Tumgik
#dans ma tête y'a tout qui tourne
mllenugget · 18 days
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Iconic.
(English translation in alt)
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homomenhommes · 1 month
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 156
Dimanche soir Voeux chez Emma
Je prend ma Mercédès et file chez Emma. Il est 18h30 quand j'entre la voiture au garage.
Je sais que son chauffeur et sa cuisinière sont absent, j'entre dans la maison et je la trouve au salon, endormie sur un canapé, nue dans un grand peignoir de soie ouvert. Sur la table basse une bouteille de champagne dans son seau plein de glace.
Je fais très attention de déboucher la bouteille sans faire sauter le bouchon, verse une coupe et m'approchant d'Emma verse doucement le champagne sur ses seins. Elle se réveille quand mes lèvres entrent en contact avec sa peau. Je lèche, aspire le vin renversé. Elle attrape ma tête et la tire vers la sienne. Mes yeux dans les siens, je lui souhaite une bonne année. Elle me cloue le bec en écrasant ses lèvres sur les miennes.
Nous nous embrassons un long moment, suffisamment pour que je me mette à bander ! Je me déshabilles puis m'allonge sur elle. Le canapé est trop étroit et nous ne pouvons exprimer nos envies. Je la prends dans mes bras et la porte jusqu'à sa/notre chambre et sur le lit. Elle commence une phrase mais je lui fait " chut " et entreprend de lui faire l'amour. A 4 pattes au dessus de son corps, ma bouche reprend possession de la sienne. Baisser langoureux puis violent, nos langues se battent. Mes mains bloquent ses poignets au dessus de sa tête, je descends vers son sexe. Je m'attarde sur ses seins et leurs tétons hypersensibles, les faisant se dresser tout gonflés de désire. Je recule jusqu'à être ente ses jambes. Je lâche ses poignets pour les lui écarter et dévoiler ainsi son sexe parfaitement épilé nonobstant le petit triangle de poils taillés qui couronne son mont vénus. Je me penche et passe ma langue sur sa fente. Je recommence jusqu'à ce qu'elle soit folle et m'écrase la tête dessus. Je passe alors ma langue entre les grandes lèvres et cherche son clitoris. Trouvé, je m'amuse avec lui jusqu'à ce que ses cuisses écrasent mes oreilles sous l'effet de son premier orgasme. J'insiste dessus pour prolonger l'effet. Comme je ne veux pas qu'elle se " refroidisse ", je me redresse et m'enfonce en elle. Elle est brulante, mouillée, j'entre mes 20cm sans rencontrer de difficultés. Son vagin épouse parfaitement les contours de ma bite et sans être aussi serré que dans son cul, cela reste correct (en tout cas bien mieux que dans la chatte de la mère de Jean, chez elle les doubles pénétrations à répétition ont eu des effets indésirables !). Je m'applique à bien bouger dedans, finissant mes pénétrations par un bon écrasement de son clito contre mon pubis. Comme elle est encore très souple, je peux mettre ses jambes sur mes épaules et en les écrasant venir l'embrasser quand même. Ainsi collés, je la sens une nouvelle fois secouée par la jouissance. Mon poids l'empêche de me rejeter lors de ses contractions. Je sens ma bite compressée spasmodiquement par ses muscles vaginaux et je me retiens. Ma queue, bien lubrifiée de ses secrétions vaginales, trouve l'accès au trou que je préfère entre tous, son anus. Je profite de sa légère déconnexion avec la réalité pour investir son cul. On a beau dire, y'a rien de meilleur que la sodomie. Sphincter nerveux, résistance à la pénétration autrement plus intéressante que la mollesse d'une chatte, tout me fait préférer l'enculage. L'ayant prise un peu plus rudement que je ne l'avais pensé, elle reprend pied plus vite avec la réalité. D'elle même elle se tourne pour adopter la position de la levrette. Mes mains sur ses hanches, mes genoux écartant les siens, je la possède entièrement. Je la vois passer ses mains sous les polochons et en ressortir avec deux godes. Elle s'en met un d'office dans sa chatte et je ressent bien la progression du gland en plastique contre la queue. Ça me resserre encore plus dans son intérieur, trop bon ! Elle ne se lime pas la chatte avec, c'est juste pour se sentir bien remplie. Elle passe le second (et pas le plus petit !) entre ses cuisses et vient me titiller l'anus avec. Je ne suis pas préparé, le gland est sec, ça ne le fait pas. Comme par magie elle sort un tube de gel d'on ne sait où et après en avoir tartiné le gode, repart à l'assaut. Je ralentis mes mouvements pour lui laisser le loisir de m'enculer avec le second gode. Je me détends et m'arrête de lui limer le cul pour la laisser me pénétrer.
Trop bon, comme toujours, il n'y a rien de meilleur que de se faire un cul tout en ayant le sien occupé aussi. Je recule pour venir à m'asseoir sur mes chevilles, posant l'extrémité du gode sur le lit. Dans le mouvement Emma s'est redressée et toujours planté sur ma bite vient s'asseoir sur mes cuisses. Ses mains retiennent en elle le gode qui lui encombre le vagin. Mes mains sur ses hanches je donne la cadence du va et vient de ma queue en elle comme du gode en moi. C'est tellement bon que je ne tarde pas à lui juter dedans (les analyses sont faites et bonnes pour nous deux !). Je n'en fini pas de me vider (et pourtant c'est pas la première fois de la journée !). mes doigts trouvent son clito et quelques caresses plus tard c'est à son tour de jouir. Ça la couche sur le lit et ses contractions anales tirent la dernière goutte de sperme de mes couilles. Je me couche sur elle et nous sombrons quelques instants dans une non réalité post coïtale. Je me " réveille " à temps pour expulser le gode de mon cul avant qu'il ne soit trop sec et je retire celui du vagin d'Emma dans le même état.
Là, nous nous endormons réellement deux bonnes heures. J'émerge le premier, il est 21h 30, je file sous la douche, la sueur séchée j'aime pas trop. Je suis rejoint par Emma que le bruit de l'eau a réveillé. Nous nous lavons mutuellement étalant le savon par frottement de nos corps l'un contre l'autre. Je suis trop fatigué pour bander.
En peignoirs nous pillons le frigo du diner froid préparé par sa cuisinière.
Alors qu'elle me demande quand je repasse la voir, je lui dis que je reste coucher cette nuit. Elle est contente pensant que j'allais retourner chez Marc direct. Couchés, avant de nous endormir, Emma me fait part de la demande de son ami (celui de Kev) de me voir rapidement en ce début d'année. Quand je lui en demande la raison, elle ne peut me le dire ne la connaissant pas.
Je m'endors sur cette interrogation.
Je ne la quitte que le lendemain matin après un réveil très sexuel et les voeux affectueux de son personnel.
Dès l'arrivée à la maison, je téléphone à Kev pour savoir ce que me veut son patron. Il me dit qu'il n'en sait rien et me dit de l'appeler directement.
Je prend quelques minutes puis l ;"appelle finalement. Je demande si je ne le dérange pas (j'appelle sur son portable). Réponse négative. Je lui dis qu'Emma m'avait prévenu que je devais l'appeler. Il me remercie d'avoir fait aussi vite et me dit que c'est juste qu'il aimerait me voir rapidement. Deux secondes de réflexion pour me remémorer mon planning des jours à venir et décide de le bouleverser pour pouvoir le voir rapidement. Nous nous fixons un déjeuner ensemble le lendemain. Quand je raccroche, je ne sais toujours pas ce qu'il veut.
Je profite de l'après midi pour voir André (mon banquier et père de Ric). Echange de voeux, point sur ma situation financière puis remise à jour de mes connaissances du monde des affaires. Je m'aperçois alors que je n'ai pas trop de retard, il faut avouer que la télé est maintenant plus souvent sur les chaines d'infos en continu et d'analyses économiques que sur celles qui diffusent les mangas !
Mardi 11h. J'arrive en voiture, costard cravate à mon rendez vous. Kev me fait entrer dans le grand bureau officiel de son boss et reste avec nous.
Voeux de vive voix, puis très sérieusement, il me propose de faire partie du conseil d'administration de sa boite en remerciement pour ce que je lui/leur ai apporté. Avant que j'ai pu réagir, il me dit qu'il s'est renseigné auprès d'Emma qui lui a confié que je ne lui fais pas honte dans son propre conseil d'administration. J'allais ouvrir ma bouche qu'il a continué pour me dire que de toute les façons sa décision était prise. Je le remercie. Il se lève de son fauteuil, contourne son bureau et vient me serrer dans ses bras. Je suis limite gêné. Quand il se décolle, c'est pour me dire que ma nouvelle position s'accompagne d'une distribution d'actions à hauteur de 1% du capital. Nouveaux remerciements. Mais ce n'est pas fini ! Kev me tend un petit paquet carré et me dit, " ça c'est de ma part ". J'ouvre et trouve un jonc en or blanc à mettre au poignet. Je le prend dans mes bras et le serre contre moi. Il me glisse à l'oreille qu'il n'avait pas encore les moyen de participer à ma collection de pierre d'oreille, mais qu'il tenait absolument à me remercier pour sa nouvelle situation. Je le mets aussitôt à mon poignet droit. Il passe difficilement ma main. Comme cela je ne risque pas de le perdre.
Son Boss qui en avait fini avec nous, nous chasse de son bureau et donnant d'un ton bourru à Kev son après midi. Comme il est midi, Kev m'emmène dans un de ses restaurants favoris. On nous accueille comme de la famille, c'est agréable. Le patron vient nous voir et nous fait ses propositions. Nous suivons ses avis et déjeunons léger (demande de Kev) et très bon.
Nous profitons du repas pour échanger les nouvelles. Le nouvel an, qu'eux ont passé à l'ile Maurice, nos tafs, puis les plans sexe.
Il m'entraine à son appart où, à peine la porte fermée, il se jette sur moi. En moins de 5 minutes nous sommes à poil dans son séjour et train de faire un 69 sur le tapis. Nous l'interrompons assez souvent pour nous rouler des pelles. Ma bouche glisse et dépasse ses couilles pour aller lui préparer l'oignon. Je sais qu'avec son boss cette partie de son anatomie est délaissée. A grands coups de langue et après maintes déposes de salive, son anneau s'attendri et je lui mets un doigt. Gémissement de plaisir de sa part. je continu jusqu'à ce que je le sente me poser une kpote. OK, pas besoin de faire un dessin, il souhaite que je le prenne ! Comme il est au dessus de moi à 4 pattes, je glisse et sans qu'il ne bouge, je me positionne pour l'enculer. Mon gland à peine posé sur sa rondelle il recule pour s'emmancher. Comme je rentre somme toute assez facilement (en tout cas plus que dans mes souvenirs), je lui demande s'il se gode régulièrement ou s'il a trouvé un plan bite. Sous mes coups de rein, il m'avoue de façon hachée qu'il s'est inscrit à un salle de gym qui s'est révélée une mine de mec. Sans problème il trouve maintenant de quoi se faire monter au moins deux fois par semaine. Mais sans encore être tombé sur un calibre à la Eric. Je dis cela mais c'est quand même pas devenu un garage à bites ! Il est encore bien serré et je prend un plaisir fou à le sodomiser. Comme j'aime cela autant que lui, au bout d'un moment, je décule et lui dit que c'est mon tour. Il se kpote et je ferme les yeux. ;Sa bite me ramène aux vacances. Il a un coup de rein particulier et reconnaissable entre tous, je ne saurais die exactement pourquoi mais je ne peux pas me tromper. C'est, je pense, ce qui faisait alors son succès auprès de ses clients (cf. les premières vacances à La Palmyre).
Je savoure. Ses grandes mains sur mes hanches rythme ses pénétrations. Je veux que nous nous voyions jouir, je passe de 4 pattes sur le dos. Mes jambes relevées et bien écartées, je le tire vers moi et je lui roule un patin. Ça été l'étincelle. J'ai juté abondamment entre nos abdos et comme je bloquais sa queue au plus profond de moi, il a explosé dans sa kpote. Sur le dos, cote à cote, nous avons repris nos esprits. Je le remercie pour ce cadeau supplémentaire et lui dit en riant que cela me rassure, j'avais peur qu'en ne baisant que son boss, il ne devienne un mauvais coup ! Il roule sur moi et me boxe les cotes. Je vais pour me dégager, après tout je suis plus musclé que lui, mais me retrouve bloqué par une clé vicieuse. Quand je lui demande d'où il tient cela, il me dit qu'il s'est inscrit à des cours de self défense type armée Israélienne. Paris n'étant pas exempt de risque pour un Pd, il ne tenait pas à se faire défiguré. J'essaye une nouvelle fois de me défaire de lui, mais impossible malgré ma supériorité musculaire. Efficace son truc. Il me dit que je devrais bien faire comme lui. Sans être paranoïaque, avec mon pendant d'oreille et ma tête provocatrice... Comment ça ma tête provocatrice ?? Il me relâche et me confirme que sans que ce soit marqué sur mon front que je suis Pd, entre mon look choisi, les colifichets que j'ai aux poignets, je l'arrête, avant je n'avait que ma montre, oui mais quelle montre, pas une à moins de 10 ;000 € ! et surtout le pendentif à mon oreille, je suis susceptible d'attirer la convoitise de mecs qui ne pourrait voir en moi qu'une proie rêvée. Ça me fait réfléchir. Changement de conversation, il me dit être content d'avoir opté pour l'or blanc, il se souvenait que j'avais fait faire un cockring dans ce même métal et tirant mon bras vers mon sexe, prouva ses dire en collant les deux bijoux l'un contre l'autre.
Je l'ai quitté content de ce qu'il était devenu et avec l'assurance qu'ils (lui et son boss) nous inviteraient (Emma, Marc et moi) à la fête qu'ils comptaient organiser pour son adoption.
Retour à la maison. Le soir je racontais tout à Marc. Il était tout content de ce qui arrivait à Kev et a admiré son choix de cadeau. Il m'a fait l'amour et là, je me suis dit que lui aussi je ne pouvais le confondre avec aucun autre. Avec lui c'est sexe + amour, le meilleur cocktail possible d'après moi.
JARDINIER
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protagonistes
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au tapin
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pupurpupull · 6 months
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Texte écrit en début d’année pour une revue qui semble en pause/abandon
Il y'a des redondances (résonances ça fait plus classe) avec le petit chapitre “Gâteau de pute” du livre l'etoile de mer car écrit au même moment sur les base des même notes
Voilou
***
Celle qui sort.
La nuit a été ma première et ma seule vocation, le lieu et le foyer de toutes mes rêveries enfantines. Dans la cour de récré se distribuent les rôles du papa, de la maman et j'annonce aux camarades que moi je ne veux être ni le père ni la mère : je suis la jeune adulte, celle qui sort la nuit. On m'assigne le rôle du bébé.
Durant de longues heures passées dans les salles de concert et les trajets nocturnes, ma peau subit les résilles des collants, le vent, la pluie, les tabourets. Le bitume et le béton martèlent la chair de mes pieds. Les salles de concert sont pleines de filles tristes au corps fatigué.
Je flâne entre les toilettes et le bar, je cherche des pièces de monnaie, je vis ma timidité le plus pleinement qu’il est possible de le faire, je trouve une ombre dans laquelle m’asseoir. J’attends que quelque chose se passe et vienne me modifier. Quand je bois suffisamment, j'accepte des mains dans mon slip et des ébats grotesques dans les buissons. La nuit brutalise mon corps et mes organes, elle m’ennuie, me désespère, elle me remplit de rien. Il n’y a rien de plus vide et plus bête que mes nuits. Cela tombe bien : j'aime le vide et j’aime la bêtise. La nuit est mon âme sœur.
Voilà quelques semaines que je me promène avec ce qui ressemble à un petit ami. C’est si rare que je renifle la moindre tendresse. Mon museau sombre dans des coudes, de la nuque, de l’oreille et des mailles de tshirt sans que jamais l’odeur de la mort ne vienne à poindre. Un tel réconfort n'est pourtant jamais gratuit.
Je dis “mon mec” dans les conversations et personne ne réagit. C’est donc que je suis normale ! et donc il est normal pour les gens de me voir faire des choses normales. Personne ne semble avoir compris de quelles horreurs est fait l’amour.
En classe de cinquième j’ai constaté que mes seins tombaient déjà, l'idée d’être aux yeux des garçons un thon intouchable s’est installée dans chaque cellule de ma peau. Les séries TV et les romans ont continué de faire naître divers songes de romances. Je les ai cultivés comme les bactéries secrètes d'un laboratoire hermétique.
Je dis “mon mec” dans les conversations et j’ai le sentiment de répudier mon monde. Le monde des cageots et leurs élevages de moisissures.
Il est 4h30 et mon mec me demande pourquoi on ne rentre pas, qu’est-ce que je trouve ici d'intéressant ? Nous sommes fatigués, je ne sais pas quoi lui répondre.
一 Je suis désolée, je ne veux pas rentrer. Je préfère rester c’est toujours ça qu’ils n'auront pas !
一 Qui ça “ils” ? Moi je vais rentrer toi tu restes ?
Je lui demande de m’attendre et rassemble lentement mes affaires.
Dans le tramway, Un mec met un coup de sac à dos sur ma tête, et mon voisin me défend :
一 Eh ! Oh !
一 Oh la la désolé
一 T'as mis un p'tit coup là ! mais allez c'est pas grave !
Les deux parlent très peu le français. Ils se sourient. Le voisin sort de son sac une barquette cellophanée de poulet Le Gaulois. Il murmure quelque chose qui semble le rendre heureux.
Je prends la main de mon mec avec l’impression de contaminer le monde.
Il me semble que si je rentre (chez moi, dans mon foyer, dans mon lit, dans les bras de mon petit ami) mes progénitures clandestines s’éteindront. J’aimerais que le chauffeur de tramway m’emmène au dépôt et me recouvre d’une vieille couverture sale. Tant que je reste dehors…
Je tourne la clé dans la serrure de mon studio et la nuit se dissout dans une orgie de produit à lentilles et de dentifrice. Sous la couette, mon mec se colle à mon corps que je fige ; il touche une peau que je crispe. «Tu es ma paresseuse préférée». Je simule les modulations de l’endormissement. J'entends l’emballage d’une capote se déchirer et son sexe comprimé de latex se faufile dans l’obscurité menaçante des draps. Je marmonne : «Tu vois, tu as fini par rentrer.»
Ce n’est pas grave, rien n’est grave. Tout est normal et je suis normale. La prochaine nuit me repêchera. Toujours ça qu’ils n'auront pas.
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kalincka · 7 months
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Hey! Récemment, j'ai encore re-re-re-...lu la fic "Péter un câble" et je voulais juste dire à quel point je l'adore. L'histoire est si bien construite - la suite des scènes est tellement bien ficelée et y'a un parfait équilibre entre les parties dialogues et descriptions. L'humour marche extrêmement bien et y'a plein de scènes que je peux imaginer si clairement que j'oublie qu'elles ne sont pas présentes dans la série (ça donne envie de les dessiner fr fr). Je pourrais choisir n'importe quel passage et ce serait mon préféré, mais quand même j'aimerais souligner tout le premier chapitre parce que y'a vraiment tout: l'ambiance domestique au début, les plaisanteries, l'humour langagier que j'aime tant ( — Mon module de parole me permet de dire que je t’emmerde, justement./C’étaient ces douces paroles qui berçaient Raph,[...]) puis le chaos général, tout en restant so in character (et le point de vue de Raph fonctionne si bien!!), c'est vraiment LE chapitre idéal pour commencer une histoire. Bref, je l'aime beaucoup et merci de l'avoir écrite <3
Hey !!! Merci infiniment à toi d'avoir pris la peine de me retrouver pour venir me dire tout ça, c'est l'un des commentaires les plus touchants que j'ai pu recevoir sur Péter un câble. C'est rigolo que tu choisisses de te focaliser sur le premier chapitre, c'est généralement celui dont on me parle le moins et je suis vraiment très heureuse de voir qu'il a rempli sa fonction cherchant à « happer » le lectorat pour la suite !
Si jamais il te venait l'envie de faire un fanart (!!!) je te supplie de me @ dessus, j'en serais absolument honorée 🤲 (je tiens à dire que ton dessin de Henry dans l'uniforme des Missionnaires tourne au moins une fois par semaine en boucle dans ma tête, je : L'ADORE)
Encore merci pour ce message, merci de donner l'occasion à cette fic de (re)vivre plusieurs fois par ta (re)lecture, merci de partager ton retour, merci d'avoir embelli ma journée avec ❤️
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thebusytypewriter · 10 months
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Getaway (From This) Island - Chapter 8: Dans Ma Tête Y'a Tout Qui Tourne
After the first trial, Rosalind struggles coming to terms with Nagito's actions.
*waves the link around* Komaeda in the old building for you :D
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marie-bradshaw · 14 days
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So what?
Ce soir, je suis sortie de ma zone de confort.
Tellement loin que je ne la voyais plus que de loin.
Vraiment loin.
Un horizon flou qui s'éloignait à mesure que je faisais un pas en avant vers l'inconnu.
Vers lui.
Rencontré il y'a tout juste 24h, tout s'est passé si vite que j'ai à peine eu le temps d'enregistrer l'information.
Une minute il était là en face de moi à parler de tout et de rien, l'autre je m'abandonnais complètement dans ses bras.
A "s'imprégner" comme il s'est plu à me le dire.
Une bien belle expression que je fais mienne à présent.
Une journée entière passée ensemble, à rire, à se découvrir, m'ont fait me dire: "et pourquoi pas?".
Sauf que voilà, comme dans chacune de mes dernières histoires avec des hommes plus âgés que moi, tout tourne encore beaucoup autour de l'ex-femme/compagne, de leurs espoirs brisés de constater qu'ils s'étaient malheureusement trompés.
Que non, ce n'était pas la femme de leur vie.
Ils sont tous tombés de haut.
Et ils en souffrent tous encore.
Je ne peux pas leur jeter la pierre.
Qu'aurais-je fait à leur place?
Je ne sais pas.
Ma situation à moi est toute autre.
Mes ex ne collaient soit pas au timing soit tous ont commencé par se présenter en princes charmants, droits et bienveillants, pour finir par se transformer en monstres possessifs dont l'ultime but était de me couper les ailes, de m'enfermer dans leur prison dorée et de ne plus jamais me laisser à la vue de tous de peur de me perdre.
Le genre qu'on ne regrette pas.
Le genre qui nous apprend à se déconstruire pour mieux se reconstruire, et surtout à aimer la solitude.
Alors toute à l'heure, quand Flo, mon meilleur ami, m'appelle et que je lui dis que cet homme là vient de me demander de venir à son anniversaire après si peu de temps passé ensemble, entourés de l'ex amour de sa vie à qui il a tout donné de sa personne, de leur enfant, et de ses amis.
J'ai le coeur en sursis.
"Il est... il est ... je ne peux pas te le décrire. Il est différent.
J'ai l'impression de tout redécouvrir avec lui, je ne peux rien anticiper, je ne sais plus où je campe ni comment je m'appelle - mais quand il me serre contre lui je me sens bien. Apaisée. " lui dis-je
"Alors ne fais pas la sauvage. Donnes-lui une chance" me dit-il avant d'ajouter:
"Ou je t'inscris à Mariés au Premier Regard !" en riant
Je me moque mais je l'écoute.
Parce que lui il sait.
Lui il a vu, lui il m'a vue changé et évolué.
"Tu sais - je me pose la question par moments de pourquoi telle ou telle fille est célibataire, malgré tout ce qu'elle a à offrir- et puis je pense à toi.
A la personne incroyable que tu es, à ta situation, et je sais pourquoi toi tu l'es.
Parce que les autres ne savent pas. Ils ne font que deviner les marques sur ton corps, sur ton âme, ils ne pourront jamais imaginer que tu es revenue de l'enfer pour être là aujourd'hui.
Ils veulent tous ce qu'ils pensent savoir de toi.
Ton look, ton côté piquant, ta douceur, ta culture.
Ils chassent une image et toi tu les as laissés faire. "
Ses mots me touchent en plein coeur.
Alors je décide de prendre un risque, en sachant pertinemment que la situation va être horriblement malaisante pour moi, qui ne suis rien, qui n'ai aucune légitimité ou place dans sa vie au moment présent.
Que sur des "peut-être", et des "pourquoi pas", la femme pour qui il a fait tout ce que j'aurais rêvé qu'on fasse pour moi, va décider d'un hochement de tête de si je suis assez bien pour lui et pour leur enfant.
Je ne souhaite à personne de ressentir ce que j'ai pu ressentir ce soir.
Etre mis à nu, sur la sellette, des chaînes aux pieds et la promesse d'un saut dans le vide incisif à 2 mètres.
Dieu soit loué, un ami que je devais rejoindre plus tard m'a accompagnée et j'ai pu dérivé l'attention sur lui pour reprendre mon souffle.
Là en haut, j'avais l'air sûre de moi, mais sous la table mes genoux tremblotaient.
J'étais entrain de me jeter à l'eau pour quelqu'un que j'apprenais tout juste à connaître suffisamment pour le laisser passer la barrière de sécurité en acier trempé que je me suis forgée au fil des années.
"T'as vu qu'il l'a laissée seule là, livrée à elle-même quand même" ricanait doucement l'ex amour de sa vie d'un regard en coin en pleine messe basse à sa meilleure amie avec qui j'avais eu bien du mal à nouer quelque contact que ce soit.
L'étrange sensation d'être un naufragé au bord d'une île blindée.
"Pourquoi tu t'infliges ça?" me murmurait une voix à l'intérieur de ma tête.
Mon ami, Geoffrey, m'écrivit à ce moment-là pour savoir si je voulais rester ou honorer notre réservation au restaurant.
Je regardais rapidement mon inconnu, en quête d'un signe, d'une attention, d'un geste, qui m'aurait montré l'importance ou tout au moins la reconnaissance de ce saut dans le vide que j'avais fait pour lui et cette idée que tout pouvait arriver.
Obnubilé par sa playlist, aveugle à mon regard qui cherchait désespérément le sien, de cette bouée que je semblais lui lancer, je fis un signe de tête négatif à mon ami qui comprit aussitôt et nous sortit de là aussi sec.
Si je devais résumer cet essai, je dirais que si j'avais été amenée à jouer sur le terrain en joueur remplaçant à 5 minutes de la fin avec un score de 5-1 parce que le joueur clef s'était blessé - largué là pour combler un vide, assurer la relève - le feeling aurait été sensiblement similaire.
Et le truc c'est que - chacun a ses expériences et son passé, il en est maître si il le souhaite - mais je ne souhaite quant à moi être le remplaçant du jeu de personne.
Moi je veux être le personnage principal de l'histoire d'un homme si extraordinaire que je lui ferai suffisamment confiance pour lui confier le plus important, mon coeur dans sa globalité.
Plus calme que moi mais tout aussi puissant.
Il aimera chaque maladresse, chaque bleu, chaque bourde, et plus que tout, il saura voir en moi ce que je ne montre pas toujours.
Le sacrifice, la grandeur, la bonté, la vulnérabilité.
Au fond je me fous de savoir à quoi il ressemblera.
Tant qu'il me regarde comme un trésor à protéger absolument.
Comme son roc, son far dans la nuit, son abri en pleine tempête.
Celui qui saura voir, et comprendre, que derrière chaque acte de bravoure, d'indépendance, de force, se cache une sensibilité dont il faut prendre soin sans chercher à en prendre possession.
Celui qui pourra me dire en me regardant dans les yeux, qu'il n'aurait jamais rêvé de me rencontrer.
Qu'avec moi tout est naturel et évident, et que ma complexité fait partie de ma beauté.
Celui qui saura deviner mes peurs, et, sans avoir à prononcer un seul mot, d'un simple regard, d'un simple geste, me transmettre qu'il croit en moi, que je ne suis plus seule, que je peux compter sur lui.
Qu'il me connaît.
Que c'est du vrai moi qu'il est tombé fou amoureux et pas d'une image lissée.
Instinctif.
Moi je rêve de cet homme qui pourra dire à nos petits enfants dans 30 ans qu'il remercie le ciel tous les jours de m'avoir mise sur sa route.
Est-ce que je fabule ou cela se peut-il encore?
Tout semble tellement incertain, le chemin interminable.
Hier soir je priais, seule dans ma chambre, un chapelet serré fermement entre mes deux mains pointées vers les cieux.
En silence.
"Merci seigneur.
Merci de ne m'avoir jamais abandonnée.
Quand tout était noir,
Quand je n'étais plus qu'une pauvre chose recroquevillée en sang dans un abysse sidéral, seule au monde - de m'avoir tendue la main - donné la force de me relever - fait ressentir que je ne serai jamais vraiment livrée à moi-même si je regardais dans ta direction "
Les larmes ruisselaient sur mes joues, dans une course effrénée.
Religieusement.
De prendre le temps de remercier la force qui m'avait fait me tenir debout quand j'avais le sentiment d'avoir les jambes brisées.
Sans rien demander.
Faire preuve d'humilité et de piété à l'heure où l'on prie pour tout et n'importe quoi.
Emplie de cette gratitude de seuls ceux qui auraient dû mourir et sont toujours présents connaissent.
De cette autre chance.
Je ne crois pas en la Bible, je ne crois pas qu'une religion soit meilleure qu'une autre, je crois qu'on se parle au fond tous de la même chose d'un point de vue différent et que les guerres menées au nom de Dieu ne sont que des conquêtes de territoires à peine voilées.
Je n'ai jamais eu peur de la mort d'ailleurs, bizarrement.
Toute jeune déjà, je me disais que de donner sa vie pour sauver celle de quelqu'un serait la plus belle manière de mourir.
Faire ce don si précieux.
A ce moment-là il faut bien dire aussi que je ne me rendais pas compte de ce que la mienne valait vraiment.
Tous les soirs je me perchais sur le rebord de la fenêtre de ma chambre, ou carrément sur le toit, et je regardais le ciel songeuse à ce qui m'avait amenée ici.
Au but de mon existence.
A la raison qui faisait que ma mère me méprisait et mon père m'ignorait carrément.
Les livres, la poésie, cette fantaisie, me permettaient de m'échapper le temps qu'il fallait pour me sentir de nouveau valeureuse.
"Et si en fait j'étais comme tous ces super-héros qui démarrent mal pour finir par être extraordinaires? Quel peut être mon super pouvoir à moi ?"
Assise là, en pleine réflexion, ne trouvant pas par quoi que je pouvais me distinguer des autres - j'en arrivais toujours à la même conclusion:
" Chaque vie compte. chaque vie est précieuse.
Et si je ne suis ni plus belle ni plus intelligente ou talentueuse qu'une autre, je peux toutefois faire don de la mienne pour sauver celle d'un autre"
Cela me réconfortait quelque part.
Aujourd'hui je sais que nous avons tous en nous le potentiel d'un super-héros.
Et qu'il ne tient qu'à nous de l'être plus.
J'ai choisi un chemin difficile quand rien ne m'y obligeait pour le devenir un peu plus, pour trouver un sens à ma vie, une conviction.
Celle de faire une différence dans celle des autres- aussi minime soit-elle plutôt que de participer à une excroissance de profit d'une énième entreprise.
Je voulais, et je veux toujours, les aider à se sentir en confiance, à l'aise, bien dans leurs baskets et partir conquérir leurs rêves quels qu'ils soient.
Ca- c'est ça mon rêve.
Réussir à en aider le plus possible, construire une entreprise à mission florissante qui fasse du bien à la planète, et partir à l'aventure dès que possible avec le partenaire de ma vie.
Celui avec qui je prendrai plaisir à construire un nid douillet tout en restant jeunes et fous, pleins d'entrain et d'envie de croquer le Monde.
Peut-être que j'en demande trop - peut-être que je rêve éveillée.
Mais sans rêves qui sommes-nous?
Des robots.
De l'IA.
Et moi je dis que l'humain peut encore faire de belles choses.
M.
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à toi le troll
t'aimes bien c'te position hein ? celle où tu agis en toute apparence d'un rôle de gentil, t'y mets toutes les belles formes : un sourire, de la politesse, des formules qui ne trahissent aucun irrespect… mais tout ceci pour énerver l'autre, pour le pousser à la faute, et lui en face tout en colère, tu jouis de lui voir cet effet premier à la colère, c'est-à-dire la perte des mots, la perte de contrôle émotionnel ! troll vas… à l'oral c'est le genre de truc difficile à parer, je le concède, c'est même pas vraiment considéré comme un crime, au contraire tout le monde rigole bien sauf la petite victime énervée qui peut vite passer pour coupable d'avoir pété un cable et frappé du point sur la table, roh quelle violence voyons c'est pas bien ça vient d'où ce manquement aux bonnes manières, prout ; pis donc c'est un pouvoir qui n'en est pas un, ou plutôt un pouvoir de domination sans réelle réalité d'injustice, au contraire tout va contre la victime qui perd ses moyens… sur internet le troll est vu un peu différemment, mais qmm, c'est drôle quand un moustique vient se cramer sur cette lumière… oui, il faut un minimum d'habileté pour être un bon troll, mais ça peut vite être sale ; t'aimes bien hein, garder ta contenance pendant que tu détruis l'autre et qu'il s'embourbe dans sa perte de contrôle, au final t'as plus grand chose à faire une fois que le déséquilibre est irrattrapable, c'est lui qui se torpille lui-même, t'as juste à kiffer ta supériorité qui se renforce avec le silence que tu lui réserves pour sa dissimulation secrète, ce truc qui fait que ce sera jamais mal ou ta faute que le comportement ainsi échangé soit si destructeur… c'est rigolo hein, de provoquer l'instabilité émotionnelle de celui que t'as envie de tacler ? pis ouais, dans notre système moral, c'est indétectable, t'as mis toutes les formes bienséantes, y'a rien à reprocher parce que ce monde de formes, d'apparences, se rie de l'intentionnalité… bon ok, c'est parfois dur à discerner l'intentionnalité, du coup la facilité c'est de croire que les formes seules comptent… mais comme moi t'es pas dupe : tu sais que quelles que soient les formes, si derrière l'intentionnalité est ironique, sarcastique, cynique ou toute autre forme de prudence sociale, bin c'est que c'est l'inverse de ce qui est extérieur, qu'il faut interpréter ; mais là paradoxe : si toute forme peut être autant claire et explicite, que son contraire, alors c'est que c'est pas la forme qui conditionne le truc, mais bien cette intentionnalité… et comment ça se partage ça ? j'imagine une part à la confiance, la construction progressive d'un contexte d'intercompréhension, la solidité dont les confirmations se cumulent pour faire reluire les bonnes ou mauvaises intentions, l'usage réfléchi de la transparence, de l'authenticité, de l'intégrité, et non l'entretien d'un pédalage de semoule que le second degré rend bien trop potentiel ; oui l'humour peut être bénéfique et salvateur, rédempteur, libérateur, mais pour ça il faut tout un contexte de confiance je crois, et il m'apparait tout-à-fait sale de le jouer pour la moquerie ; le troll est ce type de personne qui joue amèrement la carte de l'ambivalence, tjrs à son avantage il tourne comme une girouette, et je trouve ça d'une bassesse… tu aimes garder le contrôle et faire tomber celui qui est plus faible que toi sur la question émotionnelle ? bon… jusqu'à, ptetr, que tu tombes sur qqun de plus fort que toi sur ce plan… je te souhaite de te relever si ça t'arrive un jour, parce que plus tu montes plus t'as mal quand tu tombes, et ce truc de vouloir avoir raison est le moteur du troll, un point sensible de l'émotion humaine que tu sais très bien faire vriller, en toute méchanceté à moitié inconsciente…
ce texte écrit alors que justement, un troll dans ma tête me fait perdre le contrôle de mes mots…
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jennlamelancholia · 8 months
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L'univers est fascinant.
Il peut être trouvé partout, pour qui veut bien le voir. Mais surtout, il est comme l'amour, le vrai : infini, ou bien peut-être qu'il a une fin, mais personne n'a eu l'occasion d'y arriver. Le véritable amour est infini. Il ne peut pas être éphémère, il est gravé dans nos cœurs, et lorsqu'on le trouve, alors c'est l'univers tout entier qui s'empare de notre âme.
Enfin... C'est ce qu'on m'a toujours répété lorsque j'étais môme.
C'est faux.
Je n'ai jamais trouvé cet univers. Et pourtant, le mien ne semble pas s'arrêter.
L'infinité me fait peur, parce qu'elle ne dit rien : on ne sait jamais quand ça s'arrêtera, si ça s'arrêtera un jour. Et lorsqu'on pense avoir trouvé l'infini, c'est l'éphémère qui prend place.
Pourquoi alors croire en un quelconque univers ?
Je ne crois que ce que je vois. Mais comme la réalité me fait peur, je préfère me réfugier dans les rêves.
Je cherche ces putain de pays, mais y'a rien. Du vide. Il faudrait que je le regarde un peu, peut-être que j'aurai moins le mal du pays d'ailleurs. La vie c'est un pays, un pays en guerre, en guerre des idées, des mélancolies, des pharmacies ambulantes, et puis de l'amour.
Le grand challenge que les faibles redoutent dès qu'ils comprennent que la vie c'est pas très démocratique quand on est pas comme tout le monde. Alors elle nous plaque par terre, la gueule dans la poussière on étouffe, on se prend des briques et on se retrouve en pleine tempête, et les phares, ils fonctionnent plus. Y'a plus personne, plus rien, plus de lumière pour nous guider, plus que des rochers et des déchets pour nous faire tanguer, puis couler. Et si on sait pas nager, alors c'est la fin. La fin de tout.
J'hésite à écrire la suite de mon monologue inutile et dénué de sens. En même temps je parle de la vie, pourquoi mes paroles auraient elles un quelconque sens logique ? Comment former des phrases logiques si on réfléchit ?
Parce que ça doit venir tout seul, sinon c'est malhonnête, ça pue la mauvaise foi. C'est pour ça que j'aime pas trop réfléchir. Les adultes, ils réfléchissent tout le temps. Alors je fais le gamin. Et je tente de réfléchir avec mon coeur plutôt qu'avec ma tête.
Dans un long soupir, mon cœur s'ouvre autant que mon esprit ravagé par mes pensées tordues, que je laisse lentement s'échapper au son de ma voix.
Mon univers se ferme, et ma voix résonne dans la pièce vide d'émotions. Elle s'en remplit lentement, comme des poumons se remplissent d'air, comme mes yeux se remplissent d'eau salée.
Je réfléchis trop. Mon manège tourne encore, toujours plus vite, un peu trop, ça donne mal au crâne et je vois déjà quelques vis se barrer aussi vite que mes moments de joie, alors j'en deviens mélancolique. Ça devrait être mon deuxième prénom ça... Mélancolie... ça fait prénom de fille. Le prénom d'une fille super jolie mais qui se trouve dégueulasse, et surtout super paumée, qui comprend pas ce qui lui arrive, qui n'a même pas envie de comprendre. Elle est juste comme ça, et c'est joyeux et triste en même temps, c'est le genre de fille qui sourit pour un rien et qui pleure pour n'importe quoi, qui se drogue aux médocs et dessine des univers sur un carnet à quatre-vingts-dix centimes, qui danse toute la nuit sur des morceaux de piano en criant le nom de ses amours mortes.
Putain de monde, sans déconner... Quel bordel, il ressemble à mon esprit. Peut-être qu'il tourne à l'envers le monde, ou alors il est plat, ou carré, c'est peut-être pour ça que le vide nous attire tant.
Crédit : Jennlamelancholia
The universe is fascinating.
It can be found everywhere, for anyone who cares to see it. But above all, it is like love, true: infinite, or maybe it has an end, but no one has had the opportunity to get there. True love is infinite. It cannot be ephemeral, it is engraved in our hearts, and when we find it, then the entire universe takes hold of our soul.
Well... That's what people always told me when I was a kid.
It's false.
I never found this universe. And yet mine doesn't seem to stop.
Infinity scares me, because it says nothing: you never know when it will stop, if it will ever stop. And when we think we have found the infinite, it is the ephemeral that takes place.
Why then believe in any universe?
I only believe what I see. But as reality scares me, I prefer to take refuge in dreams.
I'm looking for these fucking countries, but there's nothing. Emptiness. I should watch it a bit, maybe I'll be less homesick. Life is a country, a country at war, at war of ideas, of melancholy, of traveling pharmacies, and then of love.
The great challenge that the weak fear as soon as they understand that life is not very democratic when you are not like everyone else. So she pushes us to the ground, with our faces in the dust we suffocate, we hit bricks and we find ourselves in the middle of a storm, and the headlights don't work anymore. There is no one left, nothing left, no light to guide us, only rocks and rubbish to make us pitch, then sink. And if we can't swim, then it's the end. The end of everything.
I hesitate to write the rest of my useless and meaningless monologue. At the same time I'm talking about life, why would my words have any logical meaning ? How to form logical sentences if you think ?
Because it has to come by itself, otherwise it's dishonest, it reeks of bad faith. That's why I don't like to think too much. Adults think all the time. So I act like a kid. And I try to think with my heart rather than with my head.
In a long sigh, my heart opens as much as my mind ravaged by my twisted thoughts, which I slowly let escape to the sound of my voice.
My world closes, and my voice echoes in the room empty of emotions. It slowly fills with it, like lungs fill with air, like my eyes fill with salt water.
I think too much. My carousel spins again, ever faster, a little too much, it gives me a headache and I already see a few screws being blocked as quickly as my moments of joy, so I become melancholy. That should be my middle name... Melancholy... it's a girl's name. The first name of a super pretty girl but who feels disgusting, and above all super lost, who doesn't understand what's happening to her, who doesn't even want to understand. She's just like that, and it's happy and sad at the same time, she's the kind of girl who smiles for nothing and who cries for anything, who takes drugs and draws worlds in a notebook at ninety cents, who dances all night to piano pieces, shouting the names of his dead loves.
Fucking world, no kidding... What a mess, he looks like my mind. Maybe it turns the world upside down, or maybe it's flat, or square, maybe that's why the void attracts us so much.
Credit : jennlamelancholia
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lesombresdeschoses · 1 year
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LA TRAQUE
W. Agency. Victoria.
— Il s'adresse a toi, comme toujours ?
— Hm, répond vaguement Law, le regard dans le vide.
L'inspecteur insiste, calmement.
— Je te parle.
— J'ai dit, oui ! lui rétorque-t-elle sur un ton agacé. Il sait tout ce que je fais, même le dentifrice que j'utilise, la marque de café que je bois... j'ai l'impression de vivre avec lui... ça me dégoûte... il se paie ma tête... il...
Elle finit son whisky d'un trait.
L'inspecteur Tyler Mackenzie est un homme très bien bâti et très grand, au visage marqué par la vie, mais plutôt beau. Son caractère taciturne s'y reflète et, de son regard, émane une mélancolie profonde.
Maintenant c'est whisky, café, cigarettes... fini le thé, mais je n'ai pas envie de m'étendre sur le sujet, je pense qu'on a compris... Prise en sandwich entre BlackHole et Tyler, tout pour plaire !
— Ça fait deux semaines ! Deux semaines que les flics savent qu'elle a disparu... Pas de lettre...
— Qui a disparu ?
— Siobhan.
— Qui ?
— L'amie de Liam.
— L'amie de... Tu peux être plus claire s'il te plait ?
— On a eu un client il y a une semaine, son amie a disparu, sans laisser de traces ! C'est son MO , mais manque la lettre ! Et la poste ne peut pas avoir merdé, y'a jamais eu de timbre, donc quelqu’un la dépose, forcément ! Bon sang c'est dingue ! T'as collé des flics en planque pendant des semaines en face de mon agence. Personne ! Pas même un pigeon voyageur ! Il me les envoie par téléportation ?!
Law raisonne à voix haute, Mac se verse du whisky, puis le sirote en attendant qu'elle finisse son monologue.
— Et ce carnet qui n'a rien à foutre dans le cadre !
— Quel carnet ? demande l'inspecteur intrigué.
— Rien. Laisse tomber. Comment BlackHole pourrait-il faire disparaître quelqu'un qui n'existe pas ? Siobhan n'apparaît pas dans le registre des employés de la Bibliothèque, aucun d'entre eux ne connaît son signalement, ni de près, ni de loin !
L'inspecteur la coupe brusquement :
— Attends Law, t'es en train de me dire que tu caches délibérément une pièce à conviction liée à l'enquête ?
— Quelle pièce à conviction ? demande Law, l'air perdu.
— Le carnet.
— Quel carnet ?
— Celui dont tu as parlé, celui qui « n'a rien à foutre dans le cadre » !
— Ça c'est pas ton enquête, aucun rapport, répond Law sèchement sans le regarder replongeant aussitôt dans sa réflexion.
— Siobhan c'est la touriste qui s'incruste dans la scène en plein tournage ! Elle n'a rien à foutre dans le cadre non plus ! Ou alors j'ai loupé un épisode...
Law se tourne soudainement vers Mac, lui arrache son verre des mains pour finir le whisky d'un trait. Elle le pose nerveusement sur la table :
— Mac, j’ai besoin d’être seule.
*
Vincent Square. A Building.
Les toits de Londres sont faciles d'accès pour l'ex-inspectrice. Ils offrent une vue exceptionnelle sur la ville. Law va souvent s'y réfugier pour se vider l'esprit.
Courir après des chimères le long de la Tamise, en pleine nuit… c’est fini. Flemme.
Assise sur sa terrasse improvisée, l'air sombre, immobile telle une gargouille, mp3 dans les oreilles, une cigarette à la main, son whisky dans l'autre, elle s'évade dans son univers. Soudain son portable se met à vibrer dans sa poche. Elle décroche.
— Law, c'est Mac on l'a repéré sur Wellington.
— Il y a un théâtre et un hôtel par là. Je penche pour le théâtre. Il aime la mise en scène.
L'inspecteur tente de la convaincre de rejoindre son équipe pour « cueillir leur tueur ». Mais Law sait déjà qu'il s'en sortira encore, comme à son habitude. L'insistance de Mac commence à l'irriter.
— Mac, il serait peut-être judicieux de le mettre en mouvement, faut le faire sortir, apprenez à chasser les gars ! Faites comme lui ! Et ne le loupez pas cette fois-ci ! Y'en a marre de laisser cette ordure continuer à se prendre pour Dieu !
L’enquêtrice raccroche, agacée. Elle lève son bras pour jeter son portable, mais se raisonne et finit par le ranger dans sa poche.
Il est temps d’arrêter de glander. Faut retourner à l'agence…
Law s'assoit à son bureau, puis étend ses jambes sur la table. Ren arrive à ce moment dans la pièce. L’enquêtrice se redresse sur sa chaise, puis lui lance, énervée :
— T'étais ou ?
— Pardon ? J’étais avec Liam, pour le questionner d'avantage sur son amie !... qu'est ce qu'il y a ?
— L'inspecteur Mackenzie est en train de tout tenter pour le cueillir, on l'a repéré, annonce l’ex-flic sur un ton dénué de conviction.
— Tu devrais te réjouir...
— J'y crois pas, Ren.
Bien entendu Law avait raison, BlackHole, le tueur en série, qui empêche tout Scotland Yard de dormir, a filé. Encore.
*
W. Agency. Victoria.
Depuis que Lawrina Mortensen a ouvert son agence sur Londres, elle ne chôme pas : du bizarre, il y en a à la pelle. Parfois, par un étrange miracle, « les méchants » partent en vacances pendant deux à trois mois, mais quand ils reviennent, ils sont remontés à bloc. C'est après une période de ce type que BlackHole, « le tueur en série » s'est entiché de Law, comme pour la sortir de sa torpeur, comme pour lui dire « tu n'as pas le droit de te laisser aller, ma vieille ! ».
Enfin, sans cadavre, « tueur en série »... est-ce vraiment le bon qualificatif ? « Le connard narcissique qui me casse les burnes », lui conviendrait mieux...
Ce petit rituel agaçant dure depuis un moment, déjà. Chaque fois qu'une personne disparaît sans laisser de traces, la veille de la disparition, il lui dépose une lettre rouge avec un texte sans rapport apparent avec la victime. Lawrina s'est souvent posé maintes questions sur ces quelques lignes couchées sur le papier couleur de sang. Sans trouver de réponses. Si elle était encore flic, l'intérêt que BlackHole lui portait aurait un sens. Cependant dans son cas, elle ne voyait pas ce qui pouvait le motiver.
Le surnaturel peut-être ? mais, ce n'est pas une motivation suffisante…
Assise dans le canapé de la pièce à côté de son bureau, Law sirote son whisky, l'agenda rouge ouvert, posé sur la table basse.
*
« Aller au travail, fonder un foyer, être comme tout le monde, week-end chez papy-mamie en bons gamins bien éduqués... c’est ça la vie ? Autant mourir ! Ce n’est pas ce que j’ai choisi pour moi. Cependant, certaines personnes sont plus fragiles, ont l’esprit plus complexe. Ne peuvent pas faire semblant. Alors elles errent, tels des fantômes sur une terre inconnue, en espérant trouver l'introuvable. Finalement elles se défoncent, à la recherche d'un état différent, fuyant la routine. Elles ont peur de tout, d'avancer, de chercher, même d’essayer... Tant de fois tu as frôlé la mort, elle ne t’effraie pas. Mais la vie, tu sens qu’elle te terrifie. Aujourd’hui, tu ne sais plus où aller, tu ne veux plus sortir, tu veux t'enfermer dans ton monde et partir... Tu as la nausée de vivre ! »
*
— Bon sang j'ai déjà lu ça, ou bien... ?
Law commence à se questionner sur l'origine de l'agenda rouge.
Qui, « oh, coïncidence », est de la même couleur que ces foutues lettres !
Soudain, une autre pensée interrompt sa réflexion. Elle n'a pas remis les pieds dans son appartement sur Paddington depuis des semaines. Elle n’a qu’à traverser Hyde Park pour rentrer. Mais le temps manque cruellement.
À peine revenue de New York, l'affaire BlackHole lui retombe dessus comme pour lui souhaiter un bon retour sur Londres. Ses bagages sont encore là, elle n'a pas eu un instant pour les ramener à la maison.
Surtout que Félicia doit s'inquiéter !
Soudain, la porte d'entrée s'ouvre, Ren se rue vers le salon :
— Je suis retournée à l’appart de la disparue ! Tu ne vas pas me croire !
Law la regarde avec insistance, l'air de dire « accouche ».
— Il est passé par là.
Le visage de Law s'assombrit, sans laisser Ren terminer, l’enquêtrice se lève :
— On y va.
Sur le trajet Law rumine ses pensées. Les deux affaires n'ont aucun lien, cependant BlackHole semble se servir de la disparition de Siobhan pour l'atteindre. Le serial cultive un attachement obsessionnel pour Law. D'aucun serrait flatté de recueillir l'attention d'une personnalité telle que BlackHole. Intelligent, retors, insaisissable. Cependant, Law estime que toute cette mascarade est une véritable « chienlit ». Selon l'ex-inspectrice de la criminelle de Londres, un tueur en série n'est pas plus intelligent que le quidam lambda. Le meurtre parfait est certes un mythe, mais tuer sans se faire prendre n'est pas si difficile. Se vanter de faire la nique à la police n'est que stupide vanité. Une bonne mémoire et le sens du détail suffisent, ce qui ne fait pas de vous une lumière.
Ces abrutis sont des branleurs chroniques, complexés, faibles d'esprit, qui devraient soigner leur névrose au lieu d'emmerder leur monde, pour attirer l'attention comme un gamin de maternelle. Ils croient que vivre leur nature de tueur c'est s'assumer et devenir libre ? Pauvres petites choses intellectuellement, victimes de leur connerie nombriliste. Trop facile d'avoir pitié de soi, genre j'ai eu un père tortionnaire, une mère absente... D'autres ont un vécu pire et ne sont pas devenus des assassins pour autant. Un tueur en série ce n'est qu'un enfant pourri-gâté qui casse tout autour de lui pour obtenir satisfaction. Une satisfaction instantanée. La facilité. Oh que c'est dur de prendre ses responsabilités face à ses choix ! Ça demande à se retirer les doigts du cul !
*
10 Gloucester Street.
Dans le noir, Law se dépeche de crocheter la porte de l’appartement. La jeune femme et son associée entrent enfin.
— Il a fermé les volets. Et regarde là... lance Ren, nerveuse, montrant un message au mur, couleur rouge sang.
L’enquêtrice lit : « LOIN DE MOI, TU N'ES RIEN ». Elle goûte l'inscription en passant le doigt dessus:
— Bordel, c'est bien du sang ! s’exclame-t-elle, inquiète et pensive.
— T'es dégueulasse ! lui assène Ren, dégoûtée par son geste.
Law sort de son mutisme pour continuer sa réflexion à haute voix :
— Il nous faudrait l'ADN de toutes les victimes, c'est peut-être à l'une d'elles, ce qui justifierait leur disparition... Il les collectionne... et … non, c'est trop tordu !
— Qu'est-ce qui est tordu ? lui demande Ren intriguée.
— Les lettres qu'il me poste par « hibou magique », il faut les envoyer au labo, faire analyser le pigment du papier. Je te parie mon Beretta que c'est de la bonne vielle hémoglobine mélangée à de l’encre de chine !
Ren ne sait plus quoi répondre. Law pâlit soudainement, elle réalise que seule sa mort pourra la débarrasser de ce pervers, mais elle veut vivre ! Son regard se fige alors sur un détail du meuble, sous l'inscription au mur. L’enquêtrice s'approche. C’est une petite boite de velours noir. Elle la saisit délicatement, l'ouvre et y trouve une bague de Claddagh, enfoncée dans un coussinet de satin blanc. Comme possédée, la jeune femme la passe à son doigt, puis lève la tête vers l'inscription. Law fait tourner l’anneau. Ses lèvres bougent lentement, sans qu'aucun son ne sorte de sa bouche. On peut y lire : « fiancée à la mort ». Elle chuchote :
— Pourquoi ça ne m'étonne pas... Et si... ?
L’ex-flic prend calmement son Beretta en main, le pose doucement contre sa tempe, puis réplique calmement.
— Sans moi tu n'es rien non plus...
Le coup de feu part dans un bruit fracassant. L’enquêtrice s'écroule sur le sol de l'appartement de l'inconnue. Ren se retourne, horrifiée.
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homomenhommes · 3 months
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 119
Dimanche
Réveils dépareillés.
Marc et moi avons été réveillés par la sensation d'humidité sur nos bites. J'ouvre un oeil et je vois Ed à genoux entre mes jambes penché sur moi pour sucer ma gaule matinale. Je tourne la tête et vois Jimmy sur Marc. Je referme les yeux pour me concentrer sur le plaisir qui m'est prodigué. Ed fait passer mon gland de façon irrégulière dans sa gorge. Entre temps sa langue râpe la peau de mon gland le maintenant gonflé de sang. Au bout d'un moment, je sens mes couilles remonter vers ma queue, en général c'est annonciateur de jute. Ça ne manque pas et je lâche 5 ou 6 jets de sperme. J'ouvre les yeux pour voir Ed avaler la sauce. Ses lèvres soudées à ma bite ne laisse rien passer même si je vois dans ses yeux qu'à un moment j'en envoi plus qu'il ne peut ingurgiter. A mes cotés, Marc gave Jimmy qui avale mieux. Nous prenons tous les 4 une douche ensemble dans notre salle de bain.
Quand nous descendons, nous trouvons un petit déjeuner impeccablement dressé. Le café et le thé sont prêt, les croissants ont chauds, tout est nickel. Nous sommes les premiers mais pas de beaucoup, Igor et ses fils ne tardent pas à nous rejoindre ainsi qu'Eric et Ric (c'est systématique, Eric a un gros faible pour Ric !). Y'a eu des changements d'occupants dans les chambres d'amis durant la nuit !!
Samir nous apprend que Bruno et Arnaud sont partis chez eux mais qu'ils reviennent bientôt. Pendant le petit dej, les esprits se réveillent et les corps aussi. Avant la fin, quelques peignoirs ont l'avant déformés par des queues prêtes à en découdre.
Marc envoie Ed et Jimmy parfaire leurs expériences des pipes sur Igor et Eric. Heureusement pour eux que leurs bols étaient encore pleins car la profondeur à laquelle Eric s'enfonce dans leur gorge le leur aurait fait régurgiter. Les deux bénéficiaires me félicitent de l'efficacité de mes deux jeunes poulains. Ils reconnaissent dans leurs pipes ma technique. Je ne savais pas être aussi reconnaissable ! Tic et Tac les ont regardé faire, bandant sous leurs shortys.
Après les avoir fait juter dans un Sopalin, ils ont pu finir leurs petits déjeuners.
Pas de touze durant la journée. En fait dès qu'un des mâles avait envie, il s'isolait ou pas avec un ou deux des jeunes et nous les voyions revenir 1 h plus tard allégés. Marc est allé faire un tour avec Tic et Tac (l'effet jumeaux), Bruno a demandé à Eric de s'occuper d'Arnaud, pendant qu'il s'isolait lui même avec Jimmy. Seul avec Ed et Igor, nous nous sommes donné du plaisir dans le salon, après tout nous il n'y avait plus que nous ! Nous avons commencé par nous occuper de la queue d'Igor, pipe alternée, pipe à deux bouches, quand je suçais les 22cm de bite, Ed, lui, faisait rouler les boules dans sa bouche. Nous avons amené plusieurs fois Igor au bord de la rupture et nous avons du faire des pauses pour laisser retomber la pression. En 69 avec Ed, je me suis fait enculer par Igor. C'est un plaisir comme il suce ce petit mec ! C'est devenu un accro à la bite et au jus. Il y a des natures comme ça qui ne demande qu'à éclore. J'ai juste eu la chance d'être le catalyseur. Un peu plus tard, je me suis retrouvé le cul libre et à 10 cm de mes yeux j'ai vu la queue du venait de me quitter défoncer la rondelle d'Ed. les autres reviennent de leurs escapades sexuelles en chemin vers les douches du sous sol. Je sens des mains palper mes fesses et bientôt la bite de mon Marc s'enfoncer en moi. Je jette un coup d'oeil en arrière pour être sûr. C'est bien lui. Les coups de reins de nos enculeurs, accentuent la profondeur des pipes de notre 69. Je reçois en direct la dose de mon mec quand Igor lui rempli sa kpote.
Je n'ai pas joui et Ed non plus. Je le retourne et m'enfonce dans son passage rodé par Igor. Je lui demande de serrer le cul et ma bite retrouve des sensations de contrainte.
Tic et Tac s'approchent d'Ed et jouent avec lui. Tac lui donne sa queue à sucer et Tic approche sa bouche de la sienne pour l'aider à s'occuper de son frère. Quand je leur demande s'ils n'ont pas reçu leur dose ? il me répondent que si mais que le tableau que nous formons les excite grave.
Encore quelques coups de rein et je largue la sauce au fond de son cul. Tac, lui, jute sur le dos d'Ed. Son frère ne laisse rien perdre et aussitôt lèche la production familiale avant de venir la partager par une grosse pelle avec le producteur.
Nous passons une fin d'après midi autour de la piscine. Les questions fusent sur mon piercing à l'oreille droite, sur les vacances qui approchent (pour certains).
Pour les achever, je les emmène au garage pour leur montrer ma nouvelle acquisition. Une Yamaha YZF R1 noire mat. Je l'ai fait débrider à 150CV. C'est maintenant une véritable bête. Je l'ai montée jusqu'à 250Km/h mais il en reste encore sous la poignée. Nous allons devoir faire un tour en Allemagne pour vérifier sa vitesse de pointe !
Ils sont impressionnés par la bête. Démarrage et quelques coups de poignet font venir nos ainés. Eric qui ne l'avait pas encore vu tourne autour et me traite de fou quand je lui donne la puissance. Il m'attrape par le cou et me frotte la tête de son poing tout en me disant de faire attention, avec ce type de machine, le décrochage peut être dangereux.
Marc hausse les épaules en lui disant que de toutes les manières je fais ce que je veux avec qui je veux et quand je le veux et qu'il faut faire avec et pour illustrer son propos, il me tire l'oreille que j'ai fait percer dernièrement.
Eric exige de moi que je revienne avec cette moto prendre deux ou trois cours particuliers. Je grogne pour le principe mais accepte. A 250 km/h c'est vrai que j'en menais pas large quand même !
Je vais passer trois soirées la semaine suivante, sous l'oeil d'Eric et avec ses conseils à augmenter ma maitrise de l'engin. Il me fait principalement travailler les freinages. C'est le plus délicat avec ces machines hyperpuissantes. Quand je ressors de la semaine, je maitrise beaucoup mieux mon engin. Mais il faut que je fasse attention quand même. Pour le remercier, même s'il ne m'a rien demandé, je le fait bander (ce qui est relativement facile) et lui offre la meilleur pipe que je suis capable de faire sur une bite de 26 x 7 !
Heureusement que mes deux jeunes recrues sont des petits formats car la selle passager du R1 est encore plus réduite que celle de mon Monster ! D'autre part ça les obligent encore plus à se coller à moi et à s'accrocher à mon paquet !
Mes parents qui nous avaient invités un soir, ont été surpris quand nous sommes arrivés. Ils ne s'attendaient pas à ce qu'on vienne en moto et de plus ma nouvelle combinaison cuir noir, casque noir mat, les a fortement impressionnés. C'est vrai qu'avec elle, je n'ai pas intérêt à tomber en panne d'éclairage la nuit !! Comme c'est une intégrale une pièce, je me retrouve en shorty et Tshirt pour le reste de la soirée. Marc lui en combi deux pièces peut garder son pantalon. Mon père est impressionné par ma musculature. Il est vrai que la dernière fois où il m'a vu assez dénudé, je devais avoir 18 ans et les dernières années, ma pratique sportive a donné de bon résultats.
Ma mère me trouve un look inquiétant surtout avec l'oreille percée. Pour mon père ce détail doit me gêner dans mon travail. Je leur dis alors les modifications dans ce secteur. Je pense que cela fait quelques temps qu'ils ont renoncé à me comprendre. Ils me laissent tranquille et nous passons une soirée somme toute assez agréable.
Au retour, Marc qui me suit me fait des appels de phares, je ralentis pour le laisse venir à mon niveau. Il me montre son réservoir, non plutôt son paquet ! Ok j'avise la première aire de repos et m'engage dans la boucle de détente dans le petit bois attenant. Il fait nuit et il y avait juste une voiture est garée devant le block sanitaire.
Je cale ma moto sur la béquille latérale (y'a pas de centrale). Marc fait de même mais sur sa béquille centrale. J'ai compris, mais je suis en combi une pièce ! je la dé zippe et la descend sous mes fesses. Je me couche en travers de sa selle. A peine penché en avant, je me sens sailli par mon mec. Il se couche sur moi et me traite de salope à l'avoir allumé pendant tout le repas à m'être pavané quasiment nu ! (nos propos sont étouffés par les casques que nous avons gardé sur nos têtes). Sans préparation, je sens bien ses 22cm me ramoner le conduit. Cette prise à la hussarde me rappelle les premiers temps de notre relation. C'est trop bon !! Très excités, nous arrivons vite à bout et je jute contre son réservoir. Trop bon de se faire traiter comme la salope que je suis ! Quand il jute, je serre le cul comme un malade. Il ne peut plus bouge, la bite bloqué par mon anus ! Une tape sur mon épaule droite et je le libère. Quand je me redresse, je vois un mec à quelques mètres dans les bois se finir à la main. Quand je lui demande si le spectacle lui a plu, il se sauve en courant. Encore un hétéro honteux !
JARDINIER
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yumekastories · 2 years
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Chroniques des Invisibles - 2.3 - Alix
Dans sa chambre d'hotel, Méline tournait en rond, fixant alternativement l'horloge et son téléphone. Il était bientôt dix heures. Pas de nouvelles des fêtards depuis le texto de Lulu. D'aucun d'entre eux. Elle avait appelé des dizaines de fois, sans la moindre réponse. Elle craignait autant une intervention du groupe qu'un accident.
- Mel?
Elle sursaute quand on frappe à sa porte. La voix d'Eloïse.
- On a trouvé la voiture. Ils sont sur le parking.
Elle sort de la chambre et se précipite sur place, suivie par le groupe. Les filles restent en arrière, de quelques pas. Elles se méfient de la réaction de Méline. Celle-ci ouvre la portière de la voiture qu'ils ont loué. A l'intérieur, Noah dort comme un bébé contre Deborah.
- La belle au bois dormant, on se réveille.
Le jeune homme grogne un instant, avant d'entrouvrir les yeux.
- Mh..? ...Ah, salut Mel.
- Salut? C'est tout ce que tu as à me dire?
Il se frotte les yeux, puis remarque enfin l'attroupement derrière elle.
- Il est dix heure Noah. T'étais sensé me laisser un message en sortant! Je savais même pas si vous alliez bien !
Il sort son téléphone. Vingt appels en absence.
- J'ai un peu forcé sur la bière, j'ai oublié...
- Tu crois que c'est un jeu?!
Il se masse le crâne, les paupières pressées pour se concentrer.
- T'énerves pas. Tu me fais mal à la tête...
- Si seulement ça pouvait te faire rentrer du plomb dans le crâne...
C'était sorti sans qu'elle s'en rende compte. Noah s'assombrit.
- On est revenu entiers. La prochaine fois, viens avec nous. ça te ferait du bien.
- Ton côté dragueur n'est pas ce qui me fait le plus décompresser.
- Ah!
Il tourne la tête, puis sourit.
- D'ailleurs, je t'ai ramené un cadeau!
Elle esquisse un sourire. Le soulagement a pris le dessus. Il est de retour.
- TADAAAAA!!!
Noah sort de la voiture, suivi par le jeune homme qu'il a rencontré hier. Ce dernier a un sourire nerveux sur le visage.
- ...bonjour?
Méline l'observe, les yeux grands ouverts, sourcils levés. Elle tourne la tête vers Noah.
- ...qui c'est?
Noah passe son bras sur les épaules d'Alix.
- Un ami! Je l'ai rencontré en boîte hier. On a passé la soirée à discuter. Je suis sûr que tu vas le trouver génial!
- C'est-à-dire?
- Y'a pas assez de mecs dans le groupe. Alors voilà Alex, qui va nous accompagner dans le road-trip !
- Je t'avais dit...
- C'est pas une fille. Et puis, ça va faire du bien d'avoir du sang frais! Et au moins, tu pourras essayer de discuter avec. Hein les filles?
Il cherche un soutien de la part des filles en retrait. Elles acquiescent, de façon plus ou moins bruyante. Elles n'avancent pas pour autant. Méline leur jette un regard, avant de revenir vers Noah.
- Je te l'ai déjà dit. J'ai pas le temps. Tu fais n'importe quoi. Faut quelqu'un pour veiller sur toi.
- J'ai plus cinq ans Mel. En plus, Alex te trouve super mignonne!
- ...c'est Alix.
- Ah, oui, désolé.
Méline s'approche un peu plus.
- Mignonne? En me voyant maintenant, et dans cet état?
- Je lui ai montré ta photo.
- QUOI?!
Alix a un bref mouvement de recul. Elle lui jette un regard désolé.
- Alix, excusez-nous quelques minutes.
- O...oui, bien...
Elle s'éloigne sans attendre la fin de sa phrase. Noah, lui, soupire avant d'enlever son bras des épaules d'Alix.
- T'en vas pas, hein? Elle est juste de mauvais poil parce qu'elle était inquiète.
- ...ok.
Il fait signe à Lulu de ne pas lâcher Alix des yeux. Il ne veut pas risquer une scène pour rien. Il s'éloigne pour rejoindre sa soeur. Elle lui tourne le dos, les bras croisés. Il sait qu'ils vont se disputer, encore.
- Qu'est-ce que tu veux Mel?
- ....t'es inconscient. Tu lui montres ma photo?! Comment je m'enlève de sa tête maintenant?! ça fait combien de temps?!
- Suffisamment pour que ça soit plus compliqué que tes petits tours habituels. Alors maintenant, tu vas devoir faire avec, même si ça te plait pas.
Cette fois, elle se retourne.
- C'est un type que tu as rencontré en boîte!
- Ana m'a aidé à trouver un candidat valide. Elle ne m'aurait pas laissé le ramener si elle avait eu le moindre doute.
- Ana n'avait pas à t'aider! Je t'ai dit que...
- T'as besoin de te trouver un meilleur hobby que de me gâcher la vie!
Méline s'arrête. Sa colère se mue en rage froide. Noah semble l'avoir vu aussi. Ils ont atteint un point critique. Il faut qu'il coupe court.
- Ecoute, t'es pas en état d'avoir une discussion calme. On va finir par se bouffer le nez encore plus. Je vais faire un tour dans l'hôtel, et toi tu fais descendre la pression.
Méline se mord les lèvres. Elle se mord la langue, réprimant ses pensées assassines, avant d'hocher la tête.
- J'ai compris.
Elle s'éloigne, sans laisser à Noah le temps de continuer. Elle ne voit pas son air coupable. Il ne voulait pas être aussi acerbe. Elle part s'installer à la petite terrasse de l’hôtel. En hors-saison, c'est assez calme. Elle se laisse tomber sur la chaise, la tête en arrière. Elle n'aurait pas cru la pique de son frère aussi assassine. Quelques minutes plus tard, un bruit. Elle se rassied normalement, pour voir Alix s'asseoir face à elle, avec un verre d'eau.
- Je ne voulais pas vous déranger. ...je ne savais pas ce que vous aimiez, alors dans le doute, je me suis dit que c'était un bon compromis.
Elle remet quelques mèches en place, puis force un sourire.
- Merci.
Elle fini par le regarder. Lui l'observe, sans pour autant qu'elle se sente mal à l'aise. Pas plus que lui, en tout cas. Elle saisit le verre et prend une gorgée, pour s'éclaircir la voix.
- La photo était fidèle à ce que vous voyez?
Soudain, il a l'air mal à l'aise. Comme s'il venait d'être pris en faute.
- Pardon. Je...en fait, je me demandais pourquoi il voulait à ce point nous présenter. Pour être tout à fait sincère, sa façon de m'aborder hier m'a un peu fait peur...
- C'est Noah. Il est comme ça. Et vous l'avez entendu. Je suis toujours sur son dos. Il veut que j'ai autre chose à faire.
Elle plonge dans le regard de l'homme.
- Il vous a rencontré en boite hier?
- Oui.
- Et ma photo, il vous l'a montré quand?
- Pas longtemps après. Vers 1h je crois...
- ...chier.
- Quoi?
- Rien. Vous portez des lentilles de contact?
- Ah. Oui, je suis myope. ça pose un soucis?
- Non. Simple curiosité.
Il se gratte la tête, un sourire timide sur le visage.
- C'est un peu bizarre comme question pour une première rencontre...
- Je suis une fille bizarre.
- ...en tout cas, ça m'a changé des filles qui m'abordaient pour le physique.
- Vous êtes du même acabit que Noah? Un dragueur?
- Non. Je pourrais plutôt dire que j'envie sa façon d'agir.
- ...tout le monde dit la même chose. Il est pas méchant vous savez. Il est juste tête en l'air et borné avec moi.
Elle se relève.
- Je ne vais pas me battre avec Noah une nouvelle fois. Tu vas rester avec nous. Je te conseille juste de rester en retrait. Si tu te mets entre mon frère et moi, tu passeras un sale moment.
Il sourit. Le tutoiement soudain est donc signe qu'elle l'accepte.
- C'est marrant, il m'a dit la même chose.
Elle s'arrête un instant, et esquisse un sourire.
- Ne t'en fais pas, on passe pas une semaine sans se prendre la tête. Tous les gens qui voyagent avec nous en ont fait les frais.
Elle se rapproche du car. Anastasia est partie ramener la voiture de location. Ludivine l'observe, inquiète.
- T'en fais pas. C'est comme d'habitude.
- Il a été un peu dur...
- J'ai déjà fait pire. Toi, tu l'aimes bien?
- Il a l'air gentil. Et il aime pas l'alcool.
Elle frotte les cheveux de Lulu.
- Merci.
Quelques minutes plus tard, elle retrouve le groupe de filles qui discute.
- Deb, faut qu'on parle.
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ordinairementvrai · 2 years
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La promesse d’une danse
Y'a ce truc, il est 5h du matin, et je suis essoufflé. Le soleil ne va pas se lever car l'hiver a décidé que la nuit devait régner.
La foule hurle et danse, les âmes se reconnaissent et les amours se forment. Il ne restera pas grand chose de tout ça à l'aube.
C'est la dernière danse, l'essentielle, celle qui compte par dessus tout c'est une promesse que l'on dresse face à la vie elle-même. C'est un secret qu'on raconte seulement parce que la nuit nous protège.
La lune tente de nous attiendre à travers la brume. Les étoiles ne parviennent plus à scintiller. Alors je dessine des rêves dans le regard d'une jolie fille, et j'écris des conditionnelles toute la putain de nuit. C'est comme la fille de l'ambassade berlinoise, tu sais c'est une promesse. Celle d'une autre vie oùpeut-être, j'aurais plus qu'une confidence et un sourire. Pourquoi je n'aime les autres que lorsqu'ils sont un autre ? Pourquoi je ressens ce besoin de fuir tous les ans ? Pourquoi dois-je oublier les années et les sourires que j'ai pu croiser ?
Je ne dors jamais, je rêve comme disait l'autre. Je me réveille avant le soleil, en sueur alors qu'elle se trouve à côtéde moi. Je tourne sur moi même avec une seule envie, fuir alors que je suis chez moi. Et je suis seul.
Il est 5h, parfois je m'y couche, souvent je m'y lève. Ce soir je t'écris. Comme à l'époque, tout me manque.
Je ne comprends pas, je m'énèrve et je pianote frénétiquement en tentant de trouver un putain de rythme, je te jure que j'avais le tempo ce soir, j'ai vécu et existé en m'oubliant, par m'intermittence mais j'ai fait un effort. J’ignorais où j'étais, on m'a pris pour un autre, je n'ai pas compris, on a tenté de m'expliquer et j'ai vidé la tequilla. Je tenais la rose de mon prochain roman, merde c'était parfois, s'il te plaît reviens, j'ai besoin d'écrire. Autre chose que tout ça, je vaux mieux que ça merde, j'ai 23 ans. Ma petite soeur grandit, mes parents vieillissent et moi, je fais quoi ? On est vendredi et je me suis la tête à l'envers et je suis monté si haut que j'aurais presque pu y croire.
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mercredi 26 janvier 2022
je me sens tellement mal
je ne sais pas pourquoi c'est comme ça dans ma tête. je suis énervée contre tout, contre les autres et surtout contre moi-même
il y a un putain de problème avec ce monde et j'ai l'impression d'être la seule à m'en rendre compte. ça tourne dans ma tête les images de tout ce qui se passe, les injustices, le sang. On a tous du putain de sang sur les mains. Tu manges pendant que d'autres crèvent pour que toi tu puisses manger. y'a rien qui va. rien qui tourne rond. j'en veux au MONDE entier. mais surtout je m'en veux à moi-même d'être aussi mal alors que j'ai tout pour être heureuse. mais quand je me lève et que je regarde l'état du monde comment tu veux que je sois heureuse. comment tu veux que je sois heureuse alors que la nuit je rêve du sang des victimes écrasées par la chute d'immeubles au Bangladesh.
je me sens mal, je me sens triste. Mais surtout je me sens démunie face à tout ça, incapable de faire quoi que ce soit.
Alors voilà je continue de manger pendant que d'autres meurent pour que je puisse manger.
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waitstay · 3 years
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Update #1
Bonjour bonjour les amigos. J'espère que vous allez tous bien. Si c'est pas le cas, mes DM sont toujours ouverts pour vous.
Bon, ça fait 2 mois qu'on a pas discuté. Je remercie encore tous ceux qui m'ont envoyé des messages pour savoir comment j'allais, merci merci merci. Voici un update, divisé en plusieurs points parce que je suis juriste, j'aime les plans en 2 parties/2 sous-parties.
I. La vie en général
A. Les études
J'ai fini les cours le 12 mars, ensuite j'ai eu 1 semaine de révision puis 1 semaine de partiels. J'ai pas vraiment réussi mes partiels pour une raison simple : j'étais hyper malade bordel, j'avais jamais vécu ça. Je vous expliquerai plus tard ce qu'il s'est passé.
Un peu déçue que mes derniers partiels d'étudiante ne soient pas un franc succès. MAIS, en réalité j'avais que 4 partiels, sur 9 matières, parce qu'avec le distantiel, tout est passé en contrôle continu. D'où une quantité énorme de devoirs à rendre. J'ai commencé à bégayer quand une prof a exigé, à 18h, qu'on ait rédigé un contrat en entier pour le lendemain à midi, c'était pas facile. J'ai passé beaucoup de nuits blanches, donc forcément j'étais flagada une bonne partie de février-mars.
Mais bon, sur toutes mes matières en CC j'ai eu plutôt des très bonnes notes. Là il me reste une dissertation de pénal, et un travail de groupe à rendre, et je serai définitivement libérée.
D'ailleurs, aparté : les travaux de groupe. Cette atrocité doit cesser. J'ai dépendu de trop de personnes cette année, dont certaines étaient détestables. PLUS JAJA.
Au sein de ma promo, ça s'est extrêmement mal passé. Tricherie aux examens, harcèlement, propos hautains et parfois discriminants... Pitoyable. A minimum 23 ans, on s'attendrait à un peu de maturité, en particulier quand on est tous en distantiel. Eh ben, non. Et dans tous ça, les profs étaient aux abonnés absents, à part pour nous sermonner et projeter sur nous leurs difficultés à gérer la covid (3 profs nous ont shamé pour des conneries, dont 1 qui a quitté un cours en plein milieu).
Je suis extrêmement soulagée que cette année de M2 soit finie car honnêtement, ça a été ma pire année d'études supérieures et de loin. Place au mémoire, désormais.
B. Le boulot
Et grâce à Zeus, mon boulot a tout sauvé dans cette année. En janvier j'ai postulé pour un poste d'assistante de justice (encore merci à Flo, ma relectrice de lettres de motivation attitrée). Les AJ sont en gros des sous-fifres qui travaillent auprès des magistrats. Suivant les services, ce sont eux qui font les recherches juridiques nécessaires pour rendre une décision, ou bien eux qui rédigent les ébauches de jugement etc. Bref, j'ai postulé en janvier et début février on m'a annoncé qu'il n'y avait plus de poste à pourvoir. J'étais un peu triste, mais bon de toute façon à la base j'avais pas prévu de partir avant avril.
Et fin février, un collègue entre dans mon bureau et me dit, un peu livide : "y'a le président du tribunal au téléphone, il veut te parler". Il m'a proposé un poste, encore mieux que ce que je voulais. Je vous retranscris grossomodo la conversation :
"Vous voulez toujours être AJ ?
- Oui
- Alors, j'ai un poste qui se libère à l'application des peines (cliquez sur le lien si ça vous intéresse). Néanmoins, j'ai un autre service qui a besoin d'un AJ, et je pense que ça vous intéressera plus. Je souhaiterais que vous veniez travailler à l'instruction. Est-ce que ça vous irait ?
- OUI OUI OUI"
Bon, si vous avez pas vu le documentaire sur le petit Grégory, l'instruction c'est en gros les enquêtes criminelles. J'ai passé l'entretien le lendemain avec le juge chef de service. Je vais avoir vraiment, énormément, de travail, mais je vais aider à résoudre des enquêtes criminelles. Je... J'ai envie de chialer tellement ça va être trop bien.
Il a fallu se mettre d'accord entre ancien et nouveau taf. J'ai fait mon dernier jour à la maison de justice le 31 mars, et je prête serment le 6 avril. C'est fou, c'est incroyable et je suis tellement heureuse.
Des fois j'ai la tête qui tourne quand je passe en revue les 5 dernières années. J'étais une gamine qui taffait à McDo et qui avait lâché sa licence d'anglais. J'ai repris une L1, j'ai bossé 6 ans à McDo, j'ai lâché ce taf pour un stage non rémunéré, on m'a proposé un boulot, j'ai eu ma licence, puis mon master (bientôt), et dans quelques jours je prêterai serment, premier d'une longue série. Waow. Started avec un stage. Started with hope.
C'est tout pour aujourd'hui. Le II la semaine prochaine, on parlera santé et spiritualité.
Bisous
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dre-amin-g · 3 years
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Une histoire sans histoires. Histoire d'amour. Histoire d'amitié. Une histoire d'âmes, tout simplement. Mais, en fait, il n'y a pas d'amour sans histoires. Jamais. C'est comme ça, et pas autrement. Pas d'amitié sans histoires, non plus. Pas d'âmes sans histoires. Et pas même d'histoire sans histoires. Heureusement ou malheureusement. Mais, malgré tout, on en veut encore et encore, des histoires. On en veut de l'amour. Et on en veut de l'amitié. Comme un grand souffle d'air chaud, qui danse sur notre peau, dans nos cheveux. Et à l'intérieur de nous. Dans notre corps. Dans notre cœur. Et qu'importe les tempêtes autour, les bourrasques, les vents contraires. Et les naufrages, touché coulé. Touché en plein cœur. Coulé en pleine mer. Dans les vagues et les courants violents. Et on veut encore et toujours se laisser bercer, et berner, par les mots doux, par les caresses et les sourires. Et par le doux soleil qui enflamme le ciel, les fleurs des champs, et les fruits dans les arbres. Et se laisser prendre dans les bras des branches étranges du grand arbre de l'amour.
« Viens te balader, faire un détour par les sentiers enchantés, goûter les fruits mûrs aux branches du grand arbre de l'amour. Rien ne me charme autant que laisser courir dans la nuit d'été mon coeur ivre d'insouciance sous le beau ciel étoilé. »
L'amour, c'est un chemin qui serpente, en sifflotant, au hasard de la vie. Dans les détours sans retour des sentiers des sentiments. Au milieu des cailloux qui font si mal aux pieds et au cœur. Des cailloux qui peuvent aussi faire pleuvoir les yeux. De vraies larmes de sang. Des flaques de larmes, des océans de sang. De sentiment. Des sentiments qui nous enveloppent d'une douce brume rose. Ou d'un brouillard épais et aveuglant. Des sentiments de sang troublants. Etourdissants. L'amour, c'est ce chemin sans fin, qui tourne, retourne et tourbillonne. Et qui nous emporte vers de jolis lendemains. Comment dire ça pour le mieux ? Comment dépeindre toutes les belles couleurs magiques de l'amour ? Les couleurs de la lumière du ciel et les couleurs du feu qui brûle en soi. Y a pas de mot pour ça. Pas de mot assez fort ou assez beau. Non, y a pas de mot. Aucun n'y suffirait. Aucun n'y parviendrait. Seul le silence, peut-être... Mais le plus beau des silences.
« Y a pas de mot, y a pas de mot, y a pas. Y'a pas de mot plus doux, plus fort, plus chaud que ton regard amoureux. Y'a pas de mot pour être heureux. Y'a pas de mot, y a pas de mot, y a pas. Y'a pas de mot pour dire tout ce que je vois briller au fond de tes yeux. Y'a pas de mot pour être heureux. »
Chaque jour, se lever dans un nouveau soleil. Et si possible de bonheur. Se plonger dans sa lumière. S'y engloutir entièrement. Avec des éclairs de feux d'artifice. Des éclairs de feu. Là, brillant dans les yeux de la personne aimée. Du vert, du rouge, du bleu. Comme mille soleils riant joyeusement. Et sourire à la vie. La trouver soudain si belle, la vie. La vie qui sourit aussi. Qui sourit malgré tout. Malgré tant de choses sinistres et sombres. Tant et tant. Qui sourit et qui vous tient la main. Vous chatouille le cœur. Fait chanter les oiseaux et danser les papillons. Là, dans votre tête. Dans votre ventre. Et sur vos jambes. Jusqu'entre vos cuisses offertes. Etre heureux, de cet état second. De cet état bizarre. Et merveilleux. Etre heureux d'être amoureux. Etre heureux d'être heureux.
« Viens ma fleur, mon bel arbre de vie, plonger tes racines au coeur de ma terre assoiffée d'ombre, de silence et d'infini. »
Mais c'est quoi donc, le bonheur ? C'est quoi ? En fait, le bonheur, ce serait sûrement, forcément, cette ivresse des sens qui vous prend et vous surprend. Une ivresse sans avoir bu. Une ivresse majuscule. Un alcool sans alcool. Une drogue sans drogue. Un frisson puissant sur le corps et dans le corps, tout le corps. Le bonheur, ce serait ça. Juste ça. Mais totalement ça. Cette folie sans nom. Cette folie sans mot. Un truc qui n'existerait dans aucun dictionnaire. Dans aucun volume des encyclopédies. Dans aucun des mots tellement dérisoires. Illusoires. Des mots sans histoires.
« Y'a pas de mot, y a pas de mot, y a pas. Y'a pas de mot plus doux, plus fort, plus chaud que ton regard amoureux. Y'a pas de mot pour être heureux. Y'a pas de mot, y a pas de mot, y a pas. Y'a pas de mot pour dire tout ce que je vois briller au fond de tes yeux. Y'a pas de mot pour être heureux. »
Aucun mot, aucune phrase, aucune page d'aucun livre ne saurait dire l'amour, ne saurait dire le bonheur. Ne saurait assez bien dire l'ivresse du bonheur. L'ivresse de l'amour. Sauf les mots musicaux d'un poète enchanteur. Un poète ou un chanteur. Ou les deux à la fois. Un artiste. Un funambule. Un rêveur. Un poète aux cheveux fous, sautillant, trottinant, sifflotant, sur les chemins de la vie. Les chemins de l'amour. Les chemins des mots. Soufflant d'un souffle doux les susurrements d'un suçon. Et traversant le mur du son. Et les silences de la danse. Se baladant dans la forêt humaine. Dans les sentiers enchanteresques. Parmi les arbres de l'amour.
« Viens te balader, faire un détour par les sentiers enchantés, goûter les fruits mûrs aux branches du grand arbre de l'amour. »
Une histoire sans histoires. Une histoire toute simple. Mais certes pas une histoire sans histoires. Loin de là. Une belle et forte histoire d'amour.
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theoppositeofadults · 4 years
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Ma mère (qui travaille à la maison) et ma sœur (qui travaille à la maison) sont venues me voir ce matin pour me dire qu'elles ne travaillaient pas à la maison aujourd'hui. Miracle ! C'est sûrement la deuxième fois depuis le déconfinement !
J'en profite, je me lève, je me fais un beau petit déjeuner que je mange devant la télé puis je pars me préparer pour faire du sport, que je décide de faire au salon parce qu'il y a un tapis de yoga qui y traîne
Je mets de la musique à fond dans mes écouteurs et je commence, hop hop hop, quand tout à coup j'entends un bruit. Je pause ma musique, je crie "y'a quelqu'un ?", j'attends 30 secondes, pas de réponse
Je remets ma musique et continue mon sport, j'étais à fond, je chantais, je commence ma série de burpees et là. Je sens une main sur mon dos. Je me mets à HURLER. Je tourne la tête, je me retrouve face à face avec ma mère, qui..... M'a engueulé parce que je lui ai fait peur et parce qu'elle n'a pas l'impression d'être la bienvenue alors qu'elle est chez elle. Oh boh.
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