Alright i'm finally doing the "spell your url with songs title" that i saw @abibeur do once
Was a lot of work and I would've liked to put more things in it but oh well
The Fight by The Protomen
All Black by clipping.
Contaminado by La Femme
Orinoco Flow by Enya
Movie (Never Made) by A Silver Mt. Zion
One-Winged Angel (Extended Mix) by SiIvagunner
Mourir pour des idées by Georges Brassens
El Mañana by Gorillaz
No Church In The Wild by Jay-Z and Kanye West
Teardrop by Massive Attack
Can't Say Goodbye To Yesterday by Carla White
End Of Forever by Samsara Blues Experiment
Rhinestone Cowboy by Madvillain
The Model by Kraftwerk
I'm A Fucking Emperor by jazzwave
Fire by The Crazy World of Arthur Brown
I Cento Passi by Modena City Ramblers
Et si nous n'avions pas été là l'histoire aurait été la même mais racontée par d'autres by Diabologum
Régions Fédérées by Stupeflip
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Diabologum - La Maman et la Putain
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[REWIND] Diabologum - #3 (Ce n'est pas perdu pour tout le monde...) [FULL ALBU...
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POST-POST-SCRIPTUM 1066
INTERVIEW D’OLIVIER JOSSO HAMEL IN SECTION 26
Avant l’avènement d’internet et les changements de mes pratiques de lecture, en gros, en 1997, l’année où j’ouvre ma boîte Hotmail, chaque nouvelle sortie en kiosque était examinée avec soin. C’est sans doute au détour d’une maison de la presse, d’un point presse de la gare de Belfort ou de Strasbourg, que je suis tombé sur Jade. Depuis Métal Hurlant et comme je ne suis pas très BD, ma règle était la même : lire entre les cases. En effet, c’est dans les pages consacrées au cinéma, à la littérature ou à la musique que je trouvais mon compte d’infos sur les disques, sur les livres et sur les films qui allaient compter. Jade, publié par une petite maison d’édition provinciale, avait le goût du fanzine bien fait, avec quelques rubriques qui préfiguraient l’effervescence d’internet et des blogs pointus : obsession des films perdus, chroniques de disques oubliés, niches graphiques… Mieux, on y trouvait les admirables photos d’Eddie Vee, des interviews de Philippe Dumez avec la crème des hurluberlus américains (Make-Up, Calvin Johnson…) et des marges françaises (Diabologum), et des chroniques pointues de Marie-Pierre Bonniol (Supersonic Jazz) et de Philippe Robert. Ce qui me passionnait le plus cependant était la rubrique tenue par Olivier Josso Hamel : des pleines ou des demi-pages dessinées qui compilaient chroniques et nouvelles sorties, voire annonces de concerts autour du rock. Digne héritier de cette façon originale de présenter la musique par le dessin, d’en parler en crayonnant, il reprenait ce que Métal et Rigolo (on y reviendra) avait tenté au milieu des années 80, et posait les bases de l’expression d’un Luz ou d’un David Snug sur la musique. Il rappelait surtout la très grande chronique tenue par Willem dans divers supports (Charlie Hebdo, Libé), Images, qui évoquait l’actualité visuelle et graphique en dessins. L’aventure d’Olivier s’est prolongée dans Ferraille, et c’est avec générosité qu’il nous détaille son histoire et celle de sa discipline : les Buzzcocks, les Cramps, Jean-Christophe Menu, Les Gories, Cleet Boris, Mr Quintron,Kevin Ayers, Yo La Tengo, Calvin Johnson, Winshluss, Bazooka… Ils sont tous là. Une vraie fête organisée par Salvador Dalí : « Everybody was there », aurait chanté Dan Treacy.
J’ai découvert ton travail dans Jade, fasciné par cette façon d’évoquer la musique, de la faire surgir de dessins et de textes entrelacés. D’où t’es venue l’idée de cette rubrique ?
Olivier Josso : « En mai 1991, à Rennes, Laure Del Pino et moi avons créé notre fanzine Brulos Le Zarzi. J’avais alors 23 ans, et à mes yeux seuls comptaient le rock’n’roll, la bande dessinée et le cinéma d’auteur. De fait, Brulos retranscrivait naturellement ces nourritures, avec une prédilection pour certaines amours musicales : dès le n° 0 y figuraient les Cramps et Johnny Thunders, auquel on rendait hommage puisqu’il venait tout juste de mourir. Dans le numéro suivant, je réalisais mon tout premier article entièrement manuscrit et dessiné, où je m’enflammais sur les Gories. J’avais découvert le groupe via leur fabuleux Houserockin’, acquis à l’instinct au vu de sa seule pochette. Une image aussi parlante ne pouvait qu’illustrer un rock’n’roll premier, tout près de l’os, et l’intuition fut plus que confirmée à l’écoute : c’est toujours l’un de mes disques préférés aujourd’hui. Originaires de Détroit, les Gories étaient alors annoncés à l’Ubu de Rennes, où la perspective de les voir jouer m’a galvanisé au point de souhaiter partager cette excitation en temps réel. J’ai donc écrit et dessiné un papier spontané, hyper enthousiaste, où j’explique à ma sauce qui est ce groupe alors totalement inconnu. Finalement, je n’ai rien exagéré : le concert qui a suivi fut fabuleux, et les Gories sont devenus une véritable légende. Demandez à Jack White : les White Stripes du début leur doivent tout. »
« Depuis l’enfance, j’ai ingurgité d’innombrables articles et chroniques, avec pour objets principaux bande dessinée et rock’n’roll, ou plus largement les arts graphiques et la musique. Or, ces domaines m’ont énormément nourri, et continuent de me combler. Dans cette ruche, les chroniques sont comme des abeilles, émissaires qui pollinisent et redistribuent l’énergie, jusqu’à parfois la transcender. Cheap dans sa forme, la chronique représente un art modeste, mais c’est justement là que réside la beauté du geste. Car tout dépend de ce qu’on y met et de ce qu’on en fait : incarnée et bien sentie, une chronique peut contribuer à révéler le carrosse derrière la citrouille. Au minimum, elle promet... À suivre ici.
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Je vous invite tous à trouver des photos de profil jaunes de votre création, que vous soyez français ou non, c'est moins évident que des gilets, et plus amusant et artistique, ce, que vous soyez photographe ou non. Ceci vaut aussi pour les peintres, etc.
Que vous compreniez les gilets jaunes ou non, je trouve cette chance inestimable, et ai longuement et plusieurs fois explicité pourquoi je pense qu'il y a un GROS coup à jouer. Enorme. Avec des lendemains un peu plus dégagés.
Basile Pesso, FreeLand, 21 novembre 2 018, 1e diffusion ce jour-là (Fb)
(Addendum 24/11/18 : pas changé mes avatars Tumblr, juste le Fb)
Diabologum, 365 Jours Ouvrables
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In Memory of John Peel Show 201114 Podcast & Playlist
In Memory of John Peel Show 201114 Podcast & Playlist
“Brazilian Pit Viper Saves Dj from Fatal Path”
>>> Music independent of the industry system – back this show on patreon Paypal to
[email protected] heard in over 90 countries via independent stations the best new music in association with KFFP FM
https://radiopublic.com/in-memory-of-john-peel-show-6nVPd6/
(RSS)Pod-Subscribe for free here or embed/listen at podomatic – ituneshere’s the latest…
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JE METTRAIS BIEN DE LA POUDRE SUR MES YEUX
JE CHOISIRAIS BIEN UN ROUGE PLUS SOYEUX
POURQUOI S’ENRAGER,
À QUOI BON ?
JE VEUX CONSERVER
MA RAISON
Diabologum - Les garçons ont toujours raison
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Diabologum - # 3 (Ce n’est pas perdu pour tout le monde..)
I have a colleague from Toulouse with whom I share similar tastes in music, especially when it comes to guitar-driven stuff. I know very little about French music, so I asked him for a sample of his favorites and Diabologum’s # 3 topped the long list of albums he shared with me on Spotify. It could be because he’s biased (Diabologum is also from Toulouse) or it could be because this record is a force of nature from start to finish. That is, if you like experimental, noisy, indie rock mixed with a bit of spoken word, electronica, and sampling.
But it’s melodic and atmospheric through and through. Like a post-rock, post hardcore trip hop. Or something. Or maybe not. It’s hard to pinpoint exactly what you could expect using my very limited vocabulary of music criticism. But maybe if you listen to “De la neige en été”, “La maman et la putain”, “Dernier étage” and “Il faut”, you’d understand the scope of this 21-year-old record. And perhaps you’d agree with me that unlike a lot of mid-90s rock (at the end of the day, Diabologum is a rock band), this doesn’t sound dated in music’s current landscape.
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Onion Most Dangerous Game
En 1994, le label Aliénor Records de Bordeaux a publié un coffret de 3 45 tours compilé par Martial. Au programme de l’indie pop, de l’indie rock…
Il y a aussi plusieurs reprises Joy Division par Diabologum, Henri Salvador par Katerine et le désormais feu Daniel Johnston par Les Tender Whiskers. Plus une adaptation de ‘Two Princes’ par Cody _very affirmative feminist…
On écoute juste ici et j’ai mis toutes les images (40 quand même…). Les images sont tirées du film “Les Chasses du Comte Zaroff”.
Lien vers la fiche discogs > https://www.discogs.com/Various-The-Onion-Most-Dangerous-Game/release/1849102
#AliénorRecords #IndiePop #IndieRock #Shoegaze #Punk #DesGarçonsOrdinaires #Sonneville #Newell #Katerine #LesTenderWhiskers #Superdrug #PolarBear #Boyracer #Elliott #InTheBus #Diabologum #Cody #LesMolies
from WordPress https://rcourbayre.wordpress.com/2019/09/12/onion-most-dangerous-game/
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La playlist de l'émission de ce jeudi matin sur Radio Campus Bruxelles entre 6h30 et 9h : Richard Youngs "The Graze of Days" (Sapphie/Jagjaguwar/2000) Midget "Premier soleil" (Ferme tes jolis cieux/Objet Disque/2017) Merope "Bitinėlis" (Salos/STROOM-granvat/2021) Jim O'rourke "Never Again" (CHICAGO 2018... It's Gonna Change/Clearspot/2000) Lena Platonos "Τώρα που περιμένεις την Αγάπη σου = Now, While You Wait For Your Love" (Εξισορροπιστές = Balancers/Dark Entries Records/1982-2021) Sun Ra and his Solar Arkestra "Ankh" (Art Forms of Dimensions Tomorrow/Saturn Records/1965) Pedro Santos "Flor de lotus" (Krishnanda/Mr Bongo/1968-2016) The Olivia Tremor Control "Holiday Surprise 1, 2, 3" (Dusk at Cubist Castle/Flydaddy Records/1996) मोहम्मद रफ़ी [Mohammed Rafi] "Jaan Pehechan Ho" (Ghost World Soundtrack/Shanachie/1965-2001) Mahmoud Ahmed "Etu Gela" (Mahmoud Ahmed/Mississippi Records/1974) Pop' Liberty 6 "Qu'est-ce que ma sœur f... dans la machine à vapeur...?" (Ils sont fous ces gaulois Vol. 1/Ronnie/1966-1995) Messieurs Richard de Bordeaux & Daniel Beretta "La Drogue" (Le Temps Fou EP/Barclay/1970) Caterina Valente "39 de fièvre" (Orchestral Party Act 2/St-Germain des Prés Records /1962-1997) Tip Top (alias Jarvis Cocker) "Elle et moi" (Chansons d'ennui/ABKCO Music/2021) Céline Lory "Tout ira bien" (En corps y-bride/Autoproduction/2019) Bourrasque "Mariez-moi ma mère" (Bourrasque/Autoproduction/2018) Eric Chenaux "There They Were" (Say Laura/Constellation Records-Murailles Music/2022) Vic Chesnutt "Everything I Say" (North Star Deserter/Constellation Records/2007) Diabologum "Aussi belle qu'une balle" (La jeunesse est un art (1993-1994)/Ici d'ailleurs/2020) Suicide "Dream Baby Dream" (7"/Island Records/1979) https://www.instagram.com/p/CaE3cvHtWw3/?utm_medium=tumblr
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Toujours incisif, Michel Cloup embauche “A la ligne”
Pascal Bouaziz, Michel Cloup Duo - A la ligneD'après le titre éponyme du livre de Joseph Ponthus, offrant un témoignage saisissant du travail en usine, Michel Cloup, Pascal Bouaziz et Julien Rufié signent un album puissant au confluent de la chanson, du rock et de l’électronique.
En 2019, la Station Service, structure de production et diffusion œuvrant dans la sphère des musiques actuelles, donne carte blanche à Michel Cloup pour adapter un livre en musique avec les collaborateurs de son choix. Franc-tireur notoire de la scène musicale française, révélé dans les années 1990 grâce en particulier à Diabologum, le chanteur et guitariste toulousain va jeter son dévolu sur A la ligne, premier livre de Joseph Ponthus, paru en janvier 2019 aux éditions La Table Ronde.
Parvenant à garder le sens de l’humour même au bord du découragement et de l’épuisement, l’auteur y relate ses expériences de travail dans une conserverie de poissons puis dans un abattoir avec autant de justesse que de liberté de ton.
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Écouter / acheter: Les garçons ont toujours raison / L'art est dans la rue de Diabologum
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Il y a vingt ans, j'ai eu vingt ans. Et voilà. La vaine énumération. Une vie avant, une vie après. Mais une famille incroyable et, chaque jour qui passe, surprenante, des amitiés indéfectibles, entre l'or et l'acier, certains silences prolongés, suggérés, et une absence, une putain d'absence. Difficile de ne pas croire à l'histoire que je raconte à tes petits enfants, ton étoile brille plus que les autres. S'il fallait une bande-son pour exhumer ce laps de temps sifflotant, la voici, effilée de quelques classiques, mes classiques, ayant éreinté les lointaines années 2000.
William S. Burroughs - Word Falling, Photo Falling Grandaddy - He's Simple, He's Dumb, He's the Pilot Sebadoh - I Smell a Rat Guided by Voices - Bright Paper Werewolves Diabologum - Un Instant Précis Mogwai - Cody (Cava Sessions) Sonic Youth - Tokyo EyeSlint - Washer Fugazi - Waiting Room Tortoise - Cornpone Brunch Weezer - Tired Of Sex The For Carnation - Being Held Pavement - Half A Canyon Silver Jews - Smith and Jones forever Belle & Sebastian - Sleep The Clock Around The Notwist - Pilot Chokebore - Ciao L.A. Jeffrey Lewis & The Junkyard - The Upside-down Cross Sonic Youth - Ca Plane Pour Moi
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FRANCHE TOUCHE
Nicolas TRESPALLE / ©Élodie Daguin - Barbara Carlotti
HERVÉ BOURHIS
Déjà bien rôdé avec son Petit Livre Rock, son Petit Livre Beatles ou son Petit Livre de Black Music, l’illustrateur, accompagné cette fois au crayon par Hervé Tanquerelle, rempile pour survoler la grande et petite histoire de la « French Pop ».
Jouant du flou artistico-juridique qui entoure ce terme, les auteurs se
sont amusés à compiler en près de 250 pages une somme d’anecdotes
érudites sur la chanson française et francophone, décortiquée en long en
large et surtout en travers.
Invitant au feuilletage plus qu’à une lecture linéaire, l’ouvrage, qui
remonte tout de même à 1792 avec La Marseillaise pour suivre l’actualité
la plus récente de 2018, offre un tableau vertigineux de cette « Pop » qui
embrasse tous les genres et sous-genres puisque s’y percutent le twist,
l’electro, le rap, le disco, le prog’, l’alternatif, le metal, le rock guadeloupéen
voire le « zouk béton » jusqu’à l’inévitable chanson à texte.
Autant dire que ce panorama, s’il ne peut faire l’impasse sur les cadors
inévitables que peuvent être Trenet, Gainsbourg, Daho ou Françoise
Hardy, tire tout son sel des centaines d’artistes obscurs ou brièvement
populaires présentés ici sur un pied d’égalité et qui ont formé par
leur audace, leur folie, leur flair, parfois leur cynisme, une partie du
patrimoine musical du pays de Francis Lalanne.
Si on retrouve bien sûr quelques plaisirs coupables pour les tubes du
Top 50 ou des focus sur des aveuglements encore incompréhensibles
(La Danse des canards, naturellement Palme du WTF), le projet du duo
se lit surtout comme une entreprise de réhabilitation méritée pour toute
cette armada de francs-tireurs et de soutiers discrets du métier.
Ponctué de blaguounettes, Le Petit Livre French Pop remet ainsi l’accent
sur les éternels losers et présentent quelques chefs-d’oeuvre inconnus et
autres maudits de la discographie franchouille. Citons, avec subjectivité,
Ronnie Bird, Chico, Vigon, les Problèmes (futurs Charlots !), les rollergirls
mirifiques Stella, Clothilde, Jacqueline Taïeb, le mystérieux Alain
Kan et plus récemment les Diabologum, Julien Gasc et nos vaillants
garageux Magnétix.
À l’occasion de l’Escale, un concert dessiné viendra offrir une BO sur
mesure à ce répertoire irraisonné grâce à la présence de Barbara Carlotti,
dont l’album autoproduit Magnétique figure en bonne place dans les
pages de l’ouvrage. Personnalité à la fois discrète et saillante de la
chanson française, la chanteuse qui a par le passé travaillé avec l’auteur
de BD Christophe Blain sur La Fille – un road trip psychédélique en BD
qu’elle a mis en paroles et musique – viendra faire mentir définitivement
le perfide John Lennon lorsqu’il claironnait que le « rock français, c’est
comme le vin anglais ».
Concert dessiné, L'Escale du livre pop !
Samedi 6 avril, IUT Plateau TV - Heure à confirmer
12 / 15 € - Billetterie sur www.escaledulivre.com
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