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#Ce soir ou jamais
rosepompadour · 11 months
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ANNA KARINA in CE SOIR OU JAMAIS (1961)
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ozu-teapot · 1 year
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Ce soir ou jamais | Michel Deville | 1961
Georges Descrières, Anna Karina
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epellucid · 2 months
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RPG et anxiété.
Tw : Anxiété généralisée.
Encore un sujet qui va me stresser une fois publié, dont j'avais envie de parler sans trop savoir comment et, ce soir, je tente le coup. Parlons "relations" sur les réseaux/rpg et anxiété ! C'est quelque chose dont je souffre et contre lequel je lutte à peu-près chaque jour. Les pensées intrusives sont terribles, la crainte qu'un quiproquo débile plus encore suite à des évènements passés qui, j'en suis certaine, auraient pu être évités. Je peux me prendre la tête et réfléchir trop vite, trop longuement, sur des petits riens un peu insignifiants tout en craignant que certaines situations passées se reproduisent. Quand c'est comme ça, j'ai tendance à serrer les dents, attendre que mes craintes soient indirectement contredites et respirer de soulagement après en silence, et hop ni vu ni connu ! (Appelez moi la houdini du stress. Bon par contre, les maux de ventre sont un peu moins fun. ) L'objectif n'étant pas de me flageller mais ne pas empiéter sur l'espace des autres. Oui, c'est contraignant, mais mes troubles ne doivent jamais empiéter sur le loisir des autres. C'est mon problème, je suis suivie pour ça.
Néanmoins, tout ce que je peux dire c'est qu'il est plus qu'essentiel de :
Tenter de communiquer en cas de doutes. Et surtout, ne pas faire de suppositions qu'on valide par le biais de nos propres certitudes et rejeter une personne sous prétexte qu'elle n'a pas su communiquer une information selon vos propres critères. (on le rappel, les troubles dys, la neuAtypie, la fatigue etc... existent.) En discutant, on se rend très souvent compte qu'en réalité, ce n'est pas du tout ce qu'on pensait. On s'épargne ainsi un drame inutile - a-t-on vraiment le temps pour ça, btw ? (NON.) - et l’opportunité de, peut-être, renforcer des liens entre Rpgistes tout en mettant à la porte des comportements problématiques qu'on a trop longtemps laissé passer par le passé. (En évitant de mettre de côté des personnes sous prétexte qu'elles sont un peu différentes, au passage.)
Ne pas oublier qu'on ne sait pas tous forcément parler de nos doutes ou qu'on a pas toujours envie de le faire par crainte d'agacer l'autre, qu'on est des êtres humains avec une vie en dehors du RPG, de tumblr, de discord, et qu'on est désormais nombreux-ses à être plus qu'adulte avec une vie IRL franchement déjà assez compliquée. (Et puis bon, les étudiant-es et/ou les plus jeunes aussi ont le droit d'être crevé-e-s, et on connaît ni la vie des autres, ni leurs contraintes ou l'état de leur santé.)
On va pas le répéter - si - mais la bienveillance, vraiment, c'est un banger. À consommer sans modérations.
Pour ma part, je ne peux que conseiller aux personnes de venir me parler si quelque chose a été mal perçu. Et sentir sans avoir de confirmations, tourner en rond sur 'ce truc qui ne va pas mais impossible de savoir quoi', c'est quelque chose de profondément déstabilisant ?
En ce qui concerne la gestion de ma propre anxiété, je ne sais toujours pas totalement comment vraiment vivre avec, mais je le fais au quotidien et je suppose que je chaque jour, je me débrouille un peu mieux. C'est pas mes seules contraintes, néanmoins, les autres sont bien plus privées.
Bref, je sais pas trop si ce poste est bien utile ou sera bien perçu mais voilà.
Des bises sur vous,
Swan qui ne sait pas si elle va laisser ce poste ?
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fieriframes · 2 months
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[Farewell vicious night. The Ancient Fire calls your name. The invisible spiral will always remember the responders to the Midnight Caller. The ones who write the stories. And to whom the stories go. Perhaps the eternal moon will rise again. Perhaps the darkness has reached its end.]
XIV - La Ville Invisible
Après être arrivé au lieu où se confondent existence et non-existence, une porte verte est apparue, invoquée là depuis les plaines pastorales de la plus ancienne Arcadie. J'ai chanté à la porte ces paroles qui précédaient les ténèbres : Daphnis ego in silvis, hinc usque ad sidera notus.
Des années de mystère m'avaient amené à ce seul paragraphe. Un voyage où, à chaque étape du chemin, j'espérais une conclusion, mais j'ai reçu davantage de questions à la place. Cette fois ne faisait pas exception.
Je l'ai répété encore et encore dans mon esprit. C'était enivrant. Ça ressemblait à une incantation pour des esprits puissants, comme écrit dans les livres. Mais les esprits ne sont jamais venus à moi. Même mes rêves avaient commencé à échapper à ma mémoire, comme l'amnésie dans une berceuse.
J'ai appris autant que possible sur la partie la plus significative du paragraphe : Daphnis ego in silvis, hinc usque ad sidera notus. Je fus Daphnis, habitant des bois, d’où mon nom s’est élevé jusqu’aux cieux. Cette épitaphe qui apparaît sur de nombreuses pierres tombales arcadiennes. Les origines mêmes de l’expression Et In Arcadia Ego. Les mots qui ont précédé les ténèbres.
J'ai appelé Mars Éditions encore et encore, personne ne répondait. Je suis allé au 12 Rue Jacob, mais l'enseigne au néon était éteinte et il n'y avait personne à l'intérieur. J'ai appelé The Library of Babel à Londres où j'ai acquis Nuit Sans Fin, sachant exactement à quoi m'attendre. C'est-à-dire pas de réponse.
Il me semblait que j'étais vraiment seul.
Dès le début, on avait eu l’impression que quelqu’un, ou peut-être l’univers, essayait de parler sans voix. Si j'étais honnête avec moi-même, aussi fou que ça puisse paraître, j'avais l'impression que Leonora elle-même essayait de me dire quelque chose. Chaque fois que j’arrivais dans une impasse, j’avais l’impression de la laisser tomber.
Cette ultime impasse n’a fait qu’intensifier mon intérêt pour cette phrase latine particulière et tout ce qui l’accompagnait. J'ai plongé non seulement dans le monde de l'épopée romaine et de la mythologie celtique, mais aussi dans celui de Leonora et d'autres artistes surréalistes. Livres, expositions, cours du soir, documentaires, tout ce que je pouvais trouver.
Je dois admettre que le rayon de ce nouvel intérêt s'est élargi de jour en jour et j'ai découvert de nouvelles avenues et de nouveaux mystères à explorer. Remedios Varo, Dorothea Tanning, Noëmi Manser, Kati Horna, Hilma af Klint, Julia Soboleva ont tous transformé ma vie en un rêve ambulant et ont ajouté une touche de magie à ma façon de penser et de voir le monde. Comme si mes yeux s'étaient ouverts sur “l'autre Paris”, l'invisible, les passages secrets entre les couches.
Malgré cela, Leonora ne m'a jamais quitté. J'ai une obligation envers elle que je n'ai pas remplie. Je ne sais pas quand, je ne sais pas comment, mais j'espère plus que tout qu'un jour je pourrai répondre à l'appel. Que si je peux enfin être là pour elle. Pour son esprit. Pour jouer mon rôle. Il y a une raison pour laquelle elle m'a trouvé, mais je ne la connais pas encore.
En attendant, je la garde dans ma vie. Dans mes rêves, en cette nuit sans fin. 𑁍
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blinding-lights-rpg · 1 month
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CONTEXTE (Séoul, Mars 2024) Les regards du monde entier sont braqués sur la capitale sud-coréenne, BERCEAU DES HÉROS. Aujourd’hui, et comme tous les autres jours, les spectateurs ébahis assistent à des prouesses et à des sauvetages tous plus rocambolesques les uns que les autres. Ce matin, deux héros portent secours aux passagers d’un avion en perdition et retrouvent la terre ferme sains et saufs grâce à leur capacité à voler. Ce midi, les enfants s’émerveillent en regardant la compétition des héros les plus puissants, capables de soulever des camions d’une seule main sans trembler. Dans l’après-midi, on peut entendre les récits sur la prise d’otages déjouée par une héroïne douée d'invisibilité qui a pu prendre à revers les ravisseurs. Et ce soir, les foules se rendent au cinéma pour assister au nouveau blockbuster réunissant les héros les plus célèbres du moment. Toustes s’endormiront avec des étoiles plein les yeux, et se réveilleront encore demain pour assister à de nouvelles merveilles. “LES HÉROS SONT LES STARS DE NOTRE ÉPOQUE” titrent les journaux avec une grande facilité. Et ils ne sont jamais éloignés de la vérité. Sur vos écrans comme dans vos rues, iels sont partout, à presque en NORMALISER L’INCROYABLE. Et si un jour vous faites les frais de leur supériorité, vous vous souviendrez qu’ils ne sont finalement que des humains dotés de formidables capacités. Mais n’êtes-vous pas les coupables quand vous cherchez tant à les idéaliser ? CONCEPT BLINDING LIGHTS est un forum RPG de style capepunk qui se déroule à Séoul. Des événements trash, violents et/ou explicites pourront apparaître sur le forum, donc il est interdit aux moins de 18 ans. Le capepunk, c'est quoi ? Le capepunk est un sous-genre de la fiction superhéroïque qui traite du thème des superhéros d'une manière réaliste. Plutôt que de voir les superhéros sous le prisme de leurs actes héroïques, on les voit donc ici sous l'angle de leur côté humain, avec pour réflexion principale : Que feraient des êtres humains "normaux", avec leurs qualités et leurs défauts, s'ils possédaient des superpouvoirs ? Sur BLINDING LIGHTS, on s'intéresse en priorité aux dérives du pouvoir et aux problématiques humaines de personnages pourtant extraordinaires. Le capitalisme, la célébrité, la quête du pouvoir, l'injustice, et les inégalités sont donc au centre des thèmes abordés sur le forum. Ces thèmes seront récurrents sur BLINDING LIGHTS et rythmeront la vie de chacun.e. Notre souhait sur le forum est vraiment de déconstruire les histoires de superhéros classiques pour en faire quelque chose de plus humain. Les héro.ïne.s sont donc pour la plupart de véritables stars dans notre univers, et iels doivent apprendre à conjuguer leur vie privée avec un statut d'héro.ïne parfois difficile à supporter. Les personnages moralement gris, sombres, ou profondément tragiques sont les bienvenus sur le forum dans un souhait de permettre à chacun.e de jouer son personnage avec une grande liberté. Les personnages caricaturaux ou sensationnalistes sont également encouragés dans la mesure où RIEN N'EST "TOO MUCH" dans notre univers. BLINDING LIGHTS se veut un forum à intrigue évolutive où toustes jouent un rôle. En devenant l'un.e des héro.ïne.s de BLINDING LIGHTS, vous acceptez que chaque action de votre héro.ïne puisse avoir un impact sur l'ensemble du forum, et sur votre personnage. Chacune de vos décisions inrp entraînera forcément des répercussions, qu'elles soient positives ou négatives, et le forum - tout comme l'expérience de chacun.e - se verra évoluer en fonction des choix de chacun.e. L'intrigue générale pourra donc totalement progresser d'une façon inattendue selon les actions réalisées par vos personnages, et les intrigues nous permettront de faire évoluer l'histoire et Séoul en fonction de ce qui se passe dans la vie de tous les personnages.
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alexar60 · 9 months
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Changement
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C’était un simple crush, une histoire d’une nuit. Mais au matin, Manon se leva, encore vêtue de son t-shirt déchiré. La rouquine prépara ses pinceaux et invita Paul à la rejoindre. Elle trouvait son visage si charmant qu’elle voulait garder une trace. Dès lors, elle dessina son portrait, usant de la peinture et du temps. Son coup du soir demeurait nu, assis sur une chaise, prenant une position sérieuse et intime. Contrairement à l’artiste qui, sans complexe, n’hésita pas à garder les cuisses ouvertes. D’ailleurs, Paul ne pouvait que profiter de son sexe rasé et sa poitrine généreuse à peine voilée par le tissu blanc de son maillot.
Manon peignait, profitant de son inspiration. Elle dessinait magnifiquement mais ne souhaitait pas exposer ni vendre ce nouveau tableau. Contrairement à ses habitudes, celui-ci n’était qu’une envie, un moment de plaisir, un cadeau pour remercier Paul pour cette jolie nuit passionnée.
Je vais faire entrer ton corps dans l’immortalité. Tu changeras mais ce tableau montrera combien tu étais beau, dit-elle.
Paul sourit à cet instant. Cependant, constatant que Manon arrêta de peindre tout en présentant un regard sérieux. Il comprit qu’elle ne voulait pas qu’il bouge, y compris dans la mimique.
A moins que ce soit le tableau qui vieillisse pour toi, comme dans le portrait de Dorian Gray, ajouta Manon. Voudrais-tu que ton portrait change et vieillisse à ta place ?
Non, répondit-il après une hésitation.
Il avait peur qu’elle rate son œuvre parce qu’il aurait remué les lèvres. Toutefois, elle arrêta de peindre et regarda son amant avec étonnement. Dès lors, il se sentit obligé de se justifier.
Je préfèrerais changer ma vie entièrement…Parfois, j’ai l’impression d’avoir loupé quelque-chose. Que ça ne s’est pas passé comme prévu. Rien ne me plait dans cette vie.
La jeune femme écoutait avec attention. Elle comprenait ce qu’il ressentait. Elle avait bientôt 40 ans, pas d’enfant et une vie, pourtant magnifique, mais triste. Elle avait vécu des moments de galère avant la reconnaissance. Cependant, elle sait que la galère peut revenir à tout moment. Et oui, elle aussi, aurait voulu changer sa vie, si elle le pouvait. Paul interrompit sa perdition soudaine. Aussitôt, Manon se remit à peindre.
Le soir venu, le tableau n’était pas encore fini. Paul proposa de revenir le lendemain soir, car il devait rentrer chez lui. Personne ne l’attendait si ce n’est une pile de dossiers pour le boulot. Il s’habilla puis sortit après avoir embrassé langoureusement Manon.
Dehors, il faisait déjà nuit. Le ciel magnifiquement dégagé, se voilait d’un tapis d’étoiles. Paul marcha longtemps, en repensant à leur discussion sur leur vie. Il se demandait si ce n’était pas l’occasion de se ranger, arrêter des histoires sans lendemain et enfin, de pouvoir vivre une vraie histoire d’amour. Il leva la tête pour admirer la lune. Tout à coup, il aperçut une étoile filante. Cette dernière laissait derrière elle, un éphémère trait argenté. Puis il entra dans son appartement et s’endormit en oubliant cette belle journée.
Chéri, tu vas être en retard !
Paul regarda avec des yeux exorbités la belle brune qui se promenait en jogging dans sa chambre. Elle ouvrit la porte d’une armoire qu’il n’avait jamais vue.  Un coup d’œil par la fenêtre, il n’était pas dans son logement. Lui qui, d’ordinaire, voyait une petite cour, se trouvait à découvrir une avenue ou un boulevard. Il se leva, approcha de la femme  qu’il ne connaissait pas. Il allait poser une question lorsqu’il entendit parler. Dès lors, il approcha de la cuisine. Deux petites filles, assises autour d’une table, mangeaient une tartine et buvaient un bol de chocolat.
Bonjour papa ! dirent-elles en cœur.
Hé bien Paul, tu ne t’habilles pas ? Tu vas être en retard.
Et toi, tu ne travailles pas aujourd’hui ? demanda Paul.
Elle sourit à sa question  Cependant, ce n’était pas la première qui lui venait en tête. Mais il ne savait pas comment expliquer qu’il y avait erreur. Il n’était pas marié, n’a jamais eu d’enfant. Et brusquement, il se retrouvait avec une femme et deux gamines dans un appartement qui ne lui disait rien.
Tu sais bien que le mardi, je suis en télétravail, annonça la femme.
Elle pria les filles de prendre leur cartable et les accompagna jusqu’à l’école. Pendant ce temps, Paul se lavait puis quittait à son tour l’appartement pour rejoindre son bureau.
Durant tout le trajet, il interrogea son esprit. Comment était-il possible qu’il ait changé de vie en une nuit ? Les vœux se réalise-t-il ? Il n’avait pas changé d’apparence. Il n’avait pas pris la vie d’un autre. Il était bien lui, mais ne comprenait rien de ce qu’il lui arrivait.
En entrant dans le hall, l’hôtesse d’accueil le regard avec insistance. Paul passa, comme tous les jours, montrant un grand sourire et en disant bonjour. Il partait en direction de l’ascenseur pour rejoindre son bureau minable, encerclé de cloisons qui n’empêchait pas d’entendre les discussions de ses collègues. Seulement, il fut arrêté.
S’il vous plait, monsieur ! Avez-vous rendez-vous ?
Je travaille ici, répondit Paul avec étonnement. Vous ne me reconnaissez pas Mathilde ?
Surprise d’entendre son prénom de la bouche d’un inconnu, Mathilde resta bouche bée. Puis, elle reposa la question. Paul continuait d’affirmer qu’il travaillait dans cette entreprise depuis quatre ans. Finalement, il demanda qu’on appelle son collègue de bureau.
Norbert n’avait pas changé. Petit gros, les cheveux gris, il sortit de l’ascenseur avec son air patibulaire connu. Il commença par engueuler Mathilde tout en dévisageant Paul et un agent de sécurité. Et quand Paul le salua. Il chercha dans son esprit s’il l’avait déjà rencontré.
Non, désolé, je ne vous connais pas, dit-il. Et ne m’appelez pas pour ce genre de foutaise…Déjà que j’étais en pleine réunion !
Il partit sans écouter les appels de Paul. Celui-ci, sentant qu’il n’était pas le bienvenu, quitta le hall surveillé de près par la sécurité. Toutefois, une fois dans la rue, son téléphone sonna.  L’écran afficha un nom qu’il ne connaissait pas. Cependant, il répondit et entendit une voix d’homme
Bonjour Paul, Vous allez bien ? Parce que vous ne nous avez pas prévenu de votre absence.
Oui, ça va. Mais je devais aller où ?
Bin, à la Sorbonne. Vous avez votre cours.
Choqué, il attendit et n’eut pas le temps de parler.
Vous êtes sûr que vous allez bien ? Je peux annuler vos cours de la journée.
Non, ça va. Je...j’arrive.
Paul prit le métro et descendit à Maubert-Mutualité. Il remonta la rue et entra dans l’université par la porte principale. Il ne savait pas où aller ni quoi faire. Il resta hagard jusqu’à ce qu’il croise un étudiant qui le salua. Dès lors, il profita de la discussion pour en savoir plus. Et il apprit ce qu’il n’aurait jamais pensé. Il était professeur de grec ancien.
Après avoir écouté le jeune érudit. Paul s’arrêta devant une salle de cours. Une vingtaine d’élèves attendait patiemment tout en discutant. Son entrée imposa le silence. Il posa une valisette sur la table avant d’observer les étudiants. Le grec ne s’apprend pas. Il avait quelques notions mais cela datait du collège. Il prononça un bonjour obtenant la pareille de ses élèves.
Vous ai-je déjà donné un exercice à faire ? Une traduction ?
Oui, répondit un étudiant.
Immédiatement, il lui proposa de venir au tableau et de traduire le texte étudié. En écoutant, le jeune homme, Paul réalisa qu’il comprenait tout comme s’il parlait couramment le grec ancien. Il s’étonna en corrigeant lui-même quelques erreurs d’accents et de grammaire. Le cours lui parut normal, tout comme la journée.
Au moment de quitter la Sorbonne, son téléphone sonna de nouveau. C’était son épouse.
A quelle heure rentres-tu ? demanda-t-elle.
Je ne sais pas encore.
Si tu vas chez Manon, ne rentre pas trop tard comme hier, s’il te plait. Ce matin, tu m’as paru déboussolé.
Manon ?
Oui, Manon, la peintre.
Il ne s’attendait pas à connaitre déjà Manon. Dans sa nouvelle vie, c’était une amie, alors qu’il l’avait rencontrée la veille. Il se dirigea chez elle. Peut-être avait-elle des explications ? Il reconnut la rue, le même immeuble. Il grimpa jusqu’à son atelier qui servait aussi d’appartement. Il sonna et entendit crier : « C’est ouvert ».
Sans hésiter, le professeur de grec entra. Manon était assise, elle peignait un tableau. La vue de Paul s’attarda sur la raie de ses fesses, indiquant qu’elle ne portait qu’un maillot à moitié déchiré. Elle tourna la tête lorsqu’il toussa.
Oh Paul, je ne t’attendais pas. Je pensais qu’on aurait continué ton portrait demain. (Elle se leva pour faire la bise). Tu vois j’étais en train de faire quelques retouches.
Paul découvrit son portrait nu, assis comme il l’était hier. Elle proposa de reprendre où ils en étaient. Il se retira dans la chambre, se déshabilla et revint s’assoir. Manon se mit à peindre de suite.
Excuse-moi, Manon, mais, on se connait intimement pour que tu restes…
Pour que je reste à poil ? Non, on n’a jamais couché ensemble. C’est une habitude pour mettre à l’aise mes modèles. Je me mets à poil quand ils le sont. Et puis, je ne couche pas avec les maris de mes amies.
Et pourquoi, je pose nu ?
Un cadeau pour Fabienne. Enfin, c’est ce que tu m’avais dit. Je vais faire entrer ton corps dans l’immortalité. Tu changeras mais ce tableau montrera combien tu étais beau
Paul sourit à cet instant parce qu’il avait déjà entendu Manon prononcer ces mots.
A moins que ce soit le tableau qui vieillisse pour toi, comme dans le portrait de Dorian Gray, ajouta Manon. Voudrais-tu que ton portrait change et vieillisse à ta place ?
Cette fois-ci Paul ne répondit pas. Cette nouvelle vie lui paraissait plus belle.
Alex@r60 – août 2023
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ayadarkraicute · 1 month
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Malleus fait sa promenade nocturne en passant par le dortoir de Ramshackle qu'il croyait inhabitable mais il a remarqué qu'il y a des lumières sur les fenêtres, en face du grillage de ce dortoir il y a une jeune fille regardant vers le ciel. Par curiosité Malleus avance de plus près et pour la première fois qu'il a vu une humaine avec des cheveux bruns, yeux bleus, deux cicatrices une sur la joue et sur le coup et uniforme bleu.
??? : Que c'est joli cette lumière verte. On dirait des feux feu follet ! *Se retourner* Hum ? Oh bon soir !
Malleus : Oh bon soir, je t'ai jamais vu ici ?
??? : Oh parce que ma grande sœur et moi on est apparue il y a quelques jours et on cherche un moyen pour rentrer dans notre monde !
Malleus : Dans votre mode ?
??? : C'est un peu compliqué, ma sœur et moi même on est téléporté dans ce monde, ma sœur Zafira croyait que le directeur de ce collège nous a kidnappés. Hé hé ^w^'
Malleus : Je vois... Et comment t'appelles-tu ?
??? : Je... je m'appelle Yuri ! Et toi comment tu t'appelles ?
Malleus : Moi je suis... non attend je préfère que tu restes sur l'ignorance !
Yuri : Hein pourquoi ?
Malleus : C'est pour ton bien je t'assure, à la place je te donne la permission de me donner par le nom ce que tu désires !
Yuri : Oh d'accord je vais réfléchir un peu... bon sens bon soir ça va être compliqué...
Zafira : Yuri ! Rentre il est tard !
Yuri : Ah désolé on se verra peut-être demain ou pendant les cours.
Malleus : Alors je te dire à très bientôt l'enfant l'homme.*se téléporté*
Yuri : *Pense : l'enfant l'homme ?* Oui bonne nuit.
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perduedansmatete · 2 months
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dimanche ennui donc liste (certainement pas exhaustive) de moi à moi des artistes que j'ai déjà vu en concert, de ceux que je vois bientôt, de ceux que j'aimerais voir et de ceux que je RÊVE de pouvoir écouter en live un jour:
concerts faits dans un ordre totalement approximatif:
julien doré (petite, j'étais amoureuse de lui et je me souviens d'avoir eu mal au cœur quand il chantait winnipeg)
jeanne cherhal (petite aussi, j'étais absorbée car elle avait chanté quelques chansons suspendue à un cercle en l'air)
olivia ruiz (toute mon enfance)
la grande sophie
the dedicated nothing (ils ont fait un album on en a plus jamais entendu parler et je les avais vu dans une boutique longboard comme c'était des surfeurs mdr)
the dø (dans un festival paumé en vendée, j'étais la plus heureuse)
george ezra
the black lilys
radio elvis 2x
feu! chatterton 3x (j'ai l'impression de faire l'amour quand j'entends arthur teboul chanter en live, un des trois concerts était en plein air vers l'océan c'était beau et poétique)
grand blanc
jumaï
chevalrex
pr2b
clarika (toute mon enfance, dans la voiture avec ma mère)
the limiñanas (inattendu, jamais écouté avant de les voir mais si cher à mon cœur maintenant)
girls in hawaii (souvenirs d'adolescence)
genghar (concert avec mon père dernièrement, j'écoutais beaucoup adolescente aussi)
sallie ford 2x
norma 2x (elle fait fondre mon cœur j'aimerais qu'elle perce)
mattiel
the twilight sad
las aves
prudence (la chanteuse de the dø, on avait gagné un concours avec ma sœur!!)
cate hortl
clara luciani 3x
pomme 2x
franz ferdinand 2x
arctic monkeys 2x (dont une fois catastrophique à rock en seine, des amitiés se sont brisées, des crises d'angoisses, un son merdique)
the strokes (son merdique et problèmes techniques car rock en seine mais j'étais au max)
ledher blue
the cure (que dire de plus??? 3h de the cure en live c'est le paradis)
depeche mode (que des bangers, je m'en remets pas encore)
pi ja ma (choupette, je l'aime depuis la nouvelle star)
delilah bon (à la fin de son concert on a eu droit à tous les chants de manifs de gauchos sans aucune raison pendant 20 minutes et c'était génial)
kalika
fontaines dc (je veux les revoir)
ethel cain (c'était thérapeutique)
angel olsen
lucy dacus (très vite)
tamino 4x (je l'adore de tout mon cœur mais je fais une pause je l'ai trop vu)
ko ko mo 7x ou plus?? (découverts dans un festival paumé en vendée, depuis on les voit tous les ans)
jesse jo stark (trop sexy)
hachiku
jen cloher (lesbiennes australiennes je vous aime)
dynamite shakers
odezenne (j'ai pu chanter je veux te baiser en live c'était fantastique)
georgio (marque le début de la fin d'une amitié mais j'étais tellement heureuse ce soir là)
slowdive
frank carter and the rattlesnakes (ma sœur qui se fait une entorse dans un pogo)
the mysterines
yeule (premier concert toute seule, il m'a fait du bien)
sorry (chanteuse toute timide toute choupi mais génial et j'ai pu crier les paroles de there's so many people that want to be loved)
alexandra savior (écoutez là c'est un ordre)
sarah maison
sextile (concert génial soirée traumatisante)
wunderhorse (de vrais anglais qui s'en branlent de tout c'était cool)
no elevator
emma peters (j'écoute pas mais sympa)
skip the use (j'y allais en mode souvenirs, j'avais jamais écouté ses récents albums et le gars est trop chaud en live)
agar agar
nada surf (le chanteur est trop gentil <3)
hoorsees
adrien gallo (à défaut d'avoir pu voir les bb brunes... et j'étais aussi amoureuse de lui petite)
therapie taxi
nova twins (un de mes meilleurs concerts elles avaient une énergie trop folle)
la femme (mes meilleurs pogos)
tori amos (concert avec ma mère, icone)
l'impératrice 3x (2 fois sans que je veuille vraiment juste ils étaient dans des festivals et j'en peux plus leur scéno c'est toujours la même et c'est mou)
terrenoire
snail mail (mou)
parcels (j'écoute pas mais en concert c'est fou)
tame impala (l'impression d'avoir pris du lsd pendant 1h30)
gaz coombes (le chanteur de supergrass!!)
inhaler
idles (de loin mdr)
foals (mouais)
wet leg (absolument génial premier rang à crier toutes les paroles, tellement qu'il a plu et qu'on a fini le concert dans la boue)
yeah yeah yeahs
izia
the murder capital (amoureuse)
suzie stapleton
maddy street (une copine de ma sœur, c’est trop bien)
origine club renommé bonne nuit (à revoir c’est des vendéens et j’adore les vendéens pas fachos)
alice et moi
prochains concerts:
stoned jesus
dionysos (cadeau de noël pour mes parents, ils nous ont bercé avec)
air
ethel cain (encore)
mannequin pussy
cherry glazerr
lana del rey!!!!!!!!!
ko ko mo (pour la millième fois mdr)
eartheather (j'ai eu une place alors qu'il n'y en avait plus??? yaayyy)
artistes que j'aimerais voir:
yoa
the marias (ils avaient annulé la seule date qu'ils faisaient en france alors qu'on avait nos places avec ma meilleure amie, on leur en veut encore)
anna calvi
bar italia
the last dinner party
coco & clair clair
dora jar
king krule (on m'a empêché de prendre une place la dernière fois car apparemment il chante mal en live)
beach house
lebanon hanover
japanese breakfast
mitski
sally dige
deerhunter
tove lo (je l'ai raté à rock en seine...)
tv girl
sir chloe
hooverphonic
tomberlin
portugal. the man
last train
baxter dury
sophie meier
thao & the get down stay down
fka twigs
elita
yelle (je serai une femme accomplie le jour où je l'aurai vu)
artistes que je rêve de voir dans mes rêves les plus fous:
lush
soko (elle soignerait tous mes maux)
pulp
garbage
fiona apple (c'est beau de rêver)
the smashing pumpkins
courtney barnett (c'est une nécessité je connais tout par cœur)
siouxsie sioux
björk (ratée en septembre dernier...)
eels (mes parents y sont allés sans moi et sans me le dire????)
alt-j (j'écoute depuis trop longtemps pour ne jamais les avoir vu)
cults
pixies
iggy pop (icone, il faut, et je suis amoureuse de lui)
new order
interpol
massive attack (si je craque pour rock en seine...)
emiliana torrini
deftones
she wants revenge
hope sandoval
sigur rós
arcade fire (je crois que le chanteur est un agresseur sexuel. bon.)
the last shadow puppets
the white stripes mais bon... ou jack white
madonna...... mais je suis pauvre
si une âme charitable a tout lu et veut me fournir de quoi me payer des places de concerts je suis preneuse lol merci
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boscaesperanza · 6 months
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Tarzan... 7 ans de harcèlement non stop ... je craque...
Tout le monde a déjà entendu parler de cette personne, menace de violence, insultes, racisme décomplexé... Cette personne terrorise les forums et également les rpg Facebook. Si j'ai toujours l'habitude d'expliquer ses actions par ses difficultés psychologiques, cela fait 7 ans que cette personne me poursuit partout chaque forum où je vais, chaque serveur Discord où je me trouve (même mon propre serveur de pub) il débarque pour m'insulter, dire que je suis une menteuse (alors que j'ai 12 GO de comportement pedocriminel et/ou violent de sa part dans mon ordinateur) Ce soir, le gars a débarqué sous un pseudo lambda se faisant passer pour un joueur juste un peu paumé qui savait pas trop comment fonctionnait les forums. Il a parlé de Tarzan qui avait débarqué quelques minutes avant lui (oui j'aurais dû me méfier) qui avait été ban (parce que son compte "tarzan le vampire" est connu de tous et puis à commencer à m'insulter gratuitement en mp et sur le serveur, je me tâte à envoyer ses ips, ses email et toutes les preuves à Pharos parce que si je ne lui ai jamais voulu de mal je ne peux plus supporter ça je vous montre les screenshots de mes mps de ce soir que vous ayez le pseudo et que vous puissiez le ban si vous le souhaitez
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voilà désolée, je suis à bout...
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rosepompadour · 11 months
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ANNA KARINA in her first major interview on the set of CE SOIR OU JAMAIS (1961)
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ozu-teapot · 1 year
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Ce soir ou jamais | Michel Deville | 1961
Anna Karina
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homomenhommes · 26 days
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 138
Le jeudi fin de matinée j'ai remis Franck au train. Il m'a remercié pour le séjour instructif. Je lui dis de plutôt le dire à son grand père qui le lui avait offert. Il me dit qu'il va s'inscrire au permis moto dès qu'il sera rentré chez lui.
Jeudi PM, je débarque chez Emma. C'est pas parce qu'elle sera bientôt ma " mère " qu'il faut que nous négligions l'autre facette de notre relation, le sexe !
Même si son personnel est au courant pour nous deux, nous sommes plus libre quand ils sont sortis. Il est vrai que je me vois difficilement circuler à poil devant sa vieille cuisinière. Pour le chauffeur, c'est différent, c'est un mec.
De plus quand ils ne sont pas là, nous faisons l'amour partout, garage, cuisine, séjour, salon, piscine... Toutes les pièces de la maison nous ont vues nous embrasser, m'ont vu l'enfiler par tous les trous et me faire sucer jusqu'à l'os.
Comme Marc est reparti en voyage, je vais rester la nuit. Quand j'arrive, je la trouve très " bourge " en tailleur Chanel. J'écrase le cuir de ma combi dessus et ma main droite passe directement sous le bas de la jupe pour vérifier la présence ou non de culotte. Il y en a pas, c'est un appel à la prise directe ! Notre bataille de langues m'a fait bander, je suis prêt à l'assaut. Sans quitter sa bouche, j'ouvre ma combi par le bas et dégage ma bite. je lui trousse la jupe sur ses hanches et je la soulève pour lui poser les fesses sur la première table venue. Je lui relève et écarte en même temps les cuisses et sans lui laisser le loisir de dire non, je m'enfonce dans la moiteur de son vagin. il est trempé, elle devait déjà s'exciter avant que je n'arrive ! comme d'habitude, je lui ramone la chatte quelques instant pour bien lubrifier mon sexe puis profite d'un coup de rein un peeu plus ample pour lui investir l'anus. Ma poussée impérieuse et le lubrifiant naturel que son vagin a déposé sur ma bite font que je la pénètre assez facilement. Je retrouve alors les sensations de pression sur ma queue que je préfère. Comme nous nous savons séronégatifs et que je prend de mon coté beaucoup de précautions alors qu'elle ne baise qu'avec moi, nous avons abandonné le prote de la kpote entre nous. Il n'empêche que je ne lui juterais jamais dans la chatte ! Par contre dans son cul le risque est nul (de gamin). Je la fais jouir une première fois à l'aide de mes doigts et recommence quelques minutes plus tard alors que je me déverse en elle.
Nous nous décollons. Ses lèvres ont gonflée sous la pression des miennes et l' "agression " de mes dents. Je me retire de son cul doucement. Je la sens serrer l'anus et tout garder en elle alors que je suis sorti. Bien que " sans culotte " elle n'avait pas eu l'intention que cela " dégénère " aussi vite. D'un autre coté cela l'arrange bien car elle me dit que ce soir nous recevons. Ma surprise est grande. Elle me dit qu'elle a invité pour le diner son associé, et deux des grand patron que j'avais rencontré chez lui dont le boss de Kev et ce dernier avec bien sûr. Comme nous finissons de nous réajuster (facile pour elle juste à baisser sa jupe, alors que moi il faut que je remballe sans me pincer la peau avec le zip), je vois apparaître la cuisinière pour demander des instructions. Nous avons eu chaud ! puis je pense après qu'elle a du attendre derrière la porte que nous ayons fini nos retrouvailles.
Emma ayant à s'occuper de beaucoup de détail, je passe dans sa chambre retirer ma carapace de cuir et enfiler un maillot pour aller nager. Au passage je vois le costume qui est prêt pour ce soir, avec chemise, cravate et tous les accessoires sortis.
Je file à la piscine me détendre. J'aligne les longueurs jusqu'à ce que son chauffeur vienne me prévenir qu'il était temps que j'aille me préparer. J'entre dans la chambre et entend la douche fonctionner. Je quitte le maillot et rejoint dessous Emma toute savonneuse. Je la prends dans mes ras mais elle glisse. Je suis couvert de savons avant d'avoir pu la bloquer. Je bande encore et contre mes pecs, je sens ses tétons tout raides. J'ouvre ne grand l'eau pour nous rincer et mets sur froid pour tonifier nos peaux. Elle se réfugie à l'abri de mes bras. Quelle erreur fatale ! Je la soulève, elle s'accroche à mon cou instinctivement. Ça me libère les bras et je les lui passe sous les cuisses pour la soulever au dessus de ma bite. Quand je relâche, elle vient toute seule se planter dessus. L position fait que je lui écrase fortement le clito de mon pubis et ce juste sur ma bande de poil restant. Plaquée dos sur le carrelage, je lui lime la chatte jusqu'au point de non retour et sort juste à temps me planter dans son cul et gicler dedans. Un brin de toilette plus tard, nous nous habillons pour recevoir ses invités.
Bien qu'elle n'ait qu'une robe à enfiler, je suis prêt avant elle. Ça me laisse le temps d ;e contacter André (mon banquier le père de Ric) pour rafraichir mes connaissances sur le contexte économique France et monde.
Arrivée des deux grands patrons, un avec sa femme et l'autre avec Kev. Je réussis à m'isoler quelques instants avec Kev pour qu'il me raconte son mois d'Août : vacances dans le sud de l'Espagne son patron ayant une grande villa à Marbella. Nous attendons l'associé d'Emma qui se fait attendre exprès, c'est un chieur ce mec ! Quand il arrive et que l'on se salut, je lui broie la main en souvenir de notre première rencontre. Pendant le diner, il est coincé entre Emma et le boss de Kev. Du coup ça le rend discret. C'est au dessert qu'Emma sort sa bombe. Elle annonce à la tablée que bientôt je serais son fils et se tournant vers son associé ajoute " avec tout ce que cela comprend question affaire ". Les deux patrons la félicite et Kev vient me faire la bise. Avant que l'associé soit revenu sur terre, le boss de Kev ajoute que c'est une bonne idée et qu'il va la creuser pour Kev et lui. Ce dernier tombe des nues, n'ayant pas encore pris la mesure de l'attachement que lui portait son boss. Même s'il est vrai qu'il est orphelin depuis déjà quelques années (ses parents l'ayant eu très tard), il n'y avait jamais pensé. Je lui confiais que moi non plus je ne savais pas cela possible avant que le notaire d'Emma me le confirme. L'associé sous le choc traite Emma et le boss de Kev de gâteux, inconscients, irresponsables... et autres nom d'oiseaux avant de prendre la porte.
La femme du deuxième invité, s'approche alors d'Emma et lui confie tout le plaisir qu'elle avait eu avec ses deux fils pendant leur enfance avant de s'apercevoir de l'ineptie de ses propos, puisque je suis déjà adulte et qu'Emma ne connaitra jamais ce type de période. Nous éclatons tous de rire, elle la première. Cela dédramatise l'ambiance plombée par le départ de l'autre con.
La soirée se passe bien avec le boss de Kev qui demande pas mal de détail sur la procédure à Emma. Kev lui est encore sur un petit nuage. Nous nous isolons quelques instants. Il me roule une pelle géante et me dit qu'il ne pourra jamais me rendre ce que je lui ai donné en lui présentant son vieux. J'ai eu beau lui dire qu'il en était entièrement responsable lui même, n'ayant fait que les mettre en contact, il n'a pas voulu en démordre.
Plaqué contre moi, il a ressenti les effets de son corps, ma bite ayant grossie à sa taille maxi. Alors que c'est plus un actif qu'un passif, il s'est agenouillé et ma fait une pipe d'enfer. N'ayant rien sous la main, il m'a bu jusqu'à la dernière goutte. Je le relevais et récupérais quelques spermatozoïdes cachés entre ses dents, puis le traitait d'inconscient. Il m'a dit que me devant tout, c'était la moindre des choses.
Nous nous sommes promis de prendre un peu de bon temps tous les deux avant qu'il ne repartent le lendemain matin.
Après que le type accompagné de sa femme nous ait quitté, Emma a emmené nos invités à leur chambre. Avant de les quitter, j'ai proposé à Kev de faire quelques longueurs à la piscine. Avec l'autorisation de nos clients et futurs parents, nous avons traversé la maison et atteint l'espèce de bâtiment/serre qui la couvre.
Les costumes ont volés et nu nous avons plongé dans l'eau à 28°. Besoin de dissiper les tension de la soirée, nous avons aligné les longueurs sans échanger de parole une bonne demi heure durant. Le premier je me suis assis sur le bord, jambes écartées et bite pendante. Kev est venu s'échouer sur moi, resté dans l'eau, il a pris appui de ses bras sur mes cuisses. Je sentais son souffle chaud sur ma queue. Ce qui n'a pas tarder à me faire bander comme un âne. Je l'ai senti appuyer plus fort sur mes cuisses et sa tête monter pour chapeauter ma bite. Puis, le plaisir de sentir mon gland puis ma queue être englobée dans la chaleur moite de sa bouche.je me couchais sur le dos, ne vivant que pour les sensations qu'il me procurait. Il est sorti de l'eau et nous avons entamé un 69, position plus facile pour réussir à avaler entier la bite de l'autre. Depuis qu'il s'est fait défoncer par Eric, Kev est frustré de ne pas se faire enculer plus souvent, son boss est exclusivement passif ! Il m'a donc demandé si je pouvais le " dépanner ". J'ai accepté à condition qu'il me saute d'abord. Kpote et gel plus tard, je me prenais avec beaucoup de plaisir ses 21cm dans le fondement. Son style d'enculage propre, me renvoyait aux premières vacances à La Palmyre. Comme promis, nous avons échangé nos places et je me suis enfoncé dans son cul. Trop bon ! Vu qu'il ne sert pas souvent, j'ai du y aller doucement dans mes premières pénétrations, même avec le gel. Mais une fois le passage fait, c'est de lui même qu'il venait s'empaler sur ma queue. Après nos explosions, lui sur le carrelage de la piscine et moi au fond de son cul, couchés cote à cote sur le dos les pieds dans l'eau, nous avons discuté de ce qui nous arrivait.
Il était encore sous le choc de l'annonce de son boss. Je lui ai dit que cela m'avait fait pareil et que j'avais tourné cela à la dérision en disant que d'une relation " prostitution " (car il ne faut pas se voiler la face, Escort-boy = pute de luxe) nous allions passer à " inceste ". Eclat de rire à mon coté, Kev n'avait pas vu ce coté que l'adoption allait entrainer. Comme je lui demandais justement comment il analysait sa relation avec son boss, il me dit qu'étant devenu son secrétaire particulier, c'était, hors périodes de sexe, assez l'état d'esprit (filial) dans lequel il était.
Nous sommes restés un bon moment sur le dos à regarder la lune au travers des grandes baies vitrées, chacun pensant aux développements à venir. Puis, nus, nos affaires sous le bras, nous avons regagné les chambres respectives de nos employeurs/parents. Je lui roulais un gros patin avant qu'il n'ouvre la porte, puis rejoignais Emma. Elle m'attendait nue sur le lit. Je me suis jeté sur elle et nous avons fait l'amour comme elle et comme moi j'aime. Sa bouche, sa chatte et son cul ont reçu la visite de mes 20 cm gonflés à fond. Nous ne nous sommes endormis qu'après que j'ai explosé et lui avoir procurer trois orgasmes.
Le lendemain matin avant le petit déjeuner, j'allais nager deux trois kilomètres. Surpris j'ai trouvé dans l'eau Kev qui avait eu la même idée et son boss assis dans un fauteuil à le regarder. Ce dernier m'a fait signe et je me suis assis à ses cotés. Il ma demandé de quoi nous avions parlé, Kev et moi, la veille car ce dernier lui avait fait l'amour comme jamais à son retour dans leur chambre. Sans dévoiler notre conversation, je lui ai dit que nous avions surtout parlé adoption et un peu de leur relation. A ce propos je lui glissais que Kev avait quand même besoin d'un minimum de liberté pour rester celui qu'il était et celui que lui avait l'air d'aimer. Il m'a regardé dans les yeux en me demandant si par là j'entendais le laisser baiser ailleurs ? je lui répondais par l'affirmatif lui assurant que ce n'était pas parce qu'il assouvirait quelques pratiques en dehors de leur couple qu'il ne l'aimerait pas pour autant. Je le laissais réfléchir la dessus et plongeais à mon tour dans l'eau. Nous n'en sommes sortis que quand Emma est arrivée, accompagnée du petit déjeuner.
Au moment de partir, le boss de Kev m'a pris par le bras et nous écartant de Kev en train de saluer Emma, m'a dit qu'il avait compris ce que j'avais voulu dire et qu'il en informerait Kev. Je le félicitais et ne put m'empêcher de lui embrasser la joue à la grande surprise des deux autres !
JARDINIER
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pourprecry · 6 months
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Je sais pas si c’est parce que c’est dimanche soir mais j’ai le blues.
C’est bizarre parce qu’en ce moment je suis hyper heureuse, entourée de pleins de potes géniaux, je passe beaucoup de temps avec ceux que j’aime mais d’un autre côté je suis malheureuse je crois.
J’arrête pas de boire de l’alcool, quasiment chaque soir, comme quand j’avais 18/19 ans. Et puis ce week end j’ai pris un taz en soirée, et même si c’était cool la soirée je me demande pourquoi je cherche toujours à me mettre davantage en danger, à prendre toujours plus de risque. Est-ce que je cherche à fuir la réalité? a fuir ma vie? a m’échapper de mon passé trop lourd à porter?
Je publie des storys sur insta, à chaque soirées, et chaque soirées c’est chaque jour. Vendredi un mec m’a envoyé un msg « tu passes ton temps dans les bars tu bosses dans quoi? ». Je crois que je cherche juste à attirer l’attention peut être, ou j’sais pas. Je sais pas si j’arrive à me comprendre, on dirait qu’il y a 2 part de moi, une qui kiffe sa vie comme si elle allait mourrir demain, et l’autre qui joue un rôle en espérant mourrir demain. Je monte dans la voiture de mon mec, après qu’il ait pris des taz et beaucoup bu, en me disant « ça va finir par un accident tout ça ». Et puis, je l’embrasse en sachant que je ne pourrai jamais lui dire tout mon passé qui me ronge.
Bref, c’est un dimanche soir. Ça ira sans doute mieux demain.
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Encore quelques heures, pour dire adieu à 2024. À une année bien remplie d'émotions de peine, de joies, d'amour. Ce soir, la solitude pour certains. Le travail pour d'autres. La fête pour vous peut-être. Alors, petit message a tout ceux qui se donnent pour sauver des vies. À ceux qui aident à améliorer nos vies. À ceux qui sont présents pour soulager et accompagner. Merci pour être là. Merci à mes amis/es pour cette année. On se croise quelques instants sur un écran, au téléphone autour d'un verre l'amitié des mots, le partage, écrire sa douleur ou son bonheur. Mais ne jamais se rencontrer,qu'il est dommage de ne pas voir votre image. Mais qu'il est tendre ce moment de partage. Amitié virtuelle, je t'écris,a la recherche d'un moment de douceur celui de te lire, bien a vous
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anticbrvtalist · 6 months
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La mort de John Balance
« Le pouvoir occulte et magnétique de l’Angleterre » ! Où donc ai-je lu ces mots ? » (Léon Bloy)[1]
Nous ne croyons pas à la mort accidentelle de John Balance ; nous pensons seulement qu’il sut prendre congé à temps. Sans doute était-il fatigué de tituber dans un monde qui meurt. Dès la fin du siècle dernier, Londres n’était plus la capitale du Royaume-Uni, mais un cratère foré par l’économie monde, plongeant à pic dans le tiède enfer du non-lieu global. Même Ian Sinclair se lassera – certes, quinze ans plus tard – de longer la M25, le London Overground, d’invoquer les esprits de son occulte psycho géographie, d’exposer aux non-initiés ses cartes imaginaires dont la topographie n’évoquera bientôt plus rien à personne. Nous fûmes victimes d’une illusion d’optique : le capitalisme ne sévit pas à l’état liquide mais gazeux : tout ce dont il a épuisé la valeur d’échange s’évapore, disparaît. Même les ruines.
            John Balance le savait : ce Londres occulte, dont il partageait la fascination avec quelques grand initiés, Allan Moore par exemple, le Londres de Jacques l’éventreur, d’Austin Osman Spare, de William Blake, d’Arthur Machen, de la Golden Dawn, de Thomas de Quincey et sa chère Ann, ce Londres s’était tout entier évanoui ; et bientôt, ferait défaut jusqu’à l’humanité encore accessible à de tels souvenirs. Il aura vu le dôme du « Millenium » émerger, les quais de la Tamise se border de buildings en verre, leur enfilade de docks, de hangars désaffectés, se muer en malls, en galeries polaires, en lofts pour yuppies. Sans doute s’effrayait-il d’y voir son avenir, d’imaginer Coil diffusé dans une quelconque annexe de la Tate Gallery, distraitement écouté par des hordes de touristes asiatiques ou de jeunes cadres apatrides de la City, sujets au burn-out, rompus au binge drinking, tous d’une désespérante tolérance. Il le devinait : jamais plus Londres ne serait « la cité des résurrections »[2]. Cette ville lui était à ce point devenue étrangère qu’il ne pouvait plus suivre à l’instinct les affluents de la Tamise, ces méandres aux propriétés magiques jadis cartographiées par John Dee : la Fleet, la Tyburn, les rivières de Stamford brook et de Walbrook. Désormais incapable de soulever les strates de l’histoire immédiate, mais toujours possédé par son Londres mythique et souterrain, John Balance se sera, à quarante ans, enterré vivant. 
L’un des derniers albums de Coil, Times machines, fut la première tentative musicale de dissoudre le cours du temps. Peut-être Balance avait-il le pressentiment d’une prochaine catastrophe dont il désirait, de toutes ses forces, différer l’avènement. Peut-être devinait-il que Londres, puis l’Angleterre tout entière, allait devenir telle qu’elle figure dans la série Black mirror : le cadre d’un nouveau cauchemar dystopique sur le point d’envahir le globe. D’instinct, en bon britannique, et donc un peu chauvin, il savait que l’Angleterre, depuis le XVIIè, énonce l’ordre du monde, Rule the world. La mission historique d’Albion s’achève, mais reste son imagination, suffisamment fertile pour nourrir les cauchemars du monde entier : « England has a black earth ».[3]
             « Les poètes sont toujours les premiers à s’en aller » remarquait Ian Sinclair. John Balance fut un précurseur : aujourd’hui, c’est le peuple britannique tout entier qui tâtonne vers la sortie, cherche machinalement son âme comme on s’assure de la présence d’un membre fantôme. Le Brexit, bien sûr, ne résoudra rien. Le Royaume-Uni, hier galion corsaire cinglant à l’avant-garde, aujourd’hui vieux rafiot à la remorque des États-Unis, tourné vers l’ailleurs, le grand large, l’Océan Pacifique peut-être, pour une dernière aventure.   
NO SOCIETY 
             John Balance, c’est avant tout l’homme en marge. Il n’eut pas assez de sa courte vie pour apprendre à se défaire du monde. Très jeune, il comprit qu’il est vain de pester contre le « système », de fantasmer un grand soir, aussi n’ayons pas le ridicule d’en faire un nouveau « suicidé de la société » : cette dernière, il sut la tenir à distance, cultivant l’art de la clandestinité, luttant constamment contre toute forme imposée ; et cette lutte lui fut source de bonheur – « Disobediance is the key of joy ». Dans la lignée d’un Pasolini ou d’un Genet, Balance vécut son homosexualité comme une malédiction, un défi, trop orgueilleux qu’il était pour quémander la reconnaissance des foules, de l’État. Pourquoi briguer une impossible normalisation, source certaine d’un supplément de souffrances ? Inutile de se rassembler, d’exiger de nouveaux droits : aujourd’hui comme hier, toute singularité draine la vindicte. Le seul acte militant de Coil, la reprise de Tainted Love assortie d’un clip horrifique, suffit, dès 1984, à écarter tout malentendu : les niais partisans de la cause arc-en-ciel, glacés, passèrent leur chemin.
                  Bien plus qu’un simple pas de côté, la vie de John Balance fut esquive, dérobade radicale. De la société, il se retrancha, mais de biais, faisant sien l’enseignement d’Austin Osman Spare : le monde ne se comprend qu’appréhendé latéralement, surtout les êtres humains, dont on ne peut saisir quelques parcelles d’âme que lorsqu’ils ne vous voient plus, vous ont oublié. Cette approche oblique strictement observée, la politique et le social ne survivent qu’à l’état de souvenir, de vague rumeur ; une rumeur, c’est-à-dire un bruit, un son, que l’on peut prélever, domestiquer, puis torturer à loisir avant de le restituer, méconnaissable, à la société épouvantée.
À force de pratiquer « l’usage agressif de la fantaisie »[4], Coil avait acquis dans certains milieux londoniens une étrange réputation qu’ils cultivaient avec malice. Christopherson, alias « Sleazy », faisait parade d’un sadisme bonhomme et discret, évoquant à mots couverts auprès d’un auditoire choisi certaines chambres de sa maison de Chipswick, une notamment, entièrement peinte en noir, les murs tapissés d’images des 120 jours de Sodome, une autre encore, où il enfermait de jeunes hommes pour les piquer d’aiguilles. Ces étranges inclinations vinrent aux oreilles du cinéaste Clive Barker qui leur offrit de composer la bande-son de son film Hellraiser avant de se rétracter, effrayé. Pourtant, à les voir, rien ne laissait deviner de telles dispositions : quelques photos nous les présentent de noir vêtus, cheveux ras, encapuchonnés dans d’informes sweat shirts, soit la défroque ordinaire de la tourbe des « teufeurs » de l’époque. C’est qu’ils étaient passés maîtres dans l’art de l’infiltration, pour preuve, dès 1991, ils avaient déjà, par les albums Love is a secret domain et The snow, corrompu la techno. Le dancefloor, par eux investi, devint expérience claustrophobique, se changea en caisse à stridences psychiatriques, infernale chambre d’échos balayée de part en part d’un souffle d’outre-tombe.
Un député tory, bien sous tous rapports, les traita de « naufrageurs de la civilisation ». « Les gens comme il faut » sont tels car inaptes à l’introspection ; n’examinant jamais leurs pensées, ils sont bien incapables d’identifier la racine d’une dé-civilisation dont ils déplorent incessamment les effets : cette passion maniaque de l’homogénéité qu’ils possèdent tous en propre. Les membres du Temple of the psychic youth, en dépit d’un mode de vie suicidaire, jalonné d’expérimentations sordides et dangereuses, eurent d’emblée le pressentiment de l’avènement d’un monde unidimensionnel, hostile à toute intériorité. « Nos ennemis sont plats » scandait P-Orridge, faisant inconsciemment écho aux paroles d’un Barrès, qui, à l’apogée de son « culte du moi », au début du XXè  siècle, déclarait : « Les barbares veulent nous fondre en série ».
MAGICK
          Coil, en anglais, signifie rouleau, spirale, nom à la fois banal et le plus occulte qui soit : la spirale est lieu de réversion, premier point d’attache des cycles qui se fondent un instant pour nier le temps ; son centre est aussi point d’infini qui abolit l’espace. Coil fut la quête de ce vide qui est puissance absolue mais aussi sens premier, originel. Effet du hasard ? le symbole de la spirale ornait déjà les couvertures de la revue Le Grand jeu, soixante-dix ans plus tôt. L’histoire révèle à périodes régulières quelques jeunes gens suffisamment mécontents pour oser, par leurs propres moyens, forcer le monde invisible à rendre son secret. John Balance s’identifiait à René Crevel mais ce serait plutôt à Roger Gilbert Lecomte qu’il faudrait le comparer, Gilbert Lecomte, comme lui poète égaré dans son inlassable quête d’« états de stupeur fixe ». (...)
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