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#patrick le borgne
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artlimited · 2 years
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Disparition by Patrick Le Borgne https://www.artlimited.net/patrickleborgne/art/photographie-disparition-numerique-gens-personnage/en/11804578
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jubaunetwork · 5 months
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Rolande Louis, également connue sous le surnom de Rollie, est née le 23 août 1984 à Borgne, dans le département du Nord en Haïti. Elle est la fille aînée d'une famille de six enfants. Elle a grandi au Cap Haïtien. Rollie est titulaire d'une licence en sciences administratives et en théologie chrétienne. Elle est aussi musicienne et chanteuse, et a suivi une formation en informatique bureautique et en haute couture. Elle est mariée et mère de trois enfants.  Parcours, réalisations et créations Avec plus de 20 ans de carrière musicale, Rollie a commencé à chanter à l'âge de 10 ans, en apprenant à maîtriser différentes voix grâce à l'aide de ses tantes. À 11 ans, elle a rejoint le groupe Harmonie céleste de l'Église Mont à Bord. À 13 ans, elle était déjà la voix principale de la chorale des enfants de l'Église Wesleyenne Smyrne. À l'âge de 14 ans, elle chantait déjà en solo lors des cultes d'adoration et de louange à l'Église Wesleyenne Smyrne. À l'âge de 15 ans, cette jeune étoile montante a attiré l'attention en intégrant de nombreux groupes de la ville du Cap-Haïtien tels que Habazinia, Melchior, Messager du dernier temps, etc. À l'âge de 16 ans, elle a lancé sa carrière en solo en produisant sa première chanson intitulée « Jéricho » dans le style Techno sous le label du groupe Habazinia. Elle a également continué à travailler dans la musique au sein de groupes et de chorales tels que le Groupe Révélation du Cap-Haïtien, l'Orchestre chrysoprase, les chorales Symphonie et Harmony du Cap-Haïtien, etc. En 2005, elle a été vice-championne du concours "Nwèl kretyen" organisé par CONACAD au Cap-Haïtien. En 2006, elle est devenue championne du concours organisé par la Ligue Biblique "Le Nouveau Contrat Spirituel". En 2008, elle a été finaliste dans le département du Nord de la compétition Digicel Stars et était très demandée dans le nord. De 2006 à 2008, elle a chanté simultanément dans les milieux évangéliques et séculiers en collaboration avec Patrick Eustache "Ricky & Rollie". En 2009, elle a intégré le groupe ADONAÏ de Port-au-Prince. En 2010, championne du concours Eben-Ezer réalisé par la Radio 4VEH. Durant cette année, elle se focalise sur la musique chrétienne d’où elle a commencé son ministère de conductrice d'adoration et de louange à l'Église Wesleyenne Smyrne (Cap Haïtien). En 2017, elle a été ambassadrice du concours « JE GLORIFIE DIEU AVEC MON TALENT ». C'est à partir de cette année qu’elle a relancé sa carrière solo et à mettre en valeur ses propres compositions. En 2020, elle a sorti sa nouvelle chanson « Mwen son béni » écrite par Mardoché Louis et collaboré avec David Morinvil de la chorale DEG. De 2021 à nos jours, elle remplit la fonction de directrice musicale de l'Église Tabernacle Lumière de Tabarre, dirigé par le révérend pasteur Ernest Jean, dont elle est membre depuis 2016. En 2022, sa nouvelle chanson « Aprè ou se ou » et la reprise "The Prayer" traduite en créole et chantée en collaboration avec Romy Laguerre ont été publiées. Le 8 mars 2023, à l'occasion de la Journée internationale des droits des femmes, elle a sorti sa nouvelle chanson "Map triyonfe". le 23 aout 2023, l'artiste a publie une version francaise de la musique "Map triyonfe" titrée "Je triompherai". Rolande Louis, chanteuse, pianiste et compositrice, est une source de bénédiction pour la communauté évangélique tant au niveau national qu'international. Source: Rolande Louis #gospel #music #worship #praise #news #musique #évangélique
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© Patrick Le Borgne / Crossfading
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Son nom ressemblait à celui de John Hurt que je venais de découvrir dans 1984* et il avait un peu la gueule de Kurt Russell dans New York 1997 : j'avais du mal à situer le personnage mais cette semaine là, Télérama recommandait "Cutter's way" pour l'une de ses premières diffusions à la télé. Et je l'ai tout de suite aimé, ce Cutter : looser, écorché vif, rebelle imbibé. On aurait dit une version ricaine de Patrick Dewaere. Sûr qu'on avait pas finit d'en entendre parler de ce John Heard... Mais cela ne s'est pas fait comme ça. Par la suite, on voyait régulièrement sa bobine, toujours en second couteau, en espérant le revoir un jour dans un grand rôle principal qu'il aurait amplement mérité.
Et à la sortie du cinéma, cela donnait généralement ce genre de dialiogue : - "T'as vu, la scène dans le bar? Le barman c'était John Heard! - John qui? - John Heard! Cutter's way! Le manchot borgne avec la gueule de Snake Plisken! John Heard! - Tu confonds pas plutôt avec John Hurt, le mec dans Elephant man? - Pffff... Bon allez viens, on va s'en jeter un..."
John Matthew Heard Jr. a.k.a John Heard (1946-2017)
*John Hurt, que j'avais déjà vu, quelques années plus tôt dans Elephant man, mais, maquillage aidant, je n'avais pas fait le rapprochement.
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footballbiopics · 7 years
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Dream Bigger
Comédie fantastique - Joe Dante
John (Seth Rogen) souhaite offrir le jeu vidéo de football ultra populaire du moment à son fils pour son treizième anniversaire. Mais le papa au cœur tendre n'a pas les moyens de lui payer le dernier FIFA 18 à 80€. 
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80€ hors abonnement en ligne ? C’est le prix d’une bonne escort-girl sur Angers...
Persuadé de faire une bonne affaire et de trouver une précédente édition moins chère, il se rend dans un magasin bon marché du 13e arrondissement. Il y trouve une étrange édition de FIFA 10 à un bien meilleur prix. Mais pour y jouer il faut respecter certaines règles, comme le lui explique le vieux vendeur mystérieux.
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Enfant doit pas jouer après minuit et pas manger pizza et cola pendant partie... Face du football pourrait changer !
John ne prête pas attention à cette phrase apocalyptique et impute cet excès aux volutes d’opium avalées par le vieux sage.
De retour à la maison, le papa offre sans plus tarder la précieuse boite de jeu à son fils adoré. Mais Timmy Jr (Ethan Kent) ne parvient pas à masquer la relative déception devant la vielle jaquette du jeu qui affiche la vedette des Young Boys de Berne, Guillaume Hoarau. Timmy Jr voulait plus que tout la dernière version de FIFA pour jouer avec le maillot jaune Brésil du PSG. Conscient tout de même des efforts de son père, il digère vite sa déception et invite ses meilleurs amis, Fruidor Crombèze et Platinium Ben Malek pour jouer toute la nuit.
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La lose, obligé de prendre Nantes et de transférer tout le monde là-bas... On va mettre 3 plombes à jouer.
Si le jeu ne semble pas si daté que ça, il comporte cependant quelques bugs rigolos qui n'empêchent pas les parties endiablées.
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Mode Djibril Cissé activé
Pris d'une petite faim, les gamins réchauffent une calzone surgelée qu'ils agrémentent de larges rasades de Mecca Cola. Ils ne réalisent pas qu'ils vont changer l'histoire de la Ligue 1 Conforama pour toujours. Alors qu'ils parcourent l'effectif du PSG où figurent donc le reggae man Hoarau, le prédicateur Ceara et l’aspirateur à kebabs Bodmer, ils décident de laisser libre cours à leur imagination et de changer les effectifs à leur guise en utilisant un cheat mode. Exit les Camara et autres Erding. Thiago Silva, Pastore, Di Maria, Neymar, Dani Alves et Draxler intègrent l'escouade parisienne !
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Allez haut haut bas bas gauche droite gauche droite A B X Y X X, Chantôme direction Bordeaux et Charles Villeneuve sur Europe 1.
Les conséquences sont immédiates et surréalistes puisqu'en modifiant le jeu ils changent également la réalité. Une autre dimension prend place. Le PSG n'appartient plus au fond de pension américano-radin Colony Capital mais a été racheté par de mystérieux Qataris aux ambitions sans limites.
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Le rêve est désormais réalité et les réactions ne tardent pas à tomber. Le PSG a dépense des sommes approchant le milliard d’euros. Au 31 août, le club parisien enregistre même la signature du jeune Mbappé, estampillé “vent de fraîcheur” la saison passée par tous les supporters de L1, est désormais traité de “pet de vieille pute borgne syphilitique”, voir même de “mercenaire”, suite à sa son prêt sans option d’achat obligatoire. Une opération inédite pour un joueur aussi bien côté qui écœure le monde du foot, mais pas que. Les réactions du monde politique, intellectuel et même de la sulfureuse dissidence ne se font pas attendre. Tous tentent de comprendre comment le club de la capitale peut se soustraire aux obligations d’équilibre budgétaire édictées par l'UEFA.
En direct sur le service public, Patrick Montel (Michael Stuhlbarg) se lance dans un plaidoyer qui n'a rien à envier à celui de James Steward au Sénat américain dans Monsieur Smith.
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Quand je vois ça, j'ai mal à ma France, Stéphane ! Y a du chômage, les thons rouges sont décimés dans l'Atlantique, les pluies acides décharnent les sapins mais le Qatar achète des joueurs à 220 millions. Et les infirmières elles gagnent combien ? COMBIEN ? Ça suffit maintenant ! Voilà faut le dire !
L’Insoumis Alexis Corbière (Max Ryan) prend la parole à l'Assemblée nationale pour s'indigner devant ces transferts aux sommes indécentes à l’heure où le président Macron détricote la protection sociale des travailleurs.
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Vous savez ce que ça représente 220 millions ? Pour que vous vous rendiez comptes j'ai amené 110 millions cups de bolinos sauce au pesto. J’ai dû affréter 232 000 camions, merci Neymar pour le bilan carbone.
Alain Soral (J.K. Simmons), le maître à penser et à frapper d’Egalité et Réconciliation, glisse une analyse lumineuse dont lui seul a le secret.
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Oui bah voilà hein, ce qu'il faut bien comprendre c'est que les Qataris sont les idiots utiles de l'impérialisme oligarchico-talmudo-tapino-mamonique... L'arrivée de Neymar est parfaitement claire quand on a un peu de logos, hein, il faut être stupide ou de mauvaise foi pour ne pas comprendre que c'est la communauté organisée du textile qui n'existe pas mais dont tout le monde a peur, hein, qui a recruté le travelo dénué de virilité banlieusarde pour vendre des t-shirts et financer les colonies. Mais tout ça je l'ai déjà expliqué dans mon best-seller Comprendre l'Empire... Bon qui fait un round avec moi ? Daniel ?
Les plus fins limiers du monde de l'investigation ne savent plus où donner de la moustache. Edwy Plenel (Tom Selleck), le président de Mediapart qui a fait chou blanc avec ses football leaks, s'en remet à son légendaire instinct.
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Il n'y a qu'une seule piste : abonné au Parc, ami des qataris, relooké par la brésilienne Cristina Cordula, tout mène à Nicolas Sarkozy. J'appelle le pôle financier.
Le pouvoir est grand, et les gamins complètement fous du PSG poussent le bouchon encore plus loin en saccageant délibérément le début de saison de l'ambitieux Olympique de Marseille. En prenant le contrôle des adversaires olympiens à chaque match, l’OM Champions Project se prend des taules face à Monaco et Rennes, pourtant pas au mieux. Ils poussent même le vice jusqu’à effectuer des changements parfaitement improbables pour détruire le onze phocéen. Les supporters, au premier rang desquels René Maleville (Jeff Daniels), sont à bout.
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Oh Rudi, oh Rudi ! Qu’est-ce que tu m’as fait ? Tu mets Bouna Sarr en latéral droit ? BOUNA SARR ? TU TE FOUS DANS MA GUEULE ? C’est facile de taper sur le petit Sakaï hein, tu sais qu’il dira DEGUN ! Y a des MILLIIIIOOOONS de supporters de l’OM qui regardent et toi tu mets Evra ? OH MAIS T’Y ES PAS FOU ?
Joe Dante reprend du service avec un nouveau conte fantastique dont il a le secret. Le papa des Gremlins imagine cette fois un jeu vidéo aux pouvoirs merveilleux qui navigue entre Big et Jumanji, avec une totale maîtrise des codes de son époque.
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lesgenouxdanslegif · 5 years
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NOUS AVONS BESOIN DE VOUS.
Ce matin, nous partagions la folle histoire d'amour entre Patrick Le Borgne et ses sorties nocturnes. Devant l'incroyable mobilisation autour de sa pratique hallucinante (le même parcours d'environ 24 kilomètres 7j/7, à 3h du matin en semaine et à 5h le week-end), nous mettons en place une pétition pour que Patrick accepte de témoigner pour le numéro 2 de notre revue Point de Côté.
GRÂCE À VOUS, PATRICK PEUT ACCEPTER. POUR APPORTER VOTRE SOUTIEN : bit.ly/OnAttendPatrick
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lebibliocosme · 5 years
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Nous voilà arrivés en décembre, le moment idéal pour faire un point sur les lectures les plus marquantes de 2018 ! Mon bilan lecture de cette année est plutôt positif par rapport à l’objectif que je m’étais fixée puisque j’en suis actuellement à 87 romans (contre 73 l’année passée). Pour plus de clarté, j’ai classé les romans qui m’ont le plus enthousiasmée cette année en trois catégories : ceux sortis cette année ; les suites de séries publiées dans l’année ; de plus vieilles parutions découvertes en 2018. [Un simple clic sur le titre de l’ouvrage vous permettra d’accéder directement à l’article complet le concernant.]
1- Le Cycle de Syffe, tome 1 : L’Enfant de poussière – Patrick Dewdney (Au Diable Vauvert- 2018) La grosse révélation de cette année 2018 aura été pour moi ce premier tome marquant le début d’une superbe série de fantasy « made in France ». Le roman met en scène un orphelin livré à lui-même, petit garçon débrouillard qui vit au jour le jour, entouré d’une petite bande d’enfants au parcours similaire au sien. Jusqu’à ce qu’une succession d’événements vienne totalement transformer le quotidien du petit vagabond qui va dès lors passer entre les mains de différents mentors, tous plus différents les uns que les autres Sous des atours à priori plutôt classiques (roman initiatique dans un décor médiéval-fantastique), l’auteur parvient à donner vie à des personnages difficiles à oublier et à une intrigue qui nous embarque dès les toutes premières lignes. A noté que le deuxième tome est d’ores et déjà disponible.
  2- Enfants de la Terre et du Ciel – Guy Gavriel Kay (L’Atalante – 2018) Le maître incontesté de la fantasy historique s’attaque cette fois aux Balkans de la fin du XVe siècle. Vingt-trois ans après la chute de Sarrance, l’auteur nous dévoile les bouleversements rencontrés par les habitants de trois cités : Venise, Dubrovnik et Senji. Minutieusement documenté et porté par une galerie de personnages plus émouvants les uns que les autres, le roman parvient à aborder des thématiques très actuelles avec la délicatesse et la sensibilité propre à l’auteur. Une lecture très émouvante.
  3- Les nouveaux mystères d’Abyme, tome 1 : La cité exsangue – Mathieu Gaborit (Mnémos – 2018) Près de vingt ans après « Agone » et « Aux ombres d’Abyme », Mathieu Gaborit signe avec « La cité exsangue » son grand retour dans les Royaumes crépusculaires et renoue pour l’occasion avec l’un de ses héros les plus emblématiques : le farfadet Maspalio. Un univers foisonnant, des personnages hauts-en-couleur, une plume soignée et poétique, une intrigue passionnante : les raisons de se plonger dans ce premier tome ne manquent pas et devraient ravir tout bon amateur de fantasy qui se respecte.
    Sans atteindre à mon avis le niveau des trois précédemment cités, d’autres romans m’ont également fait passer d’excellents moments cette année :
Olangar – Bans et barricades, tome 1 – Clément Bouhélier (Critic – 2018) Premier tome d’un diptyque, Olangar pose les bases d’un univers très prometteur et propose un savoureux mélange entre fantasy et industrialisation. Le roman a également le mérite d’aborder (pour une fois) la politique du point de vue du peuple, et non plus seulement des grands de ce monde. Cela permet évidemment à l’auteur d’aborder des thématiques qui font fortement échos avec notre actualité : suppression du pouvoir par les élites, grève générale, révolte du peuple, manipulation des masses… A noter que le second volume est déjà disponible.
  La dynastie des Dents-de-Lions, tome 1 : La grâce des rois – Ken Liu (Fleuve – 2018) Considéré comme l’œuvre fondatrice du courant « silkpunk », le roman de Ken Liu a pour ambition de relater l’émergence, dans un contexte politique particulièrement troublé, d’une nouvelle dynastie. Un premier tome surprenant par bien des aspects, à commencer par son mode de narration et son univers inspiré de la culture chinoise et mâtiné d’un soupçon de technologie. L’ensemble se lit avec une facilité déconcertante (en dépit d’un nombre de pages conséquent) et, quand bien même ce premier tome pourrait tout à fait se suffire à lui-même, on a hâte de connaître ce que l’auteur réserve aux personnages pour la suite.
  Pyramides – Romain Benassaya (Critic – 2018) Grâce à Romain Benassaya je ne pourrais à présent plus dire que je n’aime pas le space-opera ! L’auteur met en scène les passagers d’un immense vaisseau spatial qui se réveillent après un temps indéterminé passé en stase pour découvrir qu’ils sont coincés au beau milieu de l’espace et surtout que leur sommeil a duré bien plus longtemps de prévu. Un excellent roman qui place l’humain au centre du récit et qui séduit aussi bien par la qualité de son intrigue que par l’épaisseur du mystère qui entoure le naufrage du vaisseau spatial.
  Grish-mère – Isabelle Bauthian (ActuSF – 2018)
Le roman met en scène un jeune homme, autrefois membre d’une prestigieuse école formant des serviteurs d’élite, et désormais forcé de fuir afin d’échapper à ses anciens collègues qui le poursuivent sans relâche à la suite d’un vol. Un très bon roman qui met en scène un personnage complexe qu’on aimerait détester sans pouvoir s’y résoudre. Mention spéciale également pour le décor qui permet de se familiariser avec la politique telle que pratiquée dans cet univers, tout en traitant de questions d’actualité qu’on a plaisir à voir ainsi décortiquées dans un roman de fantasy.
  Les mondes-miroirs – Vincent Mondiot et Raphaël Lafarge (Mnémos – 2018)
Elsy est une mercenaire avec un passé et un casier judiciaire bien rempli, tandis qu’Elodianne est une magicienne occupant un poste au palais de Mirinèce. Deux profils opposés qui vont pourtant être forcés de collaborer alors que la capitale se retrouve secouée par une succession d’attaques terroristes perpétrées par des créatures inconnues mais redoutables. Une intrigue qui tient la route, un univers riche et original, une ambiance sombre d’un bel effet, et surtout des personnages bien campés, qu’on retrouverait bien pour certains dans d’autres aventures : le roman ne manque pas de qualités !
  Entends la nuit – Catherine Dufour (L’Atalante – 2018)
Après plusieurs années d’absence, Catherine Dufour nous revient avec un roman de fantasy urbaine présenté comme un « anti-Twilight tout en humour ». Le pari était risqué mais le résultat est assez savoureux ! Le roman n’échappe pas à quelques écueils mais se révèle dans l’ensemble cohérent et surtout très rafraîchissant. Une histoire d’amour improbable dénuée de toute mièvrerie, une héroïne avec du mordant, des promenades extraordinaires dans les murs de Paris, des problématiques liées au monde de l’entreprise : autant d’ingrédients détonnant que l’auteur est parvenu à arranger de manière surprenante pour un rendu réussi.
  Le chant du coucou – Frances Hardinge (L’Atalante – 2018)
Une très belle réécriture du mythe du changelin, transporté dans un contexte post Première Guerre mondiale. Frances Hardinge parvient à créer une véritable atmosphère d’étrangeté, alimentée notamment par la confrontation entre un folklore plus volontiers médiéval et un décor moderne dont elle s’amuse à exploiter les innovations. L’auteur tisse aussi et surtout un très beau portrait de la relation que peuvent entretenir deux sœurs, relation dont elle parvient à saisir toute la complexité et la tendresse sans jamais tomber dans le mièvre ou le convenu. Une vraie réussite !
    Je passe rapidement sur les suites de séries de fantasy poursuivies en 2018 et qui m’ont encore offert de belles heures de lecture : le troisième tome des « Sentiers des astres » de Stefan Platteau, le troisième tome de « Haut-Royaume » de Pierre Pevel, le final de la série « Le fou et l’assassin » de Robin Hobb, ou encore le dernier tome de la trilogie du « Chant des épines » d’Adrien Tomas.
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    Un mot, enfin, sur les romans plus anciens que je n’ai découvert que cette année mais qui m’ont beaucoup marqué.
Vostok – Laurent Kloetzer (Denoël – 2016) Installée par les Russes dans les années 1950, la base de Vostok est réputée pour être la station de recherches la plus difficile d’accès du Pôle sud. C’est pourtant là que vont s’établir pour plusieurs semaines les membres d’un gang chilien, bien décidés à récupérer sur place un code laissé par des scientifiques et permettant d’accéder à un logiciel aux propriétés extraordinaires. Un roman splendide et remarquable aussi bien par la qualité de ses personnages que de son intrigue ou encore de son univers. L’Antarctique occupe une place centrale dans le récit qui, grâce à une documentation minutieuse, nous fait découvrir le travail incroyable réalisé sur place par des scientifiques du monde entier, leur rendant pour l’occasion un très bel hommage. Un gros coup de cœur !
  Hysteresis – Loïc Le Borgne (Le Bélial – 2014) Quarante ans après la Panique, événement ayant causé l’effondrement de notre monde moderne, les survivants se sont organisés en petites communautés aujourd’hui peuplées de gens qui, à de rares exceptions près, n’ont jamais connu le monde avant le drame. Parmi les exceptions, on trouve justement Jason Marieke, un voyageur qu’on voit un beau jour débarquer à Rouperroux, un petit village isolé dont les habitants voient d’un très mauvais œil l’arrivée de cet homme dont les questions font remonter de vieux secrets que certains ont tout intérêt à ne pas voir divulguer. Un excellent roman qui séduit aussi bien par son ambiance inquiétante que par son traitement original du post-apo. Une très belle surprise que je vous recommande chaleureusement !
  La servante écarlate – Margaret Atwood (Robert Laffont – 1987) Après avoir visionné les deux excellentes premières saisons de la série, j’ai eu envie de me plonger dans le texte d’origine. Le roman nous met face à ce que l’humanité peut faire de pire et se révèle d’autant plus dérangeant que la moindre des atrocités perpétrées par ce nouveau régime est inspirée d’un exemple avéré, et qui plus est pas si éloigné. A l’image du « Fahrenheit 451 » de Bradbury, du « 1984 » d’Orwell ou du « Meilleur des mondes » d’Huxley, « La Servante écarlate » peut ainsi sans mal revendiquer sa place parmi les meilleures dystopies du XXe siècle. Une découverte bouleversante, à lire absolument !
  La séparation – Christopher Priest (Denoël – 2005) L’action prend place pendant la Seconde Guerre mondiale, période à laquelle on va suivre les parcours très différents de deux frères jumeaux : l’un est pilote dans la RAF et s’engage pleinement dans le conflit ; l’autre refuse de prendre part à la guerre et devient objecteur de conscience, statut qui lui permet de se mettre au service de la Croix Rouge. Deux destins différents, donc, mais aussi deux versions de l’histoire, puisque les récits des deux frères présentent de sacrées divergences. Le roman repose sur une construction minutieusement orchestrée qui s’amuse à faire perdre au lecteur tous ses repères et le marque ainsi durablement. Il séduit aussi et surtout par la reconstitution particulièrement soignée et documentée de l’Europe des années 1940 !
  Mes vrais enfants – Jo Walton (Denoël – 2017) Patrica se rappelle de deux vies différentes qu’elle est persuadé d’avoir menées mais qui ne peuvent pourtant coexister. Dans l’une, elle épousera Mark, avec qui elle aura plusieurs enfants pour lesquels elle sacrifiera tout, sans que personne ne lui témoigne aucune gratitude. Dans l’autre, elle rencontrera Béatrice, son grand amour, se découvrira une passion pour l’Italie et aura également plusieurs enfants, tous très épanouis et très attachés à leurs deux mamans. Un roman magnifique que j’ai dévoré en une journée tant les deux vies vécues par cette femme sont bouleversantes et les possibilités qu’elles dévoilent passionnantes. Une lecture émouvante qui questionne l’amour, la famille, la place de la femme, mais aussi l’incidence parfois énorme de nos décisions, d’abord sur nous même, mais aussi sur le monde. A lire absolument !
  En espérant que ce petit bilan vous donnera envie de vous plonger à votre tour dans tous ces univers ! Et vous, quels ont été vos coups de cœur cette année ?
Fantasy : Les coups de coeur de l’année 2018 Nous voilà arrivés en décembre, le moment idéal pour faire un point sur les lectures les plus marquantes de 2018 !
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onlike · 6 years
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Les 13 sorties qu’il ne fallait pas manquer cette semaine
Chaque semaine, Onlike vous propose une playlist des sorties qui ont tenues nos yeux et nos oreilles en captivité (pour le meilleur et pour le pire). C’est officiel, définitif et jouissif, les Bleus viennent de gagner la Coupe du monde. Il faudra bien un peu de musique pour s’en remettre.
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Dans le top 4 des sorties de la semaine il y a Catastrophe avec son clip « Phoenix (il y aura un matin) » tourné dans le désert en Pologne (oui vous avez bien lu!). La – trop simplement résumée – pop de Catastrophe était complètement passée sous notre radar… jusqu’à ce clip : « Il y a des endroits où les évidences se perdent. La Pologne, où nous partions tourner le clip Phœnix en mai, en fait partie. A Bialy Bór, ville de 2000 habitants, nous n’avions aucun repère. Dormant sur un terrain autogéré par un vieil agriculteur local, rencontré par hasard, nous étions encerclés de biches albinos, de panneaux solaires, du désert de Poméranie, d’un chat borgne appelé Trump et d’un chien triste, condamné à tirer un bidon d’essence au bout d’une chaîne pour avoir tué un cerf. Comment raconter tout cela ? Trop d’informations, de visages et de couleurs. Impossible de dire ce que nous avons vécu lors de ce voyage. Heureusement, grâce à Mateusz Bialecki et son équipe, il nous reste des images. »
Quand Chad VanGaalen réalise le clip de Father John Misty, ça donne une animation bien plus intéressante que les vidéos auxquelles M. John nous a habitué. La chanson « Date night » sonne tout de suite beaucoup mieux. Dans le genre animation de fière allure on peut compter aussi sur le clip de « La Canopée » de Polo & Pan réalisé par Bleu Garou. C’est ce titre sorti en 2016 qui avait permis au duo français de se faire connaître plus largement, on peut aujourd’hui en admirer le clip.
Dans ce top 4 on peut également mentionner la sortie du clip de Aquaserge « Si tu t’en vas » qui est une reprise de Léo Ferré. Ce titre est extrait de l’album de reprise de 13 chansons de Léo Ferré C’est extra édité sous la direction artistique de la Souterraine en avril dernier.
Dans le reste de la sélection
Christine and the Queens – Girlfriend (feat. Dâm-Funk) Dâm-Funk Re-freak (audio), Interpol – The Rover (clip), The Blaze – She (live), Breakbot – Another You feat. Ruckazoid (clip), Childish Gambino – Feels Like Summer (audio), Childish Gambino – Summertime Magic (audio), Ariana Grande – God is a woman (clip), Patrick Watson – Melody Noir (clip), The Internet – La Di Da (audio).
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La fois où j’ai joué au poker
Félicitations à tous les participants à la clôture du jour.
Je méprise la mode. La mode, c'est le triomphe de la connerie du plus grand nombre sur l'individualité pensante. La mode est le meilleur moyen de transformer un peuple en troupeau de moutons prêts à l'abattoir.
Mais parfois, la curiosité l'emporte.
Ainsi, après avoir vu tant de sujets à la télévision, lu tant d'articles dans les journaux, et après avoir été assailli par tant d'affiches vantant ses mérites, je me suis décidé, une fois dans ma vie, à essayer le poker.
Le poker est un jeu de cartes. Il me semble important de vous préciser une chose à propos de ma relation avec les jeux de carte : plantez-m'en un en main, et je me met instantanément à m'ennuyer. Jeux de cartes et Scrabble sont pour moi synonymes d'ennui mortel. C'est vrai, quoi, merde, on joue quand au Scrabble ? Le dimanche après midi, quand le temps dehors est trop moche pour aller se promener, que les magasins sont fermés, qu'il est trop tard pour manger et trop tôt pour le café, qu'on est dans une maison loin de tout ou l'on ne peut trouver aucun livre, et qu'une panne de courant nous prive de Drucker à la télé.
Oui, entre le Scrabble et Drucker, je choisis Drucker, c'est dire.
Bref, le poker, et les cartes en général, pour moi, c'est pareil.
Donc, je me rendis un soir, à l'instigation d'un ami, à une table de Poker, ou quatre maîtres internationaux se proposaient de m'initier à l'art délicat de battre le carton.
Ils m'expliquèrent rapidement les règles, et je m’ennuyai déjà. Toutefois, j'écoutai poliment les explications, bien déterminé à tenter une fois ma chance, mourir idiot faisant partie de mes craintes.
La partie commença. Les maîtres m'avaient rapidement expliqués les règles, puis avaient décrété, devant mon air torve, que le meilleur moyen d'apprendre, c'était pratiquer.
Nous étions assis, autour d'une table, dans l'arrière boutique d'un réduit borgne dont les murs lépreux suintaient l'ambiance lourde des polars bon marché.
Assis à côté de moi, mon coach personnel, Maître Raymond. Maître Raymond avait été uns star du football,un génie précurseur, et donc incompris, de l'art conceptuel de la défaite dé-panachée. Il voulait faire du théâtre, en réalité, mais son père l'inscrivit péremptoirement au football, tant il craignait, à l'époque, que son rejeton se transformât en invertit errant en collants sur des plateaux de films de capes et d'épées. Il haïssait les films de jean Marais. Maître Raymond avait fait contre mauvaise fortune bon sœur, rejouant soir de match après soir de match des tragédies sur la défaite et l'humiliation. Las ! Son public ne comprenait rien à son art.
La mission de maître Raymond était simple : assis à côté de moi, il désignait silencieusement les cartes que je devais jouer, sans commentaire ni explications. Le reste du temps, il lisait un livre d'Elisabeth Teissier.
Le premier de mes adversaires était Maître Patrick. Acteur sans charisme, chanteur sans voix, il s'était retrouvé assis sur un paquet de millions qu'il étais soucieux de faire fructifier. Devenu champion du monde de poker sur un malentendu, un tirage favorable combiné à une épidémie de gastro entérite foudroyante chez ses adversaires à laquelle il avait échappé, parce qu'il avait déjà mangé des moules-frites la veille et ne voulait pas prendre deux soirs la même chose, il avait profité de cette image pour acheter quelques sociétés de jeu en ligne.
Il venait de poser une quinte flush sur la table, ou un truc du genre.
Le deuxième de mes adversaires était maître Bruno. Acteur sans rôles, peut être grillé par manque de sérieux ou à cause de ses fréquentations, un ancien présentateur d'émission musicale s'était installé dans une roulotte et se prétendait manouche alors qu'il était Breton, il cachetonnait dans des publicités et dilapidait ses quelques gains dans des parties effrénées. Il venait toutefois de se permettre un sourire, qui avait illuminé ses petits yeux inquiets, et semblait avoir une combinaison intéressante.
Le troisième adversaire était Maître Machin. Si, vous savez, maître Machin, la, on l'a vu dans Navarro, il faisait le méchant, et on l'a vu dans Julie Lescaux, il faisait le méchant, puis il est parti aux states faire carrière, il a joué dans les experts, mais si, vous savez, il jouait un cadavre sur une table d'autopsie, c'est celui, quand on le voit à la télé, on le reconnaît de suite : « Mais c'est machin ! Putain, ou est ce que je l'ai vu, lui, déjà ? »
Maître Machin avait abattu son jeu sur la table, l'air déçu.
C'était à moi. Je me tournai vers Maître Raymond, mais il semblait occupé à dresser le profil astral des enfants de l'école de son fils, pour savoir quel rôle distribuer à qui dans la pièce de théâtre de fin d'année. Je n'avais pas à cœur de le déranger.
Il fallait que je fasse mes preuves. Montrer que j'avais compris. Bon, qu'est-ce que j'étais censé faire, déjà ? Si seulement je m'emmerdai pas autant, je pourrai me concentrer. Je me plongeai dans les cartes, les fixant une à une, et peu à peu, un souvenir se fit.
Je relevai la tête. Fixai d'un regard glacial chacun de mes adversaires, à tour de rôle. Même Maître Raymond s'était détourné de sa tâche, et me fixait avec intensité. Le suspens était à son comble. Qu'allait dire leur Padawan ?
Dans un effort surhumain, je maîtrisai les tremblements de ma voix, et annonçait :
« Dans la famille de Pique, je demande le père ! »
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artlimited · 2 years
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Obscurity by Patrick Le Borgne https://www.artlimited.net/patrickleborgne/art/photographie-obscurity-montage-retouche-construction-place-jardin-parc/en/11804976
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jubaunetwork · 6 months
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Rolande Louis, également connue sous le surnom de Rollie, est née le 23 août 1984 à Borgne, dans le département du Nord en Haïti. Elle est la fille aînée d'une famille de six enfants. Elle a grandi au Cap Haïtien. Rollie est titulaire d'une licence en sciences administratives et en théologie chrétienne. Elle est aussi musicienne et chanteuse, et a suivi une formation en informatique bureautique et en haute couture. Elle est mariée et mère de trois enfants.  Parcours, réalisations et créations Avec plus de 20 ans de carrière musicale, Rollie a commencé à chanter à l'âge de 10 ans, en apprenant à maîtriser différentes voix grâce à l'aide de ses tantes. À 11 ans, elle a rejoint le groupe Harmonie céleste de l'Église Mont à Bord. À 13 ans, elle était déjà la voix principale de la chorale des enfants de l'Église Wesleyenne Smyrne. À l'âge de 14 ans, elle chantait déjà en solo lors des cultes d'adoration et de louange à l'Église Wesleyenne Smyrne. À l'âge de 15 ans, cette jeune étoile montante a attiré l'attention en intégrant de nombreux groupes de la ville du Cap-Haïtien tels que Habazinia, Melchior, Messager du dernier temps, etc. À l'âge de 16 ans, elle a lancé sa carrière en solo en produisant sa première chanson intitulée « Jéricho » dans le style Techno sous le label du groupe Habazinia. Elle a également continué à travailler dans la musique au sein de groupes et de chorales tels que le Groupe Révélation du Cap-Haïtien, l'Orchestre chrysoprase, les chorales Symphonie et Harmony du Cap-Haïtien, etc. En 2005, elle a été vice-championne du concours "Nwèl kretyen" organisé par CONACAD au Cap-Haïtien. En 2006, elle est devenue championne du concours organisé par la Ligue Biblique "Le Nouveau Contrat Spirituel". En 2008, elle a été finaliste dans le département du Nord de la compétition Digicel Stars et était très demandée dans le nord. De 2006 à 2008, elle a chanté simultanément dans les milieux évangéliques et séculiers en collaboration avec Patrick Eustache "Ricky & Rollie". En 2009, elle a intégré le groupe ADONAÏ de Port-au-Prince. En 2010, championne du concours Eben-Ezer réalisé par la Radio 4VEH. Durant cette année, elle se focalise sur la musique chrétienne d’où elle a commencé son ministère de conductrice d'adoration et de louange à l'Église Wesleyenne Smyrne (Cap Haïtien). En 2017, elle a été ambassadrice du concours « JE GLORIFIE DIEU AVEC MON TALENT ». C'est à partir de cette année qu’elle a relancé sa carrière solo et à mettre en valeur ses propres compositions. En 2020, elle a sorti sa nouvelle chanson « Mwen son béni » écrite par Mardoché Louis et collaboré avec David Morinvil de la chorale DEG. De 2021 à nos jours, elle remplit la fonction de directrice musicale de l'Église Tabernacle Lumière de Tabarre, dirigé par le révérend pasteur Ernest Jean, dont elle est membre depuis 2016. En 2022, sa nouvelle chanson « Aprè ou se ou » et la reprise "The Prayer" traduite en créole et chantée en collaboration avec Romy Laguerre ont été publiées. Le 8 mars 2023, à l'occasion de la Journée internationale des droits des femmes, elle a sorti sa nouvelle chanson "Map triyonfe". le 23 aout 2023, l'artiste a publie une version francaise de la musique "Map triyonfe" titrée "Je triompherai". Rolande Louis, chanteuse, pianiste et compositrice, est une source de bénédiction pour la communauté évangélique tant au niveau national qu'international. Source: Rolande Louis #gospel #music #worship #praise #news #musique #évangélique
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© Patrick Le Borgne / Crossfading
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artlimited · 2 years
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Dark Swan by Patrick Le Borgne https://www.artlimited.net/patrickleborgne/art/photographie-dark-swan-montage-retouche-construction-edifice-pont/en/11805081
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jubaunetwork · 8 months
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Sa biographie Rolande Louis, également connue sous le surnom de Rollie, est née le 23 août 1984 à Borgne, dans le département du Nord en Haïti. Elle est la fille aînée d'une famille de six enfants. Elle a grandi au Cap Haïtien. Rollie est titulaire d'une licence en sciences administratives et en théologie chrétienne. Elle est aussi musicienne et chanteuse, et a suivi une formation en informatique bureautique et en haute couture. Elle est mariée et mère de trois enfants.  Parcours, réalisations et créations Avec plus de 20 ans de carrière musicale, Rollie a commencé à chanter à l'âge de 10 ans, en apprenant à maîtriser différentes voix grâce à l'aide de ses tantes. À 11 ans, elle a rejoint le groupe Harmonie céleste de l'Église Mont à Bord. À 13 ans, elle était déjà la voix principale de la chorale des enfants de l'Église Wesleyenne Smyrne. À l'âge de 14 ans, elle chantait déjà en solo lors des cultes d'adoration et de louange à l'Église Wesleyenne Smyrne. À l'âge de 15 ans, cette jeune étoile montante a attiré l'attention en intégrant de nombreux groupes de la ville du Cap-Haïtien tels que Habazinia, Melchior, Messager du dernier temps, etc. À l'âge de 16 ans, elle a lancé sa carrière en solo en produisant sa première chanson intitulée « Jéricho » dans le style Techno sous le label du groupe Habazinia. Elle a également continué à travailler dans la musique au sein de groupes et de chorales tels que le Groupe Révélation du Cap-Haïtien, l'Orchestre chrysoprase, les chorales Symphonie et Harmony du Cap-Haïtien, etc. En 2005, elle a été vice-championne du concours "Nwèl kretyen" organisé par CONACAD au Cap-Haïtien. En 2006, elle est devenue championne du concours organisé par la Ligue Biblique "Le Nouveau Contrat Spirituel". En 2008, elle a été finaliste dans le département du Nord de la compétition Digicel Stars et était très demandée dans le nord. De 2006 à 2008, elle a chanté simultanément dans les milieux évangéliques et séculiers en collaboration avec Patrick Eustache "Ricky & Rollie". En 2009, elle a intégré le groupe ADONAÏ de Port-au-Prince. En 2010, championne du concours Eben-Ezer réalisé par la Radio 4VEH. Durant cette année, elle se focalise sur la musique chrétienne d’où elle a commencé son ministère de conductrice d'adoration et de louange à l'Église Wesleyenne Smyrne (Cap Haïtien). En 2017, elle a été ambassadrice du concours « JE GLORIFIE DIEU AVEC MON TALENT ». C'est à partir de cette année qu’elle a relancé sa carrière solo et à mettre en valeur ses propres compositions. En 2020, elle a sorti sa nouvelle chanson « Mwen son béni » écrite par Mardoché Louis et collaboré avec David Morinvil de la chorale DEG. De 2021 à nos jours, elle remplit la fonction de directrice musicale de l'Église Tabernacle Lumière de Tabarre, dirigé par le révérend pasteur Ernest Jean, dont elle est membre depuis 2016. En 2022, sa nouvelle chanson « Aprè ou se ou » et la reprise "The Prayer" traduite en créole et chantée en collaboration avec Romy Laguerre ont été publiées. Le 8 mars 2023, à l'occasion de la Journée internationale des droits des femmes, elle a sorti sa nouvelle chanson "Map triyonfe". le 23 aout 2023, l'artiste a publie une version francaise de la musique "Map triyonfe" titrée "Je triompherai". Rolande Louis, chanteuse, pianiste et compositrice, est une source de bénédiction pour la communauté évangélique tant au niveau national qu'international.   Source: Rolande Louis #gospel #music #worship #praise #news #musique #évangélique #actualités #bgospelmagazine #bgospel
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