Tumgik
#béton armé
memorabilia-memoria · 4 months
Text
Tumblr media Tumblr media
Spaceship or HLM ?
La défense, janvier 2024
80 notes · View notes
wirsindesnicht · 8 months
Audio
1 note · View note
rizwans · 10 months
Text
ia et rpg.
je suis ébahie de voir les gens qui créditent chatgpt dans le disclaimer de leurs forums. c’est un peu comme si vous passiez des avatars de votre créateur.ice préférée à la moulinette de midjourney (sans son consentement, évidemment) pour obtenir des avatars du même style et que vous créditiez l’algorithme. si vous utilisez chatgpt dans un contexte d’écriture créative, soit, c’est votre choix (but why... où le plaisir d’écrire là-dedans ?). mais s’il vous plaît, ne confondez pas crédits et disclaimer. vous devez prévenir vos utilisateurs du fait que le contenu a été rédigé par une IA, pas remercier chatgpt que vous venez de nourrir avec votre propre imagination et qui ne fait que régurgiter que la tambouille que vous lui avez servie. je n’écris pas ce message pour créer du drama, absolument pas ! je peux comprendre l’attrait d’un robot capable de rédiger le règlement du forum en genre 5 secondes (vraiment). mais dans un contexte où les artistes et les créateur.ices se font voler leurs créations sans leur consentement, où les scénaristes d’hollywood sont en grève pour obtenir des conditions de travail décentes, où marvel, une entreprise qui brassent des milliards de dollars, refuse de payer des artistes et assume complètement le fait d’outsourcer l’outro de secret invasion à une IA sous couvert du fait que ça “collait” au thème (il a bon dos, le thème), où des entreprises commencent à développer leur midjourney local pour se débarrasser des concept artists plutôt que d’améliorer les conditions de travail et payer des salaires décents à des gens qui ont des années d’expérience et de pratique derrière elleux, réfléchissons cinq secondes au véritable but des entreprises derrière ces IA : amasser le plus de data possible gratuitement pour ensuite revendre leurs services à des entreprises. pensez à tous ces personnes qui écrivent vos livres favoris, dessinent vos mangas préférés, produisent vos jeux vidéo cultes, remplacés par un bouton et un prompt de quelques mots. travaillant dans le jeu vidéo, je peux vous dire que c’est extrêmement réel. la place des créatifs.ves dans ce milieu a toujours été précaire, et elle vient de le devenir encore plus.  vous vous demandez sans doute en quoi ça concerne notre hobby ultra-niche et je ne suis peut-être qu’une vieille conne qui refuse d’entrer dans la modernité (mais je vais me donner le bénéfice du doute !). le rpg écrit est une expression artistique comme une autre. chaque rpgiste derrière son écran a son style et cherche à exprimer ou à explorer quelque chose avec ses personnages (un autre débat, sur lequel d’autres se sont exprimés ou s’exprimeront plus éloquemment que moi). pourquoi confier cette expression à une IA ? avons-nous si peu confiance en nos talents respectifs ? personnellement, je connais des plumes exceptionnelles. hilarantes. émouvantes. originales. fluides. brutales. parfois tout ça en même temps. des plumes qu’un tas de tech bros seraient ravis de pouvoir revendre et exploiter, sans payer un centime ni créditer une seule seconde. des plumes qui appartiennent à de vrais humains et qui devraient le rester, des plumes qui sont le témoignage, qu’importe l’échelle qui peut sembler dérisoire, de vos pensées, votre style, votre intelligence. trust your goddamn self. et personnellement, si c’est le fait d’écrire un règlement pour la 36ème fois qui fait chier (ce que je comprends tout à fait), je propose de contre-attaquer et de faire appel au pire cauchemar des capitalistes : l’open source décentralisé. je rédige le squelette d’un règlement, limite texte à trous, je le poste ici et vous pouvez le c/c à foison en y rajoutant ce que vous avez envie d’y rajouter. pareil pour ces textes génériques et chiants de demande de DC, de réservation, etc etc... si on s’y met tous.tes, on pourrait se créer une banque de documents où chacun.e peut piocher à son gré. c’est une oeuvre collective, commune et volontairement libre-service. on part du principe qu’on travaille tous.tes main dans la main pour se rendre un service commun, et on n’en parle plus, pas besoin de crédits.  ne sous-traitons pas notre imagination à des machines. nous méritons tous.tes mieux ! (ps. et je sais que ça peut sembler hypocrite de parler de vol quand le monde du rpg repose un entre-deux gris en ce qui concerne le droit à l’image. mais entre david et goliath...)
111 notes · View notes
information-2-0 · 7 months
Text
0 notes
memoire2cite · 18 days
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
93 Bondy 1954 les grands ensembles HLM, terre d’accueil...Les premiers HLM datent de 1925-1930, mais au nord de la ville, leur construction ne commence que dans les années 1950-1960. A cette période d’urbanisme galopant, les promoteurs achètent les terres du nord encore disponibles pour y construire de grands ensembles immobiliers. En 1954, Bondy compte 22 411 habitants, la ville en comptera 51 653 en 1968, soient plus de 2 000 nouveaux habitants par an ! De nouveaux quartiers flambant neufs accueillent des populations migrantes chahutées par le vent de l’histoire, des pieds noirs, puis des familles immigrées d’Afrique du Nord, du Portugal, et d’Afrique sub-saharienne, notamment du Mali. Ville dynamique, marquée par des modes d’urbanisme contrasté, Bondy a ainsi toujours fait figure de terre d’accueil. C’est aujourd’hui de cette complexité urbaine et de cette mixité humaine que la ville tire sa richesse et entreprend un projet ambitieux de renouvellement urbain. C’est au tout début du 19e siècle, lors des derniers soubresauts de l’Empire Napoléonien, que Bondy va se retrouver sur le devant de la scène géopolitique européenne. En 1814, alors que Napoléon Ier rentre en France avec une armée battue, l’Europe entière coalisée contre l’Empire, est à ses trousses. 700 000 Russes, Prussiens, Autrichiens, Suédois, Bavarois, Wurtembergois, Hollandais, Allemands franchissent le Rhin et marchent sur Paris. Le 27 mars, le corps d’armée du général prussien Yorch vainc, dans la forêt de Bondy, les corps français. Temporairement occupé par les troupes russes, Bondy devient le quartier général de l’Empereur de Russie et du Roi de Prusse. La défaite française, lors de la Bataille de Paris, marque la fin des opérations militaires de la Campagne de France et conduit à la première abdication de Napoléon puis la Restauration des Bourbons. Le 10 avril, des détachements des six premières légions de la garde nationale de Paris se rendent à Bondy pour y recevoir Son Altesse Royale Monsieur, frère du roi Louis XVIII. En 1802, les travaux de percement du Canal de l’Ourcq, voulus par Napoléon 1er pour apporter l’eau à Paris, est un fait marquant de son urbanisme et va permettre à partir de 1821, date à laquelle s’achèvent les travaux, l’installation d’industries, notamment des scieries puis des centrales à béton, qui seront utiles plus tard pour construire des logements. En 1860-1870, l’arrivée du chemin de fer et de la ligne Paris-Strasbourg marque un tournant dans l’évolution démographique de la ville. Beaucoup d’Alsaciens et de Lorrains qui n’ont pas voulu devenir allemands et qui travaillaient en nombre pour les chemins de fer, s’installent dans le quartier près de la gare. Au nord de la ville, des paysans cultivent toujours leurs champs, notamment des maraîchers, tandis que l’urbanisme se développe vers l’ouest et le sud. En 1905, une partie de la ville devient Les Pavillons-sous-Bois. C’est à cette date que se déploie la zone pavillonnaire du sud de la ville avec des maisons en meulière, typique de la région parisienne.
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
6 notes · View notes
Text
Tumblr media
Immeuble Art Déco de l’architecte Charles Lefebvre en béton armé avec un revêtement en mosaïque de grès émaillé des céramistes Alphonse Gentil et Eugène Bourdet (1900), boulevard de Strasbour g à Paris, avril 2024.
4 notes · View notes
ekman · 6 months
Text
Tumblr media
Ah, le joli mois d’octobre ! La déplorable situation au Proche-Orient – disons en Palestine pour préciser les choses –, révèle, en Occident essentiellement, les peurs, les lâchetés, voire les renoncements de bien des populations et de leur gouvernement. Ce que j’observe, avec amusement autant qu’avec inquiétude, c’est l’immaturité des réactions de la plupart des nations de “l’Occident global” face aux derniers développements de problèmes pourtant vieux comme Mathusalem. Le fond, comme la forme, sont désespérants. L’Europe, et la France en particulier, attestent l’effacement définitif de leur rôle historique dans le bassin Levantin. Les médias, comme c’est leur habitude, hystérisent les événements et prennent aveuglément le parti de leurs actionnaires. “Israël ! Israël ! Israël !” entends-je partout, à tout bout de champ, tout le temps. Il faut défendre Israël avec les Israéliens, parce qu’Israël, c’est le rempart de notre civilisation contre les sauvages musulmans. Quand Israël sera tombé, c’est tout le continent qui sera attaqué, la nuit, à l’aube, au couteau, à l’AK. Nous serons tous pogromisés, kippa ou pas, pour le seul crime d’être des kafirs.
Je résume là ce qui me semble être, plus ou moins explicitement, plus ou moins bruyamment, le mot d’ordre – ou plutôt la “parole de panique” – qui s’installe sous nos latitudes. Et je joins quelques capsules mnésiques liées à ces événements :
• Il est navrant le spectacle de cette aube automnale si belle qui dévoile le défilé des assassins à moto, bouchers amateurs partis massacrer des familles endormies. Éternel recommencement de l’insupportable injustice frappant les populations prises à parti, flinguées, étripées, égorgées – cadavres et scènes de crimes arrangés à des fins de terrorisme par l’image. “Allah u-akbar”, comme toujours, ici ou là-bas. Tout  a été filmé, par les caméras d’inutile surveillance des victimes et les go-pros des instigateurs. Tout a été montré. • Scènes à peine croyables – je dis bien “à peine croyables” – des commandos palestiniens faisant détonner des explosifs contre des murs en béton et des rideaux de barbelés pour pénétrer des périmètres de sécurité placés sous surveillance automatique 24/7. Les drones qui ont largué leurs charges explosives au-dessus des relais de communication et autre appareil de détection, volent sans ambage d’un pylône à l’autre. Pouvait-on être plus prévisible ? Des ailes volantes motorisées sillonent le ciel, ouvrant le feu sur tout ce qui court en dessous. Pouvait-on être moins discret ? Et pourtant, la petite base armée prise d’assaut regorge de cadavres en slip, tirés du lit dans la panique, la plupart n’ayant même pas eu le loisir de défendre leur peau face aux assaillants brailleurs.
• Grand rassemblement décadent, scènes et chapiteaux. Les fumeurs de oinjes, les raveurs, les filles et fils de bobos, les zoneurs à dreadlocks et leurs meufs à cheveux bleus fuient dans le désert pour échapper au flinguage venu du ciel. Grand Bataclan à ciel ouvert. On a tous rêvé de débarquer dans une rave en Hummer pour remettre un peu d’ordre. Mais là, je vois courir tous ces hébétés et je pense aux parents qui, dans quelques heures, recevront qui un coup de téléphone, qui la visite d’amis ou d’officiels venus leur annoncer ce qu’aucun parent, jamais, ne devrait être contraint d’entendre.
• Un prof a été égorgé dans un lycée français, le deuxième et certainement pas le second. Héros, hommage, hugs. Les trois “H” du cancre élyséen. À la lumière des “massacres du Hamas”, de nombreux chroniqueurs ne peuvent s’en empêcher : mais combien sont-ils chez nous, nous les braves et pacifiques Français, à attendre le grand soir et son fameux croissant de lune ?
• Prendre parti. Ceux qui déplorent les Palestiniens écrasés sous leurs immeubles à coups de bombes sont d’infects islamo-collabos. Les chroniqueurs, chefs de plateau et autres inutiles s’agitent bruyamment, distribuent des bons points et offrent à qui en veut une tournée de moraline. Ça va de “j’ai d’excellents amis Juifs” à “et la Shoah alors, vous en faites quoi ?”. Pathétiques agitations, pitoyables guignolades.
• Je n’entends quasiment personne rappeler ce qu’était encore la diplomatie française d’après guerre. Ce que nous avions perdu en puissance militaire, nous pouvions encore le compenser en influence. Le refus d’être inféodé, comme l’obsession de la souveraineté, allait favoriser l’émergence d’une autre voie – le non-alignement –, unique chemin vers la préservation d’une forme d’indépendance géopolitique dans un monde violemment bi-polaire. L’exceptionnel domaine ultra-marin de la France lui conférait alors une dimension internationale quasi naturelle, préservée des affres d’une décolonisation dramatique. Que reste-t-il de tout cela ? Rien. Absolument rien. La France a perdu partout, elle qui est maintenant devenue une colonie du tiers-monde, le champ d’expérimentation européen du globalisme assassin.
• Pathos, pathos, pathos ! J’ai du pathos à pas cher, en voulez-vous ? L’heure est donc à l’effroi et à l’indignation. Idéal pour nous rappeler que le peuple juif est un peuple héroïque. Légèrement dominateur – comme nous le rappelait le grand Charles – mais courageux, combattif, résolu. Idéal aussi pour déshumaniser le Palestinien de base et fermer les yeux sur les tonnes de bombes balancées sur des gens qui rêvaient sans doute d’égorger des Juifs mais qui, étant donné leur condition physique nouvelle, n’auront pas le temps de passer à l’acte. Je sais, je fais du mauvais esprit. Précisément. Ce qui est triste, là-dessous, c’est le cautionnement inconditionnel de la scénarisation tous azimuts. Ces gens-là, Monsieur, n’ont honte de rien. Ceux qui montrent avec le regard fixe, la mâchoire d’acier, le geste calme, et ceux qui regardent, le teint livide, la bouche ouverte, l’œil mouillé et la gorge nouée. Images de salle à manger transformée en abattoir, de jardinet jonché de tripaille, de trainées de sang chaud dans les couloirs. Ça change des parents gris qui beuglent comme des bougres avec le cadavre tout cendré de leur môme de quatre ans et demi dans les bras. “Oui, mais en même temps, il y a les agresseurs et les agressés, hein, non ?”. Et dire qu’ils sont payés pour oser proférer de telles ignominies.
• François Cevert est mort le 6 octobre 1973 sur le circuit de Watkins Glen. C’était le jour du commencement de la guerre du Kippour. Un demi-siècle plus tard, alors que je raconte à qui veut bien m’écouter la carrière fulgurante et la mort tragique de celui qui fut mon idole, le Hamas fourbit ses armes pour son attaque du 7 octobre. Coïncidence ? Je crois bien, oui.
J.-M. M.
9 notes · View notes
wiisemary · 1 year
Photo
Tumblr media
Béton Armé version 22
Un peu de néon aux couleurs de printemps ✨
8 notes · View notes
jordi-gali · 1 year
Text
Tumblr media Tumblr media
Boris CHOUVELLON
Une piscine en béton armée conçue et montée à l’emporte pièce se détache sur le ciel, dans un dispositif display, semblable à ceux que l’on trouve au bord des routes et dans les zones commerciales. Point bleu que l’on observe depuis les avions et Google Earth, signe d’une certaine consommation à laquelle tout le monde veut accéder, induit de nouveaux rapports au motif ainsi qu’au genre paysage. Cette sculpture absurde et ambiguë devient un volume, une forme, réinventant le geste d’une fouille archéologique, celle des ruines modernes peuplant aussi bien les villas méditerranéennes, celles d’Hollywood et d’ailleurs. http://documentsdartistes.org/artistes/chouvellon/repro6.html
12 notes · View notes
Text
Tumblr media
MARDI 18 JUILLET 2023 (Billet 2 / 3)
Article paru tout récemment sur le Site « actu.fr/ile-de-france/paris » :
« Cette église de Paris n'est pas une des plus connues de la capitale, elle est pourtant magnifique !
Dans le 15e arrondissement de Paris, l'église Saint-Christophe-de-Javel est assez surprenante. A la fois par sa construction et ce qui attend le visiteur une fois la porte poussée.
Paris possède de magnifiques églises. Certaines très connues comme la Madeleine par exemple, d’autres beaucoup moins, à l’image de Notre-Dame du Travail dans le 14e arrondissement de la capitale ou de la bien cachée Saint-Ignace. Dans le 15e arrondissement, à proximité du Pont Mirabeau, l’église Saint-Christophe-de-Javel fait partie de ces édifices qui valent le détour. 
Une des églises de Paris les plus insolites
Située dans le quartier Javel, au croisement entre la rue Saint-Christophe et la rue de la Convention, cette église réserve des surprises. Pour la construire de 1926 à 1936, l’architecte Charles-Henri Besnard utilisa du béton armé préfabriqué.
« Nous avons, en effet, construit cette église suivant une formule très industrielle, expliquait l’architecte. Elle est constituée au moyen d’éléments de construction en béton armé, fabriqués à pied d’œuvre et sortant en série de grands moules exécutés avec la plus grande précision. Ces éléments ont été montés jusqu’à la place qu’ils devaient occuper dans la construction, puis assemblés avec les éléments voisins. C’est là une application d’une technique toute nouvelle du béton armé préfabriqué à laquelle l’église Saint Christophe de Javel doit son caractère très spécial ». 
Saint-Christophe étant le patron des voyageurs, l’église lui rend hommage à plusieurs reprises.
La peinture murale du chœur, œuvre de Henri-Marcel Magne, le représente entouré de voyageurs implorant sa protection, et de moyens de locomotion modernes (train, paquebot, ballon, avion, automobile), inspirés par les industries de transport du quartier dont les usines Citroën toutes proches.
Douze panneaux peints par Jacques Martin-Ferrières retracent sa vie. L’église possède également un vitrail de Jacques Grüber et des verres moulés de Max et Jean Braemer.
Le fronton de l’église, en brique et béton, est orné d’une grande statue du saint, œuvre de Pierre Vigoureux. 
L’église est inscrite à l’inventaire des Monuments Historiques depuis 1975. »
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Nous n’irons pas jusqu’à dire qu’elle est « magnifique », mais surprenante, oui. Et au fil des années, attachante... Par contre, dans l’article, ils ont oublié de noter que la claustra de Saint-Christophe de Javel sert de décor à notre terrasse et que nous l’admirons tous les jours… surtout aux beaux jours !
Tumblr media
2 notes · View notes
wobblynath · 1 year
Text
PERDU ENTRE DEUX MONDES
MARDI 29 NOVEMBRE
J’étais assis là, rasant le bitume face à mes pensées qui embrumaient ma tête. Petit à petit, j’ai sombré dans le chaos, un sentiment inexplicable et inarrêtable s’est emparé de mon âme, brouillant tous les signaux extérieurs, les discussions devenaient monotones et lassantes. Les gens autour n’avaient plus vraiment d’intérêts, ils semblaient décorer la pièce et le monde qui m’entoure, ce sentiment gênant et inconfortable m’a perturbé. J’étais subjugué, mais non pas fasciné par ce qu’il m’arrivait, incapable de rien, de parler n’y même de reprendre le contrôle sur ce qui m’arrivait, comme si j’étais prisonnier de mon corps, criant à l’aide dans cette cage en béton armé. Pourtant rien n’y personne ne pouvait me comprendre n’y même m’entendre. Rien n’était à envier, j’étais l’esclave de mes pensées, de mon être tout entier, perdu à mi-chemin entre ce qui était réel et ce qui ne l’était pas. Dans un monde semblant être le mien, je déambulais les allées du centre commercial, essayant tant bien que mal de me reconnecter avec les autres, de ce qui m’entoure, de moi même. À l’idée, j’étais pris de vertige, mais j’étais conscient de ce qui m’arrivait, c’était réel, j’en avais conscience, et c’était là, la seule chose réconfortante. Peut-être qu’à y repenser, je faisais une baisse de tension et que sur le coup de la panique, j’ai frissonné à l’idée de sombrer à nouveau dans ce cercle vicieux et inconfortable à vivre. J’ai l’impression d’être perpétuellement sur une balance entre le bien et la peur, et pour le peu que je penche un peu trop dans mes pensées, je bascule dans la peur. Prenez un bout de papier, chiffonnez-le, remettez-le en place, par toutes les manières possibles et meme si vous y mettez de l’effort, il restera chiffonné, suis-je moi aussi comme ce bout de papier ?
7 notes · View notes
memorabilia-memoria · 2 months
Text
Tumblr media
Montreuil, mars 2024
4 notes · View notes
by-nukaven · 1 year
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Bidouillages pour des changements de kit suite à la MAJ de Béton Armé ✨
3 notes · View notes
ponctuel · 1 year
Quote
Tu fais semblant de dormir, t’essayes de tromper la vie. Tu te dis que si tu respires lentement, très lentement, tu arriveras peut-être, à la fin d’une expiration, à te passer d’oxygène. Définitivement. Prenant une décision radicale pour ton être, ton corps en planche sur le matelas s’enfonçant sous les draps, à travers les couches de mousse, coulant sous le lit, dans le lino, le béton armé, chutant étage après étage, s’immergeant dans les strates du sol, de l’humus à la roche mère. Volontairement se noyer. Mais tu n’as pas de pierres assez lourdes dans tes poches. Et tu sais nager. Et tes poumons traîtres te ramènent à la surface, inlassablement.
Diaty Diallo, Deux secondes d’air qui brûle
3 notes · View notes
roseclavie · 12 days
Text
Parution du 1er numéro de Béton armé ! - Paris-luttes.info
0 notes
geniecivilpdf · 14 days
Text
Tumblr media
Compréhension des principes de conception des voiles et poutres-voiles en béton armé PDF Votre copie du pdf https://www.biblioconstruction.com/2024/04/blog-post.html Pour plusieurs des livres, l’application in Google Play ici https://play.google.com/store/apps/details?id=com.arabarticl.courspdf Groupe de Telegram https://t.me/biblioconstruction/394 Groupe de WhatsApp https://chat.whatsapp.com/KKD9emlLgpNGnwkwwzFBtl
civil #geniecivil #architecture #ingineer #4geniecivil #construction
0 notes