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#vivre
vhscorp · 3 months
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Craindre la mort ne t’empêchera pas de mourir, en revanche, cela pourrait bien t’empêcher de vivre…
V. H. SCORP
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source : @cheminer-poesie-cressant
en nous, il n’y a que la lumière qui arrive par moment à se faire menhir ; la pensée parfois ; le corps lui est toujours condamné à se plier sous les arches de la vie
© Pierre Cressant
(samedi 13 avril 2024)
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prosedumonde · 4 months
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Je prends la vie dans tes yeux sombres L’amour aux sources les plus nues
Juliette Darle, Vivre
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shely509 · 7 months
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The dress " Armure d'une vie" from "Les Jardins du Styx " Octobre 2022 "Last year we made the special event "Les jardins du Styx" . And we haven't take the time to republiced all of us work for this event. Because we thought that the video was enough . But today i think that we can celebrate our creativity. The team Shely509 had is own univers and we are pride of it. I'm proud of our work , pride of our projects and pride of my team .
Sometimes its important to said it."
Shely.
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les-portes-du-sud · 11 months
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“Tu dois vivre dans le présent, te lancer au-devant de chaque vague, trouver ton éternité à chaque instant.”
H. D. Thoreau
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abridurif · 7 months
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Vivre est follement, mais sans retour, jeter les dés. C’est affirmer un état de grâce et non s’embarrasser des suites possibles. Dans le souci des suites, commencent l’avarice et l’angoisse. La seconde tient à la première, elle est le tremblement que donne la chance. Souvent l’angoisse punit une avarice naissante, l’engageant dans sa perversion accomplie, qu’est l’angoisse. Georges Bataille, Le Coupable, Gallimard, 1961
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dandanjean · 6 months
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Nos conditions de vie
Nous le constatons, la vie moderne fait en sorte que de plus en plus de personnes n’ont plus conscience que nous dépendons de notre environnement naturel. Bien à l’abri dans nos édifices et nos maisons, nous percevons de moins en moins l’impact de la nature sur notre mode de vie. On en arrive à oublier qu’il est aussi nécessaire d’avoir de la lumière naturelle, de l’eau potable, de l’air frais,…
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grain-de-rien · 8 months
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[A l'occasion de30 jours pour écrire; #Vivantes]
Portée par la caresse d'un courant délicat, une respiration profonde délie la constriction de sa lente asphyxie. L'ombre dans le ciel se disperse, des mélodies aériennes l'étreignent et des incantations bordent son cœur, comme l'exorcisme guttural de ces années versées dans le mal, ...
captive d'un œil prédateur et froid tapis dans le soir, de murmures hostiles serpentant les nuits noires. A la merci d'un tortionnaire logé sous la chair, lui fracassant le crâne, déchirant ses nerfs, tailladant sa peau au teint si clair, diluant l'éclat bleu du cristal dans ses yeux, elle disparaissait dans les profondeurs d'un pessimisme épais.
Combien de cris pour ne plus souffrir, d'entailles pour oublier de mourir? Combien se souviennent enfin, pour apprécier de nouveau la porté d'un sourire?
Grain de Rien, 2023, à l'occasion de 30 jours pour écrire
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Tourbillons (jour 13)
C'était la fin avant alors même que ça commençait. Le monde continuait de tourner tout autour de moi et j'abandonnais le jour, me contentant de ces soirs sans lune. Eveillée malgré moi et m'assommant de mes peines afin de veiller jusqu'à l'aube, j'apprivoisais la nuit jusqu'à ne faire plus qu'un avec elle. Faisant en sortes de sortir lorsque le soleil se couchait et de libérer le peu de vie qu'il restait en moi lorsque tous les regards étaient ailleurs. Cherchant un endroit où les étoiles étaient suffisamment visibles, je m'allongeais dans l'herbe, à l'écart de la ville. En oubliant que la Terre me portait, je me retrouvais perdue dans cet infini ciel étoilé. Persuadée d'être l'une d'entre elles, je me demandais ce que je faisais ici. Pourquoi devais-je être condamnée à vivre ici, alors qu'elles avaient le privilège d'être celles dont les rêveurs rêvent et que les astronomes admirent ? Moi, personne ne me regardait comme je pouvais les observer elles. Mais celle que j'aimais le plus était la lune, particulièrement lorsqu'elle était pleine. Astre féminin qui illumine le monde lorsque la nuit tombe. Le son de l'eau près de l'herbe brûlée par la sécheresse m'apaisait et me rappelait ma solitude. Sauf que celle-ci était délibérée. La seule que j'arrivais encore à tolérer. Et lorsque je fermais les yeux, j'écoutais la nature. Je me sentais en sécurité quelques secondes, avant de songer à ce qui me faisait le plus peur. La nature ne m'effrayait pas. Ce sont les Hommes qui me terrifient. Alors, perdue dans mes pensées mais totalement libre de corps, je ressentais en moi comme une envolée de tourbillons qui faisaient frapper mon sang contre mes veines et mon coeur contre ma cage thoracique. Mouvement de panique à l'intérieur de mon organisme et envie de me relever pour sauter dans l'eau, me laisser face au danger et seule au milieu de nulle part. Parce que même lorsque ce lieu était peuplé, je savais que je pouvais me noyer sans que personne ne le remarque. Sans que personne ne me voit. Alors, peut-être valait-il mieux ne pas leur offrir ce spectacle et me laisser tester mes propres limites. Quelle est la limite entre la Terre, l'eau qui m'en sépare et le ciel ? Car même si je pense que le feu ne peut pas m'atteindre d'où je suis, il brûle plus que jamais en moi. Il me consume. Car je pourrais mourir, où que je sois.
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vhscorp · 8 months
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Peut-être que la véritable sérénité, c’est de vivre sans ne rien espérer…
V. H. SCORP
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(Henri Coudoux, Seascape, photographers on tumblr)
nous sommes des corps en instance de vestige courbés sur des souvenirs, véritables virgules provisoires qui posent une respiration parmi le grand flot des évènements ; nous récitons du passé sans le savoir, nous en formons le combustible ; l’esprit qui a cette capacité instinctive de déceler l’instant qui a déjà eu lieu parmi l’innombrable du temps ; ce qui ramène au passé est souvent une terre invisible qui réduit nos tremblements à une force, qui nous pousse à lire des reculs là où il n'y a que proximité ; cette terre qui socle nos existences jusqu’a un épanouissement sans y mettre un terme
© Pierre Cressant
(mercredi 19 octobre 2022)
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plexussolaire · 1 year
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Tenir ta main
Longtemps je me suis tournée vers l’adolescente que j’étais en n’y voyant qu’une étrangère. Un être vil et mal formé, la voix un peu aigüe, un peu criarde, qui pleure souvent et se plaint tout le temps. Longtemps je lui en ai voulu d’avoir fait des choix et pris des chemins qui m’ont mené à un endroit dans ma vie qui ne fait pas sens, d’avoir choisi la compagnie de personnes qui n’étaient pas bonnes pour moi, des actions qui m’amenaient à ma désolation. Je lui en voulais, d’avoir été si faible, si veule, de ne pas avoir saisi sa chance comme les autres, d’avoir loupé des opportunités fructueuses. Je ressens encore la honte et la douleur qu’elle a ressenti sans véritable distance. Je ressens de la colère quand cette plaie se rouvre. Je n’arrive pas à la comprendre, et je porte sur elle le regard qu’on portait sur moi : une chose pénible et bruyante, inintéressante, qui ne mérite pas d’être aimée tant elle est bizarre, et chiante, et empêche tout le monde d’être tranquille. Une chose qu’on laisse seule et dont on se moque dès qu’elle ouvre la bouche. Une chose qui crève en silence entre les murs épais de sa chambre des heures durant et qui ne fait rien pour y remédier.
A cause d’elle, je gèle tous les après-midi. A cause d’elle je crois que je ne vaux rien, que je ne sais rien faire de mes dix doigts, que je ne m’intéresse à rien. Que je suis gauche, et qu’au fond je n’apprends jamais à bien faire quelque chose car je n’en suis pas capable. A cause d’elle je remets tout au lendemain, et je sens des larmes envahir mon ventre quand il faut réparer quelque chose ou apprendre quelque chose que je ne sais pas faire. Ma colère à son égard à quelque chose de viscéral : je suis prise d’animosité farouche quand je devrais la prendre contre moi.
Ce regard est injuste. Cette animosité n’est pas la mienne, mais celle qu’elle a subi, et subit encore à travers moi. Parce que l’adolescente a été blessée au plus profond de son être, au fond d’une plaie ouverte depuis dix ans qui pourrissait et brûlait déjà en silence. Elle s’est retrouvée seule dans le noir, pendant cinq ans, avec une lame replantée chaque jour, dans la même plaie, chaque heure, sans amour pour lumière. Et je vais choisir aujourd’hui de la remercier avec la révérence la plus basse qui puisse exister, parce qu’elle a été pour la deuxième fois de sa vie brisée avec une violence inénarrable, et puis elle a survécu. Parce que les choix qui ont été faits et qui nous déplaisent, sont ceux d’une jeune fille qui devait survivre envers et contre tout, sans aide, sans soutien, persuadée de fautes qu’elle n’avait pas commises, et qui venaient de toutes parts. Une jeune fille a survécu au travers d’heures plus douloureuses les unes que les autres, (à ce moment de l’écriture, j’ai voulu changer la musique comme si j’étais sur l’ordinateur depuis lequel elle écrivait à tout prix pour respirer). Elle a survécu pour que je me retrouve ici, aujourd’hui, en sécurité, dans un appartement que j’aime et qui m’appartiens, avec un chat qui se repose dans un coin de la pièce, près de la fenêtre, à deux doigts d’aller prendre une douche bien chaude pour aller retrouver mon amie un peu plus tard. Je la remercie d’avoir survécu pour ce moment-là, et pour tous les moments de joie et de connexion qui colorent les journées à venir. Comme une mère qu’on oublie dans un coin de la photo, je la remercie d’avoir été présente, et d’avoir avancé quoiqu’il en coûte, vers la vie. Je rendrai l’animosité à qui elle appartient, et lui verserait sur les épaules l’amour à grands flots qu’elle méritait depuis l’enfance.
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fidjiefidjie · 10 months
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Bonne matinée 🆕️🙏💙
Grégoire 🎶 Vivre
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les-portes-du-sud · 4 months
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Me sorprendo alguna vez pensando en cuántas vidas caben en una sola. Cómo cada uno de nosotros,
después de haber perdido, ha creído que aquello era el final de todo. El vértigo del después, del «ahora qué», del «ya nunca más».
Solo cuando hemos muerto alguna vez, comprendemos que morir es la única forma de empezar a vivir de verdad.
Hay algunas vidas que duran años y otras caben en un instante. Historias que parecen la definitiva y amores que se disuelven en un parpadeo. En todas esas vidas, siempre creímos
ser lo mejor de nosotros mismos. Y en cada una nos equivocamos. Solo la siguiente nos demostró que no teníamos ni idea. Que ahora sí, que está ya. Que ahora siempre.
Y cada una de esas veces nos equivocamos, creímos saber quienes éramos, creímos saber lo que vendría después.
Pero cada una de esas veces nos demostró que podíamos ser mejores, en otro tiempo. De otro modo. Con otras personas. De una forma que jamás imaginamos.
Por eso quiero creer, esta vez sí, que en una vida caben tantas como veces seamos capaces de levantarnos y seguir. Y seguir. Y seguir. Adelante. Sin mirar atrás.
Salvo para entender que quizá esta vez, quizá ahora. Sea la última. Y seamos la mejor versión de nosotros mismos que jamás podamos vivir.......
Alejandro Sotodosos
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francoise-larouge · 1 year
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Manifestation 1er mai : Question©FrançoiseLarouge
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dandanjean · 3 months
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Félicité d’être
Je ne veux pas vivre dans le passé. Comme beaucoup, je suis sensible à la nostalgie, mais je ne veux pas lui donner trop de place dans ma vie. J’utilise les souvenirs et l’expérience acquise pour me permettre de mieux m’adapter à la vie au quotidien. Je ne veux pas anticiper l’avenir et me faire toutes sortes de scénarios issus de mes attentes, de mes espoirs, de mes craintes et de mes…
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