#types of IVR | Explore Tumblr Posts and Blogs

raisongardee · 1 year

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Les élites dirigeantes ne cachent plus leur intention d’organiser le monde selon leurs intérêts, et le libéralisme montre de plus en plus clairement le visage violemment réformateur qu’il a en réalité toujours eu. Le voile vaguement humaniste qui a longtemps pu le rendre sympathique se déchire à présent sous nos yeux.

Au début de ce siècle encore, la contestation politique portait sur des choses que le plus grand nombre pouvait trouver relativement abstraites : l’oubli du sacré, la mécanisation des modes de vie, le repli individualiste et la fin des communautés, la dégradation des milieux naturels, la corruption des élites et des mœurs… tout cela ne préoccupait finalement qu’une minorité d’insatisfaits, et n’affectait pas l’existence d’une masse encore ivre des avantages hérités des Trente Glorieuses.

Seuls les plus sensibles et informés sentaient que quelque chose n’allait pas, et que le vert était dans le fruit du monde moderne. Nous étions marginalisés par notre intérêt pour les périodes précédentes, souvent moqué et sans force face aux arguments du progrès technique et du nouveau confort. L’image du passé était envahie par la condition ouvrière du XIXe siècle, les guerres du XXe, ou encore un moyen âge dont le cinéma ne savait mettre en scène que les brumes hivernales. En ne brillant que sur les villes modernes, même le soleil semblait témoigner contre nous.

Il n’en est plus tout à fait de même aujourd’hui, dans un contexte économique, social et culturel qui écrase de plus en plus violemment les gens ordinaires. Les "grands récits" américanisés ont perdu une part de leur magie, le décor est usé et laisse entrevoir les vieux rouages du libéralisme.

Même si ce grand dévoilement transforme lentement les convictions, la majorité de nos contemporains reste cependant sans réaction. Nous ne parlons pas des complices d’un système ouvertement inhumain, de ces minorités pathologiques qui restent toujours un aussi petit nombre que les résistants opérationnels, mais de la grande majorité qui ferme les yeux et refuse de voir les choses en face. Elle se détourne de ce qu’il lui est trop pénible d’envisager, et laisse le nœud se serrer aussi longtemps qu’elle peut encore respirer. Un tel aveuglement est certainement un moyen de s’épargner le malaise de la conscience, une sorte de mécanisme de sauvegarde par lequel le cerveau se met en veille et protège une intégrité psychologique menacée par la panique. Cette stratégie s’explique aussi longtemps que l’inaction reste indolore, tant que l’incendie qui ravage les premiers étages n’a pas encore atteint le nôtre, mais elle laisse aussi le mal grandir jusqu’au point de non-retour. Il est vraiment démoralisant de voir une humanité incapable d’assumer sa situation objective, aveugle aux signes qui devraient pourtant l’alerter. Un tel refoulement est peut-être le phénomène naturel par lequel nous ne faisons face qu’à la mesure de notre capacité d’endurer.

La "rationalité limitée" avec laquelle les flagrants délits de violence politique et sociale sont envisagés repose sur des types d’arguments dont il est facile de faire l’expérience :

Le déni, qui repousse sans cesse les limites du choquant et de l’inacceptable, et permet par exemple de ne pas sourciller à l’idée de signer à soi-même une permission de sortie ou de porter un masque en plein air. D’où les "il faut voir le bon côté des choses", "ça a toujours été comme ça c’est pas nouveau", "tu te prends un peu trop la tête".

Le discrédit, qui disqualifie une réalité ou un argument en raison de l’indignité d’un de ses éléments constitutifs. De même que la corruption du clergé a largement ridiculisé la religion, les actes de violence ou complots imaginaires permettent de discréditer toutes les résistances au pouvoir en place. D’où les "tu vois bien que c’est pas clair tout ça", "quand tu vois ce qu’a fait untel tu doutes quand même un peu excuse-moi", "oui on croyait ça au début, puis on s’est aperçu qu’untel…"

Le soupçon, qui conduit à douter de tout ce qui n’a pas l’évidence d’un fait simple et direct, et à n’accorder foi qu’à ce qui est visible et immédiatement vérifiable. Le miroir déformant des médias justifie largement un tel scepticisme, mais contribue aussi à tout diluer dans un doute hyperbolique qui cantonne la réflexion à la sphère individuelle et triviale. C’est ainsi qu’on peut à bon droit "se méfier d’internet", qui est cependant aussi le seul canal d’information qui échappe au contrôle de l’Etat. D’où les "tout est faux", "de toute façon ils sont tous pourris", "on ne peut faire confiance à personne".

L’étiquetage, qui consiste à manipuler des noms et caractères a très forte charge émotionnelle, et qui s’imposent comme des évidences a priori et universellement partagées. Tout ce qui est ainsi nommé est considéré selon la programmation et puissance affectante de l’étiquette. Après le célèbre "facho", le plus récent "complotisme" fait automatiquement regarder les faits comme des fantaisies. D’où également les "c’est encore un truc d’extrême-droite ça", "c’est raciste", "homophobe", "antisémite", "intolérant", "rigide" ou "jugeant".

De telles lectures de la situation impliquent les émotions sans la moindre analyse objective, et restent donc aussi susceptibles d’affecter les mieux armés. Dans un texte de 1945, René Guénon évoquait déjà "un secret qui est mieux gardé que tout autre : c'est celui de la formidable entreprise de suggestion qui a produit et qui entretient la mentalité actuelle, et qui l'a constituée et, pourrait-on dire, "fabriquée" de telle façon qu'elle ne peut qu'en nier l'existence et même la possibilité, ce qui, assurément, est bien le meilleur moyen, et un moyen d'une habileté vraiment "diabolique", pour que ce secret ne puisse jamais être découvert."

#mes ecrits

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claudehenrion · 4 months

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Histoire d'un ratage collectif – Tome I

Même si c'est devenu routine pour nous, ce que nous vivons est tout de même difficile à croire... dans la profondeur de notre chute, dans la dimension de notre échec –celui d'un succès unique, qui aurait pu et dû marquer l'entrée de notre pauvre humanité dans des perspectives tellement plus brillantes-- mais aussi, et c'est cela qui est sans doute le plus humiliant, dans notre aveuglement et notre désir mille fois réitéré de tourner le dos au réel... Ce n'est pas faute qu'il ait sonné à notre porte pour nous rappeler son existence !

L'illustration la plus parlante du mal qui nous frappe si violemment se trouve, involontairement résumé, dans la séquence dont nous sortons depuis 3 jours –ou, pour être plus précis : dont nous croyons sortir... mais comme c'est par une petite porte dérobée, ce ne peut en aucun cas être une vraie ''sortie de crise''. Au mieux, c'est un gain de temps en apparence, fruit blet d'un lamentable mensonge à l'échelle planétaire –en tout cas, européenne. Mais c'est une preuve de plus, et loin d'être la seule, hélas, que nous sommes trompés dans les grandes largeurs par un destin qui a l'air d'avoir été désorganisé par quelque démon –si on y croit-- ou par des esprits malins, pour ceux qui se croient … plus malins que le Malin. Faisons, si vous me le permettez, une petite halte dans ce nouvel univers, pas loin d'être infernal, dans lequel il faut survivre à la va-comme-je-te-pousse...

A tout ''saigneur'', tout déshonneur : la crise paysanne de ces derniers jours s'est ''terminée'' (sic !) par un brusque changement d'attitude des princes qui nous gouvernent si mal … et la Presse, ivre de sa propre nullité si sale, a fait résonner les trompettes irraisonnées de la victoire ! ''Le jour de gloire'' était arrivé, et on pouvait replier les ''étendards sanglants''. ''Agriculture : Macron tourne le dos à l'écologie punitive'' pouvait on lire --à de petites variantes près, genre ''L'écologie en pause''-- sur les ''Unes'' de tous nos quotidiens.... comme si un homme politique actuel pouvait être intellectuellement équipé et assez fort pour pouvoir se remettre en cause, ''se convertir'' (convertor = se retourner complètement), et se renier lui-même –ce qui n'a rien à voir avec ''dire aujourd'hui le contraire de ce qu'on a dit hier''. Ça, c'est de la politicaillerie !). Dans le vrai monde, seul les saints peuvent faire un tel geste, et c'est le proverbe ''Chassez le naturel, il revient au galop'' qui décrit la réalité !

Au moment précis où un tsunami de déclarations primo-ministérielles et autres promettait que le président ''pèse de tout son (absence de) poids'' pour que Bruxelles accepte de faire semblant (dites... s'il vous plaît, Madame, s'il vous plaît... dites ''Oui''...) de retarder de quelques jours certains des effets pervers des traités, des engagements et des compromissions qui tuent l'Europe pour en faire une province de l'utopique mondialisation, la même Madame von den confirmait les promesses de traitement privilégié faites à l'Ukraine, et notre inénarrable Commissaire Thierry Breton se disait scandalisé par les demandes des paysans et demandait qu'ils soient poursuivis (Mais c'est vrai, quoi ! Voilà des types qui ne sont pas en adoration devant chacun des prouts (pardon ! Je confirme !) de nos grandes cons-sciences qui se donnent tant de mal pour notre malheur ! C'est pas juste !). Mais tout le monde a oublié que nos grands esprits sont non seulement des européistes tendance 'quoi qu'il en coûte', mais des tenants du mortifère 'et en même temps' ! En français : ''on a été eus !''.

C'est aujourd'hui, 6 février, que la grosse Commission devrait délivrer ses ''nouveaux objectifs climatiques pour 2040''... et d'après ce que j'ai pu glaner comme ''on dit'', ils n'ont pas la moindre intention de tenir compte des demandes urgentes et vitales de tous les paysans d'Europe, unis dans un même ''ras le bol''... dont nos technocrates se foutent comme d'une guigne ! Je prends le risque d'annoncer ce qui se dira dans quelques heures : réduction des gaz à effet de serre de 90 % par rapport à 1990... maintien de la ''transition verte'' sur le vieux Continent (dont Anne Sander, membre du PPE, dit ''les mesures contenues dans le pacte vert européen sont punitives pour les agriculteurs''... et neutralité chimique d'ici 2050... le but étant de tout figer dans des textes programmatiques, au cas où les élections à venir ne seraient pas favorables (comme on le dit partout) à leur vision suicidaire, rétrograde et assassine d'une Europe dont plus personne ne veut... et avec juste raison : elle est insupportable !

La solution, pourtant, paraît simple –même en continuant à faire semblant de croire à tous les boniments qui ont totalement pourri le système, nos vies, les rapports humains, notre jeunesse, les références, les fondamentaux et jusqu'à la vérité elle-même, et qui sont le tissu de bobards le plus épais qui ait jamais empoisonné la Terre, puisqu'il est plus holiste, plus total, et plus absolu que ne l'était le communisme -qui a berné la Terre entière ou peu s'en faut et a réussi à faire du XX ème siècle un siècle de douleur, d'horreur et de mensonge ! Il suffirait (outre, donc, d'arrêter toutes les idées absurdes qui sont données comme vraies–et trop souvent crues) de composer une politique agricole qui soit commune au lieu d'être technocratique, qui ne donne pas la priorité exclusive et absolue à l'atteinte de résultats théoriques et abstraits, et à enfin d'admettre que les agriculteurs sont la solution infiniment plus qu'ils ne sont le problème.

Il semblerait que c'est trop demander aux illuminés qui prétendent ''sauver'' la planète (qui n'a besoin ni de l'être ni d'eux pour jouer les mouches du coche) et qui ont érigé une théorie plus ou moins scientifique (c'est-à-dire : soutenue par des multi-diplômés... mais niée par tout autant de gens au moins aussi compétents mais forcés de se taire : le ''système'' ne donne la parole qu'aux premiers...). Malheureusement pour nous, cette ''crise'' n'est pas la seule où notre dépendance à la bêtise d 'un petit nombre risque de nous précipiter dans des drames sans fin et sans fond. Comme disait Eugène Sue en publiant ''les Mystères de Paris'', la suite au prochain numéro...

H-Cl.

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heartbrookenx · 8 months

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Tate Collins

Elizabeth Tate Collins ou également connue sous le nom de Tate Collins est une infirmière urgentiste de 23 ans ainsi qu'une étudiante au CRNA afin d'obtenir un deuxième diplôme d'infirmière. Tate retourne en Californie pour emménager avec son frère, Corbin Collins. En arrivant à l'appartement de Corbin, Tate remarque un type ivre près de la porte de Corbin. Tate pensait que ce type ivre était beau. Tate appelle Corbin et l'amène dans l'appartement lorsque Corbin lui demande de le faire venir. Miles est en fait un ami de Corbin et il s'avère qu'il habite juste en face de chez eux.Tate semble être attirer par ce voisin mystérieux. Qui ne veux pas parler du passée ou dû future ..

Recherche: Miles archer ( Nick Batteman) , corbin Collins …

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mysticalnightenthusiast · 2 years

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S.N.A.F.U CH69 ‘Just the two of us’ Pt 1

“Do you want to come with me to the shops?” Eadaoin asked after a lazy afternoon of hanging around the apartment “we’ve got to get some food there’s literally nothing here.”

“Nah I’d rather stay in,” Daniel replied with a sigh “you don’t mind going out do you?”

“Nah I’m good I know where to go,” Eadaoin replied “you want me to get anything for you?”

“Yeah if you can find it a block of this cherry center chocolate called La Vie Est Belle, it’s the bomb diggity.”

Eadaoin smiled.

“You got it,” she said running her fingers through his messy curls and pressing a kiss to his lips “love you.”

“Love you too darling.”

Eadaoin swiftly made her way out of the apartment and downstairs to the carpark beneath the building, she swiftly located Daniel’s McLaren and got into the driver’s seat, securing her seatbelt and starting the engine with a roar, she backed out and began the journey to her and Daniel’s favourite supermarket on the other side of the principality. Parking the car she made her way inside and was totally lost in her task of buying enough food for the week when a familiar voice called her name.

“Eadaoin! Hey EADAOIN!”

Pausing with a bag of pasta in her hand Eadaoin turned to see Charles Leclerc pushing a cart full of various types of crisps, chocolate, carbonated soft drinks and rich fancy French cheeses toward her.

“Charles ca va?” she greeted the young Monegasque.

“Je suis un peu ivre ch-cherie,” (I’m a bit drunk darling) Charles replied with a grin “ca va?”

Eadaoin let out a snort of laughter.

“Je suis parfaitement sobre,” (I’m perfectly sober) she said in amusement “excuse me my French is less than perfect.”

“I undersch-tood you,” Charles replied with a grin “how are you? Hic.”

“Eh not bad,” Eadaoin replied honestly “Danny and I are relaxing for a few days before he has to leave for Jeddah and I have to head back to London”

Charles hiccupped and fell into step beside her.

“H-how’s he doing?” he slurred.

“He’s been better,” Eadaoin admitted placing a jar of pasta sauce in her cart “but he’ll start to relax a bit now we’re over here for a few days.”

“Oh th-that’s good hic” Charles replied “excuse-moi I’m very drunk.”

“What have you been drinking?” Eadaoin asked in amusement.

“Vodka cocktails,” Charles replied with a grin “with Pierre.”

“He’s in town?” Eadaoin asked in surprise.

“Yeah we-.” Charles began

Charles was then interrupted buy a loud French accent as a substantially more drunk Pierre Gasly made an appearance at the end of the aisle.

“Je ne trouve pas de putain de gouda!" (I can’t find any fucking Gouda!) he yelled “Charles, où es-tu putain?” (Charles where the fuck are you?)

“T'as besoin de lunettes, connard!” (You need glasses, asshole!) Charles shot back “look I found Eadaoin!”

“Eadaoin ma cherie ca v-va?” Pierre exclaimed loudly sweeping down and kissing her on each cheek.

“Ca va bien Pierre, when did you two start drinking?”

“’Bou’ mid-day,” Pierre slurred happily “would you and Daniel like to join us? Where is he?”

“Back at the apartment, he didn’t feel like going out tonight, we only flew in early this afternoon anyway.” Eadaoin replied.

Pierre’s happy inebriation vibe immediately vanished.

“H-how is he?” he asked.

“He’s anxious and a bit depressed but is starting to get better,” Eadaoin replied “we flew in with Max and Kelly just after lunch and are staying here til you guys leave for Jeddah, then I’ll head back to London to work for a few days before flying to Abu Dhabi for the last race of the season.”

“Is h-he you up for visitors?” Pierre asked.

“Give it a couple of days huh?” Eadaoin suggested “he just needs to process things first, ring or text first to see how he’s feeling.”

“We’ll do that,” Charles promised “we better go and find this idiot some Gouda.”

“Va te faire foutre!” (go fuck yourself) Pierre muttered.

“But first a selfie!” Charles declared cheerfully fumbling with his phone “fuck-”

“Here let me,” Eadaoin replied in amused exasperation retrieving her phone from her own pocket “what are you buying? Andreas is going to have your hide next time he’s in Monaco and sees what’s in your fridge.

“Ehhh who cares,” Charles said cheerfully “by the time he arrives Pierre would have eaten it all anyway.”

“Suce me bite, connard.” (suck my dick asshole) Pierre muttered.

“Flash the middle finger, I’m going to send this one to Danny,” Eadaoin said with a grin opening the camera app on her phone 1-2-3 cheese!”

Pierre and Charles held up their middle fingers and grinned as Eadaoin snapped a selfie.

“You two better finish your munchies run or you’ll sober up before you get back to Charles’ and regret your life choices when it comes to grocery shopping,” she said in amusement.

“You sound like my Maman!” Pierre declared loudly.

“Gouda’s in the cheese fridge in the continental section,” Eadaoin informed Pierre “good seeing you lads, see you in Abu Dhabi huh?”

“You got it darling see you then!” Charles replied cheerfully.

And stumbling slightly Pierre and Charles wandered up to the end of the aisle and disappeared, with a chuckle Eadaoin set Daniel the selfie and tagged it with ‘A couple of likely lads”

Eadaoin was in the confectionery aisle picking up Daniel’s favourite chocolate when he phone pinged with an incoming message from the curly haired driver.

They looked absolutely munted LOL

With a grin Eadaoin texted back.

Yes, but Charles can walk in a straight line, Pierre was wandering around yelling asking where the Gouda was, almost got everything se you soon....love you.

Love you too.

Eadaoin swiftly finished shopping and returned to Daniel’s GT, she was loading up all the bags when a taxi drove by with Pierre and Charles hanging out the windows whooping and hollering at her in unintelligible French. She waved then got into the GT and returned to the apartment.

“Run into any more of my drunk colleagues?” Daniel asked as he emerged from their bedroom.

“Nah just Pierre and Charles,” Eadaoin replied with a grin “Poor Pierre he’s going to have a hangover that could drop and elephant in the morning, they started drinking six hours ago!”

Daniel grinned.

“Those two are great to drink with,” he said in amusement taking a couple of bags from her and following her into the kitchen “but everything is a competition with them though, if you go drinking with them Gasly will try drinking you under the table.”

“Would you be under the table?” Eadaoin purred.

“No but only because I couldn’t want anyone to see what I would get up to,” Daniel replied cheekily slapping her backside “those sorts of shenanigans require absolute and total privacy. I’m not Gasly, exhibitionism doesn’t get me hard.”

“How d'you know what gets Pierre hard?” Eadaoin asked with a shrill giggle “you watched him get it on have you?”

“Not willingly,” Daniel replied rolling his eyes at her amusement “you know who and I were trying to find a spot to you know one night at Jimmy’s and walked in on him fucking his then girlfriend doggy so hard she looked like Regan from the Exorcist, you know eyes rolling back in her head drooling sweating sounding like she was possessed.”

“You’ve made me look and sound like that several times in the past,” Eadaoin reminded him with a grin “like the other day when we christened the manor house.”

“Ah yeah good times,” Daniel replied with a happy sigh “wish I was up to those sorts of shenanigans but after yesterday I’m feeling like the least sexual person in the world right now.”

Eadaoin stood on her tippy toes and kissed the curly haired Australian on the lips.

“Just relax,” she said softly “don’t feel you need to ‘perform’ for me at all this week or ever. I don’t want you to feel pressure in that department. If you get the itch I’m more than keen to help you along but otherwise just some nice prosecco and cuddling all week is all I need from you. We don’t even have to leave the house.”

Daniel scooped Eadaoin up and plonked her on the kitchen bench.

“Wine and cuddles sounds just the ticket to coming out the other side of yesterday,” he said kissing her soundly “now how about you help me put away all this shopping and we can get down to the serious business of cuddling?”

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For a full two days after their arrival in Monaco Daniel and Eadaoin sequestered themselves away from the outside world, drinking wine, sleeping in and just enjoying the peace and quiet of each other’s company without the outside stressors of work. On the morning of the third day after their arrival Eadaoin pulled on one of Daniel’s baggy t-shirts and made her way into the kitchen where she started making bacon and scrambled eggs. The alluring smell of bacon fat and the noise Eadaoin was making roused Daniel from his slumber and he padded into the kitchen a short time later yawning widely and scratching his scalp.

“Morning darling,” he murmured wrapping his muscular arms around her waist and pressing a kiss to her neck “smells good.”

“I do or the bacon?” Eadaoin asked in amusement.

“Both, I hope to eat a bit of both today,” Daniel replied.

“Well you sound a bit perkier today,” Eadaoin said with a grin “feeling refreshed are we?”

Daniel squeezed her breasts and pinched her nipples.

“You could say that,” he growled in her ear “I just feel different today, maybe because I’ve finally been getting some decent sleep.”

“So d’you fancy leaving the house today?” Eadaoin asked hopefully “after yesterday’s nice weather I thought it would be nice to go to the beach but it looks a bit overcast today.”

“Yeah actually I have an idea of what we could do,” Daniel said with a grin “want to hop in a car and go and see my car collection? They’re in storage just over the border in Cap d’Ail.”

Eadaoin lit up.

“That sounds great.” She said “but can’t we drive there?”

“We could but I thought you could pick which car to take out and we’d go cruising,” Daniel suggested “then maybe we could have dinner at my favourite restaurant in Cannes. It’s less than an hour away from here.”

“Is it a black tie restaurant?”

“No smart casual, I’ll wear good jeans boots and a nice shirt and take a jacket,” Daniel replied making his way over to the coffee machine and turning it on “whatever car you pick we’ll bring it back here and part it next to the McLaren.”

“Are you sure?” Eadaoin asked in surprise “whenever we’re in Monaco together we usually go where we need to go in the McLaren.”

“I know but the others don’t get driven enough and I’d like you to have a car of your own to get around in whilst you’re here, you won’t let me buy you a Prancing Horse so this is the next best thing.”

“You spoil me,” Eadaoin commented taking the bacon out of the frypan and putting it on a paper towel.

“Not as much as I’d like,” Daniel said solemnly “I’d really like to spoil you with nice things more often than you let me.”

Eadaoin was surprised by the curly haired Australian’s confession.

“You really do want to spoil me don’t you?” she said putting bread in the toaster and turning to face him.

“Yeah I do,” Daniel muttered looking at his feet awkwardly “look I’ve been doing a lot of thinking these past few days, really since we started dating and getting serious. I want to spoil you because I know you’ll value and appreciate it more than Jem ever did. I’m in it us for the long haul and being so means getting you nice things.”

“That sounds awfully like something you’d say to a wife or a fiancée,” Eadaoin said in a thick voice.

“This isn’t some fucked up proposal trust me after these last few months-really since Abu Dhabi I don’t know if I’ll ever be ready enough to propose-to anyone,” Daniel confessed “but I am here for you for us for the long term, however long that is and I want to do and give you nice things.”

Eadaoin padded over to him and wrapped her arms around his waist, after a minute she stepped back and kissed him chastely on the lips.

“I’m just not used to nice things,”” she informed him “at least the sort of nice things you mean. It’s not that I don’t appreciate what you gift me, I do it’s just odd to be surrounded by so much wealth. I saw a Bugatti Chiron Super Sport parked in the Carrefour carpark when I went shopping the other day, those things are worth nearly four million dollars U-S. That car makes your McLaren look like a heap of junk.”

“It can be a bit odd being surrounded by that sort of wealth, I’m far from broke but having not grown up with the sort of wealth I’m privileged to have I still find myself doing a double take when I see a fancy super car,” Daniel admitted “I want to give you nice things because I love you and for no other reason.”

Eadaoin’s eyes welled with tears upon hearing her man’s confession.

“I love you too,” she whispered in his ear “promise me something.”

“Mmm?”

“If you buy me something nice make sure it’s for a good reason,” she went on “don’t buy me a necklace or a bracelet or a Ferrari just because you think I ‘might like it’ or because Cartier’s has a fifty percent off sale, make it meaningful okay?”

“You got it,” Daniel promised with a smile “fuck I’m lucky to have you.”

“I could say the same about you,” Eadaoin said with a grin as the toaster popped “now how about some food?”

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After a long and leisurely breakfast Daniel and Eadaoin got ready for the day. Daniel eyed the redhead of greedily as she walked into the bedroom from the bathroom wrapped only in a crisp white towel.

“Hey sexy!” he exclaimed cheekily as he raked his eyes up and down her slender figure.

“Keep it in your pants Driver Man,” Eadaoin replied “at least til we get home tonight.”

“Oooh have something planned?”

Eadaoin winked.

“Maaaaybe,” she said mysteriously “you’ll find out when we get back tonight.”

“No hints?”

“Keep going and I’ll sleep in the spare room,” Eadaoin scolded him “let’s just have some PG fun first huh?”

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Within an hour Eadaoin and Daniel were in a taxi and headed over the border to Cap d’A in in the south of France. The sky had cleared and the sun was shining brightly.

“Do we have far to go?” Eadaoin asked as Daniel helped her out of the car.

“No just over there,” Daniel replied pointing to a modern looking medium-rise building “that whole building is a car storage facility. Each pod you can store a car in is climate controlled, I’ve got five pods in there though two are empty I keep the McLaren at the apartment, I sold the Megane I had when I was with Renault and the spares are for anything else I might buy, one spot is going to be for the Valkyrie when I get it next year.”

“The Aston Martin Valkyrie?” Eadaoin asked in surprise “those are actually a thing?”

“Technically no, production starts in the new year,” Daniel replied “there’s only a hundred and fifty being made, Max is getting one too.”

“You joke about his Pista being a dick extension, what’s going to happen when you both get one of these Valkyries?” Eadaoin asked in amusement slipping her hand into his and giving it a squeeze “that’s just going to be a pissing competition then.”

Daniel grinned.

“Maybe,” he said “c’mon let’s go see my babies.”

Eagerly Daniel led Eadaoin across the road and to the car storage facility. He punched in a code and pushed open the door allowing her to enter first.

“Does Max store his cars here?”

“Nah his are in a similar place in Beausoliel over the border but the opposite direction we came in,” Daniel replied “he keeps his two Ferarris at his place though.”

“He has more than one?”

“Yeah the Pista and a Monza FP2” Daniel replied as they arrived at some lift doors “the FP2 is awesome to drive and I almost bought one but I thought that would be a bit wanky despite the fact I could well and truly afford one.”

“So the Valkyrie which apparently costs three and a half million US isn’t?” Eadaoin asked with a giggle.

“Well at the time the Valkyrie was only a prototype with no confirmed delivery date,” Daniel replied pressing the up button “though when I get my Valkyrie I might retire the McLaren to a pod here or put it on a truck to the UK and store it at the Manor house to drive when I’m there.”

“Bring it to the UK,” Eadaoin suggested “then I can drive it a bit more than I do.”

“You know seeing you drive my cars is kind of a turn on,” Daniel said with a grin as the lift arrived “I’m quite happy to let you be my taxi driver from now on.”

“Yeah but if I drive you everywhere I lose the chance of giving you road head,” Eadaoin purred running her hand over his backside as they stepped into the lift.

“You’ve never given me road head!” Daniel exclaimed as he pressed the 5 button and punched in his pin code.

“I know but if I drive you everywhere I won’t ever be able to give you road head,” Eadaoin reasoned as the life began ascending “I mean I don’t mind you driving but I’d kinda like to suck your cock once in a while.”

Daniel pushed Eadaoin up against the side of the lift and pressed his lips to her neck.

“How about now?” he whispered sucking on her skin.

Eadaoin couldn’t help it and melted into him.

“Not here,” she murmured “tonight at home, I have something planned.”

“And what’s that?”

Eadaoin winked.

“That would be telling,” she said cheekily “I want to see your cars first.”

The loved up pair made their way up to the fifth floor Daniel purposely walking behind Eadaoin to check out her backside.

“Keep it in your pants Ricciardo,” she said “perve.”

“Only for you darling,” Daniel teased cheekily smacking her backside.

“Oh brother.”

Daniel took Eadaoin to the far end of the the floor and to a green coloured roller door. He punched in a code and it rose to reveal a jet black Porsche 918 Spyder.

“Oh wow,” Eadaoin breathed “its gorgeous. When was the last time you drove it?”

Beginning of the year between when I arrived back from Australia and when I ran into you in front of Whelan’s” Daniel replied “I drove from here over the border into Southern Italy for six or seven hours then came back, its my favourite car next to the McLaren. It’s the car Michael or Blake drive whenever we need to go to the same place together because I can only take one other person with me in the McLaren.”

“Can we turn the engine over?”

“Sure, d’you want to do it?”

“Oh wow can I?”

“Of course.”

Daniel unlocked the car with the fob and handed Eadaoin the keys. She sat in the driver’s seat put the keys in the ignition and turned it. Immediately the engine roared to life and idled with a deep regular growl.

“Oh that’s a sexy sound!” Eadaoin exclaimed “I can feel the vibration in the seat.”

“Wait til you get it out on the open road and open up the throttle a bit,” Daniel said watching her closely as she adjusted the seat and mirrors “this one is my favourite after the McLaren.”

For the next half an hour Daniel showed Eadaoin the three cars he had in storage, he told her the story behind each one and he let he start and rev the engines and set the seat and mirrors to her liking smiling as he watched her find the same joy in them he had.

“So what one do you want to take out today?” he asked “the Spyder, the Vantage or the 911?”

Eadaoin sighed and walked up and down in front of the three cars her brow creased in concentration.

“I can’t decide!” she exclaimed eventually “all three look, feel and sound gorgeous and all three could literally make my pussy throb.”

“Really? I know something else that could make your pussy throb,” Daniel murmured in her ear.

“Down boy,” Eadaoin said with a giggle, elbowing him in the stomach as he grabbed her backside with both hands “aren’t you hungry? We haven’t had lunch yet.”

“Mmm I am hungry, not for food though,” Daniel replied raking his eyes up and down her body greedily.

Eadaoin rolled her eyes.

“Rein it in Driver Boy,” she said “let’s take the Spyder out.”

“I knew you’d choose that one,” Daniel said with a grin as he closed the roller doors on the Vantage and 911 “next time we’re here let’s go out in the other two and head into Italy for a weekend. Genoa’s only a couple of hundred k’s away and the drive goes quick.”

“For a dirty weekend?” Eadaoin asked cheekily as she opened the Spyder’s door and slid into the driver’s seat.

“Maaaybe,” Daniel replied “drive out bit so I can shut the roller door and I’ll join you in a bit.”

Eadaoin drover out of the pod and waited for Daniel as her locked the roller door, a moment later the curly haired driver slid into the passenger seat and within minutes were on the way to Cannes.

“Hope you know where we’re going because I don’t.” Eadaoin said.

“Follow this,” Daniel instructed as he punched co-ordinates into the car’s navigation system.

The couple quickly cleared the Cap D’Ail limits and were soon on the main highway to Cannes. Daniel placed his hand high on Eadaoin’s thigh and relaxed into his seat watching the sassy redhead drive.

“You’re getting fresh with me Driver Boy,” she said as they sped along.

“Mmm yep I am,” Daniel replied cheerfully pulling up the skirt of her dress and brushing the edge of her knickers with his fingers “we should’ve packed a change of clothes and stayed in Cannes for the night.”

“You sound like an oversexed teenage boy that squeezed a boob once and now wants to spend the rest of his life drowning in pussy,” Eadaoin responded dryly.

Daniel threw his head back ad roared with laughter.

“Well I once was an oversexed teenage boy that squeezed a boob once and now wants to spend the rest of his life drowning in pussy,” he said with a chuckle “especially yours!.”

“Patience is a virtue babe I promise tonight when we get back to the apartment you’re going to be glad we didn’t pull off to the side of the road for a quickie,” Eadaoin told him reaching down and squeezing the hand he had on her thigh “Trust me.”

To be continued....

#F1 #Daniel Ricciardo #Daniel Ricciardo FanFiction

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xxsanoxx · 2 years

Text

|•Wife Of Bonten•| Chap 1 |

/!\ DISCLAIMER /!\

Histoire de sexe-polygamie et comportement abusif et yandere.

Yandere! Exécutive Bonten x Reader

+18

Disponible sur Wattpad

Bonten, organisation criminelle numéro 1 du Japon. Intraçable par les forces de l'ordre, aucunes informations sur l'organisation et ses membres. Comme un fantôme, impossible de les trouver, de les attraper, ce sont eux qui vous trouvent... et si ils vous attrapent votre vie sera sous leurs désirs

Kirari Yukihira, jeune femme de 20 ans, et étudiante à l'école supérieur d'économie et gestion, veut devenir expert-comptable. Elle mène une vie plutôt simple, se lève tout les matins dans son petit appartement, repassage de sa tenue professionnelle obligatoire et petit déjeuner, généralement composé d'une tartine beurré et d'une autre recouverte de pâte au chocolat et de noisette, le tout accompagné d'une salade de fruit et d'un jus de pomme bio. Petite routine du matin qui peut varier du petit déjeuner à la maison ou au petit déjeuner dans sa pâtisserie préféré se situant à quelque pâtés de maison de son lieu de vie. Elle s'habille de sa tenue préalablement repassé, et chaude avant de prendre son sac, ses clefs de maison et sortir de son immeuble en direction la gare pour prendre le prochain train de 7h45.

Kirari est une personne très studieuse, perfectionniste et juste. Avec de très « bon goûts » selon ses camarades de l'université. Kirari a beaucoup pour plaire, de la même façon qu'elle a beaucoup de choses qui lui plaise, mais ce qu'elle aime par-dessus tout, c'est sa petite boutique de pâtisserie préféré « Wagashi and... » qui sert les meilleures pâtisseries traditionnelles.

Mais bientôt elle deviendra friande d'un tout autre type de pâtisserie. Plus sucré, avec une pointe de sel et un zeste de citron, plus crémeuse et fondante, plus corsée, plus croquante, plus divine, plus alléchante. Elle en deviendra ivre. Une véritable drogue, pire qu'un toxicomane se shootant à un mélange de cocaïne et d'héroïne, pire qu'un alcoolique buvant un verre d'Everclear, qui est composé à 95 % d'alcool.

Et ce « bientôt » pourrait être plus proche que vous ne le croyez.

Tokyo, École supérieur d'Économie et Gestion, 8h45...

Déjà quarante-cinq minutes que son premier cours en langue a commencé, assise à sa place habituel au septième rangs à côté d'une jeune femme, de 3 ans de plus qu'elle qui est de très bonne compagnie quand il s'agit de travailler. Kirari écoute attentivement son professeur, qui fait le point sur les prochains devoirs de ce semestre. Le reste de la journée passe tranquillement, sortant de l'université elle monte à bord d'un shinkansen, un train à grande vitesse qui la dépose à destination à 17h35 pile. Passant par les portes de la gare, l'air frais du soir vient doucement caresser la peau de son visage. Kirari se met en marche et ouvre les portes du « Wagashi and... ». La délicieuse odeur de chocolat et de biscuit se fait encore sentir dans le magasin. Elle regarde la vitrine vérifiant qu'il reste toujours un de ses gâteaux gourmands, mais dont elle adore tant.

Bingo ! Il en reste encore quelques un !

Elle s'adresse à la vendeuse vêtu d'un tablier rose pastel et blanc avec l'enseigne du magasin.

- « Bonsoir, je voudrais un dorayaki s'il vous plaît.

- Bien sûr mademoiselle, je vous sert ça tout de suite. »

La vendeuse emballe le dorayaki dans du papier à gâteau avant d'annoncer le montant. Kirari paye et prend sa commande qu'elle place dans son sac à main. Elle remercie la vendeuse et sort de la pâtisserie. Mais en sortant elle bouscule quelqu'un. Un homme, assez grand, au cheveux rose, yeux bleu et avec deux cicatrices sur chaque extrémités de la bouche.

- « Je suis désolée monsieur, je ne vous avez pas vue !! »

L'homme l'aida à se relever. Il regarde Kirari comme si c'était la première fois qu'il voyait une personne du sexe opposé.

- « Vous allez bien monsieur ?

- Oui je vais bien, merci.

- Je suis vraiment désolée de vous avoir bousculé !

- Ce n'est rien mademoiselle. Au-revoir. »

Sans même laisser la jeune fille répondre, l'homme fait demi-tour et monte dans une voiture noir. Il sort une carte de sa poche de sa veste. La carte étudiante de Kirari. Il l'avait discrètement prise sans qu'elle ne se rende compte de rien.

- « Tu peux démarrer Rindo.

- Qu'est ce que tu as dans la main Sanzu ?

- Une carte étudiante il semblerait.

- Et qu'est-ce que dit cette carte ?

- École supérieur d'Économie et Gestion de Tokyo, Mlle Kirari Yukihira, 20 ans, sexe féminin.

- Économie et Gestion ? C'est pour Koko. Tu penses qu'elle est la bonne ?

- Si elle est la bonne ? C'est le boss qui l'a choisit, pour lui, pour nous.

- Mouais on verra. En tout cas elle a l'aire d'être naïve. Imagine qu'elle fait tout foiré.

- De toute façon, le boss a dit que si jamais elle pose problème au Bonten on se débarrassera d'elle.

- Montre-moi sa photo.

- Pas mal hein ?

- Elle est belle, ce serait du gâchis si on devait la tuer. »

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Auteur : XxSANOxX (Tumblr/Wattpad)

Correctrice : Ax

Merci.

10/07/2022.

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