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#Camping de La Plage
twofeetadventures · 1 year
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On the Moroccan Coast - El Jadida and Oualidia
We continue south along the Moroccan coast. We visit El Jadida, Oualidia and spend a few relaxing days on the coast at Bhibeh.
After two nights in Asilah it was back on the road and we wanted to head south quickly. Casablanca and the Rabat we skipped and made only a short stopover for one night in Mohammediaas the local Camping Mimosa is only five minutes away from the motorway. It has lots of trees for shade and the showers were hot. Roosters, guinea fowl and cats visited us at our truck and the staff were friendly and helpful. More comfort ...
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philoursmars · 2 years
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- les deux premières : La Ciotat, vers la plage de Fontsainte
- Cassis, le Cap Canaille
- Marseille, Carpiagne, l’entrée du camp militaire
- Marseille, quelques courses au Centre Commercial.
- les 3 dernières : l’orage chez moi !
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leszackardises · 10 months
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La belle tournée: Les invités du 26 juin 2023 (Centre-du-Québec)
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le-journal-catalan · 1 year
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Forum de l'emploi saisonnier à Torreilles & Sainte Marie la mer
Les communes de Torreilles et de Sainte Marie la mer organisent conjointement le forum de l’emploi saisonnier le samedi 11 mars de 9h à 13h à la halle des sports de Torreilles.Torreilles, Sainte Marie la mer, le jeudi 2 mars, les communes de Torreilles et de Sainte Marie la mer se mobilisent en faveur de l’emploi local. Pour la première année, les offres d’emploi saisonnier des deux communes…
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micheltaanman-blog · 1 year
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Frankrijk - Bretange - strandtent Le Café De La Plage
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homomenhommes · 27 days
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 137
Franck et les jeunes de la touze
Nous sommes mercredi, je suis sans contrainte de taf car Ed est en vacances avec ses parents.
En prévision de la touze du soir, j'ai invité Arnaud, Phil et Luc à venir passer la journée. Arnaud nous rejoint, vers 11h passant par notre mur commun alors que Phil et Luc sont déjà arrivés. Seb et son pote Nicolas ainsi qu'Eric nous rejoindrons en fin d'après midi après leur travail.
Phil et Luc sont intégralement bronzés. Ça leur va bien mais je préfère l'option que j'ai prise cette année de bronzer avec maillot. Le choix du modèle que je porte pour bronzer me fait une courte bande blanche bien horizontale du bas des hanches au haut des cuisses.
Nous passons la matinée au bord de l'eau, nous racontant nos vacances. Phil et Luc veulent absolument savoir la genèse de ma rencontre avec Franck. Je me rends compte qu'ils ne sont pas au courant pour ma nouvelle voiture. Je le leur dis et nous déboulons dans la cour. Porte du garage grande ouverte, ils font le tour de mon engin. Sifflements admiratifs, Arnaud me demande si je me la suis achetée. Je lui réponds que non, c'est un cadeau de clients. Phil me demande si ce sont les clients de Jean et Jimmy. Je leur dis que ce sont mes propres clients en tant qu'Escort-boy.
Luc, lui, avise la nouvelle moto. Là, j'avoue avoir eu un moment de faiblesse et de m'être offert ce joujou.
Nous retournons à la piscine. Excités nous chahutons dans l'eau jusqu'à l'heure du repas. Servis par Samir et Ammed, même Jimmy qui en profite !, nous profitons d'un BBQ sans être importunés de le faire nous même.
Phil et Luc nous racontent leurs vacances. Comme l'an passé, ils sont débarqué sur la côte m��diterranéenne mais cet été avec seulement une nuit de camping réservée. Un seul après midi de plage leur a suffit pour trouver ou loger la nuit suivante. Ils sont tombé chez un " collectionneur " qui hébergeait déjà trois autres jeunes comme eux. Grosse villa équipée piscine et salle de sport...avec obligation d'y vivre à poil et surtout d'être dispo à toutes heures pour une baise, soit en particulier soit en touze avec les amis du propriétaire. Luc s'est satisfait d'être passif alors que Phil a eu quelques fois l'occasion d'enculer et pas seulement les trois autres jeunes. Ils y sont restés plus d'un mois et alors qu'ils ne s'y attendaient pas, un paquet de fric à la sortie. Le proprio taxait en fait chaque invité et d'après ce que Phil a compris, a partagé l'intégralité des gains entre les 5 jeunes. A postériori, Luc s'était fait la remarque qu'il y avait un sacré passage dans cette villa, pas moins d'une demi douzaine de mecs par jour, entre 40 et 60 ans.
L'après midi continu sur le même rythme. Quand l'un de nous bande, nous n'en profitons pas nous retenant pour la soirée. Franck qui s'est habitué à assouvir rapidement ses envies depuis que je l'ai dépucelé, à un peu de mal à comprendre. Luc lui explique que nos " frustrations " momentanées nous rendrons encore plus chauds et salopes plus tard. Vers 16h, je décide que nous devons commencer à nous préparer et nous descendons à la salle de muscu. A part Jimmy et Arnaud qui sont plus dans la souplesse, Phil, Luc, Franck et moi sommes dans le muscle. Pendant qu'ils font leurs exercices, nous soulevons de la fonte. Phil et Luc sont du niveau de Franck. Je suis un cran au dessus (cela flatte mon égo !). Vers 17h passé, nous passons à la préparation de nos peaux, douches, rasages, épilations. Petite préparation interne, lavement pour tous. Cette activité nous fait tous bander mais nous tenons bon ! Massage à l'huile, quand nous remontons, nous sommes au mieux de nos apparences. Il est près de 18h30, les Hommes ne vont pas tarder. Marc est le premier à arriver. Il fait encore soleil sur la terrasse, je dis à tous de rester et organise un tableau où les ;corps sont étalés, alanguis puis je sors l'accueillir. Bisous, il me serre dans ses bras. Je l'entraine dans le jardin et nous tombons sur mes acolytes. Ils ont bougés ! Arnaud est dans les bras de Franck, Luc ;dans ceux de Phil, seul Jimmy est resté en place. La vue est encore plus réussie encore. Marc nous dit de l'attendre et part se changer. Il revient en shorty moulant sa queue déjà raide. Quand il arrive sur la terrasse, Bruno se pointe du fond du jardin. Et j'entends une voiture entrer dans la cour. Seb et Nico ne tardent pas, introduits par Samir.
Nous commençons l'apéritif. Dès que Bruno et les deux autres se sont mis en tenue. Maillot pour les trois.
Les trois " mâles " bandent à notre vue. Marc décide qu'Eric prendra le train en route et il appelle Franck pour lui dire d'aller sucer Bruno. Arnaud et Luc font une pipe à deux bouches sur la bite de mon mec quand Phil et Jimmy s'occupent de Bruno. Avec Seb et Nico, je passe un bon moment, pipant Nico pendant que Phil me suce. J'entends le vrombissement du GSXR d'Eric entrer dans la cour. 1mn plus tard il apparait en cuir à la porte du salon. Je pars le dévêtir. L'extirper de sa combi en cuir n'est pas facile (combi une pièce !) puis du t-shirt et de son caleçon moulant. C'est toujours une bête de muscle et de bite. Il soulève mes 85Kg comme si je n'en faisais que la moitié, me roule un patin et me pose les fesses sur sa bite bandée (vue sa taille, le gland dépasse mon fessier).
Il se fait servir un whisky par Ammed et salut les autres. Franck est hypnotisé par les 26cm x 7 qui le précède et surtout du beau gland violacé qui termine le manche noir ébène. Alors qu'Eric s'approche de lui, il ouvre la bouche pour parler mais se retrouve empêché par le gland qui le fascinait tant. Eric s'enfonce mais butte dès 15cm dedans. Il me regarde interrogatif. Je lui explique qui est Franck et que c'est un débutant question sexe. Il passe sa main derrière le crane de Franck et le bloquant, lui pilonne le fond de sa bouche jusqu'à ce que son gland passe de l'autre coté de la glotte. Franck s'étouffe. Il relâche la pression et lui explique que ce soir il y aurait droit des deux coté et qu'il fallait qu'il s'améliore rapidement. Franck n'en mène pas large et coasse un " oui m'sieur " bien servile. Les autres mâles de la soirée ont déjà leurs bites couvertes soit d"une ou deux bouches soit d'un cul accueillant. Je me kpote et m'enfonce dans le boyau de Franck. Arrivé au fond j'accentue ma possession d'un coup de rein qui l'envoie se planter plus loin sur la bite d'Eric qui me remercie. J'encule Franck en appuyant chacun de mes coups de rein au delà de la butée de mon pubis contre ses fesses. Ça le propulse à chaque fois sur la teub d'Eric. Comme cela ne suffit pas à lui faire prendre les 26cm entiers, avec Eric, nous le tournons, dos sur la table basse en bambou de la terrasse. Je reprend mon limage de trou avec ses chevilles sur mes épaules. Eric lui pousse la tête en arrière et se renfonce dans sa bouche. Franck prend plus facilement et Eric parvient à ses fins. Après quelques va et vient, il arrive à lui poser ses couilles sur le nez, son gland faisant ressortir méchant la pomme d'Adam. Je prend du plaisir dans ce cul encore récemment inutilisé (de cette façon). Eric me demande de lui céder la place. J'obéi, mais Franck la bouche libérée coasse un " il est trop gros pour moi ". J'attrape un tube de lubrifiant et lui enfonce en lieu et place de ma bite pour lui en envoyer une bonne dose de gel au fond de son boyau. Après, je vais lui rouler un patin et lui dis que j'ai préparé le terrain, qu'il a le cul bien détendu que ça devrait le faire. Par précaution, je prend un flacon de poppers (y'en a toujours dans les tiroirs lors des touzes programmées) et lui fais sniffer une bonne dose à chaque narine. Il chauffe direct, peu habitué à ce traitement radical. Je lui tiens la tête et je fixe mon regard dans le sien. Je vois sur son visage les effets de la pénétration d'Eric. Le passage du gland se fait facile, c'est pas le plus gros du morceau. Puis dilatation progressive par le manche qui (je le sais d'expérience) s'il démarre à 5,5cm de diamètre passe rapidement à 6 puis à 7cm ! Les derniers cm de queue ont plus de mal à passer et je vois le joli visage de Franck se plisser d'une grimace de douleur. Je refais un service de poppers. Il se dilate encore un peu, juste ce qu'il fallait pour qu'il apprécie son enculage. Eric graisse à nouveau son manche pendant le retrait et n'attend pas que Franck se crispe pour réinvestir la place. Le deuxième coup est plus facile et les larmes qui coulaient silencieusement des yeux de Franck se tarissent. Eric répète encore deux fois l'opération de lubrification avant de le saillir selon ses envies. Bien ancré dans le cul de Franck, il se couche sur lui, lui donne sa grosse langue à téter puis, le serrant dans ses bras le redresse et se lève. Instinctivement, Franck a placé ses jambes autour des hanches d'Eric et se tiens à ses épaules. Malgré cela il est défoncé jusqu'au dernier millimètre de bite black.
Je me tourne et vois Bruno enculer Jimmy alors que Marc se fait Arnaud. Nico, lui s'enfile Phil. J'avise Luc et encore comme je suis encore bien excité de mon passage dans Franck, profite qu'il soit en train de lécher Seb pour le saillir (kpote neuve bien sur, graissée). Surpris il se retourne et regarde qui l'encule. Je le tiens bien aux hanches et il ne peut ni ne veux se défiler. D'une levrette, nous passons à une position moins bestiale, lui sur le dos et moi couché sur lui pour rouler une pelle en plus. La touze se poursuit sur la terrasse. Je me fais, à mon tour enculer par Nico. J'aime bien sa bite, 2cm de moins que celle de Marc mais avec un rythme et une façon de faire totalement différents. J'observe que Franck est encore empalé sur la bite d'Eric. Il va se souvenir de son premier black !! Je vois qu'il jouit d'abondantes giclées de sperme. Eric prévenant sort alors (c'est vrai que c'est pas toujours agréable de continuer à être sodomisé alors qu'on a soi même jouit !). Franck s'agenouille devant lui et tète son gland jusqu'à recevoir une douche de sperme.
A cette première " cession ", pas une kpote de remplie, toutes sont plates dans les cendriers mais par contre pas un des enculés n'est propre ! nous avons tous du sperme sur nous, qui dans les cheveux, qui sur le visage ou le ventre.
Nous descendons tous aux douches collectives de la salle de muscu. Bien qu'équipée de nombreuses pommes de douches, nous sommes serrés à 10 dessous. Mais les frottement des corps savonnés provoque de nouvelles montées de sève. Luc s'occupe particulièrement de la queue d'Eric nettoyant le moindre replis de son prépuce, aidé en cela par la magnifique turgescence du membre en question.
Un bon rinçage plus tard et nous voilà tous en train d'essuyer un autre corps que le sien. De retour sur la terrasse, nos deux serviteurs avaient préparé le diner. BBQ c'est de saison. Ils sont bandant, Samir et Ammed dans leurs shorts en cuir noir. Samir a offert à Ammed avec l'accord de Marc un short lacé sur les cotés dont les bords écartés de 5/6cm laissent voir la peau. Avec l'usage (journalier) le cuir s'est moulé sur leurs parties montrant plus que cachant leurs sexes généreux. Marc doit rappeler plusieurs fois qu'ils ne sont là que pour le service, pas pour le sexe.
Dans un groupe pareil, nous n'atteignons pas les desserts sans que la touze ne soit relancée. Avec Marc, je propose d'émigrer vers le donjon. Au passage dans la cour, je vois que le GSXR d'Eric commence à accuser son âge. Il va falloir que je fasse quelque chose, après tout si je me suis fait autant de fric c'est bien grâce à ses nombreux contacts. Je me décide avant d'entrer au donjon à lui offrir le dernier modèle dès la fin de semaine.
J'y repenserai quand il me sodomisera plus tard dans la soirée. Je sais que c'est un inconditionnel de ce modèle. C'est sur sa bite que je me finirais pour la soirée. Faut dire qu'après du 26 x 7, il ne reste que la double sodo qui ne me tentait pas plus que cela ce soir là.
Commencée tôt, la touze s'est finie vers les 23h, bien pour ceux qui taffaient le lendemain matin !
JARDINIER
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aloysiusrpg · 2 months
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MESSAGE IN A BOTTLE (forum camping/low fantasy)
inspiration the white lotus, hsmtmts, the odyssee, gossip girl.
CONTEXTE.
“lundi, c’est aquabike,
mardi, c’est randonnée dans les bois,
mercredi, c’est bronzette sur la plage,
jeudi, c’est cours de poterie avec les amis,
vendredi, c’est initiation au tai-chi
samedi, c’est soirée au camping,
dimanche, c’est pic-nic avec les voisins
et après ?
et après c’est la même chose,
lundi, c’est tournoi de volley-ball,
mardi, c’est veillée autour d’un feu de camp à faire griller les chamallows
mais on repart quand ?
pourquoi tu veux repartir ? on est pas bien là,
on est bien là, oui”
tel un cirque itinéraire, le campus du lotus blanc s’était installé ici-là pour une durée de quelques mois. Il attirait les foules, offrant un complexe et des infrastructures sans pareilles et les gens restaient, sans trop savoir pourquoi, goûtant les mets les plus somptueux à base de lotus. et puis lorsqu’il y en avait plus, c’était la fin des vacances, tous pliaient bagages et reprenaient leur vie jusqu’à ce que le lotus blanc apparaisse à un autre endroit du globe.
Le camping, c’est le théâtre de la découverte de soi, de la découverte des autres, des rencontres amicales ou amoureuses, des drames soudains, du divertissement sans borne, des limites franchies allant jusqu’aux plus noires envies.
vous aussi, rejoignez le lotus blanc parce qu’on sait pas jusqu’’à quand ça durera, ni où ça nous mènera.
PRESENTATION DU FORUM.
MESSAGE IN A BOTTLE (MIAB) est un forum de type camping se voulant être éphémère, c’est-à-dire qui dure entre 4/5 mois et après ? si ça marche, l’endroit, le décor, tout change, vous pourrez conserver vos personnages ou en changer car le lotus blanc se veut être itinérant.
c’est aussi un forum qui se veut être chill, pas de mots ou de lignes exigées, on répond quand on veut, à son rythme. Les rps courts sont plutôt privilégiés, en plus des différents moyens de communication qui seront mis en place. Des animations inrp seront là pour satisfaire à la fois celleux qui n’ont pas trop le temps de se consacrer au forum ainsi que celleux qui veulent s’investir à fond. le but (même si c’est toujours une douce utopie) c’est que chacun.e y trouve son compte.
A CE STADE
Je lance l’idée, je suis seul à bord avec mon petit imaginaire et mes petites mains pour écrire, évidemment, je cherche un à deux compères qui seraient partant.e.s pour se lancer dans l’aventure (à savoir que je vise personnellement une ouverture fin avril). Je cherche aussi quelqu’un qui serait prêt à coder/grapher, sans forcément être dans le staff s’iel ne veut pas. évidemment avoir déjà administrer est un plus et se montrer communicatif aide aussi.
bref si ça vous intéresse, go go go et mpottez moi.
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voyage-et-vacances · 1 month
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Feu de camp sur la plage, 1964.
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sarahaubel · 6 months
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Star Ac' et pipes à crack.
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Je ne vais pas mourir aujourd’hui. Je le sais car j’ai demandé au pendule que Clotilde m’a offert samedi dernier. Par contre le con il a pas sû me donner la date de mon rendez-vous avec la Fin. Vraiment ça sert à rien ce machin. En revanche ce que je sais c’est qu’hier soir j’ai senti sous mes doigts une petite bille dans mon sein gauche, ou c’est le droit. Gauche par rapport à qui. Ça y est je m’embrouille. Bref, un truc qui n’a rien à faire là où je l’ai trouvé. Parce que les billes normalement on joue avec dans la cour quand on a 8 ans, on est pas censés les ranger dans ses nichons quand on en a 35. Enfin en 1972 je veux dire, les billes, parce qu’aujourd’hui j’imagine plutôt les pré-ados jouer aux mikados avec des pipes à crack. Fissa j’ai pris rendez-vous avec Docteur Quin. A une lettre près je consultais une star de sitcom c’est dommage. La mienne a 67 chats, mesure 1m90 au bas mot et fume des clopes dans son cabinet entre deux patients. Je l’aime beaucoup. En attendant le verdict et comme je suis une personne mesurée ce matin je me suis mis en tête de choisir la musique de mes funérailles. On prévoit jamais de mourir à 35 ans mais en même temps mon pote Guillaume il avait pas prévu de mourir à 17 et ses parents lui ont passé l’hymne de la Star Ac’ à l’église. Damn. Mon père adore Zaz. Soyons pragmatiques. Organisons-nous. Que vous dire d’autre avant la fin… J’aime pas les orchidées. Les compo d’interflora me filent de l’urticaire. Je veux être incinérée dans un cercueil low-cost. Gaspillez plutôt votre argent dans une bouteille d’Hennessy XO que vous boirez au goulot à ma santé. Je souhaite que mes cendres soient jetées dans l’océan, celui des Landes de préférence. Mais pas sur la plage de mon camping naturiste favori. Bien qu’imaginer tous mes proches à poil lors de mon dernier envol me fait quand même marrer. M’enfin bonjour les souvenirs pour plus tard lorsqu'ils se feront griller la saucisse au soleil en plein mois d’août, obligés de penser à leur pote morte qui leur flingue un peu le paradis (pas celui d’en haut avec les vierges tout ça, celui d’en bas où les gens sont tous nus sous les pins). Si la casse-bonbon du crématorium, la fille avec les cheveux derrière les oreilles et le tailleur prune de chez Cache-cache vous dit “non mais c’est interdit maintenant les urnes doivent rejoindre une concession gniagnia mesures sanitaires gniagnia un protocole gniagnia”, flanquez lui votre genoux entre les jambes et partez en courant (sans oublier l’urne ce serait idiot). Je serais pas contre une dernière course poursuite en Fiat Punto. L’idée d’être enfermée dans un vase, ça m'angoisse. Au pire renversez-le sans faire exprès “oups pardon quelle maladroite”. Je préfère finir dans un caniveau que dans un tiroir. Et pour terminer si vous pouvez glisser une invitation à Josh Hartnett n’hésitez surtout pas.
PS : Les meufs, on le dira jamais assez, palpez-vous les miches, pétrissez vos tétés, examinez vos loches. Il n’y aura probablement rien mais un jour vous pourrez tomber sur une petite nouvelle, qui elle-même ne sera probablement rien. Dans le doute. Les crabes se cachent parfois derrière les billes.
Ma playlist pour le jour J :
I will survive - Gloria Gaynor
Respire encore - Clara Luciani
Santé - Stromae
J’ai oublié de vivre - Johnny Hallyday
Le Grand Sommeil - Etienne Daho
Breathe - Sean Paul
I Feel better - Hot Chip
Gravé dans la roche - Sniper
Plus près des étoiles - Gold
Je reviendrai - Dick Rivers
Les adieux d’un sex-symbol - Starmania
Cache ta joie - Claudia Phillips
Taking me back - Jack White
Mourir sur scène - Dalida
L’adresse de Josh Hartnett :
Josh Hartnett Entertainment 360 10100 Santa Monica Blvd Suite 2300 Los Angeles, CA 90067 États-Unis
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swedesinstockholm · 6 months
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6 septembre
n. a liké mon dernier post sur ig, est-ce que ça veut dire qu'elle est pas ultra remontée contre moi? je lui ai toujours pas répondu et ça me hante. je suis hantée par mon propre ghosting. dans le livre de léa rivière elle parle de doulas de déménagement pour rigoler mais c'est un truc qui devrait vraiment exister. j'ai commencé le livre sur l'argent de christophe hanna aussi j'ai passé l'après-midi à lire le sans plus pouvoir m'arrêter, c'est passionnant de voir comment tous ces artistes s'en sortent avec l'argent, ça me fait dédramatiser ma situation de pauvresse sans revenus qui vit chez sa mère, même si aucune des personnes interviewées jusqu'à maintenant ne vit chez ses parents, beaucoup reçoivent leur aide financière. beaucoup ont renoncé au travail alimentaire aussi et se contentent de presque rien. enfin c'est ce qu'ils disent, c'est un peu facile de romanticiser ça cf. constance debré.
hier j'ai envoyé mes poèmes-radio à r. et j'ai pas pu m'empêcher d'ajouter déso de te forcer à lire mes textes! et il m'a dit t'es sérieuse quand tu dis ça?? et je suis partie dans mes jérémiades nanana j'ai pas confiance en moi et j'ai peur de faire chier les gens etc c'est QUAND que je vais arrêter avec ça? il m'a dit qu'il adorait mes textes et que j'hésite jamais à lui en envoyer. JAMAIS. en majuscules. j'étais à un demi doigt de lui répondre JE T'AIME. hier soir il m'a envoyé un selfie avec une grosse peluche minnie trouvée dans un fourré et j'ai bu mon verre de limoncello cul sec pour m'en remettre. il l'a gardée pour sa fille. je suis hantée par le moment dans son message vocal du camping hollandais où on entend sa fille soupirer dans son sommeil et il dit ah voilà que ma fille ronfle aussi... à sa manière. dans une vidéo de son écran d'ordi on voit des petits polaroids d'eux deux en noir et blanc. quand il m'a dit qu'il faisait du camping avec elle j'ai pensé au souvenir fin comme un voile que j'ai d'être montée sur une colline derrière mon père en chantant une chanson en luxembourgeois à propos d'un sorcier lors d'un séjour en camping seule avec lui. mais il me reste juste cette impression fugace. je sais pas si quelqu'un a déjà théorisé le cas de l'orpheline de père qui tombe amoureuse d'un jeune père et qui est obsédée par sa relation avec sa fille? mais l'orpheline est laide et le jeune père ne sort qu'avec des bombasses.
c'est le deuxième matin que je marche jusqu'au cap d'agde et puis je reviens, il m'attire comme un aimant, j'adore regarder les gens sur la plage en chemin, c'est mieux que le musée. je vois des photos partout avec des compositions parfaites et des accords de couleurs parfaits tout est BEAU et bouleversant mais hier j'avais pas mon téléphone et aujourd'hui j'osais pas prendre de photos de peur de me faire rabrouer/d'être invasive. j'adore regarder les retraités sur la plage, avec leurs corps vieux et fripés et mous et bronzés, j'adore les regarder se la couler douce, lire des livres et des magazines et faire des sudokus et des mots croisés sur leurs petits fauteuils, dormir étalés sur leur serviette, offerts au soleil, les femmes seins nus et insouciantes. ils sont magnifiques. j'avais l'impression d'être john wilson en marchant au bord de l'eau avec ma casquette et mon grand tshirt blanc, en réalisatrice de plage mais qui fait le film dans sa tête.
8 septembre
ce matin quand j'ai allumé mon téléphone j'ai eu un rush d'adrénaline que je voulais pas du tout avoir en voyant les messages vocaux de r., comme si mon corps savait ce qu'il allait me dire. je crois que j'ai un reste de ptsd du mois de juin, à chaque fois que je lui dis un truc et qu'il me répond par plusieurs messages vocaux je m'attends à être terrassée au sol. ce matin sur le canapé j'ai senti la tristesse tomber sur moi comme un dôme qui me coupe du reste du monde, ou comme une chape de plomb, la cape rigide de playmobil qui se clipse au niveau du cou. je lui avais lancé comme ça qu'on commençait quand il voulait à travailler et il m'a répondu qu'il avait mille casseroles sur le feu et moi j'en ai zéro et il s'en excuse platement, il dit désolé d'avoir mille casseroles sur le feu et pas toi, puis il dit que c'est pas ce qu'il a voulu dire, et il l'a pas dit comme ça non plus, mais je l'ai senti bien fort. il a essayé de me rassurer en me disant qu'il voulait toujours le faire mais qu'il savait juste pas à quel moment, et puis il ajoute enfin je sais pas à quel point c'est vraiment rassurant d'entendre ça, comme s'il présupposait que j'étais accrochée à cette collab comme une moule à son rocher, ce qui n'est pas faux, mais il est pas censé le savoir, ni même le supposer, et encore moins le suggérer, me le rappeler, me le FROTTER sous le NEZ. en attendant ça me fait encore passer pour la plus needy de nous deux, celle auprès de qui il doit s'excuser de pas être dispo, celle qui a besoin de lui et qui se retrouve donc en position inférieure.
mais y a pas que ça qui m'a plombée ce matin sur le canapé, l'autre truc qui m'a fait sentir l'abattement jusque dans les muscles de mes jambes, ou peut être que c'était les os, je sais pas faire la différence, j'en parle dans mon poème, de mes os marrons glacés que je traîne en faisant un bruit de rouille, damn je suis une bonne poète, la prochaine fois qu'on me demande ce que je fais je dis poète, je suis poète, le livre de christophe hanna m'a donné assez confiance dans ma condition de poète, en plus la poésie ça englobe tout, c'est parfait. et donc justement, ce qui m'a rouillé les os ce matin aussi c'est quand il m'a raconté qu'il avait commencé une formation pour avoir le statut d'artiste, l'équivalent du statut d'intermittent en france mais pas tout à fait pareil, pour avoir droit au chômage entre les contrats, et je sais pas pourquoi ça m'a déprimée. enfin si je sais, c'est toujours la même histoire, je m'en sors pas avec la vie et quand je vois que les autres avancent, prennent les devants, apprennent, ça me déprime. ça me déprime que eux fassent et pas moi.
parfois j'aimerais vraiment être j. qui a sept ans de moins que moi mais elle peut inviter toute la famille à un apéro dînatoire dans sa nouvelle maison, dans son jardin recouvert de moquette-gazon et d'asphalte, chef d'oeuvre de décor surréaliste, avec des petits ficus qui dépassent et les gamelles du chien rangées contre le mur blanc, nu. j'ai pris un million de photos mais j'avais peur d'être méprisante. j'espère qu'elle me déteste pas secrètement. personne a bitché sur la copine de s., j'étais un peu déçue. je me disais aussi, en parlant de couple, peut être que r. m'a sauvé la vie finalement en reléguant notre relation au stade de l'amitié, parce qu'il m'a encore parlé de son ex pendant trois heures, la mère de sa fille, pas la bombasse, mais peut être que la mère de sa fille aussi est une bombasse et que ça l'a aveuglé au fait que c'était une chieuse, d'après ce qu'il raconte en tout cas. et donc tout ça me fait penser que peut être que les relations avec lui sont compliquées et archi chiantes et qu'en restant son amie d'eau fraîche j'échappe à tout un tas de complications inutiles et de souffrance. même si j'ai déjà souffert pour une vie entière cet été.
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escapadesbaskets · 4 months
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LOIRE A VÉLO2020
Jour 4 : Direction Orléans, en passant par Sully/Loire et Chateauneuf/Loire
SULLY-SUR-LOIRE
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Nous avons effectué notre pause du matin dans le parc du château de Sully-sur-Loire. Étant donné que nous avions déjà visité ce château en avril, nous n’avons pas renouvelé l’expérience durant ce voyage. Pour information, le coût de la visite libre est de 8 €, ce qui reste un prix tout à fait abordable par rapport au ticket d’entrée des châteaux plus “connus”. Nous avions été agréablement surpris par les atouts de ce petit château.
NB: en partant de Gien, l’itinéraire de la Loire à vélo propose un détour par St Florent. Sur les conseils du camping de Gien, nous n’avons pas fait ce détour et nous avons continué sur la D951 pour gagner quelques kilomètres à notre journée.
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Depuis Sully, l’itinéraire jusqu’à Orléans a été rythmé par un soleil éclatant, un ciel bleu donnant aux paysages de bord de Loire l’aspect d’un littoral de mer, des passerelles façon “Eiffel” mais aussi un vent d’Ouest qu’il a fallu affronter avec force pour arriver jusqu’à notre destination.
Je garde un très bon souvenir du lieu-dit “Le port” de St Benoît-sur-Loire. Après avoir traversé un bois avec des pins, vous longerez un camping qui donne sur une plage. Ce genre de paysage était assez improbable pour le centre de la France. Le charmant petit village du port vaut également le coup d'œil. Petite balade virtuelle  => ICI
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CHATEAUNEUF-SUR-LOIRE et son château
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JARGEAU
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ORLÉANS en soirée , enfin !
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Après nous être restaurés à Orléans, nous avons effectué encore une dizaine de kilomètres avant de finir notre journée. Nous n’avions rien réservé pour cette nuit-là. Nous avons donc cherché un coin où bivouaquer en ayant à cœur de ne pas gêner et de ne pas être réveillés en pleine nuit.
Nous avons élu domicile sur une grande aire de jeux avec stade, donnant la possibilité également de pique-niquer et de se fournir en eau. 
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Cette journée a été la plus longue et la plus difficile de ce voyage. Rouler de 9h à 21h ne fut pas chose facile mais les étapes les plus délicates étaient désormais passées et réussies. Je me souviendrai toute ma vie de ce vent de face qu’il aura fallu dépasser pour le surmonter.
NB: Vous l’aurez compris, le sens dans lequel  on effectue son voyage à vélo est important ! Si vous n’avez pas de préférence, il sera opportun de faire cet itinéraire dans le sens inverse (Ouest -> Est).
Cette journée a été la plus longue et la plus difficile de ce voyage. Rouler de 9h à 21h ne fut pas chose facile mais les étapes les plus délicates étaient désormais passées et réussies. Je me souviendrai toute ma vie de ce vent de face qu’il aura fallu dépasser pour le surmonter.
NB: Vous l’aurez compris, le sens dans lequel  on effectue son voyage à vélo est important ! Si vous n’avez pas de préférence, il sera opportun de faire cet itinéraire dans le sens inverse (Ouest -> Est).
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messageinabottlerpg · 2 months
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MESSAGE IN A BOTTLE. (forum camping éphémère)
inspiration the white lotus, hsmtmts, the odyssee, gossip girl.
CONTEXTE.
“lundi, c’est aquabike,
mardi, c’est randonnée dans les bois,
mercredi, c’est bronzette sur la plage,
jeudi, c’est cours de poterie avec les amis,
vendredi, c’est initiation au tai-chi
samedi, c’est soirée au camping,
dimanche, c’est pic-nic avec les voisins
et après ?
et après c’est la même chose,
lundi, c’est tournoi de volley-ball,
mardi, c’est veillée autour d’un feu de camp à faire griller les chamallows
mais on repart quand ?
pourquoi tu veux repartir ? on est pas bien là,
on est bien là, oui”
tel un cirque itinéraire, le campus du lotus blanc s’était installé ici-là pour une durée de quelques mois. Il attirait les foules, offrant un complexe et des infrastructures sans pareilles et les gens restaient, sans trop savoir pourquoi, goûtant les mets les plus somptueux à base de lotus. et puis lorsqu’il y en avait plus, c’était la fin des vacances, tous pliaient bagages et reprenaient leur vie jusqu’à ce que le lotus blanc apparaisse à un autre endroit du globe.
Le camping, c’est le théâtre de la découverte de soi, de la découverte des autres, des rencontres amicales ou amoureuses, des drames soudains, du divertissement sans borne, des limites franchies allant jusqu’aux plus noires envies.
vous aussi, rejoignez le lotus blanc parce qu’on sait pas jusqu’’à quand ça durera, ni où ça nous mènera.
PRESENTATION DU FORUM.
MESSAGE IN A BOTTLE (MIAB) est un forum de type camping se voulant être éphémère, c’est-à-dire qui dure entre 4/5 mois et après ? si ça marche, l’endroit, le décor, tout change, vous pourrez conserver vos personnages ou en changer car le lotus blanc se veut être itinérant.
c’est aussi un forum qui se veut être chill, pas de mots ou de lignes exigées, on répond quand on veut, à son rythme. Les rps courts sont plutôt privilégiés, en plus des différents moyens de communication qui seront mis en place. Des animations inrp seront là pour satisfaire à la fois celleux qui n’ont pas trop le temps de se consacrer au forum ainsi que celleux qui veulent s’investir à fond. le but (même si c’est toujours une douce utopie) c’est que chacun.e y trouve son compte.
A CE STADE
Je lance l’idée, je suis seul à bord avec mon petit imaginaire et mes petites mains pour écrire, évidemment, je cherche un à deux compères qui seraient partant.e.s pour se lancer dans l’aventure (à savoir que je vise personnellement une ouverture fin avril). Je cherche aussi quelqu’un qui serait prêt à coder/grapher, sans forcément être dans le staff s’iel ne veut pas. évidemment avoir déjà administrer est un plus et se montrer communicatif aide aussi.
bref si ça vous intéresse, go go go et mpottez moi.
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alexisgeorge24 · 2 months
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21 février :
Transfert de Coyhaique à Chaitén. J'aurai aimé m'arrêter au Parc Quelat visiter les glaciers puis et à Puyuhuapi pour ses termes face au fjord, mais la météo rend le projet peu prometeur. Il pleut toute la journée et le soleil est prévu pour le surlendemain. J'arrive donc au village de Chaitén sous d'épais nuages et la pluie fine. Je pose ma tente, goute une bière brassée juste en face de mon camping et mange une pizza avant de rejoindre ma tente.
22 février :
J'attends que les nuages partent et je passe la journée dans le village à me ballader sur la plage, à jouer avec des chiens (dont un trijambiste mais qui ne mérite pas moins mon affection) puis jusqu'à un petit mirador, à prévoir la suite (et la fin...) de mon année sabbatique et enfin le combo classique: bière / dîner.
23 février :
Le top départ rando est donné par le soleil et je monte au cratère du volcan Chaitén qui est entré en éruption en 2008. La région étant très humide, la végétation y est abondante. Je traverse donc une forêt quasi tropicale avant d'atteinte la caldera qui doit faire 2km de diamètre. Le sommet de cendre au centre fume toujours, les arrêtes aussi de cendre formant la caldera sont recouvertes de végétation, et entre les deux, une couronne de lac aux eaux vertes. Au loin, des sommets à pertes de vue complètement recouverts de forêt. Puis la mer. C'est magnifique et je suis tout seul en haut. Je fais du stop pour revenir à Chaitén, je déjeune, puis prends un bus pour aller à El Amarillo, l'entrée sud du parc Pumalín (dont fait aussi partie le volcan). Je fais les 9km à pied jusqu'au camping Ventisqueros. L'endroit est incroyable, une vaste étendue de gazon entre les arbres avec vue le volcan Michinmahuida et son glacier. Nous ne sommes que 3 dans cet enorme camping "sauvage" et j'ai donc l'impression d'être tout seul dans le parc et que la vue sur le glacier en dînant m'appartient.
Bilan: 14km, 1000m d+
24 février :
J'atteins ce même glacier, ou plutôt une de ses langues, après 10km en marchant le long du fleuve Amarillo dans une vallée large et exposée au soleil offrant de jolies points de vues sur le glaciers en face ainsi qu'aux sommets chevelus me formant une réelle haie d'honneur. La ballade AR est agréable, sans dénivelé, le ciel est bleu, le glacier blanc avec des reflets bleus dont les couleurs en ressortent éclatantes avec la roche noir du volcan et la rivière formée par la fonte des glaces est divisée en une myriade de cours s'entrelacant le long de la vallée. Je ne compte plus les glaciers admirés, je ne pense pas m'en lassé un jour et je pense que c'est l'élément de la nature qui me fascine le plus. Sur le retour je me fait prendre en stop sans avoir à lever le pouce; c'est vraiment aléatoire sur qui on peut tomber...
Bilan: 25km, 300m d+
25 février :
Transfert à Puerto Montt en empruntant le dernier, mais pas des moindres, tronçons de la Caretera Austral. Quelques 150km de route et de piste sur la côte et 70km de bateaux à travers des fjords en 10h. Le ciel est bleu, on distingue quelques volcans au sommet de glace et de neige, des branches cadettes de fjords nous invitent à nous y perdre, la mer est calme et je crois avoir aperçu Adam et Eve (à poil).  C'est une admirable croisière d'adieu de la Caretera Austral. Arrivé au Terminal de bus de Puerto Montt j'enchaîne direct avec un minibus pour Puerto Varas à 20km. J'arrive de nuit donc je ne vois pas les paysages, pizza et dodo au seul camping du coin.
26 février :
Il fait beau donc je vois les paysages à bord d'un minibus vers le lieu-dit Petrohué. Je longe ainsi le lac Llanquihue qui est aux pieds du volcan Osorno; la brume du matin fait que l'eau du lac se confond avec le cône du volcan et la lumière du soleil tamisé par les peu de nuages éclair à perfection la carte postale. Je me fais donc déposer d'urgence au bord de la route pour filmer et photographier la vue avant qu'il ne soit trop tard. Puis je reprends le prochain bus jusqu'à destination au bord du lac Todos los Santos et ses eaux émeraude. J'entreprends alors une randonnée initiant la monté de l'Osorno, dans la forêt puis la roche volcanique, jusqu'à des jolis miradors sur le lac et surprise, le Cerro Tronador. Je suis en effet à la même latitude que Bariloche (Argentine) où je m'y étais approché il y a 2 mois. Je vois donc son autre profil et lui fait la bise. Malheureusement pendant ma randonnée je ne croiserai aucun cours d'eau et lorsque j'atteins en redescendant le lac j'y plonge la bouche ouverte. Bon pour la vrai histoire je rempli juste ma gourde mais 30min plus tard en longeant le lac j'y plonge vraiment la tête en buvant directement l'eau. Je pose la tente sur la plage et m'émerveille à nouveau face au lac, au creux des montagnes, le soleil se couchant dans mon dos et donnant des couleurs jaunes, oranges, rouges puis roses au ciel et nuages.
Bilan: 24km, 1000m d+
27 février :
Je finis la visite du parque nacional vicente pérez rosales en me rendant aux Saltos (chutes) de Petrohué après avoir payé 7,5eur (ce n'est pas beaucoup en absolu mais payer pour avoir bétonné un site naturel pour le rendre accessible à tous m'énerve toujours). Surtout que les chutes ne sont pas impressionnantes. Puis je temporise à Puerto Varas en attendant mon bus pour Pucon. A la gare routière on me demande 4e pour garder mon sac le temps de faire quelques courses. Du coup je l'emporte avec moi et au supermarché on refuse de me le prendre l'accueil. Je m'enfou et c'est pas le poid qui me dérange, mais ça illustre la mentalité de ce pays où tout est monnaitisable; sûrement une influence étasunienne. A Pucon je prends l'apero debout devant un concert de Cumbia et j'aime beaucoup; puis un humoriste prend le micro et je m'en vais. Je dormirai sur un matelas dans un hostel, après 2 semaines de tente.
28 février:
Excursion à la journée au sanctuario El Cañi. J'arrive rapidement au Mirador du parc et j'ai une vue sur plusieurs volcans qui dominent le paysage vallonné et recouvert de forêt, notamment d'Araucaria, cet arbre emblématique de la région qui (me) font penser à des pins en forme de palmier. J'arrive encore à decouvrir de nouveaux paysages, la Patagonie est vraiment impressionnante et riche. Je redors au même hostel où je suis seul dans mon dortoir, quel luxe.
Bilan:
17km, 1200m d+
29 février :
2e excursion, mais bivouac sur place prévue, au parque Nacional Huerquehue. Je commence par le Mirador au Cerro San Sébastien. Je traverse une forêt d'arbres normaux (je suis ingénieur pas naturaliste), puis proche de la crête des Araucaria, et enfin je longe une crête avant d'arriver à l'objectif. Il m'arrive alors une galère incroyable... je ne sais pas vers quelle direction m'asseoir pour manger ma mangue tellement le panoramas est époustouflant. Finalement je choisi le sud-ouest, malgré la récente défaite du XV de France face à l'Irlande. Sur la descente, il m'arrive une 2e galère... je tappe mon genoux sur un rocher en glissant... ça fait mal, je boîte pendant 100m, puis la douleur devient supportable pour que je puisse courir jusqu'au point de départ. Sauf que j'avais prévue bien plus pour aujourd'hui, donc je décide de poursuivre en forcant légèrement sur le genoux. Finalement la douleur devient une gêne et je peux continuer sans m'en soucier. De retour donc à l'entrée du parc je prends mon gros sac à dos que j'avais laissé et direction le Lago Toro où j'ai repéré un bivouac sur maps.me. Sur le chemin j'ai une presque 3e galère avec une abeille qui me pique au cou. Je sens la morsure et mon cou qui hurtique. Je demande à des gens que je croise s'ils constatent une anomalie sur la zone concernée; réponse négative et je continue. Arrivé  au bivouac prévu j'y fais une sieste de 30min et je pars vers un sommet sans nom mais proche du Cerro Araucano. L'application me dit que la dernière monté est à 50% (énorme !!) et j'appréhende en m'y dirigeant. Finalement elle est bien à 50% mais est composée de terre et d'herbe, ce qui rend l'accès (hors piste) non casse-gueule. Arrivé au sommet j'ai la même vue que le matin mais pendant le couché de soleil. C'est un délire le panorama. Encore des volcans, des sommets cachant le soleil mais où les araucaria se démarquent sur les crêtes comme des cocotiers aux Maldives en contre jour, des lacs, des falaises, des couleurs, Dali, Mozart, Maradona, Pablo Neruda (pour citer un local); je ne sais pas quand m'arrêter de filmer en drone. Sur le retour il fait quasiment nuit et je m'amuse à ne pas utiliser la frontale jusqu'à mon bivouac. J'y arrive mais je l'allume tout de même pour monter la tente, me laver et faire à manger. Les crapauds me félicitant de ma performance de la journée, ils feront un boucan toute la nuit.
Bilan: 27km, 2400m d+ (!!!)
1 mars:
Mois du fin du congé sabbatique. Je redescends à l'entrée du parc en faisant quelques bonus vers des lacs et cascades, puis je prends le bus retour pour Pucon. Arrivé à l'hostel je croise une belge dont j'ai fait la connaissance l'avant veille et qui a son bras qui a triplé de volume suite à une morsure d'abeille. Elle me dit qu'une morsure au cou peut être fatale car si ça gonfle la trachée est bloquée empêchant la respiration. Elle doit sûrement raconter des bêtises. L'après midi je m'achète des chaussettes, ça faisait 3 mois que je n'avais pas une seule paire sans trou. J'aurai craqué 10 jours avant la fin...
Bilan: 8km, 300m d+
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valavelo · 6 months
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J43 ~ Presque un jour de repos
Almería~Cabo de Gata (32km)
De bon matin, je vais explorer l'Alcazaba d'Almería. Entrée libre le dimanche. Les félins montent la garde en somnolant.
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A l'intérieur de la forteresse il y a des fontaines partout. L'eau est omniprésente, la végétation luxuriante, un véritable oasis perché sur un rocher.
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De là haut la vue est imprenable sur la ville.
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À 11h, il est l'heure de continuer mon chemin. Je ne vais pas très loin aujourd'hui. Je veux profiter du parc du Cabo de Gata à 30 km de là.
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Je retrouve l'EV8 et me décide à la suivre. L'idée paraît bonne mais le chemin balisé m'emmène rapidement dans les dunes, sur des chemins de sable absolument impraticables avec mon vélo et son chargement. La petite distance du jour mettra finalement plus de temps que prévue à être parcourue. J'arrive à l'heure (espagnole) du déjeuner au village de Cabo de Gata. Je m'arrête là pour aujourd'hui. Il y a les cafés, la plage et un camping où passer la nuit.
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Au loin, le Cabo de Gata par lequel il faudra passer demain...
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micheltaanman-blog · 2 years
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Frankrijk - Bretagne -Pleherel plage - Le cafe de la plage
Frankrijk – Bretagne -Pleherel plage – Le cafe de la plage
Bretagne- Pleherel plage – Le cafe de la plage – wat prima gekozen naam is – strandtentjes zoals deze moet je je aan de frans atlantische kust in een inkt zwarte duisternis met een zaklamp zoeken – das tenminste onze ervaring- uitzicht op de zee – parkeren voor de tent – prima fris bier op de tap – gebrouwen door een lokaal brouwerijtje – zand als vloer – vanavond speelt er een bandje – ben…
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steff-02 · 8 months
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J+4 après notre ascension de Table Mountain et enfin on ne sent plus trop nos courbatures 😅
Aujourd’hui on remballe tout et on quitte Le Cap. Notre vol est dans l’après-midi et on a rien prévu d’autre jusque là. On se lève tranquille, allons petit déjeuner et on prépare gentiment nos sacs. On remet là clef de notre chambre à 11h et on part vers la plage de Camps Bay. On voulait reste un moment à regarder l’océan et boire un café, mais le vent soufflait fort ce matin et c’était pas très agréable de rester sur la plage, alors on a décidé de prendre la route pour l’aéroport. Je conduis une dernière fois dans les rues de Capetown. J’ai vraiment du plaisir à conduire ici. Malgré ma conduite en général très approximative, je trouve que je me débrouille bien. Les rues sont très larges, les panneaux d’indications sont clairs et la conduite est plutôt fluide, même s’il y a beaucoup de trafic !
Le temps d’arriver à l’aéroport, faire le plein, enregistrer nos bagages et passer la sécurité, il est déjà 12h45 lorsque nous prenons place dans un petit restaurant dans l’aéroport. Le temps que l’on soit servi on remplit quelques documents pour notre prochain séjour. Lorsque nous devons aller au toilettes, nous visons celles où il n’y a pas les nettoyeurs. Ils sont très gentils et très serviables (même des fois un peu trop, ils viennent t’ouvrir le robinet d’eau pour te laver les mains 😂) mais ils attendent un pourboire après…et pour moi qui vais aux toilettes 6 fois avant un vol parce que j’ai bu du thé, ça ne m’arrange pas… 😅 Le temps de manger et il approche déjà rapidement 14h30, heure de l’embarquement. Nous voleront aujourd’hui avec la compagnie Lift en direction de Durban✈️.
Le vol a duré un peu moins de deux heures. Lors de l’atterrissage, on voit à peine le bâtiment de l’aéroport tellement il y a un brouillard épais ! Le temps que l’on récupère la voiture, la nuit est tombée. Alors entre la nuit, le brouillard et la pluie, pas facile la route jusqu’à l’hôtel. Lorsque nous arrivons, nous demandons où est le parking de l’hôtel. Nous n’avons pas trop apprécié qu’elle nous dise que le parking est plein et qu’il faut qu’on trouve une place ailleurs. On a quand même trouvé où se parquer pas loins…on a bien apprécié les deux petites boules Lindor qui nous attendaient sur lit !! 😍🍫
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