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#le voyage en douce
ozu-teapot · 2 months
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Le voyage en douce (AKA A Sweet Journey) | Michel Deville | 1980
Dominique Sanda, Geraldine Chaplin
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theconstantnymph · 10 months
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Le Voyage en douce, 1980
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microcosme11 · 9 months
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This is only part of a love letter Napoleon wrote
Je ne sais pas quel sort m’attend ; mais s’il m’éloigne plus longtemps de toi, il me [devient] insupportable ; mon courage ne va pas jusque-là. Il fut un temps où je m’enorgueillissais de mon courage, et quelquefois, en jetant les yeux sur le mal que pourraient me faire les hommes, sur le sort que pourrait me réserver le destin, je fixais les malheurs les plus inouïs sans froncer le sourcil, sans me sentir étonné. Mais aujourd’hui, l’idée que ma Joséphine pourrait être mal, l’idée qu’elle pourrait être malade, et surtout la cruelle, la funeste pensée qu’elle pourrait m’aimer moins, flétrit mon âme, arrête mon sang, me rend triste, abattu, ne me laisse pas même le courage de la fureur et du désespoir… Je me disais souvent jadis : les hommes ne peuvent rien à celui qui meurt sans regret ; mais aujourd’hui, mourir sans être aimé de toi, mourir sans cette certitude, c’est le tourment de l’enfer, c’est l’image vive et frappante de l’anéantissement absolu. Il me semble que je me sens étouffer. Mon unique compagne, toi que le sort a destinée pour faire avec moi le voyage pénible de la vie, le jour où je n’aurai plus ton cœur sera celui où la nature aride sera pour moi sans chaleur et sans végétation… Je m’arrête, ma douce amie ; mon âme est triste, mon corps est fatigué, mon esprit est étourdi. Les hommes m’ennuient. Je devrais bien les détester : ils m’éloignent de mon cœur.
Je suis à Port-Maurice, près Oneille ; demain, je suis à Albenga. Les deux armées se remuent ; nous cherchons à nous tromper. Au plus habile la victoire. Je suis assez content de Beaulieu ; s’il manœuvre bien, il est plus fort que son prédécesseur. Je le battrai, j’espère, de la belle manière. Sois sans inquiétude, aime-moi comme tes yeux ; mais ce n’est pas assez : comme toi ; plus que toi, que ta pensée, ton esprit, ta vie, ton tout. Douce amie, pardonne-moi, je délire ; la nature est faible pour qui sent vivement, pour celui que tu animes. [...]
Adieu, adieu, je me couche sans toi, je dormirai sans toi, je t’en prie, laisse-moi dormir. Voilà plusieurs jours où je te serre dans mes bras, songe heureux mais, mais, ce n’est pas toi…
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I don’t know what fate awaits me; but if it keeps me away from you any longer, it [becomes] unbearable to me; my courage only goes so far. There was a time when I prided myself on my courage, and sometimes, casting my eyes on the harm that men could do to me, on the fate that destiny could have in store for me, I stared at the most incredible misfortunes without frowning, without feeling surprised. But today, the idea that my Joséphine could be unwell, the idea that she could be ill, and above all the cruel, fatal thought that she could love me less, withers my soul, stops my blood, makes me sad, dejected, does not even leave me with the courage of fury and despair… I often used to say to myself: men can do nothing to those who die without regret; but today, to die without being loved by you, to die without this certainty, is the torment of hell, it is the vivid and striking image of absolute annihilation. I seem to be suffocating. My only companion, you whom fate has destined to make with me the painful journey of life, the day when I will no longer have your heart will be the day when arid nature will be for me without heat and without vegetation… I stop, my sweet friend; my soul is sad, my body is tired, my mind is dizzy. Men bore me. I should hate them: they take me away from my heart.
I am in Port-Maurice, near Oneille; tomorrow I'm in Albenga. The two armies move; we seek to deceive each other. The most skilful wins. I am quite happy with Beaulieu; if he maneuvers well, he is stronger than his predecessor. I will beat him, I hope, in a good way. Don't worry, love me like your eyes; but that’s not enough: like you; more than you, than your thought, your spirit, your life, your everything. Sweet friend, forgive me, I am delirious; nature is weak for those who feel keenly, for those whom you animate. [...]
Goodbye, goodbye, I'm going to bed without you, I'll sleep without you, please let me sleep. It's been several days since I held you in my arms, happy dream but, but, it's not you…
link to the entire letter on napoleonica
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soitamespieds · 10 months
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depuis qu'il est en cage, chaque jour est un vrai plaisir pour moi
Depuis qu'il a embrassé la chasteté avec cette cage, chaque aurore m'offre un plaisir incomparable, doublé d'une palette de sensations et d'émotions que je n'avais jamais connues auparavant.
Chaque matin, à la première lumière du jour qui filtre à travers les rideaux, la chambre se remplit de cette odeur douce et boisée, rappel de notre promesse silencieuse. Ces moments, baignés dans une douce lumière dorée, sont ceux où je sens le plus notre connexion intime. Le frémissement des draps, la chaleur de sa peau à proximité de la mienne, la cage en acier froid autour de lui, tout concourt à un tableau de contrastes qui exacerbe mes sens.
Psychologiquement, cette expérience a été une révélation. J'ai découvert en moi une force et une confiance que je ne soupçonnais pas. La cage, pourtant perçue par beaucoup comme une entrave, est devenue pour nous un symbole de confiance, un pacte silencieux renouvelé chaque jour. Le poids psychologique qu'elle représente pour lui est contrebalancé par la légèreté avec laquelle notre relation s'est métamorphosée.
À chaque fois que je le regarde, il y a cette étincelle dans ses yeux, une lumière douce mais déterminée. Cette lueur, révélatrice d'une soumission consentie et d'une anticipation fiévreuse, est devenue mon phare, guidant nos interactions. Le soir, l'air se charge d'arômes épicés, écho de nos désirs contenus, et chaque souffle est une danse de promesses et d'attentes.
Le jeu de la chasteté est devenu bien plus qu'un simple accessoire physique. C'est une exploration des profondeurs de nos âmes, une cartographie de nos désirs les plus secrets. Et en ce voyage, chaque sensation, chaque odeur, chaque lueur est un repère, un témoin de la beauté et de la complexité de notre amour
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vhscorp · 8 months
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MON AME TE CHERCHAIT…
Par-delà les montagnes et les forêts obscures, les vallées où serpentent les ruisseaux d’or pur, les champs et les prairies caressées par le vent, mon âme te cherchait déjà depuis longtemps.
Elle guettait un signe, un éclair, un reflet, un éclat de lumière, une aura singulière, une douce musique émanant de la terre pour la guider enfin vers tes tendres secrets.
Un soir d’été, soudain, elle entendit ton rire, qui montait vers le ciel comme un pressant appel, et touchée en plein vol, elle inclina ses ailes pour regagner le sol, filant vers l’avenir.
Elle alla se blottir, épuisée, sur ton sein, et quand ton âme vint, contre elle, se lover, elle sut que son grand voyage prenait fin, sa longue quête, enfin, venait de s’achever.
Depuis lors, nous vivons, unis par la passion, nos deux cœurs éperdus battant à l’unisson, et au-dessus de nous, dans un ciel lumineux, planent nos âmes-sœurs, sous un soleil radieux…
V. H. SCORP
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satinea · 28 days
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Vieillir, c'est chiant.
J’aurais pu dire :
vieillir, c’est désolant,
c’est insupportable,
c’est douloureux, c’est horrible,
c’est déprimant, c’est mortel.
Mais j’ai préféré « chiant » parce que c’est un adjectif vigoureux qui ne fait pas triste.
Vieillir, c’est chiant parce qu’on ne sait pas quand ça a commencé et l’on sait encore moins quand ça finira.
Non, ce n’est pas vrai qu’on vieillit dès notre naissance.
On a été longtemps si frais, si jeune, si appétissant.
On était bien dans sa peau.
On se sentait conquérant. Invulnérable.
La vie devant soi. Même à cinquante ans, c’était encore très bien. Même à soixante.
Si, si, je vous assure, j’étais encore plein de muscles, de projets, de désirs, de flamme.
Je le suis toujours, mais voilà, entre-temps –
mais quand – j’ai vu le regard des jeunes, des hommes et des femmes dans la force de l’âge qu’ils ne me considéraient plus comme un des leurs, même apparenté, même à la marge.
J’ai lu dans leurs yeux qu’ils n’auraient plus jamais d’indulgence à mon égard.
Qu’ils seraient polis, déférents, louangeurs, mais impitoyables. Sans m’en rendre compte, j’étais entré dans "l’apartheid de l’âge".
Le plus terrible est venu des dédicaces des écrivains, surtout des débutants.
« Avec respect »,
« En hommage respectueux »,
« Avec mes sentiments très respectueux ».
Les salauds ! Ils croyaient probablement me faire plaisir en décapuchonnant leur stylo plein de respect ?
Les cons !
Et du « cher Monsieur Pivot » long et solennel comme une citation à l’ordre des Arts et Lettres qui vous fiche dix ans de plus !
Un jour, dans le métro, c’était la première fois, une jeune fille s’est levée pour me donner sa place.
J’ai failli la gifler....
Puis la priant de se rassoir, je lui ai demandé si je faisais vraiment vieux, si je lui étais apparu fatigué.
« Non, non, pas du tout, a-t-elle répondu, embarrassée.
J’ai pensé que… » Moi aussitôt :
«Vous pensiez que…?
-- Je pensais, je ne sais pas, je ne sais plus, que ça vous ferait plaisir de vous assoir.
– Parce que j’ai les cheveux blancs?
– Non, c’est pas ça, je vous ai vu debout et comme vous êtes plus âgé que moi, ç’a été un réflexe, je me suis levée…-
- Je parais beaucoup beaucoup plus âgé que vous?
–Non, oui, enfin un peu, mais ce n’est pas une question d’âge… --Une question de quoi, alors?
– Je ne sais pas, une question de politesse, enfin je crois…»
J’ai arrêté de la taquiner, je l’ai remerciée de son geste généreux et l’ai accompagnée à la station où elle descendait pour lui offrir un verre.
Lutter contre le vieillissement c’est, dans la mesure du possible, Ne renoncer à rien.
Ni au travail, ni aux voyages,
Ni aux spectacles, ni aux livres,
Ni à la gourmandise, ni à l’amour, ni au rêve.
Rêver, c’est se souvenir tant qu’à faire, des heures exquises. C’est penser aux jolis rendez-vous qui nous attendent.
C’est laisser son esprit vagabonder entre le désir et l’utopie.
La musique est un puissant excitant du rêve.
La musique est une drogue douce.
J’aimerais mourir, rêveur, dans un fauteuil en écoutant
soit l’adagio du Concerto no 23 en la majeur de Mozart,
soit, du même, l’andante de son Concerto no 21 en ut majeur, musiques au bout desquelles se révèleront à mes yeux pas même étonnés les paysages sublimes de l’au-delà.
Mais Mozart et moi ne sommes pas pressés. Nous allons prendre notre temps.
Avec l’âge le temps passe, soit trop vite, soit trop lentement. Nous ignorons à combien se monte encore notre capital.
En années? En mois? En jours?
Non, il ne faut pas considérer le temps qui nous reste comme un capital.
Mais comme un usufruit dont, tant que nous en sommes capables, il faut jouir sans modération.
Après nous, le déluge? Non, Mozart.
Les mots de ma vie de Bernard Pivot.
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solarainyhctiw · 3 months
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Quand j’ai vu la miniature ou encore la première de couverture, je ne me doutais pas que j’allais être submergée par tant d’émotion. J’ai trouvé l’univers beau à tout point de vue. C’est un voyage mélancolique, apaisant après une quête dont les héros revinrent victorieux. Le temps qui passe est un peu au centre de cette histoire, notamment la vision de Frieren qui ne voit pas vraiment les cinquante années passées après être sortie vainqueur de leur bataille contre un roi démon (si ce n'est LE Roi Démon). Ce n’est qu’un battement de cil pour l’elfe qu’elle est mais c'est toute une vie pour ses anciens compagnons de voyage. C’est émouvant et parfois très triste, je pleurais à chaudes larmes, je n'ai pas pu les ravaler. Ça fait un peu écho, ça résonne en moi : ça me pose les questions de ce que deviennent les souvenirs de nos proches après des années, et qu’est-ce-que l’on chérit le plus d’eux une fois qu’ils sont partis ? C’est une œuvre toute douce, touchante à plein de niveaux et qui me bouleverse un tant soit peu.
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épris du vent ; comme un naufrage sur la ville tout entière ; impression qu'il vient ici de s'échouer, le long des rues étroites, le long des blanches façades, sur le large des places, qu'il n'ira pas plus loin, qu'ici s'est arrêté son voyage et son destin, celui qui venait de loin, d'un ailleurs reculé, inconnu de nous ; cette douce idée du lointain en pleine ville, jusque sur nos visages, comme un apaisant sentiment, cette mort en pleine gloire au coeur de nos murs comme un ébranlement qui nous rend différent de la veille ; pauvres âmes en quête de réponses qui prennent toujours la forme d’un combat
© Pierre Cressant
(samedi 5 août 2006 - mardi 12 juillet 2023)
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alexwritesit · 7 months
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Just like we promised
À Mark,
Dans le tourbillon incessant de la vie, où chaque instant est un fil dans le tissu complexe de notre existence, nous nous trouvons souvent égarés dans les courants du changement. Ces courants nous ont façonnés, transformés, et parfois même éloignés l'un de l'autre. Pourtant, au cœur de ce flux perpétuel, nos souvenirs partagés et nos promesses demeurent, des phares inébranlables dans la brume du temps.
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Notre histoire, Mark, est un récit toujours en cours d'écriture, une symphonie inachevée de moments et de mémoires. Nos chemins se sont croisés, se sont éloignés, puis se sont à nouveau entrelacés, un ballet de destinées qui nous a menés ici, à ce chapitre de notre vie.
Cinq années se sont écoulées, et maintenant, je te regarde, assis sur le canapé, jouant avec Anastasia, la préparant tendrement pour le sommeil. Ton sourire, empreint d'une chaleur véritable, brille dans la douce lumière du soir – un contraste frappant avec celui, autrefois forcé, dont la raison m'échappe encore. Ce sourire, authentique et plein d'amour, me rappelle la profondeur et la sincérité de ce que nous avons reconstruit ensemble.
Chaque jour passé, chaque épreuve surmontée, chaque joie partagée, a tissé la trame de notre histoire commune – une histoire marquée par la résilience, l'amour et la transformation. Nos vies, intimement liées, racontent une saga d'amour, de croissance et de renaissance.
Ce soir, alors que je t'observe avec notre fille, je suis envahie par une gratitude immense. La vie nous a offert une seconde chance, une opportunité de redécouvrir et de réaffirmer l'amour que nous partageons. Dans le silence apaisant de notre foyer, je réalise combien notre voyage ensemble est précieux et unique.
À toi, Mark, mon compagnon de vie, mon confident, mon ami. Notre amour, une constante à travers les tempêtes de la vie, est le socle sur lequel nous avons bâti notre présent et notre avenir.
Pour toujours et à jamais, dans chaque univers et dans chaque ligne temporelle, je t'aime, Mark, et je suis heureuse de pouvoir t'appeler mon mari.
Avec tout mon amour,
Alexander.
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The moment I glimpsed you, nestled behind towering stacks of paperwork in the chaotic embrace of your office, a curious sensation stirred within me. Shadows played across the cluttered desk as the relentless ring of your phone punctuated the air, a discordant symphony to your rhythmic signing of documents. Was it a spark of love igniting at first sight, or a wistful melancholy seeping into my soul?
Years had lapsed into decades since our last encounter, and time had sculpted you anew. There you were, a mature man, your shoulders bearing the weight of youthful worries in a world indifferent to your struggles. As you concluded your task and surrendered to the insistent call, your voice unfurled into the room - smooth as velvet, warm as a glowing ember, sweet as the richest honey. But in that voice, I heard a stranger, not the person I once knew.
Peering through the translucent barrier of the glass doors, my gaze found you, yet perceived a stranger. A tide of uncertainty swelled in my chest—had I mistaken you for another? Could I confuse you, the one whose eyes once soothed the fiercest tempests, with someone else? The one who wore the remnants of youthful trials like badges of honor—could such a soul be so easily mistaken? What began as a mundane errand, delivering documents to this local office, unexpectedly plunged me into introspection.
There, I witnessed your smile during the call, a gesture devoid of its genuine essence. It was a masquerade, a hollow imitation. In that moment, I realized the stark truth: the person before me bore your visage, but he was not You, the one I remembered.
Rooted in the doorway, a statue of indecision, I lingered, watching you, a silent observer waiting for the moment you would conclude your call. Yet, within me, a restless current urged me forward, propelled by an invisible force. You remained oblivious to my presence, your focus divided between the relentless scribbling on the documents before you and the conversation on the phone, all under the guise of that insincere smile. A question echoed in my mind, piercing the quietude of my confusion: Who was the target of your deception?
Was it me, a mere spectator to this uncharacteristic charade? Or was the performance tailored for the unseen participant on the other end of the line?
As the call drew to a close, you finally lifted your gaze. Your eyes, once brimming with life, now seemed hollow, devoid of the spark that once defined you. They met mine, yet it felt as though you were looking through me, into a void. In that moment, a poignant realization dawned upon me: the person before me was a far cry from the You I had once known.
Time, the relentless sculptor, alters us all, but with you, it was different. It wasn’t merely the passage of years that had reshaped you; it was something more profound, more elusive. You hadn’t simply been changed by time; you had been transformed by experiences unknown to me, experiences that had extinguished the light in your eyes and replaced it with an unfamiliar, distant gaze. The You I remembered seemed lost, perhaps forever, in the labyrinth of life’s unrelenting twists and turns.
Your voice broke the silence, inquiring my name, and I obliged, offering it to you like a relic from our shared past. You paused, a flicker of something unrecognizable crossing your face as you glanced at my document. A chuckle escaped your lips, tinged with disbelief or perhaps irony. Was it so hard for you to believe that I was the same person from your memories?
“I’m sorry, you have the same name and surname as an old friend,” you remarked, your words slicing through the air, laden with a casual dismissal. Those words lingered, heavy with implications. To you, was I merely an echo of a past connection, relegated to the realm of ‘just an old friend’? The simplicity of your statement belied the complexity of emotions it stirred within me, a poignant reminder of the distance that time and change had wedged between us.
Your words, seemingly innocuous, stung with an unintended insult. Indeed, I had transformed, no longer the carefree young girl who once frolicked alongside you in the park, who scaled trees with the fearless abandon of youth, who gleefully accepted oranges from the kindly old lady at number 32. Those days, imbued with innocence and laughter, seemed like fragments of another lifetime.
Was it my metamorphosis that rendered me unrecognizable to you, or was it your own profound change, morphing into a mere shell of the person I once knew? I grappled with these thoughts, a blend of indignation and sadness swirling within me. Change is the only constant, they say, yet the divergence of our paths had led us to this poignant juncture—a place where familiarity was overshadowed by the unfamiliarity of what we had become.
“Well,” I began, my voice steady as I endeavored to mask the turbulence within, “I did change a lot, so I guess you wouldn’t recognize me.”
As those words escaped my lips, a gentle smile graced your face, seemingly brushing aside the gravity of my admission. You continued with your task, your hand moving with practiced ease as you signed off on the document. But then, as you were about to add your final signature, I noticed a moment of hesitation. You clicked your pen twice, a nervous tic that time hadn’t erased. Some habits, it seems, are impervious to the ravages of years.
Your eyes, magnified behind the lenses of square glasses, finally met mine with a depth that was unmistakably familiar. It was a gaze that transported me back in time, to the boy I once knew, the boy who had remained etched in the recesses of my memory. In that fleeting exchange, the years seemed to peel away, revealing a glimpse of the past that still lived within you.
As my name resonated through the air, your voice breaking the office’s everyday hum, it felt like a crack in the universe. You didn’t just say it; you declared it, with a fervor that turned heads throughout the administration. The desk that had served as your fortress was no barrier for you now. You leaped over it, a sudden burst of emotion propelling you forward.
Your embrace enveloped me, a tangible memory, heavy yet comforting. It was like being wrapped in a blanket woven from nostalgia, but this nostalgia bore a bittersweet edge—tinged with pain and sorrow, rather than pure, blissful happiness. In that moment, reintroducing myself seemed the most natural thing to do, a bridge across the chasm of years and changes.
As I stood there, encased in your arms, I couldn’t help but wonder about the paths not taken. If I hadn’t spoken up, would I have turned and walked away, leaving behind another memory devoid of a proper farewell? Would I have returned to a city that once echoed with our laughter, now just a cold canvas against which our past played out?
In my contemplation, I thought of the multiverse, a tapestry of endless possibilities. In that vast expanse of ‘what ifs,’ I found a comforting thought. Perhaps, in every reality woven into that infinite tapestry, there is a version of us, an Alex and a Mark, forever finding their way back to each other, no matter the distance or the changes that life brings. In every universe, every story, every possibility, I hoped that our counterparts would always find their way home—to each other.
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ozu-teapot · 2 months
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Le voyage en douce (AKA A Sweet Journey) | Michel Deville | 1980
Dominique Sanda, Geraldine Chaplin
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theconstantnymph · 10 months
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Le Voyage en douce, 1980
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lounesdarbois · 5 days
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UB40 joue Forever true to the Royal Blue, un chant de supporters, durant la mi-temps d'un match de Birmingham City à domicile, au stade Saint-Andrew. UB40 est un groupe britannique de reggae fondé en 1978 à Birmingham. Le nom du groupe fait référence au formulaire britannique de demande des droits au chômage.
Saint-Andrew, joli petit stade à pentes douces où nous étions allé voir cette équipe battre Blackburn le 13 Février de cette année. Elle plonge en D3 la saison prochaine. Birmingham, ville assez déglinguée mais pleine de vitalité, ville d'usines transformées en salles de concert où se presse la jeunesse prolétarienne blanche les soirs de semaine. Ville du saint catholique John Henry Newman, et d'une dizaine de stades au total en comptant l'agglomération.
Le chant, l'église, le stade, la vie, ma vie. Parfois nous passons à côté de l'évidence, à côté de la chance que nous avons de vivre dans la Civilisation, dans un monde si beau. Le rayon de lumière sur la pelouse au début de la vidéo, le nuage de poussière au fond à gauche, l'alignement des gradins bien garnis, le gars en polo beige à 2:11 qui plane avec ses potes, les bras qui se lèvent dans le lointain, les poings droits brandis et les pintes dans la main gauche, le refrain posé dans les graves, le "royal blue", le bleu du stade, le bleu du ciel... le genre de voyage qui vaut le détour quand les pélérinages se barrent en vrille.
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Pumaline y dirección Sur!
Hola todos,
Comme promis je vous écris après notre visite de Pumaline qui était fantastique ! On a passé deux jours à faire les différents sentiers et un jour coincés par la pluie à attendre dans la petite cabaña qu'on avait loué.
Le premier jour de rando s'est fait dans une jolie forêt avec une belle vue sur des micro cascades.
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Néanmoins, le clou du spectacle était la randonnée jusqu'au glacier du parc. Nous avons marché quasiment jusqu'à son pied, même si nous nous sommes arrêtés avant pour garder de l'énergie pour le retour (enfin surtout moi parce que Charles est très bon randonneur hihi). Nous avons d'abord marché dans la forêt où nous avons observé de sublimes oiseaux : des carpinteros negros. Ils n'avaient même pas peur de nous ! J'ai même pu les prendre en vidéo.
Nous nous sommes ensuite retrouvés dans une immense vallée plate, parcourue par un sentier de sable blanc sublime. La glacier nous dominait au loin et nous nous sentions minuscules face à lui. C'était magique ! Sur le retour nous avons marché avec un couple de français très gentil qui nous a donné plein de conseils pour le Fitz Roy. Ça y est, on arrive dans la partie où on rencontre nos pairs !
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Après Pumaline nous avons repris la route direction General Carrera, la prochaine étape du voyage. Puisque nous avions plus de 10h de route pour y arriver nous avons fait une pause à des termes d'eau chaude pour se récompenser des randonnées. Nous y avons rencontré un couple suisse et deux couples de chiliens adorables avec qui nous avons passé une douce après-midi.
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Enfin, nous avons repris la route vers Carrera et avons fait une pause pour dormir à Puerto Aisen, une petite ville près d'un joli lac. La route était folle. J'ai cru que j'allais pleurer de joie tellement c'était beau.
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Il pleut des cordes depuis hier soir et on a eu le droit à des rafales de vent pendant la nuit. Mais rien ne peut nous déprimer face à de si beaux paysages. Sachez d'ailleurs que les images que je vous poste sont en réalité incapables de retranscrire réellement la beauté des lieux dans lesquels nous sommes.
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On reprend la route aujourd'hui pour Carrera !
Besitos,
Luna.
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wubblesred · 11 days
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Ghoulcy Week 2024 Day 4 NSFW French
Bonjour mes chers habitants d'abri, j'espère que vous allez bien. Nous revoilà parti avec la semaine ghoulcy pour ce jour 4. Cette fois ci avec le thème NSFW Tendre Touché. Donc personnes mineures ne pas interagir merci. Bonne lecture et bon voyage dans les terres désolées.
Cooper et elle étaient mariés, c'était complètement dingue. Cela l'a rendait même euphorique. Bon rien n'était vraiment légal et cela avait été une union entre eux seulement mais y a-t-il encore des unions légaux dans ce monde hors dans des abris Vault-Tec. Et honnêtement elle voyait mal Cooper accepté un mariage officié par cette maudite entreprise. Même si c'était cette dernière qui les avait réunis.
Sa petite tueuse lui appartenait enfin, elle était tout à lui. La goule ne pensait pas ressentir une telle joie à nouveau depuis l'apocalypse pourtant Lucy avait cette tendance à rendre meilleure sa vie depuis qu'ils voyageaient ensemble. Jamais il n'aurait imaginé retrouvé l'amour dans ce monde pourri cependant Lucy MacLean lui prouvait le contraire.
Les deux époux marchaient côte à côte, à la recherche d'un endroit bien précis. L'homme connaissait une ville dans les environs qui proposait des chambres assez décentes pour un nombre de capsules assez raisonnables. Une sorte de lune de miel en soi pour eux deux. Ils auraient du calme et de l'intimité sans Canigou pour une nuit. Ils aimaient beaucoup le chien mais l'avoir juste à côté d'eux pendant qu'ils couchaient ensemble c'était un peu désagréable. Et puis leurs dos les remercieront de le faire dans un lit pour une fois. Camille, une vieille connaissance de Cooper travaillait là-bas et le chien serait donc bien traité pendant qu'ils seraient occupés.
Cooper lui avait assurer que la ville allait l'accueillir malgré que seule des goules y résidaient mais une angoisse gagna tout de même la jeune femme. Cependant un regard vers son mari qui lui fit un magnifique sourire suffit à la rassurer à l'approche de leur destination. Tant que la goule était à ses côtés, l'habitante d'abri se sentait capable de tout. On les laissa entrer sans problème à son grand étonnement, les gens semblait se classer en deux catégories ceux qui respectait son homme et ceux qui fuyaient à peine approchait-il. Cooper la guidait par la main jusqu'à une énorme bâtisse sur laquelle on pouvait lire une pancarte « auberge » accrochée au dessus de la porte. Cela ne faisait pas de doute, l'homme connaissait cette ville comme sa poche. Néanmoins quelque chose avait nettement changé depuis son dernier passage, l'électricité était omniprésente dans la cité, sûrement grâce à l'invention de Moldaver. Lucy quant à elle, fut agréablement surprise de reconnaître la personne présente au comptoir.
« Alors le vieux enfin de retour en ville. Et avec ta petite peau douce. » Dit Camille en les voyant approcher. « Vous restez combien de temps ? »
« Juste une nuit. Y a moyen que tu surveilles le chien pendant qu'on est en haut ? » Rétorqua Cooper tout en pointant du doigt le dit chien.
« Pourquoi t'as un truc à fêter ? Parce que ça avait pas l'air de vous déranger qu'on vous voit la dernière fois. »
« On s'est mariés. » Sautilla Lucy en s'intégrant à la conversation. La jeune femme avait dit cela avec un tel enthousiasme que même son mari fut surpris. Il n'avait pas imaginé que son épouse soit si heureuse de proclamer leur union ainsi.
La goule aux cheveux roses se mis à éclater de rire, jamais depuis les années passées à côtoyer l'autre goule aurait-elle penser que ce dernier déciderait de se marier et encore moins à une peau douce aussi joyeuse que Lucy. Et pourtant en les voyant se regarder ainsi, leur yeux brillants et arborant un sourire aussi radieux, il n'y avait aucune doute que ces deux là s'aimaient. Elle balança un jeu de clés à l'homme tout en contournant le comptoir afin d'aller près du chien pour le caresser et l'amener à ses côtés.
La chambre était assez banale, un lit double, des draps simples, une couverture rouge légère, les murs, eux, étaient nus laissant apparaître le bois en dessous. Il y avait tout de même une salle de bain juste à côté et franchement malgré sa simplicité, c'était du grand luxe pour ce monde.
« Et bien, même pas vingt-quatre heures mariés et déjà mon époux me gâte énormément. Je suis chanceuse. » Lucy ne put s'empêcher de rigoler, un discours qu'elle voulait taquin dans l'espoir d'attirer son compagnon près d'elle.
« Faut bien sortir le grand jeu, poupée. J'ai pas envie que tu fuis avec le premier venu. »
Même si Cooper avait usé un ton semblable au sien, la brune comprit que ce dernier avait une crainte qu'elle choisisse un autre que lui. Elle s'avança vers lui et remonta sa main le long de son torse pour atterrir sur sa joue.
« Ça ne risque pas d'arriver, à moins qu'on m'arrache à toi de force et te connaissant tu ne laisseras jamais ça arriver. C'est peut-être fou à dire vu le nombre de jours qu'on se connaît mais je m'en fous, je t'aime Coop. »
« Je... Je t'aime aussi Lucy, plus que je n'aurai imaginé. »
Les deux amants se rejoignirent pour un baiser, un qu'ils savaient allait lancer le début de leur étreinte passionné. Cooper la porta jusqu'au lit avant de la déposer délicatement dessus, ce soir il allait savourer chaque instant, il ferait en sorte que sa femme ne ressente que du plaisir et de la douceur. Leurs vêtements chutèrent l'un après l'autre sur le sol afin que les deux amants puissent se découvrir sans entraves à nouveau comme si c'était la première fois. Cette fois-ci pas de pillards, pas de précipitation ou de distraction. Seulement eux deux dans cette pièce, rien d'autre n'avait d'importance en ce moment, pas de Vault-Tec ni même Henry, juste eux, leurs corps et leurs amours.
La peau de Lucy était vraiment une des choses les plus douces que la goule avait touché de toute sa vie. Il n'osait que l'effleurer du bout des doigts, la peur de la ruiner d'une manière ou d'une autre était omniprésente. Poupée était vraiment le surnom parfait pour elle, ce fut ses grands yeux qui lui avait donné l'idée du surnom, ils lui rappelait une des poupées dont sa fille faisait la collection. Il savait que ses longs mouvements de ses doigts rendait la jeune femme dingue mais il désirait savourer chaque seconde de leur échange cette nuit. Enfin il pouvait voir clairement chacune de ses réactions, quelles caresses lui procuraient le plus de sensations, ce qui lui plaisait ou non, tout ça lui était complètement visible et c'était grisant.
Lucy n'avait jamais été aussi mouillée et pourtant Cooper ne lui avait fait que de minimes caresses tandis qu'elle se préparait à le recevoir. Mais son regard était tellement intense tandis que son touché, lui, était d'une douceur que son corps ne pu qu'être émoustillé. Néanmoins son désir était trop grand et malgré qu'elle comprenait l'envie de la goule de faire durer le plaisir, la jeune femme désirait avoir son mari en elle, sentir sa virilité emplir son être tandis que leurs âmes se touchent et s'unissent dans une explosion intense de plaisir et d'amour. L'homme semblait être le seul à lui procurer une jouissance aussi immense et profonde. Et en cet instant ce n'était plus un désir mais un besoin de ressentir cela qui la poussa à attirer l'attention de son amant à elle pour lui susurrer à l'oreille « Fais moi tienne pour l'éternité. Je t'en prie Coop, prends moi. » Cette phrase eut le mérite d'enflammer son mari qui n'attendit plus et retirer ses doigts avant d'entrer en elle d'un coup.
Cooper ne se lassera jamais de l'expression que Lucy avait quand il entrait en elle, sa bouche qui s'ouvrait pour laisser échapper un hoquet de plaisir tandis que son regard se brouillait et ses joues qui prenait cette jolie couleur rosée. Tandis que la goule commençait des mouvements de hanches lents mais précis, ses mains continuèrent de se promener doucement sur le corps de sa femme ne sachant pas que cet acte tendre procuraient tout autant de plaisir que ces vas-et-viens les plus brusques. Peu importe ce que l'homme faisait, Lucy y trouvait de la satisfaction. Justement parce que c'était son homme qui l'a touchait et lui faisait l'amour. La tendresse dont il faisait preuve aujourd'hui était tout aussi intense que si il l'avait prise sauvagement, Cooper savait parfaitement quoi faire pour l'amener au septième ciel et Lucy espérait lui donné autant de plaisir. Au dire de l'homme et à sa façon de réagir face à elle, c'était le cas.
Les amants n'allaient pas tarder à atteindre l'orgasme ensemble, leur première fois en tant que mariés allait finir mais la nuit, elle, ne faisait que commencer. La sauvagerie ou bien la rapidité prendrait la relève sur la douceur dont les amants avaient fait preuve. Ils avaient ce qu'ils leur semblaient l'éternité face à eux et ils en profiteraient un maximum ensemble. Les deux amants improbables. Les tourtereaux invraisemblables qui s'aimaient et se vouaient l'un à l'autre malgré tout. Cooper et Lucy Howard, liés ce soir et à jamais.
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lapetiterosenoire · 1 month
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Les souvenirs d'antan
Sont les crépitements
Provenant de l'âtre d'une cheminée
La source délicate
Et sucrée du pain d'épices
Et de cacao chaud
L'amertume d'un café corsé
Ils flottent dans l'atmosphère
Des fragrances de lavande,
Mélangées au doux parfum de fleur d'oranger
S'accorder le temps d'une parenthèse
Le temps d'un récit narratif
Tout en appréciant l'écoute musicale
Des perles de pluie,
Venues délicatement caresser les velux.
Les feuilles d'automne
Cèdent leur place aux flocons hivernaux.
À chacun sa bulle, son petit nid douillet
Cotons tout doux
Plumes d'anges
Enveloppé d'une douce chaleur apaisante.
Que vous soyez amateur de fanfictions
Ou que votre cœur chavire pour des idylles romanesques
Course poursuite vers des thèmes mystérieux et fantastiques
Récits alternatifs et enquêtes à résoudre
Ou encore vous laissez abondamment submerger
Par un côté somptueusement sombre
Passant de l'art gothique à un zeste de poésie
Écrit brut et masculin
En paradoxe a des extraits de fragilité féminine
Jusqu'à s'attarder un instant sur
Le désir ardent d'érotisme...
Et bien dans ce cas,
Vous êtes arrivés au bon endroit.
Ce compte est pour vous et moi.
Plongez dans mon univers.
Venez... et rêvez...
Un espace cocooning
Aménagé spécialement pour vous !
Oui, vous...
Pour tous les rêveurs et destiné à mes lecteurs.
Je vous souhaite du fond de mon cœur un bon voyage,
Une escapade poétique,
Un séjour magique et essentiellement une bonne lecture.
🥀 La Petite Rose Noire 🥀
✦͙͙͙*͙*❥⃝∗⁎.ʚ 🥀 ɞ.⁎∗❥⃝**͙✦͙͙͙
𝕰́𝖈𝖗𝖎𝖛𝖆𝖎𝖓 [𝕽𝖊́𝖈𝖎𝖙 𝖊𝖓 𝖋𝖗𝖆𝖓𝖈̧𝖆𝖎𝖘]
𝕿𝖊𝖝𝖙𝖊 𝖎𝖓𝖙𝖊́𝖌𝖗𝖆𝖑 𝖆̀ 𝖗𝖊𝖙𝖗𝖔𝖚𝖛𝖊𝖗 𝖘𝖚𝖗
𝖂𝖆𝖙𝖙𝖕𝖆𝖉 & 𝕴𝖓𝖐𝖎𝖙𝖙
𝕾𝖔𝖚𝖘 𝖑𝖊 𝖕𝖘𝖊𝖚𝖉𝖔 :
🥀 𝕷𝖆𝕻𝖊𝖙𝖎𝖙𝖊𝕽𝖔𝖘𝖊𝕹𝖔𝖎𝖗𝖊 🥀
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les-cris-des-fendues · 6 months
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Un de mes quatre métiers en images. M'occuper des animaux pendants que ceux ou celles qui les protègent, les nourrissent, les accueillent, les dorlotent, sont en voyage ou bien en déplacement professionnel. Assez lucratif, certes plus que bouquiniste, cependant ce n'est pas là ce qui m'intéresse derechef. C'est un sacré boulot. On ne peut pas le faire si on n'aime pas les animaux, surtout les chats qui sont de somptueux lascars plein de bêtises et de roublardise... Contrairement à leur légende (dorée?) ils sont assez cochons sans être copains comme eux :D . Mais avec moi, pas de quartiers; chats de campagne, dehors vous pisserez et chierez! Je les ai tous et toutes (2 mâles et 4 femelles) apprivoisés, même la plus timide aux beaux yeux verts et caresse leur douce fourrure avec un grand plaisir. Les chats sont pour moi de grands mystiques sensibles. C'est pour cela qu'ils se plaisent tant près des livres. Je commence même à télé-pathiser avec certains d'entre eux. Je m'occupe aussi de deux adorables poulettes qui pondent des œufs énormes et savoureux. Je les aime beaucoup également. elles sont la tendresse incarnée. Un pas de deux avant que je les prénomme chacune. Voilà. J'aurai du mal à les quitter lorsque la patronne rentrera.
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