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#{ mes charmants souvenirs }
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Place des Vosges - Paris
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coolvieilledentelle · 7 months
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À tous les jeunes qu'on a connus. avant..
Et qui sont des vieillards. maintenant ! À toutes ces filles jadis si coquettes Maintenant en maison de retraite. Pour nous souvenir, prenons un instant Tant qu'il en est vraiment encore temps ! À tous ces garçons, hier si charmants Et qui, aujourd'hui, sont grisonnants, À toutes ces filles en mini-jupettes Ridées désormais comme des poires blettes, J'envoie ce message important Pour nous moquer un peu de nos tourments. On vieillit, on vieillit, On est de plus en plus raplati, raplati. On a la mémoire comme une "passette" On a du mal pour enfiler nos chaussettes. On est tout rabougri, déjà amorti, On oublie même parfois ses anciens amis. À tous mes virtuels correspondants Qui sont chaque jour devant leur écran À tous mes amis qui, par internet, M'envoient souvent des "blagounettes", Je souhaite qu'encore longtemps Nos échanges soient récurrents. Amitiés à tous ! Ceux qui se plaignent de vieillir doivent se rappeler que  c'est un privilège refusé à beaucoup !
Charlotte
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À tous les jeunes qu'on a connus. avant..
Et qui sont des vieillards. maintenant ! À toutes ces filles jadis si coquettes Maintenant en maison de retraite. Pour nous souvenir, prenons un instant Tant qu'il en est vraiment encore temps ! À tous ces garçons, hier si charmants Et qui, aujourd'hui, sont grisonnants, À toutes ces filles en mini-jupettes Ridées désormais comme des poires blettes, J'envoie ce message important Pour nous moquer un peu de nos tourments. On vieillit, on vieillit, On est de plus en plus raplati, raplati. On a la mémoire comme une “passette” On a du mal pour enfiler nos chaussettes. On est tout rabougri, déjà amorti, On oublie même parfois ses anciens amis. À tous mes virtuels correspondants Qui sont chaque jour devant leur écran À tous mes amis qui, par internet, M'envoient souvent des “blagounettes”, Je souhaite qu'encore longtemps Nos échanges soient récurrents. Amitiés à tous ! Ceux qui se plaignent de vieillir doivent se rappeler que  c'est un privilège refusé à beaucoup !
Charlotte
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microcosme11 · 7 months
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Letter to 13-year-old Hortense
Quartier général, Milan, 22 prairial an IV [10 juin 1796]
J’ai reçu votre aimable lettre au milieu des horreurs de la guerre. Il n’est rien de plus charmant que ce qui me rappelle le souvenir d’aimables enfants que j’aime pour eux et parce qu’ils appartiennent à la personne du monde qui m’intéresse le plus.
Vous êtes une méchante et très méchante. Vous voulez me mettre en contradiction. Sachez donc, aimable Hortense, que lorsque l’on dit du mal des hommes l’on s’expose.
Lorsque l’on dit du mal des femmes, l’on excepte celles dont les charmes et la douce influence a captivé notre cœur et absorbé tous nos sentiments… Et puis, vous le savez bien, votre maman est incomparable sur la terre, personne ne joint à son inaltérable douceur ce je-ne-sais-quoi qu’elle inspire à tout ce qui l’entoure. Si quelque chose pouvait ajouter au bonheur que j’ai de lui appartenir, c’est les doux devoirs qu’il m’impose à votre égard. J’aurai pour vous les sentiments de père et vous aimerai comme votre meilleur ami… Mais je suis fâché contre vous, contre votre bonne maman, elle m’avait promis de venir me voir et elle ne vient pas. Le temps est long loin de ce que l’on aime. Jugez du plaisir que j’aurais réhaussé à vous voir, à discuter avec vous et à vous conter des histoires terribles. Une petite part dans votre souvenir. Un baiser à Eugène à qui je dois écrire. Croyez-moi pour la vie.
Vôtre
Bonaparte
P.S. Vous devez avoir reçu la petite boite de parfums. Je vous rapporterai cent belles choses.
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Headquarters, Milan, 22 prairial year IV [June 10, 1796]
I received your kind letter amidst the horrors of war. There is nothing more charming than that which reminds me of lovely children whom I love for themselves and because they belong to the person in the world who interests me the most.
You are bad, very bad. You want to contradict me. Please know, kind Hortense, that when we speak ill of men we expose ourselves.
When we say bad things about women, we except those whose charms and gentle influence have captivated our hearts and absorbed all our feelings… And then, you know well, your mother is incomparable on earth, no one joins unalterable sweetness with the je ne sais quoi that she inspires in everything around her. If anything could add to the happiness I have in belonging to her, it is the sweet duties she imposes on me towards you. I would have the feelings of a father for you and would love you as your best friend… But I am angry with you, with your good mother; she promised to come to see me and she is not coming. It’s a long time away from those we love. Judge the pleasure I would have had seeing you, talking with you and telling you terrible stories. A small part in your memory. A kiss to Eugène to whom I should write. Trust me for life.
Your
Bonaparte
P.S. You should have received the small box of perfumes. I will bring you a hundred beautiful things.
napoleonica
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perduedansmatete · 8 months
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je redécouvre les photos que j'avais prises l'année dernière de la maison de cet ancêtre inconnu (un grand oncle ? je sais même plus) et de son mari dont on avait hérité et l'envie d'y retourner est très forte, j'aurais aimé les connaître ils avaient l'air d'être très curieux de tout et de s'amuser beaucoup (j'avais d'ailleurs ramené quelques livres d'art, parmi des livres sur absolument tous les sujets du monde, en plus de mon beau miroir) dans la grande pièce du fond était disposée une maquette de train immense, les placards étaient remplis de matériel d'art, de jeux de sociétés et d'instruments de musique (sans oublier les nombreux abat-jours entassés, ça j'ai pas compris) il y avait des petits mots accrochés aux murs, des vinyles qui trainent et des photos de marlene dietrich un peu partout, en plus de celles d'eux deux, des cartes postales de partout en france de leurs certainement nombreux amis, une collection d'agatha christie presque aussi grande que celle de mes grands-parents trônait dans l'escalier qui menaçait de s'effondrer, les nombreuses plantes et fleurs étaient toutes fanées mais rendaient la maison étrangement plus vivante, j'aurais aimé fouiller plus longtemps pour saisir le personnage, à défaut de pouvoir récupérer toute la demeure que je trouve si charmante même si elle tombe en lambeaux et qu'elle n'est pas au goût du jour (de toute façon le goût du jour c'est nul), et puis récupérer plus de ses souvenirs comme certains l'avaient certainement déjà fait avant nous vu l'état de la maison et le fouillis partout par terre, enfin voilà je rêve du grand miroir qui ne rentrait pas dans la voiture et du tapis vache du plus bon goût en attendant de savoir si on pourra y retourner un jour avant que les démarches ne soient finies et la maison close, et en espérant qu'on arrête d'essayer de nous arnaquer en nous demandant de payer des trucs qu'on ne devrait même pas payer
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De Emma à Bruce
Cher Bruce,
J’espère que tu ne m’en voudras pas d’être un peu méditative aujourd’hui. Il ne reste plus personne à Blackthorn Hall à part Julian et moi, et une sorte de paisible silence règne sur la maison. Jules est à l’étage dans son studio et je suis assise sur le lit, en train d’écrire et de repenser à ces derniers mois.
Quelque chose prend fin, Bruce. Il se passe encore beaucoup de choses qui ne sont pas résolues, bien sûr : Kit qui est menacé par le Royaume des Fées, et ce qu’il peut bien se passer avec la Cohorte à Idris. Alec a établi un contact restreint avec eux, mais qui sait comment ça va évoluer. Néanmoins, au milieu de tout ça, quelque chose prend fin pour Julian et moi, et je ne sais pas ce qui va suivre.
(Ah, donc on fait dans le dramatique, Emma ? J’ai une petite idée. Lis la suite.)
Peut-être que c’est simplement parce que les entrepreneurs sont partis alors que je m’étais habituée à les entendre s’affairer toute la journée. Round Tom nous a fait un discours d’adieu lyrique qui (a) a duré cinq bonnes minutes, ce qui est très long pour que quelqu’un dise au revoir, et (b) était à la fois très aimable et incluait la phrase : « La passion et l’aventure vous accompagnent toujours, et je ne suis qu’un modeste constructeur d’habitations, j’espère donc ne jamais revoir aucun d’entre vous de toute ma vie. »
Ça a contrarié Julian. Je lui ai fait remarquer que les elfes ne pouvaient pas mentir, et il m’a fait remarquer que Round Tom n’avait pas du tout besoin de mentionner ça. Très juste. Julian a ajouté que ce n’était pas comme si le travail habituel de Tom pour les membres des Cours était dénué de rebondissements. Un autre bon point pour Jules. Les elfes sont les Créatures Obscures les plus mélodramatiques. En tout cas, plus dramatiques que les vampires, et ils passent leur temps à dire « oh je suis un mort-vivant, oh je suis maudit, que je mette plus d’eyeliner ».
Enfin bref, nous ne cherchions à devenir des amis proches de Round Tom. Il a fait du bon travail, et il s’est montré poli concernant la joie qu’il avait de quitter cette maison.
Une fois que lui et ses ouvriers étaient tous partis, nous nous sommes baladés un peu dans les jardins, mais Julian avait l’impression que chaque détail de la maison et du terrain était gravé dans son cerveau. Nous avons quitté la maison un moment pour aller le long du fleuve.
Il y a un petit parc en face de Chiswick de l’autre côté de la Tamise : c’est un réservoir naturel qui s’appelle le Leg O’ Mutton Reservoir, entouré d’une jolie promenade. (D’ailleurs, n’est-ce pas le nom le plus anglais que tu aies jamais entendu ? Pourquoi y a-t-il tant de trucs aussi charmants dans Londres ?) C’est un peu pénible parce que nous devons marcher plus d’un kilomètre et demi jusqu’au Barnes Bridge juste pour aller sur l’autre rive, mais c’était une agréable chaude soirée et c’était sympa de marcher, Julian et moi nous baladant tranquillement, l’une des choses que je préfère.
Julian avait préparé des sandwiches au poulet, et nous avions aussi emmené de la limonade. (Bruce, il se peut que j’aie développé une dangereuse addiction à la limonade britannique. Je suis certaine que c’est possible d’en trouver à Los Angeles, non ? C’est possible ?!) Nous nous sommes assis sur une petite couverture à côté du réservoir et avons regardé les cormorans qui pêchaient.
J’étais sereine, paisible, alors bien évidemment c’était le moment idéal pour tout gâcher en abordant un sujet désagréable. J’étais trop détendue pour me souvenir de m’en inquiéter.
- C’est tellement beau ici, ai-je commencé. Mais…
Julian s’est tourné vers moi, pas soucieux, simplement curieux, alors j’ai continué :
- Je ne suis pas sûre de vouloir vivre à plein temps à Londres. Je sais que nous venons de passer du temps, de faire des efforts et de dépenser de l’argent pour rénover le manoir de ta famille et tout ça.
J’ai cru que Julian allait être en colère, ou triste, alors je ne m’attendais pas vraiment à sa véritable réaction, que je décrirais comme un air « dérouté ».
- Je n’ai jamais pensé que nous vivrions ici à plein temps, a-t-il admis, comme si cette idée ne lui était jamais passée par la tête. J’ai supposé que nous partagerions notre temps entre LA et ici. Mais seulement si c’était ce que tu voulais.
Je ne sais pas pourquoi il a dit cette dernière phrase, mais il voyait certainement que je n’étais plus inquiète mais plutôt sur le point de l’embrasser.
- C’est-à-dire, moitié-moitié ?
- Peu importe, ce qui nous conviendra, a-t-il répondu avec un haussement d’épaules. Los Angeles quand il fait froid et qu’il pleut ici, Londres quand le soleil est brulant là-bas.
Et je l’ai embrassé à ce moment-là, alors je vais faire une ellipse sur les cinq minutes qui ont suivi, qui ne t’intéressent sûrement pas, Bruce. Il y a eu beaucoup de baisers au gout de limonade puis Jules m’a embrassé l’oreille (ce qui crée à chaque fois un feu d’artifice le long de ma colonne vertébrale) en disant :
- Chez moi, c’est là où tu es, tu le sais, ça ?
- Bien sûr.
C’était mignon et romantique de sa part de dire ça, mais il avait l’air plus sérieux.
- Non, je veux dire… a-t-il lâché en secouant la tête. Ce n’est pas comme si nous allions partager notre temps entre ma maison ici à Londres et ta maison là-bas à Los Angeles. J’ai aussi une maison à Los Angeles. Et tu as une maison ici. Blackthorn Hall appartient à ma famille et toi, Emma, tu es ma famille. Et nous serons toujours ensemble, a-t-il ajouté avec un regard intense. Sauf si ce n’est pas ce que tu souhaites. Tu es la seule personne pour qui j’aie jamais eu des sentiments, Emma. Et je veux que ça soit vrai pour le reste de ma vie.
Je n’ai pas eu à prendre le temps de réfléchir à ce que j’allais dire.
- Moi aussi.
J’avais déjà pensé à ce que ça signifierait pour nous de nous fiancer, mais j’ai l’impression que c’est trop tôt. Ce genre d’engagements, ces promesses, me semblent justes.
Il a souri et expiré, comme s’il avait été un peu nerveux. Puis il s’est levé et m’a tendu la main pour m’aider à me relever.
- Rentrons à la maison. J’ai quelque chose à te montrer, a-t-il annoncé.
- Je n’en doute pas.
D’habitude, quand je dis quelque chose comme ça, sur ce ton-là, ça nous mène à cinq autres minutes que je ne vais pas détailler ici. Mais tu sais, c’est Julian, il était obnubilé par cette idée, et nous sommes rentrés à la maison un peu plus vite qu’à l’aller.
Une fois arrivés, il est tout de suite monté dans la salle de bal. Je savais ce qu’il tramait, bien sûr : son projet secret sur lequel il travaillait depuis que nous sommes ici. Je l’avais un peu oublié, entre le fantôme, la malédiction et tout le reste, et je ne m’étais pas rendu compte qu’il avait continué pendant tout ce temps. Certainement tôt le matin avant que quiconque (ou le soleil) ne soit levé.
Il avait accroché un grand rideau devant, le blaireau, et j’allais me moquer de lui quand il l’a décroché, et j’ai vu la fresque en entier. Ça recouvre l’intégralité du mur et c’est magnifique. Toute la famille est là, tous les Blackthorn. Chacun est…
Non, ce n’est pas exact.
Parce que je suis aussi dans la fresque. Je suis juste là avec le reste de la famille, entourée. Chacun d’entre nous est au milieu de fleurs. Des fleurs blanches pour tous ceux qui ont disparu. Même Rupert est là, et les parents de Julian, dans un cercle de pétales blancs. Et Livvy tout en haut, enveloppée dans des ailes blanches.
Et des fleurs rouges pour ceux qui sont toujours là. Helen et Aline, Mark, Ty, Dru et Tavvy…
Je me suis mise à pleurer presque instantanément, tu vois, ces pleurs de joies, d’amour et d’émerveillement quand on est submergé par l’émotion.
- Ça te plait ? a demandé Julian.
Oui, ça me plait. C’est tellement beau et parfait pour ce moment, où des choses prennent fin et de nouvelles choses vont commencer. Et ça fait de cette maison Blackthorn Hall à juste titre… la maison des Blackthorn que je connais, que j’aime, pas les gens bizarres du siècle dernier qui étaient responsables de ce qui est arrivé. Ça me donne l’impression qu’une immense roue a tourné et que nous sommes à la fois au début et à la fin de quelque chose de nouveau et d’exaltant. Pour la première fois depuis que je suis arrivée ici, je suis allée m’assoir dans la chambre pour t’écrire et je me suis dit « Je suis dans notre chambre dans notre maison » et j’en suis contente.
Bonne nuit, Bruce. Je vais te poser sur une étagère quand j’aurai fini, celle de mon côté du lit. Félicitations : maintenant tu fais aussi partie de Blackthorn Hall.
Emma.
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Texte original de Cassandra Clare ©
Traduction d’Eurydice Bluenight ©
Illustration d’Audrey Estok ©
Le texte original est à lire ici : https://secretsofblackthornhall.tumblr.com/post/697740081442832384/emma-to-bruce
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escapadesbaskets · 3 months
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LOIRE A VÉLO2020
Jour 4 : Direction Orléans, en passant par Sully/Loire et Chateauneuf/Loire
SULLY-SUR-LOIRE
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Nous avons effectué notre pause du matin dans le parc du château de Sully-sur-Loire. Étant donné que nous avions déjà visité ce château en avril, nous n’avons pas renouvelé l’expérience durant ce voyage. Pour information, le coût de la visite libre est de 8 €, ce qui reste un prix tout à fait abordable par rapport au ticket d’entrée des châteaux plus “connus”. Nous avions été agréablement surpris par les atouts de ce petit château.
NB: en partant de Gien, l’itinéraire de la Loire à vélo propose un détour par St Florent. Sur les conseils du camping de Gien, nous n’avons pas fait ce détour et nous avons continué sur la D951 pour gagner quelques kilomètres à notre journée.
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Depuis Sully, l’itinéraire jusqu’à Orléans a été rythmé par un soleil éclatant, un ciel bleu donnant aux paysages de bord de Loire l’aspect d’un littoral de mer, des passerelles façon “Eiffel” mais aussi un vent d’Ouest qu’il a fallu affronter avec force pour arriver jusqu’à notre destination.
Je garde un très bon souvenir du lieu-dit “Le port” de St Benoît-sur-Loire. Après avoir traversé un bois avec des pins, vous longerez un camping qui donne sur une plage. Ce genre de paysage était assez improbable pour le centre de la France. Le charmant petit village du port vaut également le coup d'œil. Petite balade virtuelle  => ICI
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CHATEAUNEUF-SUR-LOIRE et son château
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JARGEAU
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ORLÉANS en soirée , enfin !
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Après nous être restaurés à Orléans, nous avons effectué encore une dizaine de kilomètres avant de finir notre journée. Nous n’avions rien réservé pour cette nuit-là. Nous avons donc cherché un coin où bivouaquer en ayant à cœur de ne pas gêner et de ne pas être réveillés en pleine nuit.
Nous avons élu domicile sur une grande aire de jeux avec stade, donnant la possibilité également de pique-niquer et de se fournir en eau. 
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Cette journée a été la plus longue et la plus difficile de ce voyage. Rouler de 9h à 21h ne fut pas chose facile mais les étapes les plus délicates étaient désormais passées et réussies. Je me souviendrai toute ma vie de ce vent de face qu’il aura fallu dépasser pour le surmonter.
NB: Vous l’aurez compris, le sens dans lequel  on effectue son voyage à vélo est important ! Si vous n’avez pas de préférence, il sera opportun de faire cet itinéraire dans le sens inverse (Ouest -> Est).
Cette journée a été la plus longue et la plus difficile de ce voyage. Rouler de 9h à 21h ne fut pas chose facile mais les étapes les plus délicates étaient désormais passées et réussies. Je me souviendrai toute ma vie de ce vent de face qu’il aura fallu dépasser pour le surmonter.
NB: Vous l’aurez compris, le sens dans lequel  on effectue son voyage à vélo est important ! Si vous n’avez pas de préférence, il sera opportun de faire cet itinéraire dans le sens inverse (Ouest -> Est).
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alain-keler · 2 months
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Paris, novembre 1992.
 Comme vous le savez je n'ai jamais cherché à faire une carrière photographique en photographiant les vedettes de cinéma ou de l'univers musical. Mais ce jour-là, il y a donc fort longtemps, j'ai eu une commande du magazine allemand "Der Spiegel", Mery Streep en personne, dans sa chambre, ou suite, dans un grand hôtel place de la Concorde où j'accompagnais leur correspondant à Paris. Tout se passa merveilleusement bien. Elle fut charmante et j'en garde un excellent souvenir, un excellent modèle, enfin façon de parler, car j'aurais été bien incapable de la guider dans des poses ou situations différentes. Je me contentais de sa gentillesse et de son sourire. Je ne vous dis pas que je l'ai toujours appréciée dans ses rôles au cinéma, avant et après ce jour.
Le Spiegel me fit photographier une autre fois une vedette, toujours dans une chambre du même grand hôtel, Jack Nicholson, grand acteur devant l'éternel. Pensant que j'allais utiliser un flash, un instrument que je n'ai jamais su bien utiliser parce qu'il ne m'intéressait pas, Nicholson décida de se la jouer grande vedette, ce qu'il est, et décida de mettre une paire de lunettes de soleil. Grand timide que j'étais je n'osais pas lui demander de les retirer. Inutile de vous dire que je crois que ce fut ma dernière commande pour ce magazine.
En photographie, la vie peut être très courte !
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claudehenrion · 3 months
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Et la France, dans tout ça ?
Les sujets survolés ces temps derniers sont trop vastes, trop complexes, trop ''à tiroirs'' ou trop pleins de mensonges pour que l'on puisse dire tout ce qui vaut la peine d'être dit, dans le format de ce blog (en gros, une page, format ''A4''). Et une communication sérieuse ne saurait se contenter des formats ex-'twitter' (devenu 'X') ou SMS, chers aux professionnels du bobard politique : depuis le covid et l'Ukraine, nous les croyons encore moins qu'avant . Heureusement.
Mais il est impératif de parler de la France... Ce fut un grand pays, une civilisation à l'intérieur de la civilisation occidentale... Ce fut un pays d'une beauté à couper le souffle (vous et moi ne l'avons pas oublié) : ses paysages, ses cathédrales, ses châteaux (qui ont beaucoup souffert de la haine ravageuse des révolutionnaires et des ''septembriseurs''), ses villages charmants, ses clochers graciles... sans parler de sa Capitale, cette ''Ville-Lumière qu'une dingue, élue (?) par la faute d'une loi scélérate (dite ''PLM'') a réussi à foutre en l'air en deux mandatures. Ce fut le pays de la joie de vivre, du bonheur individuel de ses habitants –toujours prêts à râler, certes, mais... comme ils étaient sympathiques, malgré ce petit travers...
En ces temps de fin de notre monde, la seule chose que nous permettent encore des idées sans queue ni tête (imposées par des politicards sans foi ni loi et par des compromissions létales dans des traités imposés, où notre possibilité de survie est coincée entre une démocratie morte et une liberté confisquée)... se réduit à quelques marches blanches inutiles et vaines, (ceux qui sont étiquetés ''à Droite'' n'y ont pas droit !), qui sont la dernière oraison funèbre permise, pour nous ou nos survivants... Oh ! Il subsistera, quelques temps encore, un espace géographique qui portera ce nom autrefois flamboyant : ''France'' --peut-être ridiculisé en ''Francistan'', le pays de francs, avec le suffixe persan ''-istan'' qui veut dire : ''lieu, pays'')-- avant de disparaître à jamais, avec le souvenir de nos belles heures oubliées... ou sans lui, plutôt.
Quatre sujets sont fondamentaux pour notre ''être'' et pour notre survie : (a)- une immigration invasive, conquérante et suppressive ;(b)- une menace pour la planète, imaginaire et indémontrable, mise en balance avec la survie d'une humanité ; (c)- la volonté masochiste d'une ''camarilla'' qui veut supprimer jusqu'à la racine tout ce qui a existé avant elle –mais qui n'a rien de valable à proposer, pour remplacer une civilisation (qui a apporté à l'humanité tout ce que ses rêves les plus fous n'avaient même pas imaginé), devenue, sans raison valable, l'objet d'une haine injustifiable... (d)- la volonté perverse et masochiste d'une caste de malfaisants qui préfère le pire à toute autre solution, l'absurde à l'intelligent, l'indémontrable au vraisemblable, l'affirmation mensongère à l'expérience et la guerre à la paix, au nom, bien sûr, de faux ''grands principes'' dont pas un seul ne pourrait exister sans l'énergie qu'ils déploient pour faire croire que le faux pourrait être vrai, le laid, bon ou beau, et le mensonge, vérité... Or, si nous approfondissons ces sujets, qui résument l'immensité de notre désarroi et décrivent la gravité de la crise artificielle ouverte sous nos pas, ce qui se passe ne peut être perçu que comme ''consternants'' et annonciateurs de drames sans limites. Une seule porte de sortie : que le Président dise : ''Je me suis trompé sur tout. On arrête les conneries avant la cata....''. Hélas...
(1)- L'immigration, d'abord. Résumons-la en trois mots : l'écrasante majorité du peuple a enfin réalisé que ses représentants lui mentaient honteusement, et c'est désormais à > 80 % que les français veulent que tout change, le plus vite possible. Réponse des dits représentants : une loi ''a minima'' qu'on fait semblant de concéder au populo... puisqu'on est certain d'avoir verrouillé par derrière le gouvernement de juges qui a de facto pris le pouvoir, sans mandat, dans l'opacité et le non-dit les plus complets. Huit jours plus tard, ils sont tout contents de nous promettre que le record absolu d'entrées légales ou non, qui vient d'être battu ce mois-ci, va devenir la nouvelle norme... et que l'œuvre de destruction sournoise de nos sociétés va enfin se muer en une œuvre de destruction massive et rapide. Et le Conseil constitutionnel de faire la danse du ventre pour nous expliquer sans rire que le contrôle des entrées, le contrôle des sorties, et la composition de ces deux éléments –seuls paramètres connus-- sont sans lien direct avec une loi sur l'immigration massive --et devenue majoritairement hostile... On est chez les fous, qui se prétendent ''sages'' !
(2)- La transition écologique. Toutes les énergies disponibles sont mobilisées à plein temps par la quête de ''l'impossible étoile'' du poète : un réchauffement dont les causes sont infinies mais que d'aucuns s'acharnent à prétendre n'être du qu'aux fautes, dites ''crimes'', de la race blanche contre l'humanité tout entière –dont elle, la folle ! Nos paysans, en se révoltant contre la stupidité castratrice des faux prophètes en mal de télé et de ''JT'', viennent de semer une petite graine qui ne peut que croître et se multiplier. Tremblez, fauteurs de troubles (lire : ''fouteurs de merde'', évidemment !), vos jours sont comptés... Plus personne ne peut vous voir, vous sentir, vous tolérer. Avec votre ''dérèglement climatique'', vous avez semé le vent, vous récoltez la tempête : quand quelque chose n'a aucune chance de marcher, inutile d'espérer un miracle que tout le monde sait impossible. Arrêtez vite cette mauvaise transition anti-écologique, de grâce ! !
(3)- La victoire à la Pyrrhus du progressisme : a force de croire, dans leur inculture structurelle, qu'il suffisait qu'une chose soit ''autre'' pour être réputée ''mieux'', nos cuistres chroniques avaient presque réussi a faire disparaître toutes les bases et tous les fondamentaux de l'édifice qui soutient le monde.... comme si quoi que ce soit pouvait vivre, une fois privé de ses racines (ou : de son histoire, de sa culture, de ses ''raisons d'être'' et de ses sources. Et j'ajoute, puisque nous parlons de civilisations, ''de son Dieu et de la Foi de ses Pères''). Leur faux dieu ''Progrès'', n'est fait que de ''changements'' –et le plus souvent peu souhaitables, comme le sont toutes leurs lois dites sociétales, qui sont autant de portes ouvertes vers la fin de toute humanité digne de ce nom.
(4)- La mondialisation maléfique : comme un vieux fantasme hugo-hollywoodien, une sorte de tenaille de torture a été installée à demeure sur les pauvres gens, par des esprits malfaisants. Ses dents déchiqueteuses pourraient se nommer Klaus Shwab pour l'une et Ursula von der Leyen pour l'autre. Leur but est simple : pour atteindre le plus vite possible le point de non-retour de notre chute vers leur néant absolu (ce que eux seuls désignent par ''mondialisation heureuse'', qui est synonyme de malheur irréversible pour tous les autres mortels), il faut et il suffit de rendre impossible la vie et la survie des classes sociales, des métiers, des structures, etc... l'une après l'autre. Ces tenailles assassines ont failli avoir raison de nos familles, de notre industrie, de notre religion, de notre système hospitalier et de notre médecine, de notre école, de notre foi en nous, de notre culture, de notre langue, de notre Histoire, de nos traditions.... mais semblent se briser sur le saccage officiellement programmé de notre agriculture : nos paysans, armés de leur bon sens réputé, ont éventé leurs manigances avant qu'il ne soit trop tard. L'espoir renaît : Méphisto, dans ''Faust'', dit : Mon pouvoir tient à ''Je suis celui qui peut dire ''Non''... Au lieu de sur appliquer les folies de Bruxelles (ce qui est une stupidité signée Macron : il ne sait pas que sa ''transition écologique'' est une connerie XXL !), il suffirait de dire ''Non'' aux idioties présentes et passées.
Au lieu de ça, nous avons eu droit aux pitreries de Gabriel Attal, hier soir. Il est courageux, mais il croit possible d'endormir la contestation à coups de ''n'' chèques de 50 millions chacun... au lieu de faire la seule chose qui peut sauver la paysannerie, la France –et même l'Europe-- de tous les malfaisants qui veulent leur disparition : remettre la grosse commission de Bruxelles à sa place, se dresser contre sa fièvre normative, et annuler toutes ses tentatives d'assassinat depuis 5 ans.
Ce samedi 27 janvier 2024, le Figaro titrait, dans une orgie d'inculture : ''Attal affiche son volontarisme pour apaiser la colère paysanne'' (sur une botte de foin, pour faire ''bouseux''!). Nos journaleux (derniers dans le classement ''Pisa'') ne savent pas que ''volontariste'' ne veut pas dire ''qui a de la volonté'', mais : ''qui croit pouvoir soumettre le réel à sa volonté''.. Nos politicards en sont là ! Le mal est immense, mais la guérison encore possible.. 
H-Cl.
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sabinerondissime · 1 year
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Une blague ?
Celle qui m'a fait le plus rire c'est la blague du steak haché . D'ailleurs, j'ai voulu la raconter lors d'un premier rendez-vous et j'ai eu un tel fou rire que le charmant jeune homme avec qui j'étais a plus rit de me voir m'écrouler de rire que de la blague en elle-même ! Ca reste un souvenir mémorable !
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madame-est-servie · 2 years
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14 : (re)mise en condition
Ces derniers jours ont été assez éprouvants pour mon mari, ma petite famille et moi même puisque nous avons déménagé et même changé de pays !
Inéluctablement, la relation de domination / soumission qui s'était installée s'est un peu estompée pendant cette période...
A tel point que, le premier soir en terres inconnues, alors que nous dormions dans un très charmant hôtel, j'ai fait l'amour à mon mari, en le chevauchant comme j'aime le faire et en le laissant jouir (avec un préservatif bien sûr) à mon signal, pour être sûre d'obtenir un orgasme avant qu'il ne jouisse...! Ce soir là vu les circonstances je l'ai même épargné de sa corvée habituelle qui consiste normalement à ravaler son sperme... Ma bonté me perdra, mais ce n'était de toute façon pas quelque chose qui m'excitait sur le moment.
Quelques jours ont suivi, qui furent très épuisants, entre l'appropriation de notre nouveau lieu de vie, le déballage des cartons et les enfants à gérer... Je n'avais vraiment pas la tête ni l'énergie à "ça", même si je voyais que cela manquait à mon mari...
Mais une fois bien installée, il était temps de remettre mon frustré en condition.
Un soir donc, alors que nous nous couchons, je décide de reprendre en main mon mari. A notre arrivée, j'avais pris plaisir à lui demander de déballer notre carton de jeux sexuels et à les ranger dans notre "boîte"... Ce soir, je lui demande de me dire, parmi les sextoys qu'il a rangé, celui dont il aimerait le plus se servir... Il ne sait pas quoi me répondre, ce qui a le don de m'agacer... Il finit par me parler d'un de mes "god ceinture"... Monsieur aimerait que je le prenne un de ces jours, pour lui remettre les pendules à l'heure. Je lui explique que dans mes souvenirs, ce sextoy est un peu gros, et que peut être qu'il faudrait que j'y aille progressivement, pour qu'il y ait une évolution dans le temps... Je sais qu'il est particulièrement excité quand je réfléchi à voix haute à mes projets je concernant.... A mon tour je lui parle du sextoy que j'aimerai utiliser. Il s'agit d'un cordon en caoutchouc qui permet de lui serrer les bourses... "Ça plus le god ceinture, ça pourrait être bien sadique !". Je le sens impressionné...
" - Maintenant je veux que tu me montres la boîte, pour que je fasse l'inventaire de nos jouets et que je vois si j'ai envie d'en utiliser un..."
Il s'exécute, pas assez vite à mon goût puisqu'il perd du temps à m'embrasser avant d'exécuter mon ordre... Ce genre de détail a le don de m'agacer...
Je fais l'inventaire et m'aperçois qu'il manque mes deux principaux jouets, mon plus vieux et fidèle vibromasseur, et mon dernier jouet, un vibromasseur à impulsions magnétiques qui au lieu de vibrer de façon classique , fait des vas et viens en moi, comme un vrai sexe...
"- Tu as rangé les sextoys et tu ne t'es même pas rendu compte qu'ils manquaient ?" A ma voix, j'espère qu'il comprend que ça ne me fait pas rire du tout.
Il est "comme un con", et ne sait pas quoi dire. Il se demande vraiment où ils ont pu passer. Il me voit me saisir de mon paddle en cuir, avant de se rappeler que je lui avais demandé de les ranger dans un sac, à part, de sorte de les avoir avec nous lors du voyage...
Tellement soulagé de les avoir retrouvé, il ose : "ah tu vois en fait c'est de ta faute ! Tu ne te souvenais même pas !".
Même si je ris et souris, il comprend à mon attitude que ça ne me plaît pas du tout.
Je lui offre trois chances de se confondre en excuse de façon convaincante. Il échoue (de toute façon j'avais décidé qu'il échouerait !).
"- A quatre pattes".
Je lui caresse à peine les fesses avec mon paddle.... J'hésite un moment sur la zone, puis je lui assène, plusieurs fessées, 6 ou 7, de plus en plus fortes. Je le sens tressaillir. Il sursaute. Je sens qu'il est très surpris de la puissance de mes coups. Je sens qu'il a mal. Je réalise que j'adore cette sensation ! C'est bizarre à dire mais je prend un réel plaisir à le faire souffrir et j'aime ce rôle.
"- Maintenant je veux mon dernier sextoy et du lubrifiant. Tu as le droit de me caresser le corps et de me têter le sein gauche."
Rapidement, me voilà allongée sur le dos, un sextoy faisant des va et viens toujours plus intenses en moi, pendant que mon mari me tête... Je sens cette vague de plaisir monter en moi. J'aime tellement prendre du plaisir tandis que mon mari est à côté de moi. Je prend son sexe dans ma main, comme pour m'assurer qu'il est bien droit, et lui rappeler qu'il est à moi. J'aime cette sensation de le tenir par la queue alors que je me fais du bien, seule...
"- Bon, mets toi sur le dos, je vais te chevaucher.
- sans préservatif ?
- oui. pour l'instant. Tu me dis si tu sens que tu vas craquer."
Je m'empalle sur lui. Et je prend le pouvoir. Quelle sensation exquise. J'aime tellement cette position. A la fois parcque je suis totalement au dessus de lui, et que je le contrôle. Mais aussi parcque j'aime poser mes mains sur son torse, voir ses bras musclés...
J'accélère le rythme. Mon mari respire très fort, je sens que c'est un supplice pour lui de ne pas craquer. Mais il tient le coup. Je me sens partir. Ça y est, la vague m'envahit et je joui sur lui. Je me retire pour éviter que mon mari n'explose ! Je remarque avec fierté qu'il a tenu le choc. Alors qu'il n'est plus en moi et que je suis allongée à côté de lui, je sens que mon orgasme n'est pas terminé. Par vagues, l'orgasme contracte mon utérus et me voilà en train de jouir, pendant une bonne minute, à côté de lui. Toutes les 5 secondes, je ne résiste pas à pousser un gémissement.
Il me demande si c'est bien réel. Je n'avais jamais vécu ça et je lui confirme que je joui encore.
Il est dans un état second, à côté de moi. Il me regarde comme si je n'étais pas humaine ! Il me dit qu'il m'admire.
Je réfléchi à voix haute.
"- Tu sais, c'est toi qui veux tout ça. Et plus je réfléchi et plus je me dis que je ne sais pas si j'ai envie que tu aies un jour un orgasme complet. Tu n'es peut être pas fait pour ça. Tu es fais pour être frustré. "
Je le sens effrayé. Mais terriblement excité.
"- Je coule tellement, je vais aller aux toilettes !" En disant cela, je sais qu'il meurt d'envie de me nettoyer avec sa langue, mais je l'en prive, comme je le fais depuis plusieurs jours. Je n'en ai pas envie, toute simplement.
"Maintenant, bonne nuit mon frustré".
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NSBC • Chapitre 4
Je sais que je ne devrais pas être jalouse comme ça… Mais j’y peux rien ! Cette fille a tout ce que j’ai toujours rêvé d’avoir… Elle doit avoir une vie parfaite !
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Je me suis couchée tôt, ce soir-là. Et je vous interdis de dire que je suis une gamine insatisfaite !
Le lendemain, il fait très lourd. Les nuages n’ont pas quitté le ciel depuis la veille, et la chaleur est montée d’un cran. En gros, pas de quoi me remonter le moral. En revanche, j’avais de bonnes nouvelles du Conseil de Géologie dans la boîte aux lettres, et ça, ça m’a redonné le sourire !
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Grâce à mon assiduité, j’ai découvert trois nouveaux éléments, et ils m’en félicitent. Super ! Je ne dois pas me laisser abattre… Moi aussi, j’aurai une famille heureuse, un jour… ! Et surtout, je vais surpasser Victoria… coûte que coûte !
Requinquée, je rentre et me mets devant mon échiquier. Ben oui, ça passe par là… Et alors que je m’apprête à me mettre moi-même en échec, on toque à la porte.
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Intriguée, car n’attendant pas de visite, je me lève et vais ouvrir. Quelle ne fut pas ma surprise lorsque j’ai reconnu le petit-ami de Victoria !
« Oh, bonjour.
— Bonjour Solange ! J’espère que je ne vous dérange pas !
— N-Non, du tout… Mais… Que… Que me vaut votre visite ? »
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Il rougit. Pourquoi ?
« Ok, ça va vous semblez bizarre, mais… je suis tombé sous votre charme quand on vous a croisé hier, avec Vic’. »
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Quoi ? Mon charme ? Mais de quoi il parle ? Il a une copine, non ? Pourquoi il vient me voir ?
« Attendez… Je ne suis pas bien sûr de comprendre… Vous êtes bien le petit-copain de Victoria, non ? »
Et à mes mots, il éclate de rire. Qu’est-ce que j’ai dis ? Je vais m’asseoir au bar, et le regarde, intriguée.
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« Excellent, Solange ! Je ne vous imaginais pas si drôle !
— Pourquoi riez-vous ?
— Ah, vous êtes sérieuse ?! »
Il se moque de moi ?
« Pardon, c’est vrai qu’en y repensant, la situation pouvait prêter à confusion. Victoria est ma sœur jumelle. »
J’ai l’impression qu’une énorme enclume me tombe sur la tête. Quelle idiote !
« Je… Je suis désolée… Je pensais vraiment…
— Aucune inquiétude à avoir ! Vous n’en êtes que plus charmante à mes yeux ! »
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Quel charmeur… Je décide de rentrer dans son jeu. Je me lève, et il me suit.« Vous avez confiance en vos capacités de séduction, je vois…
— Je ne devrais pas, belle Solange ? »
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« Vous n’aimez pas ce que vous voyez ? »
Bon, ok, il est parfaitement conscient de l’effet qu’il me fait.
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Je ne réponds rien. Enfin, pas avec des mots.
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« Je vois… J’ai très envie d’apprendre à vous connaître, Mlle Berry, mais là, tout de suite, c’est autre chose qui me vient en tête… Vous êtes partante ? »
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Mlle Berry… Étrangement, quand c’est lui qui le dit, l’effet n’est pas le même que quand c’est sa sœur…
« Avec plaisir, M. O’Riley… »
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Il est parti le lendemain, au petit matin, en me laissant un souvenir… extraordinaire. Ça faisait longtemps que je n’avais pas été intime avec quelqu’un, et je ne m’étais pas rendu compte que ça me manquait à ce point. Je parle bien sûr du contact émotionnel rapproché, pas de l’acte en lui-même, même si c’était très sympathique, il faut l’avouer.
Je sens encore l’emprunte du baiser brûlant qu’il a donné à ma joue juste avant de filer.
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Peut-être qu’il pourra devenir plus qu’un copain de couette, qui sait ?
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les-portes-du-sud · 9 months
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Voyance et Vie d'un pigeon.
11.08.2023
Nous nous asseyons avec Mounir dans un charmant restaurant avec vue panoramique et musique en live. Une soirée merveilleuse, le saxophoniste joue "joyeux anniversaire" à la table voisine, tout les clients du restaurant applaudissent (pour une raison quelconque) , félicitant les étrangers que nous voyons pour la première fois de notre vie. Je ne sais pas si c'est de la bonne humeur! Le ciel est rose-orange, à table près de la fenêtre, il est difficile de détourner le regard de la vue et de commencer à étudier le menu. Nous passions commande auprès du serveur... Le saxophoniste joue à nouveau "joyeux anniversaire", un autre apporte le gâteau, une autre table (un couple assez âgé) est félicitée, nouvelle ovation. En général, il est difficile pour mon ami et moi de planifier quelque chose. Je suis bipolaire, il est psychopathe. Nous sommes meilleurs en improvisation. Une réservation annulée ou reportée n'est jamais évoquée. Alors que lui et moi commençons à nous disputer sur la différence entre une cuillère à dessert et une cuillère à café (et dans ce cas, je vais jusqu'au bout), le musicien relance de plus belle un "happy birthday" à un cinquantenaire, non accompagné, qui s'efforçait de sourire cachant mal sa gêne d'être sous les regards de tous les clients et le personnel, les serveurs sortent un autre gâteau. Revenant à nous pour dire : Se disputer avec Mounir sur l'étiquette et la mise en place de la table, c'est cette vieille blague de pigeon, c'est se disputer avec un imbécile, c'est comme jouer aux échecs avec un pigeon. Il dispersera les pièces, chiera sur l'échiquier et s'envolera pour dire à tout le monde comment il vous a façonné. Alors que ma boule de cristal m'indique qu'il venait juste d'apprendre l'existence de la cuillère à dessert par moi, et l'instrument retentit de plus belle pour le même refrain... J'ai trop de questions sur cette journée et les gens : pourquoi sont-ils tous nés aujourd'hui ? Si j'avais le droit de choisir, je serais née à l'automne. Une nouvelle vie au milieu d'une nature mourante. Tournant, la vie, hélas. J'ai essayé de calculer l'intervalle de temps entre les salutations d'anniversaire, mais je n'ai pas réussi. Cela a dû faire environ dix ou quinze minutes. Quand ils me redemanderont comment ne pas penser à telle ou telle connerie ?! je leur répondrai ainsi : Mon cerveau est occupé par des choses plus importantes : il calcule des intervalles. Il réfléchit comment rattraper un saxophoniste et flatter son jeu, je ne parle pas de "joyeux anniversaire", mais le contenu des pensées est déterminé par les mots pour le reste de la soirée, l'esprit semble être dispersé par une myriade d'impressions et/ou de situations. Et au fait, nous avons laissé tombé le nombre d'intervalles laissé par le musicien à chaque jeu. Nous nous sommes séparés à la sortie .J'ai vraiment aimé que tous les visiteurs applaudissent les anniversaires. Je n'ai pas encore vu ça : pas quatre fois de suite dans le même restaurant, et certainement pas pour des étrangers. Et le ciel est vraiment très beau aujourd'hui. Dimanche dernier m'a rappelé l'importance de collectionner des souvenirs. Cela empêche la tête d'être plus que saturée de mauvaises ondes. Et je continue d'en récolter .
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etiennedaho · 2 years
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DANI
Nous nous sommes encore parlé hier soir. Tu étais à fond sur le projet ton prochain album et tu voulais qu’on l’enregistre ensemble. Le titre « Attention, départ ! » comme une prémonition. Je n’y voyais qu’un nouveau chapitre.
Tant de souvenirs, de rires, d’amitié et de musique me reviennent. Cette histoire Commence. Et ce « Boomerang », comme un signe de Serge et que nous avons porté si haut.
Toi l’inclassable, libre, si jeune. Mannequin, actrice, meneuse de revue, chanteuse, rosiériste. Tu as tout fait avec l’élégance des dilettantes, surfant, hors des clous, sans te laisser enfermer dans les cases dans lesquelles on voulait t’enfermer, charmant ton monde de ta malice et de ta voix grave, sensible, planquée dans les volutes de fumée de tes cigarettes. Si rock, mais toi pour de vrai. E++++
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Un hémisphère dans une chevelure
Laisse-moi respirer longtemps, longtemps, l'odeur de tes cheveux, y plonger tout mon visage, comme un homme altéré dans l'eau d'une source, et les agiter avec ma main comme un mouchoir odorant, pour secouer des souvenirs dans l'air.
Si tu pouvais savoir tout ce que je vois ! tout ce que je sens ! tout ce que j'entends dans tes cheveux ! Mon âme voyage sur le parfum comme l'âme des autres hommes sur la musique.
Tes cheveux contiennent tout un rêve, plein de voitures et de mâtures ; ils contiennent de grandes mers dont les moussons me portent vers de charmants climats, où l'espace est plus bleu et plus profond, où l'atmosphère est parfumée par les fruits, par les feuilles et par la peau humaine.
Dans l'océan de ta chevelure, j'entrevois un port fourmillant de chants mélancoliques, d'hommes vigoureux de toutes nations et de navires de toutes formes découpant leurs architectures fines et compliquées sur un ciel immense où se prélasse l'éternelle chaleur.
Dans les caresses de ta chevelure, je retrouve les langueurs des longues heures passées sur un divan, dans la chambre d'un beau navire, bercées par le roulis imperceptible du port, entre les pots de fleurs et les gargoulettes rafraîchissantes.
Dans l'ardent foyer de ta chevelure, je respire l'odeur du tabac mêlé à l'opium et au sucre ;
dans la nuit de ta chevelure, je vois resplendir l'infini de l'azur tropical ; sur les rivages duvetés de ta chevelure je m'enivre des odeurs combinées du goudron, du musc et de l'huile de coco.
Laisse-moi mordre longtemps tes tresses lourdes et noires. Quand je mordille tes cheveux élastiques et rebelles, il me semble que je mange des souvenirs.
Charles BAUDELAIRE, Petits poèmes en prose, Les Paradis artificiels
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