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#Club vérité
jeureprise · 8 months
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the beast in the belly // an El/Orion playlist
reposting playlist because i made some updates for AO3 posting, but have to take it down from AO3 now as it’s too much quotation
I. a wall up round my dignity
Natural - Imagine Dragons That’s the price you pay Leave behind your heart and cast away Just another product of today Rather be the hunter than the prey
Need Nothing - VÉRITÉ Oh, I’m sorry I’m so condescending The pride on my shoulder, it keeps me standing And I’d call out an ending If you’d hold it against me
Daffodil - Florence + the Machine There is no bad, there is no good I drank every scar that I could Made myself mythical, tried to be real Saw the future in the face of a Daffodil
Icarus - Bastille Look who’s digging their own grave That is what they all say; you’ll drink yourself to death Look who makes their own bed, lies right down within it And what will you have left?
II. they were saving me, and i was going to save them
Machine - Imagine Dragons I’m not scared of what you’re gonna tell me No, I’m not scared of the beast in the belly Fill my cup with endless ambition And paint this town with my very own vision
For Good - Wicked And now whatever way our stories end I know you have re-written mine By being my friend
You Cannot - Erin McKeown You love me, because of this This wildness, this tenderness With every bite of my teeth, I’m showing you best How I love you back, without bitterness
I’m Not Your Hero - Tegan And Sara Sometimes it feels like the side that I’m on Plays the toughest hand, holds the longest stand Sometimes it feels like I’m all that they’ve got It’s so hard to know I’m not what they want
III. the only right thing i’ve ever wanted
Tongues & Teeth - The Crane Wives Abandon all your stupid dreams About the girl I could have been, my dear ‘Cause in the night I know you burn with feelings I cannot return, my dear
F.N.T. - Semisonic I’m surprised that you’ve never been told before That you’re lovely And you’re perfect And that somebody wants you
As Long as You’re Mine - Wicked Just for this moment As long as you’re mine Come be how you want to And see how bright we shine
No Light, No Light - Florence + the Machine You want a revelation You want to get right But it’s a conversation I just can’t have tonight You want a revelation Some kind of resolution
Kiss Me - Dermot Kennedy So kiss me the way that you would If we died tonight Hold me the way that you would For the final time
IV. you're dead, but stay anyway
No Good Deed - Wicked My road of good intentions Led where such roads always lead No good deed Goes unpunished
Hunger - Florence + the Machine At seventeen, I started to starve myself I thought that love was a kind of emptiness And at least I understood then, the hunger I felt And I didn't have to call it loneliness
Rotten - Missouri Surf Club So when you gonna tell him? That nothing grows in corpses, There's nothing he or anyone can do When you gonna tell him? Your skin can't hide black insides, Oh, there's nothing left There's nothing left of you
Innocence and Sadness - Dermot Kennedy I would have waited for you all night to talk for a minute I'll sing into the cold dark night 'til you listen People spend their life heads down, souls hidden I'm trying to be who you need me to be
The Great War - Taylor Swift We can plant a memory garden Say a solemn prayer, place a poppy in my hair There's no morning glory, it was war, it wasn't fair And we will never go back
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recapqsmp · 8 months
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Dimanche 27/08 - Jaiden est de retour
Cucurucho est allé chercher le rapport d'enquête sur la disparition de Mr.Mustard chez Foolish. Foolish lui a dit qu'il ne savait pas quoi faire de plus, aucune de ses pistes ne menait quelque part. Cucurucho lui a dit que l'enquête continuait, et qu'il le contacterait s'il avait de nouvelles informations. Foolish lui a dit que si la fédération avait des pistes pouvant mener à l'arrestation de BadBoy, voir même si la fédération souhaitait faire de fausses preuves contre lui, il serait ravi de participer à son arrestation.
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https://clips.twitch.tv/HotOpenPassionfruitPunchTrees-Nu1jm_lTTK1QUEIG
Antoine a demandé à Foolish de pratiquer l'art-thérapie. Foolish a choisi de dessiner la manière dont il se perçoit. Foolish lui a dit qu'il savait lire le français, Antoine lui a donc écrit un livre sur les soupeurs. Cucurucho l'a ensuite rejoint pour lui demander les dessins, et lui a donné plein de fleurs en échange. Baghera en a profité pour récupérer la shulkerbox discrètement.
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https://clips.twitch.tv/LovelyDiligentStrawberryShazBotstix-its4W61xrPIthRH9
Jaiden est de retour sur le serveur ! Elle s'est reconnectée au même endroit où elle avait disparue, dans ce qui ressemble à une base d'entrainement pour un jeune Cucurucho. Elle a été emmennée par le Cucurucho sérieux dans la chambre du jeune Cucurucho. Au mur, il y avait des dessins de fleurs, et de Bobby. Le jeune Cucurucho lui a dit qu'il avait apprécié tout ce temps passé avec elle. Jaiden a expliqué qu'elle ne dirait rien de ce qui s'est passé aux autres habitants, car ils ne font pas confiance à Cucurucho, contrairement à elle qui les supporte à 100%, et qu'elle ne veut pas se faire juger pour ça. Le Cucurucho sérieux lui a donné une nouvelle mission : expliquer qui est Cucurucho aux nouveaux arrivants s'il n'est pas là. Il lui a offert un Colibri en récompense, ainsi qu'une cage, et de quoi le nommer. Elle s'est changé avant de partir, portant désormais une tunique blanche.
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https://clips.twitch.tv/ComfortableTameHornetSquadGoals-k--vIwRY_7zM1lOs
Jaiden a enfin rejoint les autres habitants. Sur le chemin, elle a remarquée un tag "Overthrow the Federation", la confortant dans son idée de garder la vérité pour elle. Elle a expliqué aux autres qu'elle avait été emmennée par Cucurucho et qu'il l'avait enfermé dans une salle pendant 2 semaines. Baghera a tenté de la cuisiner un peu, mais elle n'a pas lâché d'informations supplémentaires. Baghera lui a dit de faire très attention à Cucurucho, rajoutant encore plus de confiance dans son choix. Après une longue partie de roulette russe, elle est allée chez elle, pour écrire ses réflexions sur la situation, et a évoquée l'idée de construire une maison "publique" qu'elle pourrait montrer à ceux qui ne devraient pas voir sa vrai maison.
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Quackity s'est connecté. Après avoir discuté (en utilisant le traducteur automatique) de programme sur 25 ans pour récupérer les tétons d'Antoine (et de différentes manières de dire tétons), Quackity est parti miner du fer, rejoint par Abueloier et son corgi (joué par un admin).
Antoine et Pomme ont commencé a construire la nouvelle salle secrète à une vingtaine de milliers de blocs du spawn.
Jaiden a visité le Furry Club, et était très enthousiaste pour le rejoindre !
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https://clips.twitch.tv/RealAmorphousOstrichBuddhaBar-dQuofy1Mi7lZRpRC
Les derniers membres ont été annoncés : Lenay et German ! Quackity a précisé qu'il restait tout de même le "???" et l'invité du président Forever que l'on connaîtra plus tard.
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arypurple · 9 months
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Kou Mukami
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Nom: Mukami.
Prénom: Kou.
Parents: ???
Âge: 17 ans (physiquement)
Race: Vampire (humain de naissance)
Taille: 1m76
Date de naissance: 28 janvier.
Signe astrologique: Verseau.
Nourriture favorite: Vongole bianco.
Hobbie(s): La danse.
Physique: Kou a un visage magnifique. Il a les cheveux blonds avec sa frange couvrant le côté droit du visage. Il a les yeux bleus clairs, mais son œil droit devient rouge quand il lit dans le cœur des gens. Kou porte habituellement une chemise noire à manches longues qui a des cercles à l'avant et le noir bordant le haut et le bas. Il le porte parfois avec une veste rose à manches courtes. Il le porte avec un jean bleu. Kou porte des boucles d'oreilles sur les deux oreilles ainsi qu'un collier et des bracelets à son bras gauche.
Caractère: Kou semble amical, mais il est en fait très égoïste et possède deux faces. Tout ce qui entoure cet idole Do-S (sadique extrême) est à sa merci. Il utilise son beau visage à son avantage. En raison de son enfance brutale, Kou peut facilement changer son aspect joyeux et facile habituel d'une personne superficielle et d'un idole, à un monstre impitoyable vicieux et très cruel qui ne comprend pas du tout le sens de l'amour. Il pense que tous les humains sont des créatures viles qui veulent soit utiliser et abuser, soit être utilisés s'ils sont payés pour cela.
Histoire: Né humain, il a été abandonné dans un égout, ne sachant rien de ses parents ni d'où il venait. Kou rêvait d'obtenir le ciel bleu qu'il voyait au plus haut. Un jour, des soldats cherchaient des rebelles et tirent au hasard sur une mère et un enfant devant Kou, qui ne comprenait rien. Voyant son visage, les soldats l'emmenèrent dans un orphelinat où il reçut de la nourriture, des vêtements propres et toutes sortes de bonnes choses. Pour lui, c'était le paradis. Puis, il a été emmené dans un "club". À cause de la guerre, le pays avait besoin d'argent et afin de gagner cet argent, le club a choisi de beaux enfants de l'orphelinat, comme Kou, et les offrait comme "divertissements" aux aristocrates. Il a été fouetté, coupé, battu et torturé, agressé physiquement de toutes les manières possibles. Il était tellement demandé que ses plaies et ses bleus n'avaient pas le temps de guérir. Il a fini par accepter cette situation comme l'Enfer. Dans une tentative d'empêcher tout cela, Kou a déploré que son œil droit ne pourrait jamais voir le ciel bleu et l'a arraché... mais ça n'a fait que le désirer davantage par les aristocrates. Kou a ensuite tenté de se suicider, mais en était incapable. Il a ensuite rencontré Ruki. Ruki lui a d'abord dit qu'il était faible et qu'il était un perdant. Kou tenta de se suicider de nouveau, mais en fut incapable. Il se rendit compte que s'il était incapable de se suicider, c'est qu'il avait encore de l'espoir. Lui, Ruki, Yuma et Azusa sont devenus les meilleurs amis. Ils ont planifié leur évasion de l'orphelinat qui était couronné de succès, mais ils ont été rattrapés par les gens de l'orphelinat. Kou a été blessé par balle plusieurs fois et les poursuivants affirmaient que ça n'avait pas d'importance d'abîmer la marchandise, puisqu'il était davantage désiré quand il était abîmé. Alors que sa vie s'estompait, il a pleuré qu'il ne voulait pas mourir jusqu'à ce qu'il puisse voir le ciel bleu libre qu'il désirait. Karlheinz est apparu et lui a offert de le transformer en vampire afin que lui et ses frères acceptent de le servir. Il les a transformés en vampire et a offert à Kou un œil magique qui permet de voir la vérité en lisant dans le cœur, sachant qu'il avait du mal à faire confiance aux autres en-dehors de ses frères. Bien que Kou ne comprenne pas complètement le but des plans et des expériences de Karlheinz, se sentant redevable de la vie, il prévoit de le servir inconditionnellement.
Bonus:
Il appelle Yui chaton masochiste (M Neko-chan)
Il est gaucher.
Sa taille de pied est de quarante-et-un.
Il peut voir le cœur des gens de son œil rouge et dire s'ils mentent ou non.
Il adore absolument les chats.
Il est obsédé par vongole bianco et peut dévorer jusqu'à trois portions en une fois.
Il rivalise avec Subaru et aime le provoquer quand il s'agit de Yui.
Dans Lost Eden, il est révélé que le nom de sa mère est Leona.
Son vrai nom est Emilio.
Chanson thème:  🎵
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nebuleuseurbaine · 11 months
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Nébuleuse urbaine
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28/05/2023 - Ouverture du forum
https://nebuleuseurbaine.forumactif.com/
Dans les rues sombres d'une nuit sans lune, la silhouette solitaire s'avançait avec précaution dans les dédales tortueux de la ville. Les ruelles étroites étaient enveloppées d'une aura mystérieuse, leur obscurité épaisse semblait absorber la lumière, les lampadaires vacillants projetaient des éclats de lueur vacillante créant des ombres dansantes et inquiétantes sur les murs délabrés. L'atmosphère était lourde, teintée de secrets inavouables et de promesses trahies. Le noctambule qui s'y aventurait ressentait le poids des HISTOIRES SOMBRES qui s'étaient tissées dans ces lieux maudits. Les murmures étouffés des passants nocturnes, dissimulés par des capuches et des visages masqués, se mêlaient aux bruits des pas hâtifs et furtifs. Des néons défectueux clignotaient au-dessus des enseignes des bars et des clubs clandestins. Les échos de la musique étouffée et des rires forcés filtraient à travers les fenêtres crasseuses. Des regards méfiants et des échanges de mots à voix basse se faisaient entendre dans les coins obscurs, où les AFFAIRES ILLICITES prospéraient dans l'ombre. Chaque coin de rue offrait une mise en scène macabre d'une ville à la dérive, où la morale avait depuis longtemps perdu son emprise. Des tags obscènes recouvraient les murs décrépits, dépeignant une réalité brutale et désespérée. Les vapeurs de l'alcool bon marché et des substances illicites flottaient dans l'air, imprégnant les narines et enivrant l'esprit. Le noctambule se faufilait avec adresse, naviguant entre les protagonistes de cette danse nocturne, tissant une toile d'observations et d'informations précieuses. Dans ce royaume des ombres, où les alliances sont fragiles et les trahisons monnaie courante, il avançait avec une détermination sans faille. Dans son regard brûlait une lueur de justice, une volonté de dévoiler les vérités enfouies dans l'obscurité. Cette nuit-là, dans les rues sinistres et corrompues, le noctambule s'immergeait dans le langage sombre de la nuit, où les mots étaient murmurés avec prudence et les actions se jouaient dans l'ombre. Chaque pas le rapprochait de son objectif ultime: EXPOSER LES TÉNÈBRES qui avaient englouti cette ville maudite et permettre à la lumière de briller à nouveau.
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claudehenrion · 3 months
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L'heure des comptes...
Il y a quelques années, une idée à la mode parlait de''l'heure du monde'' : sur la grande horloge du temps –qui devait s'arrêter à minuit... je n'ai jamais compris pourquoi-- nous étions arrivés à 23 heures cinquante et quelques et il ne nous restait donc que moins de 5 minutes avant ''la fin du monde''. C'était la grande époque des folies du lamentable ''Club de Rome'', du ''Printemps silencieux'' de Rachel Carson, de René Dumont, le premier candidat écologiste... mais en ce temps là, les écologistes parlaient de la Terre au lieu de ne penser qu'au féminisme, à l'indigénisme, à la mort de notre civilisation et au triomphe –certain, pour eux-- de l'islam. C'était hier, il y a 1000 ans.
Depuis, le Giec et Greta Thunberg sont passés par là, réussissant à vider de tout sens tout ce qui en avait un, à polluer tout ce qui ne devait pas l'être, à légiférer sans raison, à rendre invivable ''l'autre'', devenu ''ennemi à haïr'', dans son être et surtout dans son ''avoir été''. L'écologie à perdu jusqu'au sens de ce que son nom voulait dire, l'étude de l'habitat, l'étymologie ayant été aussi oubliée que Ernst Haeckel, ce disciple de Darwin qui forgea ce mot ''plus grec que grec'' en 1866. Une fois de plus, une belle idée a été bousillée –ici, en une épouvantable ''écologie punitive'' qui nous met devant un étalage jusque là inimaginable de mauvaises idées qui, transformées en lois, règlements, obligations (et impôts qui en découlent) vont peu à peu rendre notre vie impossible, dans un futur très proche.
C'est simple : de quelque côté que l'on se tourne et sur quelque sujet que ce soit, on tombe sur une loi française ou sur une norme européenne qui semblent avoir été conçues dans le seul but d'emm... quiquiner le monde entier --et de préférence les français. Tout ce qui était simple est devenu compliqué, et de là où tout semblait devoir être pensé pour le bonheur de l'Homme... on se retrouve avec des bibliothèques entières d'interdictions, d'anathèmes, de recommandations impératives, d'excommunications qui, transgressées, vont vous faire montrer du doigt par des foules et une Presse enrégimentées, qui vont hurler ''Hou... Hou... '' en vous clouant au pilori...
Le premier exemple, tiré de vos quotidiens et de vos ''JT'' cette semaine : le malheur des paysans, soumis à des traitements indignes. L'Europe officielle –cette soi-disant dispensatrice de bonheur, qu'imagine Macron, dernier à croire cette contre-vérité-- est en train de détruire de fond en comble toute notre agriculture, au profit de pays qui ne nous veulent que du mal… au nom d'un cauchemar que ses thuriféraires désignent par ''la transition écologique'', qui n'est ni l'une ni l'autre, mais une immense foutaise, une rigolade triste, une insulte à l'intelligence que rien ne corrobore, ne soutient, ne justifie... Et on sait depuis peu qu'il existe un ''plan secret'' des gnomes de Davos, ''pour'' (?) la disparition de toute l'agriculture européenne au profit des multi nationales agro-alimentaires qui préfèrent de mauvais produits (mais ''pas chers'' !) à des productions ''bien de chez nous''. La révolte gronde, et il était temps ! Là...oui, nous sommes bien à ''moins cinq'' : pas besoin d'être un grand prophète pour annoncer pour bientôt des actes de désespoir, c'est-à-dire de violence !
Nos amateurs-au-pouvoir, ces faux politicards sans cervelle qui ont –ne l'oublions pas-- été recrutés par petites annonces en 2017, prétendent ''sauver demain'' (ce qui est faux, bien sûr), en assassinant aujourd'hui (mais ça, ils le font !)... ce qui, s'ils ont de la chance et nous de la guigne, ouvrira les portes du futur plus lointain sur une planète toujours aussi polluée (ce qui est une certitude, démontrée chaque jour) mais sans plus aucun humain pour le vérifier : plus les français se tringlent, souffrent et paient, et moins ''ça'' s'améliore, logiquement : entre les vrais problèmes et leurs solutions foireuses, il n'y a aucun lien de cause à effet... même de serre, si j'ose !
Autre désastre éclatant : la politique de construction. Un vote en douce, entre deux, sur un coin de table, a imposé, avec dates comminatoires, des ''normes'' non souhaitables, non-nécessaires, sans intérêt, perverses et sans justificatif autre que... imbitable : ''On ne peut plus louer une ''passoire thermique'', on ne peut plus construire sur des terrains non-construits précédemment (ils osent appeler cette absurdité ''la Norme verte Zéro artificialisation nette'' –comprenne qui peut !), on ne peut plus, on ne doit plus, il est interdit de... ceci, cela, patin, couffin, et le reste... En France, dans ce qui fut une démocratie, on va plus vite en donnant la courte liste de ce qui reste permis sans que l'Etat y fourre son nez... plutôt que de réciter les litanies sans fin de ce qui est interdit...
Résultat prévisible --et atteint : des millions de gens dans la rue, sans toit, sans solution, sans ''plan B'' possible... Le marché de l'immobilier s'effondre, le secteur licencie, les prix s'affolent, les jeunes ménages se désolent et n'ont plus d'enfants, tout se paralyse peu à peu... et nos élites délitées contemplent ce saccage avec sérénité : leur but est de garder leurs prébendes, et le malheur des pauvres gens est le cadet de leurs soucis ! Ils sont si heureux de pouvoir invoquer leur soi-disant ''transition écologique'', ce fantasme macronien, ce bobard cauchemardesque inventé pour nous terroriser... et nous piquer nos sous ! Et les citoyens acceptent ! (Jusqu'à quand ?).
A leur habitude, nos grands hommes vraiment très petits se con-gratulent et nous récitent sans fin la liste soporifique de toutes les décisions qu'ils ont prises depuis 7 ans bientôt... Le seul ennui, c'est que le monde et la France auraient mille fois mieux fonctionné et réussi sans elles... Ces malfaisants n'ont oublié qu'une seule chose –mais qui est fondamentale : le sens de leur mission. Pourtant il crevait les yeux que la politique agricole ne peut avoir qu'un seul ''impératif'': nourrir les populations, et pas des déclinaisons ni des variations névrotiques. Ou que la politique de construction ne peut avoir qu'un seul but : loger les gens... Et ensuite, le cas échéant mais très loin derrière, les loger mieux... et enfin, mais enfin seulement, les emmerder avec la foison de règles normatives qui peut naître dans la tête d'un ponctionnaire européen qui croit que son rôle (néfaste) est d'exercer sur ses semblables un pouvoir qu'il ne tient de personne !
Et surtout, n'allez pas croire que si je vous ai proposé deux exemples, c'est parce qu'à ça se limite la gravité de la crise de rejet de toute autorité qui risque, d'ici pas longtemps, d'emporter nos sociétés... et tout ce qu'elles avaient de bon, de très bon et de formidable avant que ne les détruise la bêtise crasse de ceux dont le seul rôle devrait être de les protéger. ''A force de jouer au con...'', disait-on, dans mes 30 mois d'Armée... Est concerné par cette remarque... tout ce qui touche aux migrants et à la porte grande ouverte à l'immigration incontrôlée, aux LGBTQetc (NB : il semble qu'il faille dire maintenant ''LGBTQQIP2SAA''... Ah ! Les cons !), aux fausses féministes enragées, aux programmes scolaires (responsables de la nullité inquiétante de nos --rares-- enfants), à la ''soumission'' devant l'Islam, à l'abandon de ce que nous sommes au profit (qui reste à démontrer) d'une Europe qui ne sert plus à rien –et sûrement pas à ce pourquoi ses derniers soutiens essaient encore de nous la vendre, ou –dernier exemple du jour-- le véhicules électriques.
A force de tricher, de mentir, de se prostituer et de faire la danse du ventre, l'Europe et la France ont réussi (à quel prix !) à faire décoller les ventes de voitures électriques (surtout les marques étrangères). Je vais me contenter d'évoquer devant vous ce à quoi risquent de ressembler vos départs en vacances lorsque des queues interminables de Telsa, de BYM ou de MG, importées à prix d'or mais subventionnées à mort (la nôtre, celle des contribuables), passeront des heures sur les ''aires'' encombrées, pendant que vos enfants cuiront sous le soleil... Je vous laisse imaginer la suite ! Question : à quel raisonnement cèdent ceux qui s'inclinent devant les diktats de théoriciens intégristes qui se débineront ''vite fait'' lorsque les problèmes se poseront ?
Seul espoir (qui en fait n'en est pas un, violence et réaction ''à chaud'' n'ayant jamais rien donné de bon !) : les gens ont enfin commencé à comprendre qu'on les avait mené là où personne ne veut aller, et ils commencent (en Allemagne, en Hongrie, en Italie, aux Pays bas... et bientôt, sans doute, en France) a demander des comptes à ceux qui les ''baladent'' sans destination, depuis bien trop longtemps. Nous aurons à en reparler très bientôt, et c n'est pas une bonne nouvelle !
H-Cl.
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risiblesamour · 1 year
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Mes tops sons 2022 ( j’parle pas des classements des applis de musique 👽 )
La fête est finie (orel)
San ( orel)
Club (lomepal)
Déchiré (orel-gringe)
Où va le monde ( la femme)
Daddy ( grlwood)
7:77 ( nekfeu)
Risibles amour ( nekfeu)
Des histoires à raconter ( casseurs flowters)
Fais les backs ( casseurs flowters)
Retourne d’où tu viens ( gringe)
bad idea ( girls in red )
Dis moi ( bb brune)
Adieu les filles ( orel, de mon côté sûrement adieu les mecs mais vas-y tant pis)
I follow rivers
Etna ( lomepal)
La boulette ( diams)
Ma drôle de vie ( cette musique ptn 💓)
On aboie en silence ( gringe)
Le mal est fait ( gringe)
Reuf ( nekfeu- ce son me fait penser, depuis le docu a gringe-orel-ablaye-skread et j’en passe…)
I will survive ( gloria gaynor)
Ripitide ( vance joy)
Menteur menteur ( nekfeu)
Suicide social ( orelllll)
Les parisiennes ( $-crew)
Change de potes ( cf)
La morale ( orel)
Épilogue ( orel)
Excuses ou mensonges ( orel)
Quand est-ce que ça s’arrête ? ( orel)
Pour le pire ( orel)
La vérité ( orel-lomepal)
Zone ( nek-orel)
Jour meilleur ( orel)
Casseurs flowters infinity
X-men ( lomepal-jeanjass)
Dans l’univers ( nek-vanessa paradis)
Rêves bizarres ( dams-orel)
Pumped kicks
En voici la majorité je crois, mais il manque beaucoup de lomepal-cf-nekfeu-grlwood-girl in red et du Gorillaz-mother mother-stupeflip mais tant pis ptdrr 😨
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greensparty · 8 months
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Album Review: Courtney Barnett "End of the Day (music from Anonymous Club)"
Since I began this blog in 2013, its been kind of cool to discover musicians who debuted and then get to cover them, i.e. Australian singer-songwriter Courtney Barnett. It’s like she was a alt-rock slacker in the 90s who was cryogenically frozen and thawed out in the 2010s. She’s like a female Beck for Millennials. An observational comedian singing songs about the seemingly mundane, but sprinkled with humor, sarcasm and irony. Her song “Avant Gardener” was my #3 Song of the 2010s! Her 2015 debut album Sometimes I Sit and Think, and Sometimes I Just Sit was my #12 Album of the 2010s. I got to review her 2017 collaboration with Kurt Vile Lotta Sea Lice (my #26 Album of the 2010s), her 2018 album Tell Me How You Really Feel (my #44 Album of the 2010s), her 2021 album Things Takes Time, Take Time (my #7 album of 2021) as well as her 2018 concert in Boston. At the 2022 Independent Film Festival Boston, I caught the documentary film Anonymous Club about Barnett circa 2018-2021. In addition to being the subject of that doc, Barnett composed the instrumental music score for that doc. A year after the film's release, the soundtrack album End of the Day (music from Anonymous Club) is being released today.
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album cover
To say this album is an anomaly in Barnett's discography would be a colossal understatement. All of her other albums have exposed her fuzzed out passion for indie rock while being the musical equivalent of an observational comedian. This is an entirely instrumental album, so right off the bat, her singing and lyricism is not on display. So you need to go into this album as it's own thing and not compare to any of her other work, because it's completely different. For me having seen the documentary, I remembered liking the instrumental score, so I was reminded of how it played over the Cinéma vérité footage. The music is moody and atmospheric and if you listen carefully, you'll almost hear a 90s Mazzy Star influence. Years from now when you look back at Barnett's entire discography this is going to be the one that stands out, not unlike Arcade Fire's score for Her with Owen Pallett, which is an amazing score but a left turn from their albums. I say give this one a chance and if you don't like it now, you will later!
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Barnett at House of Blues on 10/21/2018
For info on Courtney Barnett: https://courtneybarnett.com.au/
3.5 stars out of 5
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salon-du-salon · 9 months
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[SDS#38.2 - Design sonore]
JEAN-FRANÇOIS RAFFALLI / club mikoland
Résidence du 03 au 17 août 2023
Dans le cadre de l’exposition de KARIM GRANDI BAUPAIN
SALON DU SALON Project, 21 avenue du Prado 13006 Marseille, France
Résumé de l’épisode précédent : « Installé à sa table de travail le personnage du compositeur joue et enregistre, imagine et assemble les fragments d’une rêverie inspirée des oeuvres qui l’entourent. Il pense tout le temps à cette chose — le fantôme de la liberté. »
La ville. Plusieurs mois ont passé. Hiver, printemps, été maintenant. Des fragments de Marseille en plusieurs venues. Au Salon du Salon il y a le bruit de la ville, une énergie première qu’il avait oubliée, qui se restitue à lui. La vérité de ce bruit, le réel. Il y a un parquet usé, des fauteuils bas comme pour piloter un navire spatial, des chambres qui communiquent ou pas, des paroles échangées, des choses montrées. Des bouquets de fleurs. Parmi les témoignages, un rescapé (le personnage du rescapé).
Ces enfants qui disaient « fais-moi montrer » pour dire « montre-moi ». C’est le principe d’incertitude, la faculté d’entrer quelque part.
club mikoland
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lesgenouxdanslegif · 9 months
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IL FALLAIT BIEN QUE TON AMOUREUSE OU TON AMOUREUX L`APPRENNE.
Voici la vérité en 5 points :
• 1. C’est sympa un dîner gastronomique aux chandelles mais tu vas toujours préférer une bonne soupe aux légumes dégustée sur un banc en bois humide, les mains se réchauffant contre le breuvage tellement salé que Philippe Etchebest pourrait faire sa très très grosse voix qui fait peur.
• 2. C’est sympa un massage romantique mais rien ne pourra rivaliser avec les mains expertes d’Iñaki, jeune pilier gauche d’un club près de Bayonne mais aussi étudiant kiné, qui sait parfaitement appuyer là ou ça fait mal sur ce petit ravitaillement du 120ème kilomètre perdu en pleine montagne.
• 3. C’est sympa de recevoir un cœur par sms, mais ce que tu aimes voir par dessus tout c’est le petit coeur qui clignote sur ta montre GPS, histoire d’avoir la certitude que t’es bien au seuil sur cette saloperie d’exercice concocté par ton entraîneur.
• 4. C’est sympa de passer une délicieuse nuit dans un 5 étoiles mais faut être honnête, ton délire c’est justement de ne pas passer une délicieuse nuit. Si t’es vraiment en compote, tu jettes ta carcasse sur un lit de camp en hurlant à un bénévole de te réveiller dans 15 minutes et de te filer un café brulant. C’est quand même autre chose qu’un petit-déjeuner continental apporté sur un chariot en argent, hein.
• 5. C’est sympa de faire une petite marche digestive en forêt en se tenant par la main mais faut bien avouer que c’est méga stylé de ne pas justement pas digérer, distillant rots et pets au visage de « Gégé », ce compagnon d’infortune que tu aimes tant mais que tu ne verras plus jamais.
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Photo Alexis Berg
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ilssontcools · 2 years
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Gringe dans le podcast The Boys Club de MadMoizelle: J’écrivais des poèmes, des trucs, tu vois, parce que ça les faisait kiffer. [...] J’voulais la séduire parce qu’elle m’obsédait, et donc j’allais au CDI du collège et je pompais des trucs de j’sais pas, Rimbaud, machin, et je remixais des phrases [...] et j’filais des bouts de papier en cours et elle pétait des câbles. Et j’sais qu’elle me kiffait, mais en vérité y avait pas moyen parce que j’arrivais pas à passer le cap, même physique, du truc de l’embrasser...
Le perso d’Orel dans Comment C’est Loin: En fait il envoie tout le temps des textos. Il envoie des looongs textos. Genre, il se documente pour envoyer des textos. Y a une intro, un développement une conclusion dans ses textos. C’est le Baudelaire des textos.
Orelsan dans l’interview I love my phone: Lui et moi on a du mal à se comprendre par SMS. Parce que lui il envoie tout le temps des trucs supers longs, avec des belles tournures de phrases. Il envoie des textos épistolaires, tu vois. Tandis que moi je réponds juste “OK”, “Cool”, “Merci”, “Sympa”. Il se pose des questions, il s’dit “Il fait la gueule”.
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noloveforned · 1 year
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friday always seems like a blur to me between work, home and radio but somehow by the end of the day a radio show full of new music has aired. tune into wlur tonight from 8pm until midnight to see what materializes! if that's inconvenient, you can catch up with last week's show below at your leisure.
no love for ned on wlur – march 17th, 2023 from 10pm-midnight
artist // track // album // label ramones // the job that ate my brain // mondo bizarro // chrysalis the runaways // california paradise // queens of noise // mercury the cool greenhouse // the neoprene ravine // sod's toastie // melodic lumpy and the dumpers // too much slime // collection, 2012-2014 // lumpy fastbacks // a quiet night // a quiet night 7" // no threes the coolies // king of confusion // if you gotta go-go, go-go now- a tribute to the go-go's // sympathy for the record industry lenz // moody michelle // ways to end a day // 1-2-3-4 go! the younger lovers // i can't (kim) deal with it // sugar in my pocket // southpaw the bug club // love for two // green dream in f# // we are busy bodies garden centre // super moon // a moon for digging // kanine sharp pins // bettie wait // turtle rock cassette // hallogallo tapes squilll // scripted lines // daughters of the earth // lost sound tapes black belt eagle scout // nobody // the land, the water, the sky // saddle creek ulaan passerine // light of lights // dawn // worstward antonina nowacka // part one // lamunan // mondoj cole pulice // astral cowpoke // scry cassette // moon glyph benji b, raven bush, theon cross, nubya garcia, tom herbert, shabaka hutchings, nikolaj torp larsen, dave okumu, nick ramm, dan see, tom skinner and martin terefe // raven flies low (single edit) // london brew // concord jazz larry young // sunshine fly away // lawrence of newark // perception tony williams // there comes a time // play or die // moosicus cortex // prélude à go round // troupeau bleu // trad vibes wiki and subjxct five featuring navy blue // one more chance // cold cuts // wikset enterprise boldy james and nicholas craven // scrabble // fair exchange no robbery // near mint yl, starker and no-face // friday night lights // lo.face // circle of patrons demahjiae featuring ovrkast. // lord // lord digital single // (self-released) nappy nina featuring moor mother // stone soup // mourning due // lucidhaus vérité // temporary // love you forever // venice music liberation // move me // liberation // night school say sue me // smothered in hugs // ten ep // damnably nicholas krgovich // cup full // ducks // orindal sierra manhattan featuring jokari // losing // which life, the friends // another cozy slippers // be alone with me // cozy slippers // subjangle the telephone numbers // weird sisters // weird sisters 7" // meritorio
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johanfaitsoncinema · 1 year
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The Fabelmans : « les films sont des rêves que tu n’oublies jamais » 
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Vendredi 17h, c’est la fin de votre semaine. Vous attendez impatiemment l’arrivée de l’un de vos parents sur le parvis de votre école primaire pour vous rendre dans l’un de vos endroits préférés sur terre : le vidéo-club. 
Tarantino, Scorsese, Coppola, Cameron… Ils y étaient tous, plus où moins rangés dans l’ordre, mais peu importe, quand vous avez huit ans, ces noms indélébiles du 7ème art sont imprescriptibles dans la tête d’un jeune enfant. Non, ce que vous recherchez à cet âge, c’est une image qui accompagne la vidéo-cassette ! Drôle, colorée, animée, violente, gore… Des milliers de photos qui s’impriment dans notre cerveau de petit-être inconscient, à la recherche d’une aventure cinématographique ! Toutefois, vous n’avez que huit ans. Vos parents ont le dernier mot, et ce soir-là, vous allez subir leurs envies ! Pire encore, ils ne veulent pas vous montrer la couverture de la cassette pour « créer une surprise totale ». 
Déçu et à la fois curieux, vous n’avez aucune idée de l’objet qui allait animer votre vendredi soir. Le film s’ouvre sur des visages humains effrayés, armés jusqu’aux dents, une boîte métallique survenant des airs fait son apparition.Il s’agit d’une cage. Soudain, votre cœur se met à battre à la chamade, au rythme d’une musique angoissante, vous entendez LE rugissement… celui d’une bête d’un ancien temps, un dinosaure. À partir de ce moment précis, un nom ne vous quittera plus jamais : Jurassic Park.
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Les aliens, les requins, les robots, les soldats… Du monde magique de Peter Pan à un sombre film dystopique qui prédit les crimes, nous avons tous et toutes un souvenir ineffaçable issu de la filmographie de Steven Spielberg. À 75 ans et presque un an après son sulfureux West Side Story, l’un des plus grands réalisateurs de tous les temps fait son retour dans les salles de cinéma avec son 34ème film, une rétrospective de sa propre vie. 
The Fabelmans, c’est l’histoire de Sammy (Gabriel LaBelle) passionné de cinéma, qui passe son temps à filmer sa famille. S’il est soutenu par sa mère Mitzi (Michelle Williams), dotée d’une âme artistique, son père Burt (Paul Dano), scientifique accompli, lui considère l’intérêt de son enfant comme un hobby. Des petits films amateurs sur sa famille à des projets plus sophistiqués interprétés par ses sœurs et sa bande d’amis, Samy se positionne comme le documentariste de l’histoire familiale. 
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Avec son film, Steven Spielberg remonte le fil de sa vie, retrace les éléments qui ont forgé sa personnalité d’abord, puis nourri sa filmographie. En réalité, c’est même plus grand. Il s’agit d’un film-confession, où la fidélité des événements réels importe moins que la version qu’on en donne. 
Dans une scène terriblement marquante, le jeune Samy se retrouve seul dans sa chambre, à monter les images de son escapade familial au camping, sur la table de montage offert par son père. Il décèlera alors au grès des images, une trahison opérée par l’un des membres de sa famille. Cet événement marque le point central du « drame » familial des Fabelmans.  
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Si cette révélation n’est pas surprenante pour le spectateur, tellement elle pend au nez dès les dix premières minutes du film, elle le sera pour Samy et sa famille. Derrière cette scène, on découvre un personnage qui lève le voile sur une vérité par le prisme de ses propres créations et l’altère par le montage pour camoufler le réel, le dénuer. 
Dès lors, on comprend que ce film n’est pas une simple « lettre d’amour » pour le cinéma ou un projet édulcoré par la nostalgie. Spielberg explore ses propres zones d’ombre et questionne son rapport à la fiction derrière une chronique portée sur la famille et ce, sans rentrer dans le pathos ou la psychanalyse. Grâce à The Fabelmans et sa magnifique fresque familiale, les spectateurs peuvent enfin mettre le doigt sur toutes les références au cinéma de Spielberg ainsi que son rapport torturé à l’enfance. 
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Il  faut dire que cela fait des années que cette œuvre cinématographique traîne dans la tête de Spielberg. Les parents de ce dernier ont vécu très vieux, sa mère est décédée à l’âge de 97 ans et son père est mort pendant le tournage de West Side Story à l’âge de 103 ans.
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Dès lors, mettre sur pied ce film après leur disparition, est-ce de la pudeur ou un hommage ? Peut-on alors supposer que ce film est thérapeutique pour son auteur ? Peut-on se dire que Spielberg est à présent en paix avec lui-même, avec les tourments et les traumatismes causés par ses parents pour délivrer aux spectateurs ce projet d’auto-fiction ? Cela reste hypothétique mais en tout cas, il s’agit sans équivoque d’une démarche profondément humaine. 
Et si le grand chef-d’oeuvre de Damien Chazelle - Babylon- se termine dans une salle de cinéma en 1952, The Fabelmans s’ouvre dans une salle de cinéma la même année. Une synchronicité ou une belle coïncidence ? Peu importe après tout, la réponse se lit dans le regard de ses protagonistes qui nous démontrent à travers leur regard, que le cinéma en 2023 s’ausculte dans les salles obscures comme un sujet d’émerveillement. 
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lanuitlennuie · 19 days
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Nous avons vu un film insupportable. Atroce? E dit « gross », le terme est parfait, ça soulage un peu. A la sortie, la gang du club se laisse embarquer dans un bus, direction opposée au retour. Je le réalise trop tard, cours après le bus, cogne du poing sur la vitre pour l’arrêter, il repart quand même avec les ami.es dépareillé.es. Je reviens en vélo accablée pour retrouver C au bar. J’essaie de ne pas raconter le film atroce - en limiter les dégâts - je le raconte quand même, c’est pénible. J’essaie de dire «gross» mais l’aura du mot s’est ternie dans ma main : je ne sais pas le traduire ni retrouver la vérité lapidaire qu’il avait incarné un instant. Certaines choses abîment jusqu’aux mots pour les décrire.
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claudehenrion · 2 years
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Pour une écologie qui échappe (enfin) aux écologistes…       ( I ) : “C'est le poumon, vous dis-je” !
  Plusieurs lecteurs me posent des questions sur mes positions souvent “originales” devant le phénomène écologiste. Mais la caricature de l'intelligence, qu'on appelle à tort “l'Ecologie” n'a plus le moindre lien avec son étymologie et se retrouve donc privée de tout sens. Encore un cas où la perte de sens des mots détruit la pensée moderne –en passe de devenir une “non-pensée”. Il n'est sans doute pas sans intérêt de rappeler que “l'Ecologie”, en français moderne, devrait être une doctrine visant à un meilleur équilibre entre l'homme et son environnement naturel, et à la protection de ce dernier. Il est évident que nous en sommes à des années-lumière !
Mais deux “nouvelles” encore plus absurdes que toutes les autres imbécillités qui, comme “par routine”, encombrent nos petits écrans décidément devenus in-regardables, sont venues remettre le sujet à l'ordre du jour : d'abord, la Sandrine Rousseau (NDLR : cette zombie est à elle toute seule et une catastrophe, et une perversion, et une logorrhée) a émis une nouvelle série de borborygmes sur le rapport qu'elle croit voir entre le barbecue et la virilité (sic ! Elle seule au monde voit des conneries pareilles. On rappelle que Michel Audiart a dit qui étaient  “ceux qui osent tout” !). Et ensuite, l'église catholique, elle qui a “inventé” la vraie écologie il y a 2000 ans –relire “la Genèse”, si vous en doutez !–, a été attaquée (ça faisait longtemps !) comme étant responsable de l'état de délabrement que de grands prêtres de l'anti-écologie destructrice, punitive, castratrice et confiscatoire –mais fausse– réinventent à tort et redéfinissent de traviole chaque matin à leur réveil…
Plusieurs excellents ouvrages ont agrémenté mon été, en soufflant sur ces cauchemars pervers un air frais que la canicule rendait encore plus agréable. Je voudrais citer tout spécialement le livre de Bérénice Levet, L'écologie ou l'ivresse de la table rase, celui deFerghane Azihari, Les écologistes contre la modernité, ou celui de Stéphane Lavignotte, L'écologie, champs de bataille théologique, tous trois d'une clarté que viennent souligner à tout instant les observations “sur le terrain” qui peuvent être faites par chacun depuis des années, à chaque balade, à chaque trajet en voiture ou en train, à chaque séjour n'importe où dans ce que les cuistres s'entêtent à appeler “l'Hexagone”. (PM : La France s'inscrit dans un hexagone,  disait Demangeon… ce qui n'a rien à voir ! Il y a entre “s'inscrire dans” et “être un hexagone” une différence aussi grande que entre “écologie politique”  et “protection de la Terre” ou entre EELV et “intelligence des vrais problèmes” : la nuit, le jour).
Complétant des décennies de travail sur ce sujet tellement grave et si mal traité, et d'autres lectures (qui ont commencé en 1962 avec le “Printemps silencieux” de Rachel Carson, suivi des folies du Club de Rome (1972) et de René Dumont -l'Utopie ou la mort, 1973 : si leurs prophéties s'étaient réalisées, même un tout petit peu, aucun de nous ne lirait ce Blog : tous morts de soif, depuis des années !)… il ressort des ces lectures un “fond commun” que la réflexion et l'expérience mettent à la portée de qui veut chercher la vérité. Tout d'abord, soyons beaux joueurs, il faut admettre un semblant de victoire pour les tenants de cette pseudo-pensée : à cet instant “T”, elle s'impose sans conteste. Heureusement, elle est tellement “con” (elle n'est même que ça !) que ce succès ne peut être que temporaire, sauf à désespérer de la race humaine et des générations à venir C’est hors de question !
Mais il faut aussitôt préciser que l'absence de joie de vivre qui caractérise notre temps est dûe à l'anxiété et aux paniques que génèrent le Giec et ceux qui croient à ses analyses bidouillées et à ses racontars qui sont plus proches des comédies de Molière : La disparition des espèces ? La fonte des glaciers ? L'excès de pluie –ou de sécheresse… ou de froid… ou de chaud… ou de tiède…?  Les feux de forêts allumés par des pyromanes ? Réponse unique : “Le climat,  le climat, vous dis-je !”. On pense à Toinette répétant à Argan (le Malade imaginaire) : “C'est le poumon, vous dis-je”. Et “Voilà pourquoi votre fille est muette” de Molière se dirait, en 2022  : “ Voilà pourquoi tout va de traviole”. C'est simple : le climat (ou : CO²), vous dis-je !
Autre “ligne de force” (de farce ?) de cette fausse écologie perverse : sa victoire apparente contient en elle-même sa condamnation : tout comme le faux  féminisme ayatollesque devenu “système”, le droit-de-l'hommisme pathologique, l'antiracisme obligatoire mais sélectif, ou le wokisme dévastateur… qui sont autant de péchés mortels promus “vérités premières”, l'écologisme pour l'écologisme est une maladie de l'esprit (ou parfois, pire : de l'âme) dont les malheureux contaminés sont des victimes de leur préemption par la Gauche, ce qui les voue à une fin prochaine, comme la totalité des maladies qui sont nées de cette fabrique de sornettes et de fausses évidences mortifères. La grande machine à fabriquer de faux rêves, des imprécations, des condamnations sans procès, des promesses intenables, des dogmes creux et des slogans vides qui veulent ne considérer que la partie visible de l'iceberg (soit… un petit huitième !), produit surtout des rêves brisés, des catéchismes mensongers, des faux dieux et des idées perverses qui ne peuvent qu'être éventées, le temps-qui-passe démontrant leur inanité et leur insanité.
Le mantra “priorité à l'urgence climatique” met un bâillon à tout doute possible, à toute critique, à toute liberté d'expression et de pensée, au point que ce sont des “progressistes” qui accusent le progrès d'être une nuisance pour leur nouvelle divinité : voilà que ce sont les “gauchos” eux-mêmes qui prônent une iso-religion, au nom d'une “eco-anxiété” qui serait salvatrice puisque alarmiste ! Au fou ! La décroissance n'est qu'un mépris pour l'humanité, puisque l'expansion de notre civilisation à, de fait et sans discussion, libéré la plupart des hommes de la famine, d'une pauvreté encore plus pauvre, de la maladie, de l'ignorance, de la misère absolue (même s'il reste encore pas mal de boulot, mais qui est en route…).
Cette tendance masochiste à donner toute priorité à un sauvetage fantasmé de la planète contre la permanence de l'humanité néglige le fait que si la Nature est -peut-être- mortelle, nos civilisations le sont sûrement. Le “machin” dangereux qu'est devenue l'écologie mal comprise n'est plus ni “éco” (Rappel :“οἶκος” engrec, veut dire : la maison, le patrimoine), ni logique ! Plus leur poids est insupportable à la simple survie de l'espèce humaine, plus on se rend compte que ces écologistes en chambre ou de salon sont en réalité des misanthropes paroxystiques…  Plus vite on se libérera de leur dogmatisme effrayant et stérilisant, plus vite on pourra enfin se remettre à chercher de vraies solutions aux vrais problèmes –qui sont nombreux, multiples, mais qui ne sont pas ceux qu'ils posent –on s'en doutait !
Devant les ravages illimités que commettent les propagateurs de solutions absurdes, on a envie de parodier Clémenceau : “L'écologie ! C'est une chose trop grave pour être confiée à des écologistes”. Pour le grand malheur de notre temps, la race des grands hommes, pourtant si nécessaire, a disparu : on ne voit vraiment pas qui, en “haut lieu”, pourrait avoir l'intelligence, le courage et la clairvoyance de reconnaître que la sauvegarde de la planète est une chose tellement grave qu'il est impératif et vital de la confier à… n'importe qui, sauf aux ayatollahs très limités de ce qui est en passe de devenir la plus gigantesque des arnaques de l'Histoire de la pensée… Nous reparlerons demain de ce sujet si mal posé, en le considérant sous d'autres angles, dont celui, plus fondamental que nos cuistres ne veulent l'admettre, des rapports entre la civilisation judéo-chrétienne et les problèmes (réels) que pose l'évolution de nos conditions de vie qui pose, aussi, d’autres problèmes ! (à suivre).
H-Cl.
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