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#Tous les matins du monde sont sans retour
littlefrenchsims · 7 months
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Monday September 4, 2023 đŸȘ»
It's back to school! And not least, Maribel's first return to school.
Early this morning, finally at 7:50 a.m. we set out for 30 minutes of walking/strolling, for this first return to school.
Maribel; looking forward to being there, a little bit of stress when she saw all the children and their parents arriving in front of the school gate. đŸ«
But she moved forward without looking back and without fear, arriving in front of the classroom door, she gave me a kiss, after asking for it, and left without looking back towards the other children. 👧
Robyn; ah baby Robyn, very good throughout the journey, on the way there asleep, on the way back smiling, she looked at the landscape around her laughing. Big round eyes when she heard the world around her, she felt out of place. đŸ˜€
Me; what can I say 😆 more stress than Maribel, the stress of the organization, of the road, of the behavior of her and Robyn.
Arrive and see all his parents, tears in his eyes were present because I would have liked to share this with my other half, unfortunately Batman was at work, present in thought and behind the messages.
I knew we would go together to pick up Maribel in the evening, but a little feeling ached in my heart. More tears appeared when I saw my little red head enter the classroom and the door close behind her. đŸ«Ł
A feeling of pride finally appeared. Maribel does it without crying, Robyn is the perfect baby, a loving man who supported and encouraged me, and I did it, I managed to accompany her. đŸ‘šâ€đŸ‘©â€đŸ‘§â€đŸ‘Š
Lundi 4 Septembre 2023 đŸȘ»
C'est la rentrée ! Et pas des moindres , la premiÚre rentrée de Maribel .
TÎt ce matin, enfin à 7h50 nous nous sommes mise en route pour 30 minutes de marche / poussette , pour cette premiÚre rentrée.
Maribel ; hĂąte d'y ĂȘtre, petit coup de stress quand elle a vu tous les enfants ainsi que leurs parents arrivaient devant la grille de l'Ă©cole. đŸ«
Mais elle avançait sans se retourner et sans peur , arrivĂ© devant la porte de la classe , elle m'a fait un bisous, aprĂšs l'avoir rĂ©clamer, et est parti sans se retourner vers les autres enfants . 👧
Robyn; ah bĂ©bĂ© Robyn, trĂšs sage sur tout le trajets, Ă  l'allĂ©e endormi ,au retour souriante , elle regardait le paysage autour d'elle en rigolant . De grands yeux ronds quand elle a entendu le monde autour d'elle, elle ne se sentait pas Ă  sa place . đŸ˜€
Moi ; que dire 😆 plus de stress que Maribel , le stress de l'organisation, de la route , du comportement d'elle et Robyn .
Arriver et voyons tous ses parents , les larmes aux yeux Ă©taient prĂ©sente parce que j'aurais aimĂ© partager ça avec ma moitiĂ©, malheureusement Batman Ă©tait au travail, prĂ©sent par la pensĂ©e et derriĂšre les messages. Je savais qu'on irait ensemble chercher Maribel le soir mais un petit coup au cƓur s'est manifestĂ©.
D'autres larmes sont apparut quand j'ai vu ma petite tĂȘte rousse entrer dans la classe et la porte se refermer derriĂšre elle . đŸ«Ł
Un sentiment de fierté à finalement fait son apparition .
Maribel la fait sans pleure, Robyn est le bĂ©bĂ© parfait , un homme aimant qui m'a soutenue et encouragĂ©, et moi je l'ai fais, j'ai rĂ©ussi Ă  l'accompagner . đŸ‘šâ€đŸ‘©â€đŸ‘§â€đŸ‘Š
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NOTE DE LECTURE :  Tous les matins du monde. Pascal Quignard. 1993
J'aime l'Ă©criture Ă©purĂ©e, sublime de sublimation, de Pascal Quignard pour dire "tous les matins du monde (sont) sans retour", l'impossibilitĂ© d'exprimer le chagrin liĂ© Ă  la perte, le secours de l'art et de la crĂ©ation, de la musique ou de la peinture, nature morte ou vanitĂ© de quelques uns, que quelques autres, plus vieux ou plus sensibles, guident vers soi. J'ai eu de la peine pour Madeleine, la fille de Monsieur de Sainte Colombe, qui s'abaisse par amour pour le jeune Marin Marais, Ă©lĂšve de son pĂšre, et lui donne tout ce qu'elle a : sa viole, son corps et mĂȘme sa vie. Il y a de l'introspection dans cette lecture, qui pourtant m'a fait buter (lutter ?) contre les implicites de l'auteur et les vils dĂ©tails du quotidien. On accompagne Monsieur de Sainte Colombe dans son deuil, aprĂšs le dĂ©cĂšs de son Ă©pouse, dans la solitude troublĂ©e de son fantĂŽme et dans le silence empli de sa musique. Pas de reconnaissance pour un chef d'oeuvre donc, mais une belle leçon Ă  recevoir. 
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claudehenrion · 1 month
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Macron s’en va-t-en guerre, mironton, tonton, mirontaine...
Petit rappel : je vous ai proposĂ© hier deux ''Ă©ditos'' sur Poutine en utilisant un autre angle de vue que le ''procĂšs Ă  charge et Ă  sens unique'' en cours ! L'excĂšs en tout est un dĂ©faut, et tue jusqu'Ă  la possibilitĂ© de trouver une solution aux crises. Je prĂ©cisais : ''En fait, la seule utilitĂ© d'un ’‘blogueur” serait de donner sa chance Ă  une pensĂ©e non-clonĂ©e qui est, de nos jours, condamnĂ©e et ostracisĂ©e avant-mĂȘme d'ĂȘtre entendue''. C'est avec ce ''bĂ©mol'' qu'il faut lire l'Ă©ditorial de ce jour : je ne prĂ©tends pas dĂ©tenir la vĂ©ritĂ©... mais le discours actuel, lui, est Ă  la fois faux, fou, et mortel, Ă  terme.
Un jour, sans que personne ne lui demande Ă  quoi il pensait –ce dont, d'aprĂšs les sondages, une majoritĂ© de français se fout complĂštement-- Macron, seul au monde Ă  oser Ă©mettre des idĂ©es aussi indĂ©fendables, a dĂ©clarĂ© Ă  une confĂ©rence internationale de soutien Ă  l’Ukraine (21 chefs d’État Ă  l’ÉlysĂ©e) : ''La dĂ©faite de la Russie est indispensable (sic !) Ă  la sĂ©curitĂ© et Ă  la stabilitĂ© de l’Europe. Et si ça (?) tourne mal, il faut envoyer des troupes''. Notre ''le plus jeune PrĂ©sident jamais'' a mĂȘme ajouté : ''Nous ferons tout ce qu’il faut pour que la Russie ne puisse pas gagner cette guerre''... sans prĂ©ciser ce que voulait dire tout et gagner. ''Ah ! Qu'en termes galants ces choses-lĂ  sont dites...'' murmurait Philinthe Ă  Oronte, hors de toute culture française !
La bonne nouvelle, c'est que pas un seul des caciques présents n'a suivi cette prise de position suicidaire : nuls, mais pas fous ! En revanche, 64 % des français questionnés, pauvres victimes de la ''Propaganda'' officielle macrono-bideneuse, croient à la fable d'un Poutine attaquant tous les pays d'Europe à la fois, des pays baltes à la Moldavie, dÚs le lendemain matin d'une victoire sur l'Ukraine (qui est déjà ''de fait'', nous l'avons expliqué hier. Mais le voudrait-il, qu'il ne le pourrait pas !).
A trois reprises dĂ©jĂ , ce Blog a parlĂ© de l'Ukraine. La premiĂšre fois, c'Ă©tait le 2 dĂ©c. 2021, un peu avant le dĂ©but de cette guerre que, seul ou peu s'en faut, j'avais clairement annoncĂ©e (''Editorial'' n°1331 : ''L'Ukraine : une petite Russie... ou la guerre'')... La seconde fois, le 28 fĂ©v. 2022, le jour-mĂȘme de l'invasion russe (Ă©ditorial n°1375, ''Mourir pour Kiev ?'')... et la troisiĂšme fois, le 3 dĂ©c. 2022 (''La crise russo-ukrainienne : quelques vĂ©ritĂ©s dĂ©rangeantes'') : la partition Ă©tait facile Ă  dĂ©chiffrer puisque, petit blogueur de quartier, j'y Ă©tais arrivĂ© et que, en 7 annĂ©es, les Ă©vĂ©nements ont suivi fidĂšlement ce qui Ă©tait annoncĂ©... Offrons-nous un ''retour sur images'' :
En fĂ©vrier 2022, j'Ă©crivais : “Faut-il mourir pour Kiev ? L'analyse de nos soi-disant “experts du 20 heures” tenait alors en quelques affirmations Ă©videmment fausses qu'ils enchaĂźnaient sans honte : Poutine est fou (?), il a le cancer (?), des complots de Palais autour de lui (?), le peuple russe va se rĂ©volter (?), les dĂ©gĂąts des blocus successifs sont gigantesques (?), l'armĂ©e russe n'est pas prĂȘte (?) et les armements fournis par l'OTAN (?) devaient amener assez vite la victoire totale de l'Ukraine (?), bientĂŽt suivie de son adhĂ©sion triomphale Ă  l'OTAN, pour le bonheur (?) des peuples europĂ©ens euphoriques, dansant de joie dans les rues de nos capitales''
 Et je commentais : ''Ou bien ils ont raison de penser que Poutine est fou
 et leur “jusqu'au boutisme” nous mĂšne Ă  l’apocalypse... ou bien ils ont raison de voir des succĂšs ukrainiens partout et ils n'ont alors pas besoin du battage mĂ©diatique et du lavage de cerveau qu'ils nous font subir... Ou bien, plus vraisemblablement, ils ne sont pas sĂ»rs du tout du bien-fondĂ© de ce qu'ils nous racontent''.
Sans rien retirer Ă  l'horreur de la situation, au courage des ukrainiens bien Ă  plaindre, ni au fait que Poutine, dont le “dossier” Ă©tait excellent jusque lĂ , s'est mis en tort “plein pot” en passant Ă  l'acte
 tous nos Nuls majuscules ont Ă©tĂ© obligĂ©s de dĂ©couvrir que leurs idioties n'ont aucun effet : la Russie tient bon, infiniment mieux que nous, et a toujours 300 000 hommes de plus Ă  jeter dans toute bataille. En fait, ce conflit ne peut Ă©voluer –comme il a Ă©tĂ© dit ici-mĂȘme dĂšs le premier jour-- que
 soit en une guerre de 100 ans... soit en prĂ©fĂ©rant le droit des peuples à disposer d'eux-mĂȘmes.. Ă  un maintien difficilement justifiable de frontiĂšres qui ont Ă©tĂ© dessinĂ©es sans aucun lien avec les raisons (staliniennes) au nom desquelles on prĂ©tend les faire perdurer
(NDLR – Souvenirs, souvenirs : pour ma gĂ©nĂ©ration, nos livres de gĂ©ographie, le Demangeon, et nos cartes murales Vidal-Lablache plaçaient CrimĂ©e et Donbass dans l'URSS –je l'ai vĂ©rifiĂ©. Et tous les bons auteurs des siĂšcles prĂ©cĂ©dents --tels Jules Verne (Michel Strogoff) ou la Comtesse de SĂ©gur (''nĂ©e Rostopchine'')-- n'ont jamais hĂ©sitĂ© Ă  savoir oĂč ne s'arrĂȘtaient pas les frontiĂšres de la Russie.
J'ai hésité avant de publier ce billet : son contenu est tellement loin du discours officiel que j'ai peur de choquer quelques lecteurs. S'il n'est pas question d'excuser l'invasion de l'Ukraine, cela ne suffit pas à interdire toute réflexion sur le ''pourquoi'', sur le ''comment'' et sur les raisons qui ont rendu cette faute difficilement évitable. Les condamnations systémiques et a priori, les jugements dont les ''attendus'' ne sont pas corroborés par les faits, les ''Haro sur le baudet'' qui sont une caractéristiques du moment affreux que nous vivons, ne sauraient déboucher sur des solutions intelligentes. Et les derniers discours de Macron ne sont rien moins que terrifiants, tant ils ferment toutes les portes... à double tour.
Que peut-il se passer maintenant ? Jusqu'aux deux rĂ©centes initiatives incomprĂ©hensibles de Macron, (son pacte de 10 ans, il y a 15 jours, et son intervention au sol)--, il semblait Ă  peu prĂšs exclu que ce conflit s’étende au-delĂ  de l’Ukraine, contrairement Ă  ce que blatĂšrent les moulins Ă  bobards US. D'abord parce que les US et l’OTAN (sauf la France, donc) ont confirmĂ© qu’ils ne combattraient pas la Russie (ce ne sont que des promesses de politiciens, mais c'est un micro-signe !), et parce que la Russie n’est pas en Ă©tat de mener une extension du conflit, contrairement Ă  ce qui se raconte sur nos petits Ă©crans, polluĂ©s par les idĂ©es fixes de la doxa Ă©lysĂ©enne...
La Russie refuse une Ukraine-porte-avions-amĂ©ricain Ă  ses portes. Elle refuse aussi d'ĂȘtre “occidentalisĂ©e” de force... et elle a les moyens de sa volontĂ© de suivre une autre voie, laissant tous les pays occidentaux s'enfoncer dans le naufrage “XXL”, Ă©conomique, moral et idĂ©ologique en cours (inflation, invasions migratoires, Ă©meutes, violences urbaines, dĂ©colonialisme ''woke'', racisme inversĂ©, ou haine anti-Blancs)... et dans la dĂ©gringolade verticale de la morale et de la moralitĂ© (dĂ©viances sexuelles promues au rang de ''Valeurs'', nĂ©gation de notre passĂ© chrĂ©tien, promotion des mouvements LGBT, de la drogue, des rĂ©seaux pĂ©dophiles et des changements de sexe des petits enfants (une monstruositĂ© !), etc
 ces fausses ''modes'' toutes lĂ©tales auxquelles la Russie a bien rĂ©sistĂ©, devenant l'ennemi public n°1 de l'Occident en chute... Mais personne n'a cherchĂ© Ă  savoir s'il n'y aurait pas un peu de vrai, dans ce diagnostic... 
Seul contre tous (donc je me trompe sĂ»rement)
 je crois voir, plutĂŽt, que 60 % de la planĂšte soutient Poutine et tourne le dos Ă  l'Occident, Ă  ses analyses au premier degrĂ©, et Ă  sa façon de voir les choses, refusant tout net d'adhĂ©rer Ă  son jugement et Ă  ses “sanctions” –trĂšs coĂ»teuses Ă  Paris mais Ă  peine visibles Ă  Moscou qui se porte infiniment mieux que notre France “en arrĂȘt permanent’‘ : les pĂ©nuries et l'Ă©clatement social sont bien plus graves ici que ’'lĂ -bas”, et la popularitĂ© de Poutine en Russie est bien supĂ©rieure Ă  l'impopularité XXL de Macron en France, que les processus Ă©lectoraux soient ''truquĂ©s'' ou pas (87 % de ''pour Poutine'', avant-hier. Attendons nos ''europĂ©ennes'', dans 2 mois, et on comparera les scores ! Les paris sont ouverts !).
Car avant de critiquer leurs élections... souvenons-nous du scandale qu'à été l'éviction de François Fillon... seule explication à l'élection de Macron, c'est-à-dire à notre dégringolade actuelle, à notre état pré-insurrectionnel, à la déchirure du peuple français, à la fin de notre industrie, de notre agriculture, de notre école, et de nos hÎpitaux, à l'envol dingue de notre dette... à la mort de notre culture, de notre Histoire et de notre civilisation, à toutes les catastrophes qui nous pendent au nez... et à notre perte de l'espoir de nous redresser un jour...
H-Cl.
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tournesolaire · 7 months
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C'était vraiment trop trop chouette, ça m'avait tellement manqué
Je pense que je me lasserai jamais de ce sentiment, cette impression d'ĂȘtre Ă  sa place, d'ĂȘtre vraiment heureux
On a tournĂ© pendant plus de deux heures dans le village comme des gros dĂ©biles, on dĂ©sespĂ©rait vraiment, on Ă©tait Ă  bout de nerfs et on arrivait pas Ă  trouver (tout comme une vingtaine de camions d'ailleurs), mais aux alentours de 2h du matin ALLELUJAH ON EST ENFIN ARRIVÉS BORDEL et ça faisait TELLEMENT DE BIEN D'ÊTRE LA
J'ai passé les trois quarts de la nuit toute seule avec Kevin comme à chaque fois et c'était vraiment cool, il m'aidait a tenir debout quand j'étais un peu trop bourrée et moi je veillais sur lui et je rattrapais la bouteille quand elle tombait par terre
Cette nuit il a été "raisonnable", il a pris 2 gouttes de L et 3 pointes de K et puis au final il a revendu sa k, du coup il était bieeeeen mais ça allait, il avait juste des hallus cool
Je me suis surprise Ă  beaucoup le regarder cette nuit, j'Ă©tais vraiment contente d'ĂȘtre avec lui de nouveau devant des caissons et mĂȘme si maintenant il n'y a plus rien d'ambigu, l'alcool me donnait envie de l'embrasser (ce qui ne s'est Ă©videmment pas passĂ©)
Peut-ĂȘtre que je raconterai des petits dĂ©tails de souvenirs au fur et Ă  mesure qu'ils me reviennent
Ce matin je suis allée me poser un peu dans la voiture avec Kevin et j'ai fait une mini mini sieste, lui il pouvait pas dormir a cause des hallucinations du coup mais il s'est un peu reposé
Quand on est retourné au mur quelqu'un avait ramené des pains au chocolat de la boulangerie ???? Tellement adorable omg <3
On a vu pleiiiin de gens d'ailleurs, on a vu Enzo (le gars trop drÎle que j'avais rencontré au Melt avec Thibault), un copain de Jay, Pops, Juju etc
On s'est fait des copains
Comme je suis dĂ©bile cette nuit j'ai pariĂ© sur le fait qu'il n'y aurait pas les flics a la sortie ce matin, grossiĂšre erreur, du coup j'ai fumĂ© un petit peu sur le joint de Kevin malgrĂ© ses multiples nons, alors quand ce matin on a vu le camion qui faisait camping a la sortie du chemin pour arrĂȘter toutes les voitures avec tests alcoolĂ©mie et salivaire je me suis sentie vraiment conne
Ça a Ă©tĂ© tout un bourbier le moment de partir, in faisait que de reculer le moment fatidique, en plus on n'avait plus d'essence c'Ă©tait vraiment n'importe quoi, on s'est retrouvĂ© avec un Ă©norme attroupement de gens autour de la voiture et tout le monde dessinait dessus (avec la poussiĂšre sur les vitres)
(je me souviens que quelqu'un a demandé à Kevin et moi si on était ensemble et ça me fait rire qu'on nous demande a chaque fois)
Le retour était chouette, on a été chercher de l'essence et pendant que je faisais le plein Kevin et Lila sont allés chercher a manger, ça faisait un peu ambiance film road trip c'était rigolo
J'aimerais garder pour toujours aussi cette image et ce coeur remplit d'amour et de joie que j'avais quand, dans la voiture, on avait les fenĂȘtres ouvertes et on chantait tous en cƓurs l'Hymne de nos campagnes, c'Ă©tait vraiment beau
La famille m'avait manquĂ© et je suis pas déçue de l'avoir retrouvĂ©e, mĂȘme si ça me rend un peu triste de savoir que les prochaines fois ce sera sans Kevin a cause de son nouveau travail
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swedesinstockholm · 1 year
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25 janvier
j’avais ma premiĂšre session de formation chez berlitz ce matin et puis ce soir je me suis dit fuck this j’ai vraiment pas envie de donner des cours de luxembourgeois Ă  des managers avec des bullshit jobs qui en ont rien Ă  faire d’apprendre le luxembourgeois et qui vont me descendre en flĂšche parce qu’ils ont pas envie d’ĂȘtre lĂ  et parce que la structure des cours berlitz est faite pour faire le plus d’argent possible et donc passer 45 minutes Ă  leur apprendre Ă  dire bonjour merci et au revoir et pourquoi m’infliger ça? la vie est trop courte pour ce genre de torture, je suis pas obligĂ©e de passer par lĂ .
5 février
je suis encore Ă  la mer alors que je m’étais dit que je reviendrais plus, mais les nouveaux voisins viennent d’emmĂ©nager à la maison et ça me minait trop le ventre Ă  gros coups de pioche. j’ai envie d’aller me piercer l’oreille droite Ă  sĂšte, je veux que ça marque mon mois de janvier enchantĂ© et mon retour Ă  la vie. je vois toujours l’hypersensibilitĂ© comme un handicap, une tare, mais j’oublie qu’elle marche aussi en sens inverse: les trucs bien aussi sont amplifiĂ©s par un million. J’AI ENCORE DE LA VIE EN MOI. c’est peut ĂȘtre pour ça que je pleure Ă  chaque fois que j’écoute une danse de mauvais goĂ»t de mansfield tya quand elle dit: je sais ce que je veux dans le fond c’est vivre encore, je choisis les prĂ©cieux pour Ă©loigner un peu la mort. depuis que je me suis rendu compte que tous les morceaux parlaient du deuil et de la mort je pleure systĂ©matiquement en Ă©coutant leur album, c’est trop aigu, les paroles de rebeka sont trop belles et trop pures. c’est rare que les paroles me touchent plus que la musique. dans le sang dans mes veines elle se demande comment sa compagne aurait vieilli si elle Ă©tait pas morte et ça me fait penser Ă  la chanson de charlotte gainsbourg oĂč elle dit on devait vieillir ensemble en parlant de sa soeur qui s’est suicidĂ©e. celle-lĂ  aussi me faisait pleurer Ă  chaque fois. j’ai encore beaucoup pleurĂ© dans le voiture hier en l’écoutant au casque et je me demandais pourquoi ça me faisait autant pleurer cette histoire de mort, j’ai l’impression que c’est trĂšs Ă  vif, les larmes viennent tout de suite, sans que je leur aie rien demandĂ©.
comme je m’ennuyais un peu dans la voiture j’ai postĂ© une story sur ig oĂč je disais que rebeka Ă©tait ma poĂšte prĂ©fĂ©rĂ©e du monde, mĂȘme si ça me fait passer pour une ado de treize ans un peu neuneue, tant pis, je l’ai tagguĂ©e quand mĂȘme, je disais que j’aimais toutes les chansons de l’album sauf une et deux minutes aprĂšs elle m’a demandĂ© laquelle j’aimais pas et j’en revenais pas qu’elle m’ait rĂ©pondu. je lui ai rĂ©pondu en faisant une petite blague et puis j’ai dit c’est parce qu’on t’entend pas assez chanter dessus smiley et comme elle rĂ©pondait plus j’ai commencĂ© Ă  me dire putain j’ai vraiment le flirt cringe de la honte mais aprĂšs elle m’a rĂ©pondu ahahaha en likant mon message et puis j’osais plus rien rĂ©pondre de peur de l’embĂȘter alors que bon j’étais en conversation avec rebeka warrior elle Ă©tait lĂ  Ă  l’autre bout du fil Ă  lire mes messages j’aurais pu en profiter pour lui Ă©crire une dĂ©claration d’amour ou je sais pas. rebeka je suis venue te voir en concert Ă  bruxelles et j’étais tellement Ă  cĂŽtĂ© de la plaque que je suis partie avant le rappel et j’ai loupĂ© l’occasion de toucher ton corps musclĂ© pendant ton crowdsurfing. rebeka je viens de passer trois mois Ă  lire les mille pages de la montagne magique juste parce que tu as appelĂ© un morceau de ton album la montagne magique et j’ai passĂ© toute la lecture Ă  guetter la phrase on marche sans jamais rentrer d’une telle promenade que tu rĂ©pĂštes dans la chanson et puis quand je suis enfin tombĂ©e dessus je me suis dit ça y est je vais dĂ©couvrir le sens de l’univers. rebeka je t’aime. j’adore qu’elle soit fan d’elle-mĂȘme comme moi et qu’elle adore Ă©couter ses propres disques et entendre sa propre voix, ça me la rend trop sympathique.
ce matin je me suis promenĂ©e jusqu’au cap d’agde en passant par la plage et j’ai encore pleurĂ© derriĂšre mes lunettes de soleil en Ă©coutant mansfield, mes larmes d’émotion se mĂ©langeaient Ă  mes larmes de vent et de froid. il est beaucoup question de vent dans leurs chansons. avant je dĂ©testais le vent et je sais pas si je le dĂ©teste toujours parfois mais je me rĂ©galais de sentir la vie, le vent me fouettait le visage et j’avais l’impression qu’il me donnait de la vie et ça me faisait sourire toute seule. la phrase de la montagne magique fait rĂ©fĂ©rence Ă  une promenade sur la plage aussi, une plage du nord de l’allemagne, beaucoup plus vaste que la plage du grau d’agde sans doute. il la compare Ă  ses promenades dans la neige sur la montagne du sanatorium, des promenades oĂč le temps cesse d’exister. j’y pensais en marchant sur le sable humide en regardant mes pieds avancer, marche, marche, marche, marche, jusqu’au cap d’agde. mais le temps n’a pas cessĂ© d’exister parce que je me demandais si j’arriverais Ă  rentrer Ă  temps pour manger avec eux. mĂȘme si hier soir Ă  table je me demandais un peu ce que je foutais lĂ  avec ma mĂšre et ma tante et mon oncle et c, j’ai l’habitude de traĂźner avec eux Ă  la mer mais lĂ  je sais pas, c’était un peu trop, trop de vieux, j’étais vraiment pas lĂ  oĂč je devrais ĂȘtre. je pensais Ă  l’écart qu’y avait entre ma vie et celle de rebeka warrior. elle a 44 ans d’aprĂšs google et sa vie me fascine. la vie des lesbiennes artistes mariĂ©es Ă  leur travail, passionnĂ©es, engagĂ©es, des gĂ©nies comme cĂ©line sciamma, sans enfants, sans vie de famille. elles me donnent envie de me noyer dans le travail mais j’y arrive pas. cybille et Ă©lĂ©onore aussi me donnaient envie de me noyer dans le travail. pourquoi j’arrive pas Ă  me noyer dans le travail?
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marie-chatelaine · 2 years
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Le bonheur est donné à tout le monde
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Tu n'as qu'Ă  voir
Comment ça rigole avec toi
Ou aller jouer au ballon.
Comment ça grimpe au mur ?
La premiĂšre lumiĂšre du matin.
Vous voyez - et il n'y a pas de problĂšme,
Tous les problĂšmes sont sans importance.
Le bonheur est donné à tout le monde
Dans de doux nuages ​​blancs
Au soleil jaune vif
Et dans le sable sur les mains.
Quelqu'un sourira au monde
Le monde vous sourira en retour.
Le bonheur est donné à tout le monde.
- 🎹Anna Ermolaeva -
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Ce matin, pour pouvoir participer Ă  un cours de cuisine khmer, nous nous levons tĂŽt. Non pas que ce soit un problĂšme, les poules m'ayant rĂ©veillĂ©e Ă  5h30 (en mĂȘme temps que les villageois en fait, qui sont tous levĂ©s Ă  cette heure lĂ ...).
Nous partons donc prĂ©parer un bon curry façon locale, avec petit tour du marchĂ© pour faire nos courses ! On passe par la case coco, oĂč surprise, on n'en boit pas l'eau, mais on rĂ©colte la chair de façon ... OptimisĂ©e.
La préparation du repas se fait sur un tapis par terre, et je découvre au passage que le tamarin tùche les doigts d'un joli orange qui met des heures à disparaitre. Nous passons donc une bonne heure à réduire en bouillie herbes et condiments divers (ail, tamarin, galanga, citronnelle, piment) dans le mortier, c'est cathartique.
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On fait ensuite du lait de coco à partir de la noix de coco rùpée (il suffit de rajouter de l'eau et de presser vigoureusement), Clémentine s'en met absolument partout en pressant trop fort entre ses mains, on rigole bien ! (Sauf elle, étonnamment.) On met tout ça à cuire, et on nous annonce que c'est bon, le cours est fini ! Il est donc 9h15, c'était censé durer jusqu'à midi ... Qu'à cela ne tienne, on demande à mettre le curry de cÎté pour notre repas de midi, et nous partons vaillamment en kayak à l'assaut de la riviÚre.
AprĂšs 30 minutes Ă  s'emmĂȘler les rames, on en a marre, on trouve donc un coin de berge/jardin abandonnĂ© pour tirer le kayak et se poser, ... et dĂ©cidons de partir au bout d'une heure quand la table et les bancs s'Ă©croulent littĂ©ralement sous nous.
La suite de cette histoire variant totalement en fonction du protagoniste, je vous fournirai donc mon point de vue de cette aprÚs midi ensoleillée (trop de soleiiil, chauuuuud). Nous décidons avec Dr Rathatton de partir à la recherche d'une jolie cascade située à 5km du centre (selon le plan). La dame de l'accueil nous dit qu'il faut un guide pour y aller parceque ce n'est pas balisé (à 30$ la journée, tu m'étonnes qu'elle ne veuille pas qu'on y aille seules...), On décide de tenter notre chance et de rentrer si on ne s'en sort pas. A notre surprise, le chemin non balisé ressemble à ça :
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Du coup ça va, on se lance sans trop de stress. On tombe sur quelques zones en cours d'exploitation (vive la déforestation à la barbare) qui gùchent un peu le chemin, mais rien de grave. (Enfin rien de grave pour nous hein, parceque en ce qui concerne le paysage, je vous laisse juges ...)
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On n'est pas du tout dans la jungle luxuriante à laquelle on s'attendait, mais la balade reste sympa. On passe d'ailleurs devant des champs (?) de culture de bambous gardés par des chiens trÚs vocaux et trÚs glandus qui se contentent de nous hurler dessus de loin (tant mieux).
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Et puis au bout de 30min de marche, aprÚs un mauvais embranchement et un petit retour sur nos pas, mon Dr Rathatton préféré décide que finalement, le hamac de hier la tente vaaaaachement plus que de crapahuter sans certitude de trouver quoi que ce soit, et m'abandonne donc lùchement à mon triste sort. (Je m'en fiche, c'est moi qui ai le goûter et l'anti-moustique dans le sac !)
Étant donnĂ© que nous avons estimĂ© une heure et demie pour faire la balade, mon heure limite pour faire demi-tour est 16h30. C'est donc absolument pas stressĂ©e, tout Ă  fait sĂ»re de moi, et pas du tout Ă©puisĂ©e que j'arrive Ă  la cascade Ă  16h17, passe 8 minutes sur place, et repars.
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Je regrette juste de ne pas avoir pu m'y poser un peu plus, c'Ă©tait quand mĂȘme magnifique !! Niveau animaux sauvages, j'ai vu beaucoup de trĂšs beaux papillons sur le chemin, fait fuir des volĂ©es de vaches, et esquivĂ© quelques chiens et motards, pas de singe pour aujourd'hui.
Pendant ce temps là, Dr Rathatton glande dans son hamac et ne se soucie pas le moins du monde de sa camarade de marche en train de décéder de déshydratation. Shame.
J'arrive avec le soleil couchant (la cascade Ă©tait donc Ă  5km de la riviĂšre, pas du village, ce qui rallonge suffisamment mon temps de trajet pour ĂȘtre obligĂ©e de piquer un footing pour arriver dans les temps!), vide la gourde de Clem, et on repart pour le village, oĂč nous attendent un bon repas et une discussion trĂšs sympathique avec notre hĂŽtesse (la maĂźtresse d'Ă©cole qui fait cours aux enfants de 6-8 ans en bas de chez nous!)
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mijureunion · 2 years
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Aujourd'hui (hier, j'Ă©cris toujours avec un jour de dĂ©calage, vous avez suivi ?), on a fait une des sorties DE BASE, incontournable... On est allĂ©s dire bonjour au volcan ! 🌋
Bon du coup au dĂ©part du Tampon assez tĂŽt le matin, pour maximiser les chances d'arriver sur place avant les nuages. Bon on n'est pas non plus des randonneurs aguerris hein, eux se lĂšvent Ă  4h du matin pour ĂȘtre dans l'enclos Ă  5h. Pas nous !
Pour commencer, la route serpente encore salement. Ça devient une blague Ă  force, quand Camille me dit "c'est TOUT DROIT, enfin autant que possible quoi"... On prend la route qui monde du Tampon vers la plaine des cafres, ça tourne dĂ©jĂ  bien. La route du volcan, qui monte, fait le tour de la ravine, pour aller du bon cĂŽtĂ©, ça tourne encore pas mal. Mais ce n'est pas encore le pire de la route. Ça viendra, ne vous inquiĂ©tez pas...
Premier arrĂȘt : le cratĂšre Commerson ! Reconnaissable parce qu'il est cassĂ©, vous allez voir :
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On est Ă  2300m d'altitude !
On reprend la voiture vers un autre paysage impressionnant : la plaine des sables ! Photo avant blabla :
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Des lacets donc, encore. Mais ça, ça va. C'est la piste qui traverse la plaine vers le volcan, le pire ! CreusĂ©e de trous dans tous les coin, ça bouge plus que dans les manĂšges Ă  sensation, sauf que ça dure 10/15 min ! De toutes maniĂšres on s'y est arrĂȘtĂ©s parce que le paysage lunaire est magnifique, et qu'en plus on voulait y ramasser des olivines (https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Olivine#). On se baisse, on fouille un peu les graviers et on trouve plein de cristaux !
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La plaine des sables, une autre planĂšte.
Donc on suit la route qui traverse la plaine, et on arrive au pas de Bellecombe. Bon, on a eu du mal Ă  se garer hein, c'est le point Ă  touristes d'oĂč partent toutes les randos. LĂ , on est en hauteur, au bord de ce qui s'appelle l'enclos. C'est l'ancien site du Piton de la Fournaise, mais il s'est Ă©croulĂ© sur lui-mĂȘme il y a 65000 ans, et les falaises qui l'entourent depuis forment un enclos naturel. Une grande majoritĂ© des Ă©ruptions qui ont lieu sont dans l'enclos, par le cratĂšre du piton ou pas, et coulent, parfois jusqu'au grand brĂ»lĂ©, c'est Ă  dire la zone qui va de l'enclos, Ă  flanc de montagne, jusqu'Ă  la mer.
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On voit bien les falaises qui entourent l'enclos du piton de la Fournaise !
Un escalier descend en serpentant le long de cette falaise, pour aller dans l'enclos mĂȘme. Donc on l'a pris !
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La grosse dune au premier plan est le Formica Leo, un ancien cratĂšre.
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Et le voilà quand on y est passé !
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Bon moi j'ai filmé un peu, mais je trierai les vidéos plus tard !
Vous voyez les falaises derriĂšre ? C'est de lĂ  qu'on vient !
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Dans l'enclos, entre le pied des falaises et le Formica Leo !
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Lave cordée, marcher dans l'enclos c'est laborieux parce que rien n'est plat ! Plus les coulées sont récentes, plus elles sont noires et friables (et donc casse-gueule !). On monte et on descend sans cesse, aprÚs avoir descendu le Grand escalier de la falaise, c'est pas reposant !
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Une fois qu'on est remontés (bien laborieusement encore !), on a pris un petit repas au snack qui est au pas de Bellecombe. Beaucoup de monde, un tout petit snack sans électricité, qui fonctionne donc au solaire, et un monsieur tout seul face aux hordes de randonneurs affamés. Bon comme d'hab j'ai pris... Un pain-bouchons ! C'est donc l'heure de mettre à jour notre classement :
Étang salĂ©
Front de mer de saint-pierre
Conservatoire botanique des Mascarins
Saint-Gilles devant l'aquarium
Pas de Bellecombe
C'Ă©tait bon quand mĂȘme hein ! Mais bon, le prix est du simple au double par rapport Ă  d'autres qu'on a mangĂ©, et il n'Ă©tait pas fou fou. Je ne jette pas la pierre au monsieur qui faisait tout tout seul, y compris les sandwichs au fur et Ă  mesure des commandes, mais la comparaison avec les autres est rude !
AprĂšs ça, pause plus longue dans la plaine des sables au retour, pour profiter du paysage et chercher encore des olivines, et puis retour au Tampon bien fatiguĂ©s ! De lĂ , on a repris les valises temporairement dĂ©posĂ©es de nouveau chez Nicole est Bruno, pour aller chez Annick et Éric, des amis trĂšs proches de la famille qui nous hĂ©bergent jusqu'Ă  notre dĂ©part ! Plus de dĂ©mĂ©nagement jusqu'Ă  l'avion donc !
Dans l'article de demain, encore plus de lave ! Mais pas que...
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christophe76460 · 2 months
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PriĂšre contre l'assoupissement spirituel.
L'assoupissement spirituel est un véritable fléau dans le corps de Christ. L'ennemi attaque en premier lieu la vie de priÚre et la vie de méditation de la parole de Dieu parce qu'il sait que si ces fondements sont ébranlés, le reste n'aura rien sur quoi se reposer et tombera aussitÎt.
Par tomber, on entend:
- l'endurcissement du coeur;
- la perte de la sensibilité au Saint-Esprit;
- et éventuellement le retour dans le monde et au péché (la rétrogradation spirituelle).
DÚs que les premiers signes sont présents: Somnolence pendant les temps de priÚre; absence de motivation au moment de pratiquer une activité spirituelle (priÚre, jeûne, méditation de la parole); attaques alors que vous pratiquez une activité spirituelle... Vous devez réagir vite! En effet, plus vous tardez à réagir, plus vous laissez à l'ennemi le champ libre pour aggraver votre situation en vous détournant complÚtement des voies de Dieu.
L'assoupissement spirituel est en rĂ©alitĂ© une maladie spirituelle et comme toute maladie, elle a des symptĂŽmes. Le problĂšme est que lorsqu'on est pris dans les impĂ©ratifs du quotidien, on peut ne pas se rendre compte qu'on lit de moins en moins la bible, qu'on passe de moins en moins de temps dans la priĂšre, qu'on ne parvient plus Ă  jeĂ»ner, parfois qu'on perd mĂȘme en puissance au niveau de nos dons spirituels.
Pourtant, dÚs lors que l'on se rend compte que notre esprit s'assoupit, réagir suffisamment tÎt dans la priÚre peut vite inverser les choses.
PriĂšre contre l'assoupissement spirituel.
PĂšre CĂ©leste, Dieu d'Abraham, Dieu d'Isaac, Dieu de Jacob et notre Dieu,
Tu dis dans ta parole que nous devons entrer dans tes portes avec des louanges et dans tes parvis avec des cantiques. Ainsi je tĂ©moigne ma reconnaissance tout d'abord pour le don gratuit du souffle de vie que tu m'as encore renouvelĂ© aujourd'hui ainsi que pour ta protection tout au long de mes nuits. PĂšre cĂ©leste je sais que si je peux me rĂ©veiller tous les matins c'est parce que l'ange de l'Éternel veille sur moi et m'arrache de tout danger. Merci Ă©galement pour toutes tes bontĂ©s que tu dĂ©verses quotidiennement dans ma vie.
PĂšre cĂ©leste, je viens aujourd'hui combattre par ton esprit, l'assoupissement spirituel dont je crois ĂȘtre atteint(e).Je viens solliciter ton aide Seigneur pour que l'esprit derriĂšre cette maladie soit exposĂ© et dĂ©logĂ© dans le nom puissant de JĂ©sus-Christ. Aide-moi Ă  identifier les portes que j'aurais pu, par nĂ©gligence ou ignorance, laisser ouvertes et qui ont permis Ă  l'esprit d'assoupissement spirituel de m'attaquer et apprend moi Ă  les fermer. Si ce sont les soucis de ce monde qui m'ont Ă©loignĂ©(e) de ta prĂ©sence et qui ont permis Ă  l'esprit d'assoupissement de venir s'installer dans ma vie, je m'en repens! Donne-moi un coeur qui te soit entiĂšrement consacrĂ© et qui ne se corrompt plus par les soucis de ce siĂšcle! Ta parole dĂ©clare que tu es le cep et que nous les sarments et que sans toi nous ne pouvons rien faire... Je sais Seigneur que si je ne te reste pas attachĂ© par la priĂšre et la mĂ©ditation de la parole, le sarment que je suis va dessĂ©cher et mourir. Par consĂ©quent, j'implore ton secours dans ce combat que je mĂšne contre l'esprit d'assoupissement car je sais que mĂȘme si je vais contre lui avec les armes que tu nous a donnĂ©es dans ta parole, c'est toi qui en dĂ©finitive accordes la dĂ©livrance!
Je chasse tout esprit mĂ©chant derriĂšre ce problĂšme d'assoupissement spirituel. Je proclame que je suis le temple du Saint-Esprit et que j'ai Ă©tĂ© mis(e) Ă  part par le Seigneur pour ĂȘtre en relation avec lui et pour porter du fruit. Par consĂ©quent, je dĂ©clare qu'aucun esprit mĂ©chant ne m'empĂȘchera de communier avec mon PĂšre CĂ©leste par la priĂšre et la mĂ©ditation de la parole et je dĂ©clare que je porterai du fruit en chaque saison spirituelle.
Esprit d'assoupissement spirituel, je te réduis en un tas de poussiÚre et je fais de toi un sujet de désolation, de dévastation, d'opprobre et de malédiction! Je t'ordonne, en vertu des pouvoirs que j'ai en Jésus-Christ, de sortir de ma vie à compter de ce jour et de t'en aller errer dans les lieux arides! Je marche sur toi et tes oeuvres et je proclame que plus jamais tu ne me nuiras dans le nom de Jésus-Christ!
Je proclame maintenant que je suis touchĂ©(e) par un feu ardent pour ĂȘtre dans la prĂ©sence de Dieu par la priĂšre, la mĂ©ditation de la parole ainsi que toute autre activitĂ© spirituelle. Je chausse de nouveau le zĂšle qu'apporte l'Ă©vangile de paix et je proclame que par moi, plusieurs nations deviennent des disciples de Christ! Je proclame que par mon zĂšle, je deviens un sujet d'Ă©tonnement pour ma gĂ©nĂ©ration dans le nom de JĂ©sus! Je dĂ©crĂšte que je suis maintenant habitĂ©(e) par une grande soif de Dieu et que cette soif est communicative!
Merci PĂšre Éternel, car aujourd'hui tu m'as exaucĂ©(e)! J'ai dit cette priĂšre au nom puissant de JĂ©sus-Christ! Amen!
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claudehenrion · 1 year
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Le monde est fou... Et la France, donc...
 Je ne sais pas si certains d'entre vous, chers Amis-lecteurs, ressentent parfois le vertige qui me prend, Ă  la lecture de mes ''quotidiens du matin'' que, habitant Paris, je trouve dĂšs potron-minet, devant la porte de mon appartement. Et en ces heures sombres oĂč tout chancelle autour de nous, c'est chaque jour que je suis pris de crises de rage –ou de fous-rires, c'est selon-- devant la folie du monde... et de la France, pays particuliĂšrement douĂ© pour se tirer des balles dans les pieds... Sans donner de rĂ©fĂ©rence (cf. Loi Evin), choisissons un jour... Aujourd'hui ? Chiche !
Rassurez-vous : je ne vais pas vous imposer la 6895 Ăšme version (mise Ă  jour) des Ă©lucubrations  de nos responsables-coupables sur le retour de la vaccination (ou celle des nouveaux-nĂ©s), sur l'inflation et ''les idĂ©es gĂ©niales des français pour la contourner'', sur les menaces du giec pour le climat... et de ''libĂ©'' pour ceux qui achĂštent ''Les apprentis sorciers''--toujours caracolant en tĂȘte des ventes et des ''notes des lecteurs'' (on comprend que les pauvres d'esprit en perdent, de jalousie, le peu de cervelle qui leur restait !), ou la guerre en Ukraine, les aventures du 49-3, les dĂ©bordements des solines et des jeunes biberonnĂ©s aux idĂ©es de la Gauche... Tout ça, c'est de la routine, notre ''quotidien, en ''Absurdistan'' : c'est l'immonde ''rata'' qu'on vous sert ''ad nauseam''.  Je vais vous parler de ce qui ne fait pas les titres... donc qui est vraiment important pour notre prĂ©sent... ou notre avenir...
Un titre, pour commencer, a captĂ© mon attention : il est Ă  la fois, rigolo, exact, et dĂ©calĂ© par rapport Ă  l'indulgence que tout journaleux s’imagine devoir porter, par systĂšme, par dĂ©formation ''dans la masse'' et par (mauvaise) Ă©ducation, Ă  tout ce qui vient de Gauche : on a l'impression que ''plus le comportement de la Gauche est intolĂ©rable'' et ''plus mĂ©dias et politiciens sont prĂȘts Ă  tout excuser''... Ce titre magnifique et mĂ©rité ? ''Hidalgo, reine des ordures''. L'article est rĂ©jouissant (on dit, en français ''d'avant'' : ''ça fait du bien par oĂč ça passe '', car ça fait longtemps que les français ont perdu l'habitude de rencontrer des choses vraies, sur les mĂ©dias...
''Notre capitale brĂ»le et Anne Hidalgo regarde ailleurs. Depuis le 6 mars, les dĂ©chets immondes s’amoncellent dans les rues de Paris. Les rats (’’surmulots’’ ?) s’épanouissent, et le ''clip'' de Pierre Perret ''Paris saccagĂ©'' dĂ©passe 1,3 million de vues sur YouTube. Les Parisiens s’exaspĂšrent et (Ă  plus de 2 sur 3), se disent mĂ©contents de notre drame Ă©colo-socialiste (sondage Ifop- le Figaro), dĂ©noncent son inaction et son inconsĂ©quence et ils rĂ©clament un “service minimum”. Mais, enfouie dans ses dogmes, ses fantasmes et ses stĂ©rĂ©otypes, Anne Hidalgo rĂ©pĂšte : ''J’apporte mon soutien total, entier, Ă  ce mouvement social'', dont elle nie nie qu'il ait besoin d'une rĂ©ponse urgente (NB : au 20 mars, il y avait ± 10 000 tonnes d'ordures dans Paris... et la mairie de Paris encourage ses agents Ă  faire grĂšve). ''Anne Hidalgo a annoncĂ© qu’elle fermait parfois la mairie pour encourager ses agents Ă  se mettre en grĂšve'', a d’ailleurs cru bon de rappeler l'insupportable Gabriel Attal, le ministre du Budget, parfait dans le rĂŽle du pompier pyromane.
Le fait est qu'Anne Hidalgo se fout du sort des parisiens, et lorsque Laurent Nuñez, prĂ©fet de police, a demandĂ© Ă  Mme le maire de Paris de rĂ©quisitionner les agents municipaux, la rĂ©ponse fut claire : ''La situation (...) que vous Ă©voquez est entiĂšrement imputable Ă  la volontĂ© du gouvernement de lĂ©gifĂ©rer pour reculer l’ñge lĂ©gal de dĂ©part Ă  la retraite''. Na ! ''CĂ© çui qui l'dit qui l'est''. Le troisiĂšme acte de l'opĂ©ra-''bouffon'' ''Hidalgo et ses poubelles'' a commencĂ© le 21 mars : ''J’ai pris la dĂ©cision d’activer la cellule de crise de Paris, qui mobilisera les adjoints, les maires d’arrondissement, le secrĂ©tariat gĂ©nĂ©ral de la Ville et les directeurs concernĂ©s. Elle se rĂ©unira tous les jours'' (NB : Chic ! Un comitĂ© ThĂ©odule de plus !)
 soi-disant pour suivre l’évolution de la collecte des dĂ©chets et permettre ''la continuitĂ© du service public''. Et donc... permettre la continuitĂ© du blocage des centres de tri des dĂ©chets et des incinĂ©rateurs, et celle du non-ramassage des poubelles, pour qu'on puisse  y mettre le feu Ă  chaque ''manif''. Mais n'attendez rien d'autre : cette pĂ©troleuse se croit intelligente. Et c'est ça, sans doute, qui est le plus grave !
Le second article dont je voudrais vous parler est intitulĂ©, dans une rubrique   ''Ça se passe en France'' : Grenoble ou l’art de l’islamo-collaboration. ''À Grenoble, l’islamisme est dĂ©cidĂ©ment une valeur sĂ»re ! AprĂšs avoir dĂ©fendu le port du ridicule burkini dans les piscines de la ville, le maire Ă©colo-islamiste, Éric Piolle revient Ă  la charge avec une sĂ©rie d’affiches prĂ©tendues “contre le racisme”. Sur l’une d’elles, une femme voilĂ©e avec un sous-titre explicite : “J’ai deux fois moins de chances d’obtenir un entretien d’embauche.” Sur une autre, un homme ostensiblement d’origine maghrĂ©bine affirme avoir “27,4 % de chances en moins d’accĂ©der Ă  la location d’un logement” (en moins que qui, oĂč, quand ? Motus !). Cette initiative ''pousse-au-crime'' prĂ©tend ''dĂ©noncer les discriminations raciales intolĂ©rables subies par certains de nos concitoyens'', explique Laura Pfister, adjointe chargĂ©e de l’égalitĂ© des droits. Cette campagne, Ă©videmment, n'a d'autre finalitĂ© que de crĂ©er le scandale. Sur Twitter, Gilbert Collard ironise : ''La mairie â€œĂ©colo” de Grenoble fait la promotion du voile islamique et elle assimile Ă  du racisme toute opposition Ă  cet instrument de soumission de la femme”. Faux Ă©colo, ou vrai islamo-gaucho ?
Quant au troisiĂšme article retenu, il est presque encore plus incroyable. Son titre ? ''PremiĂšre naissance en France d’un enfant issu d’un couple transgenre''. La lecture en vaut son pesant de cacahuĂštes (chaque mot Ă©veille --ou cache-- un cauchemar) : ''À Bourges (Cher), un homme, nĂ© femme, a accouchĂ© d’un enfant qu’il a conçu avec sa compagne, nĂ©e homme. La conception aurait Ă©tĂ© Ă©tĂ© faite naturellement (NB : ''sic !'', ou ‘’???’’ ?). Avec ses 3,640 kilos et ses 50 centimĂštres, Avah se porte bien. Les soignants de la maternitĂ© ont fait tout leur possible pour accueillir au mieux cet enfant du progrĂšs (re-''sic !'' Qu'est-ce qu'il ne faut pas lire !) et fait le maximum pour se rapprocher le plus possible d’une situation classique'', Ă©crit le Berry, qui poursuit : ''Les deux parents transgenres, Victoire (la pĂšre, enfin... presque) et MattĂ©o (le mĂšre, enfin... presque), ont saluĂ© le professionnalisme des soignants, avant de reprendre leurs traitements hormonaux, suspendus en vue de cette grossesse. Leur rĂȘve rĂ©alisĂ©, le couple ( ? ) s’est promu le porte-parole de l’idĂ©ologie (?) transgenre''. En français non Piolle : la folie est sortie des asiles ! Comment ne pas peser Ă  la bĂȘtise absolue, celle d’AgnĂšs Buzyn de triste mĂ©moire qui osait affirmer en direct (sur LCP le 20 avril 2020) que : ‘’le pĂšre peut ĂȘtre une femme, une altĂ©ritĂ© dans la famille, des oncles, une grand-mĂšre’’. VoilĂ  le niveau oĂč Ă©volue et se vautre le progressisme macroniste !
Pourtant, tout est loin d'ĂȘtre si simple, cĂŽtĂ© administratif. MattĂ©o Ă©tant un homme pour l’état civil, son dossier de grossesse est bloquĂ© Ă  la SĂ©curitĂ© sociale. Il dĂ©plore qu’on lui ait accordĂ© un congĂ© paternitĂ©, et non de maternitĂ©, alors qu'il est --tenez-vous bien-- mentionnĂ© comme Ă©tant “la mĂšre” sur le livret de famille, mais qu’il aurait souhaitĂ© apparaĂźtre comme “le pĂšre”, et vice (si j'ose) versa
 En rĂ©sumĂ©, ne cherchez pas l’erreur : elle est partout ! Quant au pauvre enfant... on ne sait s'il faut lui souhaiter de savoir par quels artifices contraires Ă  la nature il est lĂ ... ou s'il vaudrait mieux pour lui qu'il ignore Ă  jamais qu'il a pour pĂšre sa mĂšre et pour mĂšre son pĂšre... et tout ce qui en dĂ©coule. Pauvre bĂ©bĂ©, sacrifiĂ© Ă  un militantisme pervers, Ă  un Ă©goĂŻsme dogmatique et Ă  la dinguerie du temps... Ô tempora, ĂŽ mores (= ils sont fous, ces berrichons, pour ObĂ©lix), Ă©crivait CicĂ©ron en l’an --100...
Un ''bordel'' (c'est un mot ministĂ©riel) organisĂ© par une mairie pour ''emmerder'' (c'est un mot prĂ©sidentiel) ses  ''assujettis''...  un maire qui promeut une idĂ©ologie qui va le balayer... un pauvre bĂ©bĂ© qui est un dĂ©fi Ă  toute intelligence et Ă  toute humanitĂ©... La France, matraquĂ©e au rĂ©el comme au figurĂ©, n'est plus qu'une Absurdie macrono-progressiste. Quand on entend dire, partout, que notre ''roi-enfant'' (pour revenir Ă  EzĂ©chiel) aurait ''perdu la main'' au point d’ĂȘtre ''vraiment mal barrĂ©'' Ă  force de nous mentir, sur tout, d'avoir tout faux, sur tout, de se foutre de notre gueule, sur tout et de nous mĂ©priser sur tout... on se met Ă  espĂ©rer que les vƓux des 85 % de français qui ont ''ras le bol'' de ce rĂšgne ratĂ© se rĂ©alisent asap...
Combien de temps faudra-t-il pour que disparaissent tous les relents, les remugles, et le souvenir des idées perverses et intrinsÚquement mortifÚres qui ont empuanti notre France pendant les trois derniers quinquennats (Hollande, Macron 1 et Macron 2... s'il arrive à son terme, pour notre grand malheur). Dans quel état serons nous, aprÚs tant d'années de soumission au grand torrent liberticide et déshumanisant du progressisme destructeur ?
H-Cl.
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jefrozyul · 5 months
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Les non-binaires au nom de la parité?
La convention de Québec Solidaire était malaisante en ta***.
Alors que le parti politique se réunissait à Gatineau pour le vote de la prochaine co-porte-parole femme, un vote confiance pour Gabriel Nadeau-Dubois et des propositions. Or, le parti s'est retrouver dans l'eau chaude à propos de la parité.
Les hommes sont désormais exclu des candidatures d'élection partielle. Mais on nous dit que c'est temporaire.
Qui croit vraiment Ă  ce genre de parole?
Recherche de parité
QS qui se veut progressiste nous démontre une fois de plus que la gauche canadienne se radicalise au nom de la diversité, l'inclusion... et par conséquence la discrimination.
Alors qu'il compte plus de 8 hommes et 4 femmes, c'est pas demain matin ou mĂȘme avant 2026 que la paritĂ© va ĂȘtre exaucĂ©. Pour eux, il croit d'une Ă©lection partielle peut tomber du ciel Ă  tout moment comme leur version fantasmĂ©e de la transition Ă©cologique donc la doctrine est plus qu'un rĂȘve au lieu d'un avenir envisagĂ©.
Pourtant, ces derniers sont hypocrite à un tel point qu'ils ont réussi à faire élire Guillaume Cliche-Rivard dans la partielle de Saint-Henri--Sainte-Anne en mars 2023 sans critiques. Mais cette de Jean-Talon en octobre 2023 fut l'électrochoc tout ça à cause d'une personne qui voulait influencer le vote des membres.
N'empĂȘche que cette Ă©pisode nous sert de devoir mĂ©moire soi-disant que ce parti est visiblement condamnĂ© Ă  s'enfoncer dans ses idĂ©ologies qui sont majoritairement dĂ©connectĂ© de la rĂ©alitĂ©. Est-ce que la construction sociale du candidat va changer de quoi aux crises actuelles?
En autre la question est: Est-ce que QuĂ©bec Solidaire rĂȘve d'un monde sans les hommes pour l'instant?
On aurait pu s'attendre à un retour de flamme massif fasse à cette proposition mais QS est comme Cuba aux moindres critiques de la gouvernance. Mais quelle réalité minable dans ce parti politique, seul Olivier Bolduc claque la porte à tous jamais avec courage. On est trÚs loin des réponses d'Alexandre Leduc et Etienne Grandmont qui se rangent derriÚre la banalisation de la discrimination positive.
Ne cherchons pas à trouver des raisons pour contourner la réalité des mots. Il y a désormais une présence naissante de misandrie chez Québec Solidaire.
Ne nous inventons pas de scénarios mais il est possible que Québec Solidaire exagéra prochainement en se plaignant à nouveau parce qu'il n'y a pas assez de diversité au sein de la formation et vont faire la une pour avoir adopter une proposition raciste soit bannir les candidatures de personnes blanches.
Manon Massé misandre?
Voilà la piÚce pyrotechnique de cette folie misandre soit la députée de Sainte-Marie--Saint-Jacques qui approuve une telle sottise. Rappelons la circonscription que représente Manon Massé compte le quartier montréalais Le Village (Le Village Gai pour les vieilles ùmes) qui abrite la communauté LGBTQ+. Massé met elle son siÚge en jeu pour 2026?
Est-ce les femmes transgenres peuvent devenir misandre ou encore les hommes transgenres peuvent devenir sexiste? Question difficile à répondre.
Tout fois rappelons nous le bonheur LGBTQ+ n'est qu'aujourd'hui de façade et s'assombrit.
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erotiqueb · 6 months
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Pensées interdites, pt.1
Je suis dĂ©masquĂ©, mes amis m'ont vu la suivre du regard. Il faut croire que mes lunettes ne sont pas aussi fumĂ©es que je le souhaiterais. Je les connais: ils vont tout faire pour me pousser Ă  aller l'aborder, et je trouve ça ridicule. On n'est plus au secondaire, bordel. Bon, certains diraient qu'on n'est plus au cĂ©gep, ni Ă  l'universitĂ© non plus, « faque dĂ©niaise ». Mais je fais ce que je peux, je l'ai pas l'affaire avec les filles. Peut-ĂȘtre parce que je les trouve tellement belles que je suis trop impressionnĂ©, je sais pas. En tous cas, la fille qui vient de passer sur la plage - ah merde, quand mĂȘme, j'espĂšre qu'ils n'ont pas vu prĂ©cisĂ©ment oĂč je la regardais. Des fois, j'ai un peu honte de regarder les filles comme ça. Mais
 ses seins qui tenaient Ă  peine dans le maillot
 son fessier en forme de cƓur, my god je me vois juste en train de le claquer pendant que je suis derriĂšre elle. Je me sens mal de penser Ă  des choses comme ça. Je suis fĂ©ministe, j'ai un Ă©norme respect pour les femmes.
– Gros, fais-donc un moove. Ça fait genre deux ans que tu vis comme un espĂšce de moine le gros, dĂ©niaise.
C'est mĂȘme pas la peine de tenter mon classique « pff, de quoi tu parles », je me suis fait prendre Ă  la dĂ©visager grossiĂšrement. Et comme je le craignais, tout le monde me pousse Ă  me lever et partir Ă  la chasse de cette inconnue qui n'a rien demandĂ©. AprĂšs un long dĂ©bat inutile, je finis par obtempĂ©rer mais, fin renard, je compte bien aller marcher n'importe oĂč, parler Ă  personne, puis revenir en disant que je n'ai pas retrouvĂ© la fille. Je me lĂšve et m'Ă©loigne en bougonnant. Je me dis que je vais aller chercher la caisse de biĂšre Ă  notre terrain de camping.
Ah non! À peine rendu dans le stationnement que je l'aperçois. Elle est loin, elle ne me voit pas. Elle a tellement l'air cool. Respire. Ok, faut que tu lui dises salut.
Impossible. Voyons, dire salut Ă  une inconnue, tu penses qu’elle va rĂ©pondre quoi? C’est sĂ»r qu’elle va dire: « est-ce qu’on se connaĂźt? »  Malaise. Demander l’heure? Ok le gĂ©nie, pis aprĂšs tu enchaĂźnes avec quoi?
Merde on est dĂ©jĂ  trop proche, je panique. Fais un sourire, montre-lui au moins un intĂ©rĂȘt. À la derniĂšre seconde, je rĂ©ussi Ă  faire une face quelconque que j'espĂšre souriante, et je la regarde droit dans les yeux. Ouf! Mon cƓur a fais un petit battement de travers, dĂ©jĂ , mais voilĂ  qu'elle me sourit en retour! Et pas un demi sourire forcĂ© lĂ . À peine ai-je le temps de regarder par terre super vite comme un plouc en marchant crispĂ© qu'elle est dĂ©jĂ  loin.
Mais je me fĂ©licite d’avoir eu le courage de faire un contact visuel. Je chante pour moi-mĂȘme « elle m’a sourit, oh yeah, elle m'a sourit » en faisant de trĂšs subtils petits pas de danse jusqu'au terrain.
Le haut de son bikini presque trop petit pour sa poitrine
 Il faut que j'arrĂȘte d'y penser. On dors quand mĂȘme plusieurs dans une mĂȘme tente ce soir, il faudrait pas que je me mette Ă  rĂȘver Ă  des trucs, ça serait le comble de la honte
 (et on pouvait voir un peu le dessous de ses seins, un tout petit peu). Juste se rĂ©veiller bandĂ© le matin, en gang, c'est dĂ©jĂ  assez malaisant
 (passer la langue juste sur la partie qu'on voit, en dessous du sein, sans enlever le maillot). Ça devrait aller, je suis habituĂ© de me contenir parce qu'avec ma profession, je me dois d'ĂȘtre irrĂ©prochable
 (peut-ĂȘtre lever le maillot mais, juste un peu, en glissant un doigt sur le cĂŽtĂ©).
Mon travail, j'avais presque oubliĂ©. Ça me fait penser Ă  une cliente que j'ai eue avant de partir en vacances. Rousse, toute menue, j'avais peur de la casser en faisant son traitement. Elle me suppliait de faire craquer son dos, elle me disait comment ça lui ferait du bien. Il y a certaines manipulations qui sont plus difficiles Ă  faire. Des fois on doit appuyer notre flan et notre hanche contre le corps de la patiente et donner un coup sec, pour ajuster une vertĂšbre.
Pendant les traitements, je me préoccupe uniquement de la santé des patients. Il faut juste que j'évite de repenser à certaines clientes le soir quand ma journée est terminée. Sinon, je pourrais me mettre à m'imaginer des trucs et perdre le contrÎle lors du rendez-vous suivant. Pas le contrÎle de mon corps - jamais je ne ferais quelque chose d'inapproprié - mais le contrÎle sur mon cerveau.
Je ne peux pas me permettre de remarquer les taches de rousseur sur les joues de cette fille et ses lĂšvres naturellement rouges. Je ne peux pas penser Ă  sa petite taille fine de cette façon-lĂ , parce que je dois la toucher quand elle se penche devant moi pour que j'Ă©value sa posture. Il ne faut pas que je l'imagine dans un film qui se passe en Irlande, courant sur une falaise, ses cheveux roux qui s'emmĂȘlent au grand vent, et qu'elle se retourne et me regarde avec ses yeux verts perçants. Je m'interdit formellement de vouloir prendre Ă  deux mains ses petits seins, les lĂ©cher au complet, sucer le bout, lĂ©cher encore, embrasser en dĂ©vorant, prendre ses poignets minces, immobiliser ses bras au dessus de sa tĂȘte, les attacher Ă  la table avec du kinesio-tape, descendre embrasser autour de son nombril, descendre encore, arracher son sous-vĂȘtement avec mes dents, Ă©carter ses jambes, la lĂ©cher partout sauf oĂč elle me supplie de lĂ©cher. Et lĂ  j'aurais un condom et du lubrifiant tout prĂȘts, je lui passerais mon sexe sur la chatte jusqu'Ă  ce qu'elle me supplie encore, et lĂ  j'entrerais mais juste un peu, et je ferais des tout petits mouvements pour la faire souffrir, puis je sortirais. Elle se tortillerait, elle en voudrait plus. J'entrerais encore, juste un peu plus, et je resterais sans bouger, et elle essayerait de pousser son bassin pour me faire entrer plus profondĂ©ment mais je l'aurais attachĂ© au niveau des hanches aussi, j'ai l'Ă©quipement pour le faire. J'ai aussi des appareils de massage qui vibrent, pour les traitements. Je lui en mettrait un sur le clitoris, puis quand elle n'en pourrait plus, j'entrerais d'un coup, au plus profond. Je resterais lĂ  un moment, je la sentirais se contracter et ensuite je donnerais des coups forts, je la baiserais comme un animal jusqu'Ă  ce qu'elle jouisse super fort.
Non, vraiment, si je m'autorisais Ă  rĂȘvasser Ă  des choses comme celles-lĂ , ça deviendrait impossible de me concentrer au travail.
Je me souviens ce que je suis venu faire au campement en mĂȘme temps que je me rend compte que je suis malencontreusement en Ă©rection. Il faut faire passer ça. D'habitude, je sais me contenir. Il m'arrive de craquer mais, juste quand je suis seul Ă  la maison, les rideaux fermĂ©s. Certainement pas au cours d'une fin de semaine de camping avec les boys. VoilĂ  qui fait le travail, penser Ă  eux diminue drastiquement mes ardeurs.

à suivre
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marie-daniel · 6 months
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Tous les matins du monde sont sans retour.
Pascal Quignard
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lalignedujour · 10 months
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Il y a eu cette fille dans le groupe, du jeudi au dimanche Ă  Amsterdam. Le samedi, elle a avouĂ© aux autres filles de la chambre que ça faisait depuis qu'elle Ă©tait arrivĂ©e qu'elle avait pas fait caca. Et que c'Ă©tait sans doute parce que ça la gĂȘnait de faire caca dans la salle de bain juste Ă  cĂŽtĂ©, avec nous toutes qui entendions.
Alors, le dimanche matin, on s'est mises en mission. Au petit-déjeuner, tout le monde a pris du jus d'orange pour elle. Et elle avait repéré les toilettes du rez-de-chaussée de l'auberge. Quand elle nous a dit qu'elle avait réussi, on était trop contentes. Les autres nous demandaient pourquoi, on leur a pas répondu.
Il y avait le type qui disait UNO à chaque fois qu'il posait une carte, de peur de rater le moment de dire UNO quand il aurait une seule carte. Et on jouait avec lui comme ça. On pensait qu'il déconnait, et en fait, il avait un vrai problÚme à compter ses cartes, je crois, à avoir conscience de nombre de cartes qu'il lui restait. Il posait aussi sa derniÚre carte en disant UNO, et là on lui disait qu'il avait gagné.
Il y avait le gars qui se baladait partout avec le seau de mĂ©nage, car il voulait vomir, mais n'arrivait pas Ă  vomir. Ça a durĂ© toute la soirĂ©e du samedi comme ça. Il se dĂ©plaçait bien et tout. Il vivait normal. Mais avec un seau de mĂ©nage.
Et il y avait l'employée de l'auberge. Celle qui s'occupait des petit-déjeuners. Elle regardait les gens dans les yeux, elle souriait. Elle avait un visage ouvert. Elle avait pas l'air d'avoir peur des gens. Elle était bien, c'était effrayant.
Dans le car du retour, j'ai dit Ă  une des filles que moi non plus en fait j'avais pas fait caca de tout le voyage. Et je trouvais ça fou de s'ĂȘtre concentrĂ©es sur Delphine, alors que moi en fait c'Ă©tait pareil. Elle a pas relevĂ©. Je crois qu'on n'Ă©tait plus dans le mĂȘme dĂ©lire, et donc ça l'a gĂȘnĂ©e.
J'ai aucune nouvelle de tous ces gens. Je ne partage plus cette expĂ©rience avec personne. Je ne sais mĂȘme pas si ces personnes sont vivantes aujourd'hui.
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the-spiritual-philosopher · 11 months
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QUAND AS-TU FAIT UN TRÈS GRAND BIEN SANS RIEN ATTENDRE EN RETOUR À UNE PERSONNE QUE TU NE CONNAIS PAS, CHER AMI(E) ?
Aujourd'hui, l'intĂ©rĂȘt personnel ou l'argent est le dieu ou le mobile derriĂšre nos actions, en gĂ©nĂ©ral.
Et pourtant, on dit croire en Dieu et prier ou on dit avoir des valeurs ou ĂȘtre une personne morale, alors que la raison pour laquelle on se lĂšve chaque matin est pour gagner de l'argent et non pour faire uniquement ce que nous dit Dieu ou ce que notre conscience nous dit.
Le mode de vie actuel nous a rendu esclaves du confort, de la technologie et de toutes les commodités de la vie moderne, pour plusieurs d'entre nous.
Et dĂšs qu'on menace notre confort, on est prĂȘt Ă  compromettre nos valeurs et ce que l'on croit profondĂ©ment.
AS-TU DÉJÀ MENTI OU ÉTÉ HYPOCRITE AFIN DE NE PAS PERDRE DE L'ARGENT OU TON TRAVAIL, OU UN AVANTAGE QUELCONQUE ?
Si tu ne peux ĂȘtre toi-mĂȘme tout le temps, mais que tu as besoin d'utiliser l'hypocrisie ou le mensonge, sache cher ami(e), que tu es sur le chemin facile qui mĂšne Ă  la perdition.
Quand je regarde la vie du Roi David, je me rends compte qu'il a aussi utilisé l'hypocrisie et le mensonge afin de ne pas se faire tuer.
C'est pourquoi JĂ©sus est le seul chemin Ă  suivre, car il est mort pour ses convictions.
Suivre notre conscience qui est l'esprit de Dieu en nous est le chemin ou la façon de vivre que nous à appris Jésus.
JĂ©sus dit : "Je vous dis la vĂ©ritĂ© Ă©ternelle. Le Fils ne peut rien faire de lui-mĂȘme ni de sa propre initiative. Je ne fais que les Ɠuvres que je vois faire au PĂšre, car le Fils fait les mĂȘmes Ɠuvres que son PĂšre. Jean 5:19 TPT
SI POUR TOI CELA NE TE DÉRANGE PAS DE MENTIR ET D'ÊTRE HYPOCRITE POUR VIVRE, SACHE QUE C'EST UNE FAÇON DE VIVRE OU TU RÉVÈLES QUE TU N'AS PAS BESOIN DE DIEU, CAR TU N'UTILISES PAS LES ARMES DE LA LUMIÈRE.
LES ARMES DE LA LUMIÈRE SONT :
- L'honnĂȘtetĂ©, une personne de bonne foi, l'intĂ©gritĂ©, la sincĂ©ritĂ©
- l'humilité ou la transparence envers tous
- la franchise, l'authenticitĂ©, l'innocence, ĂȘtre vrai
- la fidélité à sa propre conscience ou la fidélité à ses convictions intimes et personnelles
- TraitĂ© autrui comme on aimerait ĂȘtre traitĂ© soi-mĂȘme
- Tendre l'autre joue, ĂȘtre misĂ©ricordieux, ĂȘtre gracieux
- Savoir pardonner quand la personne en face de nous montre qu'elle est sincĂšre et qu'elle a compris le mal qu'elle a fait.
- Être juste en tout temps mĂȘme si c'est contre ses intĂ©rĂȘts personnels, l'Ă©quitĂ©
- Être bon envers tous tout en Ă©tant juste, la serviabilitĂ©, la gĂ©nĂ©rositĂ©, la bontĂ©, la bienfaisance
- Être sĂ©vĂšre envers le mal et tous ceux qui le pratique de façon volontaire et consciente
LES ARMES DES TÉNÈBRES SONT :
- Le mensonge ou l'hypocrisie, la flatterie, la duplicité, l'inexactitude, la fausseté
- la malhonnĂȘtetĂ©, la tromperie, la calomnie, la dissimulation, l'imposture, l'immoralitĂ©
- Le fait de ne pas tout dire Ă  tout le monde tout le temps
- Le fait de ne pas suivre ou obéir tout le temps sa conscience ou ses convictions intimes
- L'arrogance, l'orgueil, l'esprit de se sentir supérieur aux autres, le mépris, le dédain
- L'Ă©goĂŻsme ou vivre pour ses intĂ©rĂȘts personnels, l'Ă©gocentrisme, l'ingratitude envers Dieu, l'indiffĂ©rence Ă  la souffrance d'autrui quand ta conscience te dit de faire quelque chose pour aider
- Ne pas traiter autrui comme on aimerait ĂȘtre traitĂ© soi-mĂȘme.
- Avoir une justice dĂ©pendant de ses intĂ©rĂȘts personnels, ĂȘtre abusif, ĂȘtre mĂ©chant, ĂȘtre partial, ĂȘtre malfaisant, ĂȘtre injuste, ĂȘtre inĂ©quitable
- Complaisance envers le mal et ceux qui le pratique
CONTRAIREMENT À CE QUE TU CROIS, TOUT ÊTRE HUMAIN A L'ESPRIT DE DIEU EN LUI.
Alors l'Eternel dit: Mon esprit ne restera pas Ă  toujours dans l'homme, car l'homme n'est que chair, et ses jours seront de cent vingt ans. GenĂšse 6:3 LSG
Maintenant, qui comprend comme Dieu lui-mĂȘme ce qu'il nous dit ?
J'avoue ne pas tout comprendre moi-mĂȘme.
Que Dieu nous Ă©claire tous dans son chemin.
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