Tumgik
#mais j'aime les sept
la-cocotte-de-paris · 10 months
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"La Reine de Pluton et les sept petits pervers" :p
Ça sonne bien, n'est-ce pas ?
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cricxuss · 22 days
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COMME LA MORT, IL FAUT REGARDER LA SEXUALITE EN FACE SANS FERMER LES YEUX !
Suis-je un poète pornographe ? Si c'est le cas, je m'inscris dans une longue tradition si j'en juge par le recueil "Anthologie de la poésie érotique " publié en 2010 par les éditions Garnier. En effet, dans ce florilège le réalisme le plus cru côtoie le raffinement le plus délicat, de l'Antiquité grecque et romaine jusqu'au début du XXème siècle, qu'il s'agisse de poètes renommés ou de petits maîtres. Dans ces oeuvres s'exprime une volonté de subversion et d'émancipation. Sous ces coups de boutoir, la vieille morale vacille et les masques tombent. Aujourd'hui, avec les outils du numérique, la donne a changé même si l'hypocrisie persiste car "on estime que près de 60 % des internautes surfent, à un moment ou à un autre, sur des sites au contenu pornographique" (extrait de '" Bêtes de sexe ", Editions Michel Quintin, 2015).
LA SEXUALITE VECUE PAR DES POETES, LOIN DE L'AMOUR CHASTE OU DU LYRISME ROMANTIQUE...
Jacques Prévert participa aux entretiens sur la sexualité dont le groupe de Breton commença la publication dans le numéro 11 de la Révolution surréaliste. « Le surréalisme, dira André Breton, a tout fait pour lever les tabous qui empêchent qu'on traite librement du monde sexuel et de tout le monde sexuel, perversions comprises – monde dont j'ai été amené à dire plus tard qu'en dépit des sondages entre tous mémorables qu'y auront opérés Sade et Freud, il n'a pas, que je sache, cessé d'opposer à notre volonté de pénétration de l'univers son infracassable noyau de nuit. »
Les Recherches sur la sexualité. Part d'objectivité, déterminations individuelles, degré de conscience se déroulèrent pendant sept soirées du 27 janvier au 6 mai 1928. Les deux premières furent publiées in extenso dans La Révolution surréaliste. Prévert participa à six de ces soirées.
Jamais on n'avait parlé aussi clairement dans une revue autre que celles qui se vendaient sous le manteau, de l'onanisme féminin, dont Breton pensait le plus grand bien, vivement approuvé par Prévert qui s'en déclarait tout à fait partisan. A l'appui extraits de dialogues on ne peut plus directs entre les deux hommes […] :
Prévert : Que pense Breton de la sodomie entre homme et femme ?
Breton : Le plus grand bien.
Prévert : Vous y êtes-vous déjà livré ?
Breton : Parfaitement.
Queneau : Faites-vous toujours l'amour de la même façon ; sinon est-ce pour accroître votre jouissance ou celle de la femme ?
Breton : Fort heureusement non, je m'ennuierais trop. Quant à la femme elle peut prendre l'initiative de changer autant qu'elle veut.
Prévert : Je suis de l'avis de Breton.
Quand les questions se firent plus précises chacun tint à ajouter son grain de sel à une conversation qui se révélait de plus en plus pimentée :
Breton : Quelles sont les attitudes passionnelles qui vous sollicitent le plus ? Baron ?
Baron : Le 69, la position dite « en levrette ».
Duhamel : La position dite « en levrette », le 69.
Aragon : Je suis extrêmement limité. Les diverses attitudes me sollicitent également comme autant d'impossibilité. Ce que j'aime le mieux, c'est ma pollution pendant la fellation active de ma part. En fait, je fais presque toujours l'amour de la manière la plus simple.
Man Ray : Pas de préférences. Ce qui m'intrigue le plus, c'est la fellation de l'homme par la femme, parce que c'est ce qui s'est présenté pour moi le plus rarement.
Noll : La fellation de la femme par moi, ou bien sexe sur sexe, bouche sur bouche, le 69.
Sadoul : Pas de préférence violente. Cependant, la fellation de la femme par moi.
Aragon : Qu'est-ce qui vous excite le plus ?
Duhamel : Les jambes et les cuisses d'une femme. Ensuite le sexe, les cuisses et les fesses.
Prévert : Les fesses.
Queneau : Le cul.
Aragon : L'idée de la jouissance de la femme.
Noll : C'est aussi tout ce qui m'intéresse.
Duhamel : Egalement.
Péret : Pour les parties du corps, les jambes et les seins. Par ailleurs, voir une femme se masturber.
[…]
Breton : Dans quelle mesure Aragon considère-t-il que l'érection est nécessaire à l'accomplissement de l'acte sexuel ?
Aragon : Un certain degré d'érection est nécessaire mais, en ce qui me concerne, je n'ai jamais que des érections incomplètes.
Breton : Juges-tu que c'est regrettable ?
Aragon : Comme tous les déboires physiques, mais pas davantage. Je ne le regrette pas plus que de ne pouvoir soulever des pianos à bout de bras.
Aragon se souviendra de ces aveux publics en écrivant La Grande Gaîté, recueil de poèmes publiés l'année suivante (1929) et dans lesquels on trouve ce quatrain où le poète ironise :
Il y a ceux qui bandent
Il y a ceux qui ne bandent pas
Généralement je me range
Dans la seconde catégorie
Extrait du livre : « Jacques Prévert » par Yves Courrière, Gallimard, 2000.
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quemajoiedemeure · 2 months
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C'est un début de vacances extrêmement morose alors qu'il y a pas tellement de raisons pour ça, rien que je pourrais pas régler en tout cas. Je sais pas pourquoi mais j'ai toujours trouvé mgk hyper hot, mais depuis qu'il a fait son cover noir partout j'ai l'impression de m'étouffer un peu quand je vois ses photos. Je lis deux livres en même temps, un qui parle de la vie sexuelle d'un mec seropositif qui me rappelle "Mes animaux sauvages" sauf que cette fois c'est français alors étrangement moins exotique alors que ça parle de cul de la même facon, l'autre livre est dur à lire parce que ça parle d'animaux morts de cadavres qui pourrissent et de liquides qui puent la mort mais je lis quand même parce que j'aime bien le style. J'ai a nouveau la boule dans le ventre tout le temps et ma boîte de lexomil s'est renversée dans le tiroir de ma table de chevet où il y a tous les câbles et les chargeurs alors au milieu de la nuit mes doigts fouillent dedans pour trouver les cachets quand je dors pas, je ramasse rien ces temps ci, j'ai juste envie de dormir pour pas exister, c'est un peu ça mon état normal en vérité je pense, si on fait un ratio sur les quinze dernières années. J'écoute que des vieilles musiques qui passaient à la maison quand j'avais sept ans, pour faire semblant que tout ce qui s'est passé depuis existe pas et qu'on peut revenir en arrière quand on veut, j'aime bien piéger mon cerveau comme ça, ça marche un peu jusqu'à ce que je me souvienne que ma mère et mon père sont pas là à côté pour prendre soin de moi et que plus ça va plus c'est le contraire qui se passe, ça me generait sûrement pas de revivre en boucle l'année de mes sept ans pour arrêter d'avancer jpense
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uneessencesensible · 6 months
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Trente balais, ça se fête, non ?
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La première année où je fais quelque chose pour moi, sans demander mon reste. Sans me poser de questions. C'est peut être con, vu comme ça, mais c'est libérateur de faire des choses seule, sans avoir besoin de qui que ce soit autour de soi. J'aime mes proches plus que tout, mais je n'ai pas besoin d'eux pour sortir désormais. Je me libère peu a peu de ma dépendance affective, de ma peur de ne pas être assez bien. À trente ans, je prends davantage confiance en moi et je suis apaisée d'aimer et d'être aimée. Oui, apaisée. Ce ne sont plus des montagnes russes qui m'accompagnent, tout au long de la journée, mais une paix intérieure qui me permet de vivre sereinement chaque instant seule ou accompagnée. Cela m'a fait peur, quand je m'en suis réellement aperçue, de cette "victoire". Je suis de nature, de base, à ressentir tellement de choses à la fois, de façon démesurée que ce soit le bon comme le mauvais. Cela m'épuisait et j'en avais marre. Mais désormais, c'est de moins en moins le cas. C'est beaucoup pour moi. Je savoure davantage. La thérapeute m'a dit que j'allais être bouleversée encore par cette prise de conscience. C'est vrai. Mais surtout... Je suis fière de moi. Certes, j'y arrive a trente ans. Je vis réellement depuis six, sept ans et j'ai commencé ma thérapie il y a deux ans et demi. Et en deux ans et demi, je suis à a des années lumières de ce que j'étais il y a six, sept ans. Alors rien que ça, et pour une fois, je suis contente de prendre un an de plus. Je passe un cap qui me rend fière.
Mon amour a fait ce qu'il fallait pour que je n'oublie pas ma journee. Rien qu'avoir le petit déjeuner de fait, une bonne journée avec lui, le repas de préparé, c'était déjà très bien. Il a pris sa journée pour moi, et j'étais contente. Un réel amour, même s'il pense le contraire. Il ne se voit pas. Finalement, on est bien fait pour être ensemble. L'un et l'autre, on ne se voit pas tel que nous sommes, mais nous voyons l'autre comme il devrait se voir. On se complète si bien. ❤️
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peut-etre · 8 months
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Et le jeudi sept septembre il vient presque tôt
sa voix dans l'ascenseur doucement les syllabes
qu'il découpe doucement comme au fin couteau
de son intelligence sa grâce incernable
Sa beauté ses mains ses baisers sont vicieux
me rendent la scission des corps impossible
Je te veux fort je pourrais t'appeler monsieur
Te montrer mon respect mon désir irascibles
Ou comme le poème que j'aime qui dit
Le vice n’entre pas dans les amours sublimes
Il a raison : je pourrais jusqu'à mon discrédit
faire ton amour et tes désirs des abîmes
Et le jeudi sept septembre il part presque tôt
Le lendemain ton corps est loin presque panique
Te revoir tu a ouvert mon corps que tu dis beau
à avoir faire tout cela tu es unique
En un soir de septembre presque malheureux
Ta beauté tes mains et ton fin et doux courage
ont rendu l'instant intensément glorieux
je te veux tu me veux début de l'effleurage
Tu m'a eue tu m'as prise et as ouvert mon corps
Viens me voir bientôt car j'ai tant d'autres poèmes
Me voir tout du haut de mon corps même au dehors
Malmène moi oui il faut que tu me malmènes
Pour sentir davantage tout cela que j'aime
Viens me voir encore bientôt ton corps est loin
j'irai me laisser caresser dans ton cinquième
Jusqu'à l'orgasme jusqu'au sommeil le goût du vin
Et le jeudi sept septembre il part presque tôt
Oui je dors mieux seule mais je veux ton corps là
Dormir tout contre nos désirs pulsants et chauds
Recommencer encore encore alinéa
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nowis-scales · 1 year
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4,5, 12 e 13 per Hinoka? :D
Certainement! Merci. C'était vraiment amusant à faire!
4. What about their personality I like?
As-tu trois heures? Non? Je vais faire de mon mieux d'être bref, alors.
J'aime qu'elle est une femme — une princesse — qui est gentille et aime beaucoup les autres, mais qui est aussi une guerrière, qui n'est pas toujours serein, qui est fort mais peut aussi pleurer, aimer, et vivre une vie pour les autres. Hinoka est un héros, et elle n'est pas écrite comme moins que ses frères. Quelquefois ça semble qu'elle est le plus noble membre de sa famille, qui pense le plus de autres, mais ce n'est pas à dire qu'elle ne fera pas de mauvaises décisions aussi. Elle est capable d'être sournois, comme dans Conquest avec son “protection” du Rainbow Sage.
Vraiment, ce que j'aime à propos Hinoka est qu'elle est équilibrée. Elle semble qu'une vraie personne, et ça donne beaucoup de pouvoir à son personnage.
5. What about their backstory makes me emotional?
Quand tu penses vraiment à propos de son enfance, c'est vraiment triste. Une princesse d'un pays sexiste qui est devenu orpheline à sept ans, qui a perdu son frère/sa soeur à un pays ennemi et son enfance à la possibilité de la guerre, qui n'avait aucun support sauf un autre enfant et une belle-mère qu'elle ne pourrait pas faire confiance à cause de ses propres problèmes comme orpheline… C'est vraiment triste! La vie n'était pas gentille à Hinoka, et dans Conquest, c'est encore si méchant. Elle a perdu ses parents, Corrin, et puis ses deux frères… et maintenant elle doit subir la vie comme une reine, sans avoir assez de connaissance de savoir quoi faire pour un pays presque détruit.
12. What I like about how fandom portrays them?
J’aime que le fandom veut faire plus d’attention à Hinoka. Elle n’a pas reçu assez dans Fates, donc j’aime beaucoup qu’elle est souvent connu comme une fille impressionnant. C’est comme elle est la soeur aînée “cool”, et j’aime ça vraiment. Même si j’ai des problèmes avec comment elle est dépeint avec ses frères et soeurs quelquefois, la majorité du temps, j’aime que tout le monde reconnaisse qu’elle est compatissant et pensif. Le fandom assure qu’elle n’est pas réduit par sa manque de présence dans l’histoire, et ça c’est toujours quelque chose de bon.
13. What I don't like about the way fandom portrays them?
C'est un problème que je pense est présent pour presque chacun des frères et soeurs Hoshidan, mais c'est qu'elle n'est pas souvent traitée comme un être humain, parce qu'elle est toujours vue par les yeux de Takumi. Ce n'est pas à dire que Takumi n'est pas sympathique à ses frères et soeurs, mais qu'il est un narrateur non fiable. Il n'est pas non fiable par exprès, je veux dire, mais ses incertitudes lui donne une impression spécifique de sa soeur basée sur ses incertitudes. L'impression de la famille de Hoshido est fait presque totalement par Takumi, car il est le plus ouvert membre de famille. Et donc, les impressions de Takumi deviennent nos impressions. Si nous ne cherchons pas les détails à propos des autres, ils deviennent exactement les personnes que Takumi se dit qu'ils sont. Sakura est son mignon petite soeur, Ryoma est le frère qui ne le comprend pas et qui est trop parfait, et Hinoka est forte mais lui ignore et ne l'aime pas. On voit directement que Hinoka l' aime beaucoup, mais l'opposé est souvent dit.
Selon moi, ça c'est parce que les gens ne voulaient pas confronter la peine de Hinoka, et comme résultat, ne comprende pas pourquoi elle n'est pas assez attentive. Je ne dirai jamais que la peine de Takumi n'est pas vrai, mais que Hinoka a ses propres raisons pour agir comme elle agit. De plus, ce n'est pas facile à taper dans l'angoisse de Hinoka parce qu'elle est le membre de famille le plus stable. Elle a déjà confronté beaucoup de ses problèmes émotionnels, alors les gens pensent qu'elle est tout d'accord. Moi, je ne suis pas en accord avec cette idée, car son comportement avec ses domestiques et sa famille démontre un hero complex. Elle veut que chacun de ses frères et soeurs partagent leurs émotions avec elle, et elle est toujours prête à aider ses domestiques quand ils agissent dans les manières bêtes. Même sa décision de devenir chevalier de pégase est une expression d'angoisse. Ça donne l'impression de vouloir aider les autres parce qu'elle ne sait pas comment aider elle-même. Et oui, Hinoka peut être plus attentive à Takumi et Sakura aussi, il y a de vrais problèmes là et les émotions de Takumi sont valides, mais la façon dont le fandom traite le comportement de Hinoka comme malveillante ne me plaît pas.
Aussi, pour un autre point petit, je déteste que dans chaque reécriture de Fates, elle est toujours “le raciste”. Je dis LE raciste parce que Ryoma est toujours le sanguinaire, et c'est décrit comme une amélioration sur la moralité de Hoshido. Non. Ça semble qu' il est basé sur les commentaires secondaires par les personnes qui ne sachent pas beaucoup de personnes japonaises. Il y a beaucoup de problèmes dans l'histoire du Japon qui méritent discussion en Hoshido, mais tout le monde veut que faire ces caricatures des personnes racistes et sanguinaires. Il y a un manque subtilité qui donne l'idée de vouloir confronter le racisme jusqu'au point d'invoquer un peu de racisme.
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edithlittlegarden · 10 months
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Bonjour,
Je l'admets, j'ai un compte depuis longtemps mais, je n'ai jamais pris le temps d'y poster quoi que ce soit, il est donc temps de remédier à cela parce que le côté blog me manquait !
Je suis donc Edith, cat lady, je trouve le fairycore et le cottagecore incroyablement doux, j'aime les fleurs, le thé, le rose et les robes à froufrou. J'écris des fanfictions depuis longtemps (dramione, OpheThorn, un peu de Star Wars) et outre la fanfiction j'ai pleins de petits projets de romances. Peut-être que je posterai quelques extraits et liens si je me sens suffisamment confiante.
En parlant de confiance, j'en possède assez peu, je ne suis pas forcément très stable mentalement depuis sept ans et j'ai besoin d'un endroit où parler et être un peu plus libre de mes mouvements. Je pense qu'ici serait l'endroit parfait.
______
Hi guys !
I'm Edith, i have this account over years now, and i never posted anything ! but it's time to change this :) I'm a cat lady, i love fairycore, cottagecore, tea, pink, and fluffy dresses. I'm a tiny little writer. I write (only in french) fanfiction (dramione, OpheThorn, Star Wars) and some romances with magic, princes and princesses. (My english isn't much good i'm sorry T_T)
In this house we love Adam Driver, Domhnall Gleeson and more !
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arypurple · 10 months
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DL - Résumé foireux S01.ÉP10
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Précédemment, la Reine des grognasses avait pris possession du corps de Plante Verte ! Mais pourquoi donc ? On le saura bientôt. En attendant, on voit Cruella Cordelia (qui n'a pas perdu de temps à se mettre en robe) se remémorer le passé où elle se tapait son beau-frère (bienvenue dans la famille où même le patriarche se faisait sa propre cousine ~). Bref, j'aime pas la voix de ce gars en plus d'être aussi chiant qu'une vieille éponge bien humide et dégueulasse qui traîne à côté du robinet en attendant d'être jetée ! Apparemment, Karlheinz et son frère se sont battus pour elle (ce qui ne valait pas vraiment le coup, mais bon...) et Richter a perdu. Mais croyez-moi que ça ne les a pas empêché de copuler comme des lapins ! Oréo-sama arrive en demandant des explications et sa mère décide d'aller se reposer. Bah oui, Yui était pas assez forte pour mettre un coup de pied aux couilles... mais se battre contre l'âme d'une Fondatrice est plus facile. Sur ce, je te dis «Let's go, Yui!». Mais on est tout de même face à un gros problème: on a une grosse chaudasse qui a vu plus de saucisses que le ketchup lui-même dans le corps d'une loli jeune fille pure. Personnellement... je me fais beaucoup de soucis pour l'avenir de son corps (●´⌓`●). Enfin bref ! Richter explique à Ayato qu'après avoir fait un I Believe I Can Fly du haut du balcon, Cordelia était encore en vie et elle lui a demandé de lui arracher le cœur pour le mettre dans un autre corps. Il s'est dépêché avant que le p'tit con ramène son cul pour se faire un BBQ avec le corps de sa mère. Richter aurait pu le placer dans le corps de Beyoncé, Jennifer Lopez, Scarlet Johansson ou bien Megan Fox en sachant qu'elles étaient bien foutues... mais son choix s'est rapporté sur un adorable bébé (passion pour les enfants ? ~). D'ailleurs, vous constaterez que c'est biologiquement impossible de placer le cœur d'une femme adulte dans le corps d'un nouveau-né 🤔. La Reine des grognasses s'est rendue au lac et son fils la rejoint en lui rappelant quand elle s'amusait à le balancer dans le lac en guise de punition. C'est alors qu'Ayato utilise la carte inversion d'Uno pour pousser la daronne dans le lac. Cordelia faisait bien la fière avant de se rendre compte que Yui ne savait pas nager ~ Surtout que j'imagine que ça ne doit pas être évident de nager avec une robe sirène (d'ailleurs, il me semble avoir vue cette robe dans la fin Vampire de Kanato).
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Heureusement, la blondasse reprend le contrôle ou bien est-ce l'autre qui lui a laissé et Oréo-sama la sort du lac avant de la mordre plusieurs fois. Il est tellement shooté par son sang qu'il s'apprête à l'embrasser alors que sa mère peut posséder le corps à tout moment (bienvenue dans la famille !). Fedora-chan (qui n'a jamais été gêné de coucher avec sa mère de toute façon) et Yandere King s'incrustent en voulant boire. Plante Verte se barre pour retourner au manoir avant de prendre le couteau en argent. Tsundere Simulator (ils vont tous se ramener ou quoi ??!) décide aussi de la croquer plusieurs fois avant de disparaître en décidant de lui donner le couteau. Yui... BARRE-TOI DE CE PUTAIN DE MANOIR !!! Bon Dieu de merde, là ! Mais nooooon, on est maso, hein ??? Richter est là pour la brainwasher en lui disant que son sang les rendait fou (ce qui a toujours été le cas de toute façon) et qu'ils allaient se livrer bataille. Plante Verte avance vers le spectre de Cordelia après que tonton détestable lui ait dit d'accepter son destin. Mais... Mais merde, Yui... s'il te dit que ton destin c'est de le sucer, ne me dis pas que tu vas te mettre à genoux et... ah merde, on me dit qu’elle vient de se mettre à genoux ! Vous vous en doutez: il reste encore deux épisodes, ce qui veut dire que la connasse n'a pas encore complètement tiré profit du corps de cette Yui et elle prend de nouveau possession... même que ses yeux ont changé de couleur ! En même temps, elle a passé dix-sept ans sans la moindre relation sexuelle. Elle doit être frustrée et pressée de rattraper le temps perdu avec le tonton de ses garçons. Et que font les autres frères en ce moment ?! Oréo-sama doit encore être en train de freiner les deux autres cons qui veulent téter le sang de maman qui squatte le corps de Plante Verte, Subaru doit être en train de verser son sel bien comme il faut, Shuu doit faire sa sieste et Reiji doit être en train de se droguer ou bien de se branler sur un plateau d'échecs.
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profenscene · 2 years
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Mercredi 12 octobre
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Ce n'est presque plus mercredi, et le premier moment de solitude que ce voyage scolaire m'accorde.
Premier jour de voyage, donc. Et immense randonnée, avec tout un tas de petits êtres de sixièmes. C'est difficile. Le sentier monte, et les rocailles glissent sous les pieds, les traîtresses. À peine vingt minutes plus tard, les habituelles protestations se font entendre : "C'est trop dur !" "J'ai mal aux pieds !" "On arrive quand ?"
On arrive dans trois heures.
Pour rendre le chemin supportable pour eux et pour ne pas basculer dans la folie, je tente de les faire rire. "Allez, on ne se décourage pas, on avance ! Qui va être le roi des pirates ? Le premier qui sera arrivé au bout du cap, c'est là que se trouve le One Piece !"
Et monter, redescendre, monter, redescendre la petite colonne, pour les motiver. Suivi par Tyrael, qui a mille questions à me poser : mon fruit du démon préféré, mon livre préféré, mon phénomène paranormal préféré, ma moto préféré. Il s'interrompt toutefois très poliment quand je parle avec quelqu'un d'autre. Et comme à chaque fois, je reste fasciné de cette facilité des sixièmes à raconter leurs terribles histoires de famille de façon très sobre, et souvent en rigolant, que ce soit un rendez-vous chez le juge ou un placement en famille d'accueil.
Heureusement, Raura met un peu de soleil là-dedans. Raura, qui voit la mer pour la première fois. Et qui s'extasie devant chaque paysage. Elle a les poches pleines de cailloux et de paysages. Et surtout, depuis trois heures, son mécanisme d'apprentissage de la langue fonctionne à plein régime. Elle s'exprime en français avec plus d'aisance que jamais.
Aisance qu'à Sol. En dévalant les cailloux, mains dans les poches, il affecte de me parler, d'un ton blasé, des vieux rockeurs qu'il admire. Que ses parents admirent ? "Non, mes parents sont plus électro. Moi j'aime ACDC." Il est heureux de cette culture qu'il se construit.
"Je n'aime pas les enfants." Il me faut toujours un moment pour comprendre pourquoi on me regarde étrangement quand je pose ce verdict. Et puis je me souviens. Et j'explique.
"Rien à voir. Je n'aime pas les enfants mais j'adore les individus."
Passer la journée avec soixante-sept petits individus.
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mogkiompmovieguide · 1 year
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Basquiat
Julian Schnabel
U.S / 1996 / 108 min
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A mi-chemin entre Cinéma et Peinture, le film de Julian Schnabel est quelque chose que l’on contemple.
L’histoire vraie d’un peintre devenu célèbre en 1981, Jean-Michel Basquiat, ce jeune graffeur de 21 ans d’origine Haïtienne vécu une carrière fulgurante, il meurt sept ans plus tard d’overdose d’Héroïne. Aujourd’hui mondialement célèbre en étant devenu l’un des peintres le plus populaire et reconnu du 20ème siècle.
Dans ce film, Julian Schnabel nous dépeint cette vie de folie en suivant les traces du critique d'Art, Robert Hughes, qui a intitulé la nécrologie de JMB "Requiem pour un poids plume", ce qui est intéressant et inattendu à propos de cette vision, est qu'elle fait de nouvelles observations sans pour autant réfuter le jugement de Hugues.
Nous assistons douloureusement à la chute de cet artiste surmédiatisé aux ailes cramées. Entre drogue et autres types d’influences, absorbé par un milieu absurde et superficiel dont Andy Warhol était l’architecte ; dans lequel on exploitait l'Art et les artistes de façon commerciale et spéculative. Le concept des « 15 minutes » de célébrité imaginé par Warhol devenait une réalité.
La mise en scène et la reconstitution de l'ambiance qu'il régnait dans le Lower East Side des années 80 à New York n’aurait jamais été aussi bien retranscrite qu’avec cette B.O soigneusement sélectionnée, et qui contribue également à faire de ce film l'un de mes favoris, et ma première source de découvertes soniques ; Notamment avec des compilations comme New-York Noise et l’album culte No-New York ; à la croisée de la scène Jazz, Hip-Hop, Rock, et même Électronique. Je pense notamment au film documentaire qui accompagne celui-ci : Downtown 81. Que je diffuserai aussi d’ici quelques jours.
Jeffrey Wright incarne J.M Basquiat de façon absolument surprenante, parfois troublante de réalisme, ce qui a sans doute été l’un des meilleurs choix du Réalisateur, il est difficile aujourd’hui d’imaginer quiconque de différent occuper ce rôle.
D'autres dans le casting incluent David Bowie en tant que Andy Warhol, Michael Wincott est René Ricard, Paul Bartel ; Henry Geldzahler et Elina Lowensohn la marchande d'Art Annina Nosei; parmi les acteurs incarnant des personnages fictifs il y a notamment Gary Oldman (en tant que remplaçant apparent de Schnabel lui-même), Benicio del Toro jouant le partenaire de défonce, Christopher Walken (brillamment en tant qu'intervieweur puant et hautain) ; Willem Dafoe et Courtney Love. Ainsi que de nombreuses apparitions brèves mais toujours appropriées des différentes figures de l'underground New-Yorkais.
C'est aussi assez énergique - il n'y a pas de plan ennuyeux nulle part, et le scénariste-réalisateur Schnabel s'amuse clairement en jouant avec le son expressionniste, les montages à la manière d'un Eisenstein moderne et toutes sortes d'autres idées cinématographiques. Ce qui émerge peut être flou en tant que récit, mais vivant en tant que Cinéma.
Sans aimer ni détester l'Art de Basquiat, pas plus que le Pop Art en général. J'ai été surtout fasciné par la vie de cet artiste. J'aime la manière dont Julian Schnabel figure de façon très romantique l'histoire de ce 'Beautiful loser' (c'est un peu le Kurt Cobain de la peinture).
Le spectateur est guidé au travers de cette chronique biographique, pensée et filmée avec onirisme et poésie, souvent du point de vue de ce jeune génie tourmenté, faussement naïf.
Initié lui-même au monde de l'art, Schnabel vise à élucider le conflit inhérent entre un génie rebelle et incompris et la société grossière qui l'entoure. Mais il semble réticent à adopter un point de vue clair sur son sujet - il n'est jamais clair si Basquiat a été victime de sa personnalité autodestructrice et/ou de son milieu matérialiste exploiteur. Il a certainement apprécié d'être courtisé par les marchands et les collectionneurs et les récompenses qui accompagnent la notoriété.
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Il y a de véritables moments de beauté dans ce film ; la séquence d’engueulade surréaliste entrecoupés d'extraits d'un film de 1922 "Les Grenouilles qui demandent un roi" du Réalisateur Russe Władysław Starewicz, en est un, le tout bercer par Van Morrisson interprétant It's All Over Now Baby Blue.
C'est une œuvre d'art imparfaite, peut-être oui, mais c'est de l'Art. La tendance de Schnabel à se rabattre sur certaines conventions biographiques assez standards est probablement due à son statut de cinéaste novice. C'est probablement en partie la raison - avec le fait qu'il le pouvait - d'avoir recours à une sorte de casting d’invités de marque, avec les acteurs de soutien. Dans le cas de la représentation d'Andy Warhol par David Bowie, c'est plus que payant. Bowie a-t-il été choisi uniquement pour l'apparence? Ou sur la force d'avoir écrit une chanson sur Warhol - une chanson qui inclut la phrase "habiller mes amis juste pour le spectacle et les voir tels qu'ils sont vraiment?" Dans un sens, n'est-ce pas ce que fait Schnabel avec ce film ? Quoi qu'il en soit, Bowie's Warhol est la représentation la plus humaine et la plus crédible de l'homme à ce jour. C’est le complément parfait au rôle de l'artiste toxicomane de Jeffrey Wright. Même si Wright n'aime pas ce que Schnabel a fait à sa performance dans le montage, cela ne change rien au fait que son Basquiat est une création fascinante, tout comme le film qui l'abrite.
Exceptionnellement, j'ai ajouté au dossier la formidable B.O
Le film ICI
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COMME LA MORT, IL FAUT REGARDER LA SEXUALITE EN FACE SANS FERMER LES YEUX !
Suis-je un poète pornographe ? Si c'est le cas, je m'inscris dans une longue tradition si j'en juge par le recueil "Anthologie de la poésie érotique " publié en 2010 par les éditions Garnier. En effet, dans ce florilège le réalisme le plus cru côtoie le raffinement le plus délicat, de l'Antiquité grecque et romaine jusqu'au début du XXème siècle, qu'il s'agisse de poètes renommés ou de petits maîtres. Dans ces oeuvres s'exprime une volonté de subversion et d'émancipation. Sous ces coups de boutoir, la vieille morale vacille et les masques tombent. Aujourd'hui, avec les outils du numérique, la donne a changé même si l'hypocrisie persiste car "on estime que près de 60 % des internautes surfent, à un moment ou à un autre, sur des sites au contenu pornographique" (extrait de '" Bêtes de sexe ", Editions Michel Quintin, 2015).
LA SEXUALITE VECUE PAR DES POETES, LOIN DE L'AMOUR CHASTE OU DU LYRISME ROMANTIQUE...
Jacques Prévert participa aux entretiens sur la sexualité dont le groupe de Breton commença la publication dans le numéro 11 de la Révolution surréaliste. « Le surréalisme, dira André Breton, a tout fait pour lever les tabous qui empêchent qu'on traite librement du monde sexuel et de tout le monde sexuel, perversions comprises – monde dont j'ai été amené à dire plus tard qu'en dépit des sondages entre tous mémorables qu'y auront opérés Sade et Freud, il n'a pas, que je sache, cessé d'opposer à notre volonté de pénétration de l'univers son infracassable noyau de nuit. »
Les Recherches sur la sexualité. Part d'objectivité, déterminations individuelles, degré de conscience se déroulèrent pendant sept soirées du 27 janvier au 6 mai 1928. Les deux premières furent publiées in extenso dans La Révolution surréaliste. Prévert participa à six de ces soirées.
Jamais on n'avait parlé aussi clairement dans une revue autre que celles qui se vendaient sous le manteau, de l'onanisme féminin, dont Breton pensait le plus grand bien, vivement approuvé par Prévert qui s'en déclarait tout à fait partisan. A l'appui extraits de dialogues on ne peut plus directs entre les deux hommes […] :
Prévert : Que pense Breton de la sodomie entre homme et femme ?
Breton : Le plus grand bien.
Prévert : Vous y êtes-vous déjà livré ?
Breton : Parfaitement.
Queneau : Faites-vous toujours l'amour de la même façon ; sinon est-ce pour accroître votre jouissance ou celle de la femme ?
Breton : Fort heureusement non, je m'ennuierais trop. Quant à la femme elle peut prendre l'initiative de changer autant qu'elle veut.
Prévert : Je suis de l'avis de Breton.
Quand les questions se firent plus précises chacun tint à ajouter son grain de sel à une conversation qui se révélait de plus en plus pimentée :
Breton : Quelles sont les attitudes passionnelles qui vous sollicitent le plus ? Baron ?
Baron : Le 69, la position dite « en levrette ».
Duhamel : La position dite « en levrette », le 69.
Aragon : Je suis extrêmement limité. Les diverses attitudes me sollicitent également comme autant d'impossibilité. Ce que j'aime le mieux, c'est ma pollution pendant la fellation active de ma part. En fait, je fais presque toujours l'amour de la manière la plus simple.
Man Ray : Pas de préférences. Ce qui m'intrigue le plus, c'est la fellation de l'homme par la femme, parce que c'est ce qui s'est présenté pour moi le plus rarement.
Noll : La fellation de la femme par moi, ou bien sexe sur sexe, bouche sur bouche, le 69.
Sadoul : Pas de préférence violente. Cependant, la fellation de la femme par moi.
Aragon : Qu'est-ce qui vous excite le plus ?
Duhamel : Les jambes et les cuisses d'une femme. Ensuite le sexe, les cuisses et les fesses.
Prévert : Les fesses.
Queneau : Le cul.
Aragon : L'idée de la jouissance de la femme.
Noll : C'est aussi tout ce qui m'intéresse.
Duhamel : Egalement.
Péret : Pour les parties du corps, les jambes et les seins. Par ailleurs, voir une femme se masturber.
[…]
Breton : Dans quelle mesure Aragon considère-t-il que l'érection est nécessaire à l'accomplissement de l'acte sexuel ?
Aragon : Un certain degré d'érection est nécessaire mais, en ce qui me concerne, je n'ai jamais que des érections incomplètes.
Breton : Juges-tu que c'est regrettable ?
Aragon : Comme tous les déboires physiques, mais pas davantage. Je ne le regrette pas plus que de ne pouvoir soulever des pianos à bout de bras.
Aragon se souviendra de ces aveux publics en écrivant La Grande Gaîté, recueil de poèmes publiés l'année suivante (1929) et dans lesquels on trouve ce quatrain où le poète ironise :
Il y a ceux qui bandent
Il y a ceux qui ne bandent pas
Généralement je me range
Dans la seconde catégorie
Extrait du livre : « Jacques Prévert » par Yves Courrière, Gallimard, 2000.
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christophe76460 · 3 months
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Genèse 29:15-30
[15]Puis Laban dit à Jacob: Parce que tu es mon parent, me serviras-tu pour rien? Dis-moi quel sera ton salaire.
[16]Or, Laban avait deux filles: l'aînée s'appelait Léa, et la cadette Rachel.
[17]Léa avait les yeux délicats; mais Rachel était belle de taille et belle de figure.
[18]Jacob aimait Rachel, et il dit: Je te servirai sept ans pour Rachel, ta fille cadette.
[19]Et Laban dit: J'aime mieux te la donner que de la donner à un autre homme. Reste chez moi!
[20]Ainsi Jacob servit sept années pour Rachel: et elles furent à ses yeux comme quelques jours, parce qu'il l'aimait.
[21]Ensuite Jacob dit à Laban: Donne-moi ma femme, car mon temps est accompli: et j'irai vers elle.
[22]Laban réunit tous les gens du lieu, et fit un festin.
[23]Le soir, il prit Léa, sa fille, et l'amena vers Jacob, qui s'approcha d'elle.
[24]Et Laban donna pour servante à Léa, sa fille, Zilpa, sa servante.
[25]Le lendemain matin, voilà que c'était Léa. Alors Jacob dit à Laban: Qu'est-ce que tu m'as fait? N'est-ce pas pour Rachel que j'ai servi chez toi? Pourquoi m'as-tu trompé?
[26]Laban dit: Ce n'est point la coutume dans ce lieu de donner la cadette avant l'aînée.
[27]Achève la semaine avec celle-ci, et nous te donnerons aussi l'autre pour le service que tu feras encore chez moi pendant sept nouvelles années.
[28]Jacob fit ainsi, et il acheva la semaine avec Léa; puis Laban lui donna pour femme Rachel, sa fille.
[29]Et Laban donna pour servante à Rachel, sa fille, Bilha, sa servante.
[30]Jacob alla aussi vers Rachel, qu'il aimait plus que Léa; et il servit encore chez Laban pendant sept nouvelles années.
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alexlacquemanne · 5 months
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[Ce texte est programmé pour être publié au mois de décembre si je n'ai pas de nouvelles de toi, c’est un recueil de pensées, certaines sont assez anciennes, je les avais mises de côté. Comme ça j’aurais tout publié.]
« Ne vous faites pas de stupides reproches, ne dites pas que c'est votre faute. Vous ne pouvez pas l'oublier. Et surtout vous ne devez pas l'oublier, au contraire. Il faut que cette souffrance agisse comme un ressort, qui vous aide à vous redresser. Et à faire face. »
Tu dis que je ne t’ai pas perdu par ma faute, mais je crois que si, et même si ce n’est pas le cas, ça arrivera forcément, je suis nul, il faut bien l’admettre, je ne suis absolument pas ce dont tu as besoin, je n’ai pas confiance en moi, je suis d’une timidité maladive, et s'il n’y avait que ça… heureusement que j’ai l’écrit en fait, le virtuel. Malgré tout cela je suis un optimiste qui s’ignore, la preuve, je crois que depuis deux ans qu’on va être ami, enfin, alors qu’il n’y a pas la moindre chance pour que ça arrive, visiblement.
Je fuis moi aussi ce monde, enfin plutôt cette société, que je déteste, j’aimerais y trouver ma place dès fois, mais en même temps je n’en ai pas envie, je suis bien dans mon propre monde.
Il y aura bien un moment où tu en auras marre de moi, comme par le passé. Ce moment, je me le prendrai en pleine gueule, comme par le passé. Je me prendrais un truc du genre «  je n’ai pas de temps à perdre avec toi. »
J’aimerais avoir un moyen de te faire comprendre que tu me manques, que j’ai besoin de toi, sans pour autant te le dire. J’ai déjà pas mal réfléchi à ça, comme un lien télépathique entre nous et ça ne peut être qu’une chanson, c’est une évidence. Je mettrais cette chanson et tu saurais que j’ai besoin de toi, ça marcherait dans les deux sens, j’aime cette idée.
J'ai encore rêvé de toi la nuit dernière.
Tu n'imagines pas à quel point je suis désolé de ne pas avoir réussi à te faire comprendre combien je tenais à toi, c'est soit ça soit tu n'en as rien à faire, dans les deux cas je suis impuissant. Tu me manques, quasiment tout le temps, ton absence m'a juste appris à me taire. Comment te faire comprendre ça.
Tu es mon monde, depuis sept ans tu es mon monde, l'une des seules choses qui me soient vitales, mais qui peut entendre ça, personne. Comment tu pourrais comprendre, personne ne reste amoureux d'une personne qu'il n'a pas vu depuis autant de temps. Il paraît que l'amour dure sept ans, on verra ça l'année prochaine, mais je n'ai pas l'impression que ce sentiment partira comme par magie, et je n'ai pas envie qu'il parte, je n'ai jamais eu envie qu'il parte.
Tu n'as même pas idée à quel point je peux penser à toi, le plus souvent pour des choses qui peuvent paraître insignifiantes. Je ne compte plus le nombre de fois où mes pensées allaient vers toi en regardant un film ou une série, en écoutant une chanson. C'est une chose que ne m'explique pas vraiment, tu es toujours quelque part dans ma tête. J'aime cette sensation.
Hier soir j’ai regardé un film, l’homme comprenait qu’il devait rejoindre la femme qu’il aime en voyant des signes, et il y allait, je pourrais faire ça, j’ai vu des signes, mais je ne le ferais pas, déjà parce que je ne sais pas où tu es, et aussi parce que je sais très bien que tu m’enverras balader. Aujourd'hui tu n’as besoin de rien, ni de personne et encore moins de moi.
"I really do remember, though. Every second with you. I'm so glad you're back, 'cause it killed me. It killed me, it killed me, it killed me."
Je ne te demande pas de ne pas être toi, j’aime aussi la nouvelle toi, j’aimerais juste qu’elle soit plus accessible, je prends les petites parcelles de toi que tu m’accordes. Je ne te reproche absolument pas d’être qui tu es aujourd’hui, si tu avais été différente soit on ne se serait jamais croisé, soit tu m’aurais oublié depuis longtemps.
Je pensais être différent des autres mecs que tu croises, mais ce n'est pas le cas, enfin si, moi j’ai même pas réussi à te baiser, que ce soit au sens propre ou au sens figuré, pour le reste je suis insignifiant. Peut-être que pour exister à tes yeux, il faut, soit te faire beaucoup de bien, soit te faire beaucoup de mal. Et j'ai réussi à faire ni l'un ni l'autre, je n'ai réussi qu'à t'aimer, mais on sait très bien que ce n'est pas suffisant. Ce que je veux dire c’est que je ne suis qu’un mec quelconque, parmi d’autres, une parenthèse de quelques semaines, il y a de longues années, rien de plus que ça, il est grand temps que j’en prenne conscience.
J'aimerais tant avoir de tes nouvelles pendant les fêtes de fin d'années, une de mes périodes préférées, chaque année j'espère, mais je n'en ai jamais.
Je sais bien que notre "relation" te va comme ça mais j'ai besoin de plus, je sais que j'ai dit que je ne demandais rien et je ne demande pas, je ne fais qu'exposer des faits. J'ai besoin de ta présence plus que ça, si c'est juste pour l'imaginer je le fait déjà depuis de longues années. Au cas où ça ne serait pas encore clair pour toi, je te trouve toujours aussi sympa, toujours aussi belle, toujours aussi attirante, toujours aussi sexy, toujours aussi amusante et toujours aussi importante qu'auparavant. Je radote comme toujours.
J'ai vu une publication ce matin, j'aurais tellement voulu vivre ça avec toi.
Sache que j’aime beaucoup écrire pour toi, mais je crois que je vais arrêter, j’aime cette relation, et je n'ai pas envie d'arrêter d'écrire, mais j’ai besoin d’un peu plus, et je sais que c'est inutile de demander plus, mais là j’ai juste l’impression d’écrire dans le vide, je met tout ce que j'ai dans ces textes, tout mon être. J’aime l’idée que le temps dans nos conversations n’a pas la même durée que le temps qui passe, je n’aime pas trop le monde actuel donc je crois que j’aime le fait que nous n’y soyons pas vraiment, mais j’ai besoin de plus de réaction, je suis sûrement beaucoup moins important que ce que je crois.
Tu lis mais pas grand chose de plus, ça n'a pas d'impact ou alors trop court, il me semble, peut être que le bouquin n'est pas assez bon, je te sent pas impliqué et c'est sûrement ma faute.
« Je veux que vous compreniez, que cette lettre que je vous supplie de m'écrire, vous en avez besoin, autant que j'en ai besoin. Alors bien sûr, une lettre de vous, réchauffe ma vieille carcasse, bien sûr, avant même de la lire, j'aime regarder votre écriture, qui ressemble à des petites billes roulantes. Mais surtout, surtout, cette lettre c'est la vie, et j'ai fait le serment de vous aider à vivre, et ce n'est pas finie la vie, c'est Monet qui a raison, le noir arrive toujours trop tôt. Les couleurs, uniquement. Les couleurs. Alors vivez. »
Tu ne veux pas me parler, tu n'as rien à me dire, et bien soit, je ne vais pas te forcer, je n’ai jamais su et je ne l'ai jamais voulu. J'ai toujours envie de faire partie de ta vie, plus que jamais même, d'y avoir une place, mais ce n'est peut être pas réciproque, et ce n'est pas grave, je ne t'en veux pas.
Malgré tout cela, j’ai toujours besoin de toi. Ma porte te sera toujours ouverte, elle l’a toujours été et elle le sera toujours, de toute façon cela fait très longtemps que tu en as la clef, utilise là. Si tu as besoin de parler, tu sais où me trouver, même si je sais très bien que tu n'en feras rien. J'aurais toujours du temps à te consacrer, c'est jamais du temps perdu.
Désolé, voilà comment se termine cette lettre.
« Vous ne m'appartenez pas, même si moi je vous appartiens un peu. Beaucoup. C'est peut-être le moment de vous dire que je vis ce que je ne pensais plus vivre. Jusqu'à ce que vous en franchissez le seuil, ce que j'appelais mon cœur, était le royaume des courants d'air, le règne du vide, la seule chose qu'on était sûr d'y trouver, c'était de la place. Vous seule avez su la combler. »
Santa - Popcorn salé
Dermot Kennedy - Don't Forget Me
The Cure - Lovesong
Vianney - Je m'en vais
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yes-bernie-stuff · 5 months
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Psaumes 119:145-176
145 Je t'invoque de tout mon coeur: exauce-moi, Éternel, Afin que je garde tes statuts!
146 Je t'invoque: sauve-moi, Afin que j'observe tes préceptes!
147 Je devance l'aurore et je crie; J'espère en tes promesses.
148 Je devance les veilles et j'ouvre les yeux, Pour méditer ta parole.
149 Écoute ma voix selon ta bonté! Rends-moi la vie selon ton jugement!
150 Ils s'approchent, ceux qui poursuivent le crime, Ils s'éloignent de la loi.
151 Tu es proche, ô Éternel! Et tous tes commandements sont la vérité.
152 Dès longtemps je sais par tes préceptes Que tu les as établis pour toujours.
153 Vois ma misère, et délivre-moi! Car je n'oublie point ta loi.
154 Défends ma cause, et rachète-moi; Rends-moi la vie selon ta promesse!
155 Le salut est loin des méchants, Car ils ne recherchent pas tes statuts.
156 Tes compassions sont grandes, ô Éternel! Rends-moi la vie selon tes jugements!
157 Mes persécuteurs et mes adversaires sont nombreux; Je ne m'écarte point de tes préceptes,
158 Je vois avec dégoût des traîtres Qui n'observent pas ta parole.
159 Considère que j'aime tes ordonnances: Éternel, rends-moi la vie selon ta bonté!
160 Le fondement de ta parole est la vérité, Et toutes les lois de ta justice sont éternelles.
161 Des princes me persécutent sans cause; Mais mon coeur ne tremble qu'à tes paroles.
162 Je me réjouis de ta parole, Comme celui qui trouve un grand butin.
163 Je hais, je déteste le mensonge; J'aime ta loi.
164 Sept fois le jour je te célèbre, A cause des lois de ta justice.
165 Il y a beaucoup de paix pour ceux qui aiment ta loi, Et il ne leur arrive aucun malheur.
166 J'espère en ton salut, ô Éternel! Et je pratique tes commandements.
167 Mon âme observe tes préceptes, Et je les aime beaucoup.
168 Je garde tes ordonnances et tes préceptes, Car toutes mes voies sont devant toi.
169 Que mon cri parvienne jusqu'à toi, ô Éternel! Donne-moi l'intelligence, selon ta promesse!
170 Que ma supplication arrive jusqu'à toi! Délivre-moi, selon ta promesse!
171 Que mes lèvres publient ta louange! Car tu m'enseignes tes statuts.
172 Que ma langue chante ta parole! Car tous tes commandements sont justes.
173 Que ta main me soit en aide! Car j'ai choisi tes ordonnances.
174 Je soupire après ton salut, ô Éternel! Et ta loi fait mes délices.
175 Que mon âme vive et qu'elle te loue! Et que tes jugements me soutiennent!
176 Je suis errant comme une brebis perdue; cherche ton serviteur, Car je n'oublie point tes commandements.
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suis-nous · 8 months
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judaiqual · 9 months
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J'ai rêvé d'un "été pourri"
J'ai rêvé d'un "été pourri"... Honnêtement j'ai toujours détesté ce terme si injuste. De mon enfance en Vendée à aujourd'hui en Bretagne et même l'hiver à Tel Aviv, l'odeur et le goût du mélange entre les embruns et la pluie sont une vraie sensation de bien-être pour moi. Un souvenir particulier renouvelé presque chaque année entre 4 et 17 ans : la Coopérative maritime de Saint-Gilles Croix-de-Vie avec ses mystères, ses cordages, ses vêtements, ses accessoires de la mer. Ce lieu magique permettait l'acquisition de quatre objets emblématiques : le ciré de marin généralement jaune, son chapeau assorti, les bottes de pécheur et le pull marin boutonné sur le côté. Avec cette tenue on pouvait affronter la pluie sur la plage, en forêt, dans les marais. Avec cet équipement en effet, j'étais tout terrain.
A l'époque, la radio et la télé mono-chaîne en noir et blanc nous servaient le marronnier habituel de l'interview de Madame ou Monsieur Michu pour qu'il ou elle déplore de concert avec "l'interviouveur", l'été-pourri, le "yapudsaison" et glose sur les tâches techniques qui l'attendaient pour organiser l'exode du camp de camping !
Moi c'était différent : j'aimais et j'aime toujours ce frisson de fraîcheur. J'ai eu très tôt cette chance que mon engagement précurseur pour l'environnement, la nature, la mer, la forêt et les animaux aille de pair avec mon ressenti par rapport à la météo.
Je n'ai jamais eu de goût particulier pour les longues expositions au soleil, ni l'engouement des candidats volontaires aux maladies de la peau dues au soleil.
Oui je préfère la fraicheur à la canicule, la pluie à la sécheresse, les rivières pleines à l'étiage, la nature verdoyante à l'herbe brûlée.
C'est aussi simple que la "philosophie" de M. ou Mme Michu que partagent tous ceux qui dorment dehors : face à la pluie, le vêtement imperméable, face à la fraicheur, la "petite laine", mais face à la chaleur écrasante, les gros appareils énergivores générateurs de tonnes de CO2 ou rien ! Quoi de plus énervant que ces climatiseurs mobiles qui rafraichissent un magasin mais leur gros tuyau dans la rue, quand vous passez devant, transforment l'air étouffant des îlots de chaleur urbains en air encore plus étouffant ! Que leurs utilisateurs profitent de ces jours frais pour les débrancher !
Alors ces jours-ci à Paris et dans quelques jours en face de la RNN - réserve naturelle nationale- des Sept Iles, passée ce 22 juillet 2023, par la grâce du Préfet de la Région Bretagne, de 280 à 19700 ha, soit une augmentation de 70 fois sa surface, je guetterai la pluie.
Alors apprenez à apprécier ces jours de fraicheur et de pluie, dites vous que c'est bon pour la nature, et chantez avec Claude Nougaro : "la pluie fait des claquettes".
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Jean-François Strouf, président de Judaïqual - Réparons le Monde.
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