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#Germano milite
ragazzoarcano · 9 months
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“E molte volte, in effetti, l'unica colpa che hai è il senso di colpa che non dovresti avere.”
— Germano milite
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thesoulmustbebreath · 4 months
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L'umiltà
non è la convinzione
di non saper far nulla
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• Germano Milite
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ma-pi-ma · 5 years
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bel-sophie-in · 5 years
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ognuno di noi ne vive uno... o ne ricorda o rimpiange uno vissuto
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vecchiorovere-blog · 3 years
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Che uno poi alle volte si accorge di essersi abituato alla mancata presenza ma non all'assenza. Sembra la stessa cosa ma decisamente non lo è.. Germano Milite
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thebusylilbee · 3 years
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“La petite maison de briques rouges, de plain-pied, se niche à la sortie de Pérenchies, une commune au nord-ouest de Lille (Nord), à 3 kilomètres de la frontière belge. Alentour, un dédale de chemins goudronnés sillonne la campagne et ses champs fraîchement labourés. Les volets roulants de la façade sont baissés, le jardin fait triste mine. Lors de nos deux visites, personne ne répond.
Cette maison est néanmoins le siège social d’une association culturelle. Son but officiel : «Promouvoir les traditions ancestrales païennes, plus particulièrement l’odinisme [Odin est le dieu principal de la mythologie nordique, ndlr] avec pour point d’orgue la célébration annuelle du solstice d’été.» Les voisins rencontrés sur place identifient bien le couple de quadragénaires qui habite à cette adresse, mais ils n’ont jamais entendu parler de cette association ni vu la moindre réunion se tenir à cet endroit.
Il faut dire que, pour les grandes occasions, ses membres ont l’habitude de se rassembler à une quinzaine de kilomètres de là, dans un hameau rattaché à Illies, petite commune rurale proche de Béthune. Mais, là encore, personne, pas même à la mairie, ne semble connaître l’existence de la «Communauté de l’Irminsul»… L’Irminsul ? Dans l’ancienne tradition germanique, c’était l’arbre totémique de la divinité de la guerre, Irmin, ainsi que le pilier soutenant la voûte céleste. Mais à y regarder de plus près, on constate rapidement que les festivités et rituels célébrés par cette association, déclarée le 20 septembre 2018 en sous-préfecture de Lens, vont bien au-delà du simple intérêt pour l’ancien paganisme nordique ou saxon.
«Roue solaire»
Ainsi, le 21 juin 2019, ses adhérents et sympathisants se rassemblent sur un terrain privé, à l’occasion du solstice d’été. Une vidéo de seize minutes, filmée par un participant et mise en ligne sur la page Facebook de la Communauté de l’Irminsul, montre le déroulement de la cérémonie. A la nuit tombante, 80 personnes – hommes, femmes et enfants de tous âges – cheminent en file indienne, un flambeau à la main. Ils débouchent dans un champ et forment un grand cercle autour d’un bûcher prêt à être embrasé. Au centre, un homme revêtu d’une cape sombre lit, à la lumière d’une torche, un discours parsemé de références mythologiques. Au sommet du bûcher, il désigne la «roue solaire, d’où part tout mouvement, toute vie». Il s’agit d’un svastika, une croix gammée, à l’origine un symbole très ancien dans différentes civilisations, notamment asiatiques, récupéré par les nazis. L’orateur interpelle les membres du «clan», ses «hommes et femmes de bonne race» : «Votre honneur s’appelle fidélité», martèle-t-il, dans une référence évidente à la devise des SS… Certains participants - en dehors des enfants - peuvent-ils être dupes de ce qui est en train de se jouer ? Difficile à croire, car quelques-uns font le salut nazi à la fin de la cérémonie.
D’ailleurs, des dizaines de photos publiées sur cette page Facebook lèvent toute ambiguïté sur ses références idéologiques. Ce même 21 juin 2019, en journée, le noyau dur – une cinquantaine de personnes – est rassemblé sur le même terrain, entouré par des bosquets. Ces habitués désignent le lieu comme la «Wolfsschanze», la «tanière du loup» en allemand. Soit le nom de code du principal quartier général d’Adolf Hitler durant la Seconde Guerre mondiale.
Autour de rangées de tables et de bancs abrités sous des barnums, les convives partagent un buffet champêtre d’un genre particulier. Les hommes, surtout des trentenaires, arborent presque tous la même tenue, entièrement noire : chaussures, bermuda et polo frappé du nom «Irminsul» sur la poitrine. Certains portent une casquette assortie, accentuant le look paramilitaire du groupe. La plupart ont le crâne rasé et sont abondamment tatoués de motifs guerriers «nordiques». A la ville, ces hommes et femmes sont machiniste dans l’industrie, cariste, employé municipal, étudiant, chômeur… La très grande majorité d’entre eux réside dans un rayon d’une quarantaine de kilomètres à l’ouest de l’agglomération lilloise, aux confins de la Flandre et de l’Artois.
Calendrier bricolé
Depuis deux ans, les membres de la communauté célèbrent ainsi en famille toutes les fêtes d’un calendrier germano-celtique bricolé : solstices d’été et d’hiver, Halloween, galette des rois ou Ostara, l’équivalent païen de Pâques. Là encore, leurs photos sont édifiantes. On y voit des enfants fêter Yule - la fête du solstice d’hiver, ancêtre païen de Noël - autour d’un sapin et de couronnes de houx surmontées de bougies portant le symbole de l’Irminsul, une colonne stylisée coiffée de deux branches d’arbre horizontales. A l’occasion de Halloween, une tablée de gamins grimés en diablotins ou en sorcières colorient des images de citrouilles, sous le regard de quelques parents ; juste derrière eux, un homme debout, sirotant une bière, est déguisé en… officier de la Wehrmacht.
Pour Pâques, une quinzaine de bambins, dont certains ont à peine quatre ou cinq ans, posent pour la photo, brandissant un sachet d’œufs en chocolat : la distribution de friandises vient d’être effectuée par l’un des leaders, en tenue martiale et casquette noires. «Les enfants se sont amusés, se sont dépensés, ont ri, ont couru. […] Ils en sont tous repartis avec des images gravées à jamais dans leurs têtes. Ils devront transmettre tout cela, car ils sont l’avenir !» souligne un post publié en juin 2019 sur Facebook par un responsable de l’association. Tous les textes et communiqués se terminent par le slogan «Blut und Boden !» : «Le sang et le sol», un concept raciste au centre de l’idéologie du IIIe Reich.
«On peut se revendiquer païen et fêter le solstice d’été sans pour autant verser dans le nazisme. Il s’agit ici d’un détournement d’anciens rites de la religion nordique primitive vers une politique extrémiste, dans la lignée des courants de pensée pangermanistes radicaux des années 20-30, commente le politologue Jean-Yves Camus, spécialiste de l’extrême droite. D’ailleurs, cette association se réfère à une organisation militante allemande, qui est incontestablement nazie [la "Artgemeinschaft", créée en 1951].» Il ajoute : «Ce groupe d’Irminsul semble être actuellement un exemple unique, en France, de constitution d’une communauté d’idées et de vie, avec la présence de familles et d’enfants, qui se considère comme une contre-société.»
Deux quinquagénaires sont à la tête de la communauté de l’Irminsul. Le premier, qui se présente sous le pseudonyme de Hathuwolf («loup de combat») Harson, est l’orateur durant les cérémonies «païennes». Nous n’avons pas pu l’identifier avec certitude. Auteur de livres confidentiels sur les symboles païens germano-nordiques, il ne siège pas au bureau de l’association.
Le second personnage, véritable cheville ouvrière de cette communauté, s’appelle Renaud Cuingnet. Président de l’association, tatoueur de profession, il est omniprésent lors des rassemblements. Organisant le cercle autour du feu lors du solstice, paradant au milieu des convives en tenue paramilitaire, une dague à la ceinture, postant sur Facebook des communiqués parsemés de références au IIIe Reich et d’appels au «combat contre les forces ennemies»… Tout cela sans oublier de donner des friandises aux enfants du «clan» : un véritable monsieur Loyal. L’été dernier, Renaud Cuingnet a encore donné l’exemple, en jouant le rôle de l’époux lors du premier «mariage païen» célébré par la communauté.
Skinheads
Notre homme est un vieux routier de l’extrême droite radicale. Il a longtemps été membre de Troisième Voie, un mouvement «nationaliste révolutionnaire» violent. Ce groupuscule a été dissous en juillet 2013, après la mort de Clément Méric, jeune militant d’extrême gauche, lors d’une rixe avec trois skinheads appartenant aux Jeunesses nationalistes révolutionnaires (JNR), le service d’ordre de Troisième Voie. Naguère, Renaud Cuingnet a fait partie des JNR. Sur des photos datant des années 2000, retrouvées par Libé, il pose en tenue, Bombers noir et tee-shirt siglé, aux côtés d’autres membres, plus jeunes. Deux de ces skinheads néonazis, originaires du nord de la France, ont comparu en justice depuis lors, pour des faits de violences. L’un, Yohan Mutte, a été condamné à une peine de prison avec sursis pour une agression commise en 2013 contre un bar gay de Lille. En 2017, le même a effectué une année de détention provisoire : il était soupçonné d’avoir participé six ans plus tôt à un homicide dont les circonstances n’ont jamais été élucidées. Mutte a été remis en liberté en 2018, faute d’éléments incriminants. L’autre skinhead, Jérémy Mourain, a été condamné en 2017 à neuf ans de prison, pour 35 affaires de violences graves, alors qu’il dirigeait un groupuscule néonazi né sur les cendres de Troisième Voie.
Renaud Cuingnet n’a pas donné suite à nos demandes d’entretien. Après un bref échange devant la porte de son domicile-salon de tatouage, dans une ville coquette dominant la plaine de Flandre, il n’a plus répondu à nos sollicitations. Pas plus que les cinq autres membres du bureau de l’association. Deux d’entre eux se contentent d’affirmer en être partis récemment.
Ils étaient en tout cas bien présents, le 15 février 2020, à Dresde (Allemagne), à l’occasion du 75e anniversaire des bombardements alliés de février 1945, qui avaient fait 25 000 victimes. Chaque année, l’extrême droite radicale locale instrumentalise cette tragédie pour dénoncer «l’holocauste» dont auraient été victimes les civils allemands. Ce 15 février, une trentaine de membres de la communauté de l’Irminsul avaient fait le voyage pour défiler – au milieu de 5 000 néonazis venus de toute l’Europe – derrière leur propre banderole, en brandissant des drapeaux français. Renaud Cuingnet marchait en tête, avec deux femmes. Tous arboraient une tenue noire, version hivernale. A mille lieues du solstice d’été et des divinités nordiques.””
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occhietti · 4 years
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sono-il-sole · 7 years
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revuedepresse30 · 5 years
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Indiana Jones, Shakira, “Fight Club” : comment les néonazis se sont immiscés dans la pop culture
Dans une enquête très documentée sur la plus extrême droite (Les nazis ont-ils survécu ?, Seuil), l'historien Nicolas Lebourg retrace la trajectoire des mythes et des symboles autour du nazisme colportés par ses partisans et continuateurs. Au passage, il fait remarquer que certains d'entre eux, constitutifs de la “contre-culture” des croisés de la race blanche, s'immiscent aujourd'hui dans la pop culture. De l'Institut Héritage ancestral ("Ahnenerbe Institut") dont le Führer serait le grand maître dans Indiana Jones, au “Soleil noir” (signe adoré par les néonazis et popularisé par un ex-Waffen-SS devenu romancier, Wilhelm Landig) qui s'est accidentellement retrouvé sur la boutique en ligne de Shakira, en passant par le film Fight Club, que l'extrême droite s'est approprié : les Internationales noires se présentent au moins autant comme des entreprises culturelles, que politiques.
Dans votre livre sur les internationales fascistes depuis 1945, on se rend compte que les militants radicaux consacrent une bonne part de leur énergie à produire des biens culturels – romans, comics, fanzines, labels. Pourquoi la culture est-elle si importante pour ces militants politiques ?
Nicolas Lebourg - D’abord car ils sont fascistes et que le fascisme est fondamentalement une affaire culturelle : il s’agit de faire naître un homme nouveau, on invente un nouveau calendrier, on forge un Empire. Ensuite, car ils sont groupusculaires, et que face à l’impuissance médiatique, dès le début des années 1950, nombreux sont ceux qui décident d’investir dans ce que l’on nomme aujourd’hui le “combat culturel”. Enfin, parce que ce sont des marginaux et que les marges se polarisent, s’attirent, s’hybrident entre elles. Ainsi l’ancien Waffen-SS autrichien Wilhelm Landig, investi dans les Internationales néonazies, projette-t-il dans ses romans de science-fiction les trips ésotériques qu’il a intégrés à son aryanisme [c'est lui qui a lancé le “Soleil noir”, symbole d'un Âge où serait instauré un Quatrième Reich, et repris de manière fortuite par Live Nation, qui a produit la tournée de Shakira en 2018, ndlr].
Really, @shakira? A Black Sun?https://t.co/nsnOzKtScd pic.twitter.com/OmvocbO7a1
— AutAd (@AutiAd) June 19, 2018
Pratiquement au même moment où l’organisation Hydra apparaît dans l’univers Marvel (en 1965) pour représenter l’“Internationale noire”, un militant néonazi américain, George Lincoln Rockwell, créé des comics de propagande. Est-ce une manière de s’adapter à la société du spectacle ?
Rockwell est un dessinateur de comics raté, et il est assassiné par un de ses camarades lui-même dessinateur de comics où un super-aryen épure racialement l’Amérique. Rockwell a fondé son Internationale noire en 1962, et il veut un néonazisme mobilisateur, parlant à la nouvelle jeunesse avec des codes qui ne soient pas justes ceux des années 30 européennes. Et puis, si depuis 1963 Hitler est vivant dans les bédés Marvel, Hydra apparaît en 1965, un mois avant qu’un sénateur new-yorkais [Jacob Javits, ndlr] n’explique au Sénat le danger pour la démocratie que représenterait l’Internationale noire, composée de jeunes et vieux fanatiques... La radicalité et la pop culture ne vont cesser d’échanger, de discuter entre elles. Les militants s’adaptent à la société du spectacle mais en émanent aussi. D’ailleurs, le terme de “contre-culture” apparaît aux Etats-Unis en 1966 du côté des opposants de gauche à la guerre du Vietnam, mais il correspond parfaitement au phénomène culturel vécu aussi de ce côté-ci de la politique.
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Un autre idéologue d’extrême droite américain, William Pierce, est l’auteur d’un best-seller en 1978, baptisé The Turner Diaries (Les Carnets de Turner, en français). Quels effets sur le réel a eus ce livre ?
Cet ouvrage a eu un impact dans sa façon de mobiliser ses lecteurs pour la guerre raciale. Il a influencé l’auteur de l’attentat d’Oklahoma City, qui fit 168 morts en 1995, ainsi que Breivik, auteur des massacres de 2011 en Norvège. L’ouvrage a aussi mené à la création du groupe terroriste The Order en 1983. C’est David Lane, un de ses membres, qui a inventé les “14 mots” (en français : “Nous devons assurer l’existence de notre race et un futur pour les enfants blancs”) qui sont devenus une référence mondiale – d’ailleurs les terroristes qui ont frappé cet automne dans une synagogue aux États-Unis et cet hiver dans des mosquées en Nouvelle-Zélande y ont chacun fait allusion.
En France, vous évoquez notamment les livres mi-romanesques mi-historiques de Jean Mabire ou Marc Augier (alias Saint Loup) qui réhabilitent les Waffen-SS. Quelle a été l’influence de ces livres sur les jeunes militants ?
Forte, parce que dans les années 60-70 cela se vend extrêmement bien. Saint-Loup [collaborationniste, ex-Waffen SS, ndlr] joue du prestige de l’ancien SS et se donne le rôle du guerrier écrivain. En fait, s’il a survécu à la guerre c’est surtout qu’il s’est tenu plus près des biens juifs spoliés en France que du front de l’Est. Saint-Loup invente qu’il y aurait eu une société secrète aryenne depuis des siècles, et que le III Reich ne fut qu’un moment de cet ordre noir secret. C’est mobilisateur, ça vous déconnecte des crimes nazis en vous offrant des siècles d’histoire, ça vous donne de l’espoir car cela dit que les sectes groupusculaires changent le monde. Et puis Saint-Loup fait dans ses livres des mélanges entre le nazisme tel qu’il était, avec sa hiérarchie raciale entre Aryens et Slaves, et tel qu’il devient, avec un néonazisme qui croit dans l’unité de la race blanche. On retrouve aussi ces glissements chez Mabire : les idéaux néonazis sont prêtés aux personnages nazis de ses romans. Et ils sont de virils chevaliers d’une cause perdue, pas des agents d’un génocide. En fait, on remonte le temps : les militants croient que le nazisme serait à l’image qu’ils ont de leur néonazisme. C’est pourquoi le néonazisme ressemble souvent plus à sa représentation pop culturelle qu’aux rêves d’Hitler.
Vous expliquez que ces militants radicaux cherchent à connecter les marges entre elles. Est-ce la raison pour laquelle il y a des rencontres entre certaines scènes musicales et le milieu skinhead ? Vous citez même une Internationale skinhead, les Hammerskins, qui ont emprunté leur nom et leur symbole au film The Wall des Pink Floyd. Pourquoi donc ?
Les Hammerskins sont nés à Dallas en 1986 et ont essaimé dans les pays de l’Est dans les années 1990, pour implanter une contre-culture suprémaciste dans les milieux souffrant de la désindustrialisation. Dans ces milieux, se déclarer nazis, c’est se dire blancs racistes et violents avant tout - cette provocation allant ici avec une revendication du discours nazi du personnage de The Wall, mais avec une symbolique qui joue avec la pop culture plus qu’avec le nazisme historique. Ceci dit, ces hybridations entre marges sont aussi marginalisantes à un certain niveau. Lorsqu’en 1996 de jeunes néonazis proches des Hammerskins profanent une tombe à Toulon pour enfoncer un crucifix à l’envers dans le thorax de la défunte et lui défoncer le visage, ou que, quelques semaines après, un de leurs amis assassine un curé de 33 coups de couteau, on est dans des faits qui sont politiquement construits, mais dont l’effet est antipolitique tant ces personnes se séparent elles-mêmes de la société.
Pourquoi l’extrême droite a-t-elle fait de Fight Club l’un de ses films cultes ?
On est vraiment dans la mise en abyme. Le roman et son adaptation filmique sont des chefs-d’œuvre qui au fond parlent amplement des débuts du fascisme, quand il porte encore une dimension subversive, et quand les artistes futuristes y participent. Fight Club allie cela à une critique de la société matérialiste de l’Amérique ayant gagné la guerre froide. Ces dimensions de haine du monde moderne, de rejet de l’aliénation matérialiste, d’apologie par les personnages de leur microsociété organique, sont un usage extrêmement subtil de l’histoire du fascisme. A l’extrême droite radicale, cela a fait que beaucoup ont considéré que c’était un film pour eux : même s’ils ne connaissent pas forcément tous l’histoire du premier fascisme, ils ont ressenti cette énergie à juste titre.
Vous considérez le film Iron Sky comme l’aboutissement d’un processus d’intégration des représentations des nationalistes-européens à la pop culture, mais vous soulignez que la référence politique au nazisme est inefficiente. L’affaire politique est donc classée ?
Iron sky n’est pas qu’une satire délirante. Le scénario montre que ses auteurs connaissent très bien toute la production ésotérique, conspirationniste et pop culture à propos du nazisme. Et, chose formidable, le film en parlant d’un Quatrième Reich planétaire et américano-centré, est une production australo-germano-finlandaise : on est complètement dans la question de la globalisation, déjà totalement posée dans la façon dont les Internationales noires, en rêvant d’une unité mondiale de la race blanche, étaient sorties des problématiques nationalistes. En revanche, ce que fut le nazisme, le fantasme d’un parti milice accouchant d’un homme nouveau, maître d’un empire pluri-continental, en finissant une guerre raciale multimillénaire, oui, c’est une affaire close.
Ce qui est devant nous, c’est l’ombre de ses redéploiements. Pendant des décennies l’idée qu’un projet mondialiste organisait la destruction de la race blanche par la société multiethnique était répétée dans les Internationales noires. Sans, comme elles, dire que c’est l’œuvre d’un complot juif, c’est une idée qui se dit aujourd’hui sur les ondes et dans les salons de la bourgeoisie, en invoquant le vocable de la Résistance, et non les éléments du nazisme. Alors l’histoire ne se répète pas, nous ne vivons pas le “retour des années 30”, mais ça ne veut pas dire qu’il n’y a pas à portée de main des massacres au nom de la race.
Propos recueillis par Mathieu Dejean
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Les nazis ont-ils survécu ? Enquête sur les internationales fascistes et les croisés de la race blanche, de Nicolas Lebourg, Seuil, 320 p., 20€
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ragazzoarcano · 20 days
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“E molte volte, in effetti, l'unica colpa che hai è il senso di colpa che non dovresti avere.”
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Martedì 7 febbraio ❄️🌞
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makputelli-blog · 4 years
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E' possibile diventare ricchi con un corso on line? Scopriamo i "segreti" dei venditori di corsi con Germano Milite.
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stiri-noi · 4 years
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Ziua în care ţarul Petru cel Mare impunea impozitul pe bărbi
Se spune că, undeva, în registrele administrative ale statului american Massachusetts există o taxă foarte aspră pentru purtătorii de barbă. Însă, de multe ori, astfel de zvonuri despre legi bizare şi vechi date de diverse state americane în urmă cu 150-200 de ani sunt simple legende urbane.
Citeşte şi Detaliul incredibil scos la iveală după 20 de ani de la moartea Prinţesei Diana. Cine ar fi, de fapt, adevăratul vinovat: ”Plănuieşte un accident în maşina mea”
  Citeşte şi O descoperire răstoarnă tot ce se ştia despre Chivotul Legământului, menţionat în Biblie ca fiind adăpostul celor 10 Porunci ale lui Dumnezeu. Cercetătorii susţin că ar fi avut un conţinut păgân
  Din fericire, istoria are ascunsă în maneca ei şi un exemplu concret şi verificabil, referitor la o asemenea taxă, iar pentru acesta trebuie să îi mulţumim ţarului Petru cel Mare al Rusiei (1672 – 1725). Lui Petru I i s-au atribuit toate atributele posibile, de la „radical” la „nebun”; totuşi, taxa impusă pe barbă începând cu 5 septembrie 1698 este de natură să îl clasifice fără echivoc în cea din urmă categorie. În plus, ca o dovadă adiţională a faptului că, din prea mare dragoste (sau obsesie) pentru modernizarea Rusiei, ţarul ura efectiv bărbile, acei bărbaţi care nu renunţau nici în ruptul capului la podoaba facială şi acceptau să plătească taxa erau, totuşi, constrânşi să poarte medalii care atestau public faptul că barbile lor sunt absolut ridicole.
O revenire neaşteptată a urii faţă de barbă a avut loc în România, în perioada comunistă, când bărboşii nu erau priviţi cu ochi buni de Miliţie, pentru că erau consideraţi intelectuali şi potenţial periculoşi pentru regim.
Descoperă vă prezintă principalele semnificaţii istorice ale zilei de 5 septembrie:
1666 – Se termină Marele incendiu din Londra: 10.000 clădiri, inclusiv Catedrala Saint Paul din Londra, sunt distruse, însă numai 6 oameni au murit;
1698 – Ţarul Petru cel Mare al Rusiei a introdus un impozit pe bărbi, cu excepţia clerului şi a ţărănimii, pentru a-şi determina poporul să renunţe la obiceiurile orientale;
1725 – Nunta regelui Ludovic al XV-lea al Franţei cu Maria Leszczyńska;
1905 – Sub medierea preşedintelui SUA Theodore Roosevelt, războiul ruso-japonez a luat sfârşit prin semnarea tratatului de la Portsmouth;
1914 –  Primul Război Mondial: A început prima bătălie de pe Marna, în care au murit 550.000 de soldaţi, după ce armata franceză a atacat armata germană care avansa spre Paris;
1916 – Primul Război Mondial: A început Bătălia de la Bazargic;
1939 – Japonia şi Statele Unite îşi declară neutralitatea în „războiul european”;
1940 – Suspendarea Constituţiei din februarie 1938; regele Carol al II-lea cedează generalului Ion Antonescu principalele prerogative regale;
1944 – Armata a IV-a română opreşte ofensiva germano-ungară din centrul Transilvaniei;
1972 – JO de la Munchen: Opt terorişti arabi, reprezentând grupul militant „Septembrie Negru”, au pătruns în Satul Olimpic, au ucis 2 membri ai delegaţiei Israelului şi i-au luat ostateci pe alţi 9. În timpul operaţiunii de salvare au murit ostaticii, 5 terorişti şi un poliţist.
Articolul Ziua în care ţarul Petru cel Mare impunea impozitul pe bărbi apare prima dată în Descopera.ro.
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im-myown-anchor · 7 years
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Germano Milite
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ma-pi-ma · 7 years
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E quindi lo vuoi sapere cosa sei tu per me, ora?
Tu sei come quando ti lanci sullo scivolo e desideri di risalire le scale ancora prima di finire la volata verso il basso.
Tu sei l'altro giro.
Tu sei come quando da bambino sali su una giostra, completi la corsa e urli al tuo papà... un'altra volta.
Tu sei l'altro giro, sei l'emozione che non mi stanca mai, che non voglio finire mai di provare.
Sei il mio altro giro, sei la mia voglia perpetua e bambina.
Germano Milite
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hoimparato · 7 years
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“Tu sei come quando ti lanci sullo scivolo e desideri di risalire le scale ancora prima di finire la volata verso il basso. Tu sei l'altro giro. Sei come quando da bambino sali su una giostra, completi la corsa e urli al tuo papà: "Un'altra volta!". Tu sei l'altro giro, sei l'emozione che non mi stanca mai, che non voglio finire mai di provare. Sei il mio altro giro. La mia voglia perpetua e bambina.”
(Germano Milite)
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