Tumgik
#Ne perdez plus de
nwaycorp · 1 year
Text
Razclean™- #tondeuse tout-en-un idéal pour #hommes
lien : https://inmyshop.fr/products/razclean-tondeuse-tout-en-un-pour-homme
Avec RazClean, vous aller pouvoir :
. Obtenir un #rasage parfait en un seul passage
. Économisez du temps et de l'argent
. Beneficier d'une une expérience de rasage ultime, sans tracas ni irritation.
. Dire #adieu aux rasoirs multiples et bonjour à la simplicité
. Avoir un rasage précis, lisse et confortable.
Ne perdez plus de #temps et d' #argent en achetant des #rasoirs jetables.
Commandez RazClean™ notre #rasoir électrique pour hommes lavable et rechargeable prour #profiter d'une #expérience de rasage supérieure et économique.
Commandez dès maintenant et découvrez la différence !
1 note · View note
timenodiri · 2 years
Text
Harnais chat mode d'emploi lave vaisselle
n Vaisselle 200 / 300mm 250 / 400mm réglable
Accessoire de nourrissage pliable, lavable au lave-vaisselle, plusieurs tailles disponibles, Harnais chat et chaton avec laisse à clip ROSE Trixie.This Harnais et sacs à dos pour animaux item by YupCollars has 108 favorites Donc la partie du cou ne peut pas si bien s'adapter au cou de mon chat,
‎1 · ‎Lavage en machine · ‎Veuillez laisser la vaisselle et la laisse sécher et ne pas être surveillée · ‎Extérieur · ‎Non.
</p><br>https://qeqodavuni.tumblr.com/post/694292509112893440/rapport-sur-la-situation-mondiale-des-maladies-non, https://timenodiri.tumblr.com/post/694292739144171520/mode-d-emploi-s8-samsung, https://timenodiri.tumblr.com/post/694290821490540544/notice-dacia-sandero-2009, https://qeqodavuni.tumblr.com/post/694288337247289344/notice-bbox-ultym, https://timenodiri.tumblr.com/post/694292630845145088/emploi-sauveteur-aquatique.
0 notes
lisaalmeida · 3 months
Text
Vivre d'Amour,
C'est donner sans mesure
Sans réclamer de salaire ici-bas
Ah! sans compter je donne étant bien sûre
Que lorsqu'on aime, on ne calcule pas.
Au Cœur Divin, débordant de tendresse
J'ai tout donné, légèrement je cours
Je n'ai plus rien que ma seule richesse
Vivre d'Amour
Vivre d'Amour,
C'est bannir toute crainte
Tout souvenir des fautes du passé
De mes péchés je ne vois nulle empreinte,
En un instant l'amour a tout brûlé
Flamme divine, ô très douce Fournaise!
En ton foyer je fixe mon séjour
C'est en tes feux que je chante à mon aise
Je vis d'Amour
Vivre d'Amour, c'est garder en soi-même
Un grand trésor en un vase mortel
Mon Bien-Aimé, ma faiblesse est extrême
Ah je suis loin d'être un ange du ciel!
Mais si je tombe à chaque heure qui passe
Me relevant tu viens à mon secours,
A chaque instant tu me donnes ta grâce
Je vis d'Amour
Vivre d'Amour, c'est naviguer sans cesse
Semant la paix, la joie dans tous les cœurs
Pilote Aimé, la Charité me presse
Car je te vois dans les âmes mes soeurs
La Charité voilà ma seule étoile
A sa clarté je vogue sans détour
J'ai ma devise écrite sur ma voile:
Vivre d'Amour
Vivre d'Amour, quelle étrange folie!
Me dit le monde Ah! cessez de chanter,
Ne perdez pas vos parfums, votre vie,
Utilement sachez les employer!
A des amants, il faut la solitude
Un cœur à cœur qui dure nuit et jour
Ton seul regard fait ma béatitude
Je meurs d'Amour!
Mourir d'Amour, voilà mon espérance
Quand je verrai se briser mes liens
Mon Dieu sera ma Grande Récompense
Je ne veux point posséder d'autres biens
De son Amour je veux être embrasée
Je veux le voir, m'unir à lui toujours
Voilà mon Ciel, voilà ma destinée
Vivre d'Amour...
NATASHA ST-PIER
Tumblr media
48 notes · View notes
leseffrontesfr · 8 months
Text
Tumblr media
— Alphonse, cher maître, puis-je vous importuner dans votre travail ? — Mais entrez-donc, mon ami. Vous êtes venu accompagné ? — Point du tout ! C’est par coïncidence que Mademoiselle se présente à votre porte au moment où j’y frappe. — Monsieur Fauré, je dois vous parler ! — Vous êtes ? — Séraphine Lampion. Avez-vous une bouilloire ? — En effet, elle se trouve sur le poêle. J’en suis pleinement satisfait. Inutile de m’en vendre une nouvelle. — Je vais faire du thé. — Et bien faites. Et vous, mon cher Hypolite, quel bon vent vous amène ? — Une brise toute joyeuse ! J’ai été chargé par la Société des Artistes Méridionaux de la rédaction du catalogue de la prochaine exposition. La curiosité et une impatience toute enfantine m’ont portées jusqu’à votre atelier pour connaître les œuvres dont vous voudrez bien nous honorer. — Voilà une fort bonne nouvelle ! Je mets justement la dernière touche à… — Où rangez-vous les tasses ? — Dans la petite armoire chinoise, Mademoiselle. Près de la fenêtre. — Ah ? Quelle drôle d’idée. Vous n’avez que du thé noir ? — Oui, je m’en excuse. Je vous disais, mon cher Hypolite, que je mets la dernière touche à un magnifique bouquet de violettes qui fera oublier mes mimosas de l’exposition précédente. — Comment serait-ce possible ? Vos mimosas étaient si beaux qu’on croyait en sentir le parfum ! — C’est l’excellent indigo de chez Viollet-Roze qui m’a inspiré une toute nouvelle combinaison de nuances. Un ange a dû guider ma main pour me faire accomplir ce prodige chromatique ! — Je me réjouis d’avance de le contempler… Mais… Mais… Mademoiselle ? Votre robe tombe il me semble… — Vous n’avez pas de sucre non plus ? Pas de miel ? Il va être raide mon thé. — Ma parole vous voilà dénudée ! Perdez-vous toute pudeur ? — La pudeur ! Dans un atelier de peintre où défilent les modèles tirés du caniveau entrent deux séances de passe ! Que les hommes sont hypocrites ! — Je ne peins que des fleurs, des paysages et quelques fois des visages. Je le jure ! Dites-lui, Hypolite. — Jamais Alphonse ne s’est adonné à la peinture licencieuse, Mademoiselle, pas même au genre mythologique ou allégorique. Votre reproche est infondé. — Les hommes sont tous les mêmes. C’est pour cela que vous avez besoin de moi, Alphonse. Ce n’est pas en peignant des coquelicots dans un champs ou des nymphéas sur une mare que vous deviendrez célèbre. — Je suis sûr que mes violettes toulousaines marqueront tous les amoureux des fleurs et du Bel Art ! — Et pourquoi pas des tournesols fanés dans un vase en terre cuite, tant que vous y êtes ? Non, Alphonse, si vous voulez passer à la postérité, il vous faut peindre un nu. Voici mon nu, peignez-le. — Je… je ne sais que dire, Mademoiselle Séraphine. C’est un très beau nu. Votre offre est généreuse, mais je ne puis. Ce n’est pas moi, ce n’est pas mon art. D’autres peintres savent mieux que moi peindre ce genre de… ce genre là. — Je n’offre pas, je vous commande. Regardez ça… Et ça… Ah, vous regardez, cochon ! Alors peignez. Faites-moi belle et désirable, qu’on ne parle que de moi sur le Capitole. — Hypolite, que dois-je faire ? Est-elle folle ? — Je ne crois pas. Un peu plus impudente que les femmes de son temps, mais guère plus que les romaines des antiques orgies. Qui sait ? Un jour, sûrement, chaque jeune femme voudra que sa photographie soit exposée au monde entier. Dans quelle tenue ? Je n’ose l’imaginer. Il faut prendre en pitié les hommes des temps futurs, s’ils aiment encore les fleurs. Peignez-donc la scène, puisque Mademoiselle vous le demande. Quelle jolie vision que le tourbillon du thé…
14 notes · View notes
Text
Tumblr media
En cette année de grâce 1993, dans un coin paumé de l’hexagone, la maison « Salaisons des Îles » ferma ses portes, non sans un soupir de soulagement des cochons alentour. Fondée en 1954 par un homme qui croyait dur comme fer que la charcuterie était l'avenir de l'homme, la boutique avait connu des jours de gloire et des nuits d’ivresse, où les saucissons se balançaient au plafond comme des pendus, mais en moins tragique. Pierre, le fondateur, était un homme de goût, un esthète de l'andouillette, un poète du pâté de campagne, un Rimbaud de la rillette. Son magasin était son œuvre, son chef-d'œuvre, son « Guernica » à lui, une espèce de Louvre du lardon. Mais voilà, les temps changent plus vite que les bactéries prolifèrent dans un pâté de foie, les artères se bouchent, et les préoccupations écologiques s’immiscent dans l’esprit des consommateurs. La légende raconte qu'avant de tourner la clé dans la serrure pour la dernière fois, Pierre aurait lâché une larme – sûrement une perle de graisse condensée – et avec elle, une dernière parole : « Salut, tas de veaux. Vous ne savez pas ce que vous perdez. Allez, à la revoyure, et si le ventre vous gargouille, n'oubliez pas de mâcher du côté où vous avez encore des dents. » La devanture, aujourd'hui, se dresse encore, fière et décrépite, comme un vieux comptoir de bar abandonné où les échos des dernières tournées n'en finissent plus de se dissiper. Elle porte les cicatrices du temps et la poussière d'un monde qui a tourné la page sur le gras et le sel. Dans cette ruelle, si l'on tend l'oreille, on peut encore entendre l'écho des conversations, des rires gras et des couteaux qui tranchent le jambon. C’est un morceau d’histoire, une tranche de vie, une odeur oubliée. Et si vous passez par là, respirez un grand coup, vous sentirez peut-être, portée par le vent, l’odeur d’un saucisson bien poivré, et peut-être même que vous verrez l'ombre de Pierre, dos tourné à son royaume des carnivores, prêt à faire ripaille de ses souvenirs saumurés.
18 notes · View notes
frisquette27 · 9 months
Text
Bonjour à tous !!
Voici enfin le chapitre 4 de UN PHILTRE SANS PHILTRE
Comme d'habitude ce n'est pas de la grande écriture (mais moi je m'amuse beaucoup) un grand merci à @miung-dreamer et à @kamomille9 pour leur soutien sur cette histoire :)
UN PHILTRE SANS PHILTRE : CHAPITRE 4
Un silence pesant régnait dans la pièce, le Roi légèrement avachi sur sa chaise attendait avec anxiété les remontrances de sa mère et de son horrible tante qui tardaient à venir ce qui ne présageait rien de bon, et pour clore le tableau ses beaux-parents les avaient rejoints dans la salle à manger. Il avait autre chose à gérer aujourd’hui, enfin surtout quelqu’un à gérer et ce n’était pas une sinécure. Le repas fut rapidement servi, aucun des serviteurs ne voulait s’attarder dans la pièce tellement l’ambiance était glaciale. La Tante d’Arthur posa bruyamment son verre et d’un air dédaigneux s’adressa directement au couple royal de Carmèlide.
« Donc vous devez être ravi, vous voilà à nouveau les beaux-parents du Roi de Bretagne, comme quoi les mariages mènent à tout »
Elle se tourna vers son neveu et toujours sur le même ton.
« D’ailleurs faudra m’expliquer pourquoi vous êtes allez la chercher l’autre cruche, elle n’était pas bien dans sa forêt ! »
« Oh l’autre cruche comme vous dites c’est ma fille ! »
« Et alors vous pensez que cela m’impressionne, et d’ailleurs on voit que vous l’avez bien éduqué votre fille, elle a le culot de ne pas venir nous saluer, elle se prend pour qui ? »
« La Reine de Bretagne » répondit sobrement Arthur
Avant que les sœurs de Tintagel puissent répondre la porte s’ouvrit avec fracas sur ladite Reine de Bretagne. Elle avait pris le temps de se changer avant de venir certes ce n’était pas la jolie robe quelle arborait ce matin mais ce n’était pas une de ses tenues habituelles d’apparat de Reine. Elle avait opté pour une robe légère qui épousait parfaitement ses formes.
Elle s’assit en silence à côté de sa belle-mère, Arthur s’était redressé sur son siège vivement à son arrivée. Oh pourvu qu’elle ait pris la tisane des enchanteurs se dit-il. Elle sourit et s’adressa timidement à Dame Ygerne.
« Je vous prie de m’excuser de mon retard Mesdames, je suis vraiment navré, j’ai eu ..une urgence et … »
« Une urgence de quoi, de broderie, vous n’allez pas me faire croire ma pauvre fille que vous ayez quoi que ce soit d’urgent dans votre vie ou ne serait-ce d’important » coupa Dame Cryda
« Vous n’avez aucun sens de la bienséance, quand vous recevez des personnes importantes vous devez au minimum vous présentez à eux dès leurs arrivés »
« Je pense que vous perdez votre temps ma sœur, une idiote pareille ne peux pas comprendre, d’ailleurs stupide comme elle est, je suis surprise qu’elle soit encore en vie, elle doit oublier souvent de respirer »
Guenièvre ne bougeait pas, un sourire sur les lèvres, elle encaissait les piques les unes derrières les autres. Arthur était soulagé à priori le remède devait fonctionner, il retrouvait sa femme timide. En vrai Guenièvre ne se laissait pas toucher par les propos de sa belle-famille, certes la tisane avait calmé son euphorie mais elle avait toujours la sensation d’être libre dans sa tête en tout cas plus libre que d’habitude. Donc elle se fichait royalement ce que vous pouvez dire ces deux mégères, elle se contentait de sourire, de toute façon elles seraient bientôt parties donc pas de vague, surtout pas de vague. Elle avait cessé de les écouter puis elle comprit que les insultes avaient changé de cible et son humeur changea, la colère revenait au grand galop. Elle serrait les poings sous la table, elle devait se retenir.
« Qu’est ce que vous voulez ma chère sœur avec un guignol pareil, on ne pouvait pas s’attendre à autre chose, de toute façon je vous l’ai toujours dit un batard reste un batard »
La reine se mit à remplir excessivement son assiette, le visage fermé, extrêmement concentré à ne pas craquer.
« Ben qu’est ce qu’elle nous fait celle là encore, vous avez perdu du poids pendant votre petite escapade et du coup vous comptez vous rattraper, de toute façon oublié, vous ne plairez jamais à l’autre pignouf » dit Dame Cryda puis en s ‘adressant au Roi « Parce que ça aussi vous n’êtes pas capable de le faire, ben oui l’héritier, en même temps quand on vous voit on comprend qu’il ne vaut mieux pas se reproduire, il pourrait être aussi minable que vous. Vous nous avez toujours fait honte ! D’ailleurs vous êtes bien un enfant non désiré, qui voudrait d’un enfant comme vous ! »
S’en était trop pour Guenièvre, elle se leva vivement de sa chaise tout en attrapant son assiette
« Oh mais vous avez raison Dame Cryda, mon assiette est vraiment trop pleine, stupide comme je suis je vais être obligé de tout jeter à la poubelle » dit Guenièvre exagérément gaie, se caricaturant elle-même.
Elle se plaça derrière Dame Cryda et renversa tout le contenu de son assiette sur la tante d’Arthur qui poussa un cri d’effroi.
« Ben quoi ! » dit la Reine alors que Dame Cryda se levait en hurlant « j’ai jeté à la poubelle ..parce que c’est ce que vous êtes une poubelle, vu toute les ordures qui sortent de votre bouche »
« Mais vous n’êtes pas bien ma pauvre fille »
« Alors je vais faire très simple puisque à priori je suis stupide alors vous ouvrez grand vos oreilles car je ne me répèterais pas, vous dites encore une fois, une seule fois du mal d’Arthur et ce n’est pas de la nourriture que vous prendrez dans la figure mais mon poing »
Le Roi s’était levé choqué par la scène mais il ne put s’empêcher de sourire à la situation, à priori la potion devait encore faire effet mais il était touché que sa femme ai pris sa défense. Elle avait encaissé toutes les critiques qui la concernait mais n’avait pas supporté que l’on dise du mal de lui. Une chaleur tourna dans son ventre, il repensa au baiser dans le laboratoire, la chaleur atteint ses joues. Il allait de surprise en surprise aujourd’hui, il devait se l’avouer ce n’était pas pour lui déplaire.
Plus il la regardait, plus il la trouvait jolie sa femme, oui SA femme, il avait quand même de la chance de l’avoir avec lui dans le fourbi que pouvait être sa vie. Il regrettait de plus en plus son serment, d’ailleurs pourquoi se raccrochait il encore à ce serment. Il fut coupé dans ses pensée par sa mère.
« Et vous ! Vous ne dites rien, vous la laisser faire, vous la laissez nous parler de la sorte, jamais du temps d’Uther une telle chose se …. »
« Ah non » la coupa la jeune femme « Vous n’allez pas encore nous bassiner avec votre Uther, vous n’avez que ce nom à la bouche, franchement après tout ce que j’ai entendu sur lui on ne peut pas dire que c’était quelqu’un si bien que ça. Et puis Zut vous avez raison, on ne peut pas comparer Arthur à votre fabuleux Uther, oui on ne peut pas comparer le meilleur Roi que la bretagne est connue à un tyran. Arthur vaut mieux que dix de vos Uther, Arthur il est intelligent, juste, gentil et même très beau enfin vous … vous devriez être fière d’être sa mère, Voilà !»
La mère d’Arthur se rassit indiquant par un geste de faire de même à sa sœur.
« Celle-là, je ne l’avais pas vu venir depuis quand avez-vous ce genre de caractère ? Non ne vous m’éprenez pas j’apprécie qu’une reine ne soit pas une petite chose sans défense mais disons que vous passez d’un extrême à l’autre »
Guenièvre tendit une serviette à dame Cryda tout en montrant sa propre joue.
« Vous ferez attention vous en avez un peu là ! Ce n’est pas que votre compagnie est désagréable en vrai si elle est désagréable mais bon j’ai autre chose à faire »
Elle sentait bien que les effets de la potion revenaient au galop, elle préférait pour le bien être du Royaume de s’éloigner des deux femmes. Elle partit donc sans un geste ou surtout une parole supplémentaire. Arthur voulu la rattraper mais le bras de sa mère l’obligea à se rassoir.
« Vous la verrez plus tard, nous n’avons pas fait toute cette route pour une simple visite de courtoisie, nous devons discuter, vous devenez de moins en moins populaire auprès du peuple. »
« Ah ben tiens ça faisait longtemps, et vu que je suis un gros guignol du coup que dois-je faire pour que ma cote de popularité remonte »
« Ne le prenez pas comme ça » dit sa mère
« Vous devez replanter l’épée » dit Dame Cryda
« Cela rappellera que vous êtes le Roi » enchaina sa mère
« Non, mais ça va bien, je suis le Roi, j’ai pas à leur rappeler toutes les cinq minutes à toutes cette bande crétin »
« Dans ce cas il n’y a pas trente six solutions, il faut un héritier »
« Ben pour une fois je suis bien d’accord avec vous, on ne va pas l’attendre cent sept ans l’héritier » répliqua Dame Séli
Arthur s’était adossé à son siège, n’écoutant plus la conversation entre sa mère et sa belle-mère, perdu totalement dans ses pensées. Un héritier, avoir un enfant avec sa femme, ce n’était pas la première fois qu’il pensait aux conséquences de son serment, au-delà de la distance qu’il avait dû instaurer entre lui et sa femme, ne pas avoir d’héritier était la conséquence qui le taraudait le plus. Pourtant aujourd’hui plus que les autres, il se demandait si n’était vraiment pas le moment de dire adieu à son ancienne vie et de renoncer à son serment. Cela le tentait quand même beaucoup d’avoir un enfant et surtout avec sa femme. Le souvenir de leur baiser dans le laboratoire le hantait, il devait aller retrouver rapidement sa femme.
Au détour d’un couloir Guenièvre tomba sur sa suivante, elle avait les joues rosies, les yeux brillants
« Oh ma Reine » Angharad fondit en larme
Oubliant toute retenue la Reine la prit dans ses bras, lui caressant les cheveux affectueusement.
« Ne vous mettez pas dans des états pareils, qu’est ce qui ne va pas ? »
« Non ma Reine, tout va bien, même très bien, je pleure de joie et c’est à vous que je dois ce bonheur » 
« Oh ! » comprit elle « Il vous a demandé en mariage ! »
« Oui, oui » répondit Angharad tout en fondant de nouveau en larmes.
« Oh mais ne pleurez plus c’est merveilleux, vous allez épouser l’homme que vous aimez. Vous allez devenir une femme de chevalier. Oh mais c’est merveilleux vous allez pouvoir être officiellement mon amie »
« Vous allez devoir me trouver une remplaçante, je suis vraiment désolé du désagrément Madame »
« Ne vous inquiétez pas pour ça ! J’ai déjà ma petite idée » dit-elle en riant
Elle relâcha sa suivante et recula vivement, ce qui fit sursauter cette dernière. La Reine était prise tout à coup d’un doute, si le projet idiot des seigneur Perceval et Karadoc était mené à bien, Angharad devra quitter le château pour suivre son mari. Ah non, elle n’allait pas perdre son amie la plus fidèle, mais empêcher la création de ce clan autonome signifiait que l’autre morue restait au château. Cela revenait à choisir entre son amie et son ennemie. Le registre, oui c’est ça le registre pourquoi elle n’y avait pas pensé avant.
« Angharad, il faut que je parle absolument à votre fiancé. Ou est-il ? »
« Parti en mission avec le seigneur Karadoc »
Bon à la taverne quoi ! se dit la Reine, elle n’allait quand même pas aller à la taverne toute seule. Oh et puis pourquoi pas. Elle laissa en plan sa suivante et parti en courant vers les écuries.
13 notes · View notes
Text
Remplis de diplômes et incapable d'exécuter les ordres. Des Masters en voici en voilà et personne ne veulent les embaucher à juste titre, seulement une place de second rôle par pitié où plus tôt pour rendre service à une entreprise dont on est actionnaire. Et vous vous croyez indispensables. Qui veulent de ces déchets à part les lèches culs que vous êtes. Évidemment votre poste de travail est précieux car si vous le perdez honte à vous. Et il y a les indispensables de la société qui font vos bases besognes, et vous êtes là droit devant nous et vous nous toiser avec vôtre rire moqueur en stipulant hautement de quelle manière nous devons exécuter les tâches qui nous sont confiées. Mais nous le savons pas besoin de conseils et faîtes les vous même, cependant vous ne le savez pas. Mais nous sommes multitâches nous vivons nous avons réussi. Vous n'êtes que des nuisibles et que faîtes t'on des nuisibles ???
J'en ai plus besoin
Tumblr media
10 notes · View notes
les-portes-du-sud · 10 months
Text
La lumière sous la porte
13.08.2023
Vous êtes attiré par le noir. Vous aimez vous y perdre
A tel point que souvent vous n'allumez pas la lumière quand il fait noir
Mais à un moment vous voulez fixer la lumière de la pièce d'à côté qui filtre sous la porte
Mais elle ne semble pas entière non plus.
Vous êtes toujours à la recherche de choses que vous ne trouverez pas dans votre chambre, sous votre lit, ou derrière la porte, des choses que vous ne pouvez acheter nulle part, ni vous procurer facilement, des choses qui vous ont été volées.. comme les sentiments, la tranquillité, et votre coeur..
Vous perdez du temps et vous allumez une cigarette . Et la flamme du briquet éclaire momentanément la pièce. Vous rapprochez le cendrier de vous.
Maintenant, vous ne pouvez voir la chaleur de la cigarette que dans l'obscurité absolue
Mais elle ne semble pas entière non plus.
Vous ne voyez pas les cendres qui tombent sur vous
Vous vous réveillez le lendemain matin sale.
Confus et étourdi. Quand comprendrez-vous comment?
Vous ne pouvez nier la lumière.
Mais cela ne veut pas dire que vous n'en avez pas besoin.
Les-portes-du-sud
11 notes · View notes
smartway2000 · 2 months
Text
Conditionnel Passé Exercices [ Conjugaison de 20 verbes ]
Tumblr media
Le conditionnel passé est utilisé pour exprimer une action qui aurait pu arriver mais qui n'a pas eu lieu, un regret ou un reproche.
Le conditionnel passé se forme avec l'auxiliaire avoir ou être au conditionnel présent, suivi du participe passé du verbe.
Ne perdez plus de temps et commencez dès maintenant à perfectionner votre maîtrise de la conjugaison des verbes au conditionnel passé.
Pour voir la vidéo cliquez ici YouTube
2 notes · View notes
ferrasufe · 2 months
Text
Beauté, mon bon souci, de qui l'âme incertaine
A comme l'océan son flux et son reflux
Pensez de vous résoudre à soulager ma peine
Ou je me vais résoudre à ne la souffrir plus.
Vos yeux ont des apppas que j'aime et que je prise,
Et qui peuvent beaucoup dessus ma liberté
Mais pour me retenir s'ils font cas de ma prise,
Il leur faut de l'amour autant que de beauté.
Quand je pense être au point que cela s'accomplisse,
Quelque excuse toujours, en empêche l'effet :
C'est la toile sans fin de la femme d'Ulysse,
Dont l'ouvrage du soir au matin se défait.
Madame, avisez y, vous perdez votre gloire
De me l'avoir promis et vous rire de moi,
S'il ne vous en souvient vous manquez de mémoire,
Et s'il vous en souvient vous n'avez point de foi.
J'avais toujours fait compte, aimant chose si haute,
De ne m'en séparer qu'avecque le trépas,
S'il arrive autrement ce sera votre faute,
De faire des serments et ne les tenir pas.
Malherbes, Poésies "Dessein de quitter une dame qui ne le contentait que de promesse"
6 notes · View notes
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
3. ETAPE 3. LE PROJET DE MEMOIRE.
Une fois toutes les confusions entre sujet et thème de mémoire levées, le travail de recherche exploratoire effectué, il est temps pour toi de commencer à construire ta réflexion sur le problème que tu comptes étudier. Les lectures t'ont permis de situer le thème dans un continuum théorique et tes entretiens exploratoires avec des experts t'ont aidé à mieux cadrer les orientations futures de ta recherche.
Le moment est venu donc de présenter tes intentions de recherche à ton encadreur. Le projet est donc en réalité une ébauche de l'idée encore vague que nous nous faisons du sujet/thème.
Cette ébauche constitue une réflexion qui pose les bases de l'étude que nous entamons en s'appuyant sur de références théoriques et empiriques qui donnent plus de consistance et de légitimité à ton travail.
De manière simplifiée, je conseille aux étudiants de construire le projet selon la démarche suivante:
- Question de depart
- Contexte théorique de la recherche
- Contexte empirique de la recherche
- Problématique
- Objectifs de la recherche
- Hypothèses de recherche
- Méthodologie envisagée (quali ou quanti)
- Bibliographie sommaire.
Sachez que toutes ces parties ne sont encore que des ébauches. Donc ne cherchez pas à impressionner le prof ou à vous stresser pour produire un texte qui frôle la perfection. Donc ne perdez pas de temps dans la rédaction du projet. Exprimez simplement vos intentions de manière claire et permettre à votre encadreur de comprendre ce que vous souhaitez faire.
Conseils:
Soyez le plus simple possible dans votre écriture. Évitez les mots et expressions superflus ou sophistiqués et les phrases kilométriques. Considérez que votre travail est destiné non pas à des experts mais à des non initiés au domaine. Ainsi, avec cette posture, vous ne négligerez point d'expliciter vos idées des lors qu'elles sont trop théoriques ou qu'elles fassent référence à des thématiques qui peuvent vous sembler évidentes mais qui pour le lecteur sont totalement inconnues.
NB : J'ai prévu de faire une vidéo dans laquelle je vous donnerai des astuces simples pour bien réussir cet exercice qu'est le projet de mémoire.
Pour plus de précisions, n'hésitez pas à m'écrire : [email protected] ou me contacter par whatsapp au +221 77 697 26 54
2 notes · View notes
jeanchrisosme · 1 year
Quote
Soyez amoureux, Crevez vous d'amour. Ne restez pas de marbre, Hermétique, blindé. Ouvrez vous, offrez vous. Le temps passe vite, et tous ceux qui attendent trop pour aimer, ont soit des remords, soit des regrets. Faites chauffer le coeur. Faites le voler haut. Faites le éclater sous les battements. Faites le vibrer aussi intensément que possible. Appréciez vos larmes de chagrin, Elles vérifient votre état de vie. Il y a autant d'amour que de jours possibles. Des beaux et des terribles. Mais ne vous endormez pas. N'attendez pas votre tour. Ne badinnez pas avec l'amour. Ne le négligez pas non plus. Il est essentiel, il est naturel, Il est viscérale. Celui qui triche, qui le refuse, Délaisse sa  propre existence. L'amour est l'essence, le début de tout, la fusion de soi. Trouver son bonheur est un état à recommencer sans cesse. L'amour est un moteur, Sans lui vous ramerez. On s'élève, on s'apprend, On en grandit toujours un peu. Souvent beaucoup même. Alors ne perdez pas de temps. Vous n'avez que votre vie pour aimer. Faites le souvent.
Cyrielle Soares
14 notes · View notes
micompostela · 9 months
Video
youtube
La poste espagnole recommande 10 choses à faire durant votre séjour à Compostelle :
1. Dès votre arrivée Venez au bureau de poste CORREOS (Rúa do Franco, 4) pour laisser votre sac à dos (avant de vous rendre à votre auberge/hôtel/casa/whatever), votre vélo ou votre canne/vos bâtons dans le débarras ou pour les renvoyer chez vous. Vous ne pouvez pas entrer dans la cathédrale avec un sac à dos et la ville est bien plus agréable sans fardeaux. Nos horaires sont du lundi au vendredi de 08h30 à 20h30 et nous sommes fermés les samedis, dimanches et jours fériés.
2. Entrez dans la cathédrale de Saint-Jacques-de-Compostelle. Cela se fait généralement par la Plaza de Platerías, sauf pendant les années saintes où cela se fait par la Porte Sainte. Embrassez l’îcône de l’Apôtre ou descendez voir le tombeau. Vous pourrez profiter de la messe des pèlerins à 12h00 et 19h30.
3. Faites le tour de la la cathédrale pour découvrir la Plaza del Obradoiro avec l'Hostal de los Reyes Católicos et le Pazo de Raxoi, la fontaine des chevaux de Platerías, le Seminario por la Azabachería, ou pour vous asseoir et vous reposer dans la Quintana.
4. Ne manquez pas le Mercado de Abastos avec le meilleur de la gastronomie galicienne : poissons, fruits de mer, légumes, poulpes... que vous pourrez déguster sur place.
5. Traversez l'Alameda. Vous pouvez prendre une photo avec les « Dos Marías » et profiter des belles vues depuis « Eucalipto del Amor ».
6. Buvez un verre de vin… ou deux, accompagnés des meilleures tapas. Dans toute la ville, vous trouverez des bars et des restaurants, dont beaucoup sont concentrés dans le centre-ville le long de la Rúa do Franco, de la Rúa da Raiña et des environs.
7. Visitez le siège de l'Université de Saint-Jacques-de-Compostelle avec son jardin-cloître, et si vous êtes amateur de bibliothèques, ne manquez pas celle de la Faculté d'histoire.
8. Perdez-vous dans le vieux quartier pour découvrir la vie de ses rues : Rúa Nova avec ses théâtres, les arcades de Rúa do Vilar, le Preguntorio,…
9. Découvrez San Martín Pinario, l'escalier, les gargouilles et la façade plateresque. Dans le quartier vous découvrirez des bars avec de belles terrasses et jardins pour profiter des beaux jours.
10. Promenez-vous dans la Puerta del Camino : profitez du parc Bonaval, visitez le Museo do pobo Galego pour découvrir la culture galicienne, ou le Musée d'art contemporain (CGAC), et si vous avez le temps, montez à la Ville de Culture sur le Mont Gaiás.
2 notes · View notes
nelielombrelune · 1 year
Text
Eldarya ANE Episode 17 - Avis
J'étais tellement énervée par cet épisode que je n'ai pas pu m'empêcher de poster un commentaire sur le forum alors que j'avais dit que je ne perdrais plus mon temps et mon énergie à essayer d'être constructive quand nous n'avons jamais aucun retour de Beemoov...
°~ Salut ~°
Bon je ne vais pas y aller par quatre chemins, j'ai beau chercher à adoucir mon verdict je ne trouve pas vraiment d'arguments en votre faveur. Clairement, je n'ai pas aimé.
Pas "je n'ai pas aimé" dans le sens "le développement de l'histoire ne va pas où je voudrais". Non, j'ai pas aimé dans le sens je ne comprends pas ce que je fous là.
Que s'est-il passé dans cet épisode ? Rien. Que s'est-il passé dans l'épisode précédent ? Rien.
Nous sommes à quelques épisodes de la fin de la saison et vous perdez votre temps et surtout le notre dans des errances vides de contenu et de sens.
Si encore ces apartés étaient riches de développement des personnages, de leurs relations et évidemment de la romance désormais pré-mortem avec le CDC.
Mais non. Pas de contenu, juste du blabla dans le vent, des digressions WTF (sérieux vous imaginez Chrome Nevra et Lance danser sur du flutiau (ou quoi que cela puisse être) à l'EVG de Chrome ?) Je ne veux pas tomber dans le cliché de la beuverie obligatoire et virile mais à un moment faut arrêter. Si vous êtes incapables d'imaginer un lore propre à votre univers vous ne pouvez pas copier des traditions bien connues et ne pas en respecter un minimum les codes. Chose que vous semblez avoir parfaitement intégrée avec l'EVJF de Karen (et c'est bien dommage) et son strip-tease fantasmé bien malaisant.
Bref, j'ai pas aimé.
J'ai pas aimé être encore une fois obligée de subir les incohérences scénaristiques ("oh la la je suis débordée comment je vais faire ?" => "tiens si j'allais méditer avec Leiftan et Koori"), surtout que je ne peux blairer ni Chrome ni Karen quels que soient les changements que vous ayez tenté d'apporter à leurs personnages dans ANE. Leur développement dans TO était tellement catastrophique qu'en ce qui me concerne il leur collera à la peau jusqu'à leur mort (si seulement).
Je n'ai pas aimé me faire encore raquetter pour une tenue sans aucun intérêt (sérieux la tenue Sand Walker était incroyable, pourquoi vous nous ressortez une pauvre robe-remake de la robe Shiny Lady on voit bien que vous n'avez fait strictement aucun effort).
En fait je crois que j'ai eu l'impression de jouer un mauvais spin-off pour les fan de Chrome et Karen dont je ne fais pas partie. Episode : intérêt 0 Tenue : intérêt 0 Moment avec le CDC : intérêt 0.
Je vois bien que vous essayez de contenter les joueur.se.s qui déplorent depuis une quinzaine d'épisodes l'absence flagrante et plombante de f*cking ROMANCE mais vous faites complètement fausse route.
Pas que je me plaigne d'avoir des scènes de c*l hein loin de là SI ENCORE ELLES ETAIENT BIEN ECRITES. Mais là pardon mais qu'est-ce qu'on se fait ch*er.
Pour moi toutes ces scènes sont indifférenciables les unes des autres. On pourrait les superposer, les mélanger sans que personne ne s'en rende compte. Je finis par me dire que vos scénaristes devraient trainer sur des forums -18 pour s'inspirer un peu parce que là désolée mais on s'em**rde.
Pas de frisson, pas de tension, pas de frustration, les clefs d'un moment vraiment torride. Comme tout le reste c'est plat, lourd, redondant. On finit par cliquer sans vraiment lire ces bribes de phrases. De quelques mots. Sans aucune alternance de rythme. Qui cassent complètement l'immersion. On clique. Encore.
Encore une fois je ne me plains pas qu'on ait droit à des scènes de s*x mais ce qu'on vous demande c'est du CONTENU b*rdel je le dis à chaque commentaire j'ai envie de pleurer. Du développement des personnages, de leur background, de voir l'évolution de leurs sentiments, de leur relation !!! BON SANG mais qu'est-ce qu'il faut qu'on fasse ?? Je suis désespérée de toute façon à ce niveau de l'histoire je pense que c'est peine perdue mais ce que ça peut m'énerver !
Je suis sur la route de Lance et on ne sait RIEN de lui, de son cheminement sur les 7 années qui se sont écoulées, de son évolution, BON SANG les Redemption Arc offrent tellement de potentiel de développement, ce sont les persos les plus riches ! Et vous en faites une potiche plantée là pendant qu'on demande aux purrekos combien de litres de punch on veut pour cet EVG MAIS ON S'EN F*UT P*TAIN "Merci d'être resté avec moi gnagnagna" mais c'est pas ça qu'on veut ! On veut de la profondeur on veut voir son côté tourmenté sa culpabilité sa noirceur ses doutes GNIIIIIII vous m'énervez vous pouvez pas savoir ce que vous m'énervez.
Le prétexte du mariage (même si je m'en fous) offrait plein de possibilité d'avoir une vraie conversation avec le CDC, de faire le bilan de leur non-relation (clairement c'est plus un plan c*l qu'un couple), de parler de leur éventuel avenir, de la façon dont chacun peut se projeter dans le futur à court ou long terme, de leurs projets de leurs envies enfin de se connaître quoi, plutôt que de se regarder dans le blanc des yeux et de finir inlassablement par b*iser le soir, dans une chambre, dans un lit, comme un vieux couple qui a jeté l'éponge, bon sang qu'est-ce qu'on s'ennuie.
Bref. J'ai pas aimé.
Vous nous proposez des épisodes tellement en dent de scie que je finis par me dire que vous êtes des sadiques et que ça vous fait marrer de massacrer à grand coup d'incohérences et de platitude votre propre création et de nous voir encore nous battre pour tenter d'en sauver les petits morceaux qui pourraient valoir le coup.
Je ne sais pas où on va. Ca sent encore la fin bâclée et WTF avec un réveil miraculeux des pouvoirs d'Aengel de Leiftan et de la gardienne pile au bon moment vraiment on le voyait pas venir (cf l'évolution conjointe et aberrante du seifaun et du draflayel dans l'épisode précédent).
Ce qui m'atterre le plus c'est que je vois des commentaires positifs. Je dois vraiment pas être au bon endroit.
Allez on se voit au mariage hein, je serai la meuf avec une robe démodée qui picole au bar.
°~ RIP ~°
7 notes · View notes
elodiekimchi · 10 months
Text
Mermaid Challenge – un challenge Sims 3
Tumblr media
Challenge original par megakatyanne - The Siren Challenge
Extensions requises : Animaux & Cie, Super-Pouvoirs et Ile de Rêve
INTRO : « Vous avez toujours cru aux créatures mi-humaines, mi-poissons. Quand vous étiez enfant, vous vous souvenez de la noyade… le soleil brillait à travers les vagues de l'océan et vous ne pouviez pas tout à fait remonter à la surface. Mais alors vous avez vu quelque chose de vert fouetter l'eau. Un vert, écailleux… était-ce une queue ? Vous perdiez lentement connaissance et vous aviez peur – peur de la mort imminente, peur de la créature marine qui se profilait derrière vous. Ces yeux ont croisé les vôtres, attendez… ce sont des yeux humains ? Vous vous êtes senti traîné à la surface. Votre vie a été sauvée… mais l'image de la créature marine n'a jamais quitté votre esprit. Vous vous êtes juré de ne jamais vous lier d'amitié avec un être surnaturel d'aucune sorte. »
Original par megakatyanne, traduit par ElodieKimchi.
✨ Prérequis : - Créer un ou une Sim jeune adulte humain - Lui attribuer le trait "Réticent au surnaturel" - Peut avoir n'importe quel souhait à long terme
🌺 Gen 1 : « J'ai fait face à ma plus grande peur, et je ne l'affronterai plus jamais. »
- Vivez dans le monde d'Isla Paradiso - Installez votre Sim sur une île
- Commencez à apprendre la technique de la plongée sous-marine - Améliorez votre travail jusqu'au niveau 3 au moins - Rencontrez une sirène avec une queue verte (la couleur de la queue n'a pas d'importance, mais cela fait que l'histoire se met bien en place). - Tombez amoureux de la sirène, mariez-vous et demandez-lui de vous montrer l'île de la Sirène (il n'est pas nécessaire que ça soit dans cet ordre) (si vous ne pouvez pas vous rendre sur l'île, utilisez des astuces) - Vivez sur l'île de la Sirène (vous pouvez garder votre terrain de base sur l’île mais construisez simplement un port sur l'île de la Sirène) - Ayez au moins deux enfants (si aucun des enfants n'est une sirène, vous devez continuer à vous reproduire jusqu'à ce que vous en obteniez un)
🌊 Gen 2 : « Je jure de ne jamais perdre ma connexion à l'eau. »
- Gagnez de l'argent en collectant des objets de plongée sous-marine (cela peut être tout ce que vous trouvez, tant que vous le trouvez en plongée sous-marine) - Tombez amoureux et épousez une sirène - Ayez des enfants - Nagez autant que possible et ne cuisinez que du poisson pour repas - Divorcez de votre partenaire et perdez vos pouvoirs de sirène - Faites le vœu de ne jamais retourner à l'eau
🧜‍♀️ Gen 3 : « Si je ne peux pas être un humain normal, je peux au moins agir comme tel.»
- Avoir une vie tout à fait normale sur l'île aux Sirènes et ne pas entrer en contact avec l'eau, sauf pour préserver l'état de sirène - Avoir un emploi stable - Ne pas nager - Posséder un animal de compagnie (vous n'êtes pas obligé si vous n'avez pas Animaux & Compagnie) - Tombez amoureux d'un humain terrestre et ayez autant d'enfants que vous le souhaitez - Faites en sorte que les enfants qui sont des sirènes aiment leur pouvoir - Soyez "poussé" à retourner à l'eau (ou allez simplement nager, comme vous voulez) - Réalisez que vous aimez votre pouvoir et passez le reste de votre vie à nager et à plonger
Codes de triche autorisés : moveobjects et testingCheatsEnabled true, être dans le foyer et activer le code familyfunds «nom de famille» 0 pour mettre les fonds du foyer à zéro.
2 notes · View notes
frisquette27 · 1 year
Text
La suite d'une autre direction ..partie 4 le point de vu d'Arthur
Partie 4 :
« Arthur ? »
« Oui … » dit-il tendrement « si vous pensez que vous m’avez déjà vu en colère ben vous vous trompez fortement »
Elle fronça les sourcils et recula légèrement pour sortir de l’étreinte de son mari. Elle ouvrit la bouche pourtant aucun son ne sortit. Elle avait l’air apeuré et même s’il la trouvait particulièrement fragile à cet instant, la colère continuait de l’envahir et il ne put se retenir
« Mais bon sang qu’est vous avez foutu !! Alors déjà vous barrez dans la forêt c’était déjà très limite mais là …vous rendez compte que si je n’étais pas arrivé à temps. Il va falloir vous mettre à réfléchir de temps en temps cela vous fera du bien ! Je vais quand même pas vous surveiller toutes les trois secondes ! Vraiment pourquoi vous avez fait …ça ! »
Il se tût préférant refréner sa colère, le regard de sa femme était perdu dans le vide. Ce n’était pas le moment pour cela. Elle souleva les épaules.
« Bon on va rentrer » dit-il plus calmement « vous devez vous changer sinon vous allez attraper la m… enfin vous allez être malade ! On reprendra cette discussion plus tard mais vous ne perdez rien pour attendre, je suis vraiment en colère cette fois ! »
Oui il était en colère mais surtout effrayé, est ce qu’elle se rendait compte de ce qu’elle venait de faire. Il se sentait abandonné, jamais il n’avait envisagé sa vie sans elle, pourrait-il seulement vivre sans elle. Il lui replaça une mèche derrière son oreille effleurant doucement sa joue, sa peau était douce, son regard ne cessait de fixer ses lèvres, il avait terriblement envie de l’embrasser. Il mit cela sur le coup de l’émotion et se reprit.
« Sinon vous pouvez marcher ? »
Elle ne réagit pas. Il décida donc de la soulever et de la prendre dans ses bras, la dernière fois qu’il l’avait tenu comme cela ce fût le jour de leur mariage, ce jour-là il l’avait fait tomber, aujourd’hui pour rien au monde il ne la lâcherait.
 Elle mit ses bras autour de son cou et elle posa la tête sur son épaule, ce nouveau contact avec elle l’électrisa, une douce chaleur s’étendit dans son ventre, sans qu’il ne puisse contenir son trouble. Elle s’endormit rapidement laissant seul son mari avec ses pensées. Il essayait de se repérer pour retrouver le chemin de la cabane cependant son esprit était ailleurs, un serment d’une autre époque qu’il ne l’avait pas quitté lui susurrait de ne pas craquer, pas maintenant, pas après tout ce qu’il s’était efforcé de faire pour repousser cette femme.
 Alors sur le trajet il débattait avec lui-même essayant en vain de se convaincre, encore, que son épouse était une source inépuisable de désagrément. Tous les arguments qu’il se présentait à lui-même était contre dit par les actes eux même de sa femme. Non, elle n’était pas un désagrément, bien au contraire, elle était devenue une force pour lui. Non elle n’était pas idiote, naïve peut être mais souvent par sa faute, il aurait pu, il aurait dû lui expliquer les choses calmement. Non elle n’était pas moche, bien sûr que non, elle était charmante, peut être jolie, mais non elle était belle et il le savait.
A sa sortie de la forêt, il aperçut au loin Démetra qui semblait les attendre devant la maison de fortune. Il la rejoignit, le visage fermé, il ne voulait pas partager ni avec elle, ni avec les autres d’ailleurs ce qui venait de se passer. Cela devait rester entre sa femme et lui.
« Mais qu’est ce vous avez foutu ? Vous êtes trempé ! »
« Doucement les décibels, elle dort ! »
« Heu oui enfin …vous devriez vous changer peut-être
« Non je vais sécher au soleil par contre pour elle vous auriez un change à lui passer »
« Oui …oui je vous donne ça tout de suite »
Dans la cabane elle lui tendit une robe alors qu’il posait délicatement sa femme sur une couche.
« Bon c’est pas ce qu’elle a l’habitude de porter mais c’est ma plus belle robe »
Il ignora la robe tendu ver lui, se dirigeant vers la sortie sans un regard pour son ancienne maitresse.
« Mettez-lui sans la réveiller »
Il ferma la porte la laissant perplexe, mais oui pensa t-elle il ne l’a jamais vu dévêtu. Elle se demandait toujours pourquoi ils étaient trempés à leurs retours.
Arthur préféra s’asseoir dehors toujours en proie avec lui-même, il avait juste besoin de savoir ce qui était le plus important à ses yeux. Il n’avait malheureusement pas trouvé quand les trois hommes revinrent de la cueillette.
« Mon oncle, quel malheur nous n’avons pas trouvé de quoi égayer notre repas de ce soir »
« Ouais c’est trop nul d’abord ! l’autre là ben il voulait pas nous laisser cueillir ce qu’on voulait ! »
« Si je vous avais laissé faire on aurait dégusté après le repas aussi, non mais je vous jure ils ont tenté de nous empoissonner les deux asticots"
« Mais non même pas vrai »dit Yvain en rentrant dans la cabane « Femme vous .. »
Yvain s’arreta net en voyant sa femme finir de rahiller sa sœur. 
« Ben qu’est ce qu’il est arrivé à ma sœur ? »
« Votre sœur ? » lui répondit la jeune femme
Sa sœur, comment ça sa sœur , ah mais oui son mari était le frère de la Reine, bon sang elle n’avait pas fait le rapprochement. Il faut dire qu’elle avait épousé celui-là un peu par dépit, c’était un ancien chevalier, chef de son propre clan et pas trop vilain comme garçon. Du coup, elle fût prise d’un sentiment de culpabilité.
«J’en sais rien vous n’avez qu’a demander ça à son mari » dit elle pour changer de sujet.
Perplexe par la réponse de sa femme l’ancien chevalier ressortit de la cabane.
« Qu’est ce qu’il se passe avec ma sœur »
« Rien elle a besoin de se reposer alors foutez lui la paix et vous aussi d’ailleurs » dit Arthur en montrant avec sa main Gauvain.
Il s’approcha de l’oreille de l’enchanteur et lui murmura
« Vous pourrez aller voir si tout vas bien quand elle se réveillera enfin si elle va bien quoi ! »
« Vous voulez que je l’examine ? Il est arrivé quelle que chose à Guenièvre ? » répondit Merlin le pus doucement possible.
« Juste vous regardez que tout roule, le reste cela vous regarde pas ! »
Merlin se renfrognât un peu mais devant le regard inquiet d’Arthur n’insista pas plus.
La soirée arriva vite, les deux acolytes avaient décidé de préparer un repas devant le regard désabusé de leurs compagnons autour d’un feu à l’extérieur, ils avaient tous interdiction de rentrer pour ne pas déranger la Reine.
Dans la soirée Merlin partit vérifier l’état de Guenièvre, il sortit rapidement de la tente et prit à part l’ancien Roi.
« Elle se repose, elle a l’air de ne pas avoir de séquelle, en tout cas physique. Vous ne voulez toujours pas me dire ce qui s’est passé »
« Non cela ne vous regarde toujours pas ! »
« Mouais en tout cas vous ça vous concerne, vous devriez vraiment faire attention à elle, je n’ai pas à vous juger mais on vous a donner un trésor et vous devriez en prendre soin »
Arthur avait bien conscience que sa femme était unique mais il avait fait un serment et s’approcher d’elle ne ferait que l’éloigner encore plus de sa promesse. Pourtant quand il fût l’heure d’aller se coucher, il la rejoignit dans sa couche malgré le manque de place.
Il s’était tout d’abord installé dos à elle mais sentir sa chaleur le transpercait de toute part, il ne résista pas longtemps, rapidement il se tourna et la prit dan ses bras enfonçant son visage dans ses cheveux. Il la tenait fort, il avait un peu peur de la réveiller mais il avait besoin de la sentir tout contre lui. Il cala sa respiration à la sienne et se laissa bercer jusqu’à trouver le sommeil. Le soleil du petit matin le réveilla, il tenait toujours sa femme dans ses bras, il était bien. Un petit sourire se dessina sur ses lèvres, il avait tellement bien dormi, pas de cauchemar, pas de tension à son réveil et le sentiment de culpabilité envers sa promesse s’était envolé. Pour la première fois de sa vie Arthur voyait clair devant lui, il devait renoncer à son passé, arrêter de se rattacher à une vie qui était terminé depuis longtemps. Il déposa un premier baiser dans le cou de sa femme, la sensation était troublante, enivrante, il entreprit alors de découvrir cette peau laiteuse. Il parsema de baiser son cou, son épaule et il fît glisser lentement son nez sur sa nuque comme pour inhaler son parfum. Il avait pris sa décision et il allait se laisser guider par son cœur. Il desserra son étreinte et se leva rapidement pour sortir de la cabane. Dehors il prit une grande inspiration, admirant le paysage, il était serein même s’il était toujours décidé à retrouver ses enfants, il avait un nouvel objectif à sa quête, il voulait une vraie famille avec des enfants mais aussi avec sa femme. Sa vraie femme. Il sursauta quand il senti une main se poser sur son dos.
« Merci »
il se tourna vivement pour rencontrer le regard triste de Guenièvre
14 notes · View notes