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#quitmyjob
djaboo-app · 6 months
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Aux États-Unis, en août 2023, un événement incroyable a eu lieu : 4,3 millions de personnes ont dit adieu à leur job. « The Great Resignation » (le grand départ) est clairement un effet de cette crise qui a bousculé notre relation au travail. Face à ce phénomène troublant, des économistes du monde entier étudient cette tendance et tentent de déterminer les causes éventuelles. C'est l'opportunité d'analyser la situation en France : devrions-nous nous préparer à voir cette tendance traverser l'océan Atlantique ? Le grand départ : un coup d'œil sur ce phénomène chez Djaboo Le grand exode : un regard sur ce phénomène Depuis février 2023, près de 22,5 millions d'employés américains ont abandonné leur poste. Les chiffres sont éloquents : 40% de ces individus travaillaient dans des secteurs durement touchés par la crise, tels que l'hôtellerie, la restauration et les services à domicile. En moins d'un an, plus de 3% des travailleurs du secteur privé ont quitté leur job : cela ne s'était pas produit depuis 20 ans, dépassant l'ancien record de 2,8% en janvier 2001. Est-ce une tendance qui va perdurer ou simplement un effet domino ? Difficile à dire pour l'instant, mais en tout cas, ça prend de l'ampleur depuis quelques mois et ça devient même un phénomène sur les réseaux sociaux. Beaucoup de ceux qui ont quitté leur emploi ont partagé ce moment sur TikTok, avec le hashtag #quitmyjob. Il y a plusieurs raisons derrière cette décision soudaine des travailleurs américains, après la crise. 1 – Plus de temps pour réfléchir Généralement, le principal frein à la mobilité professionnelle, c'est le temps. Coincés dans le quotidien et la routine, les salariés n'ont finalement pas le temps de penser à d'autres options de carrière ou simplement, de se poser des questions. Le premier confinement est arrivé d'un coup et beaucoup de personnes se sont retrouvées en chômage partiel. Parallèlement, leur vie sociale a aussi été mise en pause. La conjoncture inédite a offert la chance à tout le monde de méditer sur son parcours professionnel et, plus généralement, sur son existence. Un souhait authentique de retourner à l'essentiel a surgi en pleine crise sanitaire, et le boulot a finalement été relégué au second plan. Tandis qu'ils se souciaient durant plusieurs mois de leur bien-être et de celui de leur entourage, les employés du monde entier ont compris que leur vie de travail ne devait plus empiéter sur leur vie privée. 2 – Un environnement de travail compliqué Quoique La Grande Démission touche l'ensemble des strates sociales, la majorité des démissionnaires viennent des métiers qui ont été en première ligne durant la pandémie. Face à une tension élevée et des conditions de travail ardues, beaucoup ont exprimé leur épuisement. La démission est pour eux une manière de se faire écouter et de dévoiler la réalité de leur vie quotidienne. Des horaires difficiles, des rémunérations trop faibles, une exposition permanente au virus, un manque de reconnaissance : tous ces facteurs contribuent à la complexité de leur travail. Il est également crucial de souligner que le retour de l'inflation nuit énormément aux salaires les plus modestes, qui endurent une diminution de leur pouvoir d'achat. Les prévisions de cette inflation aux États-Unis sont d'environ 6,2 % sur une année. Le journal US Tough Cookies a exposé les conditions de boulot ardues, grâce au témoignage d'Alex. Pendant la pandémie, cette travailleuse sociale s'est retrouvée coincée à la maison, enchaînant les réunions sur Zoom toute la journée dans sa chambre. Le rythme s'est intensifié : en tant que thérapeute, elle a dû "rencontrer" ses patients de plus en plus souvent, confrontés à des problèmes aggravés par la crise. En plus de toutes les séances journalières, elle mentionne également une charge de travail administratif plus lourde. Beaucoup d'heures supplémentaires pour lesquelles elle ne reçoit pas de compensation. Elle raconte que les burnouts professionnels ont été courants autour d'elle et qu'au lieu d'en arriver là, elle a décidé de quitter son boulot en avril 2023.
Une déchirure, car Alex faisait un travail passionnant, mais ses conditions de travail, comme pour beaucoup d'Américains, n'étaient plus supportables. 3 – Un rapport au travail différent avec Djaboo On dirait que les habitants des États-Unis passent ce cap plus aisément, car leur vision du travail est autre. En France, on cherche la sécurité, avec le fameux CDI, qui compte beaucoup, alors qu'aux USA, les contrats sont davantage flexibles et moins officiels. Trouver un nouvel emploi est finalement aussi aisé que d'en laisser un. Les Américains ne désirent plus subir le proverbe "métro-boulot-dodo" et veulent aussi donner une grande importance à leur vie personnelle. Prendre sa retraite plus tôt est d'ailleurs devenu une vraie mode : de l'autre côté de l'Atlantique, de plus en plus de gens adhèrent au mouvement du "early retirement". L'idée est d'épargner suffisamment pendant quelques années pour pouvoir prendre sa retraite en milieu de carrière. 4 – Les appuis financiers pendant la crise Les moyens financiers sont également souvent un frein à la démission. Il est compliqué de quitter un emploi sûr sans avoir d'économies. Une décision qui se fait donc rarement sur un coup de tête et qui demande d'avoir un certain bas de laine avant de se jeter à l'eau. Durant la pandémie, les aides versées aux foyers ont peut-être incité les employés à démissionner, profitant des subventions pour prendre de l'avance. Pour les classes plus aisées, les excellentes performances à la Bourse leur ont donné l'occasion d'augmenter leurs revenus et certains ont peut-être pu partir en retraite plus tôt. Ce que confirment les données, qui montrent que le phénomène touche surtout les plus jeunes et, à l'inverse, les plus âgés. 5 - L'apparition du travail à distance en 2023 grâce à Djaboo Trouver un boulot dans une métropole est sans doute plus simple que dans des endroits reculés. Ceux qui vivent loin des zones urbaines doivent souvent être mobiles pour avancer dans leur carrière. Avec la crise sanitaire, la façon de travailler a totalement évolué. Le télétravail a bouleversé la situation, permettant à chaque américain de travailler depuis chez lui. Bien que la plupart d'entre eux soient retournés au boulot en présentiel, le travail à domicile est devenu une nouvelle réalité, proposant des opportunités captivantes aux actifs partout aux États-Unis. Des salariés souhaitant changer d'emploi pourront postuler à des postes en télétravail à 100 %, même s'ils n'habitent pas dans une grande cité. La grande démission touchera-t-elle également les travailleurs français en 2023 ? On ne sait pas encore assez sur cette situation sans précédent aux USA et sur la pandémie en général. Cependant, il existe quand même des signaux inquiétants partout sur la planète. Surtout, dans les nations de l'OCDE, on remarque une augmentation de 14 millions d'individus sans travail et qui ne cherchent pas de job, depuis la pandémie. En France, les indicateurs sont plutôt rassurants, pour le moment. Les nombres de démissions restent constants entre le 2ème trimestre 2019 et 2023. On peut même voir une légère baisse. En 2020, à la même époque, le nombre de personnes démissionnaires a diminué. Effectivement, pendant les périodes de crise et d'incertitude, la démission est moins courante car les opportunités sont plus limitées. Les employés s'accrochent à leur poste et à leur sécurité. Des infos plutôt rassurantes émergent en France On ne peut pas négliger les effets négatifs de cette crise, toutefois, il y a toujours un aspect positif quelque part. En fait, la pandémie a eu des conséquences bénéfiques sur la manière dont les salariés perçoivent leur entreprise. Plus exactement, l'étude menée par Bloom at Work montre que les employés sont plus satisfaits de la communication interne actuelle (80 %) qu'ils ne l'étaient avant (65 %). Ils reconnaissent d'ailleurs que, en général, leur patron prend davantage en considération leur bien-être au travail qu'avant la pandémie. L'explication
se trouve probablement dans l'équilibre entre vie privée et vie professionnelle : 74 % des salariés pensent que leur entreprise leur permet de concilier les deux, contre 51 % avant la crise. Quelques secteurs subissent davantage les effets En France, l'envie de changer de boulot n'est pas aussi répandue que de l'autre côté de l'Atlantique, mais elle touche principalement les domaines les plus exposés à la pandémie. Le secteur de l'hôtellerie-restauration a particulièrement ressenti une vague de démissions plus prononcée au début de l'été 2023 qu'à la normale, et les problèmes pour embaucher se font sentir. On remarque une sorte de dualité chez les employés des hôtels et des restos. Le boulot a été moins intense, voire inexistant, durant plusieurs mois, mais ça a aussi provoqué plus d'instabilité et d'insécurité. Concernant les domaines de la santé, de l'éducation et du commerce, sérieusement impactés par la Covid-19, la remise en question est également généralisée. Les travailleurs ont l'impression d'avoir soutenu le pays pendant plusieurs mois, avec des conditions de travail difficiles, sans recevoir de reconnaissance pour leurs efforts. Une sensation assez semblable dans le secteur Banque & Assurance : les employés déplorent ici l'isolement et le manque d'interaction humaine, pourtant cruciale dans leur métier. Des répercussions inégales en fonction des travailleurs En somme, l'impact de cette situation change beaucoup d'un travailleur à un autre. Pour la moitié d'entre eux, les conséquences ont été assez faibles. 1 employé sur 3 estime que son travail s'est accéléré. Pour 1 sur 10, c'est évident : les conditions de travail ont vraiment empiré durant cette crise. L'épuisement touche aussi plusieurs managers, car ils sont désormais 50% à vouloir abandonner leur poste. Passer de la pensée à l'acte, c'est un petit pas, mais en France, ce pas n'a pas encore été franchi, contrairement aux USA. La tendance américaine n'a pas encore atteint la France de façon notable, mais il faut rester attentif. C'est un changement de paradigme majeur. Les travailleurs ont maintenant le pouvoir et les employeurs doivent tout mettre en œuvre pour les retenir, comme s'ils étaient des clients. 4 conseils pour diminuer le taux de rotation et stimuler les équipes En ces périodes difficiles, les travailleurs ont des chances à prendre. Toutefois, c'est un enjeu majeur pour les sociétés : conserver leurs compétences. Le taux de renouvellement est une inquiétude véritable et il est généralement recommandé de le garder en dessous de 15%. Pour estimer ce pourcentage, on additionne les départs et les arrivées, on divise par le nombre total de travailleurs et on multiplie par 100. Si le résultat est inférieur à 15, le turnover est plutôt bas. Mais attention, s'il est trop bas, cela peut indiquer un manque d'énergie. Les nouveaux travailleurs sont indispensables pour innover. Si le taux dépasse 15, il est temps de réfléchir. L'employeur doit chercher à comprendre les raisons des départs fréquents. Toutefois, ce pourcentage change selon les secteurs. Par exemple, dans la restauration, un taux élevé est normal. 1 - Prendre soin de l'expérience des travailleurs L'expérience des travailleurs est souvent oubliée, mais elle est essentielle. Elle débute dès l'arrivée du salarié dans la société et continue tout au long de sa carrière. On parle également de marque employeur, qui est l'image que la société projette à ses travailleurs. Pour l'améliorer, il faut commencer dès le recrutement. Le candidat doit être en adéquation avec les valeurs et la culture de Djaboo en 2023. Donc, l'intégration c'est vraiment essentiel, car selon une étude de Deloitte, 22% du taux de rotation se produit durant les 45 premiers jours. Un mentor, par exemple, peut être assigné au nouvel arrivant. Il est également primordial de faciliter toutes les missions des employés en mettant en place des procédures numériques. L'enjeu ne concerne pas seulement leur bien-être, mais aussi l'amélioration de la productivité.
Pour une expérience optimale, leur espace de travail doit être repensé pour être le plus agréable possible. Les lieux proposés doivent être pratiques et modernes. 2 – Proposer un véritable parcours de carrière Dans la continuité de l'expérience collaborateur, il est aussi hyper important d'aider chaque employé à envisager son avenir à long terme. Les opportunités de progression au sein d'une entreprise représentent un véritable atout pour attirer les talents, dès l'embauche. Elles permettent ensuite de motiver les employés à s'impliquer et à se dépasser constamment, avec la progression comme but. Les travailleurs doivent pouvoir construire une carrière solide et cela passe par la formation, le suivi et l'accompagnement. Dans les structures plus petites, si les possibilités d'évoluer sont plus restreintes, il est toujours faisable d'élargir au fil des ans le domaine d'un poste et donner à un employé plus de responsabilités. 3 – Repenser la manière de diriger En 2023, ne pas bien s'entendre avec son boss pourrait vraiment impacter la rétention des employés. Les entreprises devraient former tous leurs leaders pour qu'ils adoptent une manière de gérer en adéquation avec les désirs des employés. Le leadership hiérarchique, surtout, devrait laisser place à une méthode plus plate, qui favorise les initiatives. Les membres de l'équipe ont besoin de davantage d'autonomie et de souplesse dans leurs activités quotidiennes. En outre, ils souhaitent donner une signification à leurs actions et se sentir plus valorisés. La gestion collaborative est une super option pour permettre à chaque salarié de s'épanouir et d'utiliser toutes ses aptitudes. Le tout, avec empathie, amabilité et sincérité. 4 – Prendre en compte le bien-être des membres de l'équipe chez Djaboo Pour combler les souhaits des salariés, il est essentiel de les écouter. De nos jours, le confort au travail est un enjeu majeur dans le milieu professionnel. Plusieurs éléments ont un impact sur cette qualité de vie professionnelle. Tout d'abord, recueillir les feedbacks est crucial pour saisir les émotions des collègues et s'adapter en permanence à leurs besoins. La confiance est également un facteur clé au sein d'une équipe, et cela peut se traduire par une plus grande flexibilité dans les horaires, par exemple. Les employés veulent accorder davantage d'importance à leur vie privée, et les sociétés doivent donc tout mettre en œuvre pour qu'un meilleur équilibre soit possible. Cela peut inclure le télétravail, mais aussi divers avantages (tels que les chèques vacances). Enfin, la relation entre les collègues est un indicateur essentiel du climat social. Pour l'améliorer, des activités de renforcement d'équipe pourraient être organisées de manière régulière. En route vers une nouvelle vision du travail Le rapport au travail est en train de changer de façon durable. La crise n'a fait qu'accélérer cette transformation déjà en marche. Les travailleurs, partout sur la planète, sont finalement d'accord : leur vie privée doit être prioritaire. La pandémie modifie totalement notre vision du travail. La France ne connaîtra sans doute pas un pic de démissions comme aux États-Unis, car malgré les désirs de changement et la lassitude de certains salariés, l'engagement reste solide. Toutefois, la quête de sens et de reconnaissance est bien présente. C'est l'un des enjeux majeurs que la crise laisse en héritage. Poussez encore plus loin en apprenant à booster les performances de vos collaborateurs en téléchargeant le manuel pour augmenter le bien-être au boulot ; ou découvrez le CRM d'embauche de Djaboo.
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jaytiff · 9 months
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Quit your fukin job already
Quit your fu*kin job already https://www.youtube.com/watch?v=yVRTKq7XVsY No one wants to be a slave to the 9-5 Job force. Join me and tons of fellow entrepreneurs building digital businesses in my new course called Niche Alchemy. It’s designed specifically for working professionals to build a successful business alongside their 9-5’s in just 1-2 hours per day so they can build financial freedom and quit wasting time in the corporate world. #onlinebusiness #entrepreneur #working #onlinebusiness #quitmyjob #financialfreedom #business #businesstips via Jay Tiff https://www.youtube.com/channel/UCAiyrbCfv3uxvtFmPYixwZA August 18, 2023 at 07:00PM
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Che cos’è il fenomeno ‘’Quittok’’
Un ashtag, insieme a #quitmyjob, da 400 milioni di visualizzazioni e altrettante approvazioni e critiche feroci quello che spopola sul social cinese TikTok, che vede video di ragazzi della cosiddetta generazione Millennial dire addio al loro lavoro da incubo riprendendosi col telefonino e condividendo la propria liberazione col mondo.
Già nel 2021, molti lavoratori di una nota catena di fast food decisero di licenziarsi in massa con lo slogan ‘’Everyone quit’’.
Me le paladine della corrente Quittok sono state l’australiana Christina Zumbo, 31 anni, che riprende i lunghi minuti prima e dopo le proprio dimissioni dal lavoro che la stava consumando, ben retribuito sì, ma che la rendeva infelice e Marisa Jo Mayes, che di anni ne ha 29 e ha sofferto di burnout sul posto di lavoro.
Nel video Christina si mostra ansiosa e insicura fino all’ultimo, non mancano evidenti segni di paura e incertezza, il cuore le scoppia in gola, mille domande le affollano la mente ma poi manda quell’e-mail ripetendo ‘’Lo sto facendo per me’’. Conferma le proprie dimissioni via telefono e dopo piange, con un timido sorriso liberatorio e l’incredulità di essere riuscita a farlo.
Mentre nel video di Marisa, c’è un vero e proprio countdown ansiogeno alla telefonata di dimissioni e sotto la didascalia recita ‘’E’ come se un elefante mi avesse tolto il piede dal petto, ma sono anche triste’’, che esprime quanto le decisioni giuste siano anche le più difficili da prendere.
Queste decisioni coraggiose di amore verso sé stessi condivise con il pubblico social hanno scatenato un seguito incredibile di altri ragazzi che hanno deciso di prendere in mano la propria vita e dire basta a lavori da incubo, che rendono infelici o che minano la propria salute psicologica.
Naturalmente non sono mancate critiche e polemiche, ma prima di gridare all’esibizionismo incontrollato, proporrei un’altra prospettiva.
Le dimissioni sono date con la voce che trema, evidenti segni sul fisico di ansia e la paura del futuro rimane accanto tutto il tempo, anche dopo la scelta. Non sembrano date per fare spettacolo, tutt’altro. Dopo averlo fatto, un crollo emotivo liberatorio si impossessa dei neo-disoccupati, che sanno di aver fatto la scelta giusta per loro ma non per questo hanno sottovalutato le incertezze sul loro futuro da quel momento, che però valgono la pena.
‘’Quittok’’ è l’incipit di quella che sembra una prossima rivoluzione sociale.
Ogni cambiamento parte da qualche coraggioso che si lancia avanti per primo, che rompe il silenzio su qualcosa, che semplicemente dice basta. Vedremo se anche il mondo del lavoro sarà costretto ad adeguarsi.
Cosa c'è dietro #Quittok
La nostra è un’epoca storica in cui abbiamo sdoganato tantissimi concetti tabù, molto importanti.
Uno è quello che avvisa di quanto la salute psicologica sia altrettanto importante di quella fisica, che segni di disagio e malessere non vadano assolutamente sottovalutati in nessun contesto e che la cultura della vergogna vada abolita.
Un altro è quello che pone l’attenzione sulle situazioni e le relazioni definite ‘’tossiche’’, cioè che presentano vari campanelli d’allarme, quindi di vero e proprio pericolo, da cui bisogna allontanarsi in tempo prima di danneggiare sé stessi e la propria vita.
In questo senso la mentalità e la concezione della vita, delle relazioni e degli eventi stanno cambiando e anche il lavoro viene guardato con occhi diversi.
Sta perdendo la sua posizione di predominio assoluto e il suo venire prima di qualsiasi cosa: oggi il lavoro sbatte la testa (e se la rompe) contro il limite del proprio benessere psicologico, sempre più predominante, a cui le nuove generazioni stanno facendo (giustamente) gli occhi dolci.
La strada percorsa dai Millennials è sempre più definita: fra le maggiori priorità ci sono il benessere psicofisico al primo posto, la famiglia, le proprie passioni e un giusto equilibrio fra vita privata e lavoro. Non si è più disposti ad essere corrosi da sentimenti negativi ed emozioni invalidanti in nome dello stipendio, nemmeno se alto nè a subire l'infelicità.
Il timbro fancazzista è dietro l’angolo? Può darsi, ma di fatto i ragazzi non hanno mai dichiarato di non voler lavorare, affatto, ma di volerlo fare in ambienti sani che li lasci crescere.
Il fenomeno ‘’Quittok’’ rende questa nuova corrente di pensiero ancora più spudorata, ancora più dichiarata e ribelle, con un grido social di libertà fortissimo che sfida la paura del proprio futuro.
L’intendo educativo del fenomeno Quittok.
Il fenomeno Quittok ha un unico intento: promuovere la difesa della propria salute mentale a tutti i costi, no matter what. Ascoltare il proprio corpo, prendersi cura della propria mente e controllare costantemente l’andamento della propria vita. Non aver paura di farsi domande e avere il coraggio di darsi delle risposte a cui devono seguire delle scelte, per garantirsi una qualità di vita (almeno) soddisfacente.
Chi si accontenta gode è sempre stato un proverbio discutibile e le nuove generazioni non ci stanno.
Per salvaguardare la qualità delle proprie giornate, anche abbandonare i luoghi di lavoro considerati tossici vuole diventare una scelta giusta e consapevole così come tutte le situazioni che devastano la propria mente per mettere al primo posto la propria serenità. Tutto ciò che ha questo obiettivo non è considerato solo legittimo, ma dovuto.
Il futuro spaventa ancora tutti noi, non solo i ragazzi.
Ma le nuove generazioni stanno imparando a dare il giusto peso a tutte le cose e a pretendere di essere protagonisti della propria vita.
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kopozerehetra · 2 years
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💯 if you get tired learn to rest not quit. Let's learn life with us. Update Daily. 🚘 Thanks for the support. #tired #tired😴 #tiredoftrying #tiredteacher #tiredpuppy #tiredness #tiredmom #tiredaf #tiredpup #tiredpup #tiredmumsclub #tiredsoul #learn #quit #neverquit #quite #quitoecuador #quitter #quitoecuador #quitoecuador🇪🇨 #dontquit #quites #quitmyjob (at IT Park) https://www.instagram.com/p/ChFlAJCLvnn/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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theblankcanvas · 3 years
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I quit my job today. Not sure that there’s much else to say.
10 15 21
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LINK IN BIO TO START 🤑🥳💯 * * Drop a Like 👍 Drop a Comment * * @fmasias_am @fmasias_am * * Shared with someone who needs this * * Like/Comment/Share * * #bestaffiliateprogram #affiliatemarketingnetwork #affiliatemarketingofflineonline #affiliatemarketingtips #builderallbusiness #onlineincome #affiliatemarketingbusiness #affiliates #affiliateincome #affiliatemarketer #quitmyjob #onlinebuisness #remotejobs #remotework #worklife #thereissomething https://www.instagram.com/p/CSaaxt3rx83/?utm_medium=tumblr
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aussie-brat · 3 years
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So I officially quit my job. I can now spend all day in my pjs and in bed lol 😛🥳#quitmyjob #stayathomemum #pjsallday #bedallday #aussiemums #aussiebrat #pjs #peircings #tonguepiercing #lovethechub #mumtum #whatsthenextstep #brat #milfgang (at Cairns, Queensland, Australia) https://www.instagram.com/p/CSI4PNPHr3I/?utm_medium=tumblr
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How To Quit My Job And Work For Myself At Home | My Story
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How to quit my job and work for myself at home was a question I pondered for years before having the courage to actually do it.  You see I HATED my job and got no job satisfaction whatsoever.  I was a Carpenter or as we call it here in Scotland a 'Joiner' For 20 years I was a timber frame house erector if you do not know what that is, no worries. Just know it's very heavy manual labor which entails working outside no matter the weather, rain, hail, or snow. Our summers here in Scotland are 2 weeks of sunshine if you are lucky lol. I'm from a working-class town and family and having a 'trade' is considered amazing and you are set for life and will never be out of work. No one ever mentions that actually liking your job should be a requirement. "Just keep the head down" do your job and get on with it is a common saying. Even if you loath it. This is a sad state of affairs and this way of thinking should be eradicated.  There is a better way, there are endless opportunities out there you just need to do your research (like you are doing here) and make a plan. I had to get out of my job, It was killing me slowly Sound a bit OTT?  It does a little lol, but that's how I felt inside.  Working a job that you find boring and doing that in harsh weather day in day out eats away at you.  I ended up depressed and really unhappy for the most part.  I have lots of friends who work construction and most just get on with it but deep down they don't like it either.  Read the full article
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kingsmitty55 · 4 years
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Manager: Its your 10th time coming in late this month and it's the 14th of the month, and your off on weekends. Your out of dress code, again. And we asked you to stop shooting your music videos after hours in the office especially after the incident on Christmas eve. Guess what we saw your youtube. Were going to have to let you go son.
Me: Damn, you sure this my 10th time
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socialmediahubza · 4 years
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🥳💎 10 Famous Failures to Success Stories That Will Inspire You to Carry On 💎🥳 💸💸 5. Abraham Lincoln Failing in business in 1831, suffering a nervous breakdown in 1836, defeated in his run for president in 1856, Abraham Lincoln was no stranger to rejection and failure. Rather than taking these signs as a motivation for surrender, he refused to stop trying his best. In this great man’s words: “My great concern is not whether you have failed, but whether you are content with your failure.” Lincoln was elected in 1861 as the 16th President of the United States of America. The amount of rejection you receive is not a defining factor. Success is still within your reach. Credit: Life Hack - Elizabeth Andal & Pacific Standard 🙏Thank you all for you ongoing support, we love you!! WE APPRECIATE YOU! * Hit Like or Love if you learnt from these #Thirsty4SuccessThursday posts.. * #smhza #besocialdigitally #success #thursday #entrepreneur #selfmotivation #motivtion #failure #quitmyjob #quit #happiness #freedom #Top10 #nervousbreakdown #motivation #content #define Failure is simply the opportunity to begin again, this time more intelligently. — Henry Ford https://www.instagram.com/p/B-MH30XDctX/?igshid=128rapzgoeoue
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djaboo-app · 6 months
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Aux États-Unis, en août 2023, un événement incroyable a eu lieu : 4,3 millions de personnes ont dit adieu à leur job. « The Great Resignation » (le grand départ) est clairement un effet de cette crise qui a bousculé notre relation au travail. Face à ce phénomène troublant, des économistes du monde entier étudient cette tendance et tentent de déterminer les causes éventuelles. C'est l'opportunité d'analyser la situation en France : devrions-nous nous préparer à voir cette tendance traverser l'océan Atlantique ? Le grand départ : un coup d'œil sur ce phénomène chez Djaboo Le grand exode : un regard sur ce phénomène Depuis février 2023, près de 22,5 millions d'employés américains ont abandonné leur poste. Les chiffres sont éloquents : 40% de ces individus travaillaient dans des secteurs durement touchés par la crise, tels que l'hôtellerie, la restauration et les services à domicile. En moins d'un an, plus de 3% des travailleurs du secteur privé ont quitté leur job : cela ne s'était pas produit depuis 20 ans, dépassant l'ancien record de 2,8% en janvier 2001. Est-ce une tendance qui va perdurer ou simplement un effet domino ? Difficile à dire pour l'instant, mais en tout cas, ça prend de l'ampleur depuis quelques mois et ça devient même un phénomène sur les réseaux sociaux. Beaucoup de ceux qui ont quitté leur emploi ont partagé ce moment sur TikTok, avec le hashtag #quitmyjob. Il y a plusieurs raisons derrière cette décision soudaine des travailleurs américains, après la crise. 1 – Plus de temps pour réfléchir Généralement, le principal frein à la mobilité professionnelle, c'est le temps. Coincés dans le quotidien et la routine, les salariés n'ont finalement pas le temps de penser à d'autres options de carrière ou simplement, de se poser des questions. Le premier confinement est arrivé d'un coup et beaucoup de personnes se sont retrouvées en chômage partiel. Parallèlement, leur vie sociale a aussi été mise en pause. La conjoncture inédite a offert la chance à tout le monde de méditer sur son parcours professionnel et, plus généralement, sur son existence. Un souhait authentique de retourner à l'essentiel a surgi en pleine crise sanitaire, et le boulot a finalement été relégué au second plan. Tandis qu'ils se souciaient durant plusieurs mois de leur bien-être et de celui de leur entourage, les employés du monde entier ont compris que leur vie de travail ne devait plus empiéter sur leur vie privée. 2 – Un environnement de travail compliqué Quoique La Grande Démission touche l'ensemble des strates sociales, la majorité des démissionnaires viennent des métiers qui ont été en première ligne durant la pandémie. Face à une tension élevée et des conditions de travail ardues, beaucoup ont exprimé leur épuisement. La démission est pour eux une manière de se faire écouter et de dévoiler la réalité de leur vie quotidienne. Des horaires difficiles, des rémunérations trop faibles, une exposition permanente au virus, un manque de reconnaissance : tous ces facteurs contribuent à la complexité de leur travail. Il est également crucial de souligner que le retour de l'inflation nuit énormément aux salaires les plus modestes, qui endurent une diminution de leur pouvoir d'achat. Les prévisions de cette inflation aux États-Unis sont d'environ 6,2 % sur une année. Le journal US Tough Cookies a exposé les conditions de boulot ardues, grâce au témoignage d'Alex. Pendant la pandémie, cette travailleuse sociale s'est retrouvée coincée à la maison, enchaînant les réunions sur Zoom toute la journée dans sa chambre. Le rythme s'est intensifié : en tant que thérapeute, elle a dû "rencontrer" ses patients de plus en plus souvent, confrontés à des problèmes aggravés par la crise. En plus de toutes les séances journalières, elle mentionne également une charge de travail administratif plus lourde. Beaucoup d'heures supplémentaires pour lesquelles elle ne reçoit pas de compensation. Elle raconte que les burnouts professionnels ont été courants autour d'elle et qu'au lieu d'en arriver là, elle a décidé de quitter son boulot en avril 2023.
Une déchirure, car Alex faisait un travail passionnant, mais ses conditions de travail, comme pour beaucoup d'Américains, n'étaient plus supportables. 3 – Un rapport au travail différent avec Djaboo On dirait que les habitants des États-Unis passent ce cap plus aisément, car leur vision du travail est autre. En France, on cherche la sécurité, avec le fameux CDI, qui compte beaucoup, alors qu'aux USA, les contrats sont davantage flexibles et moins officiels. Trouver un nouvel emploi est finalement aussi aisé que d'en laisser un. Les Américains ne désirent plus subir le proverbe "métro-boulot-dodo" et veulent aussi donner une grande importance à leur vie personnelle. Prendre sa retraite plus tôt est d'ailleurs devenu une vraie mode : de l'autre côté de l'Atlantique, de plus en plus de gens adhèrent au mouvement du "early retirement". L'idée est d'épargner suffisamment pendant quelques années pour pouvoir prendre sa retraite en milieu de carrière. 4 – Les appuis financiers pendant la crise Les moyens financiers sont également souvent un frein à la démission. Il est compliqué de quitter un emploi sûr sans avoir d'économies. Une décision qui se fait donc rarement sur un coup de tête et qui demande d'avoir un certain bas de laine avant de se jeter à l'eau. Durant la pandémie, les aides versées aux foyers ont peut-être incité les employés à démissionner, profitant des subventions pour prendre de l'avance. Pour les classes plus aisées, les excellentes performances à la Bourse leur ont donné l'occasion d'augmenter leurs revenus et certains ont peut-être pu partir en retraite plus tôt. Ce que confirment les données, qui montrent que le phénomène touche surtout les plus jeunes et, à l'inverse, les plus âgés. 5 - L'apparition du travail à distance en 2023 grâce à Djaboo Trouver un boulot dans une métropole est sans doute plus simple que dans des endroits reculés. Ceux qui vivent loin des zones urbaines doivent souvent être mobiles pour avancer dans leur carrière. Avec la crise sanitaire, la façon de travailler a totalement évolué. Le télétravail a bouleversé la situation, permettant à chaque américain de travailler depuis chez lui. Bien que la plupart d'entre eux soient retournés au boulot en présentiel, le travail à domicile est devenu une nouvelle réalité, proposant des opportunités captivantes aux actifs partout aux États-Unis. Des salariés souhaitant changer d'emploi pourront postuler à des postes en télétravail à 100 %, même s'ils n'habitent pas dans une grande cité. La grande démission touchera-t-elle également les travailleurs français en 2023 ? On ne sait pas encore assez sur cette situation sans précédent aux USA et sur la pandémie en général. Cependant, il existe quand même des signaux inquiétants partout sur la planète. Surtout, dans les nations de l'OCDE, on remarque une augmentation de 14 millions d'individus sans travail et qui ne cherchent pas de job, depuis la pandémie. En France, les indicateurs sont plutôt rassurants, pour le moment. Les nombres de démissions restent constants entre le 2ème trimestre 2019 et 2023. On peut même voir une légère baisse. En 2020, à la même époque, le nombre de personnes démissionnaires a diminué. Effectivement, pendant les périodes de crise et d'incertitude, la démission est moins courante car les opportunités sont plus limitées. Les employés s'accrochent à leur poste et à leur sécurité. Des infos plutôt rassurantes émergent en France On ne peut pas négliger les effets négatifs de cette crise, toutefois, il y a toujours un aspect positif quelque part. En fait, la pandémie a eu des conséquences bénéfiques sur la manière dont les salariés perçoivent leur entreprise. Plus exactement, l'étude menée par Bloom at Work montre que les employés sont plus satisfaits de la communication interne actuelle (80 %) qu'ils ne l'étaient avant (65 %). Ils reconnaissent d'ailleurs que, en général, leur patron prend davantage en considération leur bien-être au travail qu'avant la pandémie. L'explication
se trouve probablement dans l'équilibre entre vie privée et vie professionnelle : 74 % des salariés pensent que leur entreprise leur permet de concilier les deux, contre 51 % avant la crise. Quelques secteurs subissent davantage les effets En France, l'envie de changer de boulot n'est pas aussi répandue que de l'autre côté de l'Atlantique, mais elle touche principalement les domaines les plus exposés à la pandémie. Le secteur de l'hôtellerie-restauration a particulièrement ressenti une vague de démissions plus prononcée au début de l'été 2023 qu'à la normale, et les problèmes pour embaucher se font sentir. On remarque une sorte de dualité chez les employés des hôtels et des restos. Le boulot a été moins intense, voire inexistant, durant plusieurs mois, mais ça a aussi provoqué plus d'instabilité et d'insécurité. Concernant les domaines de la santé, de l'éducation et du commerce, sérieusement impactés par la Covid-19, la remise en question est également généralisée. Les travailleurs ont l'impression d'avoir soutenu le pays pendant plusieurs mois, avec des conditions de travail difficiles, sans recevoir de reconnaissance pour leurs efforts. Une sensation assez semblable dans le secteur Banque & Assurance : les employés déplorent ici l'isolement et le manque d'interaction humaine, pourtant cruciale dans leur métier. Des répercussions inégales en fonction des travailleurs En somme, l'impact de cette situation change beaucoup d'un travailleur à un autre. Pour la moitié d'entre eux, les conséquences ont été assez faibles. 1 employé sur 3 estime que son travail s'est accéléré. Pour 1 sur 10, c'est évident : les conditions de travail ont vraiment empiré durant cette crise. L'épuisement touche aussi plusieurs managers, car ils sont désormais 50% à vouloir abandonner leur poste. Passer de la pensée à l'acte, c'est un petit pas, mais en France, ce pas n'a pas encore été franchi, contrairement aux USA. La tendance américaine n'a pas encore atteint la France de façon notable, mais il faut rester attentif. C'est un changement de paradigme majeur. Les travailleurs ont maintenant le pouvoir et les employeurs doivent tout mettre en œuvre pour les retenir, comme s'ils étaient des clients. 4 conseils pour diminuer le taux de rotation et stimuler les équipes En ces périodes difficiles, les travailleurs ont des chances à prendre. Toutefois, c'est un enjeu majeur pour les sociétés : conserver leurs compétences. Le taux de renouvellement est une inquiétude véritable et il est généralement recommandé de le garder en dessous de 15%. Pour estimer ce pourcentage, on additionne les départs et les arrivées, on divise par le nombre total de travailleurs et on multiplie par 100. Si le résultat est inférieur à 15, le turnover est plutôt bas. Mais attention, s'il est trop bas, cela peut indiquer un manque d'énergie. Les nouveaux travailleurs sont indispensables pour innover. Si le taux dépasse 15, il est temps de réfléchir. L'employeur doit chercher à comprendre les raisons des départs fréquents. Toutefois, ce pourcentage change selon les secteurs. Par exemple, dans la restauration, un taux élevé est normal. 1 - Prendre soin de l'expérience des travailleurs L'expérience des travailleurs est souvent oubliée, mais elle est essentielle. Elle débute dès l'arrivée du salarié dans la société et continue tout au long de sa carrière. On parle également de marque employeur, qui est l'image que la société projette à ses travailleurs. Pour l'améliorer, il faut commencer dès le recrutement. Le candidat doit être en adéquation avec les valeurs et la culture de Djaboo en 2023. Donc, l'intégration c'est vraiment essentiel, car selon une étude de Deloitte, 22% du taux de rotation se produit durant les 45 premiers jours. Un mentor, par exemple, peut être assigné au nouvel arrivant. Il est également primordial de faciliter toutes les missions des employés en mettant en place des procédures numériques. L'enjeu ne concerne pas seulement leur bien-être, mais aussi l'amélioration de la productivité.
Pour une expérience optimale, leur espace de travail doit être repensé pour être le plus agréable possible. Les lieux proposés doivent être pratiques et modernes. 2 – Proposer un véritable parcours de carrière Dans la continuité de l'expérience collaborateur, il est aussi hyper important d'aider chaque employé à envisager son avenir à long terme. Les opportunités de progression au sein d'une entreprise représentent un véritable atout pour attirer les talents, dès l'embauche. Elles permettent ensuite de motiver les employés à s'impliquer et à se dépasser constamment, avec la progression comme but. Les travailleurs doivent pouvoir construire une carrière solide et cela passe par la formation, le suivi et l'accompagnement. Dans les structures plus petites, si les possibilités d'évoluer sont plus restreintes, il est toujours faisable d'élargir au fil des ans le domaine d'un poste et donner à un employé plus de responsabilités. 3 – Repenser la manière de diriger En 2023, ne pas bien s'entendre avec son boss pourrait vraiment impacter la rétention des employés. Les entreprises devraient former tous leurs leaders pour qu'ils adoptent une manière de gérer en adéquation avec les désirs des employés. Le leadership hiérarchique, surtout, devrait laisser place à une méthode plus plate, qui favorise les initiatives. Les membres de l'équipe ont besoin de davantage d'autonomie et de souplesse dans leurs activités quotidiennes. En outre, ils souhaitent donner une signification à leurs actions et se sentir plus valorisés. La gestion collaborative est une super option pour permettre à chaque salarié de s'épanouir et d'utiliser toutes ses aptitudes. Le tout, avec empathie, amabilité et sincérité. 4 – Prendre en compte le bien-être des membres de l'équipe chez Djaboo Pour combler les souhaits des salariés, il est essentiel de les écouter. De nos jours, le confort au travail est un enjeu majeur dans le milieu professionnel. Plusieurs éléments ont un impact sur cette qualité de vie professionnelle. Tout d'abord, recueillir les feedbacks est crucial pour saisir les émotions des collègues et s'adapter en permanence à leurs besoins. La confiance est également un facteur clé au sein d'une équipe, et cela peut se traduire par une plus grande flexibilité dans les horaires, par exemple. Les employés veulent accorder davantage d'importance à leur vie privée, et les sociétés doivent donc tout mettre en œuvre pour qu'un meilleur équilibre soit possible. Cela peut inclure le télétravail, mais aussi divers avantages (tels que les chèques vacances). Enfin, la relation entre les collègues est un indicateur essentiel du climat social. Pour l'améliorer, des activités de renforcement d'équipe pourraient être organisées de manière régulière. En route vers une nouvelle vision du travail Le rapport au travail est en train de changer de façon durable. La crise n'a fait qu'accélérer cette transformation déjà en marche. Les travailleurs, partout sur la planète, sont finalement d'accord : leur vie privée doit être prioritaire. La pandémie modifie totalement notre vision du travail. La France ne connaîtra sans doute pas un pic de démissions comme aux États-Unis, car malgré les désirs de changement et la lassitude de certains salariés, l'engagement reste solide. Toutefois, la quête de sens et de reconnaissance est bien présente. C'est l'un des enjeux majeurs que la crise laisse en héritage. Poussez encore plus loin en apprenant à booster les performances de vos collaborateurs en téléchargeant le manuel pour augmenter le bien-être au boulot ; ou découvrez le CRM d'embauche de Djaboo.
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heemali · 4 years
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Have quit my job to enjoy some downtime in life. But still feeling guilty as hell when out strolling or just enjoying the sun on weekdays. Capitalism, what have you done to me?
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cait-marshall-blog · 5 years
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Don’t Panic! I Quit My Job #1
I quit my job! I am headstrong and stubborn and I quit my job! Ok, deep breath. Don’t Panic!
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webmoneyguru · 6 years
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therealmrhandleit · 2 years
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