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#féminicide
radvsem · 26 days
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Femicide in Kazakhstan
Feel free to interact and share this post because this is a terrible crime and the criminal must be punished!!
Since 27th of March 2024 in Kazakhstan there's the trial in the case of Kuandyk Bishimbayev (Former Minister of Economy of Kazakhstan, prosecuted for corruption in 2017) who killed his wife Saltanat Nukenova on the 9th of November 2023.
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In the VIP room of his family's restaurant he mutilated her for many hours, pulled her by the hair, tortured her. In the morning he called his cousin (distant relative) and asked him to delete recordings from CCTV cameras, bring blankets, and also drive the car into the underground parking (apparently to wrap the corpse). They failed to remove Saltanat from the restaurant and Bishimbayev asked his brother to take the woman’s phone and take it to the sports club firstly, and then take it home (so that Saltanat's brother would not suspect anything, because he could track her). It's important that all this time they did not call an ambulance; instead, Bishimbayev called a fortune teller, she said that Saltanat was sleeping and would wake up soon.
Bishimbayev says that Saltanat just fell because she was drunk (according to the examination, she did not have a significant dose of alcohol in her blood), and a clump of hair remained from the fact that he stroked her head. Experts rule out this scenario.
“The death of Saltanat Nukenova was the result of a closed craniocerebral injury, the examination says. Multiple abrasions and bruises were found on her face and body, and her nose was broken. Forensic expert Takhir Khalimnazarov said that injuries consistent with strangulation were found on the body of the deceased.”
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Also, at the trial, Bishimbayev’s lawyers want to make Salatnat guilty: they ask questions about whether she liked to dominate in relationships, whether she was jealous, why she didn’t leave earlier if Bishimbayev beat her before. Typical scenario in the CIS countries: “It’s your own fault, you brought it on youself”. But justice is on the side of Saltanat and other victims of violence!
On the 11th of April 2024 the law criminalizing domestic violence, the Salatnat Law, was adopted in Kazakhstan. The trial is still ongoing.
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actu-alite · 3 months
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hcdahlem · 3 months
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Mon cœur a déménagé
Toujours aussi habilement construit, le nouveau thriller de Michel Bussi va confronter une enfant avec la mort de sa mère, chassée par un mari violent. Pendant de longues années, Ophélie va chercher à comprendre et à venger sa mère.
    En deux mots Ophélie, dite Folette, a sept ans quand sa mère meurt. Son mari, alcoolique et drogué, va être condamné pour cet homicide, laissant sa fille à l’assistance avec ses questions et son désir de vengeance. Commence alors une enquête au long cours pour savoir ce qui s’est réellement passé ce jour de 1983. Ma note ★★★★ (j’ai adoré) Ma chronique La vengeance est un plat qui se mange…
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margaulem · 15 days
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La guerre mondiale contre les femmes, podcast à écouter
très beau podcast en 4 épisodes, à écouter, à partager.
L’autre jour, en rentrant de la région parisienne, je me suis dit : tiens, plutôt que d’écouter de la musique, je pourrais peut-être finir d’écouter le podcast passionnant « La guerre mondiale contre les femmes », une série en 4 épisodes diffusés par l’émission LSD sur France Culture. C’est Jak qui me l’avait conseillé. Il me connaît bien. Réellement passionnant. C’est la première fois que…
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poesiecritique · 2 months
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REBOTA REBOTA, Y EN TU CARA EXPLOTA, performance de Agnès Maéeus et Quim Tarrida, avec Agnés Matéus, 1h15, 2018 - et vu en 2024 au Théâtre de la Bastille, Paris.
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Commençons par dire que ce spectacle, vu en 2024 a été crée il y a 6 ans, à Genève (selon le site théâtre contemporain). En septembre 2018, quelle était la place du féminisme dans nos discours, dominants et dominés ? C'était un an après, à deux semaines près, qu'Alyssa Milano propose de partager, suite à la révélation de l'affaire Weinstein, sous le hashtag #metoo, les violences sexistes et sexuelles subies par les femmes par des hommes. Cette création a aussi lieu dans un contexte espagnol où la prise en charge des violences sexistes et sexuelles aurait permis une baisse du nombre de féminicides selon les médias généralistes nationaux et internationaux. Dans un bref entretien, Agnés Mattéus conteste cette prise en charge effective quand, en 2017, le travail sur la pièce commence - tandis que certaines sociologues féministes, dont par exemple Gloria Casas Vila, critiquent davantage un effet de comptage (quel meurtre est effectivement compté comme féminicide ?), permettant de donner alors l'impression que le nombre de féminicides décroît alors qu'il n'en est rien. En 2023, certains médias généralistes soulignent une ré-augementation des chiffres espagnols de féminicides, se réalignant sur ceux de 2008, soulignant que dans la moitié de ces meurtres, les plaintes avaient été déposées contre les agresseurs, devenus meurtriers et/ou que les agresseurs étaient récidivistes, parfois déjà meurtriers. Si ce type de média souligne cette inversion, on peut donc supposer qu'il ne s'agit que de la partie emergée d'un iceberg bien fat, bien réel, bien patriarcal, et qu'en dessous grouille une bouillie dégueu mais bien organisée du féminicide - à l'instar de l'inceste, comme le montre par exemple Dorothée Dussy dans Le berceau des dominations.
Dire également que je m'interroge sur le travail de collaboration entre Quim Tarrida et Agnés Matéus. Dans le même entretien, qu'elle et il donne au théâtre de la Bastille, la langue française, que parle Agnés Matéus et que ne parle pas Quim Tarrida, donne le primat à Agnés Matteus. Mais j'avoue avoir eu ce réflexe de me demander ce qu'un homme pouvait bien avoir à faire dans la mise en scène d'une femme parlant de féminicides, dont la plus part sont commis par des hommes. Et si tous les hommes ne sont pas des meutriers, des violeurs, etc, la quasi-totalité des hommes de son âge et de sa nationalité (Quim Tarrida est né en 1967) ont été socialisés dans un monde où la masculinité était valorisée, et hiérarchiquement instaurée supérieure au genre féminin. Si l'on comprend que le travail naît d'une précédente collaboration sur les violences policières, et que ce travail précédent naît d'une rencontre lors de leurs engagements militants, malgré tout : comment s'articulent les regards, différemment socialisés, de Agnés Matteus et Quim Tarrida pour aboutir à REBOTA REBOTA, Y EN TU CARA EXPLOTA, notamment sur le corps de Agnés Mattéus ? Cela pourrait informer ma lecture, mais je n'y ai pas accès, pas directement, seulement par supposition critique (car, d'expérience, fréquenter un milieu politisé, quand il ne s'agit pas directement de cercles féministes engagés, ne permet pas une déconstruction du regard, d'un regard dominant)
Et maintenant, décrivons ce que propose Ca rebondit ça rebondit et ça t'éclate en pleine face. Cela sera moins qu'une description linéaire et exhaustive, ne m'arrêtant que sur certains tableaux et détails qui m'ont paru particulièrement signifiants. Dire peut-être cela, d'abord : REBOTA REBOTA, Y EN TU CARA EXPLOTA est une succession de tableaux au centre desquels se trouve Agnés Matéus.
L'âge. La pièce commence par Agés Matéus dansant masquée, d'un masque de clown horrifique. Ainsi, c'est son corps que l'on voit et regarde. En 2024, le corps de Agnés Matéus, serré dans son pantalon strassé or, son ventre rebondi, a peine dénudé au dessus du nombril donne l'image d'un corps butch, ou d'un corps vieilli, ne répondant plus aux standards patriarcaux d'une certaine minceur. Qu'en est-il de son corps d'il y a 7 ans ? A-t-il changé, et comment ? Vieilli pour sûr, Agnés Matéus dans le texte, et dans les possibles endroits d'improvisation le signale, insiste sur la question de l'âge. Si je suis particulièrement sensible à cette question d'âge, dans les rapports de genre, c'est qu'elle me concerne : les regards changent, le crédit à la parole dans certains contextes aussi. Qu'est ce que faire tourner une pièce pendant 6 ans ? Qu'est-ce qu'expérimenter les changements physiques ? D'autant qu'est soulignée l'énergie de Agnés Matéus, qui tient l'heure quinze que dure Ca rebondit quasi seule sur scène. Mais là aussi, des questions se posent, techniques : quelle place de repos permettent les interludes filmés ? Sont-ils là pour leur qualité intrinsèque, de séquences filmées introduisant un autre rythme à la pièce, et/ou sont-ils présents pour permettre que Agnés Matéus tienne ? Cette question peut se poser, mais pas de la même manière, en fonction de la catégorie d'âge à laquelle l'acteur.ice appartient, car les contingences et les nécessités ne sont pas les mêmes, et donc ne disent, in fine, pas les mêmes choses sur les questions posées par la pièce elle-même. Ici, les premières séquences filmées m'ont moins conduit à regarder les états de délabrements de certaines scènes urbaines qu'à penser au délabrement, en cours mais encore à venir, du corps de Agnés Matéus. Et ces figurations de ruines, par leurs lents travellings dont on sait qu'ils vont, à un moment ou à un autre, figurer une morte, ne m'ont par renvoyées en tant que tel au corps de la performeuse. C'était un autre espace, un autre temps qui se raccorde à l'âge seulement par le comptage, le listage qui vient à la fin de la pièce des femmes mortes, dont l'âge à chaque fois est indiqué. Aucun âge n'est épargné, pas davantage les petites filles que les grand-mères, les jeunes femmes ou les femmes dans la fleur de l'âge. Aucune. Alors, cette question de l'âge se pose pour moi à nouveau dans l'espace où justement d'autres âges que celui de la performeuse, son âge réel, aurait pu être figuré : dans les séquences filmées. Pas d'enfants, pas de jeunes filles, toujours des mortes anonymisées, sans visage, dont on voit qu'il peut s'agir du corps de la performeuse - dont l'âge, là, varie encore par l'absence du visage.
La chute. Après la danse, il y a ce moment que j'ai trouvé très beau, de la chute du corps de Agnés Matéus. La beauté terrifiante de la chute sous les coups. Encaisser les coups et se relever. Être cueillie par les coups. Ne pas répondre, ne pas frapper. En miroir négatif, les poings des hommes pauvres qui apprennent à frapper contre un sac de sable dans la moiteur de salles de sports, à Chicago ou ailleurs, en France, pour se maintenir dans une dignité - je pense à ce qu'en écrit, par exemple, Loïc Waquant, ou encore Jérôme Beauchez (mais moins, ici, et à regret ne les ayant pas (encore lu) aux sociologues ayant travaillé sur les femmes dans les sports de combat, comme Christine Mennesson ou encore Natacha Lapeyroux). L'apprentissage de la chute n'est pas corrélée à l'apprentissage du coup, j'y vois plutôt la réponse de deux précarités, l'une sociale, l'autre de genre, où celui féminin est économiquement, symboliquement plus précaire, vacillant. Mais que penser de la beauté de ces chutes ? Que penser de la beauté dans une telle performance ? Comment la beauté peut se conjuguer à l'horreur de ce qui est dit ? A l'extrême, on pense au texte de Rivette dénonçant l'abject du travelling dans Kapo. S'en détache malgré tout cette chute par ce que permet de percevoir sa répétition, dans ce que l'on perçoit par ce corps, et ce malgré ou grâce à la beauté, ce que permet la répétition c'est de percevoir précisément ce qui n'est pas figurer : la force qui pousse à terre Agnés Matéus, cette lumière qui la pousse, c'est insaisissable comme le patriarcat et au moins aussi éblouissant, ça fait cligner de l'oeil mais malgré tout, on continue à regarder, à accepter. C'est ce déplacement du corps qui chute, par la répétition de la chute, qui permet que l'on perçoive notre propre fascination, la fascination qu'impose la domination, biche en plein phare, notre stupéfaction, notre immobilité face aux coups que l'on sait, même si on ne les voit pas.
Le one-woman show. J'ai pris plaisir à ce one-woman show grinçant, en robe de mariée saupoudrée de paillettes d'or (interdites désormais), comme d'une femme sous cloche, dans une boule à neige, une boîte à musique dont la danseuse dit avec le sourire des insanités. Simple, drôle, jusqu'à et avec son craquement Frida Ka(h)lo. J'ai trouvé malin que les références connues se tissent progressivement avec celles inconnues - mon coup au cœur quand Bessette se fait invisibiliser, inconnue. J'ai trouvé pertinent le moment de réflexion sur l'arbre Kahlo qui cache la forêt des femmes : combien de fois avons-nous vu la vie d'une qui devient emblème de toutes, effaçant les spécificités de chacune, un féminisme non intersectionnel, encore que Kahlo pose la question du validisme, une intersection non négligeable. Agnés Matéus m'a fait penser à une Blanche Gardin, une Elodie Poux, une Florence Foresti. Ce sont des ressorts similaires : montrer ce qui est dit en le confrontant à la réalité. Analyse de l'écart du symbolique, du discursif et du réel pour en montrer l'absurde - et l'absurde faire rire, à tout coup, même si c'est déjà connu, même si c'est jaune.
Le lancer de couteaux. La mise en danger, réelle, m'a glacée. Je n'ai pas voulu, je ne voulais pas. La tension. Qu'en dire ? Que le spectacle est bien rôdé ? Que je n'ai jamais été au cirque (ou plutôt une seule fois) ? Que ce n'était pas une scène de cirque dont on sait que tout est maîtrisé, y compris le danger ? Que le danger venait là davantage de la peur de Agnés Matéus que du lanceur ? Que je l'ai imaginée à chaque fois défaillir de peur, et se précipiter sous le couteau pour le fuir ? Qu'à cet endroit quelque chose se renverse du rapport au danger ? Est-ce une métaphore du féminicide : le danger pris dans le sang-froid du meurtrier (n'en faisons pas un fou) est de bouger, et de provoquer, et de fuir seulement après ? Il faudrait disparaître à soi-même pour ne pas disparaître tout court, mourir ? Mais le danger passé, est-il possible de sortir de l'état de mort dans lequel il nous plonge (et qui se traduit, assez littéralement, par la tête de Matéus dans une brouette de terre) ? Il n'y a pas de résolution de cette question, car elle est irrésolvable. Insupportable ? Une dame au premier rang s'est levée pour sortir du théâtre, un peu avant la fin de la pièce, quand les noms des femmes tuées défilaient, trop vite pour qu'ils soient lisibles. Matéus et Tarrida ne donnent pas de réponses, ni au pourquoi ni au comment, il s'agit d'une performance de constats, fragmentés et parfois rendus sensibles.
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Michel Bussi - Mon cœur
Présentation du nouveau Bussi !
A déménagé RENTREE LITTERAIRE HIVER 2024 Michel Bussi réunit dans Mon cœur a déménagé deux axes de son talent, le suspens et son empathie, ou plutôt sa tendresse pour les âmes cabossées par la vie. Cette humanité qui affleure, comme sa gentillesse et sa simplicité en interviews, elle éclate dans le récit de la vie de Poucette. Dès les premières pages, le ton est juste, la problématique posée…
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sylvain-mladin · 7 months
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imageculte · 1 year
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Vu à Téhéran : « Les femmes brûlent ici tous les jours tant qu’on ne brûle pas la racine de la misogynie ». Trouvé sur le fil Twitter « Lettres de Téhéran » source incontournable d’information sur la situation et le soulèvement en cours.
C’est pour moi l’occasion de rappeler qu’en Iran on lutte encore, mais aussi les tribunaux continuent de condamner à tour de bras, et maintenant on empoisonne les petites filles pour qu’elles n’aillent plus à l’école…
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bibliomancienne2 · 1 year
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#polyjemesouviens #féminicide (à Parc du Mont-Royal) https://www.instagram.com/p/Cl2KZ7vrTdH/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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rojinfo · 2 years
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Turquie : 24 femmes assassinées en juillet 
Turquie : 24 femmes assassinées en juillet 
Selon le dernier rapport de la plateforme « Nous arrêterons le féminicide », 24 femmes ont été tuées et 20 autres sont décédées dans des circonstances suspectes dans le courant du mois de juillet, en Turquie. Selon le rapport de la plateforme contre le féminicide, 4 femmes ont été tuées à Istanbul, 3 à Denizli, 2 à Izmir, 2 à Konya, 2 à Muğla. Une femme a été tuée dans chacune des villes…
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payetachatte · 2 years
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Sans voix devant la violence des propos 🤯
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bouxmounir · 2 years
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Féminicide. Sa sœur a été brûlée vive par son compagnon, elle témoigne dans un livre
Féminicide. Sa sœur a été brûlée vive par son compagnon, elle témoigne dans un livre
C’est dans un commissariat de la Police Judiciaire de Nanterre que Sandrine Bouchait a avoué que sa sœur Ghislaine avait été brûlé vif par son compagnon au Plessis Robinson (Hauts-de-Seine). Une scène évocatrice à laquelle assistait sa fille Cloé, âgée de 7 ans. Après cette annonce, Sandrine Bouchait a dû se battre seule pour obtenir justice, sauver l’enfant et maintenir sa famille à flot. Dans…
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hcdahlem · 10 days
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Comme si de rien n'était
On retrouve Barbara Abel au meilleur de sa forme. Dans ce thriller qui démarre par la découverte d'une femme assassinée avec violence, elle explore les liens entre les différents protagonistes ce cette affaire bien mystérieuse.
    En deux mots Madame Moreau a été retrouvée morte dans son lit, la tête fracassée par un gros galet. Pour les voisins, c’est la stupéfaction, car les Moreau étaient une famille sans problèmes. C’est en fouillant le passé des protagonistes que l’on va découvrir les clés de ce drame. Ma note ★★★★ (j’ai adoré) Ma chronique Un féminicide qui cache bien des secrets On retrouve Barbara Abel au…
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coochiequeens · 11 months
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“My bar has always been an inclusive bar,” she said. “Trans people should be respected and have rights, and lesbian women who are born female should also have a space for themselves.” “If the young woman said: I prefer women, then the trans woman was offended and cried transphobia. But this young woman is not transphobic, it’s just a matter of consent, she doesn’t like penises, since she’s a lesbian!”
A lesbian bar that has operated in Rennes, France for nearly a decade has been forced to close its doors following a disturbing swell of vandalism and death threats by trans activists. Orane Guéneau, the owner and manager of lesbian bar La Part des Anges, was publicly denounced as “transphobic” and accused of “misgendering” by critics.
Speaking with Ouest France, Guéneau said she made the decision to shut down the venue to protect her employees in response to increased aggression, both online and at her storefront. On April 14, four unnamed trans activists spray painted the menacing message “Fuck TERFs,” accompanied by a trans symbol, on the front door of the venue during activities that were aimed at opposing national pension reform.
“I have to close after the attack that we experienced,” Guéneau told Ouest France. “The window was tagged and a pane was broken, it was hyperviolent for employees and customers, and the bar was full.”
A few days before the acts of vandalism were committed, Guéneau made a book critical of trans activism available to her patrons. 
Titled When Girls Become Boys and written by Marie-Jo Bonnet, her detractors considered the act to be representative of her “coming out” as transphobic, and condemned her on social media. 
But the backlash was not limited to vandalism and social media condemnation, Guéneau also started to receive threatening messages scrawled on paper slipped under her door last month, some of which read: “Save a trans, commit suicide,” and “One bullet, one TERF.” 
Guéneau faced further harassment throughout the month of May when a local chapter of the French feminist organization Nous Toutes published a statement calling for their supporters to boycott the bar. 
“In Rennes or elsewhere: no feminism without trans people,” reads the call to action from Nous Toutes 35. “For several years, people from the Queer community have been denouncing attacks against them in a bar in Rennes: La Part des Anges. These recurring assaults are all the more problematic since this bar claims an identity as a lesbian and feminist bar.”
The statement continues: “Therefore, it’s important that this bar finally gets massively denounced. We would also like to call on the various political, activist or cultural organizations to stop organizing with this bar… transphobes have no place in our struggles.”
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In response to the statement from Nous Toutes 35, Guéneau announced that she had filed a complaint for defamation, harassment and cyber-harassment.
Yet despite the claims of “transphobia,” Guéneau has said that her venue has always been accepting of people who claim to be transgender. 
“My bar has always been an inclusive bar,” she said. “Trans people should be respected and have rights, and lesbian women who are born female should also have a space for themselves.”
However, tensions have escalated over the past five years as Guéneau defended lesbian patrons who were being harassed by men who self-identified as women and attended the venue seeking sex.
On multiple occasions, Guéneau told Charlie Hebdo, trans-identified males came to the lesbian bar to flirt with same-sex attracted women. 
“If the young woman said: I prefer women, then the trans woman was offended and cried transphobia. But this young woman is not transphobic, it’s just a matter of consent, she doesn’t like penises, since she’s a lesbian!”
Women’s rights campaigner and founder of FemellisteMarguerite Stern shared her support for Guéneau, and questioned the accusations of “misgendering” leveled against her. Stern also placed blame for some of the harassment Guéneau endured in part on Nous Toutes for their public condemnation of the venue.
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Nous Toutes, the liberal feminist group spearheading the harassment of the lesbian bar, has previously attacked causes they deemed to be “transphobic.”
In 2022, the group announced it would no longer provide data on domestic femicides due to concerns over the sex-based data being used by “transphobes.”
Nous Toutes had originally been founded to provide public insight into violence against women and girls in France, but launched into a social media war with another anti-femicide campaign group over transgenderism. 
After Féminicides Par Compagnons ou Ex accurately reported that no trans-identified males had been murdered by domestic violence in France in 6 years, Nous Toutes responded by suspending their release of any data related to the murder of women and girls in the nation, claiming that the information was “oppressive” and “otherwise illegal.”
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Nous Toutes then convened to determine how to make their femicide data reporting more “inclusive,” floating strategies which included counting general transphobia as femicide.
Violence against women critical of gender ideology is a regular occurrence in France, with multiple instances of women being physically attacked for not accepting the concept that trans-identified males were “female” being recorded over the past two years.
Reduxx previously reported on violence breaking out at French pro-woman events deemed “transphobic,” including on International Women’s Day in 2021 and 2022 when a number of women were left with injuries from rampaging trans activists. 
In April of this year, a symposium intended to raise awareness of the plight of Afghan and Iranian women was abruptly postponed after trans activists threatened to violently ambush the event because of the presence of a gender critical speaker.
By Genevieve Gluck
Genevieve is the Co-Founder of Reduxx, and the outlet's Chief Investigative Journalist with a focused interest in pornography, sexual predators, and fetish subcultures. She is the creator of the podcast Women's Voices, which features news commentary and interviews regarding women's rights.
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dixvinsblog · 22 days
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Les blogs amis : Collectif polar - Féminicide de Pascal Engman
un blog passionnant dédié aux polars, a feuilleté de toute urgence ! Féminicide, Pascal Engman
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Tim Dup - Je suis fait de leur absence
Un premier roman très abouti !
RENTREE LITTERAIRE HIVER 2024 En sautant d’époques au fil de sa narration, Tim Dup livre un premier roman sensible et émouvant sur la puissance de l’absence des parents nourriciers et le statut d’orphelin. Pierre, le narrateur, est depuis peu sorti de l’adolescence. Dès l’été, il a découvert l’amour avec Victoria. En attendant la vente de la maison familiale à Roseville-sur-Mer, il s’y installe…
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