung (IVE), Woonggi (Boys Planet), Jay (Enhypen), Ningning (Aespa), Rosé (Blackpink), Intak (P1H), Jake (Enhypen), Zhang Hao (ZB1), Natty (Kiss of life), Chaewon (Le Sserafim), Kazuha (Le Sserafim), Mingi (Ateez), Keeho (P1H), San (Ateez), Ricky (ZB1), Sangyeon (The Boyz), Juyeon (The Boyz), Sumin (Xikers), Fatou (Blackswan)
—————-
/!\ MAJOR SMUT, +18 ONLY /!\
Episode 4 - Temptation
Tu réponds au message de Jang
« Quoi ? qu’est ce que San fait à Paradise ? »
Juyeon appuie légèrement sur ton téléphone afin de le baisser.
« Tu comptes parler à Jang toute la soirée ? tu veux pas plutôt qu’on passe cette soirée ensemble ? » te dit-il.
Tu ranges ton téléphone dans ton sac à main avant de répondre « Oui c’est vrai, excuse moi Juyeon »
Il sourit.
« Je vais te chercher un cocktail, toujours un martini ? » te demande t’il.
Tu ris et lui dit « Tu me connais bien »
Juyeon s’éloigne en direction du bar.
Tu regardes au loin avant que ta vue ne soit obstruée par un torse dans une chemise moulante.
Tu lèves les yeux et soupire « Mingi, que me vaut ta présence ici ? »
« C’est pas un exploit de connaître ton cocktail favori, moi tu m’as pas embrassé pour ça » dit-il en s’asseyant à côté de toi.
« Je tiens à ma vie Mingi, tu connais pas ta sœur » tu lui réponds.
« Je sais être discret, j’ai démonté Jang dans le hangar et Kazuha n’en a rien su » te répond t’il, fier de lui.
« Elle est au courant, Jang lui a dit » tu réponds en regardant ailleurs.
« Ah, bah Jang a l’air en pleine forme, Kazuha l’a pas tué » répond t’il.
« Jang est encore vivante car Ning et moi aurions été témoignés du crime » tu dis à Mingi alors qu’il se rapproche doucement.
« Dans tous les cas, Kazuha te tuerait pas si tu me suçais sur la plage » murmure Mingi.
OH SI ELLE TE TUERAIT.
« Mingi, t’as bu combien de verres ? » tu lui réponds en te reculant un peu.
« Suffisamment pour avoir envie de t’arracher ce body » répond t’il.
Juyeon arrive, les cocktails à la main.
« Mingi ? qu’est ce que tu fais là ? » dit Juyeon.
« Je venais dire bonjour à la princesse de la soirée » répond t’il en se relevant et faisant une révérence.
Juyeon suit Mingi du regard pendant qu’il s’éloigne.
« Il t’embête ? » demande Juyeon.
Tu remets une mèche derrière ton oreille avant de répondre « Non, il venait juste dire bonjour ».
Juyeon pose les cocktails sur la table se situant devant le sofa avant de s’assoir confortablement et passer son bras derrière tes épaules.
Tu aperçois Intak et Chae au loin, en train de danser.
« D’ailleurs, t’es pas en couple avec Intak toi ? » te demande Juyeon, te voyant regarder Intak et Chae.
« C’est compliqué » tu réponds à Juyeon avant de prendre une gorgée de ton cocktail.
« Je vois, ton cœur a toujours été compliqué, jamais je n’ai réussi à l’avoir rien que pour moi » répond t’il en esquissant un sourire.
« Tu mens, tu l’avais l’été dernier et tu as décidé de me ghoster complètement à la rentrée » tu lui réponds.
« Rappelle moi qui de nous deux était en couple ? » te répond t’il avec un regard joueur, rapprochant son visage de toi.
« Je vais finir par croire que toutes mes relations sont merdiques » tu lui réponds.
« Dis pas de bêtise » dit-il avant de t’embrasser dans la nuque.
Des frissons parcourent tout ton corps, les lèvres de Juyeon contre ta nuque sont comme un choc électrique.
Tu repousses légèrement Juyeon avant de répondre « Arrête Juyeon c’est pas le moment »
Il se redresse et prends une gorgée de son cocktail avant de dire « c’est jamais le moment avec toi »
Vous regardez tous deux la soirée en ne disant rien.
Tu envoies un message à Jang :
Tumblr media
Soudainement, Heeseung apparaît vêtu d'une chemise décontractée laissant entrevoir son torse, accompagnée d'un short en jean. Un sourire éclaire son visage, ajoutant une touche de chaleur à la soirée.
« Oh bonsoir Juyeon » dit-il
« Bonsoir. » répond froidement Juyeon
« Ça te dit une petite promenade sur la plage ? » te demande Heeseung.
Tu acquiesce et lui tends la main, voyant Juyeon regarder dans une autre direction.
Heeseung t'invite à le suivre vers la plage de Paradise, sa main chaude dans la tienne vous guidant vers un moment privilégié.
« Pas dingue cette soirée hein ? » te dit il avec un sourire en coin tout en marchant à tes côtés.
« J’ai connu mieux, j’ai connu pire » tu lui réponds en souriant.
« Cependant, tu te surpasses toujours, t’es sublime ce soir, même depuis le bar je ne voyais que toi » dit-il, regardant ailleurs, l’air gêné de sa révélation.
Tu souris et lui prends la main.
Il tourne la tête pour voir ta main entrelacer la sienne.
Il serre ta main dans la sienne.
« Juyeon ne sait toujours pas que tu n’appartiens à personne ? » te demande t’il.
Heeseung est bien le seul à te comprendre sur ce point de vue
« Juyeon croit qu’il peut effacer ses erreurs et reprendre là où il s’est arrêté, c’est un homme » tu soupires.
« Juyeon est un abruti, il me fait penser à mingi » te répond Heeseung.
Tu lâches sa main et le regarde d’un air surpris.
« Parle pas comme ça de Mingi » tu lui réponds.
« C’est un abruti et je sais que tu l’aimes encore » te répond t’il en regardant de l’autre côté.
« Je ne suis plus amoureuse de Mingi, c’était une passade » tu réponds à Heeseung.
Il croise les bras tout en marchant avant de répondre « De toutes façons, tu ne choisis jamais les bons hommes, Intak, Mingi, Sumin… tes goûts sont pas les meilleurs, franchement il manque que Jay a la liste et t’as le bingo »
Tu ricanes et le tapes à l’épaule, il ne sait rien et c’est mieux ainsi.
« J’ai vu Mingi venir vers toi ce soir, qu’est ce qu’il voulait exactement ? il a encore trop bu » te demande Heeseung.
Il voulait que tu l’aides à faire sa vidange personnelle.
« Il me demandait si j’avais pas vu Natty » tu lui réponds en regardant la mer.
« Natty ? il fricote avec Natty ? mouais, avec qui il fricote pas de toutes façons » il te répond.
Il attend quelques secondes avant de continuer « tu te débrouilles pas si mal au surf »
Tu rigoles avant de répondre « T’es pas mal non plus en maître nageur »
Vous riez tous les deux.
La promenade nocturne avec Heeseung sur la plage paradisiaque est un moment magique.
La lueur de la lune caresse doucement les vagues qui viennent lécher le sable sous tes pieds.
La présence réconfortante de Heeseung à tes côtés te donne une sensation de sécurité et de sérénité. Le bruit apaisant de l'océan et la brise légère créent une ambiance paisible et envoûtante.
« On y est ! » t’indique Heeseung.
Heeseung t'a emmené dans un coin secret de la plage, un endroit magnifique qui semble être un petit paradis caché, connu uniquement de lui.
La vue qui s'offre à toi est tout simplement époustouflante, un panorama à couper le souffle. Le ciel étoilé se reflète sur les douces vagues de l'océan, créant une toile d'argent scintillante.
C'est un endroit empreint de calme et de mystère, où la magie opère à chaque instant.
« Oh wow » tu lui réponds, émerveillée.
« Impressionnée hein ? » dit-il, souriant en coin.
Il s’approche de l’eau, allant te chercher un coquillage.
Tu t’approches doucement derrière lui avant de le pousser dans l’eau.
« Alors toi » dit-il en souriant, sortant de l’eau, tout mouillé.
Heeseung émerge de l'eau, complètement trempé.
La chemise blanche qu'il porte est désormais transparente, laissant entrevoir son torse sculpté à travers le tissu mouillé. Son physique impeccable se dessine sous le voile humide de la chemise, créant une image saisissante.
Heeseung te prend dans ses bras et s'élance vers l'eau.
Vous finissez tous deux par plonger dans les vagues, éclaboussant l'eau autour de vous. Le rire et la joie remplissent l'air.
C'est agréable de se sentir à l'aise et appréciée pour qui tu es.
La compagnie d'Heeseung semble t’apporter une légèreté bienvenue. Tu profites de ce moment de connexion authentique.
Heeseung s’approche soudainement de toi, passant sa main derrière ta taille, son visage n’étant qu’à quelques centimètres du tiens. Sous le ciel étoilé de Paradise, la proximité avec Heeseung crée une tension palpable. Vous vous regardez intensément, le souffle court, sentant la chaleur monter entre vous deux.
« On devrait retourner sur la plage, tu risques d’attraper froid » te dit Heeseung, toujours qu’à quelques centimètres de ton visage.
Ça fait des années que tu connais Hee, mais il n’a jamais été aussi proche.
Tu approches tes lèvres des siennes avant de répondre doucement « réchauffe moi alors »
Heeseung attire ton corps vers le sien, tu ressens son torse brûlant contre ta poitrine.
« Est ce que c’est suffisant ? » te répond t’il, vos lèvres n’étant qu’à quelques millimètres l’une de l’autre.
Tu fais un signe de la tête indiquant que non avec un petit sourire.
Il approche donc son visage plus près du tiens avant de t’embrasser.
Vos deux corps réunis dans un baiser, dans l’eau scintillante de Paradise est tel un tableau des plus grands peintres.
« MAIS OH MON DIEU » s’exclame Ning.
Elle est debout sur le sable, Hunter à ses côtés.
Tu lâches Heeseung et te retournes vers Ning.
« MAIS QU’EST CE QUE TU FAIS LÀ » tu cries sur Ning.
« ET TOI ? POURQUOI TU MANGES LA BOUCHE DU PETIT FRÈRE DE KAZUHA ? » te répond t’elle.
Tu avances vers elle, sortant de l’eau.
« Tu dis rien de tout ça à personne, ça reste entre nous Ning, tu sais ce que Kazuha pourrait me faire » tu lui réponds.
« Je veux pas assister à une sortie d’organes » réponds Ning en ricanant.
Tu te retournes vers Heeseung avant de lui dire « Mais restes pas dans l’eau ? »
« Hum… si, l’eau est pas si fraîche aha » te répond t’il gêné.
Hunter éclate de rire avant de répondre « Coquin, attends encore quelques secondes que tu redescendes ».
Ning ne comprend pas et vous regarde.
« Laisse tomber Ning » tu réponds à Ning.
Au bout de 5 mins, Heeseung se rapproche de vous et vous retournez tous les quatre en direction de la soirée.
Tu vois Intak, il te voit et t’analyses du regard, il te voit mouillée et Heeseung aussi.
Tu ne sais pas ce qu’il en déduit mais vu la contraction de sa mâchoire, ça ne lui plaît pas.
Ton téléphone vibre :
Tumblr media
Tu soupires en te demandant ce qu’il se passe encore, mais au moins tu aura des infos sur pourquoi San est revenu.
Vous vous excusez avec Ning et partez en direction de l’appartement de Jang.
Vous traversez le hall, pendant que tu discutes avec Ning.
« Alors cette balade avec Hunter ? » tu lui demandes, curieuse.
Elle sourit discrètement avant de te répondre « C’est vraiment le garçon le plus parfait que j’ai pu rencontrer »
« Je suis heureuse pour toi Ning, tu le mérites » tu lui réponds avant que Ning ne te prenne dans ses bras.
« C’était difficile après Lucas tu sais, faire confiance aux garçons tout ça, je suis heureuse qu’Hunter est honnête et aussi gentil avec moi » elle te répond.
L’ascenseur s’ouvre devant vous et vous montez dedans.
« Lucas ne t’as pas renvoyé de message depuis qu’on est arrivées ? » tu demandes à Ning.
« Si, il a dit qu’il allait arriver à Paradise » te répond Ning, soucieuse.
Tu lui prends la main et réponds « Il ne t’approchera pas, je te le promets »
Les portes de l’ascenseur s’ouvrent doucement sur l’étage de Jang.
Vous entree dans son appartement et apercevez Jang adossée contre la vitre, Kazuha assise dans le sofa et Natty couchée sur le tapis du salon.
« Oh je m’attendais pas à te voir ici Natty » tu dis en t’asseyant sur le sofa.
« Ahaha pareil ! surtout que t’avais l’air bien occupée avec Heeseung » dit-elle en riant, ne sachant pas la gravité de ses propos.
Ning se colle au mur, Jang porte sa main à sa bouche pour attester de son choc.
Toutes deux regardent Kazuha.
Kazuha prend une grande inspiration avant de répondre « Avec qui ? » tout en te fixant.
Ning s’assoie contre le mur doucement être essaie de disparaître.
Kazuha se lève du sofa, complètement raide, le regard dans le tiens et répète « AVEC QUI ? »
Jang se rapproche de vous deux avant de répondre « Non mais je pense que c’est une erreur, Natty a peut être mal v-» avant de se faire interrompre par Kazuha.
« TOI LA SALOPE TU LA FERMES, MINGI T’AS BIEN DEFOURAILLÉE DONC T’ES SUPER MAL PLACÉE POUR L’OUVRIR » réponds Kazuha en hurlant sur Jang.
Jang ferme la bouche et se rassoie sans rien dire, le regard dans le vide.
« Je t’en supplie me dis pas que t’as baisé avec Heeseung » te dit Kazuha en soupirant, se tenant le front.
« Non ! on s’est baladés sur la plage parce que la soirée était super lourde entre Juyeon qui voulait qu’on aille dans sa chambre et Ming- » tu réponds en t’arrêtant, te rendant compte de ce que tu allais sortir comme bombe.
La mâchoire de Jang lâcha complètement, se retrouvant bouche bée.
« HEESEUNG ET MINGI ? AVEC TOUS LES HOMMES DANS CE PUTAIN D’HÔTEL TU DÉCIDES DE TE TAPER MES DEUX FRÈRES ? » hurle Kazuha en bougeant les bras dans tous les sens.
« ET PUIS MERDE » continue t’elle avant de se rapprocher de Jang.
*SLAP*
Kazuha vient de gifler Jang.
« MAIS J’AI RIEN FAIT MOI » hurle Jang en se tenant la joue.
« C’est pour la dernière fois » répond Kazuha avant de se rapprocher de toi.
Natty s’interpose entre vous deux.
« NON MAIS ÇA VA PAS » hurle Natty sur Kazuha.
« Pousse toi avant que je t’arrache ta frange » réponds Kazuha à Natty, d’un ton plus que glacial.
« Alors là ma belle si tu veux te battre, tire un seul de mes cheveux et tu verras où ça va te mener » réponds Natty en haussant les sourcils.
Kazuha regarde Natty de haut en bas, et tira une mèche des cheveux de Natty avec une insolence incroyable.
La tension atteint son paroxysme dans le salon de Jang. Natty et Kazuha s'affrontent férocement, tirant violemment sur les mèches de l'autre. Leurs visages sont crispés, exprimant une détermination sans faille. Leur énergie émane dans la pièce, créant une atmosphère électrique.
« ESPÈCE DE SALOPE LACHE MES CHEVEUX » hurle Kazuha.
« T’AS TROP CRU QUE J’ÉTAIS TA POTE TOI DÉJÀ RETOURNE BOUFFER TES BOWLS SANS GLUTEN AVANT DE VOULOIR FAIRE LE BONHOMME » réponds Natty.
Ning, Jang et toi n’osez pas bouger.
Le fracas de verre brisé résonne dans la pièce alors que Natty et Kazuha tombent lourdement sur la table basse en verre.
Les éclats scintillants jonchent le sol, créant un tableau chaotique. Les deux jeunes femmes restent étendues, le souffle court, le visage marqué par l'effort et la surprise de l'impact.
« C’est bon ? vous avez fini ? » demande Jang.
« Oui » répondent Natty et Kazuha a l’unisson.
Jang claque des doigts avant que des domestiques arrivent pour nettoyer les morceaux de verre.
« Il va falloir que je fasse installer un punching ball dans le salon, ma petite table en verre ne méritait pas ça » soupire Jang.
Ning se rapproche doucement pour s’assoir à côté de toi.
Jang se relève du sofa, se dirige vers le bar du salon, prête pour cette soirée pleine de ragots avant de demander « Un cocktail ? »
FIN DE L’ÉPISODE 4
1 note · View note
Text
Dear Summer.
Chaque été c’était la même chose. J’attendais cette saison où le soleil brille, ou les vagues de l’océan deviennent tes amies, ou tout est plus simple. Plus léger et plus joviale.
Chaque année je passais à côté de ce moment unique. Des couchers de soleil à couper le souffle, des sorties le soir en robe légère et au fou rire sans fin.
Cette année est différente. Cette année je vis. Je nage. Je bronze. Je ris. Je crois même avoir retrouvé un peu de ma candeur d’enfant. Les vagues me portent, le sable brûlant me fait courir à travers la plage comme une ado. L’heure du coucher de soleil avec son ciel multicolore, ses oiseaux et son calme si particulier m’apaise et m’émeut.
Je me lève le matin le baume au cœur. Prête pour la vie. J’aime me voir rayonnante dans mes robes colorés. J’aime ces petits traits de khôl dans mes yeux. J’aime chaque petit détail qui font ma routine. J’aime l’océan et l’infini, j’aime aussi mon travail et ses sourires, j’aime rire avec mes amis.
J’y suis presque. Je suis à la porte de mon rêve. Prête à entrer dans cette dimension ou le calme, la sérénité et la joie sont les maîtres. J’y suis. Presque ... mais j’y suis. Et je remercie la vie. Je remercie le Tout puissant, je remercie les merveilleuses personnes que la vie a mis sur mon chemin. Et je me dis merci à moi. Merci d’avoir eu la force et le courage de changer de masque.
Al hamdullilah.
Merci doux soleil. Douce brise. Odeur de l’océan et rire des enfants.
Dear summer je t’aime ❤️
0 notes
yesakademia · 10 months
Text
Eva Bonjour tout le monde !
J’espère que vous allez tous et toutes bien ♥️
Ici, tout se passe bien, l’ambiance est géniale !
20/07
À notre arrivée, nous sommes partis en bus pour aller dormir dans une école (avant de repartir le lendemain pour le village). Sur le chemin, nous nous sommes arrêtés pour manger un bout. Lorsque nous sommes arrivés, il faisait nuit, nous avons installé des matelas au sol.
C’était une expérience inédite !
Ce moment était également l’occasion de rencontrer les lauréats sénégalais de la maison du rugby (Jean, Aby, Mame mbaye, Mara, Idy et Tamsir). Très bel accueil, tout comme celui d'Abdoul Aziz, le coordinateur terrain.
21/07
C'était la première fois que je vois un gros lézard 🦎 !
Le trajet pour aller au village était mémorable. À mi-chemin, nous avons dû faire demi-tour car un tunnel nous empêchait d’accéder à la route.
Une fois arrivée, nous avons eu le droit à un accueil inoubliable de la part des personnes du village !
Ensuite, j’ai rencontré ma famille d’accueil et mon jumeau : Timothé.
J’ai beaucoup de chance ♥️
Ce premier jour au village était incroyable.
22/07
Cette première nuit s’est plutôt bien passée !
J’ai pris le petit-déjeuner avec la famille ; c’était du couscous.
Ensuite, je suis allée à l’école rejoindre le groupe et nous avons prévu les activités de la semaine.
Tumblr media
23/07
Le matin nous avons discuté du forum (qui s’organisera à la fin du séjour) et les thématiques que nous aimerions aborder.
Aujourd’hui, il faisait très chaud, mais ça va, je supporte bien la chaleur.
Nous avons visité le village et salué chaque famille!
Après cela, nous avons joué au rugby et au volley !
PS: Je tiens à dire que Mame Mbaye a des toilettes et une douche !
24/07
La nuit dernière, il a beaucoup plu, c’est le début de l’hivernage !
Ce matin, nous avons eu un cours de sérère (la langue parlée ici) et nous avons beaucoup appris !
Aujourd’hui, nous avons choisi les thèmes que nous traiterons lors du forum ; j’ai choisi environnement (#jesuispasvegetariennepourrien).
Après l’atelier, je suis partie déjeuner, c’était du couscous. J’ai fait une petite sieste après, mais une chèvre m’a réveillé…
Après le déjeuner, nous avons proposé des dessins pour l’illustration de la boutique communale (qui ouvre dimanche) - sans surprise, le mien n’a pas été sélectionné.
25/07
Mon anniversaire !
J’ai eu une surprise incroyable de la part de ma famille, mon chéri et mes amis ! Ça m’a énormément touchée. Puis, une fois arrivée auprès des autres, j’ai eu le droit à un accueil incroyable, j’étais très émue. Tout le monde m’a souhaité de belles choses.
J’ai même soufflé mes bougies 🎂
L’après-midi était sportive et j’ai adoré ! Nous avons fait du fitness, puis nous avons joué au rugby et au football !
Un joueur de l’équipe adverse a dit que j’étais une défenseuse redoutable ; quel beau compliment !
J’ai passé une très belle journée d’anniversaire ♥️
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
26/07
Aujourd’hui, le réveil a été matinal : 5h45, mais pour la bonne cause. C’était journée plage à Saly (c’était censé être pour hier mais ce n’était pas possible à cause de la pluie).
Nous sommes partis en charrette, une première pour moi !
L’allée était très sympa, on a beaucoup discuté. Puis une fois arrivée en ville, nous avons pris le bus en direction de la plage.
J’ai adoré ! L’eau était si bonne !!!! On a tellement ri !
Nous sommes allés au restaurant également, c’était délicieux !
Puis le retour en charrette avec Sofia, Zinat, et Youri était un moment magique, hors du temps.
Petites photos bonus :
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
0 notes
placidmom · 10 months
Text
Tumblr media Tumblr media
Dimanche 18 juin 2023 - L'après-midi nous retrouve à la Plage du Ris, maintenant couverte d'algues puis plus au nord le long de la côte.
0 notes
samuelysamuel · 1 year
Text
Je veux courir et rire
Je veux courir et rire Sur la plage les rues les alpages Je cours hors d’haleine Gorgé de soleil et de cris joyeux
Je veux courir et rire Avec la gazelle sauvage le cheval complice le lévrier joueur Je cours je cours Je ris et ris encore Sous la pluie Dans les forêts d’automne ou tropicales Dans les prés verts en fleurs Je cours hors d’haleine Les yeux et la bouche débordent de rires Un goût de miel et d’airelles le parfum du jasmin Enivrent
Je cours je cours Je ris et ris encore Flamboie ma vie j’arrive
Ne pars pas
0 notes
catherine-geoffray · 2 years
Text
11–10–22
Sur l’île nous sommes reçus à dîner avec deux de mes frères et leurs femmes chez le fils aîné d’amis de mes parents, tous décédés aujourd’hui. Lui et son épouse sont si grands que je me sens toute petite au point même de vérifier s’ils ne sont pas juchés sur un marchepied. À table la femme, une artiste espagnol, se rappelle un dîner lointain avec l’une de mes belles-sœurs présentes durant lequel elle avait trop ri. Je la rassure en lui disant que je ne suis pas drôle. Elle n’arrête pas de se lever et de parler. Elle va même chercher son matériel de peinture pour réaliser devant nous une peinture sur un papier à moitié détrempé. La figure qu’elle peint à toute vitesse se dissout dans la partie mouillée et s’agrège plus épaisse dans la partie sèche. Le résultat séduisant provoque l’admiration de tous. Je reste silencieuse : ce travail est un peu trop facile pour moi. J’ai le sentiment qu’ils ne s’intéressent qu’à eux. Lui est poète et graveur et travaille depuis longtemps pour le musée du Prado où il est devenu le spécialiste d’un artiste du Moyen Âge. Il nous montre un ouvrage qu’il a écrit. Je ne maîtrise pas assez l’espagnol pour en comprendre le sens. Au fond du salon immense j’aperçois accroché au mur un portrait d’un de mes fils que j’ai peint alors qu’il n’était encore qu’un ange blondinet et bouclé. Je ne reconnais pas cette maison. C’est une bâtisse massive moyenâgeuse aux poutres apparentes et aux murs blanchis à la chaux dans un style plus espagnol qu’islais. Sur des tréteaux au milieu du séjour, de grandes affiches, réalisées également par la femme, auxquelles je reconnais cette fois des qualités. La maison est située dans un bois de pins qui surplombe la mer. Je ne reconnais rien de mon île. Un ami présent me dit : tu ne vois pas que ce sont les Conches – une des grandes plages de l’île ?  Piquée au vif je réponds : Non, il y a bien un bois de pins qui longe les Conches mais pas en surplomb comme ici. Notre hôte a organisé un colloque dans un bâtiment de marbre rose bâti au milieu des pins, une sorte de mausolée dont j’ignorais totalement l’existence et où aurait vécu et été inhumé un poète espagnol.
1 note · View note
beatlesonline-blog · 2 years
Link
0 notes
barbarapessoa · 2 years
Text
Il y a quelques jours j'ai reçu un massage sur la plage, la masseuse est douée je passe un super moment. À la fin du soin, elle me barbouille les bras et les jambes d'une crème blanche. Elle ne fait pas le ventre sur conseil de mon amie Ana brésilienne vivant à Lyon. Je crois que c'est une crème pour aider à bronzer, je dis oui pour tester.
Ce n'est que 2 jours plus tard que je me rends compte que l'odeur de la crème ne faisait pas que ressembler à celle d'une décoloration, elle m'a bien décolorée les poils !! J'ai ri de ma naïveté et du ⌛️ qu'il m'a fallut pour voir !
Tumblr media
0 notes
peut-etre · 3 years
Text
Le dernier jour du mois de juillet, c’est la première fois que j’écris depuis le début du mois.
Je n’ai pas eu envie de rentrer ce soir. Je n’ai rien eu envie de dire. Il m’a demandé de rester quelques jours de plus, qu’il payerait ma chambre d’hôtel en face de la mer. Bien sûr, je ne pouvais pas rester, je suis partie ce matin, il m’a fait promettre de revenir. Le goût final des vacances change brusquement le jour du départ. Il était serveur dans un restaurant au bord de la plage, j’allais me baigner en attendant qu’il finisse son service, et puis je revenais les cheveux mouillés, le goût du sel derrière celui des baisers de l’amour éphémère. Ou bien je rentrais lui demander un chocolat chaud à l’ancienne, il me servait en souriant de son sourire charmeur, il me disait, j’aime te servir quand tu me demandes gentiment comme ça, en me disant s’il vous plaît, et je rougissais. Il m’a dit : le premier soir où tu es venue, je ne pouvais pas m’empêcher de te regarder, ça en devenait ridicule, je ne pouvais pas décrocher mon regard de toi, tous les autres se foutaient de moi. Et tous les soirs de la semaine jusqu’à une heure du matin, je le regarde s’affairer, je le regarde me regarder entre deux tables, je ris fort sur la banquette au fond du restaurant qui a des airs de chez-soi, il y a des tableaux accrochés aux murs et les plats du jour sont affichés sur des ardoises noires. Il se passe toujours autant de choses catastrophiques mais je ne veux plus penser à rien. Je me suis allongée dans la mer, et je n’ai pas eu de colère, je n’ai pensé à rien qu’à la douceur de l’eau contre mon corps. La douceur de l’eau salée qui ronge ma peau et du soleil qui la brûle. Je n’ai pas d’autre émotion que celle du mouvement de l’eau.
23 notes · View notes