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#REBOTA REBOTA
poesiecritique · 2 months
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REBOTA REBOTA, Y EN TU CARA EXPLOTA, performance de Agnès Maéeus et Quim Tarrida, avec Agnés Matéus, 1h15, 2018 - et vu en 2024 au Théâtre de la Bastille, Paris.
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Commençons par dire que ce spectacle, vu en 2024 a été crée il y a 6 ans, à Genève (selon le site théâtre contemporain). En septembre 2018, quelle était la place du féminisme dans nos discours, dominants et dominés ? C'était un an après, à deux semaines près, qu'Alyssa Milano propose de partager, suite à la révélation de l'affaire Weinstein, sous le hashtag #metoo, les violences sexistes et sexuelles subies par les femmes par des hommes. Cette création a aussi lieu dans un contexte espagnol où la prise en charge des violences sexistes et sexuelles aurait permis une baisse du nombre de féminicides selon les médias généralistes nationaux et internationaux. Dans un bref entretien, Agnés Mattéus conteste cette prise en charge effective quand, en 2017, le travail sur la pièce commence - tandis que certaines sociologues féministes, dont par exemple Gloria Casas Vila, critiquent davantage un effet de comptage (quel meurtre est effectivement compté comme féminicide ?), permettant de donner alors l'impression que le nombre de féminicides décroît alors qu'il n'en est rien. En 2023, certains médias généralistes soulignent une ré-augementation des chiffres espagnols de féminicides, se réalignant sur ceux de 2008, soulignant que dans la moitié de ces meurtres, les plaintes avaient été déposées contre les agresseurs, devenus meurtriers et/ou que les agresseurs étaient récidivistes, parfois déjà meurtriers. Si ce type de média souligne cette inversion, on peut donc supposer qu'il ne s'agit que de la partie emergée d'un iceberg bien fat, bien réel, bien patriarcal, et qu'en dessous grouille une bouillie dégueu mais bien organisée du féminicide - à l'instar de l'inceste, comme le montre par exemple Dorothée Dussy dans Le berceau des dominations.
Dire également que je m'interroge sur le travail de collaboration entre Quim Tarrida et Agnés Matéus. Dans le même entretien, qu'elle et il donne au théâtre de la Bastille, la langue française, que parle Agnés Matéus et que ne parle pas Quim Tarrida, donne le primat à Agnés Matteus. Mais j'avoue avoir eu ce réflexe de me demander ce qu'un homme pouvait bien avoir à faire dans la mise en scène d'une femme parlant de féminicides, dont la plus part sont commis par des hommes. Et si tous les hommes ne sont pas des meutriers, des violeurs, etc, la quasi-totalité des hommes de son âge et de sa nationalité (Quim Tarrida est né en 1967) ont été socialisés dans un monde où la masculinité était valorisée, et hiérarchiquement instaurée supérieure au genre féminin. Si l'on comprend que le travail naît d'une précédente collaboration sur les violences policières, et que ce travail précédent naît d'une rencontre lors de leurs engagements militants, malgré tout : comment s'articulent les regards, différemment socialisés, de Agnés Matteus et Quim Tarrida pour aboutir à REBOTA REBOTA, Y EN TU CARA EXPLOTA, notamment sur le corps de Agnés Mattéus ? Cela pourrait informer ma lecture, mais je n'y ai pas accès, pas directement, seulement par supposition critique (car, d'expérience, fréquenter un milieu politisé, quand il ne s'agit pas directement de cercles féministes engagés, ne permet pas une déconstruction du regard, d'un regard dominant)
Et maintenant, décrivons ce que propose Ca rebondit ça rebondit et ça t'éclate en pleine face. Cela sera moins qu'une description linéaire et exhaustive, ne m'arrêtant que sur certains tableaux et détails qui m'ont paru particulièrement signifiants. Dire peut-être cela, d'abord : REBOTA REBOTA, Y EN TU CARA EXPLOTA est une succession de tableaux au centre desquels se trouve Agnés Matéus.
L'âge. La pièce commence par Agés Matéus dansant masquée, d'un masque de clown horrifique. Ainsi, c'est son corps que l'on voit et regarde. En 2024, le corps de Agnés Matéus, serré dans son pantalon strassé or, son ventre rebondi, a peine dénudé au dessus du nombril donne l'image d'un corps butch, ou d'un corps vieilli, ne répondant plus aux standards patriarcaux d'une certaine minceur. Qu'en est-il de son corps d'il y a 7 ans ? A-t-il changé, et comment ? Vieilli pour sûr, Agnés Matéus dans le texte, et dans les possibles endroits d'improvisation le signale, insiste sur la question de l'âge. Si je suis particulièrement sensible à cette question d'âge, dans les rapports de genre, c'est qu'elle me concerne : les regards changent, le crédit à la parole dans certains contextes aussi. Qu'est ce que faire tourner une pièce pendant 6 ans ? Qu'est-ce qu'expérimenter les changements physiques ? D'autant qu'est soulignée l'énergie de Agnés Matéus, qui tient l'heure quinze que dure Ca rebondit quasi seule sur scène. Mais là aussi, des questions se posent, techniques : quelle place de repos permettent les interludes filmés ? Sont-ils là pour leur qualité intrinsèque, de séquences filmées introduisant un autre rythme à la pièce, et/ou sont-ils présents pour permettre que Agnés Matéus tienne ? Cette question peut se poser, mais pas de la même manière, en fonction de la catégorie d'âge à laquelle l'acteur.ice appartient, car les contingences et les nécessités ne sont pas les mêmes, et donc ne disent, in fine, pas les mêmes choses sur les questions posées par la pièce elle-même. Ici, les premières séquences filmées m'ont moins conduit à regarder les états de délabrements de certaines scènes urbaines qu'à penser au délabrement, en cours mais encore à venir, du corps de Agnés Matéus. Et ces figurations de ruines, par leurs lents travellings dont on sait qu'ils vont, à un moment ou à un autre, figurer une morte, ne m'ont par renvoyées en tant que tel au corps de la performeuse. C'était un autre espace, un autre temps qui se raccorde à l'âge seulement par le comptage, le listage qui vient à la fin de la pièce des femmes mortes, dont l'âge à chaque fois est indiqué. Aucun âge n'est épargné, pas davantage les petites filles que les grand-mères, les jeunes femmes ou les femmes dans la fleur de l'âge. Aucune. Alors, cette question de l'âge se pose pour moi à nouveau dans l'espace où justement d'autres âges que celui de la performeuse, son âge réel, aurait pu être figuré : dans les séquences filmées. Pas d'enfants, pas de jeunes filles, toujours des mortes anonymisées, sans visage, dont on voit qu'il peut s'agir du corps de la performeuse - dont l'âge, là, varie encore par l'absence du visage.
La chute. Après la danse, il y a ce moment que j'ai trouvé très beau, de la chute du corps de Agnés Matéus. La beauté terrifiante de la chute sous les coups. Encaisser les coups et se relever. Être cueillie par les coups. Ne pas répondre, ne pas frapper. En miroir négatif, les poings des hommes pauvres qui apprennent à frapper contre un sac de sable dans la moiteur de salles de sports, à Chicago ou ailleurs, en France, pour se maintenir dans une dignité - je pense à ce qu'en écrit, par exemple, Loïc Waquant, ou encore Jérôme Beauchez (mais moins, ici, et à regret ne les ayant pas (encore lu) aux sociologues ayant travaillé sur les femmes dans les sports de combat, comme Christine Mennesson ou encore Natacha Lapeyroux). L'apprentissage de la chute n'est pas corrélée à l'apprentissage du coup, j'y vois plutôt la réponse de deux précarités, l'une sociale, l'autre de genre, où celui féminin est économiquement, symboliquement plus précaire, vacillant. Mais que penser de la beauté de ces chutes ? Que penser de la beauté dans une telle performance ? Comment la beauté peut se conjuguer à l'horreur de ce qui est dit ? A l'extrême, on pense au texte de Rivette dénonçant l'abject du travelling dans Kapo. S'en détache malgré tout cette chute par ce que permet de percevoir sa répétition, dans ce que l'on perçoit par ce corps, et ce malgré ou grâce à la beauté, ce que permet la répétition c'est de percevoir précisément ce qui n'est pas figurer : la force qui pousse à terre Agnés Matéus, cette lumière qui la pousse, c'est insaisissable comme le patriarcat et au moins aussi éblouissant, ça fait cligner de l'oeil mais malgré tout, on continue à regarder, à accepter. C'est ce déplacement du corps qui chute, par la répétition de la chute, qui permet que l'on perçoive notre propre fascination, la fascination qu'impose la domination, biche en plein phare, notre stupéfaction, notre immobilité face aux coups que l'on sait, même si on ne les voit pas.
Le one-woman show. J'ai pris plaisir à ce one-woman show grinçant, en robe de mariée saupoudrée de paillettes d'or (interdites désormais), comme d'une femme sous cloche, dans une boule à neige, une boîte à musique dont la danseuse dit avec le sourire des insanités. Simple, drôle, jusqu'à et avec son craquement Frida Ka(h)lo. J'ai trouvé malin que les références connues se tissent progressivement avec celles inconnues - mon coup au cœur quand Bessette se fait invisibiliser, inconnue. J'ai trouvé pertinent le moment de réflexion sur l'arbre Kahlo qui cache la forêt des femmes : combien de fois avons-nous vu la vie d'une qui devient emblème de toutes, effaçant les spécificités de chacune, un féminisme non intersectionnel, encore que Kahlo pose la question du validisme, une intersection non négligeable. Agnés Matéus m'a fait penser à une Blanche Gardin, une Elodie Poux, une Florence Foresti. Ce sont des ressorts similaires : montrer ce qui est dit en le confrontant à la réalité. Analyse de l'écart du symbolique, du discursif et du réel pour en montrer l'absurde - et l'absurde faire rire, à tout coup, même si c'est déjà connu, même si c'est jaune.
Le lancer de couteaux. La mise en danger, réelle, m'a glacée. Je n'ai pas voulu, je ne voulais pas. La tension. Qu'en dire ? Que le spectacle est bien rôdé ? Que je n'ai jamais été au cirque (ou plutôt une seule fois) ? Que ce n'était pas une scène de cirque dont on sait que tout est maîtrisé, y compris le danger ? Que le danger venait là davantage de la peur de Agnés Matéus que du lanceur ? Que je l'ai imaginée à chaque fois défaillir de peur, et se précipiter sous le couteau pour le fuir ? Qu'à cet endroit quelque chose se renverse du rapport au danger ? Est-ce une métaphore du féminicide : le danger pris dans le sang-froid du meurtrier (n'en faisons pas un fou) est de bouger, et de provoquer, et de fuir seulement après ? Il faudrait disparaître à soi-même pour ne pas disparaître tout court, mourir ? Mais le danger passé, est-il possible de sortir de l'état de mort dans lequel il nous plonge (et qui se traduit, assez littéralement, par la tête de Matéus dans une brouette de terre) ? Il n'y a pas de résolution de cette question, car elle est irrésolvable. Insupportable ? Une dame au premier rang s'est levée pour sortir du théâtre, un peu avant la fin de la pièce, quand les noms des femmes tuées défilaient, trop vite pour qu'ils soient lisibles. Matéus et Tarrida ne donnent pas de réponses, ni au pourquoi ni au comment, il s'agit d'une performance de constats, fragmentés et parfois rendus sensibles.
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tortademaracuya · 11 months
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Igual si estoy re caliente es más porque se que probablemente toda mi vida siga siendo como ese proyecto y me sobreexploten por pelotuda y alfombra de piso mientras a los demás les va mejor que a mi lol
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seddenostalgia · 11 months
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me gustaría saber cómo funcionan las luces y sombras y dónde aplicarlas correctamente de verdad pero no capto la lógica
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quetzalpapalotl · 10 months
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I know the worst song bracket is focused on English songs and I don't resent it for that, but by god, I would listen to a playlist with every* song in there than listen to Rebota a single time
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loovelymeow · 2 months
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Rebota 🥴
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missgavi · 1 year
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Gavi dirty talking in spanish to the reader
Here's some of the phrases I think he would say to you :
"joder bebé, te sientes tan bien" fuck , you feel so good
"eso es bebe, rebota en mi polla" that's it baby, bounce on my cock
"te ves tan bonita todo expuesto para mí" you look so pretty all exposed to me
"mi niña buena" my good little girl
"Joder, me haces tan duro" fuck, you make me so hard
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caostalgia · 2 months
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Karma
Lo que siembras cosechas. Lo que haces, lo que deseas a otros; esa energía, la vida la rebota de regreso a ti.
Nada que temer...
-Berenice
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imembroiderline · 1 year
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Guía para encontrar la mejor manera de matarse
Rasha Awale
+
Uno
 
Abre la llave del gas.
Cierra todo:
Puertas, ventanas, mirillas y pensamientos de vacilación.
Primero sentirás dolor de cabeza,
luego dolor de garganta,
un impulso de dejarlo ahí,
pesar.
No te muevas, sólo espera
hasta que ya sea tarde.
Estás muy débil para quedarte.
Sólo salta.
No dejes ninguna nota.
Tu letra no se entiende
y no hay nada peor que una nota suicida confusa.
Imprímela si es necesario.
Que sea divertida,
algo así como “No molestar”.
No quieres hacer sufrir a nadie.
Ya es suficiente con que te vayas pronto.
++
Dos
 
Ve al mercado, escoge el mejor cuchillo.
Si has tenido una vida de mierda, has de querer una muerte de lujo.
Y si tuviste una vida de lujos, no querrás una muerte de mierda.
Sonríele a la señora del puesto, cuéntale un chiste,
algo así como “¿Puedo probarlo primero?”
No importa lo que hagas,
no compres cualquier cosa.
Quieres que la señora recuerde tu cara
Cuando la policía vaya a preguntarle.
A menos que te parezca divertido incriminar a alguien.
¡Incriminar a alguien!
Estoy bromeando.
Pero en serio, no lo hagas con un cuchillo chafa.
Te robarían la gloria.
No lo hagas en el baño,
Respétate un poco.
Puedes hacerlo en la recámara.
No, es mucho batidillo.
En la cocina.
No,
te recordarán cada vez que metan carne al horno.
En el balcón.
No, hace frío
y tú quieres una muerte calientita.
Hazlo en el baño, sí,
pero remplaza el cepillo dental con lapiceros y el jabón con post-its,
la esponja con clips y la toalla con tu toga de graduación.
Hazte un corte vertical. Puede que duela,
pero recuerda que quedarse duele más.
Seguro vas a llorar.
Ahí empieza el batidillo.
Tú sigue.
Sigue.
Nada tan ridículo como que te lleve la ambulancia por intento de suicidio.
Todo el mundo pensará que lo hiciste para llamar la atención,
pero no querías morirte realmente.
No ven que no es posible llamar la atención con un cuchillo,
a menos que seas el carnicero el día de plaza.
Termina lo que empezaste.
No dejes ninguna nota.
No hay nada peor que un papel ensangrentado
y no quieres hacer sufrir a nadie.
Ya es suficiente con que te vayas pronto.
 
+++
Tres
 
Llena de agua la tina.
Pero tienes que encontrar una a tu medida.
Agua caliente.
Tu vida ya fue bastante fría, quieres una muerte cálida.
No te metas desnuda, ponte algo chistoso.
Haz que se rían.
Un disfraz de conejito, una corbata con una camisa llamativa
o un pantalón debajo de la falda.
No te pintes.
Ya bastantes máscaras usaste.
Lo que buscas es una muerte honesta.
Rompe todos los records aguantando bajo el agua
hasta que todo se desvanezca:
las burbujas, el techo, los ruidos de tu mente.
La vida no estuvo tan mal,
pero la muerte puede saber mejor.
Cuando te la bebas,
Bébetela toda.
Recuerda que, si te echas para atrás,
tendrás que explicar el batidillo en el piso,
la toga de graduación en el baño y el elevado consumo de agua.
No dejes ninguna nota.
No hay nada peor que un papel que se deshace en las manos
y no quieres hacer sufrir a nadie.
Ya es suficiente con que te vayas pronto.
 
++++
Cuatro
 
No uses pastillas.
Las pastillas son tramposas.
Te pueden dar diarrea o que te salgan ronchas.
Tendrían que hacerte un lavado
y no hay nada peor que tener una manguera en la boca
mientras un montón de extraños te dan palmaditas.
“Con esas pastillas te van a salir pelos en los ojos”,
me dijeron.
Pedí unas pastillas que pudieran encerrar mis demonios.
No funcionaron. No hicieron dormir a los demonios.
No aplacaron las batallas en mi cabeza.
Al contrario, hicieron crecer un bosque en mis ojos
y me supieron amargas.
La vida ya es bastante amarga.
Mereces una muerte dulce,
así que no uses pastillas.
No uses pistola.
Las pistolas son frías y ciegas.
Además
no tienes fuerzas para apretar el gatillo.
No te columpies como un péndulo:
No eres tan santa como para convertirte en fruta.
 
No te avientes de un edificio alto.
Qué tal si vuelas
o rebotas.
Todo rebota.
No importa qué escojas, no dejes ninguna nota.
La subirán al Face y la compartirán extraños.
Recuerda:
No quieres hacer sufrir a nadie.
 
+++++
Cinco
 
Quédate.
Tu vida es una nota.
Deja una nota.
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welele · 2 years
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Rebota rebota y en tu cara explota
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46snowfox · 28 days
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Reiji Sakamaki Chaos Lineage Heaven
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[Euphoria END] [Labyrinth END]
Lugar: Habitación de la protagonista • Noche
Yui: …Aah.
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Yui: (Los exámenes finales están a la vuelta de la esquina, pero no consigo progresar en mis estudios.)
Yui: (¡¿Eh?! ¿Cuándo pasó tanto tiempo…?)
Yui: (¿Qué hago…? En momentos como este mi única esperanza es Reiji-san.)
Yui: (De nada sirve agobiarme. Será mejor que le pida ayuda a Reiji-san.)
Lugar: Pasillo • Noche
Yui: ¿…Estás allí Reiji-san?
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Reiji: Oh, eres tú. ¿Qué necesitas a estas horas?
Yui: Estaba estudiando para el examen, pero hay cosas que no consigo entender…
Yui: ¿Podrías ayudarme a estudiar?
Reiji: …Ya veo. Si ese es el caso, entonces no puedo negarme.
Reiji: Te esfuerzas por estudiar. Esa es una mentalidad admirable.
Yui: …Fufu.
Reiji: ¿Sucede algo?
Yui: Suenas como un profesor.
Reiji: No sé si me equiparo a un profesor, pero tengo fe en mis habilidades para enseñar.
Reiji: Ahora, por favor entra.
Yui: Sí, ¡muchas gracias!
Lugar: Habitación de Reiji • Noche
Yui: ¿Puedo preguntarte de inmediato sobre lo que no entiendo?
Reiji: Sí, por supuesta. ¿Cuál es el problema?
Yui: Ehm, partamos por este…
Yui: (Aunque sea mi novio, me pongo nerviosa cuando está tan cerca de mí.)
Yui: (Ay no. Estamos estudiando, no debo pensar en otra cosa.)
Reiji: ¿Qué sucede Yui?
Yui: Ah, ¡l-lo siento! No es nada.
Reiji: Si estás nerviosa por más que te enseñe no aprenderás nada. Asegúrate de centrarte.
Yui: Sí…
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Reiji: Bueno, resolvamos juntos este problema.
Yui: ¡…!
Yui: (¡¿Reiji-san…?! ¿Por qué tiene su brazo alrededor de mi cintura?)
Yui: (Uuuh… ¡Si hace esto seré más consciente de nuestra situación actual!)
Reiji: ¿…Me escuchas? Espero que hayas entendido la fórmula química que te expliqué.
Yui: L-lo siento. No la entendí…
Reiji: ¿Tan complicada es mi forma de enseñar?
Yui: ¡Ah! ¡N-no! ¡No es eso!
Yui: (Me distraje tanto que ni me di cuenta que Reiji-san resolvió el problema.)
Yui: (—Pero no puedo decirle eso…)
Reiji: Ya veo. Pues está bien.
Yui: Ah. ¿Reiji-san? ¿Por qué me atraes hacia ti…?
Reiji: Estamos viendo el problema juntos. Si no hago esto será difícil verlo.
Yui: Ah, claro… tiene sentido.
Yui: (S-soy la única que está ridículamente nerviosa. ¡Q-que vergüenza…!)
Reiji: Partiré desde lo más básico. Cuando estés resolviendo una ecuación de reacción química intenta ilustrar las moléculas y átomos.
Reiji: En tu caso imagino que recuerdas más fácilmente cuando usas dibujos.
Yui: Ah, ya entendí. ¡Lo intentaré!
Yui: (A ver… el oxígeno primero está unido de esta forma y luego se separa… ¿Eh?)
Reiji: ¿…Cómo llegaste a ese resultado? Escucha, primero dibuja la molécula—
Yui: ¡Hyaa!
Reiji: ¿Por qué levantas la voz?
Yui: E-es que me sorprendí porque de la nada agarraste mi mano…
Reiji: Voy a tomarme la molestia de dibujarlo por ti. Mira atentamente y memorízalo.
Yui: S-sí…
Yui: (Pero como estamos más cerca que antes ahora su voz rebota directamente en mi oreja… ¡Así no puedo concentrarme!)
Reiji: …En resumen, este es el fenómeno conocido como oxidación. ¿Entendiste?
Yui: ¿Eh? Ah… Creo que entendí.
Reiji: Entonces explícame qué fue lo que entendiste.
Yui: Uh…
Reiji: Aah… No memorizaste nada. Veo un futuro lleno de dificultades.
Yui: De verdad lo siento…
Yui: (¡Está hartándose de mí! ¡Debo concentrarme, céntrate!)
*luego*
Yui: (—Aah, lo sabía, es inútil.)
Yui: (Lo siento por Reiji-san, pero en una situación como esta soy incapaz de memorizar nada…)
Reiji: ¿Por qué ahora hay tres partículas de nitrógeno?
Yui: ¿Eh? ¿Eh? ¿En dónde?
Reiji: En el problema de arriba. Y sobre el que estás resolviendo ahora, no tienes que descomponer OH en O y H.
Yui: ¿Eh? ¿De verdad?
Yui: (¿Ah? ¿Eh? La cabeza me da vueltas, no entiendo nada…)
Yui: (¡Como Reiji-san es quien me está enseñando mi temperatura aumenta y está volviéndome loca…!)
Yui: D-disculpa Reiji-san.
Reiji: ¿Qué sucede?
Yui: Tú también debes estudiar para tus exámenes, ¿no? No puedo seguir molestándote.
Yui: ¡Por eso me esforzaré por mi cuenta! ¡Muchas gracias por todo!
Yui: (¡Volveré a mi habitación! Tomaré un poco de aire y enfriaré mi cabeza—)
Reiji: Espera.
Yui: Eh…
Reiji: Ahora que te he enseñado mi deber es comprobar tu avance.
Reiji: Voy a interrogarte y vas a responderme.
Yui: ¡¿Eeeeh?!
Reiji: Es un problema que deberías poder responder si me estuviste prestando atención.
Reiji: Imagino que no tienes objeción alguna.
Yui: Uuh… Ninguna…
Reiji: Perfecto. Entonces hagamos una prueba rápida.
Yui: (D-debo tenerme fe. Sé que puedo responder—)
*luego*
Reiji: …Fallaste todas las preguntas. ¿Qué significa esto?
Yui: (¡Su mirada es completamente seria!)
Yui: …L-lamento fallar cuando te tomaste la molestia de enseñarme.
Reiji: Desperdiciaste todo el tiempo que invertí en ti. ¿Eres consciente de eso?
Yui: Sí y me arrepiento de ello…
Reiji: Eso no es suficiente. En esta situación solo queda una cosa por hacer.
Yui: ¿Eh?
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Reiji: Muy bien Yui. Hora del castigo.
Yui: Pero si fue tu culpa que no pudiera concentrarme…
Reiji: ¿Tienes quejas con mi método de enseñanza? Entonces señálame qué fue lo que no te gustó.
Yui: N-no es que no me gustara… Es solo que estabas demasiado cerca.
Reiji: ¿Y eso bastó para desconcentrarte? Increíble.
Reiji: Por más que seamos pareja, que te pongas nerviosa solo por estar cerca de ti es decepcionante.
Yui: ¿Eh? Reiji-san, ¿acaso te diste cuenta? De mi actitud…
Reiji: Por supuesto. Me sentí desolado.
Reiji: Pese a que hemos intercambiado sentimientos acabé sintiendo una pared entre nosotros.
Yui: Ah…
Yui: Lo siento, no quería que te sintieras así…
Yui: Es que no puedo evitar ponerme nerviosa a tu lado, mi corazón no dejaba de acelerarse…
Reiji: Ya veo. ¿Y?
Yui: C-como me gustas… no puedo evitar ser consciente de nuestra relación. Lo siento…
Reiji: Ya veo. Gracias por ser honesta. Si esa es tu reacción al pensar en mí, entonces me quedo más tranquilo.
Yui: ¡M-muchas gracias!
Reiji: Sin embargo, tendré que castigarte por lo acontecido a tus estudios.
Yui: ¡¿Eh?! ¡¿No puedes pasarlo por alto?!
Reiji: Claro que no. Me aseguraré de castigarte por fallar.
Reiji: En tu cuerpo grabaré el dulce dolor de mis colmillos. Nn… Nn…
Yui: ¡Nn, aaaah…!
Yui: (A-a este paso me dejaré llevar… y no podré estudiar para los exámenes…)
Reiji: Es poco común verte mantener la conciencia. Bien hecho.
Reiji: Una dama debe comportarse como tal en cualquier momento… Nn.
Yui: Ah…
Reiji: Sin embargo, me pregunto cuánto resistirás.
Reiji: A fin de cuentas… yo fui quien te adiestró. Nn… Nnn…
Yui: Ah… Nn…
Yui: (Es inútil, la cabeza me da vueltas… No creo que pueda aguantar más…)
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Reiji: Sabía que perderías la compostura. Fufu… Debería reprimirte, pero lo dejaré pasar por hoy.
Yui: Eres malvado, Reiji-san…
Reiji: ¿Oh? Parece que te falta adiestramiento. Vamos a cerrar esa encantadora boca.
Yui: ¡¿R-Reiji-san?! ¡Espera!
Reiji: Ya no hables más… Nn…
Yui: Nn…
Yui: (¡Ya… no podré seguir estudiando…!)
Yui: (¡Si saco una mala nota será tu culpa, Reiji-san!)
[Masterpost]
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lovifie · 2 months
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I keep thinking of Reader dating either König or Soap and getting into an argument. Like imagine König starts arguing in German or Soap in Scottish and then Reader starts arguing back and yelling in Spanish something like "Ni idea que dijiste pero la tuya" and they stop and look at each other because neither of them know what the hell the other just said so they just start laughing and forget about the argument.
Don't know I just find it funny and cute, anyway just sharing a fun thought HAVE A WONDERFUL DAY!!! or night-
-🦝
HAHAHA no because that's hilarious!
It goes in crescendo, every little by little the voices just get louder, it's a competition to see who can scream louder.
But the angrier one of you gets, the thicker the accent and there is a point where you are trying to hide the laughs because whenever one of you speaks the other just looks confused as hell for a second before being able to respond anything.
And slowly, the two of you are struggling more and more to stay mad, because there is just something ridiculous about having an argument when you don't know what the other person is saying.
And then you used the unbeatable technique of: "Rebota, rebota y en tu culo explota."*** Which you haven't used since you were six but still seems to work because it completlety throws them laughing out loud.
"What the fuck did you just say?" He asked, completely sure that whatever it was it was not English.
"No, what the fuck did YOU say?" You ask, because you are not sure what he said before was actually English.
After that the argument is forgotten, and the conversation moves to all the different ways there are to tell somebody to fuck off in each of your languages.
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***"Rebota, rebota y en tu culo explota." It would be something like, "Bounce, bounce and it hits you/explodes on your butt" It is something that little kids say
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lou1e · 9 months
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♫ la miro y rebotan, rebotan, rebotan y rebota ♫
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esuemmanuel · 8 months
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Le ha sacado punta al carboncillo, ha soplado sobre éste y sobre la hoja, la cual se ha manchado un poco con las partículas que se han desprendido del carbón. Mira fijamente ese espacio, tan blanco, tan puro, tan vacío y cautivador. “No hay libertad en esta hoja ni en ninguna parte. No hay líneas ni tampoco pensamientos. Yace el silencio, coloreando con su blancura, el artificio invisible de la falta”. Alguien piensa en algún punto imaginario de esa hoja, porque no es el que carga el carboncillo ni soy yo el que lo pronuncia. Es un pensamiento repentino y sorpresivo, pero quedo y prudente, aunque de imprudencia se haya vestido. El vacío aturde al dibujante, lo hace temblar, colmarse de escalofrío y de un mudo trepidar que asciende por sus piernas y la espina dorsal. Hay frío, lo siente escarbando en sus entrañas, en sus huesos, en sus latidos y su pensar. El cerebro parece fallarle, así como los ojos. Ese espacio en blanco es demasiado grande… demasiado peligroso… demasiado perturbador para él, el que le teme al silencio, el que le huye a la falta, el que tiembla ante la vacuidad de la inexistencia, porque eso es lo que sucede: no existe ni está existiendo, tampoco ha existido, aunque así lo haya creído. La hoja sigue en blanco, esperando por alguna línea, por algún oficio… Y el dibujante se perturba, mordiéndose los labios y las uñas. El carboncillo rebota en el suelo. Un sonido. Otro más. El silencio se ha desvanecido, pero sigue la nada… la nada chillando a través de ese carboncillo que se arrastra por al suelo como si le divirtiera girar sobre él. El dibujante, de pronto, me habla… “Háblame, dime algo, te lo suplico… Hazme dibujar, no importa lo que sea, sólo hazme dibujar… No encuentro nada en mi cabeza, tampoco en mi corazón, estoy vacío… tan vacío que no siento nada. Háblame, por favor, toma mi mano y dibuja… Aléjame de este infierno que es la inexistencia ¡Quiero vivir, maldita sea! ¡Quiero existir!” Y la hoja, en su blanco desdén, se comprime en una mueca que alude al poder que tiene sobre el que ha esclavizado a su suerte.
He has sharpened the charcoal, blown on it and on the sheet, which has become a little stained with the particles that have come off the charcoal. He stares at that space, so white, so pure, so empty and captivating. "There is no freedom on this sheet or anywhere. There are no lines and no thoughts. Lies silence, coloring with its whiteness, the invisible artifice of lack." Someone is thinking at some imaginary point on that sheet, because it is not the one who carries the charcoal and it is not me who pronounces it. It is a sudden and surprising thought, but quiet and prudent, although it has been dressed imprudently. The emptiness stuns the draftsman, makes him tremble, fills him with a shiver and a mute trepidar that ascends through his legs and spine. There is cold, he feels it burrowing in his entrails, in his bones, in his heartbeat and his thinking. His brain seems to fail him, as well as his eyes. That blank space is too big... too dangerous... too disturbing for him, the one who fears silence, who flees from lack, who trembles before the emptiness of non-existence, because that is what happens: he does not exist nor is he existing, nor has he existed, although he has believed so. The sheet is still blank, waiting for some line, for some craft... And the draftsman is disturbed, biting his lips and nails. The charcoal bounces on the floor. A sound. Another one. The silence has vanished, but nothingness follows... nothingness screeching through that charcoal that crawls on the floor as if it amused him to spin on it. The sketcher, suddenly, speaks to me... "Talk to me, tell me something, I beg you... Make me draw, no matter what it is, just make me draw... I can't find anything in my head, neither in my heart, I'm empty... so empty that I feel nothing. Talk to me, please, take my hand and draw... Take me away from this hell that is non-existence… I want to live, damn it, I want to exist!" And the leaf, in its white disdain, compresses itself into a grimace that alludes to the power it has over the one it has enslaved to its fate.
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unmenme · 20 days
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Así como la sal a la cicatriz.
(Mayo 2024)
Ambivalente al dolor, cómo canto cardeche
Y al amor, cómo frijoles de olla
Un corazón con un impacto, impacto de Tea, donde solo queda reestructurarse, y lo hice.
Cómo el acto de amor al espejo, que deje manchado.
Soy solo un organismo, arrepentido de darle al piso sancadas tan cortas
Que lindo que amanece, que horrible que es constante. El sol rebota y rebota, y los tordos de rama en rama.
Disfrute de tanto de lo poco que tengo en mi colecho, Pessoa, y no es sepukku sino más bien un pedo efímero y apestoso, la vida es un abrir y cerrar de ojos.
Soy leal como el cuervo a la venganza, soy alegre como un ultrasonido
Así de grande es dios que me permitió caminar sobre olas del viento, y brincar en ellas.
Así de grande es dios que me permitió conocerla, amarla y cogermela.
Que me provocó rezar
Dios omnipotente, te pido a ti como le pido al Diablo que es omnipresente, que mis hijos tengan sus ojos.
Yo que la conocí siendo pasto
Ella que me conoció siendo un grano.
Yo que hice de mis murmullos sigilos para que acudieran a la pena de sus fantasmas
Para que fuera feliz.
Ella que en sus nueve vidas felinas trabajo por traerme las rocas de río más finas
Para que fuera feliz.
Así de grande es Dios, que en su fruta dejo semillas.
Así de grande es el hombre, pero no más que la mujer, que las cosechan.
Amo a mi madre, que es mi faro
La amo a ella que es mi hogar
Amo a esos que empiezan el 12 de febrero y terminan el 4 de mayo
Amo a los animales, a los insectos.
Ojalá viera un escarabajo pelotero empujando su mierda, y nada más.
Soy Mar y también soy aire
A mí edad todo lo que trago provoca diarrea.
Y por el poder que me conseden las drogas y el agua mineral dejo aquí un último ensayo sobre lo que fue la poesía de un perro con alas.
Gracias por leer mi nocheario de perlas, rezos y cartas.
Mare Rostam.
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El circo se va y yo me voy con el...
Nos vemos en otra vida
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Si alguien te falló, no intentes desquitarte haciendo lo mismo, todo en esta vida rebota tarde o temprano
ℜ𝔬𝔰𝔞🖤
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welele · 1 year
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Cómo rebota la cabeza.
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