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#idéologie réactionnaire
mithridas · 2 years
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Petit article pour mieux comprendre le rôle de l'extrême-droite et des TERF dans les attaques contre le Planing Familial via l’analyse des données liées à la polémique et leurs dynamiques de propagation.
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tournelavie · 2 years
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LE FÉMINISME II
Le combat révolutionnaire du féminisme est le combat contre l'homme en tant que sexe qui s'est identifié au processus de l'histoire. Alors ce n'est plus la guerre des sexes de l'origine. C'est une nouvelle guerre. D'ordre métaphysique. Celle de la substance contre l'histoire. Le combat féministe se révèle n'être que le combat de l'idéologie réactionnaire contre le sens de l'histoire. Et sous une forme moderniste. Le féminisme réactive un archaïsme, le dénature, le falsifie pour en faire une nouvelle idéologie de la substance: l'Être sans l'histoire (idéologie commune à tous les penseurs de la modernité bourgeoise, à partir de Heidegger).
Le nouveau statut conféré à la femme n'est autre, alors que son nouveau pouvoir mondain, une nouvelle stratégie du pouvoir de classe. Elle a fonction d'implanter la social-démocratie libertaire et ce qui est désolant, à partir d'un bon sentiment: la révolte légitime de la femme outragée. Femme doublement spoliée: par l'homme de la société victorienne et par l'homme de la société permissive.
Le féminisme sera cette contradiction radicale, ce paradoxe mis en place et promu par le pouvoir: l'égalité des sexes est revendiquée en même temps que le sexisme radical. [...] Comme si l'égalité "naturelle" pouvait s'identifier à l'égalité politique et culturelle. [...] La seule mesure de l'égalité politique entre l'homme et la femme, c'est l'égalité devant le travail. C'est l'égalité proposé par le socialisme (celui qui lutte contre la social-démocratie). C'est la seule manière d'en finir à la fois avec l'Eve maternelle et l'Homme éternel. Alors plus de phallocrates ni de féministes. Mais un rôle commun, dans le procès de production et de consommation.
Extrait du Capitalisme de la Séduction -- Michel Clouscard
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lonesomemao · 6 months
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LE VENT AMOUREUX DE MINUIT
Paris Unesco
Esprit COP 21
Sexe le paritaire
Etat Macron
IA OTAN raison
Laïcité à la Française
Une France de gentils
Etat social CNR le refaire
L'immigré est notre frère
La Femme Occidentale
Vie de château
Ursula Von der Leyen
Lumière en Madame Voltaire
Idéologie Allemande Soleil Vert
Vaduz où il y eut en virtuel Hitler
Arnold Schwarzenegger
Manuel il rassure musculaire
Conservateur mais pas réactionnaire
Dimanche 10 septembre 2023
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aurevoirmonty · 2 years
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Jeudi dernier, le parlement espagnol a approuvé la controversée loi Trans, un projet de la gauche radicale de Podemos et de la ministre de l’égalité Irene Montero. Cette loi reconnaît la libre autodétermination du genre et supprime le changement de sexe déclaré, sans obligation de présenter un rapport médical. Pour changer de sexe, il suffit que la personne concernée en fasse la demande par écrit et sans avoir à fournir de preuves ou de témoins. En ce qui concerne les mineurs, la loi établit que l’âge auquel toute personne peut « rectifier » la mention de son sexe est abaissé à 16 ans.
Cet âge est réduit à 14 ans dans le cas où les mineurs sont « assistés » par leurs parents ou par un « défenseur judiciaire » en cas de désaccord. Cette voie judiciaire est également ouverte aux mineurs âgés de 12 à 14 ans. En dessous de cet âge, seul le changement de nom peut être effectué. Irene Montero a défendu la loi, affirmant que « l’identité de genre est un droit constitutionnel » et qu’il n’est pas question de donner « un pouce aux réactionnaires et à la transphobie, ni de laisser la porte ouverte aux discours de haine ».
La réponse du groupe parlementaire VOX est venue de la députée Carla Toscano, dans un discours qui a provoqué une véritable réaction hystérique de la gauche. Toscano a commencé son discours en citant Chesterton, « le jour viendra où des épées seront tirées pour prouver que les feuilles sont vertes« , un bon rappel que les lois passées autour du genre et de l’idéologie progressiste « nous obligent à tourner le dos à la réalité et pénalisent quiconque refuse de le faire« .
Le député conservateur a souligné l’absence de caution scientifique de l’idéologie du genre, une conception du genre comme une construction sociale, modifiable à volonté et subordonnée aux désirs de l’individu. « C’est une proposition folle mais tentante. Elle rappelle le ‘Vous serez comme des dieux’ de la Genèse, car elle remet entre nos mains une réalité que nous croyions immuable. Et ce faisant, elle crée une illusion de liberté ». Or la vraie liberté ne se construit pas sans réalité, et plus que des dieux, toute cette idéologie nous rend esclaves.
« Pour ce faire, vous utilisez misérablement la tragédie de quelques, très rares cas de personnes intersexuées ou qui ne s’identifient pas à leur sexe biologique, ou de dysphorie de genre chez les adolescents, pour faire passer le rouleau compresseur trans et l’imposer à notre société ».
Mme Toscano a fait remarquer que la société est capable d’offrir respect et soutien à ces personnes, mais ce soutien ne peut pas s’inscrire dans une perspective idéologique, mais dans une perspective scientifique, médicale et, surtout, dans une « perspective véritablement humaine ». Elle a également déclaré qu’il ne s’agit pas de lutter contre une quelconque discrimination, qui est déjà punissable dans le système juridique espagnol, mais d’imposer une idéologie de genre et de créer des privilèges : « Et au sein de cette promotion sauvage, nous arrivons au point le plus intolérable de cette loi. Les enfants ».
« Nous ne voulons pas qu’on leur fasse expérimenter leur corps, nous ne voulons pas qu’on les encourage à se masturber, nous ne voulons pas qu’on leur dise qu’ils peuvent choisir d’être des garçons ou des filles, nous ne voulons pas qu’ils soient éduqués d’une manière qui diffère de nos croyances. Et dire cela, ce n’est pas être arriéré, fasciste ou vieux jeu, c’est aimer nos enfants et vouloir préserver leur innocence et leur pureté« . Toscano a montré ce qui se passe dans d’autres pays à cause de la propagande de genre et de lois comme celle-ci, où de plus en plus d’adolescents souffrent de dysphorie. Au Royaume-Uni, le nombre de cas a augmenté de 4400% en dix ans, ce qui a donné lieu à une enquête gouvernementale ; en Suède, le nombre de cas a explosé de 1500%, et de plus en plus chez les femmes. « Mme Montero, enlevez vos mains sales de nos enfants ».
Concernant les adultes, la députée VOX a déclaré que légiférer en fonction des souhaits ou des perceptions de soi de chacun dégénère en lois frauduleuses et en situations absurdes, injustes, voire dangereuses. « Pouvez-vous imaginer un monde où tout le monde est obligé de nous traiter comme nous le ressentons ? » a-t-elle demandé. « Aujourd’hui, c’est le jour où il faut crier : L’herbe est verte. Les garçons ont un pénis et les filles ont un vagin. Le sexe est binaire. Nous sommes nés mâles et femelles. La biologie est réelle. L’idéologie du genre est un cancer. C’est le gouvernement le plus totalitaire et destructeur de l’histoire de l’Espagne. Et Vox est le seul parti qui défend le Bien, la Vérité et la Beauté », a conclu Toscano.
Le discours de Carla Toscano a provoqué une réaction excessive de menaces violentes à son encontre sur Twitter et les médias sociaux. « Merde nazie », « tant de voitures et aucune ne t’écrase », « salope malade« , ont été quelques-uns des commentaires sur son discours. Une fois de plus, la gauche démontre que sous couvert de tolérance et de diversité, se cache le totalitarisme. Oui, Chesterton avait raison.
Alvaro Penas
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Les polémistes de talent ne sont pas communs.
"Je republie ce texte qui doit avoir à peu près un an, et n'a pas pris une ride:
Vous vouliez savoir à quoi ressemblerait le monde du droit naturel enfin réalisé ? Eh bien, tel que je vous vois maintenant, avec votre tchador-kleenex unisexe collé sur la gueule, vos manifestations, anniversaires et apéros interdits par l’Etat-mère abusive, dans l’attente d’une vaccination inutile dans le meilleur des cas et des nombreuses cartes à puces destinées à « sécuriser » vos mouvements à l’avenir, je dirais que vous devriez bientôt être fixés. A tous les sens du terme.
E. Kant – l’un des promoteurs de l’idée – vous avait bien prévenus, quand il vous expliquait que la seule moralité incontestable est celle du mourant qui refuse d’abréger ses souffrances par pur respect d’un impératif moral. Vous auriez dû comprendre dès alors que tel était, effectivement, le sort que vous réserveraient, tôt ou tard, les progressistes, les démocrates et autres «artisans de la paix universelle».
Mais ceux d’entre vous qui me font le plus de peine, ce sont, finalement, les «conservateurs», les «identitaires», les «illibéraux». Ceux qui, au premier chef, auraient dû voir ça venir. Je les vois encore, dans le monde d’avant, éclater d’une noble indignation contre le «politiquement correct». Au nom, bien entendu, d’un politiquement encore plus correct. Les parfaits taureaux de corrida. Ils n’y ont vu que le rouge de la cape. L’idéologie victimaire, ils l’ont bue au sein de leur féministe de mère. Pour se donner ensuite l’illusion de la critiquer. Il y avait, bien sûr, désaccord sur le choix des victimes. Certaines, trop noires ; d’autres, pas assez chrétiennes. On exigeait un quota d’aryens. Principe de base de l’arnaque démocratique: chacun peut choisir son parti, puisque tous les partis incarnent le régime.
Le féminisme, au moins, aurait dû leur mettre la puce à l’oreille, quand il a commencé, avec le naturel inquiétant des hallucinés, à parler des femmes (qui constituent invariablement la majorité démographique du genre humain) comme d’une «minorité». La victimitude, depuis longtemps divorcée de la sociologie et du droit, s’émancipait enfin des lois de l’arithmétique. Et pourtant, on n’en était encore qu’aux prototypes.
C’est, bien évidemment, l’idéologie covidienne qui a, finalement, réalisé le modèle dans son absolue plénitude. La démocratie, arrivée à maturité totalitaire, vous expliquait inlassablement, de la Place Rouge à Nuremberg, que l’État, c’est vous - le parti (évidemment unique) étant le peuple lui-même. La post-modernité cohn-benditienne rétorquait, sur une voix de fausset, qu’il n’y a pas de salut en-dehors de la «protection des victimes». En fin de compte, Bill Gates, Neil Ferguson et les autres apôtres du Covid ont réconcilié ces frères ennemis de la modernité finissante: aujourd’hui, tout citoyen de l’État covidien mondial est à la fois une victime potentielle de la grippe transsubstantiée, et un soldat de l’armée du salut sanitaire, qui concentre désormais dans ses mains philanthropiques les prérogatives jadis divisées entre «pouvoir législatif», «exécutif» et «médias». Le pouvoir judiciaire (et notamment quelques cours constitutionnelles) rechignent encore un peu: on ne tardera pas à les mettre au pas. A la différence de l’infâme Union Soviétique, la «pandémie» ne vise pas spécifiquement les pauvres Ukrainiens, ou les malheureux koulaks ; contrairement à l’odieux nazisme, elle ne pratique aucune discrimination antisémite : sa «menace» (fictionnelle) a toute l’universalité du pouvoir de contrainte qu’elle est chargée d’instituer. La guerre civile mondiale (à – pour l’instant – bas régime) qu’elle déclare ne reconnaît pas d’États neutres, ni de populations non-belligérantes. Quiconque ne portera pas le tchador unisexe de la nouvelle religion est ipso facto réputé vouloir les heures les plus sombres.
Éternuer librement, c’est gazer de pauvres petits déportés. Refuser un vaccin inutile, c’est, potentiellement, vouloir la mort de sa mère, la mort de toutes les mères – ces héroïnes de l’ère transhumaniste, qui ont choisi de ne pas avorter. A la naissance, on est déjà coupable d’avoir mis en danger une précieuse vie féminine (comprendre: d’avoir risqué d’écourter le temps total de consommation de séries télévisées d’une oligophrène tertiaire) ; on n’aura pas assez d’une vie pour se le faire pardonner, comme de bons pénitents jansénistes, en pratiquant l’auto-isolation, l’auto-étouffement prophylactique, la dénonciation des hérétiques, et en tenant son corps, comme terrain d’expérimentation, à la disposition de la sainte médecine vaccinale.
Le plus symptomatique, c’est, en dehors de quelques réduits réactionnaires, l’acquiescement des «chrétiens» à cette monstruosité. Comment pourraient-ils, en effet, se rebeller contre une idéologie qui porte simplement à sa perfection le modèle que leur propre foi, maladroitement, propageait déjà, depuis que le piétisme a fini d’y liquider les derniers restes de mystère? Les protestants avaient au moins eu la sincérité de renier la Présence réelle ; les catholiques viennent de les rejoindre discrètement dans l’hérésie, obligés d’avouer par leurs actes couards que la seule présence en laquelle ils croient encore est celle de virus certes invisibles, mais mieux médiatisés que leur pauvre Saint-Esprit."
Modeste Schwartz
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claudehenrion · 4 years
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Les “pastèques”… et le goupillon ( II )
  On nous avait promis une “vague verte durable’‘ : gageons que la démonstration de la capacité destructrice des maires verts, dégoûtera ’'durablement” les électeurs qui hésiteront à remettre un bulletin EELV dans les urnes en 2022 : il n'a pas fallu attendre longtemps pour toucher du doigt leurs limites. Comme ils l'ont fait à chacune des élections précédentes, nos écolos en peau de lapin ont, un mois à peine après avoir été élus avec des scores qui sont un défi à une vraie démocratie, commencé à se déchirer à coups de noms d'oiseaux (pauvres oiseaux, si jolis !). Jusque là, rien que de très habituel, et on aurait même été étonné du contraire.
  Là où les choses se corsent, c'est que l'analyse des résultats de ces “législatives” débouche sur des constatations étranges : plusieurs des élus EELV de couleur  “pastèque”, qui sont tous totalement opposés à tout ce qui vient de notre civilisation chrétienne, se présentent comme des “cathos”, en assumant une foi chrétienne et des parcours religieux ou spirituels qui sont en opposition complète avec leur positionnement idéologique. Le profil-type de ces nouveaux édiles a en effet de quoi surprendre : hommes ou femmes blancs, âgés d’une quarantaine d’années, diplômés, “CSP +”, très politisés à gauche mais se disant catholiques… alors que le lien qui pourrait exister entre la croix et l’écologie politique est tout, sauf évident.
  Vanessa Jérôme, sociologue et spécialiste de l’écologie politique et des Verts, explique : ’’A priori, on ne voit pas bien comment ça peut faire sens (ce charabia n'est, bien sûr, pas de moi !) car EELV a très vite pris position dans les débats de société. Mais il y a eu des catholiques dans toutes les générations de militants, et des Verts venus de la gauche catho ont irrigué le monde associatif et politique : anciens des JOC, JAC et JEC (les jeunesses ouvrières, agricoles et étudiantes catholiques), ils ont participé aux communautés Emmaüs, citent en exemple les prêtres ouvriers, parlent de leur engagement politique et philosophique et se disent opposés aux valeurs qui sont considérées normales par ceux qui tentent de l'être’’.
  On les a retrouvés par la suite dans tous les combats pour de mauvaises causes, du MRJC à la CFDT, du PSU au Larzac et de l'Arche de Lanza del Vasto à l'écologie politique, toujours assimilant les combats de la Gauche extrême au “Bien”, et toujours mélangeant la protection de la planète avec des interprétations fumeuses, partisanes et engagées du droit-de-l'hommisme le plus déconnant.   (NDLR - Fidèle à son “modus bluffendi”, -du très mauvais latin pour dire “habitude de mentir”- la Gauche croit résoudre les problèmes en changeant le sens des mots et en donnant à chaque chose la non-définition qui lui convient à ce moment-là).
  Il faut se souvenir que la pensée dominante des années '70 avait aussi été  gravement troublée par une confusion impossible entre ‘’chrétien’’ et “de Gauche” (petit rappel : “être de Gauche” implique le refus de toute “soumission de la raison à l'existence de dominations extérieures à elle”, ce qui exclut toute religion, par cette idéologie). D'un autre côté, l’encyclique “Laudato si” ( = “Loué sois-tu”) a pu troubler des militants qui se sont cru renforcés dans leur double conviction, mais cela n'est pas suffisant pour expliquer l'inexplicable : une double conviction, une double fidélité, un double engagement… appartiennent au monde des idées, pas à celui des réalités, et nous payons assez cher le fait que nos dirigeants croient à la possibilité d'une “double nationalité” que, dès mai 1993, mon ami le roi Hassan II avait démontré impossible. Aujourd'hui, dans la nécessaire recomposition idéologique des droites, l’écologie politique est un nouveau front culturel où fleurit un discours “ultra-réactionnaire de Gauche”, ce qui est un comble.
  La relève et la jeune garde jouent sur les codes hédonistes de la contre-culture des années 60 et manipulent des références philosophiques et littéraires éclectiques : Bernanos, Debord, Pasolini, Orwell, Ellul, Latouche ou Simone Weil (la vraie, pas celle qui est au Panthéon). Avec ces “chrétiens à sincérités variables”, le temps où une Christine Boutin défendait les convictions catholiques la Bible à la main est passé. Leur porte-étendard est la revue trimestrielle “Limite – Revue d'écologie intégrale” (fondée en 2015), Dans l'intention, Limite dit vouloir œuvrer pour la prise de conscience écologique, en promouvant la sobriété, la relocalisation, la convivialité et la fraternité, ce qui sonne très joliment. Pourtant, l'opposition totale entre ces intentions et les actes des écolo-cathos élus récemment fait que l'une de leurs deux sincérités manipule forcément l'autre. J'ai mon idée sur “qui fait quoi’' !
  Partie intégrante de notre civilisation judéo-chrétienne (tout le chapitre 1 de la Genèse lui est consacré, et de quelle belle manière), l'écologie fait aussi partie du patrimoine spirituel de la Droite, au point que tous les  socialistes historiques et pré-historiques ont tous été vent debout contre tout ce qu'elle représentait. Et le concept idéologique d’écologie intégrale est indiscutablement un concept ’'de Droite” (Alain de Benoist, le Grece, Charles Champetier). Le bimestriel d’idées  “Eléments” appelle d'ailleurs “au dépassement de l’anthropocentrisme moderne et à la conscience d’une co-appartenance de l’homme et du cosmos”, rejette la “religion des droits de l’homme” et dénonce le “péril de l’immigration”. Ce n'est qu'à partir de1981  que l’écologie intégrale, politisée, s'est imposée (René Dumont, Philippe Lebreton), recomposition idéologique qui pourfend le judéo-christianisme et développe une critique virulente de l’individualisme libéral. En résumé, une écologie de droite est soucieuse de la nature, et une autre, de Gauche, privilégie les idéologies “sociétales” et le “droit-de-l'hommisme”. En revanche, les limites sont plus floues entre ce qui est “catho” et ce qui ne l’est pas : mensonges, faux-semblants et affirmations infondées volent bas…
  Loin d’être un sujet de conflit entre cathos ultras et néo-païens, la récupération du terme “écologie intégrale’’ est l’objet d’une convergence inattendue (Chantal Delsol et Eugénie Bastié dans Elements), et même le pape François s’est mis à l’écologie intégrale avec Laudato si (2015) sur la sauvegarde de la maison commune, ’'pour articuler la crise climatique et les inégalités sociales”, le lien entre ces deux éléments n'étant pas facile à trouver, alors que l'église “post covid” semble être à la recherche d'un “anthropocentrisme catholique où l’homme est le gardien de la création de Dieu et doit protéger la Nature pour la restituer telle quelle”… (explique Ludovic Bertina, sociologue à l’IMT Atlantique (transition énergétique et sociétale) et auteur d’une thèse sur l’Appropriation du référent écologiste par le catholicisme en France).En fait, tout se passe comme si elle traversait une crise qui lui fait chercher à redéfinir sa foi, à douter de ses racines, et à remettre en question ses ultimes chances de “remonter la pente” en restant ce qu'elle doit être. Et la folie suiviste qui a contaminé sa hiérarchie, en France, peut faire craindre le pire : c'est le dangereux Delfraissy qui fixe les nouveaux canons (pas très ‘’canon’’) de la messe : liturgies du masque et du gel, communion à la main uniquement, sous peine d’assister à une crise de nerfs de l’officiant (je l’ai vu !).’’Noli me tangere’’, avait pourtant dit Jésus à Marie-Madeleine… 
  Dans la ligne de mire des ayatollahs de EELV, des bobos de En Marche et de qui veut grappiller des voix aux élections, tout le monde regarde vers ces “catholiques d’ouverture”, moins intransigeants sur la famille, les valeurs, les questions de bioéthique… ou les écritures, mais plus attentifs au respect de la dignité apparente des êtres humains. Décidément, rien n'est simple, dans le monde actuel ! Pourtant, que les protagonistes soient paléo-cathos, cathos-“Limite”, néo païens, francs maçons ou nostalgiques du grand soir, un critère séparateur reste toujours valable : l'intelligence. Or, qu’ils soient cathos ou pas, nos nouveaux élus lui ont tourné le dos, délibérément. Contre la croix, qu'ils invoquent, ils ont choisi le sectarisme le plus rétrograde, au point qu'il est possible d'affirmer aujourd'hui que les rites d'une ‘’iso religion hygiéniste sans fondements” remplacent peu à peu les anciens rites catholiques et des pratiques à la fois millénaires et toujours actuelles. D'aucuns, dont je suis, s'en remettent très difficilement, et préféreraient abandonner au coronavirus ce qui est à lui (?), et garder pour Dieu… ce qu'on lui doit bien !
H-Cl.
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profenscene · 6 years
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Mercredi 26 septembre
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Comme tout prof qui se respecte, j’écoute France Culture quand je corrige des copies, ou que je joue à World of Warcraft.
Et comme toute radio qui se respecte, France Culture traite de sujets de société. Genre là, dans ce que j’écoute, la religion. Et j’entends cette petite phrase qui, comme un tube de l’été, donne de plus en plus envie de se curer l’oreille avec une foreuse à chaque fois qu’on l’entend : “Il faut que les profs se forment à ça.”
Je ne compte plus le nombre de domaines dans lequel, d’après les média, je dois me former : la religion, donc, mais également sa soeur, la laïcité, l’écologie, la sociologie, le sexisme, le monde du travail, les fake news, la communication non-violente et j’en passe des centaines.
Et lorsqu’il ne s’agit pas des media, ce sont les responsables politiques qui se font porte-paroles de l’ouverture de notre champ de compétence.
On se retrouve donc, au gré des programmes disciplinaires et des marottes des chefs d’établissement, sommés de nous former sur les domaines les plus hétéroclites.
Les jours où je suis optimistes, je vois à travers ce discours ambiant l’espoir que le professeur pourra, d’une façon ou d’une autre, apprendre l’intégralité de la société aux gamins qui lui sont confiés. Les autres, je pense que nous sommes le meilleur bouc émissaire du monde. Combien de fois n’ai-je pas entendu - y compris de la part de collègues - “mais au fond, à quoi ça sert, pourquoi on n’apprend pas des choses vraiment UTILES ?”
Dussé-je passer pour un réactionnaire à provoquer un voyage temporel de mille ans en arrière par ma simple présence, je vois en ces injonctions le pire service à rendre aux mômes. Les formations didactiques, servant aux enseignants à s’améliorer dans leurs disciplines, sont de moins en moins nombreuses. Alors que c’est par là que se trouve, à mon sens, la réponse à cette angoisse, relayée de parents en journalistes en politiques : “mais COMMENT faire en sorte que ces futurs adultes ne déconnent pas sévères ?”
Comment ? En leur apprenant vraiment, rigoureusement, passionnément, nos matières. Il y a dans l’Histoire, dans la Littérature, dans l’EPS, dans la SVT et dans tous les autres domaines de connaissances, des portes qui ouvrent au civisme, à la nuance, à la décence. Je conçois le Français - pour parler du domaine dans lequel j’ai quelque expertise - comme une discipline totale. Dans laquelle l’apprentissage des mécanismes de la langue se double d’une discipline mentale, la fréquentation des auteurs est une porte sur l’humanisme, la production d’écrits l’une des meilleurs initiations à l’esprit critique. Encore faut-il avoir le temps. Et les outils. Car oui, quand je ressors d’un cours dans lequel j’ai fait répondre la classe à cinq questions de compréhension et que tout le monde a noté le corrigé, sagement et sans poser une seule question, j’enrage. Mais quand, vraiment, les mômes se sont enthousiasmés pour la montée crescendo de l’angoisse dans l’histoire, quand ils commencent à comprendre que les mots ne sont pas interchangeables, quand un adjectif attribut rend Fantine plus déchirante encore, ou quand un débat entre deux équipes est emporté par une tirade, dans laquelle on sent les lectures récentes, alors je jubile.
Je ne vois pas l’expertise dans nos matières comme une faiblesse ou une idéologie rigoriste. L’enseignement de matières d’apparence abstraite fournit une ouverture incroyable sur le monde et le fonctionnement de la société. A condition que nous ayons le temps, et les moyens, d’enseigner le domaine dans lequel nous avons été reconnus compétents.
Le domaine qui s’ouvre sur la religion, la laïcité, le sexisme, l’écologie, la sociologie...
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paulconge · 5 years
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À la recherche des nazillons de Corrèze
De Tulle à Meymac, une bande d'extrême droite prête à "prendre les armes" tente de s'implanter dans le vieux fief de la Résistance. La mouvance compte dans ses rangs des militaires. (Dans Explicite)
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Les riverains du Vieux Tulle sont formels : dans le quartier du Trech, la petite crèmerie à louer a bien failli se transformer en QG néo-nazi. La folle histoire a débuté en janvier. La crèmerie était alors scrutée par une petite bande d'identitaires du coin. Son nom : Division nationaliste révolutionnaire. DNR. Une extrême droite un brin radicale. Biceps bombés, tatouages tape-à-l'oeil, ces gros bras avaient tout réglé pour inaugurer dans cette enseigne leur "local de la résistance". Dès janvier, ils en annonçaient sur Facebook l'ouverture à venir le 11 mars. 
Mais c'était avant que les amis de la Résistance, la vraie, ne contrarient leurs plans. Humant l'odeur âcre de la "bête immonde" - selon leurs mots - ces derniers ont poussé le propriétaire des lieux à se rétracter.  En quelques jours, les militants nationalistes ont capitulé. Soulagement chez les Tullistes qui, pendant un instant, ont cru entendre à nouveau de bruit de bottes.
Vieux briscards VS jeunes skinheads
Mais la DNR rôde toujours. Et parmi eux, quelques uns ont continué à partager sur les réseaux des visuels hitlériens, suscitant en Corrèze toutes sortes de déglutis. "Leur arrivée me dégoûte, lâche Bernard Delaunay, président de l'association des anciens résistants (ANACR) de la région, qui mène la fronde contre la DNR. On ne peut pas les laisser salir ainsi la mémoire des pendus et des déportés." 
À bien des égards, ce clash entre vieux briscards et jeunes skinheads a rouvert une plaie mal cautérisée dans la capitale de Corrèze, ville martyre. Jusque dans son nom, la "Division" semble en effet se référer à la 2e division SS Das Reich. Cette troupe d'élite nazie qui, alors que les alliés venaient de débarquer 3 jours plus tôt en Normandie, remontait de Montauban vers le centre de la France. Arrivée à Tulle, le régiment "Der Führer" arrête et pend 99 habitants le 9 juin 1944, et en envoie près de 150 autres en déportation à Dachau. Alors Alain Guilbert, du Parti communiste (PCF) local, s'étrangle à l'arrivée de la DNR : "C’est avec cette idéologie qu'on a eu les pendaisons de 1944". Leur implantation a fait réagir jusqu'à l'ancien chef de l'Etat, François Hollande, sur France 3 : "C'est une provocation à l'égard de l'histoire de cette ville. (...) Comme ancien maire de Tulle, [c'est] une provocation qui m'est directement adressée."
Il y a autre chose encore qui a mis le feu aux poudres. Car soudainement, un petit blog d'actualité très énervé s'est mêlé à ce match. Dans une série de billets virulents, un certain "Capitaine Harlock" a applaudi la DNR et attaqué la mémoire de la "centaine de pinpins rouges pendus par les SS en 1944"  et dont "tout le monde se fout". Connu pour sévir sur des forums en ligne qui comptent quelques énergumènes réactionnaires, l'auteur a laissé un arrière-goût sinistre en travers de la gorge des protestataires, qui y voient une manœuvre de la DNR. 
Le 28 février, une plainte a aussitôt été déposée au commissariat de Brive-la-Gaillarde  pour "apologie de crime de guerre" et le parquet a lancé une enquête préliminaire, selon nos informations. Afin de déterminer si c'est la DNR ou non qui agit maquillée - elle jure que non -, le procureur de la République de Brive a saisi les enquêteurs en cybercriminalité de la police judiciaire de Limoges, mais se dit "sceptique sur les chances de succès, dans la mesure où les opérateurs sont basés aux Etats-Unis. Ceux-ci ne coopèrent pas avec les autorités judiciaires étrangères". 
Dans le même temps, la DNR a multiplié les bravades. Le soir de la perte de leur local, l'un d'eux a diffusé à pleines enceintes des chants de la Waffen SS, selon plusieurs habitants. Plus tard, la ville s'est réveillée avec des affiches à leur effigie : un casque de guerrier spartiate, floqué de lauriers et de leur sigle en lettres gothiques : D. N. R. Coup sur coup, trois manifestations ont eu lieu contre la "menace fasciste" dans les rues de Tulle. 
Le noyau dur des protestataires, une dizaine de personnes, s'est organisé par chaîne de mails, a ausculté les comptes Facebook des factieux de la DNR, tissé un réseau... Et après une pétition "antifasciste" le 27 janvier, la presse régionale, de La Montagne à France 3 Limousin, a suivi de près ce brûlant sujet, lui donnant une visibilité qu'il n'avait pas. Enfin, le 17 mars, une marche silencieuse et solennelle a rassemblé 250 personnes à Tulle, se terminant par le dépôt d'une gerbe devant la stèle des martyrs. Désormais, la DNR est sur toutes les lèvres en Corrèze et le préfet de Tulle sur ses gardes.
Un ancien cacique du FN
Mais d'où sort-elle, cette DNR ? Jadis confidentielle, cette officine est née à Strasbourg début 2017. La section alsacienne a rapidement disparu ; une autre lui a succédé en Ile-de-France et une autre encore dans le Limousin à l'automne. Cette dernière s'est retrouvée en pleine lumière à la mi-décembre. C'était au moment où l'ancien patron du Front national de la jeunesse (FNJ) de Corrèze, Sébastien Dudognon, est venu grossir ses rangs. Le militant était bien connu ici. Embarrassé, le FN local se désolidarise aujourd'hui de son ancien cacique : "C'était un militant actif, bon camarade et fervent catholique et je pensais que cela s'arrêtait là. Mais il a visiblement trouvé que notre ligne n'était pas assez dure", suppose José Dinucci, secrétaire départemental du FN de Corrèze et sans nouvelles de Dudognon depuis sa démission le 17 décembre. 
Trop mou pour la DNR, le parti de Le Pen ? "Nous au FN, on est à l'extrême droite, mais eux c'est plus à droite encore...", tente d'expliquer Clément Tessier, 28 ans, ouvrier dans le sidérurgique et ancien camarade de Dudognon au FNJ. Prière de ne pas tout mélanger : "La DNR, c'est des petits groupes qui pensent pouvoir régler le problème par la force, comme Génération identitaire… Des crânes rasés avec des gros bras. Nous au FN, on est comme tous les partis institutionnels", dit-il. 
En fait, la DNR n'est que le dernier astre d'une nébuleuse de groupuscules identitaires morcelés, qui ouvrent des locaux dans tout l'Hexagone. À l'instar des "Bastions sociaux", nouveaux avatars du néofascisme à Strasbourg, Aix-en-Provence, Marseille et Chambéry, ou du bar "La Citadelle" des identitaires de Lille. 
Les amis de la Résistance ont une autre théorie : "Il y a une collusion entre le FN et la DNR", pour le communiste Alain Guilbert, qui voit d'un mauvais œil la percée de l'extrême droite dans les villages de Haute-Corrèze depuis la présidentielle. Côté l'ANACR, on nous assure que "ces milices servent de service d'ordre au FN lors de ses manifestations". Toutefois nous n'avons rien pu prouver de tel.
Un cascadeur dans Le Transporteur
Service d'ordre ou non, il y a un drôle de trombinoscope à la DNR. Sébastien Dudognon, ex-FNJ donc, responsable au Centre de formation des apprentis à Tulle après un CAP cuisine, se présentait en février sur Twitter comme le "propriétaire du local de la résistance des Gaulois" et affichait sans complexe sa fascination pour le IIIe Reich. Mais face au ramdam, il a supprimé ses tweets litigieux et gommé les références aux SS. De son séjour chez les frontistes, il a gardé le désir de "retrouver une France souveraine, contre l'Europe, contre le mondialisme". 
Romain, chef et fondateur de la section corrézienne, lui est cascadeur professionnel - on a pu l'apercevoir dans Raid Dingue avec Dany Boon ou encore dans Le Transporteur : Héritage - et il était jusqu'en 2010 encarté... au PCF du Limousin. Aujourd'hui, ce transfuge tacle aussi bien les communistes que les associations d'anciens combattants : "Ça me fait doucement sourire, ils n'acceptent pas de se faire envahir par les Allemands, mais ils sont pour l'immigration massive, qui est une autre forme d'invasion", dit-il."
Thibaut, un adhérent corrézien, arbore lui les pulls des "Bastions sociaux". (Un autre désapprouve : "Le Bastion social veut faire de la préférence nationale, nous, nous voulons une préférence nationale et raciale.") Sur les réseaux, il publie des citations sur la "dictature juive", tirées du pamphlet antisémite de Céline, Bagatelles pour un massacre.
Idéologiquement, la DNR est un cocktail de nationalisme, de racialisme et de défense des petites gens - de préférence blancs. Voici comment leur chef corrézien nous résume leur vision du monde : "On se considère comme une fratrie qui veut lutter pour la progression sociale des travailleurs. Nous sommes contre l'immigration qui cause la régression au niveau identitaire. On sait que le Grand Capital est immigrationniste, tout comme l'extrême gauche". Aussi saugrenu que ça puisse paraître, leur logo - un casque spartiate floqué des lettres DNR, donc - est inspiré... de la jaquette d'un album de groupe de rap d'Evry, "Mafia spartiate".
Un "Fight club" rural, tir et sport en salle
Gang de copains devenu groupe politique, la DNR tente de sporuler dans la Corrèze. Ces gros bras qui se rêvent en spartiates grecs s'entraînent les lundis soirs sur les tapis du club multisport de Meymac, au nord de Tulle, où ils espèrent trouver des recrues. "Ils appellent ça le Fight Club", nous dit-on à la mairie de la commune de 2400 habitants. Et ces tatamis ruraux attirent des dizaines d'apprentis boxeurs, à la fois militants FN, DNR ou simples riverains, sous le patronage de Romain, qui s'improvise coach sportif. 
Ils organisent aussi des "week-ends d'entraînement" car à la DNR, le sport est "obligatoire" : "Nous sommes tous sportifs, ne fumons pas et ne buvons pas", se targue le chef de la section d'Ile-de-France, qui précise d'ailleurs qu'ils "sélectionnent beaucoup" et pas sur un critère seulement physique : "La DNR recrute uniquement des européens pure souche, contrairement à la Jeunesse nationaliste révolutionnaire (JNR, ndlr)". La JNR, ex-milice de Serge Ayoub à qui la DNR est souvent comparée sans d'ailleurs que cela ne la gêne, a été dissoute par décret le 30 juillet 2013, après la mort du militant antifasciste Clément Méric.  
Derrière ce discours, s'entrevoit une idéologie plus radicale encore, comme le prouve le témoignage d'un adhérent, qui souhaite rester anonyme. Nous avons échangé avec lui à l'écrit via le compte Facebook officiel de la DNR : "Je me retrouve dans la dissidence française car ils prônent le putsch. L'heure est grave, et personnellement je ne vois aucune manière démocratique de prendre le pouvoir sans coup d'Etat (...) La prise de pouvoir par les armes peut être une solution", avertit cet adhérent, qui semble avoir une idée toute faite des actions à venir : "Nous pratiquons le tir (...) Bon nombre de nos confrères sont prêts : policiers, gendarmes, militaires".
Fanfaronnade ou intention réelle, il y a bien plusieurs militaires de profession à la DNR, selon nos informations. Le code de la Défense pourtant est très clair : il leur interdit  toute affiliation à des groupements à caractère politique. Les radars de la Direction du renseignement militaire y veillent. "En règle générale, s'il s'avère qu'un militaire va trop loin, qu'il est engagé dans le djihadisme ou une extrême droite violente, il sera radié, ou son contrat ne sera pas renouvelé", confirme une source militaire.  
Le dernier combat des amis de la Résistance
Reste que le moindre des faits et gestes de la DNR génère une onde de choc. La matinée du 20 mars, un autocollant floqué du casque spartiate est retrouvé rue Aristide Briand à... Limoges, à 90 kilomètres de là. Branle-bas de combat à l'ANACR : car l'affichette prétend que leur "futur local associatif ouvrira ses portes ici même (...) Tulle ne nous a pas voulus, Limoges va nous adopter", mais cela s'est avéré être un canular, le local n'étant pas à louer. "Je pense que ce leurre avait pour but de faire parler d'eux", devine Alain Guilbert. C'est réussi : toute la presse locale, aussitôt avertie, a parlé de cette affichette. La DNR confirme toutefois être en loucedé à la recherche d'un autre local. 
Ce bras de fer sonne comme le dernier des combats pour les amis de la Résistance, pour la plupart octogénaires. Un des responsables de cette vigie de la première heure le résume : "Tout le monde a joué le jeu, on a mis nos divergences de côté, on sort plus soudés de ce combat. Si ces nazillons montrent encore leur visage, on sera en face."
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alocqueneaux · 7 years
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Raphaël Glucksmann, une certaine idée des idéaux nationaux
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Partout on entend “c’était mieux avant”. Mais avant c’était quand ? Et avant qui ? Avant quoi ? De quoi parlent ceux qui assènent ces vérités ? Dans son ouvrage Notre France. Dire et aimer ce que nous sommes, l’essayiste et universitaire Raphaël Glucksmann explore l’histoire de France et revisite tous les présupposés qui expliquent qu’avant nous avions une identité française, sociale, etc., qui ne posait pas question…
En bon orateur stylé, Raphaël Glucksmann énonce par une anaphore ce que n’est pas tout à fait son dernier essai. “Ce livre n’est pas seulement une réponse aux intellectuels réactionnaires qui parlent au nom de la France. Ce livre n’est pas seulement une façon de répondre à Zemmour ou à Le Pen. Ce livre est une façon de répondre à notre silence. Comme si la Gauche avait admis que le thème de la France appartenait d’emblée à la droite réac. C’est justement ce silence de la Gauche, son incapacité à nous dire, qui fait son échec et permet le triomphe des réac.” L’intellectuel également élégant reconnaît avoir voté Hollande en 2012 contre le discours de Grenoble de Nicolas Sarkozy dans lequel se posait déjà la question de l’identité. Il a attendu quatre ans un contre discours qui célébrait ce qu’est la France. “Comme je n’entendais pas ce discours, j’ai décidé de l’écrire !” Son essai, dont le préambule est une Invitation au voyage, débute par une figure de style. Un syllogisme qu’il a "cherché à prendre au sérieux et qui a l’apparence de la logique absolue”. En voici le mécanisme : Aujourd’hui nous sommes troublés et nous ne savons plus qui nous sommes. Or avant nous le savions, donc quelque chose est venu nous troubler. Il faut trouver quoi. C’est peut-être le féminisme, les immigrés, les gays… Il faut en tout cas désigner un bouc émissaire dont on doit se débarrasser pour retrouver notre quiétude. Selon le trentenaire en colère, c’est le point 2 de ce syllogisme qui fait autorité. Et c’est justement ce point là qu’il a décidé d’interroger.
Glucksmann ne soigne pas sa Gauche Et même s’il a été élevé dans cette idée des idéaux qui ont façonné notre pays, “aimer la France ne revient pas à dire que tout ce qu’a fait la France est bien.” Le destin de ceux de l’Affiche rouge illustrent d’ailleurs cette France, en même temps qu’elle est une leçon à l’égard de ceux qui disent : “niquent la France ou les étrangers dehors !” Avant d’être fusillés le 21 février 1944 par l'armée allemande, ces 23 jeunes dont 20 Espagnols, Italiens, Arméniens et Juifs d’Europe centrale et de l’Est qui se battaient pour le pays, ont crié “Vive la France !” Qu’est-ce que ça voulait dire sur la France ? Pour eux, la France c’était plus que Vichy, plus que leurs voisins, plus que ceux qui les avaient dénoncés, plus que les collabos. “Aujourd’hui, on ne sait plus dire : Vive la France ! Si ce discours a du mal à prendre, c’est surtout parce qu’il n’est plus émis. Il existe pourtant un public pour ce sujet mais il est absent du débat. Un problème politique et intellectuel. On a tellement déconstruit les mythes qu’on aboutit à une aporie. Une sorte d’incapacité de l’intellectuel de Gauche à produire une vision exaltante. Ce qui nous condamne, c’est notre incapacité à nous projeter. Et se limiter à déconstruire la pensée de l’extrême droite ne suffit pas. Il faut oser une vision qui soit une idéologie articulée autour des idées.”
Recréer un projet commun En outre, l’Europe vient de vivre 40 ans d’émancipation des individus mais cette émancipation seule ne suffit pas non plus. Comme Hegel, l’essayiste estime que dans une société qui se sent en paix, les parties du tout se sentent tellement autonomes qu’elles oublient qu’elles font partie du tout et donc finissent par mourir. “A un moment, il faut rappeler aux parties qu’elles appartiennent à un tout. C’est le Commun, la République ou la Nation. Il est donc urgent de dépasser l’individualisme !”, exhorte enfin celui qui pourfend le déclinisme.
Anne Locqueneaux
Quatrième de couverture “Depuis des siècles, notre France est humaniste, cosmopolite, ouverte sur les autres, le monde et l'avenir. Elle n'a jamais été ce pays clos, cette société monochrome et cette identité univoque que les réactionnaires prétendent ressusciter. Profitant du silence et de l'indolence des héritiers supposés de Voltaire et Hugo, les rejetons de Maurras et Barrès ont kidnappé notre histoire. Devenus maîtres du passé, ils contrôlent le présent et oblitèrent l'avenir. Face à la tentation du repli qui submerge notre nation, il est temps de reprendre le récit français des mains de ceux qui l'avilissent. Temps de réapprendre à dire et à aimer ce que nous sommes. De retourner aux sources de notre France pour la faire vivre à nouveau." R. G.
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mithridas · 1 year
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L’élection d’Éric Ciotti, député des Alpes-Maritimes, à la présidence de LR avec 53,7 % des voix, traduit la volonté à la fois de répondre à la pression de l’extrême droite politique et d’affirmer un espace politique étroit entre Macron et Le Pen.
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reseau-actu · 4 years
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Le mea culpa public de l’universitaire canadien Christopher Dummitt, qui admet «avoir extrapolé des résultats d’enquêtes afin de servir sa propre idéologie», plonge dans l’embarras les partisans de la théorie du genre.
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C’est un pavé dans la mare des partisans de la théorie du genre. L’historien canadien spécialisé dans les «gender studies», Christopher Dummitt, vient de reconnaître avoir falsifié certaines conclusions de ses recherches afin de «favoriser sa vision idéologique». Les partisans de la théorie du genre, qui assurent que la construction de l’identité sexuelle ne se fait pas seulement à partir de facteurs biologiques, mais surtout en fonction d’aspects sociaux, ne cachent pas leur embarras. De fait, sur le site australien Quillette puis dans Le Point, Dummitt ne mâche pas ses mots: s’il précise bien qu’«il ne faut pas voir dans cette confession un argument pour dire que le genre n’est pas, dans de nombreux cas, socialement construit», il reconnaît cependant que «les critiques des socio-constructivistes ont raison de lever les yeux au ciel lorsque de soi-disant experts leur présentent de soi-disant preuves».
«Aujourd’hui, j’aimerais faire mon mea culpa […], poursuit-il. Mon raisonnement bancal et d’autres travaux universitaires exploitant une même pensée défectueuse sont aujourd’hui repris par des militants et des gouvernements pour imposer un nouveau code de conduite moral.» Une bombe lancée au moment même où l’annonce que des athlètes transgenres féminines pourront désormais participer à des épreuves de la Fédération internationale d’athlétisme sur «simple déclaration» de leur genre féminin a conduit une partie du monde sportif à s’interroger sur l’équité «physiologique» d’une telle décision.
Pour tenter de la désamorcer, CheckNews, le site de Libération, n’a pas hésité à se fendre d’un long article pour prouver que le Canadien n’était qu’un poids plume dans le monde universitaire et n’engageait que lui-même. Le site a ainsi «interrogé plusieurs chercheurs et chercheuses spécialisés dans les études de genre» dont Jeff Hearn, Patrick Farges, Michael Stambolis-Ruhstorfer et Bruno Perreau. Pour ce dernier, professeur d’études et de langue française au MIT, «Christopher Dummitt n’est en rien un ponte des gender studies.» Même son de cloche pour le Britannique Jeff Hearn, qui estime que Christopher Dummitt «a l’air d’un universitaire plutôt mineur».
Des articles plus farfelus les uns que les autres
Plus grave, pour Michael Stambolis-Ruhstorfer, de l’université Bordeaux Montaigne, «la reprise de cette tribune par des relais conservateurs participe à une stratégie militante qui cherche à mettre à mal la notion de genre». Il n’y aura donc pas de débat ni d’analyse des causes qui auraient pu conduire un universitaire à falsifier sciemment ses travaux. Christopher Dummitt, qui a ouvert la boîte de Pandore, ne serait donc qu’un auteur mineur dont la tribune publiée dans Quillette, considéré par CheckNews «comme un site réactionnaire qui, sous couvert de liberté d’expression, va laisser le champ libre à un discours académique qui peut être racialiste, xénophobe, antiféministe ou transphobe», veut forcément discréditer la théorie du genre. Et comme son mea culpa a été largement cité par Le Point, Atlantico, L’Opinion et Valeurs actuelles, des médias «de droite», la boucle est bouclée. La belle affaire!
Ce n’est pas la première fois, pourtant, que les gender studies en Amérique du Nord font l’objet de remise en cause. Ainsi en mai 2018, la revue Gender, Place and Culture, spécialisée dans une approche féministe de la géographie, avait publié sans sourciller un article complètement loufoque intitulé «Réactions humaines face à la culture du viol et la performativité queer dans les parcs pour chiens de Portland, Oregon.» Une parodie imaginée par trois universitaires américains, Helen Pluckrose, James Lindsay et Peter Boghossian qui avaient passé un an à écrire 20 articles plus farfelus les uns que les autres «pour dénoncer le manque de rigueur de certaines revues, particulièrement dans les domaines des études de genre». À l’époque, ils avaient été accusés de faire le jeu de la droite américaine… À ceci près que les trois chercheurs «se considéraient tous comme de gauche et pensaient qu’étudier ces questions était d’une grande importance pour la société et nécessitait donc un haut niveau de rigueur académique».
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78682homes · 5 years
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Bioéthique. Etre présent ou pas à la manifestation du 6 octobre  ? 78682 homes
http://www.78682homes.com/bioethique-etre-present-ou-pas-a-la-manifestation-du-6-octobre-%e2%80%89
Bioéthique. Etre présent ou pas à la manifestation du 6 octobre  ?
J’ai bloqué mon retour de vacances pour être présente à Paris le 6 octobre. Mais, en réfléchissant… je ne souhaite pas être parmi des réactionnaires. L’avis de l’Académie de médecine que vous avez publié le 23 septembre résume, sans idéologie, la réalité : « L’extension de la PMA relève davantage d’une loi sociétale que de la loi de bioéthique. »Le courrier de lecteur paru le 26 septembre confirme mon refus de participer à La Manif pour tous….
homms2013
#Informationsanté
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A lire
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Le Parlement européen a voté il y a quelques jours une résolution scélérate censée souligner l'« importance de la mémoire européenne pour l'avenir de l'Europe ». En réalité, cette mémoire est bafouée ligne par ligne, laissant présager un « avenir » sombre pour l'Europe.
Visant à mettre un trait d'égalité entre communisme et nazisme, ce texte mobilise des considérants qui sont chacun des modèles de propagande et de révisionnisme historique.
La signature du pacte germano-soviétique est ainsi obsessionnellement désignée comme cause principale du déclenchement de la seconde guerre mondiale. Ce grossier raccourci historique permet d'absoudre cyniquement aussi bien le national-socialisme, son idéologie de mort et les régimes fascistes des années 30 que l'atermoiement meurtrier et parfois connivent des chancelleries occidentales avec le nazisme, et la complicité active de puissances d'argent avec les régimes fascistes et nazi.
Silence est fait sur le Traité de Versailles et ses conséquences. Aucun mot n'est consacré aux Accords de Munich d'octobre 1938, ce « Sedan diplomatique » qui a livré les peuples européens au « couteau de l'égorgeur », ce « début d'un grand effondrement, la première étape du glissement vers la mise au pas » comme l'écrivait dans l'Humanité le journaliste et député communiste Gabriel Péri, fusillé par les nazis.
Tout le faisceau de causes mobilisées par des générations d'historiens pour tenter d'expliquer le déclenchement de la seconde guerre mondiale est bazardé au profit d'une bouillie anti-russe sans aucun égard pour le sacrifice immense des soviétiques dans l'éradication du nazisme.
S'il ne fait aucun doute que le régime stalinien fut bel et bien un régime sanglant et criminel, il est moralement et historiquement inconcevable de faire de l'Union soviétique, de son armée et de tous ceux qui s'engagèrent avec elle, communistes de tous pays acteurs décisifs du combat libérateur, des équivalents des nazis et de leurs supplétifs collaborateurs, sauf à sombrer dans « l'obsession comparatiste », névrose idéologique dénoncée par l'historien Marc Ferro.
Les communistes furent, dans de nombreux pays et avec l'appui de différentes forces, gaullistes et socialistes en France, les artisans du redressement national, créant un rapport de force qui permit l'édification d'institutions républicaines et sociales sur les cendres du nazisme et des collaborations. Est-ce un hasard si cet héritage fait parallèlement l'objet de violentes attaques dans tous les pays de l'Union européenne ?
Les pays d'Europe orientale furent, quant à eux, des points d'appui décisifs dans les combats anticoloniaux qui essaimèrent après guerre. Noyer dans le concept de totalitarisme des réalités historiques aussi dissemblables ne peut apparaître que comme une escroquerie intellectuelle. Une telle entreprise ne sert en aucun cas à poser un regard lucide et apaisé, pourtant indispensable, sur les contradictions, crimes et fautes des régimes influencés par le soviétisme et qui ont pris le nom de socialisme.
Cette résolution s'appuie sur un considérant aussi grotesque que l'interdiction formulée dans certains pays de l'Union de « l'idéologie communiste », semblant acter des dérives revanchardes des extrêmes droites du continent en incitant tous les Etats membres à s'y plier. Signe qui ne trompe pas, l'inféodation à l'OTAN est ici désignée comme gage de liberté pour les peuples de l'est européen.
Cette résolution fait la part belle au révisionnisme d'extrême droite quand les pays baltes sont désignés comme ayant été « neutres » alors que ces derniers ont mis en place bien avant le pacte germano-soviétique des régimes de type fasciste laissés aux mains de « ligues patriotiques » et autres « loups de fer », suscitant un antisémitisme viscéral qui connaîtra son apogée sanglant dans ces pays lors de la seconde guerre mondiale.
Incidemment, la Shoah, sa singularité intrinsèque, et les logiques d'extermination méticuleuses et industrielles du régime nazi sont fondues dans le magma des meurtres du 20ème siècle et ainsi relativisées. L'odieuse équivalence entre nazisme et communisme permet d'exonérer les régimes nationalistes d'inspiration fasciste des années 30 que des gouvernements et ministres actuels d'Etats membres de l'Union européenne célèbrent ardemment.
Viserait-on, par ce texte politicien, à réhabiliter ces régimes qui gouvernèrent de nombreux pays d'Europe orientale avant de sombrer dans la collaboration en nourrissant l'effort de guerre nazi et son projet d'extermination des juifs d'Europe?
Ce texte est une insulte faite aux 20 millions de soviétiques morts pour libérer l'Europe du joug nazi, aux millions de communistes européens engagés dans la Résistance et les combats libérateurs, un affront fait aux démocrates alliés aux mouvements communistes contre nazis et fascistes, avant et après la seconde guerre mondiale.
Au moment où Mme Von der Leyen propose de nommer un Commissaire européen à la « protection du mode de vie européen », célébrant un culte que l'on croyait révolu à la pureté continentale, les thèses historiques révisionnistes des droites extrêmes et réactionnaires, qui ont de toute évidence inspiré ce texte scélérat, font leur entrée fracassante au Parlement européen. Pendant ce temps, aucun commissaire n'est nommé sur les questions d'éducation ou de culture...
Thomas Mann, vigie morale d'une Europe décomposée, écrivait : « Placer sur le même plan moral le communisme russe et le nazi-fascisme, en tant que tous les deux seraient totalitaires, est dans le meilleur des cas de la superficialité, dans le pire c'est du fascisme. Ceux qui insistent sur cette équivalence peuvent bien se targuer d'être démocrates, en vérité, et au fond de leur cœur, ils sont déjà fascistes ; et à coup sûr ils ne combattront le fascisme qu'en apparence et de façon non sincère, mais réserveront toute leur haine au communisme. »
Si l'expérience qui a pris le nom de communiste au 20ème siècle ne peut être, pour tout esprit honnête, résumé à la personne de Staline ou à une forme étatique, tel n'est pas le cas du nazisme intrinsèquement lié à un homme, à un régime. Et si le communisme propose un horizon d'émancipation universelle, quoi qu'on pense des expériences qui s'en sont réclamées, tel n'est pas le cas de l'idéologie nazie qui se revendique raciste, réactionnaire et exclusive, portant la mort en étendard. Ces simples arguments de bon sens disqualifient l'odieuse comparaison de cette résolution.
C'est bien la visée communiste, dont nous maintenons qu'elle ne fut jamais mise en pratique dans les pays du bloc soviétique, qui est la cible de ce texte indigne et inculte, et avec elle, la possibilité d'une autre société.
Que des voix sociale-démocrates et écologistes aient pu soutenir pareille résolution, mêlant leurs voix au Front National et aux extrêmes-droites continentales, est le signe désolant de la lente dérive d'une frange trop importante de la gauche européenne qui largue les amarres d'une histoire et d'un courant, ceux du mouvement ouvrier, dans lesquels elle fut elle aussi forgée ; qui prête également le flanc aux pires tendances qui s'expriment dans le continent.
Demain, un maire, un élu, un député pourra-t-il se dire communiste sans enfreindre la docte délibération du Parlement européen. Et l'Humanité pourrait-elle un jour passer sous les fourches caudines de la censure imposée des droites extrêmes coalisées? Ne plane-t-il pas là comme un parfum munichois, justement, face à une offensive idéologique dont certains pensent pouvoir se satisfaire en rasant les murs ?
Tous les démocrates, toutes les personnes attachées à la libre expression des courants qui se réclament du communisme et d'une alternative au système capitaliste devraient au contraire se lever contre cette inquiétante dérive qui nous concerne tous. Au risque d'y laisser eux aussi un jour leur peau.
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hodjalab · 6 years
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[Société & Medias] ATTENTION Ceci n’est pas une Encyclopédie !
Enjeux économiques,  guerres éditoriales,propagandes et manipulations politiques, falsifications historiques, pensée unique, impunité juridique internationale ...Welcome to:
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Le but de cet article étant de mettre en garde les lecteurs de Wikipedia du caractère non-encyclopédique et propagandiste de cette base de connaissance, qui peut avoir une certaine utilité, une fois le lecteur averti. 
Faites plaisir à Hodja et faite vous plaisir: Retournez faire une carte de bibliothèque et utilisez vos vélos, ou vos pieds, pour aller à la quête de savoir ! inch’Allah !
Avant d’aller plus loin, il nous paraît important de rappeler qu’une encyclopédie est  un ouvrage où l'on expose méthodiquement ou alphabétiquement l'ensemble des connaissances universelles (encyclopédie générale) ou spécifiques d'un domaine du savoir (encyclopédie spécialisée).(C.f; Larousse) Une encyclopédie est donc un ouvrage c’est-à-dire une production littéraire (C.f; Larousse).
Que dire alors de Wikipedia ? Qui serait, au mieux, une base de connaissance, en constante métamorphose, tourmentée par de véritables guerres éditoriales, dont les acteurs et contributeurs se cachent derrière des pseudonymes et des systèmes de censures. Avec une gestion absolument désastreuses et anarchiques des sources.
La page de présentation de Wikipedia France nous le signifie clairement: “Wikipédia est un projet d'encyclopédie collective en ligne, universelle, multilingue …”. Il s’agit donc bien ici d’un projet d’encyclopédie et non pas d’une encyclopédie, finie et publiée. On pourrait légitimement s’interroger quant à la “pseudo” finitude de ce projet…
En quoi ce “projet encyclopédique” est-il corrompu ?
Rentrons dans le vif du sujet et exposons ici, en trois points, nos conclusions quant au fait que  Wikipédia n’est, certainement pas une encyclopédie, mais un organe propagandiste qui,en se cachant derrière des valeurs “encyclopédiques” et “humanistes”,  façonne un monde à son image. 
Le logo parle de lui même (analyse symbolique à venir dans un prochain article):
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L’uniformité du logo, d’un gris terne, est frappante (faites de pièces de puzzle uniformes  bien que de tailles inégales). La connaissance est ici signifiée par une matrice creuse et sphérique (donc finie) et prête à vous accueillir; les pièces manquantes symbolisent nos esprits. 
L’anonymat des acteurs et des contributeurs:  La source principale d’un article encyclopédique est le/la ou les auteurs de cet article. Reconnus comme des références par leurs pairs dans le domaine visé. En cas de désaccord majeur et en l'absence d’une autorité scientifique supérieure, on expose alors les théories les plus abouties et les plus communément admises à la date de publication de l'encyclopédie.  Wikipedia nous apprend par exemple de L'Encyclopædia Britannica, que ses articles sont écrits par un personnel d'environ 100 rédacteurs à plein temps et plus de 4 000 contributeurs experts. On comprend aisément que, drapé d’anonymat, tout le monde devient expert de tout…
On en vient au deuxième point, les Sources et Notes, qui remplacent dans l’esprit de certains la conception et la signature de l’article par un ou des experts… Il est très facile de constater que la gestion et l’utilisation des sources sont catastrophiques; et pour cause chacun y mettant du sien, l’article changeant au fil des ajouts, il devient vite impossible de maintenir une quelconque cohérence dans les références. Et cela, pour la simple raison que personne n’a autorité sur un domaine ou sur des articles: Tout le  monde sait bien qu’il suffit de créer un compte pour faire des modifications sur un article. Cela pourrait fonctionner avec une stricte hiérarchisation ainsi qu’une pondération des sources… Il n’en est absolument rien, il est facile de constater qu’on trouve absolument de tout, sans ordre ni logique. Évoluant constamment, échappant ainsi à la temporalité imposée à une production littéraire, les sources sont on le comprends ingérables. Ceci nous amène à notre dernier point:
Les guerres éditoriales: Hé oui ! ça n’a absolument rien à faire dans une encyclopédie. Cependant cela s'appréhende aisément au sein d’un organe de propagande puissant aux ramifications planétaires. En coulisse, Wikipedia s'avère être le théâtre de nombreuses guerres éditoriales internes (entre contributeurs, ou wikipédiens comme ils se nomment) et externes (avec des personnalités, essayant par exemple de modifier leur propre profil).
Voici un exemple flagrant de ce type de manipulation et  de guerres éditoriales internes ayant pour enjeu  la marseillaise:
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Une petite guéguerre interne ridicule...à mille lieues de l’esprit encyclopédique.
Cela devient extrêmement inquiétant quand des personnages publiques (écrivains, savants, historiens) sont tagués par Wikipedia comme étant des adeptes d’une idéologie complotiste. Je citerai ici le cas imminent de Daniele Ganser; aussi bien pour la qualité et la rigueur scientifique du travail de cet historien suisse, auteur de l’ouvrage de référence sur les réseaux Stay-Behind, Les Armées secrètes de l’OTAN et Gladio. Ouvrage majeur : 
« Cette étude méticuleuse et soignée, incisive, révèle pour la première fois l’ampleur, la noirceur et les implications menaçantes des armées secrètes créées par l’OTAN. La lecture de ce livre important de Ganser s’avère une urgence, particulièrement dans la période que nous traversons. »  Noam CHOMSKY, intellectuel et professeur de linguistique au MIT
En accès libre ici: Les Armées secrètes de l’OTAN
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Ganser et Wikipedia : “Les cotés sombres de Wikipedia” de  Markus Fiedler et Frank Michael Speer. 
Wikipedia : La police politique du nouvel ordre mondial.
Voyons comment en se présentant comme étant une encyclopédie “neutre” et “libre” les wikipédiens manipulent et pervertissent la réalité. Petit voyage dans ce monde merveilleux… Et si vous ne savez pas quoi penser, ne vous inquiétez donc pas wikipedia s’en charge à votre place...Et que la chasse aux sorcières soit ouverte:
Mon histoire commence, évidemment, par cette page tout à fait caractéristique de l’esprit wikipedien: La théorie du complot  ! Et comme à son habitude concernant les sujets “sensibles”, l’article se veut très complet, trop complet à la vérité...Une technique très répandue qui consiste à accumuler les données, pour noyer le poisson dans un étalage pluridisciplinaires: Sociologique, psychologique, politique, historique,... En impressionnant ainsi son auditoire dans une optique purement quantitative et matérialiste,  illustrées d’images caricaturales ou hautement symboliques,  appuyé par des tonnes de sources allant du coq à l’âne, avec  le nom de grands experts, pour vous rassurer… Une atmosphère propice au lavage de cerveau.
Dès les premières lignes, la manipulation devient flagrante. A la place d’une  définition concise et communément admises, ils font donc le choix de définir le terme complotisme en utilisant comme source… tenez vous bien … source [a] un article blogguer de Nicolas Lebourg, un spécialiste de l'extrême droite…  Encore mieux ! Wikipedia se propose de reconstituer une genèse historique de la théorie du complot. Du coup, ça nous intéresse de savoir si nous sommes  complotistes !
Les historiens s'accordent à considérer que la première théorie du complot proprement dite fut celle, qui se répandit à la fin du xviiie siècle, portant sur la Révolution française. Pour Frédéric Charpier, ce sont les Mémoires pour servir à l'histoire du Jacobinisme, écrites en 1798 par l'abbé Augustin Barruel, qui constituent l'acte de naissance de « la première théorie du complot » : celle-ci ne voit pas la Révolution française comme le résultat d'un mouvement populaire spontané, mais plutôt comme le fruit d'une conspiration antichrétienne. Frédéric Charpier y voit le prototype qui contient l'essentiel des ingrédients des futurs récits conspirationnistes : une « idéologie réactionnaire », une « subjectivité camouflée dans une fausse objectivité », un « langage haineux» La Source ici est  Frédéric Charpier, L'obsession du complot, 2005, Bourin éditeur, 232 p. (ISBN 2-8494-1025-X) … La source est franchement faible voir inexistante, surtout quand on pense aux nombreux historiens et chercheurs pour cette période, on pourrait s’attendre à des sources historiques de références… Pourquoi ? Parce qu’aucun spécialistes ni historiens ne se sont jamais accordés sur cette définition historique de la théorie du complot. En bon défenseur de la république (l'absence de majuscule n’est point un oubli de ma part) les wikipédiens font simplement leur travail d'endoctrinement idéologiques.  
Et c’est comme  ça pendant tout l’article, Wikipedia prétend distinguer pour nous le Vrai du faux, avec en cadeau une description des pathologies mentales et cognitives qui  peuvent être les causes de symptômes paranoïaques menant  à  la “théorie du complot”. Maman ! Je ne veux pas être malade !
Derniers exemples de manipulations flagrantes des sources et de la malhonnêtetés intellectuelles de ce système:
Comment utiliser le nom d’une référence sans la cité, mais en citant son nom ?  
Une autre forme de typologie peut être faite à partir de la nature du complot ou de ses auteurs. En se basant sur le cas des États-Unis, Véronique Campion-Vincent distingue « complot d'une élite » et « complot anti-individuel »[63],[64]. Concernant le « complot d'une élite », elle distingue :
une théorie « de droite », qui avance que l'État fédéral est au service des Noirs et/ou des Juifs et tente de prendre le contrôle de la nation blanche et chrétienne ; une théorie « de gauche », qui estime que les États-Unis, Israël, de riches organisations internationales pilotées par de grandes sociétés et de grandes fortunes tentent d'imposer un « nouvel ordre mondial » : la Commission Trilatérale, la famille Rockefeller, la Société du Mont-Pèlerin, le Council on Foreign Relations, le groupe Bilderberg, le groupe Carlyle, les Skull and Bones, l’Organisation mondiale du commerce, etc.
La note [63] nous renvoie vers le Compte rendu d’un ouvrage de Véronique Campion-Vincent (Anthropologue au CNRS). Cependant ce conte rendu n’est pas écrit par le Pr Campion-Vincent mais par un bloguer, sous pseudonyme, du site Novovision.fr.  
Quant à la note [64] elle nous informe que:  Le terme anti-individuel n'est pas d'elle, mais semble bien résumer sa pensée. Pour finir, l'ensemble des exemples d’institutions, des groupes financiers, des sociétés secrètes, etc... sont non sourcés. A se demander que reste-il de la “source” dans tout cela; après l’interprétation du blogueur et celle du, ou des rédacteurs de l’article ? Vous avez leurs interprétions, et c’est tout. Une cacophonie scientifique, sous couvert du nom d’un chercheur et de pseudos prétentions encyclopédiques. 
Celle-ci est pas mal aussi, rapide, pour la route :)
Complot Eurabia
Les agitations politiques survenues dans le monde arabe à partir de la Tunisie, à partir de décembre 2010, ont aussi été expliquées, par certains penseurs et écrivains, comme étant une conséquence d'un complot organisé par les États-Unis[116].
Source [116]: Encore un blog… Par Anis Wahabi, illustre inconnu dans le domaine, et dans tous les domaines à priori.  C’est comme si, sur Wikipedia, on prenait comme source un article du blog de Hodja … Et toujours, ce magnifique classic combo de wikipedia: “par certains penseurs et écrivains” ... 
Quelle merveilleuse balade anxiogène dans la matrice amorale et normative de wikipedia... Vous ne savez toujours pas quoi penser ?  Ne vous inquiétez donc pas, braves gens ! Il existe une multitudes d'articles connexes...
Exemples
Théories du complot à propos des attentats du 11 septembre 2001
Théorie du complot au sujet du sida
Théorie du complot juif
Théorie du complot sioniste
Théories du complot Illuminati
Je finirai par une citation de Paul Valéry , extraite de de ce même article; qui reflète parfaitement les méthodes de wikipedia, ainsi que l’idéologie sous-tendue:
“Le mélange de vrai et de faux est énormément plus toxique que le faux pur”
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nalinacrimble-blog · 7 years
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“A. Borgen Gjerde explique bien comment, dans sa lutte acharnée contre le Bund avant 1917, Lénine, tout en dénonçant les pogromes, l’antisémitisme, les crimes des Cent-Noirs, les discriminations antijuives, etc., a toujours défendu l’idée que l’antisémitisme était un vestige du féodalisme, qui ne pouvait mobiliser que des paysans arriérés. Il refusait d’admettre que l’antisémitisme sévissait aussi dans les rangs de la classe ouvrière russe – ce que lui reprochait le Bund.
Comme chacun le sait, ou plutôt devrait le savoir, cette négation de l’antisémitisme ouvrier a été une constante chez ses successeurs, ou disciples, trotskystes, staliniens, maoïstes et ultragauches. Pour eux l’antisémitisme (et d’ailleurs aussi souvent le racisme, mais ce serait une autre discussion) est une idéologie qui ne sévit pratiquement que dans les rangs de la petite bourgeoisie (paysans, petits commerçants, artisans etc., toutes couches sociales censées être condamnées à disparaître par l’histoire et par l’évolution inéluctable du capitalisme). [...]
Borgen Gjerde souligne également que Lénine oscille entre deux images du Juif :
le mauvais juif (bourgeois, réactionnaire, nationaliste, « cléricaliste », manipulé par les rabbins et les bourgeois juifs, attaché à ses traditions religieuses, culturelles, ethniques, qui veut perpétuer « l’esprit du ghetto » et considère l’antisémitisme comme éternel – et qui est donc sioniste)
et le bon juif (prolétaire, internationaliste, universaliste, acculturé voire assimilé et soucieux de prendre ses distances avec ses « racines » juives qu’il considère comme une limitation, voire comme une prison identitaire insupportable – et donc antisioniste).
Il détecte également une contradiction chez Lénine, contradiction qui explique, à notre avis, en partie la confusion théorique qui règne chez les antisionistes de gauche actuels : tantôt Vladimir Illitch considère les Juifs comme une nation (mais seulement ceux qui parlent le yiddish, l’hébreu étant pour lui la langue de l’obscurantisme religieux et du nationalisme bourgeois), tantôt il leur dénie ce statut de nation. Cette position est liée à sa conception particulièrement mécanique concernant une prétendue « double nature » des cultures nationales : celles-ci, selon Lénine, auraient une dimension réactionnaire ( la culture bourgeoise, ici le sionisme et le judaïsme) et une dimension révolutionnaire (la culture du prolétariat, ici, celle des prolétaires et des intellectuels juifs socialistes internationalistes).” 
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