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Changez vos préjugés diététiques pour vous libérer et mincir pour de bon.
Des préjugés diététiques. En avez-vous ? Je parie que spontanément vous répondez :  “non pas moi” ou plutôt : “oui peut-être et alors”. Croyez-vous que pour maigrir il faut faire un régime hyper-protéiné ? Croyez-vous qu’il faut favoriser les légumes et les fruits, encore les légumes et les fruits, toujours les légumes et...quoi ah oui les fruits ? Croyez-vous que pour garder la ligne vous devez éviter certaines associations d’aliments : par exemple les pommes de terre avec la viande ? Croyez-vous que pour rester mince vous devez consommer le moins possible de matière grasse ou bien vous interdire le chocolat et les pâtisseries ?
Croyez-vous que pour maigrir et être en bonne santé les règles du type : “faites trois repas par jour”, “ne sautez jamais de repas”, “mangez cinq fruits et légumes par jour” ont une réalité physiologique ? Je vous le dis clairement oubliez toutes ces stupides règles !!!
Vous êtes tout à fait capable de vous réguler vous-même. Ces injonctions diététiques sont tout à fait compréhensibles puisque elles correspondent encore à des centaines d’articles qui fleurissent dans les magazines et sur internet. Face à cette profusion de recettes toutes faites, je vous informe en m’appuyant sur ne nombreuses études scientifiques que c’est VOUS qui détenez les clés de votre régulation alimentaire et donc de votre équilibre. C’est VOUS qui pouvez réapprendre à écouter votre corps et à lui faire confiance. C’est VOUS qui pouvez comprendre que ce sont vos émotions qui vous jouent des tours et vous donnent des envies irrépressibles de manger. C’est VOUS qui pouvez identifier vos comportement qui vous mettent en état de stress. Stress qui accentue et retient votre état de surpoids.
Vous êtes la solution. C’est vous libérant de vos a priori sur tel ou tel aliment , en réalisant que la solution pour maigrir durablement se trouve dans votre tête que vous allez gagner en autonomie et en confiance à vous alimenter instinctivement et bye bye les kilos
Pour en savoir plus je vous recommande de découvrir ma chaine Youtube :https://www.youtube.com/user/minciravecmoncoach/featured?view_as=subscriber
Chaleureusement, Fabrice Bonnerot - Rzepiennik
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6 chaines mentales qui vous empêchent de perdre du poids
Vous voulez depuis longtemps perdre vos kilos en trop. Vous avez consulté des nutritionnistes, fait des régimes, pris des substituts de repas mais toutes ces démarches se sont soldées sur le long terme par des échecs. Je vous donne ici quelques exemples de croyances et de conditionnements mentaux à considérer.
1. La peur de manquer. Enfant vous étiez obligé de prendre trois à quatre repas par jour, vous étiez obligé de finir votre assiette même si vous n'aviez plus faim. Vous avez vu vos parents, vos grands-parents qui ont connu la guerre, faire des réserves pour tenir des mois en cas de pénurie. Inconsciemment vous avez développé la peur de manquer qui continue d'influencer à vos dépends vos comportements alimentaires.
 2. L'aversion pour les limites. Autre cas de figure, vos parents n'osaient pas vous donner des règles ou des limites et disaient bien trop souvent "oui" à vos demandes innocentes de friandises, ou bien ils vous donnaient à manger pour vous calmer. Ainsi vous avez fait de l'acte de manger un passe-temps ou un calmant.
 3. La nourriture réconfort. Le stress du quotidien et le sentiment que la vie est dure peuvent vous conduire à manger pour vous apporter du réconfort. Mes clients me disent souvent que c'est tout particulièrement en fin de journée dès qu'ils sortent du travail ou en remangeant après le repas une fois les enfants couchés. Comment mincir quand vous n'utilisez plus l'alimentation pour vous nourrir mais pour vous consoler ?
 4. La gourmandise. Derrière ce mot tout mignon se cache souvent un véritable rapport de dépendance voir d'addiction à la nourriture (et éventuellement à l'alcool) et au plaisir qu'elle procure. S'ajoute à cela l'image du bon vivant jovial et sympa. Je vois beaucoup de mes clients qui cachent derrière cette façade des souffrances refoulées et des fêlures, sources d'une profonde tristesse.
5. La publicité. Depuis notre plus tendre enfance, nous avons été matraqués de slogans publicitaires, de promesses fallacieuses qui ont créé des réflexes pavloviens : "la pause Kitkat", "un Mars et ça repars", "Lindt, quelques grammes de finesse dans un monde de brut", "Coca-Cola, ouvrez du bonheur", "Nestea, un goût de libertea", "Haribo, c'est beau la vie, pour les grands et les petits". Pour remettre l'alimentation à sa juste place dans votre vie, vous devez décoloniser votre imaginaire, vous détacher émotionnellement des marques omniprésentes.
 6. La pression sociale. "Tu ne manges pas ? Ça ne  va pas ?", "Tu sais ce n'est pas bon de sauter des repas", "T'as pas faim, tu es malade ?". Tout autant de remarques qui peuvent advenir si vous ne mangez pas au bureau, lors de repas de famille ou aux apéros entre amis. La nourriture est devenue tellement centrale dans nos rapports sociaux que votre entourage peut s'en étonner, s'en inquiéter et leurs remarques peuvent être inconvenantes au point de vous pousser à manger sans avoir vraiment faim.
En réponse seule une approche globale (corporelle, émotionnelle et psychologique) permettra de vous libérer de vos croyances limitantes et de perdre du poids durablement. Vous êtes une personne unique avec votre propre histoire, aussi une méthode facile qui a marché pour d'autres peut être totalement inefficace pour vous. A vous d'engager une démarche de développement personnel en échangeant avec votre entourage, en lisant des livres et si vous en sentez le besoin en vous faisant accompagner par un professionnel "parce que vous le valez bien".
Chaleureusement,
Fabrice Bonnerot
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Pourquoi je ne sens pas que je mange trop ?
1. Je ne sens plus assez la douleur
2. Moins de peine mais moins de joie et d’instinct
3. La douleur me veut du bien
4. Me sentir plus vivant pour mincir pour de bon
1. Je ne sens plus assez la douleur. La douleur est un message ponctuel qui m'informe que je dois me protéger ou me soigner mais il se peut que je ne le sente plus assez finement ses signaux, que je sois entrainé à endurer la souffrance. Comment cela est-il possible ?
Si quand j'étais enfant j'ai vécu de façon répétée des situations traumatisantes (maltraitance physique, abus sexuel, violence psychologique...) je me suis progressivement désensibilisé en sécrétant en surabondance des endomorphines.  Je me suis constitué un blindage, une carapace.
Moins de “sentir” entraine aussi par des extrêmes en matière de "faire" (hyperactivité ou alors apathie) et de "penser" (surefficience ou déficience mentale).
2. Moins de peine mais moins de joie et d’instinct. Si le mécanisme de désensibilisation m'a permis d'endurer le mal quand je ne pouvais le fuir, une fois devenu adulte d'une part je ne suis plus assez sensible au mal pour m'en préserver et d'autre part pour sentir le plaisir de vivre. Je vis dans une forme de tiédeur où toutes les sensations agréables et désagréables se confondent, je suis coupé de mon corps. Seuls des extrêmes de douleur ou de plaisir pourront m'alerter ou me satisfaire.bEn résumé je sens moins ce qui est bon et ce qui est mauvais pour moi (physiquement et émotionnellement). Je suis moins instinctif et moins intuitif dans mes choix, mes comportements et mes actions, cela m'empêche de me créer une vie où je fais mon bien et mon bonheur. Je suis insatisfait, frustré et je mange pour adoucir ma souffrance, pour me donner du réconfort. Derrière le surpoids, il y a bien souvent de la souffrance enduré dans le silence et l'impuissance.
3. La douleur me veut du bien. La nature est parfaite, tout a une utilité ! Tout particulièrement la douleur qui a pour but de m'alerter d'une altération de ma santé. Si je me coince un doigt dans la porte, "Aie !", la douleur aiguë déclenche un réflexe pour retirer mon doigt. La douleur contribue à me protéger notamment de manger au delà de mes besoins physiologiques. Il en va de même pour la souffrance émotionnelle, les émotions négatives : colère, peur, tristesse, honte, dégoût vise à me faire réagir dans mon intérêt  pour me faire revenir à l'émotion de base : la joie. Oui l'émotion de croisière doit être la joie, encore la joie, toujours la joie !
4. Me sentir plus vivant pour mincir pour de bon. Voilà pourquoi mincir durablement nécessite de me reconnecter à mon corps. Comment ? En arrêtant de me cacher ce qui m'a fait souffrir dans mon passé, en apprenant à accueillir la douleur et la peine comme des messagers bienveillants. Par cela je vais cesser de manger mes émotions de souffrance et de tristesse. Je vais apprendre à faire confiance à mon corps pour me dire quand, quoi et en quelle quantité j'ai besoin de boire et manger.
Ainsi je vais mincir à mon rythme kilo après kilo naturellement, facilement et…joyeusement. Plus généralement je vais faire corps avec mon corps, je vais me relier à lui, je vais plus sentir le plaisir d'être vivant et plus ressentir la joie de vivre, ici et maintenant.
Chaleureusement, Fabrice Bonnerot
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Faut-il manger plus pour faire face au froid ? Pas vraiment, plutôt d'autres choses comme...dormir plus !
Avec ce froid venu de Sibérie, il est possible que vous ayez un peu plus faim mais n'exagérons rien, gare au syndrome : "marre de l'hiver, allez j'me ressers". Sauf si vous travaillez dehors 8 heures par jour, si vous travaillez en intérieur à 20 degrés en fait vous êtes exposés au froid que lors des moments de transports donc doucement sur la raclette, la tartiflette et autre spécialité avec moult fromage. Sinon au printemps vous vous demanderez une fois de plus "comment mincir...?".
Néanmoins le froid affecte votre organisme et aussi votre moral, en réponse voici ma "liste des douceurs" pour bien prendre soin de vous : - faîtes confiance à votre estomac pour la faim et la satiété (oui je sais je radote mais c'est la base de la base pour maigrir et garder son poids de santé), - soignez votre vie sociale, les bons moments en famille et entre amis réchauffent le cœur, - amusez-vous, divertissez-vous, émerveillez-vous : console de jeu, jeu de société, bars, restos, club, conférences, concerts, théâtre, ciné, salons, musées, galléries, expos...en région parisienne nous sommes gâtés, - n'arrêtez pas de solliciter votre corps, bougez avec intensité deux à trois fois par semaine : danse, salle, fitness, yoga mais même marche nordique et course à pieds, avec des gants et des caches-oreilles ça le fait ! Ne faîtes pas du sport pour perdre du poids mais pour le plaisir (avec la chanson d’Herbert Leonard - “Pour le plaisir” euh non peut-être pas. - réchauffez-vous de délicieuses boissons chaudes : doucement sur le café et selon vos goût et les horaires : infusion ou thé, - faîtes des petites, des moyennes et des pauses totales, assis au bureau, yeux fermés concentrés sur votre respiration, - cocoonez, appréciez le "home sweet home" : tricot, écriture, lecture sous un plaide sur le canapé ou sous le couette, - dormez vos 8 heures, 9 et même 10 s'il le faut !
En faisant tout ça, vous vous assurez de ne pas prendre poids, en tout cas pas trop, 2/3 kilos juste pour être un peu plus protéger. Et surtout vous nourrissez votre corps de bonnes ondes, de bonnes vibrations, vous mangez juste à votre faim ce qui vous fait plaisir, vous renforcez votre système immunitaire et gardez le sourire. Ainsi quand le printemps arrivera vous ne vous lamenterez pas sur les kilos superflus et vous serez en forme pour profiter encore mieux des bienfaits des beaux jours.
Chaleureusement,
Fabrice Bonnerot, coach comportementaliste
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Comment perdre du poids pour longtemps, longtemps, longtemps ?
Le surpoids est une réponse de défense de votre corps.
Tout d’abord perdre du poids efficacement passe bien sur par cesser de faire des régimes qui dérèglent votre organisme et par apprendre à vous alimenter de manière instinctive en écoutant votre faim (cf. cet article). Cette première étape est nécessaire mais elle est peut être limité parce que votre surpoids a toujours des raisons d’être encore plus profondes. Il trouve essentiellement son origine dans vos mécanismes de défense innés dont l’objectif est de vous protéger par rapport à vos peurs, vos angoisses et votre environnement toxique (relations, travail...). Comprenez bien que ce ne n'est pas votre vie qui est stressante mais bien VOUS qui stressez consciemment et le plus souvent inconsciemment pour votre vie selon votre personnalité : vos blessures, vos croyances, vos valeurs et votre perception.
Pour s’armer et ainsi pouvoir se défendre, votre corps utilise le seul moyen qu'il connait : stocker des graisses et prendre du volume. Les objectifs poursuivis sont prioritairement d’avoir les réserves de « carburant » pour résister à ce que vous considérez comme des épreuves et de vous présentez comme le plus imposant possible face aux "adversaires". La nourriture étant également connue pour ses pouvoirs anesthésiants et réconfortants, quoi de mieux que de manger pour apaiser votre souffrance ? En apportant une « solution nourriture » vous adoptez des comportements d’évitement qui ne calment que ponctuellement vos tensions internes. Ces réactions sont déclenchées par l'instinct de survie et vous empêchent de perdre du poids efficacement. Pour inverser celles-ci, cela nécessite donc d'interpréter et réagir différemment aux événements de votre vie.
Vous découvrir, vous connaître, vous comprendre pour mieux vous libérer.
Vos comportements découlent de vos pensées et avant tout de vos ressentis et de vos états émotionnels. En d’autres termes, changer votre perception de votre vie en général est le point de départ pour modifier vos choix et vos actes. C'est en cela que l'approche comportementale de mon coaching  permet de perdre du poids efficacement et pour longtemps, longtemps, longtemps. Celui-ci propose une découverte de vous-même, de vos mémoires héritées (de vos parents et de vos ascendants), acquises (durant l'enfance et l'adolescence) et vécus (en tant qu'adulte). Des pensées telles que vivre votre vie comme un combat, ne pas vous sentir à la hauteur, avoir peur d’être confronté aux autres et à leurs jugements, ne pas savoir poser vos limites, faire passer les autres avant vous, ne pas reconnaître votre propre valeur, avoir peur de manquer d'argent, d'amour, etc. créent des comportements automatiques qui vous emprisonnent et vous pénalisent.
Vous en libérer nécessite un accompagnement personnalisé, car même si votre mental a les moyens de se repérer seul, encore faut-il lui dire par où il doit passer pour trouver ses propres solutions. Progressivement vous apprenez à les repérer, à les accepter et en expérimenter de nouveaux. En effet ce n'est que par l'expérience que vous pouvez tirer des conclusions, apprendre, modéliser et ainsi perdre du poids efficacement.
Ce cheminement de développement personnel vous permet d'agir en création plutôt qu'en réaction et de devenir vous-même...en mieux !
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Mangez plus souvent pour mincir pour de bon, si si !!!
Le surpoids est causé par un déséquilibre entre les apports et les dépenses caloriques. Lorsque les calories fournies par l’alimentation (les apports) sont supérieures aux calories consommées par le métabolisme du corps (les dépenses), il y a stockage du surplus sous forme de graisses.
Alors comment mincir pour de bon ?
En agissant sur deux niveaux :
- réguler vos apports selon la régulation de la faim (cf. article),
- augmenter vos dépenses issues du métabolisme de votre corps.
Le terme métabolisme vient du grec «metabolismos» qui signifie changement ou encore transformation. Le métabolisme est l’ensemble des réactions se produisant dans les cellules de votre organisme.  Il comprend trois composantes :
- le métabolisme de base ou métabolisme basal (MB),
- l’activité physique et intellectuelle,
- la digestion, oui la digestion elle-même !
Comment mincir pour de bon en augmentant votre MB ?
Dans la pratique, on associe le métabolisme basal à la quantité d’énergie dépensée au repos, éveillé, à jeun, à température normale (pas de lutte contre le chaud ou le froid), pour assurer les fonctions vitales : fonctionnement des organes vitaux, maintien de la température corporelle, renouvellement des cellules. Il dépend de plusieurs paramètres : le sexe, la taille, le poids, l’âge. Plus vous êtes grand et fort, plus le nombre de cellules à alimenter est élevé et plus l’énergie dépensée est grande. Il représente la plus grande proportion de votre dépense calorique quotidienne soit 70%, oui 70 % sans même lever le petit doigt !
Vous ne pouvez guère influencer votre MB car celui-ci est déterminé génétiquement. Le principal moyen est d'augmenter votre masse musculaire. Pour cela je préconise d'alterner les séances de footing/cardio avec des séances de musculation. Un entraînement musculaire d'une bonne intensité provoque des micro-déchirures au niveau des muscles. Ceux-ci doivent alors réparer les lésions pour se reconstruire. Ce processus occasionne une dépense calorique accrue pendant la récupération. Avec une masse musculaire plus importante, vous brûlez en permanence plus de graisses même pendant votre sommeil.
Comment mincir pour de bon en augmentant votre activité physique ?
Vos gestes quotidiens, le fait de penser, de parler, de vous déplacer sont autant d’actions consommatrices d’énergie qui s’ajoutent au métabolisme de base (MB). Ces activités représentent environ 20% de vos dépenses totales. Plus vous vous dépensez physiquement, plus votre métabolisme augmente. Vous êtes en surpoids et vous avez des difficultés à (re)commencer une activité physique En effet celui-ci vous empêche de vous mouvoir facilement. Alors vous décidez de marcher pour maigrir, sachez que cette activité est insuffisante. Le nombre de muscles sollicités n'engendre pas une dépense calorique importante. De plus l'absence de vibrations lors du déplacement ne favorise pas la tonification musculaire qui concourt à l'augmentation du métabolisme basal (MB).
Parmi les meilleurs sports pour maigrir, la course à pied, la corde à sauter, la danse... Voici un lien vers un plan course à pied pour personnes sédentaires ou en condition physique moyenne. Il est conçu sur le principe de l'alternance marche-course lente. C'est un plan de course standard adaptable à votre niveau et à votre condition physique du jour.
Comment mincir pour de bon en mangeant plus souvent ?
Votre corps dépense de l’énergie et produit de la chaleur pour digérer. C’est la thermogenèse post prandiale, je n’y peux rien si ça s’appele comme ça ! Environ 10 % des dépenses quotidiennes sont dues à la digestion. En gros, il faut dépenser de l’énergie pour pouvoir en utiliser et en stocker. En augmentant la fréquence des repas, vous répartissez plus équitablement les calories ingérées permettant une plus grande thermogenèse. Il est préférable de faire 4 à 5 repas/collations par jour plutôt que les 3 gros conventionnels. En plus ça évite les effets de somnolence après repas, vous voyez genre l’envie de faire la sieste à 14 heures...
Pour conclure l'augmentation des dépenses caloriques est le fruit de plusieurs actions complémentaires. Notez que l’activité physique régulière à une intensité modérée permet d'autres retombées bénéfiques comme la réduction du stress, l’amélioration des taux sanguins d’insuline et de leptine et la réduction des sensations de faim. Les deux secrets pour mincir pour de bon sont se résument en deux mots  : bougez, mangez !
Chaleureusement, Fabrice Bonnerot
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Comment mincir tranquillement ?
Surveiller votre alimentation, retirer tel aliment, ne manger que “ce qui ne fait pas grossir”, faire le régime “truc”… Ces approches sont-elles suffisantes pour mincir à votre rythme et pour longtemps ? Et bien non ! En fait c'est vous qu'il faut surveiller car ce sont vos sensations corporelles (faim, satiété), vos émotions et vos comportements qui comptent vraiment. Pourquoi ?
Pourquoi vous retrouvez-vous en surpoids ? Parce que vous mangez trop gras, trop sucré, trop salé ? Parce que vous ne prenez pas le temps de cuisiner des plats équilibrés ? Parce que vous avez l'impression d'avoir tout le temps faim ? Parce que vous grignotez souvent entre les repas ? Parce que les week-ends ou en vacances vous vous lâchez plus ? Parce que vous êtes parfois pris de compulsions incontrôlables ?. En résumé vous êtes en surpoids parce que vous mangez plus que vos besoins caloriques.
Pourquoi mangez-vous plus que vos besoins ? Parce que vous faites systématiquement trois repas par jour ? Parce que vous manger sans attendre d'avoir faim au prétexte que c'est l'heure ? Parce ce que la composition de vos repas suit dès règles stéréotypées ? Parce qu'au travail, vous succombez devant les sollicitations des collègues ? Parce que vous vous dîtes “je me fais plaisir encore une semaine et après je me mets au régime” ? En résumé vous êtes en surpoids parce que vous n'écoutez pas assez vos sensations corporelles (faim, satiété).
Pourquoi n'écoutez-vous pas vos sensations de faim et de satiété ? Parce que vous croyez que sans petit déjeuner vous risquez de manquer d'énergie dans la matinée ? Parce que vous imitez les collègues au déjeuner ? Parce qu'au diner vous voulez montrer l'exemple à vos enfants ?  Parce que vous savez difficilement dire “non” quand on vous invite à vous resservir ? Parce qu'en cas de coup de blues, vous trouvez du réconfort avec quelques cuillères de pâte à tartiner ? En résumé vous êtes en surpoids parce que vous mangez selon vos habitudes ou sous l'emprise de vos émotions.
Pourquoi agissez-vous selon vos habitudes et sous l'emprise de vos émotions négatives ? Parce que vous êtes habité par la peur de manquer ? Parce que vous confondez frustration et privation ? Parce que vous peinez à vous donner des limites ? Parce que vous n'exprimer pas vos sentiments ? Parce que vous êtes trop exigeants avec vous-même ? Parce que avez peur de perdre l'amour de vos proches ? Parce que vous avez un rapport conflictuel avec l'argent, l'amour, le sexe ? Parce que vous ne vous sentez pas exister pleinement ? En résumé vous êtes en surpoids parce que vous adoptez des comportements inconscients, sources de stress constant.
Voilà pourquoi la solution pour mincir durablement n'est pas dans l'assiette mais dans la tête. Elle passe par vous reconnecter à vos sensations corporelles et émotionnelles et par vous libérez de vos comportements inconscients. C'est tout l'objet de mon coaching
Chaleureusement,
Fabrice Bonnerot, coach comportementaliste
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Comment l’esprit peut vous aider à perdre du poids ?
           En bref                            
Une expérience  a été menée pour déterminer si les informations nutritionnelles indiquées sur  l’étiquette d'un aliment pouvaient provoquer des changements physiques dans le  corps
Les  participants ont bu un milkshake de 380 calories qui était étiqueté selon les  cas comme ‘raisonnable et basse calorie’ ou comme ‘généreux et riche en  calories’
Ceux qui  pensaient consommer un milkshake généreux ont mesuré ensuite une diminution  nettement plus importante de ghréline, l'hormone de la « faim »
Ils se sont  sentis plus rassasiés, ce qui suggère que votre état d’esprit pourrait avoir  une plus grande incidence sur votre taux de ghréline que les nutriments que  vous consommez
Le simple fait  de croire que le repas que vous venez de prendre est rassasiant peut faire  diminuer votre niveau d'hormone de la faim, ce qui a pour effet secondaire de  pousser votre métabolisme à commencer à brûler les calories que vous venez de  consommer
Dr. Mercola
La ghréline a été surnommée « l’hormone de la faim » parce qu’au cours d'études antérieures, les personnes auxquelles cette hormone avait été administrée étaient devenues tellement affamées qu’elle mangeaient nettement plus que d'habitude.
La ghréline pourrait agir sur le « centre du plaisir » de votre cerveau, vous poussant à vous servir une autre part de gâteau simplement parce que vous avez le souvenir du bon goût de la première et du sentiment de bien-être qu’elle vous a procuré (au moins sur l’instant). En bref, la ghréline est sans aucun doute l’une des forces qui vous pousse à manger (et à trop manger, en vous resservant ou en prenant un deuxième dessert alors même que vous n'avez plus faim).
Ce qui influence le niveau de cette hormone dans votre corps est une toute autre histoire - d'ailleurs assez complexe. L’une des découvertes les plus intéressantes à ce jour, cependant, est le pouvoir de votre esprit à tromper votre estomac en quelque sorte, pouvant entrainer une très forte diminution de ghréline même en l'absence d'un repas généreux.
L’expérience de ‘l’esprit contre le milkshake’ :
Pour cette étude, les participants ont reçu un ‘traitement’ à base d’un milkshake à 380 calories qui était étiqueté de deux façons très différentes. L’une des étiquettes indiquait que le milkshake était une boisson « généreuse » à 620 calories, l’autre que c’était une boisson « raisonnable » à 140 calories. Il s'avère que tant les changements physiques que les niveaux de satiété des participants correspondaient à ce qui était indiqué sur l’étiquette, plutôt qu’à ce qui était effectivement dans la tasse.
Ceux qui pensaient consommer un milkshake généreux ont présenté une diminution nettement plus importante du niveau de ghréline après l’avoir bu, tandis que ceux qui pensaient boire un milkshake raisonnable ont présenté une réponse à la ghréline « plate ».
Par ailleurs, les buveurs de milkshakes généreux se sont sentis plus rassasiés, ce qui montre que « la satiété des participants était en accord avec ce qu'ils pensaient consommer plutôt qu’avec la réelle valeur nutritionnelle de ce qu’ils consommaient. »
Il s'avère donc que votre état d’esprit pourrait avoir un impact plus important sur votre niveau de ghréline que les nutriments que vous consommez, et cela a des répercussions majeures ! Le simple fait de croire que le repas que vous venez de prendre est rassasiant peut faire diminuer votre niveau d'hormone de la faim, ce qui a pour effet secondaire de pousser votre métabolisme à commencer à brûler les calories que vous venez de consommer.
Voici ce qu’expliquent les chercheurs : « L’effet de la consommation d'aliments sur la ghréline pourrait être d’origine psychologique, et l’état d’esprit affecte de façon significative les réponses physiologiques à la nourriture. ».
Chaleureusement,
Fabrice Bonnerot-Rzepiennik - coach comportementaliste
Source : http://french.mercola.com/sites/articles/archive/2017/03/27/ghreline-hormone-de-la-faim.aspx?utm_source=facebook.com&utm_medium=referral&utm_content=facebookmercolafr_ranart&utm_campaign=1142018_ghreline-hormone-de-la-faim
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Comment perdre 5 kilos en dix règles d’or ?
1. J'applique la règle de régulation de mon alimentation par la sensation de faim, de satiété et de rassasiement. Je mange uniquement quand j'ai faim et j'arrête dès que je n'ai plus faim.
2. Je me libère des carcans type "trois repas par jour", "ne pas sauter de repas", “toujours prendre un petit déjeuner”, je n’écoute que mon corps. Si je fais un excès lors d'un diner, je saute tranquillement le petit déjeuner voire le déjeuner suivant.
3. Je mange de toutes les familles d'aliments pour perdre 5 kilos sans les classer en "bons" ou "mauvais" aliments. Aucun aliment ne fait grossir du moment que j'applique la règle de la régulation par la faim.
4. Je me fie à mon instinct au jour le jour pour composer mes repas plutôt que de suivre des programmes "diététiquement équilibrés". Je mange seulement des aliments qui me procurent du plaisir dès la première bouchée et j'arrête d'en manger dès que le plaisir s'estompe.
5. J'évite les plats industriels pour perdre 5 kilos car ils sont riches en sel, en exhausteur de goût et autres additifs. Je privilégie les produits bio, frais, de saison et le “fait maison”.
6. Je me sers une première portion modérée quitte à me resservir. Si je me suis trop servi, je ne finis pas les restes. Pour perdre 5 kilos, je ne prends pas mon corps pour une poubelle !
7. Je distingue la "vraie faim" de l'envie de manger émotionnelle (EME). J'apprends à identifier les EME, à ressentir ce qui se passe dans mon corps dans ces moments là. Je calme mes émotions autrement que par une prise alimentaire.
8. Je cesse de m'inquiéter à plus ou à moins de vingt-quatre heures. J'aborde chaque jour tel qu'il se présente et j'évacue le stress causé par chaque évènement de la journée en le visualisant mentalement comme un verre d'eau que je vide autant de fois que nécessaire. J’entame chaque nouvelle action avec l'esprit léger.
9. Je repère mes comportements automatiques, sources de réponses inadaptées et des tensions internes. Par l’expérimentation et la modélisation de nouveaux comportements, je n'agis plus en réaction mais en création.
10. J'apprends à m'accepter tel que je suis pour perdre 5 kilos et même 10 kilos. Je suis ce que je suis et ce que je suis est bien puisque c'est moi !
Règle bonus !!!
11. J'applique ces dix règles tout le temps.
En résumé je perds 5 kilos en replaçant l'alimentation à sa juste place à savoir nourrir mon corps quand il le réclame et en engageant un chemin de développement personnel pour m'épanouir pleinement dans ma vie.
Fabrice Bonnerot, coach comportementaliste, 06 86 75 71 89
[email protected] - www.minciravecmoncoach.fr
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Changer pour mincir : "je ne suis pas prête"
Vous admettez être en surpoids, vous reconnaissez aussi le bénéfice que vous auriez à mincir mais malgré cela vous rechignez à engager une démarche spécifique en prétextant : "je ne suis pas prête". Avouez que cela revient à être malade et à attendre d'être guérie pour aller voir le médecin.Vous percevez bien que ce raisonnement vous est néfaste mais vous ne vous sentez toujours pas prête à passer à l'action.  Explications… Tout d'abord face à l'inconnu la première émotion qui vient est la peur quel que soit le motif. Tous à quelque degré que ce soit nous évitons l'inconnu, nous restons dans notre zone de confort, même si la zone de confort est ennuyeuse, frustrante, inconfortable ou même nocive !!! En approfondissant je me suis rendu compte que le motif "je ne suis pas prête" a des origines plus pernicieuses.
1. La première cause est l'accoutumance due à l'apparition progressive du surpoids, si vous pouviez instantanément déposer les kilos superflus, vous réaliseriez par contraste au combien ils sont pesants et handicapants, au combien vous ne pouvez plus rester comme ça. De même si votre estomac dilaté retrouvait subitement son volume d'origine, vous sentiriez plus le mal dû à vos excès de nourriture. Mais malheureusement vous vous êtes désensibilisées et accoutumées comme dans l'allégorie de la grenouille et de la marmite. Comment ça, vous ne connaissez pas encore cette petite histoire !? Plongeons une grenouille dans une marmite d'eau brulante, elle donne instinctivement un coup de patte pour s'en extraire. Maintenant faisons de même avec de l'eau froide, le batracien y nage tranquillement. Montons lentement la température de l'eau, la grenouille se laisse engourdir et affaiblir pour finir cuite. N'est-il pas temps de réaliser que vous êtes en train de cuire à petit feu !
 2. La deuxième raison est la peur de l'inconfort et de l'échec. En effet la phrase "je ne suis pas prête" est incomplète car la question qui se pose est : "pas prête à quoi ?". Je suggère deux réponses : "pas prête à me battre" et "pas prête à réussir ce combat". Ce raisonnement découle des tentatives passées qui ont été pénibles et se sont soldées par de la déception. La croyance enregistrée est désormais : mincir égal efforts et frustrations et au final échec ! Pour vous libérer de ces croyances limitantes, je vous invite à vous interroger sur les moyens utilisés précédemment pour mincir. Étaient-ils les plus pertinents ? Les études scientifiques ont maintenant clairement démontré que l'approche uniquement nutritionnelle (régimes, restrictions, substitutions) dérègle encore plus le métabolisme (fonctionnement biologique) du corps. Je vous conseille aussi de reconsidérer l'état d'esprit dans lequel vous avez fait ces démarches. Étiez-vous obnubilée par l'atteinte d'un résultat dans un temps donné du type "je dois perdre dix kilos en deux mois pour le mariage de ma cousine" ? Cette focalisation sur la réussite a forcément occasionné des contraintes intenables.
Et si au lieu de ça vous vous concentriez sur le processus de changement, sur l'envie de découvrir, le plaisir d'apprendre et de pratiquer à votre rythme ? Vous avez beaucoup à perdre à ne rien changer. Chaque moment est le bon moment pour démarrer une démarche holistique à savoir : écouter votre corps, percevoir et canaliser vos émotions qui créent les compulsions et comprendre vos comportements sources de tensions internes. Ce cheminement peut être tranquille et même…joyeux.
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Salon Be Happy à la Villette du 9 au 12 novembre
Bonjour, Voici mon stand dressé Mincir avec mon coach - B122 au Salon Be happy à La Grande Halle de la Villette, ça  commence dès demain jeudi pour tout le week-end, de belles rencontres en perspective... Notez les trois nouveaux visuels dont je suis très content, un immense merci à celle qui les a faits, autant le dire c'est ma merveilleuse femme.
Venez aussi profiter du programme exceptionnel de conférences dont celles de Thierry Janssen, d'Alexandre Jollien et de Frédéric Lenoir : http://www.salon-behappy.fr/paris/actualites/programme-des-conferences-psychologies.html
Chaleureusement, Fabrice
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"Pause Kit Kat", "Twix, le doigt coupe faim", "Un Mars et ça repart", faut voir...
Que les agro-industriels et les publicitaires sont forts pour nous donner envie de grignoter et pire pour créer des associations réflexes en nous faisant croire que leurs produits vont nous donner plein d'énergie pour travailler. En réalité nous avons effectivement souvent besoin de pauses avant tout pour pour nous détendre, pour nous oxygéner, pour nous hydrater mais pas nécessairement de manger et encore moins du concentré de sucre.
Ces barres et autres confiseries créent un pic de glycémie malvenu dans le sang. Le pancréas est alors contraint de secréter de l'insuline pour retirer immédiatement ce surplus de sucre toxique et en faire devinez quoi...des cellules adipeuses, de la graisse, des bourrelets en somme.
Mais ça ils se gardent bien de trop le mettre en avant, forcément "Une pause bourrelet" ça sonne tout de suite moins bien.
Chaleureusement, Fabrice
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60 000 pensées par jour, du stress et au final du surpoids
60 000 pensées par jour, oui, oui !!! Éveillés, vous pensez, endormis vous faites des rêves donc vous avez aussi des pensées. Votre cerveau produit continuellement des pensées, au moins 60 000 par jour selon les neuroscientifiques. 80 % d'entre elles portent sur des projections négatives et anxiogènes. Pourquoi une telle proportion de pensées négatives ? Et bien le caractère anxieux de la nature humaine provient de notre héritage animal. En effet tout au long de l'évolution de l'espèce depuis le stade de primate, les individus insouciants se faisaient dévorer alors que les individus prudents et méfiants survivaient et assuraient leur descendance. Vos arrières arrières arrières…grands-parents étaient de ceux-là sans quoi vous ne seriez pas venu au monde. Dans une société dite civilisée comme la nôtre, vous n'avez plus, hors événement rare, de réels dangers à éviter donc nul besoin d'être en permanence sur vos gardes. Par contre votre fabrique à pensées tourne toujours à plein régime et pire vous réagissez souvent comme si vos pensées correspondaient à la réalité. Ce processus se nomme la fusion cognitive. Mais quel rapport avec le surpoids ?
Le croire c'est comme le vivre. Prenez un exemple, en croyant que vous risquez de perdre votre emploi, vous vous mettez dans le même état de stress que de l'avoir déjà perdu, surgissent alors des émotions de peur et d'anxiété. Celles-ci peuvent occasionner une envie soudaine de manger pour vous apporter un réconfort immédiat. Ces troubles du comportement alimentaire sont la première cause du surpoids. La deuxième cause est que prendre vos pensées négatives pour la réalité nuit à votre équilibre biologique. Vous augmentez la sécrétion d'hormones de stress (adrénaline, glutamate, cortisol), ceci s'accompagne à terme d'acidité systémique (acidose) et cela accentue le stockage des graisses et de l'eau (mécanisme basique de protection et de survie). Bref votre anxiété latente vous empêche de mincir durablement.
Vos 5 sens ici et maintenant. Je vous propose maintenant de faire une expérience. Ici et maintenant, asseyez-vous, concentrez-vous sur ce que vous voyez, sur ce que vous entendez, sur ce que vous sentez par l'odorat, par le goût et par le toucher. Ici et maintenant à partir de ce que vous percevez par vos 5 sens, estimez-vous être en danger ? Non, vous voyez bien que e vous êtes “au calme”. Ici et maintenant toujours selon ce que vous percevez par vos 5 sens, vous sentez-vous en sécurité en termes de besoins fondamentaux (respirer, vous nourrir,  être en lieu sûr), oui ! Vous pouvez donc en déduire qu'ici et maintenant vous pouvez être confiant et détendu. Maintenant interrogez-vous si, avant l’exercice vous étiez aussi détendu. Qu'en déduisez-vous ? Que ce sont vos pensées qui influençaient votre état et vous empêchaient de vivre tranquillement le moment présent.
Mincir durablement nécessite donc de changer votre fonctionnement cognitif et comportemental et c'est là toute la pertinence du coaching neuro-comportementaliste en nutrition® pour vous y aidez.
Chaleureusement, Fabrice
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DEVENEZ VOTRE NOUVEAU VOUS !
GOMMEZ d'abord l'image de vous-même dont VOUS ne voulez plus. CRÉEZ la projection de qui VOUS DÉSIREZ profondément devenir. VISUALISEZ-LA le plus souvent possible. CROYEZ que VOUS POUVEZ LA RÉALISER. AGISSEZ jour après jour en ce sens. SENTEZ VOUS bien en pensant à votre réussite comme si VOUS aviez déjà atteint votre but. NE METTEZ PAS d'objectif de temps. CÉLÉBREZ chaque progrès. AGISSEZ encore encore et encore. Tôt ou tard VOUS RÉUSSIREZ.
Chaleureusement, Fabrice
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Pour perdre du poids pour de bon, c'est d'abord VOUS que VOUS devez changer.
Surveiller votre alimentation, bannir tels et tels aliments, ne manger que "ce qui ne fait pas grossir", faire un régime... Ces approches sont-elles suffisantes pour perdre du poids efficacement. Et bien non ! En fait c'est sur VOUS que VOUS devez travailler avant tout. Comprenez bien que tout part de VOUS, de comment VOUS percevez et abordez votre vie qui est la cause première de votre excès de kilos, explications.
Pourquoi vous retrouvez-vous en surpoids ? Parce que vous mangez trop gras, trop sucré, trop salé ? Parce que vous mangez trop vite ? Parce que vous ne prenez pas le temps de cuisiner des plats équilibrés ? Parce que vous avez l'impression d'avoir tout le temps faim ? Parce que vous grignotez souvent entre les repas ? Parce que les week-ends ou en vacances vous vous lâchez plus ? Parce que vous êtes parfois pris de compulsions irrépressibles ? En résumé vous ne parvenez pas à perdre du poids naturellement parce que vous mangez plus que vos besoins caloriques.
Pourquoi mangez-vous plus que vos besoins ? Parce que vous faites systématiquement trois repas par jour ? Parce que vous manger sans attendre d'avoir faim au prétexte que c'est l'heure ? Parce que la composition de vos repas suit des règles stéréotypées ? Parce qu'au travail, vous succombez devant les sollicitations des collègues ? Parce que vous vous dîtes "je me fais plaisir encore une semaine et après je me mets au régime" ? En résumé vous ne parvenez pas à perdre du poids efficacement parce que vous n'écoutez pas quotidiennement vos sensations corporelles (faim, satiété, rassasiement).
Pourquoi n'écoutez-vous pas vos sensations ? Parce que vous croyez que sans petit déjeuner vous risquez de manquer d'énergie dans la matinée ? Parce que vous imitez les collègues au déjeuner ? Parce qu'au diner vous voulez montrer l'exemple à vos enfants ?  Parce que vous savez difficilement dire "non" quand on vous invite à vous resservir ? Parce qu'en cas de coup de blues, vous trouvez du réconfort avec quelques cuillères de pâte à tartiner ? En résumé vous ne parvenez pas à perdre du poids parce que vous mangez selon vos habitudes ou sous l'emprise de vos émotions.
Pourquoi agissez-vous selon vos habitudes et sous l'emprise de vos émotions négatives ? Parce que vous êtes habité par la peur de manquer ? Parce que vous confondez frustration et privation ? Parce que vous peinez à vous donner des limites ? Parce que vous avez des difficultés à exprimez vos sentiments ? Parce que vous êtes trop exigeants avec vous-même ? Parce que avez peur de perdre l'amour de vos proches ? Parce que vous avez un rapport conflictuel avec l'amour, le travail, l'argent, le sexe ? Parce que vous ne vous sentez pas exister pleinement ? En résumé vous ne parvenez pas à perdre du poids durablement parce que vous perpétuez des mémoires et des comportements inconscients hérités de votre histoire et de celle de vos ascendants.
Ainsi VOUS êtes vous-même votre propre générateur d'excès permanent de stress. Celui-ci modifie votre métabolisme (fonctionnement de votre corps) notamment en provoquant une sécrétion excessive d'hormones comme le cortisol qui accentue le stockage de réserves (graisses, eau) et qui oriente vos gouts alimentaires vers des aliments très caloriques.
En réponse mon accompagnement vous aide à vous reconnecter à vos sensations corporelles, à mieux composer avec vos émotions et à vous libérer de vos comportements inconscients pour profiter pleinement de votre vie. Allez…à VOUS de jouer !
Chaleureusement, Fabrice
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Des abdos pour mincir ? Marchera pas !
Enchainer de nombreuses et longues séries d'abdos est souvent présenté comme un moyen efficace pour avoir un ventre plat, en fait non, explications.
Abdos et ventre plat, pensez différemment ! Courir pour affiner vos jambes, enchainer des abdos pour perdre du ventre, cela ne vous semble-t-il pas un peu trop simpliste ? Notre corps fonctionne en fait comme un ballon de baudruche qui gonfle et se dégonfle avec toutefois des particularités selon les morphotypes. Obtenir un ventre plat nécessite donc de perdre de la graisse de manière globale. Les séries d'abdos sont des exercices ciblés qui ne font travailler qu’un seul petit groupe musculaire. Ils ne brûlent donc que peu de calories comparés à d'autres qui font travailler des muscles plus gros comme les squats, les fentes, les pompes ou qui sollicitent toute une chaine musculaire comme les soulevés de terre ou les sauts. Grâce à ces exercices non seulement vous brûlez plus de calories pendant l’effort, mais vous augmentez votre masse musculaire générale. Je tiens à rassurer les femmes sur la pratique de la musculation, elle va simplement vous apporter un corps ferme et tonique sans pour autant vous transformer une "body-buildeuse" (il faudrait prendre des anabolisants, de la testostérone, de l'hormone de croissance).
Plutôt que de penser abdos et ventre plat, pensez sport d'endurance et silhouette toute entière. Course à pied, natation, vélo, vélo elliptique, corde à sauter, cardio sont beaucoup plus efficaces que les abdos pour affiner votre taille. Sachez que le corps commence d’abord par puiser son énergie dans les sucres disponibles dans les muscles, dans le foie, et dans le sang. A partir de 20 à 30 minutes il commence à puiser dans les graisses. Et à partir de 45 min d’un effort modéré il ne puise que dans les graisses. Voilà pourquoi je vous conseille de commencer vos séances par le renforcement musculaire. Vous avez de la force et de l’énergie immédiatement disponible. Plus l’effort est intense, plus vous utilisez de sucres. Du coup, quand vous entamez votre cardio ou de la course à pied, vous puisez directement dans les graisses.
Au delà du sport... Abdos et ventre plat, l'affaire est classée et de manière plus générale encore combien d'entre vous sont allés à la salle de gym sans pour autant avoir perdu un gramme. La raison se trouve du côté des apports. 3 heures de sport  correspondent à une dépense calorique de 1 500 à 1900 calories.Si en parallèle vous prenez chaque jour l'équivalent d'un pain au chocolat (270 calories) de plus que vos besoins réels (grignotage, repas trop riches) cela fait (7*270 calories) 1890 calories qui annulent totalement l'effet de vos séances de sport.
Autre ordre de grandeur, 1 kg de graisse, c'est 8 000 calories. Pour les brûler il faut au choix : 16 h de course à pieds, 27 h de vélo, 63 h de marche. En ne changeant rien à ses pratiques alimentaires, perdre 10 kilos nécessite donc 160 heures de course à pieds soit 3 heures par semaine pendant un an. Cela risque d'être une contrainte plutôt qu'un plaisir.
La solution de la Méthode Meer, est de réapprendre naturellement les sensations de “vraie” faim, de satiété et de rassasiement et de supprimer les envies de manger émotionnelles (EME). Ainsi il vous sera possible de réduire vos apports caloriques de l'ordre de 20 à 25 % pour perdre des kilos facilement et pour pratiquer une activité uniquement pour le plaisir.
Cela me rappelle la réplique culte de Jean Dujardin dans “OSS117 Rio ne répond plus” :
- Carlotta : Magnifique, vous faites du sport ?
- Noel Flantier: Même pas !
https://www.youtube.com/watch?v=MwCzBM-yaPg
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