Tumgik
#Gloria Casa Vila
poesiecritique · 2 months
Text
REBOTA REBOTA, Y EN TU CARA EXPLOTA, performance de Agnès Maéeus et Quim Tarrida, avec Agnés Matéus, 1h15, 2018 - et vu en 2024 au Théâtre de la Bastille, Paris.
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Commençons par dire que ce spectacle, vu en 2024 a été crée il y a 6 ans, à Genève (selon le site théâtre contemporain). En septembre 2018, quelle était la place du féminisme dans nos discours, dominants et dominés ? C'était un an après, à deux semaines près, qu'Alyssa Milano propose de partager, suite à la révélation de l'affaire Weinstein, sous le hashtag #metoo, les violences sexistes et sexuelles subies par les femmes par des hommes. Cette création a aussi lieu dans un contexte espagnol où la prise en charge des violences sexistes et sexuelles aurait permis une baisse du nombre de féminicides selon les médias généralistes nationaux et internationaux. Dans un bref entretien, Agnés Mattéus conteste cette prise en charge effective quand, en 2017, le travail sur la pièce commence - tandis que certaines sociologues féministes, dont par exemple Gloria Casas Vila, critiquent davantage un effet de comptage (quel meurtre est effectivement compté comme féminicide ?), permettant de donner alors l'impression que le nombre de féminicides décroît alors qu'il n'en est rien. En 2023, certains médias généralistes soulignent une ré-augementation des chiffres espagnols de féminicides, se réalignant sur ceux de 2008, soulignant que dans la moitié de ces meurtres, les plaintes avaient été déposées contre les agresseurs, devenus meurtriers et/ou que les agresseurs étaient récidivistes, parfois déjà meurtriers. Si ce type de média souligne cette inversion, on peut donc supposer qu'il ne s'agit que de la partie emergée d'un iceberg bien fat, bien réel, bien patriarcal, et qu'en dessous grouille une bouillie dégueu mais bien organisée du féminicide - à l'instar de l'inceste, comme le montre par exemple Dorothée Dussy dans Le berceau des dominations.
Dire également que je m'interroge sur le travail de collaboration entre Quim Tarrida et Agnés Matéus. Dans le même entretien, qu'elle et il donne au théâtre de la Bastille, la langue française, que parle Agnés Matéus et que ne parle pas Quim Tarrida, donne le primat à Agnés Matteus. Mais j'avoue avoir eu ce réflexe de me demander ce qu'un homme pouvait bien avoir à faire dans la mise en scène d'une femme parlant de féminicides, dont la plus part sont commis par des hommes. Et si tous les hommes ne sont pas des meutriers, des violeurs, etc, la quasi-totalité des hommes de son âge et de sa nationalité (Quim Tarrida est né en 1967) ont été socialisés dans un monde où la masculinité était valorisée, et hiérarchiquement instaurée supérieure au genre féminin. Si l'on comprend que le travail naît d'une précédente collaboration sur les violences policières, et que ce travail précédent naît d'une rencontre lors de leurs engagements militants, malgré tout : comment s'articulent les regards, différemment socialisés, de Agnés Matteus et Quim Tarrida pour aboutir à REBOTA REBOTA, Y EN TU CARA EXPLOTA, notamment sur le corps de Agnés Mattéus ? Cela pourrait informer ma lecture, mais je n'y ai pas accès, pas directement, seulement par supposition critique (car, d'expérience, fréquenter un milieu politisé, quand il ne s'agit pas directement de cercles féministes engagés, ne permet pas une déconstruction du regard, d'un regard dominant)
Et maintenant, décrivons ce que propose Ca rebondit ça rebondit et ça t'éclate en pleine face. Cela sera moins qu'une description linéaire et exhaustive, ne m'arrêtant que sur certains tableaux et détails qui m'ont paru particulièrement signifiants. Dire peut-être cela, d'abord : REBOTA REBOTA, Y EN TU CARA EXPLOTA est une succession de tableaux au centre desquels se trouve Agnés Matéus.
L'âge. La pièce commence par Agés Matéus dansant masquée, d'un masque de clown horrifique. Ainsi, c'est son corps que l'on voit et regarde. En 2024, le corps de Agnés Matéus, serré dans son pantalon strassé or, son ventre rebondi, a peine dénudé au dessus du nombril donne l'image d'un corps butch, ou d'un corps vieilli, ne répondant plus aux standards patriarcaux d'une certaine minceur. Qu'en est-il de son corps d'il y a 7 ans ? A-t-il changé, et comment ? Vieilli pour sûr, Agnés Matéus dans le texte, et dans les possibles endroits d'improvisation le signale, insiste sur la question de l'âge. Si je suis particulièrement sensible à cette question d'âge, dans les rapports de genre, c'est qu'elle me concerne : les regards changent, le crédit à la parole dans certains contextes aussi. Qu'est ce que faire tourner une pièce pendant 6 ans ? Qu'est-ce qu'expérimenter les changements physiques ? D'autant qu'est soulignée l'énergie de Agnés Matéus, qui tient l'heure quinze que dure Ca rebondit quasi seule sur scène. Mais là aussi, des questions se posent, techniques : quelle place de repos permettent les interludes filmés ? Sont-ils là pour leur qualité intrinsèque, de séquences filmées introduisant un autre rythme à la pièce, et/ou sont-ils présents pour permettre que Agnés Matéus tienne ? Cette question peut se poser, mais pas de la même manière, en fonction de la catégorie d'âge à laquelle l'acteur.ice appartient, car les contingences et les nécessités ne sont pas les mêmes, et donc ne disent, in fine, pas les mêmes choses sur les questions posées par la pièce elle-même. Ici, les premières séquences filmées m'ont moins conduit à regarder les états de délabrements de certaines scènes urbaines qu'à penser au délabrement, en cours mais encore à venir, du corps de Agnés Matéus. Et ces figurations de ruines, par leurs lents travellings dont on sait qu'ils vont, à un moment ou à un autre, figurer une morte, ne m'ont par renvoyées en tant que tel au corps de la performeuse. C'était un autre espace, un autre temps qui se raccorde à l'âge seulement par le comptage, le listage qui vient à la fin de la pièce des femmes mortes, dont l'âge à chaque fois est indiqué. Aucun âge n'est épargné, pas davantage les petites filles que les grand-mères, les jeunes femmes ou les femmes dans la fleur de l'âge. Aucune. Alors, cette question de l'âge se pose pour moi à nouveau dans l'espace où justement d'autres âges que celui de la performeuse, son âge réel, aurait pu être figuré : dans les séquences filmées. Pas d'enfants, pas de jeunes filles, toujours des mortes anonymisées, sans visage, dont on voit qu'il peut s'agir du corps de la performeuse - dont l'âge, là, varie encore par l'absence du visage.
La chute. Après la danse, il y a ce moment que j'ai trouvé très beau, de la chute du corps de Agnés Matéus. La beauté terrifiante de la chute sous les coups. Encaisser les coups et se relever. Être cueillie par les coups. Ne pas répondre, ne pas frapper. En miroir négatif, les poings des hommes pauvres qui apprennent à frapper contre un sac de sable dans la moiteur de salles de sports, à Chicago ou ailleurs, en France, pour se maintenir dans une dignité - je pense à ce qu'en écrit, par exemple, Loïc Waquant, ou encore Jérôme Beauchez (mais moins, ici, et à regret ne les ayant pas (encore lu) aux sociologues ayant travaillé sur les femmes dans les sports de combat, comme Christine Mennesson ou encore Natacha Lapeyroux). L'apprentissage de la chute n'est pas corrélée à l'apprentissage du coup, j'y vois plutôt la réponse de deux précarités, l'une sociale, l'autre de genre, où celui féminin est économiquement, symboliquement plus précaire, vacillant. Mais que penser de la beauté de ces chutes ? Que penser de la beauté dans une telle performance ? Comment la beauté peut se conjuguer à l'horreur de ce qui est dit ? A l'extrême, on pense au texte de Rivette dénonçant l'abject du travelling dans Kapo. S'en détache malgré tout cette chute par ce que permet de percevoir sa répétition, dans ce que l'on perçoit par ce corps, et ce malgré ou grâce à la beauté, ce que permet la répétition c'est de percevoir précisément ce qui n'est pas figurer : la force qui pousse à terre Agnés Matéus, cette lumière qui la pousse, c'est insaisissable comme le patriarcat et au moins aussi éblouissant, ça fait cligner de l'oeil mais malgré tout, on continue à regarder, à accepter. C'est ce déplacement du corps qui chute, par la répétition de la chute, qui permet que l'on perçoive notre propre fascination, la fascination qu'impose la domination, biche en plein phare, notre stupéfaction, notre immobilité face aux coups que l'on sait, même si on ne les voit pas.
Le one-woman show. J'ai pris plaisir à ce one-woman show grinçant, en robe de mariée saupoudrée de paillettes d'or (interdites désormais), comme d'une femme sous cloche, dans une boule à neige, une boîte à musique dont la danseuse dit avec le sourire des insanités. Simple, drôle, jusqu'à et avec son craquement Frida Ka(h)lo. J'ai trouvé malin que les références connues se tissent progressivement avec celles inconnues - mon coup au cœur quand Bessette se fait invisibiliser, inconnue. J'ai trouvé pertinent le moment de réflexion sur l'arbre Kahlo qui cache la forêt des femmes : combien de fois avons-nous vu la vie d'une qui devient emblème de toutes, effaçant les spécificités de chacune, un féminisme non intersectionnel, encore que Kahlo pose la question du validisme, une intersection non négligeable. Agnés Matéus m'a fait penser à une Blanche Gardin, une Elodie Poux, une Florence Foresti. Ce sont des ressorts similaires : montrer ce qui est dit en le confrontant à la réalité. Analyse de l'écart du symbolique, du discursif et du réel pour en montrer l'absurde - et l'absurde faire rire, à tout coup, même si c'est déjà connu, même si c'est jaune.
Le lancer de couteaux. La mise en danger, réelle, m'a glacée. Je n'ai pas voulu, je ne voulais pas. La tension. Qu'en dire ? Que le spectacle est bien rôdé ? Que je n'ai jamais été au cirque (ou plutôt une seule fois) ? Que ce n'était pas une scène de cirque dont on sait que tout est maîtrisé, y compris le danger ? Que le danger venait là davantage de la peur de Agnés Matéus que du lanceur ? Que je l'ai imaginée à chaque fois défaillir de peur, et se précipiter sous le couteau pour le fuir ? Qu'à cet endroit quelque chose se renverse du rapport au danger ? Est-ce une métaphore du féminicide : le danger pris dans le sang-froid du meurtrier (n'en faisons pas un fou) est de bouger, et de provoquer, et de fuir seulement après ? Il faudrait disparaître à soi-même pour ne pas disparaître tout court, mourir ? Mais le danger passé, est-il possible de sortir de l'état de mort dans lequel il nous plonge (et qui se traduit, assez littéralement, par la tête de Matéus dans une brouette de terre) ? Il n'y a pas de résolution de cette question, car elle est irrésolvable. Insupportable ? Une dame au premier rang s'est levée pour sortir du théâtre, un peu avant la fin de la pièce, quand les noms des femmes tuées défilaient, trop vite pour qu'ils soient lisibles. Matéus et Tarrida ne donnent pas de réponses, ni au pourquoi ni au comment, il s'agit d'une performance de constats, fragmentés et parfois rendus sensibles.
1 note · View note
Photo
Tumblr media
Glória Maria (1949-2023) Divulgação / TV Globo Cultura Morreu na manhã desta quinta-feira (2), aos 73 anos, a jornalista e apresentadora Glória Maria, em decorrência de um câncer no cérebro. Ela estava internada no hospital Copa Star, na zona Sul do Rio. Glória deixa duas filhas, Maria e Laura. Jornalista e apresentadora Glória Maria Ela estava internada na zona Sul do Rio, tratando um câncer, e deixa duas filhas. A jornalista estava afastada do "Globo Repórter" há mais de três meses, por conta do tratamento. O último programa apresentado por ela foi a edição do dia 5 de agosto de 2022. Ela trabalhava no "Globo Repórter" há 12 anos. Precursora Nascida em Vila Isabel, zona Norte do Rio, filha do alfaiate Cosme Braga da Silva e da dona de casa Edna Alves Matta, Glória Maria Matta da Silva se formou em jornalismo na Pontifícia Universidade Católica (PUC-Rio) e entrou na TV Globo como rádio-escuta na editoria Rio da emissora. Mais tarde, foi efetivada como repórter. Sua primeira entrada ao vivo foi em 1971, na cobertura do desabamento do Elevado Paulo de Frontin, no Rio de Janeiro. Ela também foi a primeira repórter a entrar ao vivo na primeira matéria a cores do "Jornal Nacional", em 1977. #gloria #gloriamaria #jornalismo #vacomDeus (em Aeroporto de Jacarepaguá / Roberto Marinho (SBJR)) https://www.instagram.com/p/CoKgX6SOBsa/?igshid=NGJjMDIxMWI=
0 notes
jorgemarcelo · 3 years
Text
Melhores filmes e minisséries sobre os primeiros anos do HIV-AIDS
Tumblr media
A Síndrome da Imunodeficiência Adquirida (AIDS) foi reconhecida em meados de 1981, nos EUA, a partir da identificação de um número elevado de pacientes adultos do sexo masculino, homossexuais e moradores de São Francisco ou Nova York, que apresentavam sarcoma de Kaposi, pneumonia por Pneumocystis carinii e comprometimento do sistema imune. Em pouco tempo essa população se tornou alvo de acusações como responsáveis de disseminar uma doença. Rapidamente a imprensa estampou manchetes como título: ‘Câncer Gay’. Isso causou uma irreversível onda de preconceitos nunca superada. Não se iluda: vira e mexe, evangélicos e conservadores utilizam esse expediente para atacar homossexuais. Milhares de gays morreram. Foi um holocausto sem precedentes para essa população. Seja pelo desconhecimento no tratamento, no preconceito ou simplesmente pelo descaso. Esse é um fato. Lógico que muita coisa mudou. Mesmo assim, a pergunta: “Por que não descobriram a cura do HIV-AIDS?” continua sem resposta. Enfim... A série limitada (minissérie) inglesa ‘It’s a Sin’ (HBO Max) é a mais recente obra da ficção a retratar o recorte específico do surgimento do HIV entre os gays daquela época. Com cinco episódios, a trama é centrada num grupo de amigos que moram numa mesma casa na Londres de 1981. Apesar da falta de novidades, é emocionante e eficiente para as novas gerações. Destaque para a sensacional trilha sonora com alguns clássicos, como ‘Smalltown Boy’ (Bronsky Beat), ‘Love is a Tear Us Apart’ (Joy Division), ‘Tainted Love’ (Soft Cell), ‘Mickey’ (Toni Basil), ‘Call Me’ (Blondie), ‘Karma Chamaleon’ (Culture Club) e ‘Gloria’ (Laura Branigan).
Outros títulos de ficção específicos sobre o tema
Com bons ou médios resultados, Hollywood produziu filmes e séries que retrataram os primeiros anos do vírus entre essa população. Alguns envelheceram bem... Outros, nem tanto. De qualquer forma, vale a pena conhecer.  
‘Aconteceu Comigo’ (An Early Frost, 1985) – Pioneira obra sobre o assunto, o filme foi feito para a TV americana. Estrelada por Aidan Quinn, Gena Rowlands e Bem Gazzara, era a estória de um rapaz que retorna à casa dos pais depois que descobre que foi contaminado. Foi assistido por 34 milhões de pessoas. Recebeu 14 indicações ao Emmy e venceu quatro (incluindo melhor roteiro). Foi exibido pelo SBT com medonhas e apelativas chamadas que davam a ideia que se tratava de um filme de terror...
‘Meu Querido Companheiro’ (Longtime Companion, 1989) – Também é pioneira ao se tornar a primeira produção feita para o cinema sobre o assunto. Grupo de amigos vivenciam as dores e perdas causadas pelo vírus (é a principal inspiração da minissérie ‘It’s a Sin’). O título foi retirado de uma definição criada pelo jornal New York Post para descrever pessoas que se tornaram cuidadores de seus parceiros na fase final da doença (lembre-se que não existia coquetel ou retrovirais na época). O elenco contou com Campbell Scott, Mary-Louise Parker e Bruce Davison (indicado ao Oscar e premiado no Globo de Ouro como Melhor Ator Coadjuvante). A sequência final foi uma das mais emocionantes da época.
‘E a vida continua’ (And the Band Played On, 1993) – É um filme/documentário feito para a TV com direção de Roger Spottiwoode, a partir do livro homônimo de grande sucesso em 1987. Protagonizado por Matthew Modine, ele teve um desfile de estrelas em participações especiais, como Richard Gere, Phil Collins (sim, o cantor), Anjelica Huston e Lily Tomlin. O ponto de partida acontece com a chegada do epidemiologista Don Francis à uma vila próxima ao rio Ebola no Zaire, em 1976, onde uma doença misteriosa estava matando moradores e médicos. Em 1981, trabalhando no Centro de Controle e Prevenção de Doenças (uma agência do Departamento de Saúde e Serviços Humanos dos Estados Unidos), ele se assustou com crescente número de gays mortos em Los Angeles, Nova York e San Francisco. Mesmo sem dinheiro, espaço reduzido, sem equipamento necessário, ele articula uma rede de contatos com políticos, membros da comunidade médica e ativistas LGBTQ. Enquanto o governo americano não dava a menor atenção, ele ainda teve que enfrentar a resistência entre os próprios gays e proprietários de saunas. Eles se recusavam a fechar um espaço considerado de liberdade sexual. Paralelo a isso, começa uma briga de patentes sobre a descoberta do vírus entre o médico americano Dr. Robert Gallo e a equipe do francês Luc Montagnier. É longo (2h21), mas vale muito a pena.
‘Filadélfia’ (Philadelphia, 1993) – Advogado é demitido quando revela a empresa ser portador do HIV-AIDS. Resolve processa-la. Contrata colega negro e homofóbico para defendê-lo. Tom Hanks tem uma linda cena ao som de ‘La Mama Morta’ na voz de Maria Callas que garantiu seu primeiro Oscar de Melhor Ator. E é isso. É uma obra fria, medrosa e superficial que só se tornou relevante ao levar o assunto para o tribunal. Do resto, não trouxe nada de relevante ao assunto.
‘Somente Elas (Boys on the Side, 1995) – Mary-Louise Parker vivia uma mulher contaminada pelo HIV-AIDS que aceita viajar com duas amigas, uma lésbica (a fase boa atriz de Whoopi Goldberg) e uma jovem que fugia de um relacionamento abusivo (Drew Barrymore). O destaque: a cena no qual Whoopi delicadamente interpreta ‘You Got It’, uma das belas canções da ótima trilha sonora somente com cantoras, como Bonnie Raitt, Melissa Etheridge, Sheryl Crow, Stevie Nicks, The Pretenders, Annie Lennox, Sarah McLachlan, Joan Armatrading, Indigo Girls, The Canberries e Jonell Mosser.
‘A Última Festa (It’s My Party, 1996) – Eric Roberts interpreta um homem que perde namorado e seguro de saúde assim que descobre que está contaminado. Quando sua saúde piora, resolve convidar amigos para uma festa de despedida, pois pretende se matar. O filme foi baseado na vida de Harry Stein, ex companheiro do diretor Randal Kleiser. O elenco também contou com Olivia Newton-John, Marlee Matlin e Bruce Davison.
‘Anjos na América’ (Angels in America, 2003) – Série limitada (minissérie na época) da HBO baseada na premiada peça de Tony Kushner sobre os primeiros anos da epidemia em Nova York. Em 1985, Ronald Reagan está na Casa Branca e o HIV-AIDS causa mortes sem precedentes nos Estados Unidos. Em seis episódios, a trama relata como isso afeta um grupo de pessoas. O elenco é liderado por Al Pacino, Meryl Streep, Emma Thompson, Justin Kirk, Ben Shenkman, Mary-Louise Parker e Patrick Wilson. Venceu 60 prêmios, como 11 Emmy e cinco Globos de Ouro.
Tumblr media
‘Um Coração Normal’ (The Normal Heart, 2014) – Baseado na peça de 1985, é um excelente filme da HBO com direção de Ryan Murphy e roteiro de Larry Kramer. É estrelado por Mark Ruffalo, Matt Bomer, Taylor Kitsch, Jim Parsons, Alfred Molina, Joe Mantello, Jonathan Groff e Julia Roberts. A obra se passa entre 1981 e 1984 – auge da crise do HIV-AIDS em Nova York pelos olhos do escritor e ativista Ned Weeks (Ruffalo), fundador de um dos primeiros grupos de direitos humanos a tratar do assunto. Ele optou pela confrontação do que a discrição dos outros ativistas, amigos e seu companheiro Felix (Bomer). As diferenças de opiniões serão fundamentais para as primeiras mudanças no tratamento da doença. O filme venceu 28 prêmios (Emmy, Globo de Ouro e SAG Awards).
2 notes · View notes
canalsart · 3 years
Photo
Tumblr media
Barnils a CatalunyaActualment s’exposa a Sant Cugat una àmplia mostra d’obres de Sergi Barnils, que recull treballs dels últims deu anys i obres creades durant el confinament.Aquestes pintures i escultures que s’exhibeixen actualment a la Fundació Cabanas, on es pot veure una retrospectiva dels últims deu anys i a Canals-Galeria d’art obra realitzada durant el confinament, iniciaran un recorregut itinerant per Catalunya de març a setembre 2021, sota el comissariat de Josep Canals, visitant les ciutats de Barcelona, Vilafranca del Penedès, Lleida i Tarragona.Després de l’exposició de l’any 2017 a la Fundació Vila-Casas de Barcelona, les mostres de Sant Cugat que itinerant són les més destacades fetes fins ara per Sergi Barnils a Catalunya.La pintura de Barnils és molt coneguda a Europa i poc al seu país. Molt vigent en aquest temps de pandèmia, per la seva espiritualitat, ja que la seva pintura té connotacions espirituals més que religioses, i en aquest temps de Covid. Barnils diu: l’home té anhels de l’absolut i que l’esforç de l’ésser humà per arribar a Déu és infructuós, perquè la iniciativa sempre és seva.Aquest artista català és molt reconegut a tot Europa, sobre tot a Itàlia, on exposa regularment. Per això ara cal destacar la seva trajectòria a la ciutat on ell ha viscut tota la vida i ser de família oriünda de Sant Cugat de la que el seu pare en fou alcalde. El catàleg introduït per Gloria Bosch, es reflecteix la trajectòria d’aquest artista català que ara res comença a ser reconegut al seu país.
#EntraALaGaleria #santcugat #artenxarxa #art #galeria #galeriesacasa #Somimpuls #SomICEC @icec_cat @ActuaCultura @cultura_cat #gacc @mireiaingla #laculturaacasa @mcuranta #compartircultura #artacasa #Culturasct #cultura #catalunya, #artistes #europe #galeries #AgendaArt #culturaenssalva @angelsponsa #compraart @CatorzeCat #cultura #actualidad #laculturaacasa #culturasct  #gacc #actualidad #galeriesacasa #artacasa  #culturasct #culturasegura #rescatcultural
1 note · View note
gardeniahungma · 2 years
Video
vimeo
Estrella Damm - Amor A Primera Vista (International Version) from Ian Pons Jewell on Vimeo.
DIRECTED BY: Ian Pons Jewell WRITTEN BY: Oriol Villar CAST
Mario: Mario Casas Mariona: Mireia Oriol Lucia: Laia Manzanares Miguel: Nao Albet Monica: Monica López Fisherman: Pep Cruz Gloria: Tamara Ndong Julio:Daniel Ibañez Enric: Joan Amargos Rigoberta Bandini as herself
DIRECTOR OF PHOTOGRAPHY: Mauro Chiarello EXECUTIVE PRODUCER: Mario Fornies EXECUTIVE PRODUCER: Zico Judge EP / PRODUCER:Laia Vidal POST PRODUCER: Emmanuelle Le Chat PRODUCTION DESIGNER: Maruxa Alver PRODUCTION MANAGER: Yolanda Gata TALENT COORDINATOR: Marta Muntane LOCATION MANAGER: Joan Cobos STYLIST: Buki MUH ARTIST: Alma Casal ART DIRECTOR: Nina Caussa EDITOR: Tobias Suhm POST PRODUCTION COORDINATOR: Marc Farreras
SET MANAGER: Victor Macià LOCATION ASSISTANT: Pep Ferrer LOCAL PRODUCTION: Rosa Preto 1ST AD: Lluís Casacuberta 2ND AD: Carlos Santana 3RD AD: Oriol Rovira 3RD AD: Rafael Sanz VERSE ADVISOR: Daniel Orviz SCRIPT: Marieta Torrents PRODUCTION COORDINATOR: Marta Vega PRODUCTION COORDINATOR: Carla Vila PRODUCTION ASSISTANT: Nerea Soms RUNNER: Javier Nieto RUNNER: David Ceballos RUNNER: Aleix Lladó RUNNER: Ramón Novellas RUNNER: Nitus RUNNER: Raul Mata RUNNER: Nico Santa Maria RUNNER: Marc Didac RUNNER: Ana Perez RUNNER: Elisabet Talens RUNNER: Maide Patiño
VFX: Carsten Keller MAKING OF: Yosigo
1ST AC: Alicia Galiña 2ND AC: Raul Mulas 2ND AC: Sergi Lafuente CAMERA OPERATOR: Teo Lopez VIDEO ASSISTANT A: Lucia Forner VIDEO ASSISTANT B: Carlos Nava DIT: Jose Manuel Ochando STEADICAM OPERATOR: Nico Lasarte SOUND Carles Prats SOUND ASSISTANT: Alberto de Ros SOUND ASSISTANT: Kemen Longo KEY GRIP: David Arres KEY GRIP ASSISTANT: Daniel Vergara KEY GRIP ASSISTANT: Andres Enrique KEY GRIP ASSISTANT: Antonio Espejo GRIP ASSISTANT: Rodrigo Alvarez GRIP ASSISTANT: Sergi Mestres
GAFFER: Mario Scattoloni BEST BOY (THEATER): Dani Vazquez SPARK: Ferran Grau SPARK: Daniel de Jose Homs GENNY: Carlos Vila BEST BOY B: Jose Antonio Danta TECHNICAL SPARK: Joel Sitjes SPARK: Alex Postius SPARK: Albert Cantallops SPARK ASSISTANT: Pere Llopart SPARK ASSISTANT: Pablo Marqués SPARK ASSISTANT: Antonio Salcedo Rueda SPARK / GRIP ASSISTANT: Joan Francesc Bagur SPARK ASSISTANT: Luis Andrés Mendoza SPARK ASSISTANT: David Gottschelg
ASSISTANT STAND BY PROPS: Heura Marimon SET DRESSER: Diego Oicco LEAD PAINTER: Zaida Sabatés CONSTRUCTOR: Jose Manuel Ramirez CONSTRUCTOR: Juan Carlos Alvarez SET DRESSER: Pau Albi ART PA: Nicolas Juaneda PRODUCT MASTER: Pau Arregui STYLIST ASSISTANT: Yahir Hernandez STYLIST ASSISTANT: Emiliano Nicolas Denis STYLIST ASSISTANT: Jonathan Morales MUH ASSISTANT: Sonam Airtel MUH ASSISTANT: Pili Urena
CAMERA EQUIPMENT:Servicevision LIGHT EQUIPMENT: Zeferino LIGHT CREW: Backlight PRODUCTION: Location Support VANS SCOUT: Ok Mobility VANS RECCE: Coches Menorca VANS RECCE: Hiper Rent A Car NURSE ON SET: Juaneda SANIEC: Jaume Ventura GRIP EQUIPMENT: Gripsupport CATERING: Julio Cordoba Ruiz
POST-HOUSE: MPC Executive Producer: Dafydd Upsdell Senior VFX Producer: Mireille Antoine Line Producer: Chitra Vinod Colour: Ricky Gausis Colour Producers: Caitlin Forrest/Ivana Banh Creative Directors: Anthony Bloor Carsten Keller VFX Supervisor: Judy Roberts Comp: Pavel Vicik Zeki Doru Ondun Mauro Nodari Tri Do Shaik Ahamed Bashra Gijo George CG Lead: Mike Little FX Lead: Christopher Honninger FX: Platon Filimonov Selcuk Ergun Arnau Gilabert Rob Richarson Alok Dwivedi Sandeep Goje Amaranth Reddy Hari Prasad Anumula Lighting: Jack Enever Giovanni Bianchet Vittorio Barabani Pritesh Krishnappa Assets: Shashi Kumar S Sunil Mohapatra Animation: James Bown Ambalika Nandy GRADE: Ricky Gausis
Sound Designer/Music Supervisor: Tim Harrison Sound Effects Editor : Sam Mason Mix Technician: Pär Carlsson
Film Out – Adrian Bull Film Processing and Scanning - Cinelab Film & Digital. Film Processing – Andy Hudson, Tony Puzas, John Gurney, Steve Sheridan, Derek Collins, John Allaker. Film Scanning – Rob Wickings Film Lab Commercials Dailies Producer - Aarti Mahtani Special thanks - Cinelab Film & Digital.
0 notes
maria-dib · 2 years
Photo
Tumblr media
#selquis #serket #serquere #escorpião #deusa #isis #mãe #magia #terra #earth #planetaterra #simbolo #osiris #oz #osi #iris #horus #eyes #Osíris #krishna #Ressurreição #shreembrzee #lakshmi #escorpiões #scorpius https://pt.m.wikipedia.org/wiki/S%C3%A9lquis Sélquis (em grego: Σέλκις, Sélcis), Serquete (Serket) ou Selquete (Selket) era a deusa escorpião do ... No mesmo mito, Ísis é acompanhada por...Deusa Ísis, esposa de Osíris . Ísis é a primogênita do deus da Terra, Geb, e da divindade que rege o Cosmos, Nut. Principais deuses e deusas da civilização egípcia: 1- Ámon - O Oculto. ... 2- Mut - A Deusa Mãe. ... 3- Osíris - Senhor dos Mortos. ... 4- Seth - O Deus do Caos. ... 5- Ísis - A Deusa da Ressurreição. ... 6- Hórus - O Restaurador da Ordem. ... 7- Anúbis - O Embalsamador Divino. ... 8- Rá - O deus do Sol. https://www.mitografias.com.br/2016/03/a-lenda-de-isis-e-os-escorpioes/ 🌟Lenda🌟História🌟 🌟Mito🌟Mitologia🌟 🌟Ísis🌟Escorpião♏🦂 💫💫💫💫💫💫💫💫 A Lenda de Ísis e os Escorpiões🦂🦂🦂 Eu sou Ísis, senhora da magia, Senhora dos Sortilégios. Saí de minha casa, onde meu irmão, Seth, me havia aprisionado, pois Thot me havia chamado. Thot, o duplamente grande, Thot, o senhor da justiça e da verdade na terra e nos céus. Ele me disse, quando o encontrei: – Venha, ó Ísis, agora é bom escutar: pois há vida para o homem que se deixa guiar pelos sábios conselhos de outrem. Esconde-se tu e teu filho porque ele (Hórus) pode chegar até nossa esfera de poder. Seus membros vão crescer, e também a força dele se fará poderosa, e ele com altivez virá a ascender ao Trono de seu pai, a quem vingará, e a dignidade de governante das duas terras será de novo seu. Fui-me quando o poderoso Rá descendia de sua gloria para o lado ocidental, e o manto da noite começava a tingir de escuridão o céu.Comigo viajavam sete escorpiões, e seus nomes eram: Tefen e Befen, Mestet e Mestetef, Petet, Tetet e Matet. Atras de mim, vinham Tefen e Befen. Mestet e Mestetef vigiavam meus lados. A minha frente iam Petet, Tetet e Metet, vigiando e protegendo o caminho para que nada pudesse atrasar minha viagem.Eu lhes ordenei em voz alta minhas palavras, e meus comandos atravessaram... (em Vila Industrial, São Paulo-Sp) https://www.instagram.com/p/CWv3LunrFFrgDSsRKWQ56v9g0Uqvsgqlqu0fI80/?utm_medium=tumblr
1 note · View note
pdf92131 · 3 years
Photo
Tumblr media
Dự án aqua city có quy mô 1000 ha, được quy hoạch mới, đồng bộ và hiện đại ngay từ đầu bởi các công ty chuyên nghiệp hàng đầu Việt Nam và Quốc tế. Với 80% sản phẩm thấp tầng là nhà phố vila => đây sẽ là nơi an cư của cộng đồng thành đạt, giàu có Biên Hòa. Quý khách hàng có thể cập nhật thông tin chi tiết qua bài viết của Trần Đình Hiếu dưới đây.
Nguồn nước sông Đồng Nai trong sạch, không gây ô nhiễm (sử dụng cho toàn thành phố Biên Hòa).
3 / Tiện lợi Cửa - Đáp ứng Mọi Tần Theo yêu cầu hàng ngày và hơn thế nữa;
Tại Dự án aqua city có đầy đủ các tiện ích xung quanh nhà đáp ứng nhu cầu hàng ngày:
+ Khu phố thương mại sầm uất với các quán cafe thương hiệu nổi tiếng, nhà hàng nổi tiếng (Saigon Casa cafe, Gloria Jean's Coffees, Mojo Coffee, Jumbo Seafood, The Dome Dining & Drinks, Dynasty House Hongkong Dimsum & Hotpot ...) thuộc hệ thống sinh thái Nova F&B. Cư dân nhận nhà có thể tận hưởng ngay;
+ Hệ thống trung tâm y tế tiêu chuẩn quốc tế (Novaland hợp tác với bệnh viện Đại học Y Hà Nội);
+ Hệ thống trường học liên cấp quốc tế (Novaland hợp tác với Khôi Nguyên, đơn vị vận hành: Hệ thống trường Quốc tế Canada, Albert Eistein…); ...
Tìm hiểu thêm:
Quán cà phê & nhà hàng thương hiệu Nova F&B;
Hệ thống trường học quốc tế trong khu đô thị Dự án aqua city;
Novaland b���t tay với Accor để phát triển khách sạn 4 sao Novotel tại dự án Dự án aqua city;
Và, mức độ tiện ích, Thành phố Hồ Chí Minh không có như:
+ Aqua Arena - Trung tâm tổ chức sự kiện trong nhà với sức chứa 11 trường ngồi;
+ Bến du thuyền 5 sao Aqua Marina, diện tích 5 ha; Và hệ thống bến thuyền theo từng phân khu;
Trung tâm thể thao, Triển lãm Mô tô Đa năng Aqua Sport Complex;
+ Trung tâm thương mại Aqua Central Mall;
+ Business Lounge - tiếp đón các đối tác kinh doanh sang trọng;
4 / Không ô tô, không ngập nước, không lo đậu ô tô.
 http://aquacitys.net/UploadImages/Aqua-city-caffe-quang-truong.jpg
Để biết thêm thông tin, vui lòng truy cập http://aquacitys.net/
0 notes
capixabadagema · 6 years
Photo
Tumblr media
Vila Velha 483 anos . Vista da Pedra do urubu, situada ao norte do Parque da Mantegueira, o complexo penitenciário Pedra d'água, conhecida como "Penitenciária de Vila Velha", já funcionou no século XVIII como "casa de passagem" para imigrantes italianos. Estes, ao chegarem de navio, ali permaneciam em quarentena antes de desembarcarem em definitivo no estado do Espirito Santo, reconhecido oficialmente como o berço da imigração italiana no Brasil. . Gloria, Vila Velha – ES . Fotografia de @andretesche Texto: @oquefazervitoria . . . #oquefazervitoria #vitoria #es #vitorialinda #vitorinha #es360 #vitoriacool #capixaba #capixabando #capixabei #clickcapixaba #instaphoto #photos #capixabadagema #espiritosanto #dicasvitoria #instaphotos #pictures #turismoes #amoespiritosanto #capixabandonoes #vitoria360 #monumentos #penitenciaria #parque #vista #parquedamantegueira #italiaebrasil (em Glória)
1 note · View note
praza-catalunya · 3 years
Text
O pintor Ramon Casas visita a cidade de Badalona
O Museu de Badalona, esa entidade asentada sobre os restos da vila romana de Baetulo, ten a boa idea de convidar a Ramon Casas a instalarse nas súas salas e compartir coa cidade badalonesa as súas afinidades artísticas e persoais. O resultado é unha exposición congruente, centrada nas relacións do artista con esa vila, e da calidade que se merece o autor de La Càrrega, o gran pintor modernista. As creacións plásticas de Casas son inocentes?
Lito Caramés
Tumblr media
Ramon Casas, Autorretrato, 1890
Ramon Casas visita Badalona. Museu de Badalona
Vuy toca'I dolsayner / á plassa hermosas ballas; / s'acollan ja'Is fadrins, / las ninas ja’s preparan. / ¡Y quina dansa hi há, / no's veu gayres vegadas! / —Qui'n es aquell minyó / que tréu la contradansa? / —L'heréu del Mas dels Oms, / -aquell que demà-s casa.— / Lo jove dolsayner / bé sab qui ab l'hereu balla! / Tarará, tarará, / lo so de la dolsayna, / tarará, tarará, / quans cors fá bategà  (Antoni Bori i Fontestà, Lo dolsayner (fragmento), Poema ganador da Flor Natural do ano 1883. Publicado en “El Eco de Badalona”, 1 de setiembre de 1883).
Finais do malévolo 2020, tempos de pandemia, de peche social e de negritude cultural. No medio deste triste panorama, o Museu de Badalona segue coa programación de exposicións temporais, optando nesta ocasión pola mostra Ramon Casas visita Badalona. A proposta baséase nunhas 20 pezas saídas do xenio e da cualidade técnica do editor (e propietario) da revista Pèl&Ploma. Entre as creacións é doado atopar pinturas ao óleo, debuxos e, por suposto, carteis; é dicir, as técnicas e xéneros artísticos máis empregados por Casas. As obras teñen procedencias moi diversas, unhas son préstamos de coleccións privadas e outras chegan de entidades e galerías (o MNAC ou a galería Gothsland). Precisamente Gabriel Pinós, o propietario da galería Gothsland e estudoso de Ramon Casas e mais da actividade cultural programada no restaurante Els Quatre Gats, colaborou na preparación da exposición (e mesmo ía ditar unha conferencia o día da presentación, actividade que se suspendeu polo incendio e mortes que aconteceron nesa vila). As obras expostas, tamén, permiten percorrer unha ampla cronoloxía, ou o que é o mesmo: admirar a evolución deste artista tan privilexiado para a pintura e o deseño. A pintura máis antiga é un autorretrato de cando Casas contaba 17 (1883) e ía á academia do pintor Carolus-Duran en París, e a máis recente (retrato de Glòria Codina Casas, sobriña) data de 1929, tres anos antes do seu pasamento, cando xa era un afamado artista.
O polifacético Ramon Casas tivo –entre directas e indirectas-- bastantes relacións coa cidade de Badalona, localidade próxima á capital catalá e con personalidade propia. O mesmo Joan Brossa deu testemuña dese feito: On es bada l’ona. Ramon Casas i Carbó (Barcelona 1866-1932) naceu nunha familia acomodada. O seu pai, Ramón Casas Gatell, dos Casas de Torrembarra, foi un indiano que se enriqueceu na provincia cubana de Matanzas. Unha das primeiras probas do nivel económico de Ramon Casas é o feito que aos 15 anos o pai mándao a París para estudar cos mellores artistas. Con quince anos! Outra proba da posición social da familia Casas i Carbó atópase en que para o panteón da súa prima, Mercé Casas i Carbó (morta en 1907), a familia encargoulle ao escultor Josep Llimona a súa obra hoxe máis coñecida: Desconsol, da que na actualidade hai varias copias. Pola outra rama familiar, en Badalona instalouse unha empresa téxtil, Carbó y Viñas (fundada no ano 1840) --a primeira en empregar o vapor nesta vila-- e na que ese Carbó era o avó materno do artista. As procuradas relacións con esta cidade, xa que logo, existían antes de nacer.
Tumblr media
 R. Casas, Glòria Codina Casas. 1922
Retratos. Familia Codina Casa
Casas va incorporar novetats entre les quals podem esmentar l’elegància formal, una poètica amb una paleta cromàtica molt rica, versàtil i de resultats molt efectius, i unes solucions tècniques i compositives que palesaven un alt domini dels recursos tècnics, fonamentats en l’existència d’una habilitat innata, un talent inigualable per al conreu de la pràctica pictòrica i una permeabilitat a l’assimilació de propostes estètiques més innovadores. (I. Domènech e F. Quílez no catálogo da mostra Ramon Casas: la modernitat anhelada, 2016).
Como facilmente se pode deducir das verbas dos comisarios da exposición Ramon Casas: la modernitat anhelada, programada –entre outras-- para conmemorar o 150 aniversario do nacemento do pintor, Casas foi no seu tempo un artista ben dotado para as artes plásticas, feito que mellorou cos estudos e dedicación. A súa vida profesional foi de éxito en éxito. Sorprende, por contra, un comentario que deixou o artista por escrito: queixábase do duro e difícil que lle era tocar a guitarra, cando debuxar e pintar se lle daban tan ben.
Volvendo á exposición Ramon Casas visita Badalona, e á relación do autor de La Càrrega con esta vila, a meirande parte das obras colgadas nas paredes do museo badalonés son retratos –xa en debuxos, xa en pinturas ao óleo--. Ramon Casas, como pintor que acabou por ser o preferido da burguesía catalá, dedicou tempo e esforzos a facer moitos retratos nos que as súas habilidades lle permitían (mesmo nos autorretratos) exhibir as variedades cromáticas e fasquías da personalidade da persoa retratada; algúns deles son verdadeiros estudos psicolóxicos. En relación con Badalona, Casas retratou ao señor Vincenç Bosch, o dono da empresa Anís del Mono, do que non só foi cliente senón que rematou por ter unha boa amizade; e ao actor Enric Borràs, amigo co que compartir tempadas en París.
Tumblr media
R. Casas, Santiago Codina Casas. 1917
Pero a parte máis ampla de pezas (e retratos) presentes en Ramon Casas visita Badalona son os que representan persoas da familia Codina Casas. Elisa Casas, irmá de Ramon, casou con Josep Codina Prat, de Badalona, de onde se deduce a relación do artista cos sobriños e demais familia. En concreto, na exposición hai un retrato de Josep Codina (debuxo coloreado sobre papel), outros de Elisa e dos fillos da parella. Dos fillos, Glòria e mais Santiago, hai concretamente dous debuxos a carbón que non foran exhibidos con anterioridade; son por tanto novidade total. De Glòria tamén hai unha pintura ao óleo. E de Elisa, a irmá, tamén se poden admirar outros dous retratos, moi diferentes entre si. Un deles é de Elisa como viúva, unha peza de corpo enteiro e de rigoroso negro, sobre o que emerxe a face abrancazada da muller apesarada. Exhibición de capacidades retratistas. Pola contra, Elisa é a protagonista doutro retrato ben distinto: colorista, de medio corpo, lucindo a xuventude. Nesta peza (préstamo da galería Gothsland) Casas fai gala da riqueza cromática que lle agrada: a cadeira presenta a tela dese amarelo que tanto admirou o artista nos cadros de El Greco, e o vestido de Elisa é unha sinfonía coral de azuis que clarean e escurecen ao ritmo das luces que inciden nas telas. Sabendo das querenzas de Casas por pintores españois, este retrato remite (aínda sen ser ningunha réplica) á excelsa pintura de Goya La Condesa de Chinchón).
O cineasta Harun Farocki (magnífica exposición hai catro anos na Fundació Antoni Tàpies) afirma contundente: unha imaxe nunca é inocente. Haberá algunha imaxe, algunha iconografía das moitas que creou Casas, que sexa inocente? Na mesma dirección o artista Golucho, comisario da mostra EROS. Tu cuerpo como excusa (MEAM), asevera no catálogo desa exposición: Lo que de bueno hay en un cuadro, nunca está pintado. Que agochan as múltiples pinturas de Casas? O sentido da vida? A alegría de vivir?
Tumblr media
R. Casas, Gloria Codina Casas, 1929
Ramon Casas, debuxos e cartelismo
Però si en un material, tècnica o suport Casas va captar l’esperit del seu temps va ser als cartells. La publicitat neix en aquell moment i Casas es converteix en un dels grans cartellistes de casa nostra. Al cartellisme es representen els canvis d’hàbits d’una societat. (Vicente de la Fuente Bermúdez, Vida quotidiana, Ramon Casas observador del seu temps, no catálogo da exposición Ramon Casas. La Vida Moderna, Museu del Modenisme, 2016).
Ramon Casas i Carbó pasa por ser o mellor pintor modernista de Cataluña. En cambio, moitos estudosos e estudosas das súas creacións -sen negar tal aserto- inclínanse por definilo máis como unha persoa moderna máis ca modernista. As liñas anteriores de V. de la Fuente Bermúdez van nesa liña: Casas tivo a habilidade de saber cara onde ían as sociedades pois en calquera faceta da vida apostaba polo novidoso: as bicicletas, os automóbiles, presentar ás mulleres libres, autónomas, conducindo, fumando, lendo, pintando.
As armas estéticas coas que contaba Casas para cativar ás familias burguesas eran a súa elegancia formal, austera incluso, que se apoiaba en boas solucións técnicas baseadas no dominio do seu oficio. Axudado por esas dotes especiais que posuía, Casas foi un pintor prolífico: cóntanselle máis de 1.000 óleos e o dobre de deseños, por non falar dos moitos carteis que confeccionou ao longo da súa vida. En Badalona, na exposición Ramon Casas visita Badalona tamén hai carteis, evidentemente. Casas bebeu directamente das influencias de Toulouse-Lautrec e a exactitude do trazo que define volumes de xeito sintético. Os poucos trazos -maxistrais- ao servizo da claridade da mensaxe.
O tema favorito de Casas –como de case todos os modernistas na súa fasquía publicista e ilustradora (paradigmático o caso de Alphonse Mucha)– é a figura feminina. A utilización da figura feminina para as imaxes das marcas industriais ten varias lecturas. Presentar as mulleres como membros da sociedade “moderna” (que fuman, beben, conducen) crea o efecto positivo de que as mulleres participan da vida activa, que son independentes, liberadas. Pero, esa mesma imaxe feminina, romántica, lánguida, sensual, que acompaña tabacos, licores, automóbiles, tamén insiste na imaxe de “muller-floreiro”. Os medios de comunicación social actuais non están libres destas imaxes estereotipadas e controvertidas. En Ramon Casas visita Badalona inclúense tres deseños que representan tres donas, unha cun volante nas mans, outra lendo, e outra pintando.
Tumblr media
R. Casas, Vicenç Bosch, 1897
Ramon Casas foi o gañador do concurso de carteis (1897-98) que a empresa do señor Vicenç Bosch convocou para publicitar o seu produto estrela, o Anís del Mono (na botella deste licor preséntase un mico coa face de Darwin, en clara referencia ás teorías da evolución. Desde hai uns anos, unha escultura dese simio adorna o Pont del Petroli). Casas presentou tres modelos e o vencedor foi, ademais, o que rematou por ser impreso en formato grande para a publicidade do licor. O cartel ganador -coñecido como Mona y Mono- forma parte agora da “visita” de Casas á vila baetuliana. Nesta obra, Casas presenta unha muller, vestida de manola, portando na man dereita unha copa de licor e coa outra vai agarrando un mico; sobre fondo azul, a muller loce un mantón amarelo-greco con forte contraste co resto da creación. A influencia de Mucha semella evidente.
Como curiosidade paga a pena lembrar un dos traballos que fixo Casas: o cartel para o Champagne Kola. Vigo. Desde 1900 o empresario vigués Salvador Aranda elabora unha mistura entre champagne e cocacola, un refresco que pasa por ser o primeiro champán fabricado en Galicia (como explica este artigo publicado na Voz de Galicia), e encargoulle a Ramon Casas un affiche para promocionar a súa bebida. Tamén está na mostra outro cartaz da empresa badalonesa: Silicatos Fuster (1897), empresa radicada en Badalona. Fuster, socio de Vicenç Bosch e o dono, daquela, do hotel Casa Fuster de Barcelona, seguramente fíxolle o encargo a Casas por mediación de Bosch.
Para completar a revista polos carteis presentes na mostra Ramon Casas visita Badalona cómpre facer referencia ao dos Jochs Florals de Barcelona (1908). Esta litografía tamén vai na liña dos cartelistas modernistas europeos, Mucha entre eles, e a muller reproducida alude a esculturas da época (á Estatua da Liberdade, regalada anos antes por Francia á cidade de New York?). A dona que serviu de modelo para este cartel é Júlia Peraire, a que foi modelo e logo muller de Ramon Casas. Júlia tivo ata hai ben pouco tempo mala prensa, fama de muller aproveitada, incluso desagradable. Júlia Peraire non foi ben vista nin pola familia Casas nin polos amigos do pintor, como mostra este parágrafo dunha carta que Joaquim Folch i Torres escribe a Miquel Utrillo: Casas corria per aquí amb la Júlia. No’ls he vist, en primer lloc per que no corro gaire pels bulevards, i en segon lloc perque la troballa amb tal companya tampoc m’era interessant. No ano 2016, coincidindo co Any Casas, nos Cercles del Liceu presentouse unha magnífica exposición sobre esta muller: Júlia, el desig. Isabel Coll, a comisaria desa mostra --tratando de liberar a Júlia do peso da súa fama-- escribiu no catálogo: El meu desig és posar Júlia al seu lloc, una noia molt lliure, sí, però perquè a la seva família li semblava bé el seu comportament. M'agrada això, la seva llibertat. Vull reivindicar-la com una dona de 17 anys a la qual em cansa que es dediquin adjectius que no són certs, i a la qual es menysprea per la seva llibertat.
A exposición Ramon Casas visita Badalona, no Museu de Badalona, é unha nova oportunidade para gozar da mestría artística deste artista que gostaba pedalear en biciv¡cleta e mais en tándem. Badalona ben val unha visita.
Lito Caramés
Tumblr media
R. Casas, Mona y Mono, 1898
 EXPOSICIÓN: Ramon Casas visita Badalona,  Museu de Badalona.
0 notes
francesinha · 4 years
Text
5 de Agosto 2020: Lyon (II) Vienne
Para romper la monotonía hemos dado un salto a una ciudad pequeñita a unos 30 kms de Lyon: Vienne. Aunque nadie se acuerda de ella y no es la primera opción cuando te recomiendan visitas, es bastante importante por sus ruinas romanas y su pasado religioso.
Nada más llegar al centro del pueblo te encuentras con el Jardin Archéologique de Cybèle (patrocinado por Yoplait, y esto es rigurosamente cierto). Este jardín se encuentra en el lugar que ocupaba antiguamente el foro romano.
Tumblr media
Son aún visibles las arcadas laterales del costado que se apoyaba en la Basílica.
Tumblr media
En lugar de la Basílica, en la edad media se instaló una casa con torre.
Tumblr media
Tiene un bonito ayuntamiento neoclásico.
Tumblr media
Y callecitas con encanto.
Tumblr media
El monumento más espectacular es el Temple d’Auguste et de Livie, a la memoria del emperador y su esposa, que fue convertida en iglesia y ha sido restaurada a su antigua gloria a base de pico y pala.
Tumblr media Tumblr media
El otro monumento de mayor relevancia es la iglesia de St. Maurice.
Tumblr media Tumblr media
Pocas veces se ve la silla arzobispal que da nombre a una catedral. Ésta fue degradada hace unos siglos pero se ha dejado la silla para que se recuerde su antigua gloria.
Tumblr media
También reposa aquí el corazón de un delfín de Francia que murió muy joven y al que se decidió recordar con una lápida que parece de Mr. Wonderful pero que es de la Edad Media.
Tumblr media
Y, por supuesto, ésta es la Catedral en la que se ordenó Papa a Calixto II y 200 años más tarde se celebró un concilio en el que se retiró el soporte papal a la Orden del Temple.
Tumblr media
Esta ciudad es famosa por sus ruinas romanas. Cruzando el rio Rhône, hay una enorme extensión de ruinas romanas, denominadas St-Romain-En-Gal. 
Tumblr media
A modo de preludio de la visita de las excavaciones, se visita el museo Galo-Romano, un edificio de dimensiones más que respetables de acero y cristal que aloja principalmente mosaicos y objetos cotidianos extraídos de este enclave.
Tumblr media Tumblr media
A modo de ilustración, dos de los más de 250 mosaicos excavados a partir de 1967. El del rey Océano es el logotipo del museo.
Tumblr media
La otra obra excepcional es este mosaico de fondo verde (algo que no había visto jamás hasta ahora), que ilustra el mito del castigo del Rey Licurgo, transformado en vid por intentar atacar una procesión dionisíaca. 
Tumblr media
El enclave romano, descubierto en 1967, muestra la existencia de una ciudad plenamente funcional que se extendió entre el s.I a.C y el s.III d.C. En él se pueden visitar vilas residenciales, un distrito de artesanos, una zona comercial, o unos baños de luchadores, con todas las zonas de termas e incluso letrinas comunales en mármol. Y quizás lo más espectacular: una extensión enorme de almacenes y aduanas, que dejan bien claro que éste era un verdadero nudo de comunicaciones y comercio.
Tumblr media
Otro de los aciertos del yacimiento es haber recuperado las acequias con agua de los patios columnados de las residencias (llamados peristilos).
Tumblr media
Echamos unas buenas dos horitas en el museo y al salir caminamos por la orilla contraria a Vienne atravesando el barrio de Colombe hasta alcanzar el puente siguiente.
Tumblr media Tumblr media
Desde aquí se podía apreciar Vienne en toda su magnitud (que no es mucha) y belleza (que sí, que es muy mona).
Tumblr media
Hay un museo arqueológico llamado Église St-Pierre, porque fue iglesia a partir del s.V d.C, llegó a ser catedral e incluso se usó como fábrica el siglo pasado. Ahora está recuperada como depósito de restos romanos, pero su portada (románica?) y torre (renacentista si no me equivoco mucho) sigue impresionando. 
Tumblr media
Después de hacer un alto para comer una ensalada empaquetada a la sombra del templo de Octavio y Livia (que nos puso de bastante mala leche porque se pasa mucho stress intentando evitar la cercanía de la gente que no tiene sentido de la distancia), fuimos a visitar el Théâtre Antique. Un peazo ruina romana, anfiteatro situado en el monte Pipet con aforo de hasta 13.000  personas. Hoy en día se celebra un festival de jazz muy famoso que de vez en cuando puedo ver en el canal Mezzo :)
Tumblr media
Y también a los pies del monte Pipet, a las afueras de la ciudad, el Cementerio de Pipet, que se extiende por varios niveles trepando por la colina como una bugambilla.
Tumblr media
Al contrario de lo que pueda parecer, visitar un cementerio pintoresco nos parece agradable y placentero.
Tumblr media
0 notes
Text
Tumblr media
Biografía de San Juan de Ávila, conmemorando un año más de su fallecimiento .
Patrono de los Sacerdotes Españoles, reformador y escritor.
San Juan de Ávila nació el 6 de enero de 1499 (o 1500) en Almodóvar del Campo (Ciudad Real), de una familia profundamente cristiana. Sus padres, Alfonso de Ávila (de ascendencia israelita) y Catalina Jijón, poseían unas minas de plata en Sierra Morena, y supieron dar al niño una formación cristiana de sacrificio y amor al prójimo. Son conocidas las escenas de entregar su sayo nuevo a un niño pobre, sus prolongados ratos de oración, sus sacrificios, su devoción eucarística y mariana.
Probablemente en 1513 comenzó a estudiar leyes en Salamanca, de donde volvería después de cuatro años para llevar una vida retirada en Almodóvar. A pesar de llamarlas ‘leyes negras’ los estudios de Salamanca dejaron huella en su formación eclesiástica, como puede constatarse en sus escritos de reforma. Esta nueva etapa en Almodóvar, en casa de sus padres, viviendo una vida de oración y penitencia, durará hasta 1520. Pues aconsejado por un religioso franciscano, marchará a estudiar artes y teología a Alcalá de Henares (1520-1526). De esta etapa en Alcalá existen testimonios de su gran valía intelectual, como así lo atestigua el Mtro. Domingo de Soto. Allí estuvo en contacto con las grandes corrientes de reforma del momento. Conoció el erasmismo, las diversas escuelas teológicas y filosóficas y la preocupación por el conocimiento de las Sagradas Escrituras y los Padres de la Iglesia. También trabó amistad con quienes habían de ser grandes reformadores de la vida cristiana, como don Pedro Guerrero, futuro arzobispo de Granada, y posiblemente también con el venerable Fernando de Contreras. Incluso pudo haber conocido allí al P. Francisco de Osuna y a San Ignacio de Loyola.
Tumblr media
La estancia definitiva en Montilla fue especialmente fructífera. Dejó una huella imborrable en los sacerdotes de la ciudad. En una de sus últimas celebraciones de la misa le hablo un hermoso crucifijo que él veneraba: “perdonados te son tus pecados”.
Pero la enfermedad iba pudiendo más que su voluntad. A principio de mayo de 1569 empeoró gravemente. En medio de fuertes dolores se le oía rezar: “Señor mío, crezca el dolor, y crezca el amor, que yo me deleito en el padecer por vos”. Pero en otras ocasiones podía la debilidad: “¡Ah, Señor, que no puedo!”. Una noche, cuando no podía resistir más, pidió al Señor le alejara el dolor, como así se hizo en efecto; por la mañana, confundido, dijo a los suyos: “¡Qué bofetada me ha dado Nuestro Señor esta noche!”.
Juan de Ávila no hizo testamento, porque dijo que no tenía nada que testar. Pidió que celebraran por él muchas misas; rogó encarecidamente que le dijeran lo que se dice a quienes van a morir por sus delitos. Quiso que se celebrara la misa de resurrección en aquellos momentos en que se encontraba tan mal. Manifestó el deseo de que su cuerpo fuera enterrado en la iglesia de los jesuitas, pues a los que tanto había querido en vida, quiso dejarles su cuerpo en muerte. Quiso recibir la Unción con plena conciencia. Invocó a la Virgen con el Recordare, Virgo Mater... Y una de sus últimas palabras mirando el crucifijo, fue “ya no tengo pena de este negocio”. Era el 10 de mayo de 1569. Santa Teresa, al enterarse de la muerte de Juan de Ávila, se puso a llorar y, preguntándole la causa, dijo: “Lloro porque pierde la Iglesia de Dios una gran columna”.
La persona, los escritos, la obra y los discípulos de Juan de Ávila influirán en los siglos posteriores. Hemos visto los santos y autores que estuvieron relacionados más o menos con san Juan de Ávila; casi todos ellos influenciados por sus escritos, por su persona o por su obra. Se suelen encontrar, además, vestigios de influencia místico-poética en san Juan de la Cruz y en Lope de Vega. San Francisco de Sales y san Alfonso Mª de Ligorio citan frecuentemente a san Juan de Ávila. Y san Antonio Mª Claret reconocía el bien que le hicieron los escritos de san Juan de Ávila como predicador. Su influencia es notoria en la escuela francesa de espiritualidad sacerdotal, en cuyos escritos y doctrina se inspiraron.
En 1588, Fr. Luis de Granada, recogiendo algunos escritos enviados por los discípulos y recordando su propia convivencia con san Juan de Ávila, escribió la primera biografía. En 1623, la Congregación de san Pedro Apóstol, de sacerdotes naturales de Madrid, inicia la causa de beatificación. En 1635, el Licdo. Luis Muñoz escribe la segunda biografía de Juan de Ávila, basándose en la de Fr. Luis, en los documentos del proceso de beatificación y en algunos documentos que se han perdido. El día 4 de abril de 1894, León XIII beatifica al Maestro Ávila. Pío XII, el 2 de julio de 1946 lo declara Patrono del clero secular español. Pero el maestro de santos tendrá que esperar hasta el año 1970 para ser canonizado por el Papa Pablo VI.
La iglesia de la Compañía de Montilla, donde descansan sus restos, y la pequeña casa donde vivió sus últimos años san Juan de Ávila, son centros de continuo peregrinar de obispos, sacerdotes y fieles de toda España.
La Conferencia Episcopal Española ha pedido a la Santa Sede, con motivo del centenario del nacimiento de san Juan de Ávila, que sea declarado Doctor de la Iglesia Universal. Esperamos que aquél que ha sido conocido a lo largo de los últimos cinco siglos como el Maestro, pronto le sea reconocido por la Iglesia oficial el título de Doctor y Maestro del pueblo cristiano.
Oración a San Juan de Ávila.
Tumblr media
Señor Dios todopoderoso,
que de entre tus fieles elegiste
a San Juan de Ávila
para que manifestara a sus hermanos
el camino que conduce a ti,
concédenos que su ejemplo
nos ayude a seguir a Jesucristo,
nuestro maestro,
para que logremos así alcanzar un día,
junto con nuestros hermanos,
la gloria de tu reino eterno.
Por nuestro Señor Jesucristo, tu Hijo.
Amén
Soneto atribuido a San Juan de Ávila.
Tumblr media
No me mueve, mi Dios, para quererte el cielo que me tienes prometido, ni me mueve el infierno tan temido para dejar por eso de ofenderte.
Tú me mueves, Señor; muéveme el verte clavado en una cruz y escarnecido; muéveme el ver tu cuerpo tan herido;muéveme tus afrentas y tu muerte.
Muéveme, en fin, tu amor, de tal manera, que aunque no hubiera cielo yo te amara, y aunque no hubiera infierno te temiera;
No me tienes que dar porque te quiera; porque aunque lo que espero no esperara, lo mismo que te quiero te quisiera.
Si queremos conocer más sobre él podemos ingresar al siguiente link.
https://www.aciprensa.com/recursos/san-juan-de-avila-4628
0 notes
relatabrasil · 5 years
Text
Luis Lobianco fala do nervosismo no 'Dança dos Famosos' e lembra Fernanda Young
Tumblr media
No 'Conversa com Bial', ator falou do desafio de dançar no 'Domingão do Faustão' e do trabalho em 'Shippados' com Fernanda Young Luis Lobianco fala do nervosismo no 'Dança dos Famosos' Luiz Lobianco é cria de Vila Isabel, no Rio de Janeiro. Apaixonado pelo Carnaval, também cresceu assistindo as pornochanchadas e novelas. O gosto pelo dramalhão moldou o ator, sucesso na internet, na TV e também no teatro. Vivendo um momento importante na carreira, o carioca foi o convidado desta quinta-feira, 17/10, do Conversa com Bial, ao lado de Simone Mazzer e Lúcio Zandonadi. Lobianco participa do Dança dos Famosos, do Domingão do Faustão. No palco, antes de mostrar uma apresentação de Luiz no quadro, Bial perguntou sobre a participação. "Apavorado no início, mas ao mesmo tempo, acho que a gente é meio viciado em adrenalina, não é? E eu fico procurando o que eu não fiz ainda. Quando veio o convite da dança, eu pensei: 'Nossa, isso deve ser bom!'", citou Lobianco. Luis Lobianco fala do trabalho em 'Shippados' e lembra Fernanda Young O ator foi questionado pelo apresentador sobre seu personagem da série Shippados. A obra é de Alexandre Machado e de Fernanda Young, que faleceu em agosto. No papel, Lobianco fica o tempo inteiro pelado e brinca que só depois de ler todo o roteiro percebeu isso. "Eu fiquei tão excitado com o convite, com a leitura do roteiro, com a proposta do elenco, com o momento logo depois da novela e fazer um trabalho completamente diferente do que eu tinha feito na novela, que muito tempo depois eu falei: ‘Ih, é pelado mesmo!'". "No início a gente fez alguns testes de tapa sexo, o pessoal do figurino muito cuidadoso (...) Pelado eu não poderia ficar completamente, o que eu usava era uma camisinha de pano". Luiz Lobianco falou sobre 'Shippados' TV Globo Fernanda Young foi lembrada pelo ator . Ele contou que eles se conheceram durante as gravações e comentou sobre a morte da escritora. "A gente se conheceu no Shippados, fazendo já. A gente se conectou imediatamente. Ela estava muito feliz com o resultado da série, ela vibrava muito com a série, achava muito engraçado e me escrevia sempre: 'Estou revendo a série, é muito engraçado, você é muito maluco. Como você fica pelado desse jeito?'", recordou o ator. "A Fernanda estava num momento sublime, indignada com a política, escrevendo muito bem, ensaiando para um espetáculo com a Fernanda (Nobre). Quando ela morreu... O sentimento é de orfandade. De ganhar uma amiga e perder. A vida é muito breve,não é? A vida é isso! então temos que se tocar, conversar. Sair dos grupos e partir para os abraços porque a vida é isso". Luis Lobianco canta "Sal na Pele" e fala sobre Clóvis, seu personagem em 'Segundo Sol' Antes de Shippados, Lobianco brilhou em Segundo Sol, novela das nove da TV Globo. Clóvis, o Clovinho, seu personagem, compôs "Sal na Pele", e a ficção invadiu a vida real. Foi um sucesso no Carnaval e também entre os fãs. "Só deu isso. Impressionante que terminou em novembro e o Carnaval foi fim de fevereiro, março ou coisa assim e era Sal na Pele em tudo que é lugar. O Clóvis tinha uma coisa que mexia muito com as famílias. Acho que tem um Clóvis Falcão em toda família. Que é aquele cara que todo mundo se preocupa, que tem aquela fragilidade, que acha que não vai dar certo em nada e tal e trata a pessoa como se ela fosse menos capaz e aí chega uma hora na vida que essa pessoa dá a voltar por cima, ela mostra que ela é muito humana, que ela enxerga tudo de fora porque nunca foi incluída". "A gente tinha um crush artistico. O sucesso do personagem, a gente não faz nada sozinho, foi por essa parceria com a Thalita", comentou sobre atuar ao lado de Thalita Carauta. Luis Lobianco fala sobre a diferença entre seu trabalho na TV e na internet Lobianco ganhou notoriedade em um canal na internet. Pedro Bial quis saber a diferença entre o sucesso na web e na TV. "Com o porta foi uma surpresa. Foi uma loucura aquilo ali porque eu fui chamado para entrar, a ideia era fazer o melhor humor possível e fazer o que a gente não estava conseguindo fazer em outras plataformas. A gente não imaginava fazer milhões e bilhões de views. Não tinha como imaginar, como prever e aí quando começou foi de imediato aquela coisa estrondosa. A TV é mais popular. As pessoas eram mais parecidas com as pessoas da minha família. As mães achavam que eram mãe do do Clóvis". "Uma passou cuspe e passou na minha sobrancelha", lembrou sobre uma fã. Luis Lobianco conta como sua família inspirou a série "Férias em Família" Luiz cresceu na Vila Isabel, Zona Norte do Rio de Janeiro. E de família italiana. "Uma família italianíssima e ao mesmo tempo muito carioca. A estrutura da família italiana, né? De imigrantes, de pessoas que vieram no início do século passado e se aglomeraram num quarteirão (...) Família muito alegórica, barulhenta, muita briga, muito choro, muita reconciliação. Um dia eram todas as estações do ano". Luiz Lobianco falou sobre a família no 'Conversa com Bial' TV Globo Luis falou sobre a série "Férias em Família". Ele garante que o trabalho tem muito a ver com a sua própria família. "A minha família vendo: ‘Nossa, é a gente!’. Não foi calculado, mas saiu. Eu acho que estamos no momento que a gente precisa se reconectar um pouco. Acho que a família com esses últimos anos muito duros e o ano de eleição, os grupos de família, e as pessoas saíram dos grupos de família, acho que ficou todo mundo meio perdido, meio sozinho e eu identifiquei um pouco no humor isso: menos a necessidade da piada, do apontar o dedo, do bullying, e mais se reconectar, ir na memória". Lobianco fala sobre amizade com Fafá de Belém Lobianco também lembrou da amizade com Fafá de Belém, que participou da série e com que gravou um clipe musical. "As vezes eu vou até São Paulo e vou jantar na casa dela. Ela vai lá em casa. Fafá é maravilhosa". Luis Lobianco e Simone Mazzer falam sobre o Buraco da Lacraia Com o Buraco da Lacraia, Lobianco viveu muitos momentos ao lado de Simone Mazzer. A cantora virou amiga e uma super parceira. No palco do Conversa Com Bial, ela falou com Bial sobre o início da amizade entre os dois. "Fui uma vez, duas, três, quatro, cinco, na sexta vez eu me ofereci e falei: 'Vem cá, deixa eu fazer um prólogo nesse show de vocês'", lembrou Simone. Luiz Lobianco e Simone Mazzer no 'Conversa com Bial' TV Globo O ator discordou com a versão da cantora. Ele contou que já era fã de Simone quando foi surpreendido após uma apresentação: "Um dia estou no buraco, fizemos o show, e chega alguém no final e fala: ‘Gente, a Simone Mazzer viu o show'". Simone Mazzer fala sobre sua carreira de atriz Simone também contou sobre seu trabalho como atriz e comentou sobre sua atuação em "Nise, o Coração da Loucura", sobre a psiquiatra Nise da Silveira, quando atuou ao lado de Gloria Pires: “Gloria é de uma generosidade muito grande de se ver”. Bial chamou ao palco o marido de Luis, Lúcio Zandonadi. Simone Mazzer cantou na cerimônia. Eles se conheceram e ficaram noivos no Buraco da Lacraia com um pedido surpresa de Luiz. Luis Lobianco fala sobre Gisberta e explica polêmica envolvendo espetáculo Lúcio, inclusive, trabalha com Lobianco em Gisberta. Ele é o diretor musical do monólogo sobre a vida de uma transexual que foi para a Europa. Luiz lembrou sobre as notícias falsas sobre o espetáculo que viralizaram nas redes sociais. “Eu acho que eu não sei. Acho que você questionar é muito saudável. Teatro é pra ter confusão mesmo. Teatro é pra isso. É pra vaiar. Nelson Rodrigues que amava vaia dizia que a vaia era a grande consagração. Só que hoje existe esse debate que fica na rede social, que não é debate. São blocos de texto e ai você escreve o que você quiser no seu bloco e você pode impulsionar aquilo ou não e aí virou um festival de mentiras, fake News sobre a peça e escuto isso até hoje”. 'Quebrei o dedo em uma das crises', diz Mariana Santos ao relatar síndrome do pânico a Pedro Bial
0 notes
Text
Resultado do Vida Cap Limeira com ganhadores em 29/09
Resultado do Vida Cap Limeira em 29/09/19: veja as dezenas, ganhadores e prêmios
Resultado Vida Cap Limeira em 29/09/19- Assista a transmissão ao vivo no domingo, a partir das 10h, dos sorteios dos prêmios da 013ª edição do título de capitalização Vida Cap Limeira pela TV Record Campinas. É muito fácil você pode comprar o seu título de capitalização Vida Cap Limeira e para isso bastam somente R$ 10,00. Você contribuirá com os trabalhos de assistência do Centro Infantil de Investigações Hematológicas Dr. Domingos A. Boldrini e ainda concorrerá a um Fiat Mobi Easy 1.0 Flex 4P Mec. 0 km nos três primeiros sorteios, além de um Chevrolet S10 Cabine Dupla 4x2 2.5 Flex Advantage 0 km avaliada em R$ 106 mil no quarto sorteio.No Super Giro da Sorte, você também poderá ser um dos ganhadores dos 20 prêmios no valor de R$ 2 mil.   Resultados anteriores do Vida Cap Limeira
Tumblr media
Resultado em 29/09/19
1º Prêmio 1 MOBI EASY 1.0 FLEX 4P MEC 0KM - Sugestão de uso do prêmio no valor líquido de R$ 34.500,00   Dezenas Sorteadas 07 38 56 53 22 08 29 17 28 24 44 35 55 42 03 60 40 02 18 58 12 30 39 50 49 41 36 11 43 25 21 31 51 57 54 04 20   Contemplados 1 Nº: 103.546 Nome: Joaquim Francisco Domingues Campos End.: Olavo Bilac Bairro: Centro Cidade: Americana Ponto de Venda: Cafe Brasil Data do Sorteio: 29/09/2019 2 Nº: 420.368 Nome: VICTORIA APARECIDA CHIARINI BARBOSA End.: Rodovia Herminio Petrim Km 190 Bairro: Córrego da Onça Cidade: CHARQUEADA Ponto de Venda: APP Data do Sorteio: 29/09/2019 2º Prêmio 1 MOBI EASY 1.0 FLEX 4P MEC 0KM - Sugestão de uso do prêmio no valor líquido de R$ 34.500,00   Dezenas Sorteadas 52 35 47 49 27 11 39 22 18 31 37 10 23 41 24 34 29 33 38 32 43 20 13 12 03 60 58 01 07 40 16 09 56 15 46 36 28 48   Contemplados 1 Nº: 131.605 Nome: Maria Aparecida Santana End.: Aparecida Do Oeste Bairro: Eldorado II Cidade: Piracicaba Ponto de Venda: Trailler dois irmãos Data do Sorteio: 29/09/2019 2 Nº: 147.714 Nome: Agnaldo Barbosa De Souza End.: Rua 15 Bairro: Santa Maria Cidade: Rio Claro Ponto de Venda: Papelaria SR Data do Sorteio: 29/09/2019 3 Nº: 148.051 Nome: Rodrigo Babilas De Oliveira End.: Pedro Afonso Ortega Filho Bairro: Rossetti Cidade: Cosmopolis Ponto de Venda: Fernanda Salgados Data do Sorteio: 29/09/2019 3º Prêmio 1 MOBI EASY 1.0 FLEX 4P MEC 0KM - Sugestão de uso do prêmio no valor líquido de R$ 34.500,00   Dezenas Sorteadas 26 53 24 41 30 54 56 25 22 37 14 47 12 39 27 38 19 29 46 31 06 03 32 17 16 58 02 36 45 35 15 08 13 49 10 52   Contemplados 1 Nº: 181.646 Nome: Fabiana Aparecida Rosa End.: Antonio Perez Junior Bairro: JD Planalto Cidade: Artur Nogueira Ponto de Venda: Larissa Diego Data do Sorteio: 29/09/2019 4º Prêmio 1 S10 CABINE DUPLA 4X2 2.5 FLEX ADVANTAGE 0KM - Sugestão de uso do prêmio no valor líquido de 106.500,00   Dezenas Sorteadas 44 17 50 52 49 40 21 36 45 39 46 56 53 12 51 11 42 35 37 38 02 19 43 25 03 57 06 33 58 27 59 28 47 07 55 01 54 18 14   Contemplados 1 Nº: 268.694 Nome: SAMANTHA CAVENAGHI FIGUEIRÓ JAMMAL End.: Rua do Vergueiro Bairro: Centro Cidade: PIRACICABA Ponto de Venda: APP Data do Sorteio: 29/09/2019 2 Nº: 012.371 Nome: Orosino P. De Sousa End.: Bairro: Jaragua Cidade: Piracicaba Ponto de Venda: Bar Do Lagoa Data do Sorteio: 29/09/2019 Giro da Sorte 20 PRÊMIOS DE R$ 2.000,00 - Valor líquido.   Contemplados 1 Nº: 203.083 Nome: Danilo Andrade Diogo End.: Bairro: JD. Flamboyont Cidade: Mogi Mirim Ponto de Venda: Drogaria Fernandes Data do Sorteio: 29/09/2019 2 Nº: 053.991 Nome: Jorge A. Aparecido Ramos End.: André Moraes Sampaio Bairro: Bongue Cidade: Piracicaba Ponto de Venda: Rosinere (vendedora) Data do Sorteio: 29/09/2019 3 Nº: 142.787 Nome: Edson Pereira Dos Santos End.: Dos Salgueiros Bairro: JD. São Paulo Cidade: Americana Ponto de Venda: MIXX Boquilo Data do Sorteio: 29/09/2019 4 Nº: 216.012 Nome: Rosimere De M. Aissa End.: São Gonçalo Bairro: JD. N.S. Carmo Cidade: Americana Ponto de Venda: Bolonier Casa De Bolos Data do Sorteio: 29/09/2019 5 Nº: 405.812 Nome: Laís Rocha Garcia End.: Rua 18 MP Bairro: Parque Mãe Preta Cidade: RIO CLARO Ponto de Venda: APP Data do Sorteio: 29/09/2019 6 Nº: 211.289 Nome: Renan O.S. Araujo End.: João Peruche Bairro: JD. Progresso Cidade: Cordeiropolis Ponto de Venda: Banca Cordeiropolis Data do Sorteio: 29/09/2019 7 Nº: 021.421 Nome: Juliano Rodrigo Da Silva End.: Rosa Peixoto Grachet Bairro: JD. Costa Verde Cidade: Araras Ponto de Venda: Mix Gelato II Data do Sorteio: 29/09/2019 8 Nº: 371.415 Nome: LUCIMARA PEREIRA MELO End.: STO SCHIAVOLIN Bairro: RES SERRA VERDE Cidade: PIRACICABA Ponto de Venda: APP Data do Sorteio: 29/09/2019 9 Nº: 211.696 Nome: Laise End.: Jorge Carlos Ivess Bairro: Nossa Senhora Das Dores Cidade: Limeira Ponto de Venda: Padaria Tókio Data do Sorteio: 29/09/2019 10 Nº: 208.508 Nome: José End.: Bairro: Cidade: Americana Ponto de Venda: Monise Segurança Data do Sorteio: 29/09/2019 11 Nº: 157.875 Nome: Miraldo Do Santos Menezes End.: Luiz Baldi Bairro: JD. Colina Verde Cidade: Piracicaba Ponto de Venda: Sup. São Paulo Data do Sorteio: 29/09/2019 12 Nº: 131.484 Nome: André Luis Mendes Da Silva End.: Queta Bairro: PQ. Piracicaba Cidade: Piracicaba Ponto de Venda: Padaria delicias Data do Sorteio: 29/09/2019 13 Nº: 128.258 Nome: José Carmo End.: Bairro: Cidade: Rio Das Pedras Ponto de Venda: M. 4 Esquina Data do Sorteio: 29/09/2019 14 Nº: 353.132 Nome: VALDIRENE CRISTINA APARECIDA AMADIO SOUZA End.: Estrada LIM 117 Bairro: Citral Cidade: LIMEIRA Ponto de Venda: APP Data do Sorteio: 29/09/2019 15 Nº: 044.288 Nome: Claudio Marcio End.: Angelo Zarco Bairro: Centro Cidade: Estiva-Gerbi Ponto de Venda: Data do Sorteio: 29/09/2019 16 Nº: 079.005 Nome: Geraldo Bueno End.: Nivaldo Zorzetto Bairro: Vila Dias Cidade: Mogi Mirim Ponto de Venda: Bar do Zito Data do Sorteio: 29/09/2019 17 Nº: 020.875 Nome: Tiago Rodrigo Gomes End.: Maria Teresa Crus Fischer Bairro: JD. Dalla Costa Cidade: Araras Ponto de Venda: Padaria dom bosco Data do Sorteio: 29/09/2019 18 Nº: 039.638 Nome: Luis Gustavo Vieira Soares End.: Centonia Dos Santos Bairro: Itamaraty Cidade: Artur Nogueira Ponto de Venda: Data do Sorteio: 29/09/2019 19 Nº: 130.993 Nome: Edivania Rodrigues End.: Macatuba Bairro: São Luis Cidade: Piracicaba Ponto de Venda: Mercearia do Gloria Data do Sorteio: 29/09/2019 20 Nº: 040.115 Nome: Joaquim Ribeiro Da Silva Neto End.: Senador Saraina Bairro: Portelinha Cidade: Piracicaba   Este site não é responsável pelos sorteios realizados e não tem nenhum tipo de vínculo com a Invest Capitalização S.A. Somente divulgamos o resultado dos sorteios. Faça contato com o Vida Cap Limeira: Avenida Júlio de Mesquita, 1031 – Sala 01 – Cambuí – Campinas/SP [email protected] Tel.: (19) 3365-1908 Read the full article
0 notes
parollojr · 7 years
Photo
Tumblr media
Eu, Grazi Campoy e Paula Ferreira estivemos ao vivo no programa Papo Show de Vicki Araujo e Abel Juliano, num live especial da casa da própria Vicki. Nesta edição do programa, falamos sobre os trabalhos da Pro3000 Multimeios, nossas opiniões e expectativas do mercado. Tivemos também a entrevista com a Lizandra Gorgulho sobre terapias alternativas. De quebra, rolou som ao estilo desplugado com a galera, passando por Legião Urbana, Gloria Gaynor, Adele e também uma canção autoral minha, lançada pelas bandas Belsen e Gamesh. Confiram o Papo Show no Facebook! http://fb.me/programapaposhow/ #live #pro3000multimeios #liveradio #radio #musica #trabalho #empreendedorismo #livreiniciativa #video #acustico #dualix #bandaeuterpe #bandaudumbara #bandagamesh #andomeiodesplugado #grazicampoy #malignojr @grazisanchez18 @paulinhaferreira_com @parollojr @lizgorgulho @vicki_araujo @abeljuliano (em Vila Monumento)
1 note · View note
radioatleti · 5 years
Text
Atleti B 3 – 0 Coruxo: No hay quien pare el vendaval
Tras dos jornadas consecutivas ganando por goleada, frente a Sanse y Pontevedra, el filial dirigido por Nacho Fernández recibía en casa a un buen Coruxo que venía con esperanzas de sacar algún punto. Pero los chicos, encabezados por un Darío Poveda que está en racha y un descomunal Riquelme (autores de dos de los tres goles), no defraudaron: goleada, portería a cero, y a ilusionarse, rescatando el sueño de la pasada temporada: el playoff de ascenso.
El once de Nacho estaba formado por Diego Conde; Carlos Isaac, JC, Álvaro García, Manu Sánchez; Germán Valera, Toni Moya, Sanabria, Riquelme; Óscar Clemente y Darío. Un 4-4-2 con Toni Moya y Sanabria en el doble pivote y Óscar (que está haciendo una temporada espectacular con cinco tantos anotados) moviéndose por detrás de Poveda. Sólo dos variaciones respecto al partido en Pontevedra: C. Isaac por Solano y Jota por Mejías (central y lateral derecho). Por su parte, el Coruxo, dirigido por Miguel Ángel Alonso Naya, salía con Alberto; Antón de Vicente, Lucas, Crespo, Manu; Carlos, Jonathan Vila, Barril, Añón; El Ouatani y Mateo.
El Atlético salía muy fuerte al partido, rondando desde el primer momento las inmediaciones de la meta de Alberto y haciendo sufrir a los gallegos con la velocidad de sus jugadores, en especial de los bandas Roro y Valera, ayudados de las continuas incorporaciones de los laterales y el juego entre líneas de Óscar.  Con este guión llegaría el primer gol rojiblanco, ya en el minuto 7 de partido, cuando una falta en la media luna del área, ejecutada por Riquelme, rebotaba en la barrera, pero el rechaze le volvía a quedar al chaval, que sin pensárselo dos veces, batía al guardameta visitante de un gran disparo colocado, pegado al palo, para subir el primero al marcador. 
Minutos después, con el filial colchonero dueño y señor del partido, el uruguayo Sanabria estrellaba un balón en el palo, que a poco estuvo de convertirse en el segundo tanto. Tampoco llegaría este en el minuto 29’, cuando Darío Poveda ponía a Alberto en serios apuros con un gran remate en plancha de cabeza, tras un buen centro lateral de Toni Moya. Sin embargo, en el minuto 32’ llegaría el gran susto y momento clave del partido: el extremo del Coruxo David Añón era derribado en el área por Carlos Isaac y el colegiado señalaba penalti. Pero ahí estaba Diego Conde, para adivinar e interceptar el penalti, ejecutado por el propio Añón, con una gran estirada.  Sin apenas tiempo para reponerse de ese fallo, un ataque eléctrico de los chavales rojiblancos, con tuya – mía entre Valera y Óscar para la posterior internada en el área de este último, acababa con el balón en los pies de Darío, que, con sangre fría, definía abajo a un lado de forma magistral. El killer alicantino no faltaba a su cita con el gol, sumando ya cinco en los últimos tres partidos.
Ya en la segunda parte, corría el minuto 50’ cuando una acción desafortunada de Carlos, tras un pase errado al portero, permitía a Roro Riquelme avanzar totalmente solo hacia la meta de Alberto. Pero el chaval, en un gran acto de generosidad, le cedía el esférico a su compañero, Germán Valera, para que éste anotase, a placer, el 3-0. Tras el gol, el  Coruxo seguía sufriendo la velocidad y pegada descomunal de los pupilos de Nacho. Aunque los gallegos tenían una ocasión en las botas de Silva, que acertaba a despejar Diego Conde, y otra del recién entrado Sylla, Germán Valera estaría a punto de lograr el doblete en los minutos finales, tras un pase sublime de Roro. El disparo del joven jugador de 17 años sería repelido entre Alberto, con una prodigiosa intervención, y el travesaño. 
Excelente victoria, otra más, de los chavales de Nacho Fernández, que ya sueñan con repetir el éxito de la pasada temporada y, por qué no, con superarlo. El técnico afirmaba en rueda de prensa que “era muy importante la victoria porque había enfrentamientos directos en la jornada. Y era importante no sólo ganar sino también haciéndolo manteniendo nuestra portería a 0. El domingo pasado en Pontevedra no fuimos capaces de acabar sin recibir gol después de ir ganando 0-5 en el minuto 85 y se nos escapó ese gol. Alguien pensará que daba igual ganar por 0-5 o por 1-5, pero no es así, sobre todo por la autoestima de los chavales”. 
Además de recalcar y darle importancia a haber dejado la portería a cero, también elogió a sus chavales, en especial a Riquelme y Poveda. Pero no se queda ahí: “En cualquier club del mundo, incluido éste, cuando los resultados acompañan todo es mucho más fácil. El futbolista cree al 100% lo que le dice su cuerpo técnico y lo que trabajamos durante la semana. Otra vez, una semana más, quiero dar la enhorabuena a los chavales porque han tenido un derroche tremendo tanto a nivel físico como táctico y técnico. Van creciendo y día a día se les va viendo mucho mejor. El equipo va cogiendo peso, va siendo mucho más compacto, pero no podemos quedarnos ahí. Esta semana se ha publicado que estamos haciendo el mejor arranque de la historia, pero eso no valdrá para nada si no le damos continuidad en el trabajo”. Confianza plena en estos chicos, que nos seguirán regalando estas tardes de gloria y muchas alegrías. Este es el camino.
La entrada Atleti B 3 – 0 Coruxo: No hay quien pare el vendaval se publicó primero en Radio Neptuno.
Desde Radio Neptuno https://ift.tt/2Bc3uIJ
0 notes
ocioenlinea · 6 years
Text
Videosalas del 24 al 30 de agosto, 2018
Tumblr media
BIBLIOTECA PÚBLICA DEL ESTADO DE JALISCO JUAN JOSÉ ARREOLA. Periférico Norte Manuel Gómez Morín 1695.Sala de cine, piso 1. T/3836-4530. Entrada GRATIS.
Ciclo Infantil
AVENTURAS
DOS HERMANOS
D: Jean-Jacques Annaud
Con Guy Pearce, Jean-Claude Dreyfus, Philippine Leroy-Beaulieu, Mai Anh Le
Francia, 2004. d: 109 min.
En el corazón de la selva del sureste asiático, en las ruinas de un templo olvidado, dos tigres crecen jugando y aprendiendo, vigilados por sus progenitores y bajo la mirada benevolente de las estatuas de Buda. Uno es tímido y dulce; el otro, valiente y atrevido. Cuando un antiguo cazador llega para saquear el templo sagrado, los dos tigres son separados y criados en cautividad. Uno, convertido en una estrella de circo, pierde toda vitalidad debido a la añoranza de la selva y al malestar que le produce vivir encerrado en una jaula. El otro se convierte en el querido compañero del hijo del administrador colonial, antes de entregárselo a un príncipe que le enseñará a pelear. Pero algunos años más tarde, los dos animales volverán a reunirse como enemigos cuando un explorador les obliga a luchar el uno contra el otro.
Viernes 24, 16:00 h; sábado 25 y domingo 26, 13:00 h
Ciclo cine y literatura DRAMA ATLAS DE GEOGRAFIA HUMANA D: Azucena Rodríguez Con Cuca Escribano, Montse Germán, María Bouzas, Rosa Vila España, 2007. d: 106 min. Fran, Rosa, Ana y Marisa trabajan en el Departamento de Obras de Consulta de un grupo editorial. Su trabajo consiste en elaborar un Atlas de Geografía que se venderá en fascículos. En ese tiempo surgen algunos problemas propios del trabajo en equipo, pero lo que verdaderamente importa es que las cuatro, cada una a su manera y en circunstancias muy distintas, están redefiniendo sus vidas. Sábado 25, 12:00 h
VIDEOSALA DEL EX CONVENTO DEL CARMEN Avenida Juárez 638, entre Pavo y 8 de Julio. T/3030-1350 Boletos: $25 general; $15 estudiantes y maestros con credencial
DRAMA
LA SED
D: Ingmar Bergman
Con Eva Henning, Birger Malmsten, Birgit Tengroth
Suecia, 1949. d: 83 min.
Bertil y Ruth son una joven pareja que atraviesa una crisis matrimonial. Mientras recorren en tren una Alemania asolada por la guerra, reflexionan sobre el fracaso de su vida en común. Ruth se muestra agresiva y expresa un enorme rencor hacia los hombres y, especialmente, hacia el padre que abusó de ella. Bertil es más razonable, aunque ha vivido una aventura que terminó con el suicidio de una mujer.
Viernes 24, 16:00, 18:00 y 20:00 h
DRAMA
EN LA VÍA LÁCTEA
D: Emir Kusturica
Con Monica Bellucci, Emir Kusturica, Sergej Trifunovic
Serbia, 2016. d: 125 min.
Primavera en tiempos de guerra. Cada día, un lechero atraviesa el frente en burro, esquivando las balas para llevar su preciada mercancía a los soldados. Bendecido por la suerte en su misión, amado por una hermosa aldeana, parece que le espera un futuro apacible, hasta que la llegada de una misteriosa mujer italiana da un vuelco a su vida. Así comienza una historia de amor prohibido y apasionado que sumergirá a ambos en una serie de aventuras.
Sábado 25 y domingo 26, 16:00 y 19:00 h
DRAMA
THE BIG HEAT
D: Fritz Lang
Con Glenn Ford, Gloria Grahame, Jocelyn Brando
Estados Unidos, 1953. d: 90 min.
Tras suicidarse, el policía Tom Duncan deja una carta en la que confiesa haberse dejado sobornar por una banda de gángsters, pero también denuncia la corrupción de altos funcionarios. Cuando el sargento Dave Bannion trata de esclarecer su muerte tropieza con toda clase de obstáculos.
Martes 28, 16:00, 18:00 y 20:00 h
DRAMA
THE BARKLEYS OF BROADWAY
D: Charles Walters
Con Fred Astaire, Ginger Rogers, Oscar Levant
Estados Unidos, 1949. d: 105 min.
Josh Barkley es un bailarín de claqué que actúa con su mujer Dinah en el club Bouncin’ the Blues, pero ella está decidida a abandonar los números musicales para ser actriz de teatro, su verdadera pasión. Esta situación provoca en la pareja tensiones tales que deciden separarse; sin embargo, Josh luchará por recuperar a su mujer.
Miércoles 29, 16:00, 18:00 y 20:00 h
DRAMA
LA GARGANTA DEL DIABLO
D: Mike Figgis
Con Dennis Quaid, Sharon Stone, Stephen Dorff
Estados Unidos, 2003. d: 118 min.
Para alejarse de la frenética vida urbana, Cooper y su esposa Leah deciden mudarse con sus hijos a las afueras de Nueva York y se instalan en una casa en ruinas, que en otro tiempo fue una gran mansión. La pareja está dispuesta a devolverle su antiguo esplendor y todo va sobre ruedas hasta que Dale Massie, el anterior propietario, sale de prisión y reclama sus derechos sobre la casa sirviéndose de todos los medios a su alcance.
Jueves 30, 16:00, 18:00 y 20:00 h
VIDEOSALA CAAV Lerdo de Tejada 2071, entre Marsella y Chapultepec. T/3615-8470. Entrada libre.
DRAMA
TRES MUJERES
D: Ingmar Bergman
Con Anita Björk, Eva Dahlbeck, Maj-Britt Nilsson
Suecia, 1952. d: 107 min.
En una casa de verano, cuatro mujeres esperan la llegada de sus maridos desde Estocolmo. Alrededor de una taza de café, evocan sus experiencias conyugales. La más joven de ellas, que espera a su novio, las escucha hablar de sus fracasos, de su amargura y de sus desilusiones.
Viernes 24, 16:00 y 18:00 h
DRAMA
LA TOMA DEL PODER POR LUIS XIV
D: Roberto Rossellini
Con Jean-Marie Patte, Raymond Jourdan
Francia, 1966. d: 100 min.
Tras la muerte del poderoso Cardenal Mazarino, el joven Luis XIV toma medidas que le permitan mantenerse en el trono de Francia.
Sábado 25 y domingo 26, 16:00 y 18:00 h
DRAMA
TRAS EL ENSAYO
D: Ingmar Bergman
Con Erland Josephson, Ingrid Thulin, Lena Olin
Suecia, 1984. d: 70 min.
Después del ensayo de una obra de Strindberg, Henrik Vogler, un viejo director de teatro, se sumerge en sus recuerdos hasta que es interrumpido por la entrada de dos mujeres: Anna, una apasionada y joven actriz, dispuesta a sacrificarlo todo por el arte, y Rakel, una mujer neurótica y alcohólica que ha sido su amante. Los tres evocarán su vida sentimental.
Lunes 27, 16:00 y 18:00 h
DRAMA
LOOKING FOR SIMON
D: Jan Krüger
Con Corinna Harfouch, Nico Rogner, Mehdi Dehbi
Alemania, 2011. d: 90 min.
Simon, un joven médico alemán, que vive y trabaja en Marsella, no da ninguna noticia. Su apartamento está vacío. Valérie, su madre, está desesperada. Ella no entiende el motivo de su desaparición. Por lo tanto le pide a Jens, el ex novio de Simon, que vaya con ella a Marsella a ayudarla a llevar a cabo esta investigación.
Martes 28 y miércoles 29, 16:00, 18:00 y 20:00 h
OPERA
GEORGES BIZET - CARMEN
D: Richard Eyre, Gary Halvorson
Con Elina Garanca, Roberto Alagna, Barbara Frittoli
The Metropolitan Opera, 2010. d: 167 min.
A lo largo de cuatro actos este espectáculo narra cómo cegado por los celos el soldado Don José acaba con la vida de Carmen, al tratar de convencerla que regrese con él y abandone el amor que siente por el torero Escamillo.
Jueves 30, 16:00 h
No. 1093. 24/8/18
0 notes