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#Palais Venise
toosvanholstein · 8 months
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Twee koppen, één boek, drie versies
Nice, twee koppen eraf, één boek, drie versies, acht nieuwe steendrukken, een aantal prosecco-flessen, veel gesprekken en ten slotte een aantal uren bijslapen. Het resultaat van maanden voorbereiding. Hoe dat zit? Lees deze blogaflevering van TOOS&ART.
De kop is eraf. Zo heet dat dan. Twee koppen zelfs. Figuurlijk gesproken natuurlijk. Hier wat illustraties van kop één. affiche bij de expositie in galerie Quadrige bezoekers bij de opening van de expositie De start van mijn expositie in Galerie Quadrige in Nice op vrijdag 20 oktober (zie blog van vorige week) en de publicatie van mijn livre d’art ‘Toos van HOLSTEIN, L’Art au Carré’. Dat kon…
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georges-dufrenoy · 1 month
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Georges Dufrenoy (1870 - 1943)
"Venise, le Grand Canal - Suite de palais"
Huile sur carton - 64 x 92 cm
Collection privée
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philoursmars · 5 months
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Marseille. Le Palais Longchamp abrite deux musées, ici le Musée des Beaux-Arts :
Emile Loubon - "Vue de Marseille prise des Aygalades, un jour de marché"
idem
Paul Guigou - "Plan d'Orgon"
Paul Guigou - "Vue de la Canebière et des Allées de Meilhan"
Félix Ziem - "Venise, le Bucentaure"
Félix Ziem - "Quai du port à Marseille"
voir 1 et 2
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white-and-pastel · 2 years
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AD France - palais de style byzantin à vendre à Venise
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beatricecenci · 10 months
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Pierre-Auguste Renoir (French, 1841-1919)
Le Palais des Doges à Venise
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A VENISE... Fin du week-end.. faire un tour en gondole en amoureux ? Pour ressentir l’âme de la ville, pour filer sur ses canaux invisibles aux piétons. C’est un moment précieux d’intimité au milieu des reflets des palais.
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lafilleblanc · 1 year
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Event : Le MétaHisme
Work : Le Mobile d’ouverture des univers parallèles
Photographer : Philippe Tapissier
Place : Espace Labasse, 19240 Saint-Viance, France
Date : 17.11.2022 - 28.01.2023
Analysis : Marion Zilio (AICA France)
VR360 : Réalité Virtuelle
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quentinyhk · 8 months
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La nuit de décembre d'Alfred de Musset [XIXème siècle]
LE POÈTE
Du temps que j'étais écolier, Je restais un soir à veiller Dans notre salle solitaire. Devant ma table vint s'asseoir Un pauvre enfant vêtu de noir, Qui me ressemblait comme un frère.
Son visage était triste et beau : À la lueur de mon flambeau, Dans mon livre ouvert il vint lire. Il pencha son front sur sa main, Et resta jusqu'au lendemain, Pensif, avec un doux sourire.
Comme j'allais avoir quinze ans Je marchais un jour, à pas lents, Dans un bois, sur une bruyère. Au pied d'un arbre vint s'asseoir Un jeune homme vêtu de noir, Qui me ressemblait comme un frère.
Je lui demandai mon chemin ; Il tenait un luth d'une main, De l'autre un bouquet d'églantine. Il me fit un salut d'ami, Et, se détournant à demi, Me montra du doigt la colline.
À l'âge où l'on croit à l'amour, J'étais seul dans ma chambre un jour, Pleurant ma première misère. Au coin de mon feu vint s'asseoir Un étranger vêtu de noir, Qui me ressemblait comme un frère.
Il était morne et soucieux ; D'une main il montrait les cieux, Et de l'autre il tenait un glaive. De ma peine il semblait souffrir, Mais il ne poussa qu'un soupir, Et s'évanouit comme un rêve.
A l'âge où l'on est libertin, Pour boire un toast en un festin, Un jour je soulevais mon verre. En face de moi vint s'asseoir Un convive vêtu de noir, Qui me ressemblait comme un frère.
Il secouait sous son manteau Un haillon de pourpre en lambeau, Sur sa tête un myrte stérile. Son bras maigre cherchait le mien, Et mon verre, en touchant le sien, Se brisa dans ma main débile.
Un an après, il était nuit ; J'étais à genoux près du lit Où venait de mourir mon père. Au chevet du lit vint s'asseoir Un orphelin vêtu de noir, Qui me ressemblait comme un frère.
Ses yeux étaient noyés de pleurs ; Comme les anges de douleurs, Il était couronné d'épine ; Son luth à terre était gisant, Sa pourpre de couleur de sang, Et son glaive dans sa poitrine.
Je m'en suis si bien souvenu, Que je l'ai toujours reconnu À tous les instants de ma vie. C'est une étrange vision, Et cependant, ange ou démon, J'ai vu partout cette ombre amie.
Lorsque plus tard, las de souffrir, Pour renaître ou pour en finir, J'ai voulu m'exiler de France ; Lorsqu'impatient de marcher, J'ai voulu partir, et chercher Les vestiges d'une espérance ;
À Pise, au pied de l'Apennin ; À Cologne, en face du Rhin ; À Nice, au penchant des vallées ; À Florence, au fond des palais ; À Brigues, dans les vieux chalets ; Au sein des Alpes désolées ;
À Gênes, sous les citronniers ; À Vevey, sous les verts pommiers ; Au Havre, devant l'Atlantique ; À Venise, à l'affreux Lido, Où vient sur l'herbe d'un tombeau Mourir la pâle Adriatique ;
Partout où, sous ces vastes cieux, J'ai lassé mon coeur et mes yeux, Saignant d'une éternelle plaie ; Partout où le boiteux Ennui, Traînant ma fatigue après lui, M'a promené sur une claie ;
Partout où, sans cesse altéré De la soif d'un monde ignoré, J'ai suivi l'ombre de mes songes ; Partout où, sans avoir vécu, J'ai revu ce que j'avais vu, La face humaine et ses mensonges ;
Partout où, le long des chemins, J'ai posé mon front dans mes mains, Et sangloté comme une femme ; Partout où j'ai, comme un mouton, Qui laisse sa laine au buisson, Senti se dénuder mon âme ;
Partout où j'ai voulu dormir, Partout où j'ai voulu mourir, Partout où j'ai touché la terre, Sur ma route est venu s'asseoir Un malheureux vêtu de noir, Qui me ressemblait comme un frère.
Qui donc es-tu, toi que dans cette vie Je vois toujours sur mon chemin ? Je ne puis croire, à ta mélancolie, Que tu sois mon mauvais Destin. Ton doux sourire a trop de patience, Tes larmes ont trop de pitié. En te voyant, j'aime la Providence. Ta douleur même est soeur de ma souffrance ; Elle ressemble à l'Amitié.
Qui donc es-tu ? - Tu n'es pas mon bon ange, Jamais tu ne viens m'avertir. Tu vois mes maux (c'est une chose étrange !) Et tu me regardes souffrir. Depuis vingt ans tu marches dans ma voie, Et je ne saurais t'appeler. Qui donc es-tu, si c'est Dieu qui t'envoie ? Tu me souris sans partager ma joie, Tu me plains sans me consoler !
Ce soir encor je t'ai vu m'apparaître. C'était par une triste nuit. L'aile des vents battait à ma fenêtre ; J'étais seul, courbé sur mon lit. J'y regardais une place chérie, Tiède encor d'un baiser brûlant ; Et je songeais comme la femme oublie, Et je sentais un lambeau de ma vie Qui se déchirait lentement.
Je rassemblais des lettres de la veille, Des cheveux, des débris d'amour. Tout ce passé me criait à l'oreille Ses éternels serments d'un jour. Je contemplais ces reliques sacrées, Qui me faisaient trembler la main : Larmes du coeur par le coeur dévorées, Et que les yeux qui les avaient pleurées Ne reconnaîtront plus demain !
J'enveloppais dans un morceau de bure Ces ruines des jours heureux. Je me disais qu'ici-bas ce qui dure, C'est une mèche de cheveux. Comme un plongeur dans une mer profonde, Je me perdais dans tant d'oubli. De tous côtés j'y retournais la sonde, Et je pleurais, seul, loin des yeux du monde, Mon pauvre amour enseveli.
J'allais poser le sceau de cire noire Sur ce fragile et cher trésor. J'allais le rendre, et, n'y pouvant pas croire, En pleurant j'en doutais encor. Ah ! faible femme, orgueilleuse insensée, Malgré toi, tu t'en souviendras ! Pourquoi, grand Dieu ! mentir à sa pensée ? Pourquoi ces pleurs, cette gorge oppressée, Ces sanglots, si tu n'aimais pas ?
Oui, tu languis, tu souffres, et tu pleures ; Mais ta chimère est entre nous. Eh bien ! adieu ! Vous compterez les heures Qui me sépareront de vous. Partez, partez, et dans ce coeur de glace Emportez l'orgueil satisfait. Je sens encor le mien jeune et vivace, Et bien des maux pourront y trouver place Sur le mal que vous m'avez fait.
Partez, partez ! la Nature immortelle N'a pas tout voulu vous donner. Ah ! pauvre enfant, qui voulez être belle, Et ne savez pas pardonner ! Allez, allez, suivez la destinée ; Qui vous perd n'a pas tout perdu. Jetez au vent notre amour consumée ; - Eternel Dieu ! toi que j'ai tant aimée, Si tu pars, pourquoi m'aimes-tu ?
Mais tout à coup j'ai vu dans la nuit sombre Une forme glisser sans bruit. Sur mon rideau j'ai vu passer une ombre ; Elle vient s'asseoir sur mon lit. Qui donc es-tu, morne et pâle visage, Sombre portrait vêtu de noir ? Que me veux-tu, triste oiseau de passage ? Est-ce un vain rêve ? est-ce ma propre image Que j'aperçois dans ce miroir ?
Qui donc es-tu, spectre de ma jeunesse, Pèlerin que rien n'a lassé ? Dis-moi pourquoi je te trouve sans cesse Assis dans l'ombre où j'ai passé. Qui donc es-tu, visiteur solitaire, Hôte assidu de mes douleurs ? Qu'as-tu donc fait pour me suivre sur terre ? Qui donc es-tu, qui donc es-tu, mon frère, Qui n'apparais qu'au jour des pleurs ?
LA VISION
- Ami, notre père est le tien. Je ne suis ni l'ange gardien, Ni le mauvais destin des hommes. Ceux que j'aime, je ne sais pas De quel côté s'en vont leurs pas Sur ce peu de fange où nous sommes.
Je ne suis ni dieu ni démon, Et tu m'as nommé par mon nom Quand tu m'as appelé ton frère ; Où tu vas, j'y serai toujours, Jusques au dernier de tes jours, Où j'irai m'asseoir sur ta pierre.
Le ciel m'a confié ton coeur. Quand tu seras dans la douleur, Viens à moi sans inquiétude. Je te suivrai sur le chemin ; Mais je ne puis toucher ta main, Ami, je suis la Solitude.
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[Illustration dessinée par le peintre Eugène Lami au XIXème siècle.]
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amateurbourguignon · 9 months
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Le Lion de Venise et cet ocre rosé des palais vénitiens ...
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whencyclopedfr · 9 months
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Palais des Doges
Le palais des Doges, ou palais Ducal (Palazzo Ducale), à Venise, en Italie, était le siège du pouvoir de l'une des cités-États les plus puissantes du monde, la République vénitienne qui domina la Méditerranée pendant des siècles. La façade lumineuse du palais marque le cœur même de Venise, sur la rive de la lagune vénitienne.
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toosvanholstein · 8 months
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Geen ReisKunst-verhaal maar een verhaal over Kunst-op-Reis met nr.18 van KvhJ24
Dubbel-expositie, dubbel-interview, dubbel-advertentie. En dat allemaal aan de Côte d'Azur, in Nice, vanwege twee exposities van Toos van Holstein daar. Lees en zie 't allemaal in TOOS&ART van deze week. #art #kunst #expositie #tentoonstelling
Beetje raar, die titel? Ongetwijfeld. Maar toch goed uit te leggen. Want vorige week donderdag verscheen hier nog een ReisKunst-verhaal over De Leergierige Chinese bij de Gaslamp. Maar op die donderdag was ik ook zelf op reis. Op weg naar de Côte d’Azur, naar Nice. In m’n Citroën Berlingo busje vol met kunst. Bedoeld voor twee verschillende maar wel aan elkaar gekoppelde exposities. Een…
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georges-dufrenoy · 1 year
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Georges Dufrenoy (1870 - 1943)
"Venise, Palais Barbaro sur le Grand Canal"
76,5 x 72,5 cm - Huile sur Toile
Collection privée
Exposé Galerie Druet
#Georgesdufrenoy #dufrenoy #modernart #postimpressionist #peinturealhuile #oilpainting #venise #venezia #venice #italie #italia #italy #grandcanal #palais #palazzobarbaro #paysage #paysageurbain #landscape #urbanpainting #facade #architecture #masterpiece #artist #artlife #artdaily #beautiful #arthistory #beauty #artaddict #fineart
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Exposition "Venise Révélée" au Grand Palais Immersif dans les locaux de l'Opéra Bastille, décembre 2022.
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ochoislas · 1 year
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VENECIA
En la roja Venecia, no hay proa que se meza, ni al largo un pescador, con su farol.
Sólo guarda la playa el gran león que rampa sobre el confín sereno su pie cobreño.
Y en redor suyo bandas de navíos y lanchas, a las garzas parejos, posan en cercos
durmiendo sobre el agua, y cruzan la vaharada con leves revoleras de sus banderas.
La luna que se emboza la frente sigilosa con celaje estrellado, hurta su paso.
De suerte la abadesa de su cogulla espesa se cala los ribetes sobre el roquete.
Y los viejos palacios, y los adustos atrios, y blancos graderíos de los patricios,
y los puentes, las rúas, las estatuas ceñudas, y el ondulante golfo que mueve el ostro,
callan, no así los guardas de pinas alabardas, velando el matacán del arsenal.
[...]
*
VENISE
Dans Venise la rouge, Pas un bateau qui bouge, Pas un pêcheur dans l’eau, Pas un falot.
Seul, assis à la grève, Le grand lion soulève, Sur l’horizon serein, Son pied d’airain.
Autour de lui, par groupes, Navires et chaloupes, Pareils à des hérons Couchés en ronds,
Dorment sur l’eau qui fume, Et croisent dans la brume, En légers tourbillons, Leurs pavillons.
La lune qui s’efface Couvre son front, qui passe D’un nuage étoilé Demi-voilé.
Ainsi la dame abbesse De Sainte-Croix rabaisse Sa cape aux larges plis Sur son surplis.
Et les palais antiques, Et les graves portiques, Et les blancs escaliers Des chevaliers,
Et les ponts, et les rues, Et les mornes statues, Et le golfe mouvant Qui tremble au vent,
Tout se tait, fors les gardes Aux longues hallebardes, Qui veillent aux créneaux Des arsenaux.
[...]
Alfred de Musset
di-versión©ochoislas
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dalbera · 1 year
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"Les coulisses du côté cour dans le miroir côté jardin" de Walter Sickert (Petit Palais, Paris) par Jean-Pierre Dalbéra Via Flickr : Sickert représente des spectateurs au premier plan qui assistent au récital d'une chanteuse en robe rouge mais curieusement il montre celle-ci dans un miroir, ce qui trouble la perception car la chanteuse n'est pas dans l'axe du regard des spectateurs. 
Oeuvre de Walter Richard Sickert (1860-1942) / vers 1888-1889 / Huile sur toile / Rouen, musée des Beaux-Arts.
Oeuvre présentée dans l'exposition "Walter Sickert. Peindre et transgresser", Petit Palais, musée des beaux-arts de la ville de Paris. L’exposition est organisée par la Tate Britain et le Petit Palais, Paris Musées.
L’exposition Walter Sickert est un hommage à Delphine Levy, (1989-2020), historienne de l'art spécialiste de Sickert et directrice de "Paris Musées" au moment de son décès prématuré. 
Très bien documentée, l'exposition révèle un artiste anglais peu connu en France, dont l'oeuvre est déroutante et qualifiée de transgressive. Une scénographie peu attractive, qui plonge les spectateurs dans la pénombre, ne facilite pourtant pas cette découverte. 
Élève du peintre Whistler, il adopte au début de sa carrière des couleurs aux tonalités ternes et "sales" à l'image du climat londonien de l'époque. Influencé par son ami Degas et par les artistes impressionnistes français, il peint d'abord de nombreuses salles de music-hall mais s'intéresse davantage au public populaire de ces lieux qu'aux artistes sur scène. Ces sujets ne lui apportent pas le succès dans une Angleterre victorienne puritaine pour laquelle les music-halls sont des lieux de débauche. Il s'essaye ensuite à l'art du portrait (certains exemples de portraits exposés peinent à séduire) puis à celui du paysage, en particulier à Venise et à Dieppe mais sa renommée s'établit avec ses peintures intimistes (le tableau L'Ennui est le plus connu) et de nus féminins, souvent des prostituées, vivant dans des quartiers déshérités. Il fait ce choix du réalisme en opposition à la peinture académique de l'époque, une attitude constante qui est au coeur de sa volonté de transgression. En ce sens, il sera un modèle pour la jeune génération des artistes anglais d'après guerre.
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beatricecenci · 11 months
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Claude Monet (French, 1840-1926)
Palais Dario, Venise
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