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#Matou en Peluche
matou-en-peluche · 5 years
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Close Encounters...Matou en Peluche
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mermaidenmystic · 3 years
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Samantha Battersby of Matou en Peluche ~ follow her on tumblr here: https://matou-en-peluche.tumblr.com
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chikette9 · 4 years
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Mon Baby Blues - Chapitre 5 [Only in French] [Here]
Extrait
La petite famille rentra au café le lendemain peu après midi. Nightmare avait les bras chargés d’affaires, Ccino portait Melancholy. Devant la porte close, le squelette aux pupilles violines posa son chargement et chercha ses clés. Il déverrouilla la porte et laissa passer Ccino en premier. Il entra à son tour et alluma la lumière (les stores étant fermés). Enfin de retour, pensait le barista.
Ils se firent accueillir en trombe par une armée de petits fauves qui avaient tant manqué au barista qui les reçut avec grande joie. Ce n’était pas le cas de Nightmare déjà bien encombré.
- Pshhhh ! Ouste ! Ouste !
Il essaya de les dégager à coup de pied mais perdit l’équilibre et tomba à la renverse. Certains d’entre eux le prirent d’assaut, se frottant contre lui ou faisant sa toilette. Nightmare n’aimait toujours pas les chats, même sous sa forme passive.
- Saleté ! Pesta-t-il.
La mésaventure eut pour le moins l’effet d’arracher un rire à Ccino.
- Ne soit pas trop dur Nighty, ils sont contents de te voir.
- Tsss !
Melancholy, confortablement installée dans les bras de sa mère, ouvrit les orbites et porta son regard sur les petites peluches vivantes. Elle gazouilla et montra son intérêt soudain en tendant ses petits bras vers le sol. Cela attira l’attention du barista. « Oh, elle semble aimer ça... » se dit-il. Lancé par une initiative, Ccino se mit à genou et présenta Melancholy aux chats pour mieux voir et interagir avec eux. La petite était émerveillée. Les petits félins s’approchèrent tout doucement du nourrisson pour la renifler. Contrairement avec le partenaire de leur maître, ils s’y prirent avec grande délicatesse. La petite laissa éclater sa joie en riant et en gigotant. Le barista commençait à trouver cela plutôt agréable. Puis vint l’imposant matou à l’effigie d’un poulpe noir et visqueux, Goopy. En le voyant le sourire de Melancholy en fut plus grand, elle avait déjà choisi son favori. Ils n’allaient pas tarder à se trouver nez à nez que Nightmare le chassa très brusquement !
- VA T’EN DE LA TOI ! T’APPROCHE PAS DU BEBE !
Les chats se dispersèrent craignant la colère de Nightmare, Goopy se permit un feulement dédaigneux avant de décamper. Sa fille, impressionnée par les cris de son père, se mit à pleurer, chose que le barista ne pouvait supporter.
- Nighty ! Tu lui as fait peur ! Reprocha-t-il à son amant.
Nightmare s’en voulut aussitôt. Il prit sa fille et la couvrit de milles câlins et baisers.
- Oh ma princesse, ce n’était pas contre toi, mais ce vilain pouilleux allait te griffer.
Des remarques désobligeantes envers ses compagnons à fourrure, il en avait entendu maintes fois sans rien dire. Mais cette fois elle ne passait pas.
- Tu sais que c’est faux ! Ils ne lui feraient jamais de mal, même Goopy ! Dit-il sèchement sur le point d’exploser.
Nightmare dévisagea Ccino, jamais il n’avait réagit comme il venait de le faire, même pendant la grossesse. Dans son esprit quelque chose clochait. Le barista n’aima pas l’air que son amant lui portait, comme si il était en colère ou écœuré.
- Tu devrais aller dormir un peu, suggéra doucement Nightmare.
Ainsi son amant le rejetait ?
- Mais Nighty…
- Va te reposer.
Le ton était plus ferme. La tension de Ccino chuta d’un seul coup, alors il ne protesta pas et s’en alla sans se retourner à l’étage. Il attrapa Goopy en chemin.
Nightmare soupira et prit soin de sa fille en faisant en sorte d’éloigner les fauves.
Dans la chambre Ccino ne prit pas le temps de se changer et se cacha sous la couette en compagnie du félin visqueux. Ce dernier se blottît contre lui pour le consoler. Le squelette était en position fœtal, agrippant son précieux compagnon. Il pleura un peu avant de s’endormir.
[...] Chapitre entier en cliquant sur le lien :)
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artist Matou en Peluche  
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artisticstuffetc · 6 years
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Paintings vlog matou-en-peluche: “The Purpose of our Love is to be Happy” - The... via Tumblr
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niccib28 · 4 years
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Love that I finally got my third of four Matou en Peluche prints up - “Millie”. This one is in my hat corner. . . #MatouenPeluche #millie #artdeco #artwork #hatcorner #cloche #hats #interiordesign #brooklyndesign #gallerywall (at Ditmas Park, Brooklyn) https://www.instagram.com/p/B_F9HnxD5PL/?igshid=1vhe4n4yewntu
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cequilaimait · 6 years
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CdV4 – 4. En route pour le sanctuaire Swiss
Il fut un temps où l’Humanité, en plein essor spatial, connut une guerre d’une violence incroyable qui mena presque à son extermination. Mais arrivant à triompher de l’adversité grâce au courage du septième Aar’on aidé de la croupe de son Kili’an, elle put assurer sa pérennité. À l’issue du conflit, la toute jeune Fédération s’empara de l’ensemble des terres contrôlées par les vaincus. Horus devint la capitale d’un nouvel empire et Lug le lieu de repos et de ressourcement de la lignée brune.
Planète de faible gravité, Lug est un royaume montagneux peuplé par une Humanité ayant évolué vers le vol, ainsi que par une espèce endémique nommée Galos. De nombreux Âminaux et Âminêtres viennent y passer leurs vacances pour glisser avec des planches en bois sur de l’H20 cristallisée. Ce loisir remontant aux origines de l’Humanité se nomme « Ski » et est réputé fort sympathique. Cependant, ce loisir n’est pas l’attrait principal de l’astre. Des créatures encore plus nombreuses s’y ruent pour y déposer dans d’immenses coffres leurs kils non déclarés à l’administration, afin que nos fonctionnaires ne les leurs piquent pas. Le meilleur endroit pour cacher ses biftons est connu sous le nom de Sanctuaire Swiss.  
Bande de montagnes rouges recouvertes de neiges blanches éternelles, le sanctuaire Swiss est un des lieux les plus sacrés de tout Vojolakta, l’endroit où les Aar’ons eux-mêmes entreposent ce qui a le plus de valeur à leurs yeux, dont parfois leur propre vie, surtout quand quelques opposants politiques cherchent à les occire. Oui, certains Aar’ons étaient des planqués. Mais ça, je n’ai pas le droit de l’écrire.
Extrait tiré de « L’Histoire de Vojolakta et des Aar’ons » du professeur Mathuz
*****
– Putain, il est kromeugnon !!! Il est KROMEUGNON !
Rarement Kili’an avait été aussi dithyrambique en observant une espèce vivante. Mais pourtant, là, l’évidence s’imposait d’elle-même : Stin était vraiment ultra choupinet. D’aveux de blond, il était même la choupinetude incarnée, ce qui justifiait largement tous les câlins qu’on pouvait vouloir lui faire.
Le voyage entre Solphéra et Soljude était plutôt long. Pour s’occuper, le jeune héros blond avait commencé à réparer son robot avant d’abandonner devant la complexité de la tâche. Après tout, Mart-0 pouvait très bien se déplacer avec sa tête sous le bras, vu qu’il était entièrement mécanisé. Essayer de la ressouder était une perte de temps que le chien de garde de l’Aar’on ne pouvait pas se permettre : il était largement prioritaire dans son emploi du temps qu’il joue avec un chat.
Encore peu habitué à sa forme humanoïde, mais s’habituant à sa nudité, Stin passa une longue partie du trajet à scruter son corps étrange et à quémander sa pâtée, comme il l’avait toujours fait quand il avait faim. En réaction de quoi Kili’an lui avait expliqué qu’il était un petit garçon de treize ou quatorze ans maintenant, et qu’il devait donc se comporter comme tel et manger avec des couverts. En réaction, le chaton avait hérissé ses cheveux.
– Je suis pas un garçon ! Je suis un chat ! Regarde mes oreilles, c’est des oreilles de chat ! Miaou !
Devant cet argument imparable, Kili’an ne pensa même pas à faire remarquer à l’animal que la frétillante protubérance qu’il secouait entre ses jambes était parfaitement humaine. Au lieu de ça, il lui offrit un bol de lait de Vash sacrée de Varaha pour contenter sa faim. Lapant le précieux liquide à quatre pattes sur le sol, Stin fit le ravissement du jeune blond qui, serrant ses deux poings près de sa bouche ébahie, craqua et sautilla partout. De toute sa vie, jamais il n’avait rencontré un être doté d’un tel potentiel dans la maitrise de la mignoniforce. Pour expliquer cette grande réceptivité à ce pouvoir capable d’attendrir jusqu’à l’Aar’on – connu quand même pour être un sacré connard –, l’adolescent en alla même jusqu’à évoquer une étrange théorie loufoque : le chaton devait forcément avoir un taux de kawaï-chloriens très supérieur à la norme, encore plus que maître pooshoo, sa peluche favorite. Ceci expliquait forcément cela. Sinon, il ne voyait pas. En tout cas, il ne croyait pas du tout aux explications soi-disant rationnelles comme quoi il aurait lui-même été infecté par un parasite de type protozoaire qui le faisait se comporter comme un débile dès qu’il croisait un félidé, dans l’espoir que le félidé le bouffe et que le parasite puisse se développer dans l’estomac de l’animal concerné. Bon, certes, Kili’an avait bien en mémoire un ou deux accidents avec un Tigr ou son Aar’on, de vilains matous qui avaient essayé de le bouffer tout cru sans qu’il ne se défende, mais de là à dire que c’était une telle infection qui causait sa stupidité, il ne fallait pas déconner. Il était né blond. C’était donc tout à fait normal qu’il souffre de naïveté et qu’il ne voit pas les mauvaises intentions chez des espèces un peu trop gourmandes.
En attendant, Stin le faisait craquer. Avec ses longues et fines jambes douces par rapport à son petit corps, ses yeux pétillants d’innocence, ses lèvres friponnes parfaitement dessinées, sa totale candeur vis-à-vis de lui-même et sa manière de jouer avec des souris en peluches, le Néko était plus adorable que nul autre être vivant dans Vojolakta. Franchement, Kili’an ne comprenait pas comment le Bottel’ron avait pu envisager de faire du mal à une merveille pareille ! Il fallait vraiment qu’il soit un monstre sans cœur…
Le summum fut atteint quand, assis sur la carlingue, Stin joignit ses deux pieds par la paume et se mit à jouer avec comme un petit enfant, faisant ressortir toute la perfection des courbes de son petit corps immaculé. Pour cacher cette merveille d’ingénuité physique qu’il ne pouvait plus voir, Kili’an lui confectionna un ©VégéPancho multicolores à partir de chute de plusieurs ©Végéscratch. Joyeux, Stin y glissa coquinement sa tête avant de repartir courir partout dans le vaisseau. Poussé par la satisfaction, ses cheveux avaient pris une belle teinte dorée.
– J’ai des habits ! J’suis un vrai garçon maintenant ! Youhou !
– Mon dieu, retenez-moi… – se lamenta Kili’an en observant son jeune compagnon grimper sur les meubles et trébucher par terre.
– Il t’exaspère car il fait le pitre ? – demanda naïvement le Kiché A’dan qui n’avait pas parlé du voyage.
– Non, parce qu’il est adorable. J’veux lui faire un câlin… J’VEUX LUI FAIRE UN CÂLIN ! Mais retenez-moi, J’VAIS LUI FAIRE UN CÂLIN !
Ne tenant plus, le chien de garde de l’Aar’on se jeta fougueusement sur le Néko pour se frotter à sa joue. Heureusement pour l’innocence du jeune chaton, le vilain cabot fut rapidement maitrisé par ses compagnons de route et privé de dessert. Enfin, au bout du long voyage, le vaisseau atterrit sur un des sommets les plus fréquentés et touristiques de Lug. Simple stratégie : le meilleur moyen de passer inaperçue était encore de se fondre dans la masse. Pour cela, avant de poser le pied à terre, Kili’an offrit un dernier cadeau à Stin, ce qui le fit rougir des joues jusqu’aux cheveux.
– C’est un ©Végésombréro. C’est pour aller avec ton ©Végéponcho, je viens de le faire avec un vieux ©Végéchapeau que j’ai amélioré. Il te permettra de cacher tes oreilles de chat et donc de passer inaperçu dans la foule. Il te plait ?
Répondant simplement « Mouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiaou ! » d’un air sincèrement touché, Stin serra amoureusement le présent dans ses bras avant de le visser sur sa tête. Habillé comme ça, il ressemblait parfaitement à un véritable petit garçon. Cela le rendait heureux. Tout comme sa découverte de la neige.
– C’est de l’eau cristallisée – expliqua Kili’an, pédagogue, à l’animal déconcerté qui semblait n’en avoir jamais vu. Comme il neige très peu sur Horus et que tu n’es jamais sorti de Thot, c’est normal si tu ne connais pas. Attention par contre, c’est assez froid.
Ouvrant ses paumes et tournant son visage vers le ciel, le chaton laissa quelques flocons se déposer et fondre sur sa peau. Son regard, empli d’émerveillement, était un peu ailleurs. À voix basse pour ne pas qu’on l’entende, il murmura l’impression qui avait gagné son cerveau.
– Je connais ça… J’en ai déjà vu… avant… Mais où ?
Plutôt que de trop réfléchir à cette énigme, Stin fit changer la couleur de ses cheveux du bleu électrique vers l’écarlate pour marquer son excitation, puis se jeta à corps perdu dans la poudreuse pour jouer. L’amusement qui le vit plonger et nager sous la neige ne dura pas bien longtemps. Oubliant un peu naïvement qu’il n’était plus recouvert de son duvet protecteur de félidé, il courut rapidement greloter dans les bras de Kili’an pour réchauffer sa peau légèrement violacée et mordu par le froid, au plus grand bonheur du blondinet qui en profita pour le frictionner de toute part et lui picorer le cou.
– J’lui fais un câlin ! J’luis fais un câlin ! Et vous pouvez rien direuh, vu qu’il est d’accoreuh !
L’argumentaire se tenait, même si Mart-0 fit remarquer à son commandant, propriétaire et ami qu’il aurait au moins pu offrir des chaussures, des moufles et un slip au chaton pour ne pas que celui-ci se les gèle. En guise de réponse, Kili’an rétorqua qu’il aurait bien voulu, lui, mais que tout son tissu disponible était passé dans le Poncho et le Sombrero, et que de toute manière, il était bien piètre couturière et que c’était même pour cela qu’il n’avait conçu que des habits simples. Donc que voilà, il ne pouvait rien faire. Il n’allait quand même pas sacrifier sa propre ©Végéstrach verte à lui pour confectionner des chaussettes et des gants à un chat, quand même ? Si ?
Si.
Ainsi protégé de la morsure de la neige, Stin pu s’amuser à courir partout à deux comme à quatre pattes en direction de l’hôtel où la petite troupe devait passer la nuit. Grommelant tout nu en arrière-plan, Kili’an, lui, traîna des pieds et fit preuve d’une certaine mauvaise volonté à avancer. Et quand Mart-0 lui demanda ce qui n’allait pas et le contrariait, il tourna simplement fièrement sa tête sur le côté en reniflant et faisant trembler sa lèvre inférieure.
– M’en fiche, d’abord. J’suis un Kili’an. J’suis immunisé au froid. Mais vous êtes méchant quand même. Après, moi, j'vais me faire punir parce que je suis à poil, et que mon Aar’on, il va encore penser que c’est parce que j’ai le feu au cul. C’est pas vrai en plus ! Regarde, quand je m’assieds sur la neige, eh bas elle fond même pas ! C’est bien la preuve, non ?
Même si la démonstration était scientifiquement inattaquable, personne n’en avait grand-chose à faire. L’important était d’avancer dans la mission que la petite troupe s’était fixée. Après trois heures de marche, la fine équipe arriva à leur lieu de villégiature. Devant une bonne fondue de fromage local, A’dan recadra le débat.
– J’ose rappeler que nous sommes venus sur cette planète pour rejoindre le sanctuaire Swiss et aider Stin à retrouver ses souvenirs, afin de sauver Vojolakta du péril Ashtars. Or, là, on est à quelques centaines de kilomètres de notre destination finale, et sans voler sur le dos de Galos, il y a très peu de chances qu’on y arrive un jour. Le coffre des Aar’on est situé au sommet de la plus haute chaine de montagnes de la planète. Si quelqu’un a un plan, c’est le moment. On fait quoi demain ?
– Moi che chai ! – répondit Kili’an la bouche pleine.
– J’peux avoir encore un peu de fromage, miaou ? – quémanda innocemment Stin en tendant son assiette du bout des bras.
– Bon, on fait quoi, alors ? – s’enquit le Kiché.
Fièrement et tout en resservant une bonne plâtrée de nourriture au chaton qui se léchait les babines, le plus blond de la tablée révéla le mystère en chuchotant.
– On va faire du ch’ki. Ch’ai touchours rêvé d’en faire ! Ch’uis chur que che pourrais être bon !
– J’peux en ravoir encore ? C’est bon le fromage !
– Oui, nan mais et le plan, c’est quoi ? – insista A’dan.
– Le plan ? Quel plan ? Moi, ch’ai chuste dit que che voulais faire du ch’ki ! Ch’est trop cool le chki ! Et ne manche pas trop, chaton ! Chu va grochir après, et l’Aar’on va enchore piquer cha crise. … Rha, arrête de me faire che regard, ch’est pas du cheux !!!! Che craque ! Tiens, finis mon achiette.
Emporté par les yeux écarquillés et le sourire d’un petit Néko qui croisait ses mains au niveau de son cou, Kili’an se savait faible. Très faible. Trop faible. Mais en même temps, putain qu’il était mignon, ce garçon. Avec un visage poupon comme ça, c’était une véritable arme d’attendrissement massif que la Fédération avait en réserve. Rien de surprenant à ce que l’Aar’on la planque au fond de ses appartements. Définitivement, Kili’an trouvait Stin un million de fois plus chou que le Kiché qui essayait de l’étrangler en le traitant de blond inutile même pas foutu de faire avancer une histoire et de sauver l’univers. A’dan était quand même particulièrement stupide. Penser pouvoir concurrencer ce petit nez tout rond avec de la violence, cela trahissait un cruel manque d’intelligence. Pas étonnant que son espèce se soit fait décimer par les Kekchis. Ils étaient complétement inutiles.
Abandonnant la lutte pour ce soir, A’dan alla se coucher. Il partageait sa chambre avec Mart-0, là où Kili’an créchait avec Stin, officiellement pour mieux le protéger des méchants, officieusement pour pouvoir le câliner toute la nuit. Ce qu’il ne manqua pas de faire.
Le lendemain matin, la bande toute entière se retrouva sur les skis. Recouvert de son ©Végéponcho, le Néko avait très fière allure. Le blondinet et sa toute nudité un peu moins, mais à sa décharge, il n’avait pas eu le temps d’aller faire les courses pour se trouver une nouvelle tenue, et puis bon, ça lui allait bien comme ça, il pouvait laisser son corps respirer un peu, il trouvait cela plutôt cool.
La première partie de la journée se passa plutôt bien. Avec son chapeau sur la tête, personne ne devina la véritable nature de Stin. L’infiltration aurait presque pu être parfaite si certains touristes n’avaient pas reconnu la croupe et le derrière du blondinet le plus lubrique de l’univers. Obligé de signer des autographes à ses nombreux fans, Kili’an envoya Mart-0 enquêter dans une auberge – il avait lu dans une bédé que c’était toujours dans les auberges qu’on trouvait des informations – sans lui préciser sur quoi il avait à enquêter, faute de le savoir lui-même. À Stin, il attribua la mission de s’amuser le plus possible et de battre son record de descente sur la piste noire. Enfin, A’dan fut chargé de trouver un moyen de rejoindre le sanctuaire Swiss au plus vite. Non, parce qu’il ne fallait pas déconner, mais jusqu’à présent, le Kiché s’était bien plus illustré par sa capacité à râler que par son utilité. Et ça, ça ne plaisait pas du tout à Kili’an, encore un peu vexé de la veille. C’était vrai, quoi. Lui, il était le chef, il ne pouvait pas ET se battre ET être beau ET avoir la classe ET sauver l’univers ET penser à tout en même temps. C’était physiologiquement impossible.
Grommelant, A’dan s’éloigna du reste de la troupe pour remplir à bien sa mission, et promit de revenir le soir avec un moyen de locomotion pour mener tout le monde jusqu’au sanctuaire Swiss. De son côté, Stin s’illustra par sa vitesse sur les pistes et par ses figures. Pour un chaton, il était brillant en délavage de pente et encore plus en espionnage espiègle.
Cela, Kili’an l’avait bien senti. Depuis qu’ils avaient posés les pieds sur Lug, d’étranges êtres les poursuivaient dans l’ombre. L’air de rien, il avait fait semblant de ne pas percevoir cette angoissante présence afin de ne pas faire céder ses camarades à la panique, sans pour autant quitter le chaton des yeux. Même éclater son groupe faisait partie de sa stratégie. Ce faisant, il donnait une fausse impression de faiblesse et de vulnérabilité. Il n’en était rien. Profitant de la noirceur de la nuit, il avait expliqué à Stin son plan pour faire sortir leurs poursuivants de leur cachette. Le rôle du chaton était de jouer les enfants innocents tout en cherchant à démasquer ceux qui lui voulaient du mal. Pour cela, toute la journée, il s’illustra en ski pour se faire remarquer et prit la pose devant les photographes en faisant le V de la victoire et en tirant sournoisement le bout de sa langue, le tout en quête de comportement suspicieux.
En tant qu’espion, Stin démontrait des aptitudes folles en tromperie et en sournoiserie. Les airs naïfs succédant aux sourires, il arriva très rapidement à dresser une liste de gens suspects : untel avait essayé de lui saisir le bras, un autre l’avait suivi toute la journée sans l’approcher, une dame avait voulu le câliner et l’attirer à l’écart avec des biscuits et des bonbons… Tel fut le rapport qu’il fit au moment de la fameuse crêpe à la confiture de myrtille venant remplir le ventre d’un jeune chat fou, qui découvrait à peine cet ingrédient dont il avait toujours été privé.
– Mais en fait, je crois surtout qu’il y a deux Ashtars qui se sont déguisés en Galos. Je dis ça parce qu’ils étaient vraiment très moches et méchants.  Les Galos, j’ai en vus pas mal, ce sont de grands oiseaux reptiliens à fourrure qui ressemble à des lions, c’est super beau, super intelligent et super pacifique. Là, ceux-là, ils étaient pas du tout comme ça. Ils étaient super laids et ils utilisaient des cadavres de Galos pour masquer leurs cornes. En plus, plusieurs fois en ski, ils ont essayé de m’attraper. Mais j’ai été plus malin qu’eux, j’suis allé me réfugier dans les seins de la dame qui voulait me faire des câlins.
Kili’an n’était pas peu fier de son jeune protégé. Ses soupçons étaient tout à fait avérés. Forcément, il était stupide de croire que le Bottel’ron lâcherait l’affaire aussi facilement. À l’heure actuelle, il le savait, il avait tout le peuple Ashtar à ses trousses pour l’empêcher de réaliser son dessein, à savoir rendre la mémoire au chaton le plu précieux de tout Vojolakta. Il fallait agir, et vite.
– Pour la dernière descente, tu vas te laisser approcher. Il faut les pousser à se révéler. Je m’occupe du reste, fais-moi confiance.
Collant la tranche de sa main droite sur sa tempe et utilisant la gauche pour se débarbouiller ses lèvres pleines de confiture – encore meilleur que le lait ou le fromage –, Stin lâcha un « Chef, miaou chef ! » de circonstance, puis repartit en courant chausser ses skis.
Miaulant à tue-tête en imaginant une musique classique dans sa petite caboche, le Néko glissa sans s’arrêter de la cime jusqu’à la vallée en évitant les arbres et les espèces extra-luguienne qui pataugeaient dans la neige.
« Miaaaaaaaaaaou, miaaaaaaaaaaaaaou, miaou, miaaaaaaaaaaaaaaaaaauou miaaaaaaou. Mi ? Miaou ? »
Coupé en pleine descente par un coup de poing sorti de nul par dans le ventre, Stin fit un vol plané de plusieurs dizaines de mètres avant de chuter lourdement dans la poudreuse. Se redressant tant bien que mal sur ses quatre membres et abandonnant son chapeau derrière lui, il sautilla avec une grande agilité en direction de l’abri le plus proche en n’hésitant pas à adresser quelques coups de griffes – ou plutôt d’ongles – particulièrement violent à ses poursuivants, démontrant ainsi ses grandes prédispositions au combat, ce qui en aurait fait un soldat de choix si l’Aar’on avait bien voulu le sortir un peu de sa tanière. Malheureusement, aussi agile soit-il, il ne pouvait fuir indéfiniment les deux ombres lancées à sa poursuite. Complétement épuisé, il s’écroula aux pieds d’un Ashtars qui l’attrapa par les cheveux et le souleva du sol en s’esclaffant.
– Tu vois, So, que je pouvais le faire ! Il suffisait d’être patient ! Regardez-moi ce mignon petit chaton à notre merci. Oh, c’est qu’elle a l’air mauvais et méchant, la sale bête, avec ses yeux de teignes. Il veut me mordre ? Pauvre chou, en reprenant ta véritable forme, tu as perdu tes crocs et…. AIE ! Ah le petit salopiot, il n’a pas perdu ses molaires…
– Arrête de jouer, Dieg. – lui intima son interlocuteur. Ne l’abime pas trop. Le Bottel’ron nous a demandé de le lui ramener vivant. Franchement, je n’aurais jamais cru que le Kili’an pourrait être assez stupide pour le laisser sans surveillance… Enfin, tant mieux pour nous ! Viens, on s’casse !
– Qui est stupide ?
Assis tranquillement sur une branche, un certain soldat blond avait assisté à toute la scène. Le sourire sur son visage trahissait un certain épanouissement, ou en tout cas, un calme sincère. Tremblant de peur en voyant se dresser devant eux le plus grand héros de Vojolakta, les deux Ashtars reculèrent, sans pour autant lâcher leur prise qui se débattait dans les bras du plus stupide du duo. Après quelques secondes de réflexion, ce fut le plus intelligent qui prit la parole en pointant le jeune Humain de son index griffu :
– Tu crois nous faire peur ? Tu n’as ni ton fleuret, ni ta ©Végéscratch sur toi. Sans fibre vivante verte, ton RP Chlorophyli est complétement inutile. Et ta force physique est largement inférieure à la nôtre. Tu dois être soit stupide, soit présomptueux pour oser vouloir nous affronter tout nu !
– J’admets… – ricana simplement Kili’an en levant les bras au ciel. Je n’ai strictement rien sur moi, même pas de poche pour y glisser mes mains. Mais mon, chaton, lui, il est habillé ! Et avec des fibres vivantes en provenance de ma ©Végéscratch à moi ! Donc qui réagissent parfaitement à mon Chlorophyli, tant qu’elles sont situées dans ma sphère focale. Et j’ai une très grande sphère focale.
Hurlant à la mort, Dieg’o lâcha Stin au sol. À peine le soldat blond avait-il claqué dans ses doigts que de multiples tissus composants les moufles, bottes et une partie du poncho du Néko s’étaient dressées comme des pointes et avaient perforé et tranché comme des lames la cuirasse du fier Ashtar, avant de s’enrouler autour de son cou et de ses bras. Soh’an, lui, eut à peine le temps de réagir pour empêcher sa tête de se décoller de ses épaules. Sautant de son arbre avec une grande aisance dans la neige, Kili’an se rapprocha de Stin pour mieux le soulever du sol dans ses bras. À moitié dénudé et la bouche entrouverte, le chaton serra le cou du héros et admira son visage. Ses yeux brillaient d’une leur verte éblouissante. Son ton était sévère et empli de colère :
– De tous les Kili’ans qui ont existé, en excluant le premier, je suis le meilleur en combat et le deuxième meilleur au lit ! Je suis le Kili’an de l’Aar’on connu sous le nom de « Merveilleux » ! Son chien de garde ! Vous pensiez vraiment que je ne remarquerais pas votre présence et que je n’établirais pas un plan pour protéger mon chaton ? Crevez, raclures ! Vos cadavres pendus en haut des montagnes seront un très bon message envoyé à votre maître le Bottel’ron !
Ça, comme le remarqua Stin en ronronnant tendrement et en laissant ses cheveux se teindre de la même couleur que les yeux du bel héros, même les fesses à l’air, ce Kili’an avait quand même une sacrée classe. Mais alors qu’il tournait le dos à ses ennemis en attendant le bon moment pour se retourner et en finir d’un seul coup, les deux Ashtars choisirent de privilégier leur vie à leur mission. En se fondant dans leurs ombres, Dieg’o et Soh’an se défirent de leurs liens et disparurent vers les cimes, faisant pester d’autant plus fort le jeune blond qu’il avait prévu des mouvements super sympas et hyper classe pour les mettre en charpie. Enfin, avec eux disparaissait aussi la menace immédiate qui pesait sur les épaules du frêle chaton, et c’était bien là le plus important.
De retour à l’hôtel, Kili’an et Stin y retrouvèrent Mart-0 et A’dan. Si le rebot était revenu bredouille – ce qui lui vit d’être chaudement félicité par son commandant, vu que c’était exactement ce que le blond attendait de lui –, le Kiché, lui, put fièrement annoncer à l’équipe qu’il avait trouvé une solution en présentant à ses camarades leur moyen de locomotion pour rejoindre le sanctuaire Swiss, en la personne d’un énorme Galos de plusieurs mètres de haut sans doute âgé de plusieurs centaines d’années.
– Je vous présente Éduan. C’est un des plus vieux représentant de son espèce encore en vie et le roi de son peuple. Il n’était encore qu’un tout jeune enfant lorsque le légendaire septième Aar’on est venu sur Lug. Je lui ai quémandé une audience dans la journée. Quand je lui ai expliqué qui vous étiez, il a immédiatement accepté de nous conduire lui-même à notre destination finale. On part demain matin.
Se prosternant devant Stin et le postérieur du Kili’an, Éduan confirma l’information. Il était un honneur pour lui de rendre service à de telles saintetés. D’abord méfiant, le blond accorda rapidement sa confiance à l’Âminal, surtout après avoir échangés ensemble quelques mots sur un précédent Kili’an qu’Éduan avait bien connu.
– Nan ? Il a vraiment sauté de ton dos en plein vol à deux kilomètres d’altitude parce qu’il avait envie de bouder? Mais il était trop fort celui-là ! Non mais team Kili’an en force, là !
– En effet. J’étais encore dans la force de l’âge dans ces temps pas si éloignés que cela. J’ai eu l’honneur de rejoindre son équipe le temps de quelques missions avant de revenir ici régner sur mon peuple, sous le contrôle de la Fédération bien entendu. Disons qu’entre ce blond et son brun, ça a toujours été un peu compliqué. Ce Kili’an était réputé pour être le plus caractériel de tous et son Aar’on était une vraie lavette qui lui passait tout et l’appelait « mon bichon ». Ah nan, mais on s’amusait bien à l’époque, dommage que ça n’ait pas duré plus longtemps. Enfin, avoir de nouveau un Kili’an sur mes épaules, cela me rappellera le bon vieux temps. Nous partons demain à l’aube en direction du sanctuaire Swiss. La première classe est sur mon dos. Pour les autres, vous monterez sur mes gardes du corps. Ah, et aussi, laissez-nous vous offrir des habits pour protéger votre sainte anatomie arrière. Il fait froid, dans le sanctuaire Swiss.
Dès les premières lueurs de Grannos, soleil de Soljude, la petite troupe se mit en route. Déployant ses ailes châtaigne gigantesques, Éduan provoqua une mini tornade à lui seul. Ses yeux fins et noirs perçaient les cieux ; son bec doré indiquait le cap. Les deux mains accrochées à son pelage fauve et gris, Stin admira les pointes des montagnes au-delà des nuages. L’air frais qui décoiffait ses cheveux bleus lui donnait l’impression de respirer vraiment, pour la première fois de sa vie de chaton.
Enfin, après plusieurs heures de vol, toute la petite troupe arriva à la cime du plus haut sommet de Lug. Sa neige blanche éternelle recouvrait ses falaises d’un rouge sang. Le soleil se couchait à l’horizon. L’air était frais, le ciel magnifique. Le seul bruit qui se faisait entendre était celui du vent qui soufflait entre les gorges.
Au sol, un homme à la barbe foisonnante et armé d’un simple bâton les accueillit avec un calme olympien. S’avançant vers Kili’an, il se prosterna devant son postérieur.
– Bienvenu dans le sanctuaire Swiss. Mon nom est Mathuz, doyen de la chaire d’Histoire aaronesque de la grande université d’Horus, en voyage d’étude dans cette contrée lointaine. C’est un honneur, pour moi, de vous rencontrer, oh divin fessier du Kili’an du quinzième Aar’on.
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jojobegood1 · 7 years
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Jackie and His Elephants
Comment résister ? Jackie est un adorable chaton roux et blanc auquel il est vraiment difficile de résister tant il est chou ! Récemment, ses humains lui ont rapporté deux peluches en forme d'éléphant. Un cadeau qui visiblement plait beaucoup au petit matou qui passe de longs moments à câliner ses peluches pour notre plus grand plaisir.
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viaglamour · 6 years
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A savoir
Lorsqu'ils visitent les boutiques en ligne, les acheteurs recherchent souvent des aires de jeux pour félin, un griffoire pour leur chaton, un grand arbre à chat pas cher, ou bien comment fabriquer un grattoir design pour son animal domestique. Notez qu'il existe de nombreuses promotion et réductions qui permettent de baisser sensiblement le prix d'achat de votre arbre à chat car c'est un investissement assez conséquent pour certains propriétaires ! Vous ne savez pas ou passer votre commande ? Après une recherche approfondie sur plusieurs sites, nous avons constaté que les arbres à chat les plus abordables sont vendus sur Amazon, Cdiscount, Ikea, Animalis, Truffaut, Gamm Vert et Jardiland.
Les chats, un compagnon de l'homme depuis des millénaires
Le chat est un mammifère carnivore de la famille des félinidés. Des grands félins comme le lion, jusqu'au petit chat domestique, tous appartiennent à la même espèce. Le chat domestique est apparut très tôt chez nos ancêtres. Chaton, il adore jouer mais , avec l'âge, il devient de plus en plus solitaire. Le chat domestique est un cousin du chat sauvage. Il existe de nombreuses races de chats, mais la seule différence visible entre eux est la couleur et la texture de leur fourrure. A sa naissance, le chaton a tous les mirette bleus mais ce coloris n'est pas durable. chat-mignon.jpg Son odorat est soixante fois plus développé que celui de l'être humain et il peut sentir une proie ou de la nourriture périmée ou contenant du poison. Ses moustaches lui sont très pratiques pour détecter la proximité d'un objet ou pour sentir son environnement félin. Chez les félins, on appelle le mâle un chat, la femelle une chatte et les bébés : les chatons. La maturité chez tous les chats parvient normalement vers l'âge de neuf mois. La chatte s'accouple de nombreuses fois avec des chats différents, ce qui démontre que dans une portée il peut y avoir des chatons de différentes couleurs et de différentes races. La gestation dure 60 jours et pendant ce temps là, la chatte reste tranquille pendant un long moment. Elle procrée généralement de 4 à 5 chatons. Le petit chaton naît aveugle et sourd. Le chat se repose environ 15 heures par jour. Il chassera ses proies surtout la nuit, surtout les souris, mulots et autres petits rongeurs car les chats sont avant tout des prédateurs naturels et avertis. Il est important de préciser que les chats, qu'ils soient mâles ou femelles, apprécient particulièrement les divertissements félins comme les fameux arbre à chats !
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matou-en-peluche · 5 years
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Let’s Learn French with the cat! (Part One) - Matou en Peluche
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missloveschic · 7 years
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The illustrator Matou en peluche
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mermaidenmystic · 3 years
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Samantha Battersby of Matou en Peluche ~ follow her on tumblr here: https://matou-en-peluche.tumblr.com
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artisticstuffetc · 7 years
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Paintings vlog felixinclusis: matou-en-peluche: Quint Buchholz The Cat’s... via Tumblr
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sosuperawesome · 10 years
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Matou en Peluche on Etsy
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