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#choix radical
dandanjean · 1 month
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Choix radical d’être
La vie va te permettre de faire des expériences inoubliables, si tu lui dis oui. Personne ne peut t’offrir la vie que tu désires, que tu sois seul ou avec une autre personne, c’est ton unique responsabilité de faire ce que tu dois faire. Même si tu es aimé et que tu aimes, la solitude sera en tout temps présente, mais tu peux faire de ton désir de vivre le partage de ton humanité. La personne…
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L’école impossible de la psychanalyse
Dans Notes towards the definition of Culture, TS Eliot fait remarquer que le plus souvent il n’y a pas d'autre choix que l’hérésie pour ne pas perdre la foi: c’est à dire que le schisme apparaît comme la seule façon de garder vivant l’esprit d’une religion: n’est-ce pas la seule solution avec ce qui se passe aujourd’hui avec cette psychanalyse qui n’a de psychanalyse que le nom?
L’enseignement lacanien ayant percé à jour la structure religieuse du Discours Capitaliste, seule une nouvelle “hérésie” revendiquant l'insupportable noyau subversif révolutionnaire du réel de l’inconscient, mis à jour par Freud, peut sauver ce qui est digne d’être sauvé de notre héritage freudo-lacanien: à savoir que c’est la société qui procède du refoulement et pas l’inverse, que la responsabilité du sujet est toujours engagée, que la rigueur logique, l'exigence éthique, l’accès au discours de l’analyste, etc. ont un prix: tirer d’abord au clair l’inconscient dont "je" suis (est) le sujet...
Si l’inconscient est bien un savoir sans sujet, un savoir qui ne se dit pas, un dire qui ne se sait pas, il n’est pas pour autant à considérer comme le lieu d’une sagesse immémoriale qui serait à chercher dans quelque profondeur cachée, l’inconscient est dans tout ce que je fais en tant que j’aurais été capable de le transmuter en dire, et s’il est effectivement structuré comme un langage, il n’en reste pas moins un bricolage astucieux constitué de fantasmes et de symptômes qui recouvrent le vide de l’inconsistance fondamentale du sujet comme de l’Autre.
Se libérer de la stupide injonction du surmoi à la jouissance présuppose de pouvoir saisir la pulsion de mort qui traverse notre fantasme, afin de battre la pulsion de mort avec la pulsion de mort elle-même, ce qui apparaît comme le seul moyen ...étant entendu qu’effectivement, «il n’y a pas d’autre entrée pour le sujet dans le réel que le fantasme.» (JL, Ornicar 29)
Le fantasme construit donc la jouissance dont nous sommes structurellement privés en l’attribuant à l’Autre (là reside la racine du racisme, de la manipulation, l’exploitation, etc.)
Ce que découvre le sujet en analyse, c’est son aliénation dans le fantasme comme «moteur de la réalité psychique», pour la psychanalyse, die Realität c’est la réalité psychique, en tant que c’est la division du sujet, il n’y en a pas d’autre, pas de révélation d’un au-delà de la réalité qui ne soit de fantasme.
La psychanalyse, c’est la réalité du sujet aliéné par son fantasme...
«La grâce d’aller chaque fois plus avant, plus nu en nommant le même objet de demi-jour qui amplement nous figure, c’est à la lettre reprendre vie.» (René Char, Fenêtres dormantes et porte sur le toit - Gallimard, 1979)
La différence entre le sujet de la philosophie et le sujet de la psychanalyse tient à la logique du fantasme.
L’analyse menée jusqu’à son terme logique permet de saisir:
• que la formule du fantasme $<>a est valable non pas au départ mais au terme d’une analyse
• que la reconstruction du fantasme fondamental en tant que tel consiste en un retournement de la pulsion en fantasme proprement dit
• qu’il faut l’acte analytique pour obtenir cette réversion de $<>D (la demande) en $<>a (le fantasme)
Par la différence d’écriture entre la demande et le fantasme, la psychanalyse met à jour l’écart creusé à jamais entre "les désirs" — c’est-à-dire la demande en tant qu’elle concerne "le service des biens" — et le désir.
Le mathème du fantasme $<>a se donnant à lire:
• $, sujet de l’inconscient représenté seulement par les failles du discours en tant qu’il est un effet de ce discours
incommensurable (plus petit et plus grand) à
• l’objet, qui n’est plus qu’un objet "symbolique", c’est-à-dire lui-même un signifiant...
Le manque de l’Autre étant radical, abyssal, impossible à combler, le sujet peut entériner le fait que son désir est en cause dans tout ce qui lui arrive, il ne peut plus dès lors se considérer "objet" de l’Autre...
Comme dit Samuel Beckett «Tout ce qui arrive, ce sont des mots.» qui n’exclut cependant pas l’équivoque signifiante...
ps: C’est seulement à partir de là que des actes (dans leur acception psychanalytique, à ne pas confondre avec l’acting out ou le passage à l’acte) deviennent possibles, actes en tant qu’effets du langage, impossibles à calculer...
nb: Le sujet n’abandonne pas pour autant son rêve de réalisation de la jouissance de l’Autre, ce en quoi il a raison, puisque la vie sexuelle repose sur cette croyance en une jouissance possible, mais il n’en sera plus tout à fait dupe...
(à suivre...)
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la joie & la rage
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Dans ce texte, je parlerai de mon rapport à la joie et à la rage d’un point de vue politique, et ce depuis mes intersections (artiste / Noir / métis / transmasc / au RSA / issu de classe moyenne basse ~ ouvrière / neurodivergent).  Avec recul, l’écrire m’a permis de chasser les dernières réminiscences de la queerness blanche que j’avais internalisée. Les milieux queers blancs sont ceux qui prennent le plus de place et ont le plus de visibilité en France (pas que). Quand on ne s’identifie pas comme une personne cis het, on finit toujours par s’y frotter. Souvent ces espaces prônent un rejet (ou plutôt un effacement) des privilèges de chacun·e en voulant déconstruire le patriarcat et le capitalisme. Se crée alors une ambiance propice à la honte et à la culpabilité dès lors que l’on possède un privilège. Je ne crois pas que ce soit une façon saine de gérer le problème (et ces dynamiques créent des situations absurdes d’ailleurs). Par extension, c’est aussi quelque chose qui peut se retrouver au sein de milieux 2slgbtqia+ racisés. M’enfin bon, c’est un sujet que je garderai pour une prochaine fois. Quoi qu'il en soit, le fait de m’être construit en partie avec ce type de narratif a fini par générer en moi un sentiment de culpabilité et de honte quant à mes choix de (sur)vie matérielle qui n'allaient pas toujours dans le sens de la lutte anticapitaliste*.
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Hier j’ai réalisé que je culpabilisais de poursuivre mon confort plutôt que de le sacrifier au profit d’un lifestyle plus radical et militant. & je me sentais coupable d’avoir opté pour le Chemin de la joie, plutôt que celui de la rage. 
Je ne cherche plus la pureté militante dure et parfaite. Je cherche à être heureux et pour moi ça nécessite d’avoir accès à un minimum de confort et de stabilité économique. Pouvoir faire des courses, manger à chaque repas, manger copieusement si je le souhaite, m’acheter des habits, investir dans du matériel de création, aller au restaurant, avoir la possibilité de faire des activités payantes avec mes ami·e·s/x, payer mes soins choisis de testostérone, avoir un suivi psy ou psychiatrique quand j’en ai besoin, partir en vacances, retourner voir ma famille à la Réunion, globalement : avoir du choix de consommation, des possibilités d'actions. Je ne suis pas encore parvenu à atteindre tous ces objectifs (pas de surprises en étant au RSA et handi lol x)), mais j'y compte bien.
Et ben, y a une partie de moi qui avait honte de ce désir de confort. 
“Mais ce n'est pas un échec mon brave et joli George. Ce n'est pas un échec de vouloir prendre soin de soi et de sortir du hardship. T’es pas moins politisé pour autant. Tu continues à créer des espaces pour, et à te mobiliser avec tes communautés en plus. C’est juste que t’as compris et que tu respectes que t’as besoin d’un confort et d’une routine pour bien fonctionner et pour être heureux, tout simplement. And that’s ok. Tout comme il y en a qui s’adonne à cultiver la rage, à la chérir et à la faire fructifier lors d’actions politiques et militantes, toi tu t’adonnes à cultiver la joie et les rires à travers ton art que tu partages avec tes communautés.” 
Je ne considère pas la rage et la joie comme des valeurs antagonistes. Elles partagent au cœur la même notion et nourrissent le même élan d’espoir. La rage et la joie sont indispensables pour fonctionner en tant que communauté opprimée. Et même, si je pousse la joie plus loin, je veux aussi rentrer dans les côtes de l’insouciance, voire de l’ignorance (comme me disait Ibra en citant Kendrick Lamar : « Ignorance is a bliss »), parce que nous aussi on en a besoin. Cultiver la rage, la joie et l’insouciance, ça me semble être une base solide pour vivre heureusement sous un régime oppressif. Que ciels qui peuvent et veulent entretenir la rage le fassent et que ciels qui peuvent et veulent entretenir la joie et l’insouciance le fassent. C’est ça qu’est cool dans la communauté, chacun·e apporte sa pierre à l’édifice. On n’est pas obligé·e·s/x de tout faire ou de tout porter tout·e seul·e, tout le temps. On se complète.
La rage on peut : 
1) l’exprimer de façon brute en criant, en tapant dans des objets, en grognant, en cassant (lors de manifestations par exemple), ou encore 
2) l’exprimer partiellement en la transformant en art. Le problème c’est que quand on est Noir·e·s, on n’a pas le droit de s’exprimer pleinement dans la rue ou en public, alors on ne le fait pas. On a intériorisé le fait que prendre de la place ce n’est pas ce qu’on attend de nous, et prendre de la place concrètement c’est aussi nous mettre en danger de fait. Alors crier ! Frapper ! Agir en dehors du cadre normé / neurotypique et attendu de ce qu’un corps peut ou ne pas faire dans l’espace public – encore plus s’il s’agit d’un corps perçu comme noir – c’est très dangereux. 
Je pense à la police qui assassine, mais aussi aux fachos, et aux Karen en roue libre. 
Choisir de cultiver la joie plutôt que la rage, c’est une décision politique, mais c’est aussi une question de survie physique.
Par conséquent, il y a aussi un enjeu de survie mentale. Être enragé et ne pas avoir l’espace total pour exprimer sa rage (puisqu’on ne l’exprime que partiellement à travers la création artistique), c’est rageant. C’est comme des piles de journaux, de nouvelles douloureuses et assourdissantes, qui s’entassent dans une pièce, puis une autre, puis encore une autre, jusqu’à envahir tout le bâtiment et le faire péter de l’intérieur.
Moi, ma rage à une certaine période de ma vie, elle m’a mordu la main et ça m’a rendu malade dans moi. Malade de solitude et de tristesse. Au point d’en bâtir ma solitesse, ma forteresse de solitude, aux murs érigés hauts de méfiance et de colère qui ne laissaient passer personne, ni même une goutte d’Amour. A ce moment là, je flirtais régulièrement avec l’envie de me tuer. Une rage mal évacuée, ça peut me faire ça. 
Choisir de laisser ce dragon de colère dormir en paix, dans un jardin en fleurs aéré dans mon ventre, c’est pas un vrai choix au final. Oui, je pourrai décider de le laisser rugir, m’envelopper de ses écailles frémissantes et cracher de concert avec lui des glaires de feu. Mais en même temps ce serait consumer mes équilibres, brûler tous mes jardins au passage lentement cultivés, et me faire mourir de l’intérieur, à petits feux.
 Moi je choisis de vivre, de m’amuser et de kiffer le temps qu’on me donne sur cette planète. Je choisis d’aimer vivre, d’aimer cette vie, et de m’aimer. C’est un choix plus lourd qu’il n’y paraît. Être authentique envers moi-même et mon entourage, persévérer dans ma quête du bonheur, du respect, de l’honnêteté et de ma paix intérieure quand je fais partie des personnes à éliminer dans cette société : ça, c’est mon accomplissement révolutionnaire.
Pendant longtemps j’ai eu le rôle de celui qui (ap)porte la rage, quitte à choquer les autres mous du genou qui ne voulaient pas vraiment faire le taf ou appliquer les théories. Eh !! Maintenant je kiffe ! Faites vos devoirs vous aussi ! C’est moi qui régale ! Je vais m’asseoir peeeeeendant ! Et faire des jeux de société avec mes ami·e·s/x ! Bye x
Remerciements à Ibra, Nes, Soleil, Gilda pour leurs précieuses relectures et leurs encouragements. Love you!!! <3
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*Ajout du 16.04.2024.
je recommande l'émission de Kiyémis "Rends la joie" sur Médiapart, particulièrement l'épisode avec Fania Noël dans lequel elles pointent les limites des notions de "prendre soin de soi" et de "joie", labelisées comme étant forcément politiques ou formes de résistance.
Parmi les limites évoquées qui m'ont touché, il y a :
un rappel que les endroits de lutte sont avant tout des espaces qui se pensent en collectif
les notions de joie ~ de soin ne devraient pas se limiter à de la consommation, du matérialisme ou de l'esthétisme ; globalement à une récupération capitaliste
je cite Fania Noël : "ce qui serait honnête et radicalement honnête, c'est de se dire qu'on est des êtres humains qui désirent, qui veulent, qui aspirent à des choses qui ne sont pas forcément radicales ou révolutionnaires dans le sens d'un changement du système, et c'est juste ok. [...] Là où la tension est, c'est le fait que beaucoup de gens ont un malaise d'assumer ce qu'ils veulent."
Perdre de vue cette réalité c'est jouer le jeu du néolibéralisme
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Duodi 2 Germinal an CCXXXII
(Jeudi 21 mars 2024 / Thursday, March, 21, 2024)
🇨🇵 Texte en français et en anglais / Text in French and English 🇬🇧/🇺🇲
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Le calendrier républicain, adopté pendant la Révolution française, était une tentative de rompre avec le passé monarchique et catholique en instaurant un système de mesure du temps basé sur les valeurs républicaines et agricoles. Chaque jour du calendrier républicain était dédié à une plante, un animal, un outil ou un événement symbolique, reflétant ainsi les idéaux de la Révolution.
Le mois de Germinal dans le calendrier républicain français représente le renouveau et la vitalité de la nature au printemps. Du 20 mars au 19 avril, Germinal est le mois où la terre se réveille de son sommeil hivernal, où les bourgeons éclosent et où les premières fleurs colorent les paysages. Il incarne le début de la saison des semailles et le travail de la terre, symbolisant ainsi l'espoir et la promesse d'une nouvelle récolte. Germinal rappelle également les idéaux républicains de liberté, d'égalité et de fraternité, en invitant chacun à contribuer à l'essor de la société et à cultiver un avenir meilleur.
Dans le calendrier républicain français, le 2 Germinal est une date particulière dédiée à la célébration du platane, un arbre emblématique au sein de la nature et de l'histoire. Cette journée revêt une signification profonde, non seulement en raison de l'importance écologique du platane, mais aussi de son lien avec les idéaux révolutionnaires qui ont façonné la France moderne.
Le choix du platane pour le 2 Germinal n'est pas anodin. Cet arbre majestueux incarne des qualités qui résonnent avec les idéaux révolutionnaires. Tout comme la Révolution a apporté un renouveau radical en France, le platane symbolise la renaissance et la croissance. Son tronc robuste représente la stabilité et la résilience, tandis que ses feuilles larges offrent une protection et une ombre généreuse à tous ceux qui en ont besoin.
Pendant la Révolution française, les platanes ont souvent été témoins des événements historiques. Leurs branches ombragées ont abrité des réunions secrètes, des débats animés et des rassemblements populaires. Les révolutionnaires, cherchant refuge sous les frondaisons des platanes, ont discuté de liberté, de justice et de l'avenir de la nation. Ainsi, le platane est devenu un témoin silencieux mais puissant de l'aspiration du peuple français à une société plus égalitaire et juste.
Aujourd'hui, la célébration du platane le 2 Germinal dans le calendrier républicain français rappelle l'héritage de la Révolution et l'importance de préserver notre environnement naturel. Les platanes, avec leur beauté et leur utilité écologique, continuent d'enrichir nos villes et nos paysages. Il est crucial de protéger ces arbres remarquables en veillant à leur entretien et à leur conservation, perpétuant ainsi le lien entre passé révolutionnaire et présent écologique.
En conclusion, la journée du 2 Germinal dans le calendrier républicain français offre l'occasion de réfléchir aux liens entre la nature, l'histoire et les idéaux républicains. En honorant le platane, nous rendons hommage aux révolutionnaires qui ont façonné notre nation tout en nous engageant à protéger notre environnement pour les générations futures.
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The Republican calendar, adopted during the French Revolution, was an attempt to break with the monarchical and Catholic past by establishing a system of time measurement based on republican and agricultural values. Each day of the Republican calendar was dedicated to a plant, an animal, a tool, or a symbolic event, thus reflecting the ideals of the Revolution.
The month of Germinal in the French Republican calendar represents the renewal and vitality of nature in spring. From March 20 to April 19, Germinal is the month when the earth awakens from its winter slumber, when buds open, and when the first flowers color the landscapes. It embodies the beginning of the sowing season and the work of the land, symbolizing hope and the promise of a new harvest. Germinal also recalls the republican ideals of liberty, equality, and fraternity, inviting everyone to contribute to the development of society and to cultivate a better future.
In the French Republican calendar, the 2nd of Germinal is a special date dedicated to the celebration of the plane tree, an emblematic tree within nature and history. This day holds profound significance not only due to the ecological importance of the plane tree but also its connection with the revolutionary ideals that shaped modern France.
The choice of the plane tree for the 2nd of Germinal is not arbitrary. This majestic tree embodies qualities that resonate with revolutionary ideals. Just as the Revolution brought about radical renewal in France, the plane tree symbolizes rebirth and growth. Its sturdy trunk represents stability and resilience, while its broad leaves provide protection and generous shade to all in need.
During the French Revolution, plane trees often bore witness to historical events. Their shaded branches sheltered secret meetings, lively debates, and popular gatherings. Revolutionaries, seeking refuge beneath the plane tree's canopy, discussed freedom, justice, and the nation's future. Thus, the plane tree became a silent yet powerful witness to the French people's aspiration for a more egalitarian and just society.
Today, the celebration of the plane tree on the 2nd of Germinal in the French Republican calendar recalls the legacy of the Revolution and underscores the importance of preserving our natural environment. Plane trees, with their beauty and ecological utility, continue to enrich our cities and landscapes. It is crucial to protect these remarkable trees by ensuring their maintenance and conservation, thereby perpetuating the link between the revolutionary past and the ecological present.
In conclusion, the day of the 2nd of Germinal in the French Republican calendar provides an opportunity to reflect on the connections between nature, history, and republican ideals. By honoring the plane tree, we pay tribute to the revolutionaries who shaped our nation while committing ourselves to protect our environment for future generations.
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Si je pars aujourd'hui, que ce soit en aimant cette personne que j'ai toujours voulu à mes côtés, je ne veux pas emporter avec moi de la douleur, du regret ou tout autre type de sentiment, elle ne m'a pas demandé de l'attendre si longtemps, c'était mon choix, quand on aime sa vérité, il faut être radical, ne pas lui frotter les autres amours en utilisant les réseaux sociaux, il faut être ferme, continuer à vivre et attendre que nos chemins se croisent, même si nous sommes déjà très vieux , qui sait, peut-être que quelqu'un inventera la machine à voyager dans le temps, l'espoir est ce qui m'a toujours animé, et c'est le dernier à mourir, je mourrai en aimant celui que j'ai toujours aimé.
Jonas R Cezar
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e642 · 1 year
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Je me sens tellement mal que j'ai du mal à réfléchir. La seule chose que je sais c'est qu'au milieu de 8 milles personnes, je me sens toujours extrêmement seule. Pas une présence ne me réchauffe le cœur, chaque souffle, chaque sourire, chaque couple, chaque tout me glace le sang d'une force. J'ai froid. Je me sens détraquée physiquement, tellement fatiguée que j'ai l'impression que je pourrai mourir chaque seconde. C'est une tare tout ça. Chaque jour je me demande pourquoi je ne fais pas de choix radical.
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darkpalmor · 1 year
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11 JANVIER 2023
Programme mystère du 11 au 11
1°) Bouts-rimés (10 minutes) : Un petit huitain. Voici les huit mots à employer : dessin / gressin ; relâche / bourrache ; poisson / glaçon ; semence / démence. Rythme libre, longueur des vers libre, organisation des rimes libre.
Élisabeth avait apporté des gressins, L’atelier d’écriture allait faire relâche. Le prof braillait : « Prenez vos cahiers à dessins ! » On lui a dit : « Prenez plutôt de la bourrache, Ça guérira bientôt votre grosse démence. Pour le plat principal, on avait du poisson, De la carpe farcie, et toute sa semence. On a pris l’apéro, sans mettre de glaçons.
2°) Dialogue mystérieux (10-15 minutes) : Encore une oreille curieuse, mais faible. On rétablira l’intégralité d’une écoute téléphonique transcrite par un fonctionnaire mal réveillé : celui-ci n’a compris qu’une des deux voix, peut-être parce que l’autre chuchotait ?
– Allô ! – Le cabinet vétérinaire ? Vous êtes venu voir la Margot en début d’après-midi, et toujours pas de veau, mais je commence à être inquiet. – Est-ce que ça se complique ? – Oui, il y en a deux autres qui ont commencé à vêler, et ça ne sort pas. – Vous n’en avez parlé à personne ? – Mes commis sont partis, je suis seul pour gérer les mises-bas jusqu’à demain matin ! – Comment ça a commencé ? C’est délicat, ces affaires-là. – La Margot s’est couchée et ne veut pas se relever, les deux autres tournent en rond dans leur box avec les sabots des veaux qui sont visibles, j’ai essayé d’en attacher une pour la mettre au sol, mais ça l’a rendue folle. – Il ne fallait pas y toucher, vous voyez où on en arrive ? – On fait ce qu’on peut, et quand ça commence à foirer on vous appelle. Et on voit qu’elles souffrent, elles mugissent et ça effraie le reste de la stabulation. – C’est toujours douloureux, vous savez. Mais peut-être que… – Non je ne sais pas ! Je n’ai jamais vêlé, moi ! – Je connais un moyen radical. – Les endormir ? – Deux d’un coup. Ça ne vous fait pas peur ? – Les deux qui tournent en rond, oui. Au fusil à seringue, si vous visez bien. – Il y aura des résultats immédiats ; les conséquences lointaines, on les traitera au fur et à mesure. – Le résultat c’est qu’elles vont tomber d’un seul coup par terre, et se casser quelque chose, et les veaux seront perdus ? Pas de ça ! – Bon, moi j’ai ce qu’il faut, comme on dit dans le métier ! Et les compétences, sinon vous ne m’auriez pas appelé… – Vous croyez que j’avais le choix ? À cinquante kilomètres à la ronde vous êtes les seuls ! – Et la troisième ? Comment ça se passe pour elle ? – Pour le moment elle geint doucement, mais je ne vois rien sortir. C’est la championne, il faut absolument sauver au moins celle-ci. C’est ma priorité. Les deux autres, c’est des génisses, elles peuvent finir en boucherie si elles survivent à votre piqûre, mais pas la Margot. – Tant pis pour les autres, il faut savoir faire des sacrifices. – Je vais la tenir au chaud, lui mettre une couverture, lui mouiller le museau, en attendant que vous veniez. – Vous croyez qu’elle tiendra le coup ? – Il y a intérêt ! – De toute façon, c’est votre affaire ! – Oui, c’est toujours le paysan qui paie les pots cassés, jamais le véto… – Quand j’arriverai, pas la peine d’alerter quiconque. – Vous voulez dire que c’est inutile de rappeler un voisin ou le commis d’un voisin ? Vous ne voulez pas passer prendre de l’aide chez les Durand, alors ? Puisque c’est ça, mettez-vous derrière la grange, vous aurez moins à marcher avec votre fusil, et si jamais quelqu’un nous regarde aux jumelles on n’ira pas penser que vous venez pour me flinguer ! – Oui, je sais que je peux me garer un peu à l’écart. – Mais oui, sans faire gueuler les chiens : ils vous reconnaissent au bruit du diesel et à votre odeur ! – Mais oui, je serai discret. – Comme d’habitude. – Bon, j’arrive, il fait bientôt nuit, mais vous dormirez tranquille après mon départ. – J’en aurai besoin, mais je vais devoir surveiller les veaux, c’est pas la peine qu’ils crèvent de froid si vous arrivez à les sortir entiers. – Et pour le règlement, je vais faire un geste : c’est le même tarif, pour l’unité ou pour la paire ! Je compte le déplacement, tout de même. – Pour la facture, vous attendrez la fin du mois ? Mes rentrées de la fromagerie, ça traîne toujours. – C’est ça. Au revoir !
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– Allô ! – La police municipale ? C’est bien le chef Jeannot ? C’est Marcel, des Galeries, je vous ai déjà fait appeler tout à l’heure, votre adjoint vous a sans doute mis au courant. C’est encore les clientes du rayon lingerie qui font le bazar, et on n’y arrive plus, il va falloir intervenir. – Est-ce que ça se complique ? – Ben oui, elles sont un petit paquet dans les cabines d’essayage, elles sont saoules, elles gueulent et on les empêche de sortir, elles disent qu’elles vont se tirer en slip ! – Vous n’en avez parlé à personne ? – Ben, le chef de rayon vêtements a fait dégager toute la zone, on a mis des barrières, mais c’est bientôt la fermeture, qu’est-ce qu’on va faire ? Pour l’instant, on les bloque à l’intérieur des cabines. Et on a mis la musique d’ambiance à fond pour couvrir leurs hurlements. – Comment ça a commencé ? C’est délicat, ces affaires-là. – Elles essayaient des strings et des soutifs, elles en avaient décroché un paquet des cintres, et une vendeuse a voulu en rhabiller une qui prétendait ne pas pouvoir renfiler son pantalon. Elle s’est mise à crier au viol, au secours, on m’agresse, c’est un scandale, et dans les deux autres cabines le cirque a commencé… – Il ne fallait pas y toucher, vous voyez où on en arrive ? – On ne pouvait pas la laisser partir à moitié déshabillée, non ? Et quand j’ai voulu intervenir, il y en a deux qui m’ont sauté dessus, elles m’ont griffé, et mon costard à cinq cents balles est foutu. – C’est toujours douloureux, vous savez. Mais peut-être que… – Ce n’est pas pour la douleur, mais c’est que je ne peux plus y retourner : dès qu’elles me voient, elles gueulent. Elles guettent derrière le rideau des cabines ! Elles veulent que j’entre… – Je connais un moyen radical. – Moi aussi, il faudrait les empoigner, une à chaque main, les envelopper dans des grandes housses et les traîner au rayon des surgelés, si on arrive à dégager une allée tranquille. – Deux d’un coup. Ça ne vous fait pas peur ? – Non, si j’ai de l’aide pour les forcer à marcher. On ne va tout de même pas les porter ? Là, au moins, si on leur redonne leurs fringues personnelles, elles ne vont pas se les geler longtemps, et elles vont se rhabiller. Mais si elles portent plainte en disant qu’elles ont chopé la crève, ensuite ? Vous pensez que ça pourrait marcher ? Une sorte d’opération commando ? – Il y aura des résultats immédiats ; les conséquences lointaines, on les traitera au fur et à mesure. – Les résultats, bon, je veux bien vous croire. Mais les conséquences ? Si je n’ai pas un huissier ou un flic pour établir un constat comme quoi ces furies mettent le désordre, c’est moi qui aurai des ennuis. Vous semblez bien à l’aise pour en parler, vous ! – Bon, moi j’ai ce qu’il faut, comme on dit dans le métier ! Et les compétences, sinon vous ne m’auriez pas appelé… – Ouais, ça veut dire que vous allez venir ? On rhabillera les deux moins féroces ensemble, promis… – Et la troisième ? Comment ça se passe pour elle ? – La troisième, elle est complètement à poil dans sa cabine, et elle ne veut qu’on lui amène le chef de rayon boucherie. Elle dit que c’est son type… On va en faire quoi ? La laisser passer la nuit dans le magasin, en bouclant la zone avec des palettes ou des planches ? On lui colle un chien d’attaque aux fesses ? Ou bien j’envoie le boucher et je lui dis qu’il s’en occupe ? – Tant pis pour les autres, il faut savoir faire des sacrifices. – Sacrifice, sacrifice, ce boucher-là il n’a pas une tête à se sacrifier, et il voudra se faire payer en heures sup. – Vous croyez qu’elle tiendra le coup ? – On s’en fout. – De toute façon, c’est votre affaire ! – Oui, facile à dire pour vous. J’ai pu empêcher que les clients des autres rayons soient au courant, on a prétexté un incident technique avant de mettre les barrières. – Quand j’arriverai, pas la peine d’alerter quiconque. – Alors il faudra attendre la fermeture totale, parce que si elles se remettent à gueuler, ça ameutera trop de monde. Moi, je voudrais qu’on puisse régler l’affaire discrètement. Sans pin-pon ni sirène, il y a déjà assez de boucan. – Oui, je sais que je peux me garer un peu à l’écart. – Un petit fourgon, pas toute la brigade, hein ? Mais des gros bras, ça aidera. Des silencieux. – Mais oui, je serai discret. – J’espère bien. Je ne vais pas en dormir de toute la nuit ! – Bon, j’arrive, il fait bientôt nuit, mais vous dormirez tranquille après mon départ. – Il faudra demander ça à ma femme demain matin ! – Et pour le règlement, je vais faire un geste : c’est le même tarif, pour l’unité ou pour la paire ! Je compte le déplacement, tout de même. – La paire de quoi ? Des claques que vous allez leur mettre ? Vous irez faire le plein derrière, à la pompe des camions, je vous donnerai le code, et on sera quittes ! – C’est ça. Au revoir !
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– Allô ! – Mon Dieu ! Enfin ! C’est difficile de vous joindre… – Est-ce que ça se complique ? – Oui. J’ai laissé s’échapper une petite poignée de galaxies juste à point, en ouvrant la porte du four. J’avais peur que les laborantins laissent brûler les germes. – Vous n’en avez parlé à personne ? – Pas encore. Mieux vaut ne rien ébruiter : les laboratoires concurrents seraient trop heureux de nous dénigrer. – Comment ça a commencé ? C’est délicat, ces affaires-là. – Il y a eu un petit bang, ça bouillonnait, et ensuite j’ai senti une odeur infernale. Soufre, carbone, je ne saurais pas dire. Il faudra expertiser. – Il ne fallait pas y toucher, vous voyez où on en arrive ? – Au risque de mettre le feu au labo ? Ou de faire exploser un des fours ? C’était chaud, bon Dieu ! Je me suis fait des cloques aux doigts en retirant les plateaux. – C’est toujours douloureux, vous savez. Mais peut-être que… – On ne fait pas d’omelettes sans casser… Chanson connue, mon Dieu. Il n’empêche que ça va devenir sérieux : elles sont hors de vue, elles doivent se planquer dans le recoin d’une quelconque spirale. Encore heureux si elles sont restées dans notre domaine, parce que si elles sont dans le champ du voisin, on va avoir les oreilles qui chauffent. – Je connais un moyen radical. – Les faire péter avec le système de sauvegarde pour les cas de détournement ou de piratage ? Avec la télécommande ? Je veux bien essayer. – Deux d’un coup. Ça ne vous fait pas peur ? – Je le fais tout de suite. J’ai la connexion quantique, c’est le bouton rouge, hein ? Et là où je suis, pas de retombées. – Il y aura des résultats immédiats ; les conséquences lointaines, on les traitera au fur et à mesure. – Eh bien ça a marché. Elles sont mortes. Les évacuateurs de déchets fonctionnent, donc pas de conséquences lointaines à craindre. Merci mon Dieu ! Heureusement que vous maîtrisez bien le manuel d’urgence ! – Bon, moi j’ai ce qu’il faut, comme on dit dans le métier ! Et les compétences, sinon vous ne m’auriez pas appelé… – Après tout c’est votre rôle : chef de labo, ça se mérite mais il faut assumer. Merci encore. – Et la troisième ? Comment ça se passe pour elle ? – La troisième est hors des radars, pas de connexion. Impossible de la détruire. On va la laisser vivre sa vie, advienne que pourra. C’est celle où on avait ensemencé des atomes complexes pour voir si la production cellulaire marchait mieux qu’avec la silice ou le radium. Elle va peut-être bourgeonner et produire des filaments grimpants, ou des bras gazeux, on ne peut pas le prédire. Pourvu qu’elle ne produise pas de vie animée ! Il en reste quelques-unes en chantier. Qu’en fait-on ? – Tant pis pour les autres, il faut savoir faire des sacrifices. – Donc, celles qui restent et qu’on n’a pas encore enfournées, on les bazarde avant cuisson. On fera passer les pertes sur une ligne de crédits secondaire. – Vous croyez qu’elle tiendra le coup ? – La ligne de crédits ? La poubelle bleue ? Ou le bébé galaxie en phase germinative ? Je m’occupe des deux problèmes. – De toute façon, c’est votre affaire ! – Oui, et si j’arrive à retrouver la fugitive, on la mettra en observation stricte, une quarantaine, disons. Il faut éviter qu’elle communique quoi que ce soit dans un large rayon. Combien de temps, ce n’est pas important. Vous venez faire un tour au labo cet après-midi ? On règlera les derniers détails avant que le PDG soit informé. – Quand j’arriverai, pas la peine d’alerter quiconque. – Les laborantins ne seront pas là, ils font une boum dans les sous-sols pour fêter le démoulage des nouvelles petites lunes de la vingt-cinquième étagère. Les rampes d’arrivée seront libres. – Oui, je sais que je peux me garer un peu à l’écart. – Ne faites pas pétarader votre engin en vous garant ! – Mais oui, je serai discret. – Ça changera, hein, mon Dieu ? – Bon, j’arrive, il fait bientôt nuit, mais vous dormirez tranquille après mon départ. – Les étoiles jumelles seront éteintes, toujours à cause de ces restrictions de crédits. Mais il reste les veilleuses de sécurité. Quant à dormir, non, je suis invité à la boum ! Il paraît qu’ils ont un orchestre avec un gros son, et de beaux flacons. – Et pour le règlement, je vais faire un geste : c’est le même tarif, pour l’unité ou pour la paire ! Je compte le déplacement, tout de même. – Une destruction, c’est quarante big bang, il me reste encore de quoi payer ! Le déplacement ? Ah non ! J’offre l’apéritif, en compensation, si vous voulez. Vous ne serez pas venu pour rien ! À tout de suite, mon Dieu. – C’est ça. Au revoir !
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– Allô ! – Oui, c’est Cindy, à la crèche. J’y arrive plus, m’sieur. On ne peut plus les garder. – Est-ce que ça se complique ? – Elles sont infernales, vos gamines. Ça fait beaucoup trop de désordre dans la petite section. – Vous n’en avez parlé à personne ? – Surtout pas à la directrice. Je suis stagiaire, moi ! – Comment ça a commencé ? C’est délicat, ces affaires-là. – Une histoire de doudou tombé dans les WC, et puis ça a dégénéré en bagarre. – Il ne fallait pas y toucher, vous voyez où on en arrive ? – Il a bien fallu récupérer le doudou avant de tirer la chasse d’eau, non ? C’est pas facile ! – C’est toujours douloureux, vous savez. Mais peut-être que… – Oui, douloureux. Je me suis fait un tour de rein. – Je connais un moyen radical. – Pour guérir le tour de reins ? C’est pas la peine. J’aimerais plutôt isoler les jumelles du groupe des tout petits. – Deux d’un coup. Ça ne vous fait pas peur ? – Non ! Je mettrai les deux plus grandes chacune dans un placard. Ça les calmera. Mais faudra pas vous plaindre après. – Il y aura des résultats immédiats ; les conséquences lointaines, on les traitera au fur et à mesure. – Sûr qu’elles vont pas apprécier et fermer leur clapet. Mais si la directrice s’en mêle, vous me soutiendrez ? – Bon, moi j’ai ce qu’il faut, comme on dit dans le métier ! Et les compétences, sinon vous ne m’auriez pas appelé… – Ben oui… C’est vos gosses, mais vous êtes éducateur. Les deux aînées, elles ont été mal dressées ! – Et la troisième ? Comment ça se passe pour elle ? – La troisième, elle n’aura pas de fessée. Mais les grandes, je ne dis pas… – Tant pis pour les autres, il faut savoir faire des sacrifices. – Oui ! Je vais les châtier devant la petite, pour l’exemple. – Vous croyez qu’elle tiendra le coup ? – Ça lui forgera le caractère. – De toute façon, c’est votre affaire ! – Mais ce sera la vôtre quand vous les aurez récupérées. Venez au plus vite. – Quand j’arriverai, pas la peine d’alerter quiconque. – Surtout pas la directrice. Vous me prenez pour une gourde ? Et ne passez pas par l’entrée principale. – Oui, je sais que je peux me garer un peu à l’écart. – Sur le petit parking. Il y a une porte à l’arrière. – Mais oui, je serai discret. – J’espère bien. – Bon, j’arrive, il fait bientôt nuit, mais vous dormirez tranquille après mon départ. – Moi, oui. Mais c’est vous qui endormirez vos gamines ! – Et pour le règlement, je vais faire un geste : c’est le même tarif, pour l’unité ou pour la paire ! Je compte le déplacement, tout de même. – Vous n’allez tout de même pas réclamer qu’on vous paie, non, sans blague ? Et au prétexte que vous rompez le contrat ? Pas question. – C’est ça. Au revoir !
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christophe76460 · 13 days
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⛔ Un cœur de pierre
Dans les rues d’une grande ville, une chrétienne distribuait régulièrement, de la main à la main, des feuillets sur divers sujets bibliques. Sur la place devant la gare, un chauffeur avait souvent accepté ces feuillets. Pourtant, un jour, il les refusa par un vigoureux merci !
– Oh ! le dernier ne vous a pas plu ? demanda-t-elle.
– Si, mais si je continue à les lire, il faudra que ma vie change… Impossible !
Attitude compréhensible si on ne connaît pas la puissance de Jésus Christ le Sauveur, qui délivre des addictions. Et Dieu ne s’attend pas à ce que quelqu’un, par sa propre force, change sa manière de vivre sans Dieu. L’homme est incapable de transformer son ancien “cœur de pierre”. Dieu attend que cette vie sans lui nous apparaisse comme un échec, que nous lui confessions nos péchés et que nous croyions qu’il peut et veut nous délivrer.
Dieu nous accorde alors sa paix, il nous donne une vie nouvelle, un cœur nouveau qui aime le bien. Il nous donne aussi la force de faire le bien, et de fuir le mal, de le rejeter. Dieu lui-même opère ce changement radical : de nouveaux motifs et de nouveaux buts, conformes à la volonté de Dieu, animent la vie du croyant.
Cet homme aura-t-il fait le choix de se confier en Dieu, de renoncer à ses habitudes qu’il aimait et qu’il savait ne pas être approuvées par Dieu ? Ne craignons pas un tel changement, utile pour notre vie sur la terre, et capital pour l’au-delà. “Je suis avec toi pour te sauver et pour te délivrer, dit l’Éternel” (Jérémie 15, 20).
Bibles et Publications Chrétiennes
30 rue Châteauvert – CS 40335
26003 VALENCE CEDEX FRANCE
+33 (0)4 75 78 12 78
La bonne semence, 13 avril 2024
© 2024 Bibles et Publications Chrétiennes
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omagazineparis · 27 days
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Mèches sur les cheveux courts plutôt que balayage, vraiment ?
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La beauté et la coiffure sont des domaines en constante évolution, où les tendances changent aussi rapidement que les saisons. Parmi les choix stylistiques qui divisent, la préférence entre les mèches et le balayage sur les cheveux courts suscite un débat passionné. Cet article se propose de plonger au cœur de cette question, en mettant en lumière les avantages et les subtilités de chaque technique, afin de déterminer si, vraiment, les mèches sont à privilégier sur les cheveux courts plutôt que le balayage. Les mèches sur cheveux courts : avantages et techniques Pourquoi opter pour les mèches sur cheveux courts ? Les mèches offrent une dimension et un contraste saisissants, particulièrement visibles sur les cheveux courts. Elles permettent de sculpter le visage et d'ajouter une profondeur unique, mettant en valeur les coupes dynamiques et les textures variées. Contrairement au balayage, les mèches sur cheveux courts créent un impact visuel immédiat, offrant un style défini et personnalisé. Techniques et variations des mèches La technique des mèches a évolué, passant de simples bandes de couleur à des méthodes plus raffinées et subtiles. Techniques à l'aluminium, au bonnet, ou encore freehand, les stylistes peuvent adapter la méthode selon le résultat souhaité, allant d'un effet naturel à un contraste plus marqué. Le balayage sur cheveux courts : une alternative moderne La technique du balayage expliquée Le balayage, quant à lui, est réputé pour son effet "coup de soleil", apportant une luminosité et une dimension naturelles. Sur les cheveux courts, cette technique peut sembler moins définie que les mèches, mais elle offre une transition de couleur douce et subtile, idéale pour celles et ceux recherchant un changement moins radical. Comparaison entre mèches et balayage Bien que les deux techniques visent à éclaircir et à ajouter de la dimension, le choix entre mèches et balayage repose sur le résultat souhaité. Les mèches sont idéales pour un look audacieux et défini, tandis que le balayage convient mieux à ceux qui préfèrent une évolution douce de leur couleur naturelle. Impact de la longueur des cheveux sur le choix de coloration L'influence de la texture des cheveux La texture et la longueur des cheveux jouent un rôle crucial dans le choix de la technique de coloration. Les cheveux courts et fins bénéficient souvent des mèches, qui ajoutent du volume et de la texture, tandis que le balayage peut mieux convenir aux cheveux épais, en apportant une luminosité sans alourdir le style. Conseils pour entretenir sa coloration sur cheveux courts Peu importe la technique choisie, l'entretien est clé. Utiliser des produits spécifiques pour cheveux colorés, éviter les lavages fréquents et protéger les cheveux de la chaleur et du soleil sont essentiels pour préserver l'éclat de la coloration. Témoignages et avis de professionnels de la coiffure Les professionnels s'accordent à dire que le choix entre mèches et balayage dépend des attentes individuelles, de la texture des cheveux et du style de vie. Des études de cas démontrent que les mèches peuvent transformer radicalement un style, apportant une touche de modernité aux coupes courtes. En conclusion, le choix entre mèches et balayage sur cheveux courts dépend largement des préférences personnelles, de la texture des cheveux et du résultat désiré. Les mèches offrent un contraste et une définition accrus, idéaux pour ceux qui recherchent un changement notable, tandis que le balayage propose une approche plus subtile et naturelle. Quelle que soit la technique choisie, l'important est de consulter un professionnel pour garantir un résultat harmonieux et adapté à votre style. Read the full article
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aurevoirmonty · 1 month
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"Les idéologèmes du peuple (Volk), de la patrie (Heimat) et du Reich, qui mobilisent aussi le monde des adultes, doivent céder le pas au concept radical de l’ORDRE. « Dans l’ORDRE, écrit Tusk [Eberhard Koebel], conçu comme communauté autonome, comme communauté de choix, comme communauté libre de toute attache aux choses révolues, l’homme jeune trouvera l’assise de son être »."
Bertrand Eeckhoudt, Vouloir n°28/29 (1986)
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screenwritinggym · 3 months
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Chill Sentenza - Lettre pour t'aider à trouver une solution pour les femmes toxiques de la Meufia team. Send them to Norway with their Norwegian husbands.
Objet : Proposition de changement d'environnement pour la Meufia de l'Elsau.
Voici un article sur les femmes toxiques: https://www.pervers-narcissique.com/femmes-toxiques/
Chill Sentenza,
J'espère que cette lettre vous trouve en bonne santé. Je me permets de vous écrire aujourd'hui pour discuter d'une opportunité qui pourrait grandement bénéficier à la Meufia family, dont je sais que vous êtes proche. Mon intention est de partager une idée qui pourrait améliorer significativement la vie des femmes de l'équipe Meufia.
Il est indéniable que l'environnement actuel en France est devenu extrêmement corrompu, et les membres de la Meufia team ressentent sûrement les effets néfastes de cette situation au quotidien. Face à cette réalité, je propose sérieusement de considérer un changement radical vers un nouvel environnement plus sain et propice à l'épanouissement.
L'idée serait que la Meufia team cherche refuge dans la Norvège nation. En faisant ce choix, elles pourraient échapper temporairement à l'agitation et à la corruption qui règnent actuellement en France nation. Vivre dans un environnement calme, exempt de stress, d'humiliation et d'embrouilles, permettrait aux femmes de la Meufia team de se concentrer pleinement sur leurs études.
Je suis conscient que les membres de la Meufia team sont des femmes autodidactes, et la Norvège nation offre un cadre propice à l'éducation. Elles pourraient passer leurs journées à étudier dans les bibliothèques de ce nouveau pays, ce qui contribuerait grandement à leur épanouissement personnel.
Concernant la gestion économique de leur vie familiale, je suggère de compter sur la force de travail de leurs époux Norvégiens. Ces derniers pourraient être présents pour subvenir aux besoins de leurs épouses, créant ainsi un équilibre propice à la stabilité familiale.
Je tiens à vous assurer que je suis prêt à soutenir financièrement cette transition en écrivant des scénarios. Bien que je maintienne mes distances avec vous en raison de notre relation passée, je suis disposé à contribuer en aidant à payer les factures et à remplir le frigo en écrivant des scénarios que la Meufia team pourrait vendre à des sociétés de production de films en France nation.
Cependant, je tiens à préciser que je m'engage à écrire exclusivement des scénarios en français. Je refuse de contribuer à votre renommée aux États-Unis, réservant cet honneur exclusivement à mon épouse Tracey Edmonds. Vous devrez donc vous contenter de scénarios destinés au public français et à l'industrie du cinéma français.
Meufia team - Script en français, oui. Very Famous en France.
Meufia team - Script en anglais, non. Not Famous aux États-Unis.
(Ya pas écrit teubé sur mon front cousine. Je refuse de vous aider à devenir célèbre aux États-Unis.)
En conclusion, je recommande fortement à la Meufia team de considérer cette proposition sérieusement. Le vol de Baden-Baden à Oslo en Norvège nation est relativement court, d'une durée de seulement 2 heures et 3 minutes. Je vous encourage à prendre cette décision audacieuse qui pourrait changer radicalement votre vie.
Voici une page instagram avec des hommes Norvégiens, click sur le lien: https://www.instagram.com/norwegianmen/
Tu dois dire à la Meufia team de choisir un beau-gosse Norvégien et de partir vivre là-bas fonder une famille avec ces hommes Norvégiens.
La Meufia team, sachez que je vous souhaite à toutes de vous épanouir et de vivre heureuses aux côtés de vos époux Norvégiens blond aux yeux bleus.
La Meufia team, pour discuter des scénarios n'hésitez pas à me contacter par l'écriture d'une lettre, si vous avez des questions ou des préoccupations.
La Meufia team, sachez que je refuserai de vous parler en face-à-face, je refuserai de vous parler au téléphone aussi. Le seul moyen de communiquer avec moi sera par l'écriture d'une lettre. Je refuse de laisser des preuves de mon existence à des femmes toxiques, si cela vous vexe, tant mieux, c'est mon but de vous vexer car je sais que vous êtes des femmes corrompus. Je choisi de vous aider car j'ai pitié de vous, si vous me souhaitez le malheur, moi je suis un homme vertueux et je vous souhaite le bonheur, je ne suis pas un injuste comme vous.
Voilà mon ami, Chill Sentenza, je te conseille de déplacer ces femmes toxiques en Norvège car cela te facilitera le travail de les protéger contre des hommes et des femmes corrompus en France qui souhaite nuire à Meufia team, sache que la Norvège c'est le meilleur refuge pour elles car elles vivront avec leur époux Norvégiens et ça te faciliteras ton travail car elles deviennent LEUR problème maintenant et plus TON problème, tu comprends?
These women will become the problem of Norwegian husbands from now on, don't you get it? I'm helping you get rid of them, you won't carry their load, they're a heavy burden for you, send them to Norway and help them find Norwegian husbands, that's how you fix all your problems, they become their problem now, and not your problem anymore. Makes sense, right?
This is one of those "Avi, Pull Your Socks up“ moments!
Here is the youtube video for 'Mexican Standoff', see link: https://www.youtube.com/watch?v=WSg_2Ov3QSM
This letter is giving you the solution to put an end to the 'Mexican Standoff' going on in the French corrupt nation right now, so how do you bring an end to this 'Mexican Standoff'? You send these toxic women to Norway, it's as simple as that, PROBLEM SOLVED!!
Bien à vous,
Ton ami. Alien Putin.
P.S.:
Tu dois encourager Booba à prendre une femme Norvégienne en Norvège aussi, il va avoir des enfants avec une femme blonde en Norvège et d'ici huit ans plus tard, il aura la nationalité Norvégienne aussi, avec un passeport Norvégien. Tu dois lui dire de faire ça maintenant car s'il attend trop longtemps il va pas avoir le passeport Norvégien. Tu dois lui dire que s'il s'y met maintenant et fait ça en 2024, il aura le passeport Norvégien en 2032, huit ans plus tard.
La combine est très simple, Il doit partir en Norvège et mettre une femme Norvégienne en cloque, une femme blonde aux yeux bleus.
Voici une page instagram avec des "Norwegian beauties", see link: https://www.instagram.com/beautsofnorway/
Booba et la Meufia team se posent souvent cette question: "Comment fuir le monde toxique de France et États-Unis, quel est la solution?"
La solution est très simple, pour les hommes il vous faut une baby-momma norvégienne.
La solution est très simple, pour les Meufia team, il leur faut un baby-daddy norvégien.
Booba doit aussi trouver une issue de secours pour fuir le monde toxique de la France et des États-Unis, et c'est pour ça que je lui conseille de fonder une petite famille avec une femme norvégienne en Norvège. Il pourra toujours avoir des liens familiaux avec une femme vertueuse norvégienne, c'est toujours bien d'avoir une baby-momma blonde en Norvège.
Sache que la Norvège c'est notre vaisseau mère et je vous encourage à faire des efforts pour avoir la nationalité Norvégienne et un passeport Norvégien, il faut avoir des enfants avec une femme blonde en Norvège, c'est la seule solution pour avoir la nationalité dans les huit prochaines années.
Bonne continuation les amis.
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quantum-coaching · 4 months
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5 Bienfaits de Vivre sa Vie avec Authenticité…
Vivre sa vie sous les valeurs de l’authenticité est un choix radical qui peut transformer profondément notre existence. Loin des masques et des faux-semblants, l’authenticité offre une voie libératrice vers une vie plus épanouissante et significative. Cet article explore les bienfaits de vivre authentiquement et met sous les projecteurs la puissance transformative d’une existence guidée par la…
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valloninfo · 5 months
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Réunis le vendredi 24 novembre en assemblée générale ordinaire, les membres de la section du Val-de-Travers du Parti libéral-radical (PLR) ont pris connaissance de la démission imposée de leur président et de la situation délicate qui a mené à ce départ. Ils ont aussi commencé les préparatifs en vue des élections communales du mois d ́avril 2024 qui s ́annoncent d'ores et déjà captivantes. Conviés à leur assemblée générale de fin d ́année, les membres vallonniers du Parti libéral-radical (PLR) ont été informés de la situation particulière que traverse actuellement la section avec le départ subit du président qui fait suite à des malversations commises par ce dernier durant l ́année 2022 principalement. Ces inamissibles écarts de conduite ont été malheureusement possibles parce que le président cumulait alors momentanément les fonctions de trésorier et de secrétaire et avait donc librement accès au compte bancaire de la section régionale. Dès que le nouveau trésorier a obtenu avec insistance la possibilité d ́accéder au compte bancaire au début de ce mois, il a immédiatement décelé des incohérences entre les écritures et les pièces comptables et les retraits ou virements d ́argent ; les vérificateurs de comptes ainsi que les autres membres du comité ont été informés dans la foulée. Lors d ́une séance extraordinaire du comité qui s ́est tenue le 16 novembre dernier, le président a été « invité » à démissionner avec effet immédiat de son poste, de son mandat de conseiller général de la commune de Val- de-Travers ainsi que du PLR. De plus, il lui a été demandé de signer une reconnaissance de dette avec une échéance au 30 juin 2024 pour rembourser l'ensemble de la somme au PLR du Val-de-Travers. Vu l ́ampleur du dommage financier et l ́important dégât d ́image pour la section, l ́assemblée générale n'a pas eu d'autres choix que de charger le comité de porter plainte au nom du PLR pour abus de confiance, infraction poursuivie d'office de toute manière. Ebranlés par cette affaire mais de loin pas abattus, les membres du PLR du Val-de-Travers se sont ensuite mis en « ordre de bataille » pour les prochaines élections communales et ont déterminé les ambitions du parti qui présentera des listes dans les communes de Val-de-Travers et des Verrières. Si les événements passés sont à déplorer, la section s'oriente maintenant vers l ́avenir avec un programme électoral pragmatique et à l ́écoute des besoins de l ́ensemble des citoyennes et des citoyens de la région.
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entomoblog · 6 months
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L’organisation spécifique de l’ADN dans les spermatozoïdes préserve l’intégrité des chromosomes du père dans l'œuf
Lorsque les spermatozoïdes se forment, ils éliminent les protéines histones, qui empaquètent l’ADN dans toutes nos autres cellules, et les remplacent par des protamines, des protéines spéciales du noyau des spermatozoïdes. Une étude récente publiée dans la revue Science, vient mettre pour la première fois en lumière le rôle de cette mécanique, et montre que cette élimination des histones est très importante pour préserver l’identité épigénétique des chromosomes paternels après fécondation.
  10 novembre 2023
Résultats scientifiques Biologie cellulaire
  "... La drosophile représente un modèle de choix pour étudier cette question. La puissance de la génétique de la mouche permet d’identifier efficacement des gènes codant les protéines impliquées dans ces processus de remodelage de la chromatine. De plus, les différentes étapes de la spermatogenèse, et plus particulièrement la transition histone-protamine, sont facilement observables par microscopie confocale, qui utilise généralement le laser comme source de lumière et de nombreux marqueurs fluorescents. Enfin, les femelles de drosophile pondent leurs œufs rapidement après fécondation ce qui permet d’étudier aisément les conséquences d’une modification de l’organisation de la chromatine spermatique sur le développement embryonnaire précoce."
(...)
  "Cette étude démontre pour la première fois une fonction fondamentale de l’élimination des histones du noyau du spermatozoïde chez la drosophile : déterminer et protéger l’identité épigénétique des chromosomes paternels après fécondation. Cette découverte change en profondeur notre compréhension de la transition histone-protamine qui existe chez de nombreuses espèces, dont l’Homme. Enfin, l’analyse de ce mutant remarquable met en évidence l’extraordinaire plasticité de la chromatine spermatique chez les insectes."
  Figure : Le mutant à effet paternel paternal loss (pal) entraine la fragmentation du pronoyau mâle après fécondation.
  (A) Schéma présentant les premières étapes après fécondation chez la drosophile. Lorsque le spermatozoïde pénètre dans l’œuf, la méiose femelle alors bloquée en métaphase de méiose I reprend. Le noyau du spermatozoïde se décondense : les protamines (vert) sont remplacées par les histones (rouge). Après méiose, le noyau femelle migre et s’appose au noyau mâle.
  (B) Images de microscopie dans un embryon marqué pour les histones (rouges), l’ADN (bleu) et la Lamine (blanc), qui forme l’enveloppe nucléaire. Haut : apposition des pronuclei mâle et femelle dans un embryon contrôle (WT). Bas : apposition des pronuclei dans un œuf fécondé par un mutant pal. Le noyau paternel est fragmenté.
  Crédit Raphaëlle Dubruille, Benjamin Loppin
  Histone removal in sperm protects paternal chromosomes from premature division at fertilization. Dubruille R, Herbette M, Revel M, Horard B, Chang CH, Loppin B. Science (2023) DOI: 10.1126/science.adh0037
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NDÉ
Editor’s summary
  Traduction
  L'ultracompaction de l'ADN des spermatozoïdes chez de nombreuses espèces est souvent associée au remplacement, à l'échelle du génome, des histones par des protamines, mais le rôle réel de ce changement radical dans l'organisation de la chromatine reste largement énigmatique.
  En étudiant un mutant de drosophile vieux de plusieurs décennies, Dubruille et al. ont découvert que les histones étaient massivement retenues dans le sperme sans affecter sa capacité à féconder (voir la perspective de Levine).
  Cependant, lors de la fécondation, les chromosomes mâles sont reconnus de manière aberrante par les facteurs maternels qui contrôlent la progression méiotique de la femelle, ce qui conduit à une division prématurée délétère et à une perte précoce des chromosomes mâles.
  Ce travail met en évidence le rôle de la chromatine du spermatozoïde dans la protection des chromosomes mâles dans l'ovule. - Di Jiang
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jubaunetwork · 6 months
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Le comité Critiques et Appréciations du magazine BGospel a évalué la musique « Yahweh » de Taliana Lindor. APPRÉCIATIONS « Yahweh » est une superbe production du jeune label haïtien RMP, chanté par l'artiste Taliana Lindor, l'une des voix féminine confirmée du secteur évangélique haïtien. Arrangement musical de haut niveau renforcé par la signature de Johnson Saint Cyr, bassiste professionnel, qui a su apporter une touche unique à la musique. Bravo ! Une belle vidéo qui nous a rappelé à quel point Dieu est extraordinaire. La vidéo met en avant une reconnaissance envers Dieu pour sa création, la nature, les animaux et sa diversité. Un refrain qui capte l'attention avec une phrase facile à mémoriser: "Ooooo ooooo Yahweh mwn rekonesan". Les remarques du comité sont surtout au niveau du texte et un manque de lien avec les scenarios de la vidéo. CRITIQUES "Yahweh mwen rekonesan". À bien regarder, la vidéo peint une reconnaissance à Dieu via la nature, tandis que, l'artiste chante une reconnaissance en lien avec sa vie opulente. Ce qui semble ne pas être pareil. Le premier couplet parle de grandes richesses, d'extrême abondance de bien matériels (telle est la définition de Larousse du mot : Opulent), tandis que le second couplet supposerait un changement de vie radical de : « san plan, san bilan », vers une vie extraordinaire. Est-ce qu'on n'aurait pas de préférence chante le 2ᵉ strophe en premier ? Si le texte était au deuxième personne du singulier, le titre " Yahweh" serait parfait. Mais, le texte est à la première personne, ce qui laisse voir que le titre idéal serait peut-être "mwen rekonesan". RECOMMANDATIONS Cela ne fait aucun doute que c'est une vidéo de bonne qualité avec une Taliana Lindor confiante et au top de sa forme. Attention aux choix de mots. On peut remercier Dieu pour ses multiples grâces sans utiliser certains mots qui, par définition, traduisent une attitude de « m'as-tu vu ». La poésie centrée sur la parole de Dieu est une merveille. Notre suggestion serait de s'assurer que le tableau décrit dans la vidéo soit en parfaite harmonie avec le message principal du texte. #gospel #music #worship #praise #news #musique #évangélique
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andrewrossiter1 · 6 months
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Cyrus, le serviteur de Dieu
Prédication par Andrew Rossiter au temple de La Force, 21 octobre 2023
Esaïe 45.1-6, Matthieu 22.15-21
Cyrus, le serviteur de Dieu
Cyrus II, dit Cyrus le Grand, est le fondateur de l’Empire Perse et il régnait entre 559 à 530 avant Jésus-Christ. Et à son issu il est entré dans le projet de Dieu pour devenir un héros de l’histoire d’Israël. Il a été perçu par le prophète Esaïe comme un instrument dans la main de Dieu. Dans ce texte nous lisons qu’il a reçu l’onction de Dieu et reçoit sa carte du club très fermé des personnes qui porte le titre « Messie ». Lui, Cyrus n’a surement jamais entendu cette prophétie, et il n’a jamais rien su. Malgré lui, à son insu, il ignore que ses actions, ses conquêtes et son projet politique est entièrement entre les mains d’un Dieu qu’il ne connaît pas et dans lequel il ne croit pas.
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Dans l’Evangile, Jésus répond à la question piège des pharisiens, à savoir si c’est permis par la Loi de Dieu de payer les taxes à Rome en disant que ce qui est à César est à lui, et ce qui est à Dieu est bien à lui. Ces deux témoins, Esaïe et Mathieu sont d’accord que ces deux autorités, La Perse et Rome, qui ne reconnaissent pas le Dieu d’Israël, existent sous l’autorité du Dieu unique.
Quand nous regardons notre monde nous ne sommes pas si surs que c’est Dieu qui dirige les événements, et surtout pas les choix politiques et économiques des dirigeants qui ne croient pas en lui. C’est plutôt le contraire «Qu’est-ce qu’il fait, Dieu? Pourquoi Dieu n’arrêt-il pas la guerre? Les attentats? Les prises des otages?»
Face à l’horreur d’un Islam radical ou d’un fou furieux armé d’un fusil d’assault qui entre dans une salle de classe qui tue et blesse au nom d’un croyance, nous ne voyons pas très bien comment dire, avec la prophète Esaïe, que c’est par la main de Dieu. Nous serons tentés de penser que le mal est bien plus fort que le bien. Ou encore que le monde est divisé entre le bien et le mal. D’un côté les méchants et de l’autre les gentils. Et dans cette vision dualiste nous espérons que Dieu reste le plus fort.
J’imagine qu’au fond de leur exile en Babylone beaucoup de juifs en captivité ont pensé ainsi. Après des années de guerre et d’invasion, d’abord dans le Nord et puis à Jérusalem même, les armées de Babylone sont arrivées, détruisant tout, pillant et rasant le temple, réduisant la population à l’esclavage et massacrant une grande partie de la population. Dans un contexte d’un tel désastre il est naturel de chercher des réponses. Où est la faute?
A cet époque on croyait que Dieu utilisait la puissance des armées des ennemis d’Israël pour punir le peuple de ses mauvais comportements ou de son manque de foi. Si Israël se montrait docile à la volonté de Dieu, s’il obéissait à ses commandements, si ses dirigeants respectaient les consignes de la loi de Moïse, si les solennités liturgiques manifestaient un respect de la Loi divine, tout allait bien. Dans le cas contraire, ce qui était fréquent, les ennemis d’Israël auraient été utilisés par Dieu, comme le bâton dont il se serait servi pour corriger son peuple.
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Mais ce n’est pas toujours le cas. Josias, un roi plus pieux que les autres, qui respectait des consignes et qui a réformé le culte, a péri aux mains du Pharaon Nékao et Israël (le royaume du Nord) a perdu son indépendance. Tout ce que nous pouvons dire c’est que Dieu châtie les uns et parfois pas suivant son bon vouloir.
Ce que nous pouvons affirmer, c’est que Dieu fasse connaître sa volonté par la voix des prophètes. Ils nous apprennent que la volonté de Dieu est liée au respect et l’amour du prochain, à la libération de l’opprimé et au secours des plus petits: les veuves, les orphelins, les étranger et les pauvres. La clé de comprendre l’action de Dieu dans l’histoire est le récit de la sortie d’Égypte pour venir en aide d’un peuple opprimé. Mais cette histoire nous pose plus de questions qu’elle nous donne des réponses! Quel est ce Dieu qui sauve un peuple en les ouvrant la mer au prix d’engloutir l’armée d’Égypte dans les mêmes eaux?
Encore une fois ce peuple se trouve en esclavage, à Babylone et en devenant vainqueur des Babyloniens, Cyrus propose un autre avenir pour Israël. Pour des raisons propres à sa politique il décide du retour d’Israël. Nous pouvons dire que ce projet est dans la ligne droite de la volonté de Dieu, mais de là pouvons-nous affirmer que Dieu s’est servi de Cyrus? Dieu est-il vraiment un Dieu qui intervient dans les affaires de ce monde pour que le sens de l’histoire aille dans le sens de ses désirs? Imaginons-nous un Dieu qui se sert d’es personnes en les manipulant pour que leurs actions aillent dans le sens divin? Que dire alors de l’action de l’Esprit de Dieu? Quelle est la part de l’inspiration de Dieu?
Pour commencer nous pouvons dire que Dieu prend nos projets libérateurs pour les faire siens. Et que c’était même le cas de Cyrus. Il arrive que les dirigeants de ce monde tournent leur cœur vers Dieu pour sonder ses désirs et ses volontés. Il existent des puissants qui cherchent le bien et qu’ils croient qu’en cela ils sont en train de réaliser les projets de Dieu.
Dieu est alors actif, dans les coulisses de l’histoire. Attendons-nous plus de Dieu? Ou mieux? Voulons-nous que Dieu agit à notre place, et à la place de nos dirigeants? 
Il existe les hommes et les femmes qui cherchent la volonté de Dieu, qui essayent d’agir selon les projets divins. Mais dans le passage d’Essai il s’agit d’un non-croyant, ou d’un croyant d’un autre Dieu. Et Dieu l’appelle, par son nom. Dieu le connaît. Dieu le précède et Dieu devient sa force pour conquérir ses ennemis. Dieu ouvre les portes devant lui. Tant de succès pour un mécréant.
C’est compliqué, et c’est injuste. Que dire alors? Que le regard de Dieu ne s’arrête pas sur la personne, ce qu’elle a fait, ce qu’elle croit, mais sur le projet et l’action engagée. On peut dire que Dieu insuffle son esprit dans les projets libérateurs des hommes et des femmes pour les faire siens. On peut regarder le récit d’Esaïe et apercevoir que Dieu se reconnaît dans l’objectif de Cyrus de libérer le peuple d’Israël.
L’histoire nous dit que parfois les dirigeants tournent leurs cœurs vers Dieu, qu’ils cherchent l’inspiration afin de mettre en pratique la loi de la justice et de la paix. Ce n’est sûrement pas assez souvent le cas. Il n’empêche que la volonté de Dieu consiste à œuvrer pour le mieux être de l’humanité et Dieu laisse libre choix, un choix totalement libre de devenir ou non l’influence de son amour en acte.
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Faire la volonté de Dieu se traduit dans nos choix et nos actes. Inspirés par l’esprit de Dieu nous pouvons mener à bien nos projets parce que Dieu agit en nous, en nos projets et nos actions afin que par-ci et par-là ce monde soit transformé à la ressemblance de son créateur.
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