Tumgik
#Itô Shinsui
gacougnol · 2 months
Text
Tumblr media
Itô Shinsui 伊東深水 (1898-1972)
"Tears for a Lover"
82 notes · View notes
heaveninawildflower · 3 years
Photo
Tumblr media
‘Dawn at Akashi’ (1916) by Itô Shinsui (Japanese, 1898–1972).
Woodblock print. Published by Watanabe Shôzaburô.
Image and text information courtesy MFA Boston.
44 notes · View notes
thekimonogallery · 4 years
Photo
Tumblr media
This ukiyo-e was painted in 1934 by the famous Itô Shinsui 伊東 深水 (1898-1972).
This lady is performing the Lion Dance literally named 鏡獅子 Kagami jishi (Lion Dance) 1934.
Lion dances are a symbol for new beginnings. Traditionally they are performed twice a year at a dance celebration at a Shintô shrine. But they are also part of theatre plays like in Kabuki. It is meant to chase away the evil spirits and to bring good luck.
502 notes · View notes
bosque-encantado · 3 years
Photo
Tumblr media
By Itô Shinsui
10 notes · View notes
oviri7 · 5 years
Text
Tumblr media
Itô Shinsui - Jeune femme en longue tunique de dessous
14 notes · View notes
gaikokujin-blog · 6 years
Text
Estampes japonaises modernes 1900 - 1960 à la fondation Custodia
Japonismes 2018 bat son plein à Paris, les expositions et les activités les plus diverses se succèdent voire se superposent. 
Il faut prendre le temps d’aller, toutes affaires cessantes, à la fondation Custodia, pour contempler une exposition sublime, consacrée aux estampes modernes.
A la fin du 19è siècle, avec l’ouverture du Japon à l’occident, l’ukiyo-e traverse une période de crise : elle ne fait plus recette, car les sujets qu’elle traitent paraissent désuets, et l’ouverture a apporté de nouveaux moyens de représenter le monde, des procédés de reproduction modernes qui font concurrence à la gravure sur bois. De surcroît, souvent, les graveurs japonais sont partis en Europe ou aux Etats-Unis, et ont découvert d’autres manières de concevoir et leur travail et leur rôle d’artiste.
C’est ainsi que deux nouveaux mouvements d’estampe vont voir le jour au Japon au tournant du siècle.
- Le Shin Hanga (nouvelle estampe) sous l’impulsion de l’éditeur Watanabe Shôzaburô, qui part à la recherche d’artistes capables de donner un nouveau souffle à la gravure sur bois. En même temps, la division traditionnelle du travail est conservée, et une estampe est le fruit du travail de 4 personnes : l’artiste, le graveur, l’imprimeur et l’éditeur.
- Le Sôsaku Hanga (estampe créative) qui considère au contraire que l’artiste doit maîtriser son travail créatif de bout en bout : c’est une rupture avec la tradition, sous l’influence de l’occident ; les artistes dessinent, gravent, impriment et diffusent eux-mêmes leurs estampes.
Cette exposition exceptionnelle est la première du genre en France ; la collection présentée est actuellement conservée au Nihon no Hanga à Amsterdam, et elle sera ultérieurement donnée au Rijksmuseum.
Les photos sont autorisées à l’exposition. Etant présentées sous verre, on a souvent, en plus de la photo, le reflet du photographe... Plutôt que de vous montrer tout, je vous propose un best of d’une dizaine de photos ; l’exposition en présente plus de 200 !! Exceptionnel, vraiment !
Tumblr media
Onchi Kôshirô (1890 - 1955) : Le Plongeon, 1932. L’auteur est le chef de file du sôsaku hanga ; le cadrage de l’estampe est littéralement photographique ou cinématographique. L’artiste a été influencé par l’expressionisme allemand. Cette estampe a été montée à Paris en 1934.
Tumblr media
Ishii Hakutei (1882 - 1958) : costume de bain, 1932 ; série “12 femmes modernes”. Une femme en maillot de bain, vêtement introduit en 1915 au Japon et devenu symbole immédiat de modernité. Le poème est de Saitô Mokichi : “voluptueuse, une hanche est là près de moi ; mais je ne la vois pas L’objet de mon amour semble loin, de l’autre côté de la mer”
Tumblr media
Nakagawa Isaku (1899 - 2000) : Grand massé, 1933. Une femme moderne, vêtue à l’occidentale et aux cheveux courts joue au billard !
Tumblr media
Takehisa Yumeji (1884 - 1934) : Jihei, 1916. L’artiste a été actif dans les années 20. Estampes à caractère sentimental ; il représente des personnages consumés par leurs sentiments. Ici, Jihei, personnage d’une pièce de bunraku, “suicides d’amour à Amijima”
Tumblr media
Fritz Capelari (1884 - 1950) : Femme avec un chien pékinois. Un auteur autrichien qui a rencontré des étudiants japonais à Vienne et est parti se former au Japon. La première guerre mondiale le contraint à rester au Japon, et il s’établit à Tokyo, dans le quartier d’Akasaka. Sa route croise celle de Watanabe Shôzaburô et il devient partie prenante du mouvement shin hanga. Noter le sceau de l’artiste : la date verticale à la japonaise, et une typographie art nouveau : japonisme total !
Tumblr media
Itô Shinsui (1898 - 1972) : Nuit dans la neige, 1923 ; de la série “12 nouvelles belles femmes”. Les flocons sont créés en réserve sur le fond coloré ; cette estampe est considérée comme la plus représentative de cette série vendue sur abonnement.
Tumblr media
Yoshida Hiroshi (1876 -1950) : Brume du matin au Taj Mahal, 1932. L’artiste vénérait le Taj MAhal et s’est rendu en Inde pour pouvoir l’étudier et le dessiner.
Tumblr media
Azechi Umetarô (1902 - 1999) : Pluie, 1957. Cette gravure est issue d’un calendrier créé pour Nissan. Artiste autodidacte typique du sôsaku hanga, qui voit parfois la collaboration d’artistes  et d’entreprises commerciales.
Tumblr media
Ishii Hakutei (1882 - 1958) : Yanagibashi, 1910, de la série “12 vues de Tokyo”. L’une des premières oeuvres du mouvement shin hanga, encore très classique, notamment dans les thèmes abordés. Ici, une femme / une geisha en kimono se repose après un concert de shamisen, son instrument à côté d’elle. Le détail de la cigarette suffit cependant à nous faire entrer de plain-pied dans la modernité.
Tumblr media
Kobayakawa Kiyoshi (1889 - 1948) : Danse moderne, 1934. Il y avait 28 dancings à Tokyo dans les années 20 - 30. Des compagnies de danse moderne, notamment la Vienna Dance Company se sont produites au Japon, et ont pu influencer l’artiste.
Tumblr media
Torii Kotondo (1900 - 1976) : Femme sortant d’un bain public, 1933. La femme de l’artiste.
Tumblr media
Kawase Hasui (1883 - 1957) : Le nouveau grand pont, Shin Ôhashi, 1926. Hasui, mon favori !! Et le plus connu probablement des occidentaux. Ce pont a été bâti en 1912, en acier importé et en style art nouveau. Noter la pluie battante et le pavé humide, qui rendent cette estampe totalement atmosphérique !
Tumblr media
Hashiguchi Goyô (1881 - 1921) : Femme peignant ses cheveux, 1920. Une estampe connue chez nous, d’une facture exceptionnelle, notamment dans le traitement réservé à la chevelure. L’artiste conservait une impression de cette gravure dans sa chambre d’hôpital à la fin de sa vie.
Tumblr media
Onchi Kôshirô (1890 - 1955) : La gare de Tokyo, 1945 ; série “souvenirs de Tokuo”, issue des “100 vues de Tokyo”. On reconnaît la gare en briques rouges. Cette série a été imprimée peu après l’arrivée des américains à Tokyo. Elle est destinée probablement à une clientèle étrangère.
3 notes · View notes
amore0429 · 6 years
Photo
Tumblr media
Itô Shinsui, Beauty with Flowers, 1910
5 notes · View notes
marciamattos · 7 years
Photo
Tumblr media
Depois do banho, 1918. Itô Shinsui (1898-1972) Fonte: The Art of Japon #ukiyo #sumie #theartofjapan
0 notes
Photo
Tumblr media
Itô Shinsui
Hair (Kami). 1953, woodblock print, ink and color on paper, 52 x 37.4 cm. Harvard Art Museums, US
14 notes · View notes
hototogisuu-blog · 9 years
Photo
Tumblr media
Itô Shinsui, 1898-1972 (伊東深水)
Full Moon and Flowering Branch of Cherry
1 note · View note
art-mirrors-art · 9 years
Photo
Tumblr media
Shinsui Itô - Hand mirror (1954)
31 notes · View notes
jadeseadragon · 9 years
Photo
Tumblr media
Itô Shinsui (Japanese, b. Ito Hajime, 1898 – 1972), After an Autumn Rain (detail), September 1923, ink and color on silk, 138.8  x 49.7 cm
41 notes · View notes
heaveninawildflower · 9 years
Photo
Tumblr media
‘Mount Hira, from the series ‘Eight Views of Ômi’ (1917). Woodblock print by Itô Shinsui (1898–1972). Publisher Watanabe Shôzaburô
Image and text courtesy MFA Boston.
116 notes · View notes