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oncleo · 4 days
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Puisque Personne l’a demandé, on livre ici dix slogans et aphorismes pour l’insurrection qui ne vient pas. Ils ne font qu’indiquer des foyers tactiques - du reste, libre aux penseurs de former à partir d'eux des stratégies.
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oncleo · 5 days
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Radio Sans Soleil. Lecture de la Thèse X sur le concept d’histoire de Walter Benjamin, dans une traduction inédite et très libre de droits.
Lecture : At. O.
Montage audio : At. O.
Design : At. O.
Texte : WB, traduction inédite de l’Atelier Oncléo pour la RSS (sous-titres à activer)
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oncleo · 18 days
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oncleo · 28 days
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oncleo · 1 month
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Le monde va (encore) finir. Hâtons-nous (toujours) à sa décomposition.
Morceaux choisis de la fusée XXII de Baudelaire (+bonus cachés pour les meilleurs).
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oncleo · 1 month
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🎧 Psaume 107 🎧 On marchait patient dans les tunnels inondés de la mémoire, on écoutait passer les trains, quand le Psaume 107 est remonté. L’amour de Yahvé est peut-être mort noyé - « ils succombaient, et pas un pour les aider ».
Et pourtant, cette image de merveille qui veut encore traverser les abîmes.
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oncleo · 2 months
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oncleo · 2 months
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oncleo · 3 months
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oncleo · 3 months
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Document 2 de la fouille archéologique du poème perdu « Mon corps est une ville ». L’ensemble des documents sont stockés ici : https://youtube.com/playlist?list=PLdGlPCOzDRMKFryr9k08W1Xljfh1dV7Rg&si=2B4Q5P9PUTWPILML
On y trouve en plus, pour l’instant, seulement le Document 1 « Amour-Hiroshima ».
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oncleo · 4 months
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« Let it be a tale » : ainsi s'achève le dernier poème du poète palestinien Refaat Alareer (رفعت العرعير), assassiné il y a quelques jours par l'armée israélienne à Gaza.
Dans Le feu et le récit, Agamben rapporte une histoire racontée par G. Scholem dans son livre sur la mystique juive, que S. J. Agnon lui aurait transmise :
« Quand le Baal Shem avait une tâche difficile devant lui, il allait à une certaine place dans les bois, allumait un feu et méditait en prière, et ce qu’il avait décidé d’accomplir fut fait. Quand, une génération plus tard, le « Maggid » de Meseritz se trouva en face de la même tâche, il alla à la même place dans les bois et dit : Nous ne pouvons plus allumer le feu, mais nous pouvons encore dire les prières – et ce qu’il désirait faire devint la réalité. De nouveau une génération plus tard, Rabbi Moshe Leib de Sassov eut à accomplir cette même tâche. Et lui aussi alla dans les bois et dit : Nous ne pouvons plus allumer un feu et nous ne connaissons plus les méditations secrètes qui appartiennent à la prière, mais nous savons la place dans les bois où cela s’est passé, ce doit être suffisant ; et cela suffit. Mais quand une autre génération fut passée et que Rabbi Israël de Rishin, invité à accomplir la même tâche, s’assit sur son fauteuil doré dans son château, il dit : Nous ne pouvons plus allumer le feu, nous ne pouvons plus dire les prières, nous ne savons plus la place mais nous pouvons raconter l’histoire de comment cela s’est fait. Et encore une fois cela suffit. »
Il est possible de lire cette anecdote comme une allégorie de la littérature, commente Agamben. Et ce qu'il écrit ensuite est très beau et très vrai. Mais on voudrait ajouter pour l'aujourd'hui : il est possible que la scène où trouve lieu la seule littérature importante actuellement, la seule poésie qui vaille pour notre temps, la poésie qui trouve son lieu en dépit de toute l'horreur et de tout le malheur qui y sont administrés chaque jour avec la plus grande technique, à savoir Gaza qu'on assassine, il est possible que cette scène ne soit justement plus une scène, un théâtre, une allégorie, ou une métaphore. Et c'est cette histoire qu'il faut raconter. Gaza est ce qui résiste à la mort. Ce qui signifie à plus forte raison : Gaza est la poésie qui résiste à sa mort. Toute poésie et toute littérature véritables sont en effet mémoire de ce qui résiste et répétition ou reprise de cette mémoire de ce qui résiste, mémoire de ce dont nous sommes toujours capables : vivre.
Face à l'événement Palestine, on peut se dérober, et se blottir au chaud tout contre notre « petit cœur étroit qui ne peut enfermer qu'une certaine dose de malheur ». On peut parader sur les plateaux de la Grande Librairie, plein de fausses nuances intelligentes, l'air grave, les traits du visage marqués, fatigués d'être au monde en sa province, et les yeux vitreux qui dégoulinent pourtant d'une sincérité qu'on feint à soi-même – on pense évidemment à Emmanuel Carrère, mais aussi à Leïla Slimani, et à toute la bande des importants littérateurs français. Tout cela : est mort. Tout cela : est dégoûtant. Sachons, pour notre part, héler Gaza la sauvage, accueillir son souffle, son âme, la raconter encore et l'encourager plus, elle qui nous apprend tous les jours ce que vivre peut encore signifier : résister. Cela doit suffire. Cela suffira. Cela suffit.
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oncleo · 5 months
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oncleo · 5 months
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oncleo · 5 months
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Sous-titres FR dispos • 有中文字幕 • English subtitles available
Merci Barbarossa pour la traduction arabe
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oncleo · 5 months
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oncleo · 5 months
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Video-Tract for Palestine
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oncleo · 5 months
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