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#vénération
dandanjean · 1 month
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Göbekli Tepe
Extrait de l’émission: Une étude archéologique à Göbekli Tepe démontre la création d’un des premiers lieux dédiés à la vénération divine STORY OF GOD est une émission diffusée sur la chaîne National Geographic Channel. Plus d’informations, de photos et de vidéos sur natgeotv.com. Story of god – Les premières divinités à Göbekli Tepe
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fnielaubin · 7 months
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#FNielAubin, #CharlesIII, #vénération, http://www.fnielaubin-artiste.fr/blog/charles-iii-en-visite-en-france-lave-til-plus-blanc-que-blanc.html
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rodauce · 1 month
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Une beauté froide sur le monde
Chacun s'est replié en lui- même
S'enfermant dans des espaces connus
Plus aucun veilleur aux carrefours
L'illusion d'abondance est dans la lumière des tours
Dans des lointains scintillants
Le pélerinage affairé de la consommation
Halte et vénération devant chaque temple.
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aurevoirmonty · 2 months
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Il n'est pas vraiment nécessaire de préciser ce que nous entendons aujourd'hui par une "personne pieuse". On pense à une attitude plus ou moins humanitaire, sentimentale — "pieux" est presque synonyme de compatissant. Dans l'ancienne langue latine, la pietas appartenait en revanche au domaine du sacré. Elle désignait la relation spéciale que le Romain avait avant tout avec les dieux, et ensuite avec d'autres éléments du monde de la Tradition, y compris l'État lui-même. Devant les dieux, cela signifiait une attitude de vénération calme et digne : un sentiment d'appartenance et, en même temps, de respect, de préoccupation attentive, voire de devoir et de loyauté : une forme intensifiée du sentiment évoqué par la figure austère du pater familias (d'où la pietas filialis). Comme déjà mentionné, la pietas pouvait également se manifester dans le domaine politique : la pietas in patriam signifiait la loyauté et le devoir envers l'État et la patrie. Dans certains cas, le terme prend également le sens de iustitia [justice]. Celui qui est étranger à la pietas est injuste, presque impie, et ne connaît pas sa place — la place qu'il doit occuper au sein d'un ordre supérieur qui est à la fois divin et humain.
Evola, La Décadence des Mots
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jloisse · 7 days
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« La judaïsation de l’Occident n’est nulle part ailleurs aussi évidente que dans la vénération de l’Holocauste comme étant l’icône centrale morale de toute la civilisation. »
— Kevin MacDonald, The Culture of Critique (1998)
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whencyclopedfr · 14 days
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Neith
Neith (alias Neit ou Nit) est l'une des plus anciennes divinités de l'Égypte ancienne, vénérée dès le début de la période pré-dynastique (c. 6000 - 3150 av. J.-C.) et dont la vénération se poursuivit jusqu'à la fin de la dynastie ptolémaïque (323 - 30 av. J.-C.), la dernière à régner sur l'Égypte avant l'avènement de Rome.
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soitamespieds · 8 months
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Le pied, l'arme secrète de la femme, une touche de f��tichisme
Les pieds ont toujours été une partie intégrante du charme et de la beauté, façonnant non seulement la façon dont une personne marche, mais aussi la façon dont elle est perçue par le monde. Les pieds féminins, en particulier, ont été, au fil des siècles, une source d'attraction, d'obsession et parfois même de vénération. Entre la psychologie, la physiologie et des notions de fétichisme, explorons l'intrigue entourant le pied féminin.
La première impression est souvent basée sur l'apparence globale. Les pieds, bien que souvent négligés, jouent un rôle crucial dans la posture et la démarche. Une démarche gracieuse, rehaussée par des chaussures élégantes, peut exsuder la confiance et la sophistication. Historiquement, une femme qui prenait soin de ses pieds était perçue comme étant de haut statut, car elle avait les moyens et le temps de le faire.
La plante des pieds abrite des milliers de terminaisons nerveuses. Ces terminaisons sont directement reliées à différentes parties du corps, d'où l'importance de la réflexologie plantaire en médecine alternative. Un massage des pieds peut stimuler ou apaiser d'autres organes et systèmes du corps, ce qui rend les pieds particulièrement sensibles aux touchers.
Le fétichisme du pied, en termes psychologiques, est une attirance prononcée, souvent sexuelle, vers les pieds. Bien que cela puisse sembler inhabituel pour certains, le fétichisme du pied est l'un des fétiches les plus courants. Freud lui-même a suggéré que les pieds étaient un objet de désir en raison de leur ressemblance avec les organes génitaux.
Les chaussures, en particulier les talons hauts, accentuent cette attraction. Elles rehaussent la courbure du pied, donnent l'apparence de jambes plus longues et modifient la démarche de la personne qui les porte. Cela peut être interprété comme une augmentation de la féminité, ce qui pourrait expliquer pourquoi certains y voient un attrait supplémentaire.
Le pied féminin est bien plus qu'une simple partie anatomique. Entre les sphères de la psychologie, de la physiologie et du fétichisme, il revêt une multitude de significations et de rôles. Qu'il s'agisse de séduction, de bien-être ou d'un simple objet de désir, il est indéniable que le pied féminin détient un pouvoir singulier dans l'imaginaire collectif.
#footfetish #highheelslover #gynarchie #matriarchie #femaleledrelationship #gynarchy #matriarchy #femalesupermacy #femaleledworld #keyholder
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mamaasawriter · 4 months
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Elle est restée le souffle archaïque de nos cycles, l'haleine musquée de nos origines, la reine ombragée du vivant, la ruade. Nous nous sommes tenus à l'écart pour inventer nos propres nuits, nos propres lois de bêtes orphelines, nos merveilles, nos désastres, nos propres dieux et nos propres monstres, sans jamais cesser de la craindre avec vénération. Elle est alors devenue le refuge de ceux qui se refusaient à l'homme et de tous ceux que l'homme refusait. Elle est l'autre camp. Le camp des autres.
Thomas Vinau, Le camp des autres
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13 / 05 / 2023
🇨🇵 FRANÇAIS / FRENCH 🇨🇵
HISTOIRE FICTIVE PERSONNELLE écrite en collaboration avec mon ami @tidodore2
- LA VÉNÉRATION DES PIEDS LATINOS -
PARTIE PAR @tidodore2
"Dis-le pédé ! "Les latinos sont mes maîtres et j'aime leur lécher les pieds sales" ! Ahahah ! Parfait, esclave ! Continue comme ça !"
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PARTIE DE @submissivegayfrenchboy
Être un petit garçon blanc dans une école fréquenté surtout par des Latinos était difficile pour le jeune Laurent, mais pas autant que de devoir lécher leurs pieds sales pour éviter d'être frappé.
PARTIE PAR @tidodore2
Des 35 garçons de sa classe, Alexandro était de loin le plus beau, mais aussi le plus cruel. Il forçait Laurent à lui nettoyer les pieds chaque jour, même en plein milieu de l'école.
PARTIE DE @submissivegayfrenchboy
Aussi, depuis l'alliance précaire entre les Latinos et les Noirs pour la reconquête de l'Amérique, les Latinos étaient vénérés en attendant l'unification de l'Amérique du Sud où ils auraient des esclaves blancs. Laurent, ce garçon français resté coincé en Amérique, avait rapidement dû s'habituer au goût des pieds d'hommes Latinos, car leurs coups étaient très brutaux.
FIN DE L'HISTOIRE
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🇬🇧🇺🇲 ENGLISH / ANGLAIS 🇬🇧🇺🇲
SHORT PERSONAL FICTIONAL STORY written in collaboration with my friend @tidodore2
- LATINO MEN'S FEET WORSHIPPED -
PART BY @tidodore2
"Say it fagot! Latinos are my masters and I like to lick their dirty feet! Ahahah! Perfect, slave! Keep it up!"
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PART BY @submissivegayfrenchboy
Being a little white boy in a school attended mostly by Latinos was hard on young Laurent, but not as hard as having to lick their dirty feet to avoid being kicked.
PART BY @tidodore2
Of the 35 boys in his class, Alexandro was by far the most handsome, but also the most cruel. He forced Laurent to clean his feet every day, even in the middle of school.
PART BY @submissivegayfrenchboy
Also, since the precarious alliance between Latinos and Blacks for the reconquest of America, Latinos were revered while waiting for the unification of South America where they would have white slaves. Laurent, this French boy stuck in America, had to quickly get used to the taste of Latino men's feet, because their blows were very brutal.
END OF THE STORY
💜💙💚🧡❤️💗💜💙💚🧡❤️💗💜💙💚🧡
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@feeterotica @torinya @latino-4-white-men @latinsuperior @latinmaster62 @feeteverywhere10 @feetmaster3 @feetmasterja @whiteboynl1 @innerpiratefun @lovefanfiction01 @rainykpoptravelcreator @bat-woodfeet-us @leftprogrammingroadtripdean @fartsandotherstink2 @whitesubmission @whitesub4blackdomatlanta
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ladyniniane · 6 months
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25k reached! I'm halfway there🎉🎉🎉! It's still pretty satisfying. I'm done with that long battle scene and I'm currently writing everyone's endings.
It's certainly something given the amount of time I've put on this fic. And it's really moving as well. Everyone is going home, a new chapter of their story is about to begin. And I love seeing how much my characters have grown!
To celebrate that, here's a little (quickly edited) snippet (spoilers for the end of my FE3h fic, of course) :
-Philomène ! s’exclama une voix masculine.
Ayant échappé à ses gardiens, un prisonnier se jeta à ses pieds. Le sang maculait son riche manteau. Bien que dur, son visage aurait pu être beau et élégant dans d’autres circonstances, capable d'arracher une damoiselle idéaliste à son foyer. La peur déformait néanmoins ses traits et ses cheveux grisonnants en désordre lui donnaient un air sinistre.
Le sang et la suie n'occultaient pas la ressemblance de Maeve avec sa mère. Les serres immondes de l'homme agrippaient sa cape, tandis qu'il scandait le nom de la défunte, hagard et enfiévré.
-Oui, oui ! Tu es ma fille ! s’exclama-t-il avec une jubilation mauvaise.
Il le clama haut et fort pour souiller Maeve, l’entraîner avec lui dans la déchéance. La magicienne lui agrippa le poignet, le tordit vers le sol et recula d'un pas.
-Ne me touchez pas et ne souillez pas le nom de ma mère ! menaça-t-elle dans un grondement d’orage. 
Ses lèvres devinrent une ligne, une lame. Son regard gela. Elle paraissait prête à lui trancher la langue.
-Je suis innocent, supplia l’homme. Sauve-moi, je t’en prie. J’aimais ta mère, tu sais. Je ne sais pas ce qu’elle t’a raconté sur moi, mais j’ai voulu te connaître toute ma vie. J'ai de l'argent et des terres. Je ferai de toi une femme riche. Tu ne manqueras jamais de rien.
Maeve combattit sa nausée. Les mots se bousculaient dans sa bouche. Il osait essayer de l’acheter avec son sale pécule ? La prenait-il pour une idiote ? Ou pire encore n’avait-il aucun remord, trop dénué d’empathie qu’il était ? 
-Vous avez essayé de coupé les ailes de ma mère mais elle était plus forte que vous. Allez en enfer, c’est tout ce que vous méritez.
Elle n’avait jamais ressenti une telle froideur et indifférence. Il n’était qu’un insecte répugnant mais pas effrayant. Tant de conscrits et de gens innocents avaient perdu la vie dans cette guerre. Elle avait encore sur ses mains et sur son armure le sang fumant de ses ennemis. Pourquoi aurait-il mérité de s’en sortir ? 
Le masque suave tomba et l'homme révéla son vrai visage. Le courroux le rendit tout simplement hideux. La séduction avait échoué, il passait désormais à la crainte et à la soumission.
-Je suis ton père ! s'emporta-t-il. Je t’ai donné la vie ! Tu n’as aucun droit de me faire ça ! Tu ne peux pas me condamner, tous tes camarades sauront que tu es une parricide !
Maeve haussa les sourcils. Elle entendait la menace sous-jacente dans son discours : “tu es ma fille et tu m’appartiens”. Et comme pour confirmer ses pensées, il répéta “je suis ton père” avec une suprême indignation. Ces mots semblaient être pour lui une incantation toute puissante, donnant le droit à vénération inconditionnelle. Sa bouche dégoulinait de venin et il montra les crocs.
Maeve rassembla les pans de sa cape autour d’elle. 
-L’amour et le respect se méritent. Et vous n’avez rien fait pour cela. Vous êtes mon père, oui. Mais nos liens s'arrêtent-là. Ce qui vous arrive aujourd’hui est la conséquence de vos actions. Vous devriez y réfléchir pendant le temps qui vous reste. Bientôt vous ferez face à ma mère, déclara-t-elle froidement avant de l'abandonner à son sort.
Reconduit par ses gardiens, l'aristocrate hurla, se débattit, supplia et la maudit. Aucune de ses imprécations ne l'atteignit cependant.
Maeve ne connaissait même pas le nom du noble et n'avait aucune envie de l'apprendre.
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printempsetautomnes · 10 months
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La mort chez les Chinois
Hello, ça fait longtemps ?
J'ai récemment subi le décès de mon père. C'est une épreuve très dure, mais qui est, je trouve, soulagée par les pratiques/croyances chinoises. Je me suis dit qu'en parler ici serait peut-être intéressant, permettrait de faire comprendre une facette importante de notre vie et nos rites à une communauté qui ne les connaît certainement pas ou peu. Et pourrait offrir une vision plus douce de la mort à des personnes qui ont perdu des proches, récemment.
Encore une fois, je rappelle que mes pratiques, mon point de vue, n'engagent peut-être pas tous les Chinois de la même façon et sont peut-être plus spécifiques à ma région et ma culture (Hong Kong, culture hakka et cantonaise, très grande importance accordée aux ancêtres).
Famille et vénération des ancêtres
Tout d'abord, il faut comprendre la part très importante que joue la famille dans la vie des Chinois. J'en ai déjà parlé dans de précédents articles, mais la piété filiale est une valeur cardinale dans notre culture traditionnelle (certainement moins aujourd'hui, où elle est parfois décriée pour les travers qu'elle entraîne). Tout est centré autour de la famille, c'est le socle de la société chinoise. Il faut respecter et honorer ses parents, ses ancêtres. Ça s'applique aussi à ses proches décédés. Il n'y a pas une profonde séparation entre vie et mort comme on peut le trouver dans le christianisme : les esprits des ancêtres sont toujours là, pour influencer, aider, guider leurs descendants. Si ça vous parle mieux, pensez au film Coco et au Jour des morts mexicain ! L'au-delà chinois en est proche dans l'idée, les ancêtres continuent de vivre et aller bien dans l'au-delà, tant qu'ils ont des personnes qui se rappellent d'eux, leur font des offrandes, prient pour eux. C'est pourquoi nous leur offrons nourriture, thé, alcool, brûlons argent funéraire, encens, bougies et autres symboles d'objets du quotidien qu'ils aimaient, c'est pourquoi nous les incluons dans notre vie de tous les jours, allons les saluer pour les fêtes et occasions importantes. Les morts ne sont jamais vraiment partis et en veillant à leur bien-être dans l'au-delà, ils continuent de veiller en retour sur nous. C'est une vision extrêmement apaisante de la mort et du deuil, qui m'aide personnellement beaucoup à traverser cette dure épreuve.
Rites, communauté et souvenirs
De nombreux rites entourent des funérailles chinoises. Les nombres et couleurs à éviter (pas de nombres pairs, pas de couleurs vives), les aliments à choisir et préparer (poulet, porc, poisson, fruits, thé, alcool), les enveloppes à recevoir (blanches) et donner (rouges), etc. Tout est très codifié. Si j'avais connaissance de certains rites grâce à mes visites aux tombes de ma famille ou à leurs autels, organiser des funérailles était une toute autre affaire. Et vivre en Europe demande de faire des sacrifices : pas possible d'engager un prêtre taoïste pour officier la cérémonie, pas possible d'enterrer dans une montagne.
La force, le soutien et l'aide de la communauté chinoise a été sans pareil. Je suis profondément reconnaissante de faire partie d'une communauté qui a montré tant de respect et d'affection pour mon père, célébré sa vie, offert prières et bénédictions pour que son départ s'effectue au mieux. Et pour ma famille et mes proches restés au pays, je sais qu'ils sont soulagés de me voir perpétuer les traditions, de me voir construire un autel pour mon père, allumer de l'encens, lui parler, prier, guider son esprit. Savoir que je prends soin de son esprit les apaise et leur apporte du réconfort.
En bref
Le deuil n'est pas une étape facile à vivre, surtout quand il s'agit de la perte d'un parent. Mais la vision chinoise de la mort, de l'au-delà, des esprits des ancêtres, a quelque chose de très doux et réconfortant. Les esprits des ancêtres ne sont jamais vraiment partis, et tant qu'on prend soin d'eux comme eux ont pris soin de nous dans notre vie, ils continueront d'aller bien et veilleront sur nous depuis l'au-delà. La mort est simplement une étape de la vie.
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lephenixkurde · 1 year
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Retour sur une journée sacrée pour les Yézidis, "Mercredi rouge", qui a eu lieu le 19 avril
Le 19 avril 2023 est à marquer d'une pierre blanche pour les défenseurs de la diversité culturelle et cultuelle en Irak. Le nouveau gouvernement irakien vient en effet de faire un geste en direction des Yézidis en décrétant le « Mercredi Rouge » comme jour férié.
L'institut kurde de Paris nous en dit plus sur la première religion des Kurdes, le yézidisme, dont il reste 600.000 adeptes au nord de Irak - pour la plupart répartis entre Duhok, au Kurdistan, et Shingal - d'après les derniers chiffres. Rappelons que les Yézidis ont été victimes du 74e génocide de leur histoire entre 2014 et 2017 sous l'égide de Daesh et que plus de 2000 d'entre eux sont toujours portés disparus, tandis que 88 charniers avaient été mis au jour entre 2017 et 2022.
Pour lire le communiqué de L'institut kurde de Paris sur son site et decouvrir les autres publications de l'IKP, cliquez sur le lien
Les Kurdes de confession yézidie célèbrent ce 19 avril leur « mercredi rouge », une fête traditionnelle marquant le début du printemps et de l’année nouvelle.
La fête est célébrée le premier mercredi du calendrier julien, qui est décalé de 13 jours par rapport au calendrier grégorien en usage actuellement un peu partout dans le monde.  Ce calendrier est encore utilisé par les églises orthodoxes et celles d’Orient où, par exemple, le Noël est célébré le 7 janvier au lieu  du 25 décembre.  Jusqu’à une date récente le calendrier julien était asez couramment utilisé dans une grande partie du Kurdistan comme « calendrier kurde ».
Cette année, le premier mercredi d’avril tombe au 19 avril.  A cette occasion des festivités de « Mercredi Rouge » (Çarşema sor) sont organisées dans toutes les communautés yézidies du Kurdistan et de la diaspora (Arménie, Géorgie, Allemagne).  La plus spectaculaire se déroule autour du Temple de Lalesh, situé dans la province de Dohuk au Kurdistan irakien et considéré comme « la Mecque » des Yézidis.  A cette occasion les jeunes en habits traditionnels festifs bleus, couleur fétiche des Yézidis, portent des guirlandes de fleurs du printemps et fêtent l’événement par des danses.  On colorie aussi des œufs durs, à l’instar des voisins chrétiens pour la Pâques appelée en kurde « fête de la Résurrection » (cejna vejînê ou qiyamê) connu aussi populairement sous le nom de « cejna hêkesore » (la fête des œufs rouges).  Chez les Yézidis, les oeufs teints en rouge en les faisant bouillir avec des oignons rouges, sont ensevelis dans des champs afin qu’il leur apporte abondance et fertilité.
On ne sait pas si le nom de « mercredi rouge » chez les Yézidis vient de la couleur des oeufs teints en rouge à cette occasion ou des fleurs rouges comme les coquelicots qui couvrent soudainement les prairies en ce mois d’avril qu’ils considèrent comme « la reine de l’année ».
Chez les autres Kurdes ainsi que chez les Iraniens le « mercredi rouge » est un jour important du calendrier qui correspond au dernier mercredi avant le Newroz célébré le 21 mars.  Cette année, le mercredi rouge tombait le 15 mars.  A cette occasion d’immenses feux sont allumés sur les places ou sur les hauteurs autour desquels on danse pour fêter la fin de la sombre saison d’hiver et pour fêter le printemps qui s’annonce.  Le rouge de ce mercredi est la couleur du feu, objet de vénération dans le zoroastrisme qui a été, avant l’arrivée de l’islam, la religion dominante des Kurdes dont les ancêtres, les Mèdes, fournissaient le clergé, et de l’ensemble du monde iranien.
Le yézidisme, dont le livre sacré, Mishefa Res (La Bible noire), les prières et les cantiques sont tous en kurde, contient de nombreuses survivances du zoroastrisme, du culte des Anges et du mithraïsme, antiques religions du monde iranien.  Au fil des siècles, cette religion éclectique a également intégré des éléments du christianisme voire de l’islam même si les adeptes fondamentalistes de ce dernier stigmatisent les Yézidis comme des « Adorateurs du Diable » donc des « mécréants » à convertir ou à éliminer en cas de refus.  C’est au nom de cette idéologie barbare que Daech a mené une véritable campagne génocidaire contre les Yézidis.
Selon les estimations récentes, il y aurait actuellement environ 600.000 Yézidis au Kurdistan irakien, notamment dans la région de Sinjar (Sengal en kurde) il y a aussi d’importantes communautés yézidies en Syrie, en Turquie, en Géorgie et en Arménie.
En dépit de tous les bouleversements démographiques intervenus au cours d’un 20ème siècle où les régimes nationalistes (turcs, arabes) ont fait beaucoup de dégâts, le Kurdistan demeure encore un « musée ethnographique » où des Sabéens aux Zoroastriens en passant par les Assyro-chaldéens et juifs parlant encore l’araméen, la langue du Christ, aux Fidèles de la Vérité (Ehli Heqq) et autres Yarsan, Alevis et diverses obédiences musulmanes ont réussi à survivre et à vivre ensemble.
Après le Gouvernement du Kurdistan, le nouveau gouvernement irakien a affirmé vouloir préserver cette extraordinaire diversité.  Il vient de faire un geste en direction des Yézidis en décrétant le « Mercredi Rouge » comme jour férié.
https://www.institutkurde.org/info/-1232552283#:~:text=Les%20Kurdes%20de%20confession%20y%C3%A9zidie,et%20de%20l'ann%C3%A9e%20nouvelle.
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haitilegends · 1 year
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Louis Berrouët:
L'Intrusion de la Poésie dans le Langage Pictural des Oeuvres du Grand Peintre Hervé Lebreton (French Edition)
______________
Par Sabrina Lebreton
Mesdames et messieurs,
c'est avec une grande fierté que je propose ce magnifique livre recueillant les sublimes poèmes de Louis Berrouet ainsi que les grandes œuvres picturales de mon père Hervé Lebreton.
C'est une tendre lecture teintée d'amour, de romantisme et de sensualité où la femme, héroïne de tous les temps, tient la vedette.
La symbiose des deux artistes offre un spectacle littéraire majestueux à travers 43 toiles et poèmes.
Pour vous procurer le livre, je vous réfère à Louis Berrouet en lui écrivant en privé. Bonne lecture à tous ❤️❤️❤️
https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=5607606886017330&id=100003042238200&mibextid=Nif5oz
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Louis Berrouët - Biographie:
"Étant le cinquième enfant d’une famille de dix , gamin turbulent et bagarreur, rien ne laissait pressentir chez moi, un poète en gestation.Cette fougue qui s’exprimait par une très forte vitalité physique, cachait en réalité une âme sensible qui cherchait sa voie.
D’une part, élevé par un Père qui , sous un air sévère, savait prodiguer une réelle affection
et d’autre par, par une Mère dont la voix a bercé mon enfance des airs les plus populaires de lachanson française et de la musique classique , cette fée du foyer nous a transmis sa sensibilité et et le goût du beau.
Dès mon plus jeune âge , j’éprouvais un attrait particulier pource la lecture et je faisais la fierté de la famille quand je ramenais le prix d’excellence épinglé sur mon uniforme du dimanche après la messe dominicale à laquelle j’assistais avec mes autres camarades de classe des frères de l’instruction chrétienne de Jacmel , cette ville prodigieuse qui a forgé mon enfance.
Tel est ce contexte empreint d’émotions fortes et d’amour filial dont ma Mère fut le phare qui m’a dicté cette vénération que j’ai pour la femme et ce sens aiguë de justice que je me suis efforcé d’exprimer dans mes poèmes et réflexions
Dans le clair-obscur du psychisme, il faut réactiver la rêverie comme l’a dit Gaston Bachelard, et le poète devient ce rêveur de mots .je trouve que cette approche est adaptée à ma quête d’une écriture poétique."
Source:
https://a.co/d/3GH6Pf6
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sneakerbear75 · 2 years
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Vénération des rebeus 😜👅
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aurevoirmonty · 8 months
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« Ne pas rire devant disons… la vénération de la femme à barbe ou de l’homme enceint revient à accepter de prendre ces balivernes au sérieux. Autant j’aime le sérieux dans l’argumentation quand il y a quelque chose à discuter, autant il faut pratiquer l’humour quand il s’agit de faire ressortir la bêtise abyssale de certaines propositions. L’ironie est d’ailleurs au fondement de la posture philosophique. Je précise toutefois ici que mon ironie est strictement philosophique, c’est une technique rhétorique pour circonscrire la bêtise prétentieuse et prévenir les individus qui risquent d’y céder. »
Dany-Robert Dufour
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ebooks-bnr · 12 days
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Ludwig Tieck - Sternbald Le Peintre voyageur
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Ludwig Tieck - Sternbald Le Peintre voyageur: Franz Sternbalds Wirrungen de Ludwig Tieck (1773-1853), publié en 1798, est un roman de formation dont l’action se situe au début du 16e siècle, à cette époque charnière où l’Humanisme et la Renaissance, nés en Italie, se propagent au reste de l’Europe. Sternbald travaille depuis l’âge de dix ans dans l’atelier d’Albrecht Dürer. Sa vénération quasi filiale pour le maître de Nuremberg n’étanche en rien sa soif de voyages. Conformément à la coutume qui veut que les apprentis quittent leur ville ou leur pays pour perfectionner leur art à l’étranger , Sternbald n’a qu’une idée en tête : se rendre en Italie (via la Flandre et l’Alsace), s’imprégner des œuvres de la Renaissance italienne et devenir à son tour un grand peintre. Son pèlerinage vers le Sud correspond à un lent processus d’initiation et de maturation qui le conduira de sa Franconie natale à la Ville éternelle, de l’innocence à l’expérience. Chemin faisant, notre naïf héros s’instruit auprès de personnages de conditions, de milieux et d’âges divers. Ces artistes, poètes, ermites, négociants, aventuriers, compagnons de route, nobles dames ou simples filles de ferme lui servent tour à tour de passeurs, de modèles ou de repoussoirs et lui ouvrent, chacun à sa façon, des horizons nouveaux. À la quête esthétique, moteur premier du voyage, s’en ajouteront trois autres : une quête amoureuse ; une quête paternelle (car Sternbald découvre que les paysans qui l’ont élevé ne sont pas ses parents), et enfin une quête identitaire qui les complète et les englobe toutes. Assurément, le regard que porte Ludwig Tieck sur ce début du 16e siècle n’est pas celui d’un historien soucieux de vraisemblance mais celui d’un jeune écrivain influencé par les idées de son temps . Ce contemporain des frères Schlegel, des Schelling, de Novalis est certes peu connu aujourd’hui, si ce n’est pour ses contes ; il n’en demeure pas moins l’un des fondateurs du Romantisme allemand. Les charmants anachronismes de son Bildungsroman s’en font ici l’écho. Le sentiment de la nature, la beauté sublime, quasi religieuse, des paysages occupent une place prépondérante dans la quête esthétique du héros. On détecte également chez lui, tout comme chez d’autres figures d’artistes (son ami Sebastian et ainsi que les personnages de Dürer et Lukas de Leyde), une convergence entre l’amour de l’art et l’amour de la patrie qui préfigure le nationalisme cher au Romantisme naissant . Quant à l’Italie, berceau de l’Antiquité renaissante, elle apparaît surtout ici comme le pays de l’éternel printemps que chante Mignon dans le Wilhelm Meister de Goethe (1796) — un paradis terrestre où règnent librement les plaisirs et l’amour . Paradoxalement, la partie consacrée à Florence et à Rome, à la fin du Livre II, est de loin la plus brève. Le récit, pris dans un tourbillon de rebondissements toujours plus arbitraires, s’emballe, mais tourne court. Pourquoi un dénouement aussi abrupt ? La réponse est à chercher du côté de Wilhelm Heinrich Wackenroder (1773-98), le grand ami de Tieck, auteur des Épanchements d’un moine ami des Arts (1797). Nés la même année et élevés ensemble, ces « jumeaux d’élection » vivaient dans une telle complicité intellectuelle et créatrice, leurs écritures étaient à tel point imbriquées, qu’il est difficile de distinguer la part de l’un dans l’œuvre de l’autre. Or, en 1798, l’inconcevable se produisit : alors que Tieck s’apprêtait à entamer la troisième partie de son roman, Wackenroder mourut subitement de la typhoïde, à l’âge de 25 ans. Sa disparition fut un tel choc pour Tieck qu’il n’eut plus la force de reprendre son récit et abandonna son œuvre. En 1843, dans une préface à une nouvelle édition, il ébaucha rapidement les événements du Livre III qui devaient ramener Sternbald au pays natal, mais le projet ne fut jamais mis à exécution et le roman demeure à ce jour inachevé. Téléchargements : ePUB - PDF - HTML - DOC/ODT Read the full article
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