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#heures de louis de laval
conformi · 1 year
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Jean Colombe, Maître du Missel de Yale and others, Heures de Louis de Laval, 1470-1475 and 1485-1489 VS Pierre Coffin and Kyle Balda, Minions, 2015
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lightthereis · 1 year
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Horae ad usum Romanum, dites Heures de Louis de Laval, 1401-1500, manuscrits
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agnesdelmotte · 2 years
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the queue is art
marina abramovic. the artist is present. moma, 2010.
christo/jeanne-claude. floating piers. iseo lake, italy, 2016.
rosas/anne teresa de keersmaeker. slow walk.
noureev/petipa. l'entrée des Ombres. La Bayadère.
les Heures de Louis de Laval. XVe s.
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lifestapestry · 2 years
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Heures de Louis de Laval - BNF Lat920 f2r (Dieu créateur de la terre)
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thefugitivesaint · 5 years
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''Horae ad usum romanum'' (Heures de Louis de Laval), 1401-1500 Source
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signorformica · 3 years
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Miniature of the Israelite prophet Isaiah being sawn in two under the orders of Manasseh, king of the Kingdom of Judah. *Heures de Louis de Laval. Jean Bourdichon illuminator ~ 15th century • via Bibliothèque Infernale on FB
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Souvent confondus avec les Vendéens, les Chouans hantent l’œuvre des plus grands romanciers, de Balzac à La Varende. Mais leur histoire dépasse, en grandeur, les meilleures œuvres d’imagination. C’est ce que démontre, avec un beau talent, Anne Bernet.
Une historienne nous est née Voilà la bonne nouvelle apportée aux lecteurs des Grandes Heures de la Chouannerie. Des lecteurs dont certains, jusqu’alors appréciaient - et j’en suis - la finesse des analyses littéraires d’Anne Bernet Sans se douter que le démon de l’Histoire allait, pour notre plus grand bonheur, la saisir. Car c’est bien d’Histoire qu’il s’agit, et de la meilleure : celle qui sait faire revivre avec force les émotions, les enthousiasmes, les passions, les drames d’hommes engagés à la vie à la mort dans un grand combat, tout en peignant avec une claire érudition la toile de fond sur laquelle se déroulent ces tragiques destins.
Terrible paysage : pendant quinze ans, de 1789 à 1804, la France est plongée dans la fureur, les larmes - et le sang, le sang partout, le sang toujours ! Tandis qu’à Paris vont s’échelonner les scènes les plus atroces de notre histoire, les provinces subissent, par contrecoup, les soubresauts de la folie parisienne.
Les terres de l’Ouest vont payer un très lourd tribut. La Vendée bien sûr. Mais aussi l’Anjou, le Maine, la Normandie, la Bretagne. Terres d’élection de la chouannerie, née comme une réaction de survie face à la folie meurtrière des sectateurs de la sainte Egalité, nouvelle religion au culte sanglant desservie par des prêtres fous. A vrai dire, l’Ouest a connu, dans les premiers temps de 1789, la tentation des idées à la mode. Des insensés ont joué avec le feu : certains nobles, amusés par les nouveautés dont se gargarisaient des bavards, ont contribué à saper l’édifice sous les ruines duquel ils devaient se retrouver ensevelis… Et, surtout, il y a ce sacré tempérament breton qu’Anne Bernet croque à merveille en quelques mots : “les vingt-cinq mille gentilshommes bretons étaient souvent plus gueux que leurs manants et plus à l’aise en sabots qu’en escarpins. Leur orgueil était donc chatouilleux, leur épée prompte à sortir du fourreau et ils regardaient volontiers les initiatives du pouvoir central comme des affronts faits à l’antiquité de leur sang bleu.” Il était donc tentant, en 1789, d’affirmer l’identité bretonne face à Versailles. Mais, très vite, l’aristocratie bretonne a compris que la terrible mécanique enclenchée par les émeutes parisiennes conduisait tout droit au précipice.
Armand de la Rouërie a été de ceux qui n’entendaient pas subir. Ayant gardé de sa participation aux guerres des Amériques le sens de la guérilla, il entreprit d’organiser à travers toute la Bretagne de vastes réseaux destinés à se mobiliser pour défendre la Croix et les Lis. Car la menace se précisait, au fil de 1790, 1791, 1792… D’abord la constitution civile du clergé, peu appréciée dans les provinces de l’Ouest ; puis les humiliations successives infligées au Roi et à sa famille ; puis les exigences de plus en plus insupportables de ce pouvoir fou qui siégeait à Paris… Quand on apprit l’assassinat du Roi, stupeur et consternation semblèrent assommer l'Ouest, le plonger dans une léthargie comateuse. Il en sortit, rouge de colère, en mars 1793.
Lorsque la République avait fait appel à des volontaires pour meubler les rangs de ses armées, elle n’avait pas eu beaucoup de succès… En décidant la levée en masse, par conscription obligatoire, la Convention mit le feu aux poudres. Rennes, Vannes, Pontivy, La Roche-Bernard : de jeunes citadins trouvent quelques pétoires, les paysans ont des faux emmanchées à rebours, ou tout simplement le bon vieux couteau à tout faire, qui vous saigne proprement un goret. Ou un gabelou, comme le savait bien Jean Cottereau, grand faux-saunier devant l’éternel et connaissant comme sa poche, grâce à cet art, les confins de Bretagne et du Maine. Et qui avait hérité d’un aïeul le surnom de Chouan (le hululement du chat-huant étant le cri de ralliement, le signal convenu des bandes faisant le trafic, les nuits sans lune, du sel de contrebande).
Au printemps 1793, les foyers d’insurrection se multiplièrent. La République était défiée, ridiculisée : le chevalier de Boishardy s’emparait de la berline de poste chargée d’assignats destinés à Paris. L’argent républicain finançait la Contre-Révolution ! A Saint-Pol de Léon, les Bleus entendaient monter des rangs de leurs adversaires de rauques chants issus de la longue mémoire celtique : “Si c’est querelle et bataille qu’ils cherchent, avant qu’il soit jour ils seront satisfaits ! Avant le jour, ils auront querelle et bataille ! Nous le jurons par la mer et la foudre ! Nous le jurons par la lune et les astres ! Nous le jurons par le ciel et la terre !”
L’habileté diplomatique du général républicain Canclaux désamorça la révolte dans le nord du Finistère. Mais, au printemps 1793, toute la Mayenne vibrait au bruit des coups de main de Jean Chouan et de ses compagnons. Grand rêve : que les gens du Maine puissent tendre la main aux Bretons et aux Vendéens, et les jours de la République honnie seraient comptés…
On pouvait y croire : les hommes du prince de Talmont et de Jean Chouan n’ont-ils pas infligé une sévère frottée aux Bleus de Westermann, en octobre 1793, à la Croix-Bataille ? Là se sont déployées les qualités manœuvrières de ces chouans dont les longs cheveux se confondaient au poil de chèvre de leur veste, marquée du sacré-cœur et sur laquelle brinquebalait le rosaire aux grains de plomb. Anne Bernet décrit superbement la tactique de ces partisans : “Les Mainiaux avançaient dans les ténèbres comme des chats : vieille habitude des expéditions nocturnes aux buts pas toujours avouables. Aucun caillou ne roulait sous leurs pas. Ils marchaient à l’oreille, se guidant sur les commandements braillés par les Bleus, trop sûr de surprendre les royaux endormis. Pas de chance, citoyens, à cette heure-ci, les chouettes ne dorment pas.” Familiarité avec le terrain, frappe forte et rapide, embuscades à répétition… Lorsque les Chouans peuvent mettre en pratique ces principes, ils sont intouchables. Mais, sortis de leurs bois, exposés à une campagne plus classique, ils souffraient durement. L’épuisante longue marche que fut la virée de Galerne, pendant sept semaines du terrible automne 1793, marqua l’échec d’une coalition où Bretons, Angevins, Vendéens étaient censés unir leurs forces, en une grande armée catholique et royale. L’héroïsme de beaucoup ne suffit pas à donner de véritable homogénéité à une troupe aussi farouche que disparate, souffrant des tiraillements et dissensions de l’état-major. Après la terrible épreuve - la fin atroce de l’armée catholique et royale, massacrée dans les marais de Savenay - Jean Chouan et ses hommes replongèrent dans la clandestinité des sous-bois, où étaient creusées de véritables tanières, abris souterrains surmontés de trappes recouvertes de mousse. Là était leur domaine.
La fin de Jean Chouan fut, comme celle de beaucoup des siens, héroïque. Cerné par les Bleus, il s’exposa sciemment à leurs balles pour détourner leur attention et permettre, ainsi, à sa belle-sœur enceinte de se sauver. Il rendit l’âme en pensant à ses deux jeunes sœurs, Perrine et Renée, guillotinées à l’âge de dix-huit et quinze ans, mortes en criant : “Vive le Roi ! Vive mon frère Jean Chouan !” Jean Chouan fut placé par ses hommes en un refuge secret, creusé dans cette terre pour laquelle il s’était bien et longtemps battu. “Heureux ceux qui sont morts pour quatre coins de terre…” Mais la mort de Jean Chouan ne fut pas celle de la chouannerie. Il laissait un exemple, un modèle. Ils furent suivis. Tandis que sur la guillotine installée à Laval se succédaient, jour après jour, nobles et gueux, hommes et femmes, jeunes et vieux, religieux et laïcs, les campagnes de la Mayenne, au printemps 1794, bruissaient aux cris de mille chouettes. Kléber était conscient de l’enracinement de la révolte car il était plutôt moins obtus que la moyenne des généraux républicains : “Ces bandes, disséminées sur un grand espace, mendient ou travaillent le jour, la nuit se livrent au brigandage. Elles forment pour ainsi dire, toute la population du territoire. Les hommes qui semblent travailler le jour au labourage se réunissent la nuit aux brigands.”
“Si c’est querelle et bataille qu’ils cherchent, avant qu’il soit jour ils seront satisfaits !”
Les bandes chouannes se groupent autour de chefs improvisés. Certains sont peu expérimentés et du coup l’affaire finit assez mal et assez vite. Mais d’autres sont des solides. Tel ce Jean-Louis Tréton, dit Jambe d’argent à cause d’une terrible claudication, héritée d’une enfance particulièrement misérable. Entouré de gaillards aux noms sonores (“Va-de-bon-cœur”, “Brise-bleus”)… Jambe d’argent entreprend de fédérer les groupes de chouans qui s’agitent aux quatre coins de la Mayenne. Rude tâche. Il y parvient de son mieux et crée mille soucis aux Bleus jusqu’en février 1795.
Dans le Morbihan, Georges Cadoudal s’activait. Il fut de ceux qui ne crurent pas aux folles promesses d’une paix “menteuse” - paix envisagée, souhaitée par deux chefs de bonne volonté, le général républicain Humbert et le chef chouan Jérôme de Boishardy. Certes, elle était belle, l’espérance d’une paix enfin revenue, pour panser les blessures et fermer les cruelles cicatrices de la guerre civile. Mais à quel prix ! Reconnaître la République honnie et s’incliner devant elle ? Renoncer à la fidélité jurée aux Lis ? Mieux valait mille fois la mort ! Cette mort, le trop crédule Boihardy la trouva, au coin d’un champ, le 17 juin 1795. Lui qu’on avait nommé le Sorcier, tant il avait de tours et de ruses de guerre dans son sac, ne trouva ce jour-là d’autre issue que de bien mourir.
Cependant le débarquement d’une armée blanche à Quiberon avait fait lever les plus folles espérances. Las ! Hoche, profitant des hésitations des chefs blancs, sut les enfermer dans la presqu’île “comme des rats dans une ratière”. Et puis il vida la ratière et extermina les rats jusqu’au dernier… Des garçons de seize ans aux vieillards octogénaires, tous y passèrent. Jambe d’argent eut, lui, la bonne fortune de mourir les armes à la main, en combattant une fois de plus un parti de Bleus, le 27 octobre 1795. Le boiteux courait plus vite que tout le monde, ce jour-là, pour aller sus à l’ennemi. En tête, tout seul loin devant ses hommes. Belle cible…
Avec de tels exemples, la chouannerie ne pouvait pas mourir. Au point d’enflammer à son tour la sage Normandie, fin 1795. Derrière Louis de Frotté, qui avait pris pour nom de guerre Blondel. Ce Blondel a la qualité des vrais chouans et applique leurs recettes : “ Se battre tous les jours ; se dérober plus souvent encore ; surprendre pour ne pas être surpris et renoncer à la gloire, du moins à celle que peignent les manuels d’Histoire”.
Mais la fatigue finit par gagner les terres chouannes : au printemps 1796, l’Anjou, le Bas-Maine, la Bretagne, la Normandie acceptèrent de cesser le combat. Pour la plus grande gloire du “pacificateur”, Lazare Hoche…
Pourtant des insoumis, des indomptables restaient tapis au creux des bois. Les événements leur donnèrent raison : malgré les apaisantes promesses de la République, celle-ci s’évertua à pourchasser et à éliminer, en 1797 et 1798, tout ce qui pouvait ressembler à un chouan. Le 12 juillet 1799, le Loi des Otages autorisait à emprisonner les parents, grands-parents, frères et sœurs des chouans à la place des rebelles en fuite. Et à tirer dans le tas, en cas de “tentative d’évasion” (éternel et commode prétexte des policiers assassins)…
Contre le Directoire agonisant, une nouvelle levée de chouannerie se produisit à l’automne 1799. Cette fois-ci, les Lis allaient revenir ! C’était compter sans un certain général Bonaparte. Celui-ci, en apportant l’apaisement religieux, désarmait moralement bien des combattants de la Croix et des Lis. Jusqu’au bout, cependant, un dernier chouan résista, lutta, courut au-devant de la mort. Il s’appelait Georges Cadoudal. Il reste un symbole pour ceux qui savent que vivre dans la fidélité implique de mourir, quand il le faut, pour la fidélité.
Anne Bernet, Les grandes heures de la chouannerie, Perrin.
Pierre Vial, Le Choc du Mois – N°63 – Avril 1993.
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oigevain · 5 years
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heures de louis de laval
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voilaquebec-blog · 6 years
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Disponibles dès aujourd’hui : le Cosmos offre maintenant ses pizzas surgelées!
Les restaurants Cosmos sont fiers de lancer aujourd’hui, en partenariat avec Les Aliments Bégin (l’entreprise derrière la Resto Pizz, la pizza surgelée favorite des Québécois !), leur gamme de pizzas surgelées à croûte mince. Ces délicieuses pizzas sont disponibles dès maintenant dans les quatre Cosmos et le seront prochainement dans plusieurs épiceries, aux quatre coins de la province.
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Les adeptes du Cosmos peuvent dorénavant déguster l’une des trois pizzas vedettes du restaurant dans le confort de leur maison, toujours avec la même qualité d’ingrédients qu’en salle à manger. À croûte mince et cuite en quelques minutes, il est possible de se procurer la DALLAS aux quatre fromages et fines herbes, la classique MAMA toute garnie, ou encore la JACK BBQ avec lanières de poulet, oignons, poivrons rouges et sauce BBQ. Le prix des pizzas varie entre 8,99 $ et 10,99 $.
Les épiceries suivantes ont commandé et recevront leur premières pizzas Cosmos dès cette semaine pour les offrir à leur clientèle (voir la liste en annexe). Pour ceux qui n’auront pas la chance de se les procurer près de chez eux, il suffira de le demander à son épicier ! En effet, la distribution pourra s’effectuer partout au Québec.
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À PROPOS DU COSMOS Depuis sa création il y a plus de 20 ans dans la région de Québec, le Cosmos a évolué pour devenir aujourd’hui, avec ses quatre adresses, l’un des détours obligés dans la capitale. Que ce soit pour son large menu frais et varié, l’ambiance lounge et décontractée de chacun des restaurants, leurs décors avant-gardistes ou l’attention portée au service à la clientèle à toute heure du jour, le Cosmos fait maintenant partie des habitudes culinaires, nightlife et même sociales des gens de Québec.
ANNEXE – LISTE DES DÉTAILLANTS
• Axep Bon Pasteur (Charlesbourg) • Bonichoix GARatte (Québec) • Convivio IGA Extra (Loretteville) • Coop Bonichoix (Rivière-au-Renard) • Épicerie Inter-Marché Roland Pelletier et Fils inc. (Cap-Chat) • Épicerie Métro Plaza Laval (Québec) • Fruiterie Milano (Montréal) • IGA Alimentation Coop (Port-Cartier) • IGA Alimentation Coop (Rimouski) • IGA Buteau (St-Lambert) • IGA des Sources (1re Avenue, Charlesbourg) • IGA des Sources (Boischatel) • IGA des Sources (Cap-Rouge) • IGA des Sources (Henri-Bourassa, Charlesbourg) • IGA des Sources (Ste-Catherine-de-la-Jacques-Cartier) • IGA Extra (Rimouski) • IGA Extra Gladu (Saint-Jean-sur-Richelieu) • IGA Extra Les Saules (Québec) • IGA Extra Montmagny (Montmagny) • IGA Lac-Beauport (Lac-Beauport) • IGA Marché Veilleux inc. (St-Apollinaire) • IGA Pierre Jobidon (St-Joseph-de-Beauce) • IGA Rodrigue et Filles (St-Georges) • IGA Rodrigue et Groleau (St-Georges) • IGA St-Pierre et Fils (Thetford Mines) • IGA Veilleux et Filles inc. (Lévis) • Marché Caron (St-Antonin) • Marché Tradition (Weedon) • Metro Dubuc Deschaillons (Deschaillons-Sur-St-Laurent) • Metro Ferland Centre-Ville (Québec) • Metro Lac-Etchemin (Lac-Etchemin) • Metro Laval Veilleux (St-Georges) • Metro Plus Centre-Ville (Lac-Mégantic) • Métro Plus Courville • Metro Plus Ferland Du Marais (Québec) • Metro Plus Laroche St-Etienne (Lévis) • Metro Plus Neufchâtel (Québec) • Metro Ste-Croix (Ste-Croix) • Provigo Daniel Tremblay St-Louis (Québec) • Provigo Frédéric Barbeau (Québec) • Provigo Le Marché Charlesbourg (Charlesbourg) • Provigo Robin St-Laurent (Beauport)
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if-you-fan-a-fire · 3 years
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“‘Pétain a  sauvé la  France d'une révolution sociale’,” La Patrie. February 27, 1941. Page 02. ---- Lorsque je quittai la  France, le 28 novembre, la situation s'était de beaucoup améliorée, depuis les jours sombres de l'armistice. On sentait qu’il se formait quelque chose de résistant et de ferme après une période de dislocation et d'écroulement. Tous les Français faisaient confiance au Maréchal et tous se groupaient autour de lui car ils le reconnaissaient comme le véritable sauveur de la situation et de la  France.” ---- C'eat ce que nous disait ce  matin le R. P.  J-T. Delos, O.P., qui se trouve à   Montréal pour quelques Jours où il  va  donner quelques conférences sur la sociologie et I'histoire. Docteur en droit et licenciée de lettres, le  R.  P.  Delos est  professeur de sociologie et de droit in-ternational à  l'Université catholique de  Lille. Il est membre de la Société de sociologie et  de  philosphiè juridique, il est l'un des principaux collaborateurs de la ‘Vie intellectuelle’ et il a joé un role des plus important dans l’organisation des semaines sociales en France depuis 1925.
Le R. P. Delos signa également un grand nombre d'articles de revues et publla deux volumes qui font autorité en |matière de droit International: “Le droit International et les principes de droit public’ et “Les minorités internationales.” 
Le R. F. Delos demeura à  Lille jusqu'au moment de l'invasion: il se  rendit alors à Toulouse où il demeura jusqu'en novembre. 
Nous lui demandâmes naturellement de nous parler de la situation en France: “Cette situation est très complexe nous dit-il, il y a la région occupée et la zone libre. Là encore la situation est compliquée du fait de |’éroulement des institutions politiques et sociales. 
“Aujourd'hui, toutefois, après une longue période d'abattement, en commence à  reprendre courage. Le gouvernement du maréchal Pétain, je ne crains pas de le  dire, a sauvé la France d’une révolution sociale certaine. Le rationnement qu'il a imposé à tous et d'une façon égale à permis à la France de traversser Ia période d'hiver. II est entendu que la France est astreinte à un régime de sous-allmentation qui peut devenir très dangereux pour l'avenir lul-méme de notre race, s’il continue mais les choses auraient pu être vires dans l’action énergique du Maréchal. Si le gouvernement n'avait pas pris ces mesures, les vivres aurait pu trouver; c'eût été vraiment la fin.
‘En somme la question du ravitaillement a été résolue aussi bien que possible dans les circonstances.
— Et la jeunesse? 
- “La jeunesse reprend confiance. Elle se redresse, a foi dans les destinées de la France. Elle se groupe, cle se serre les coudes.
Il y a, it est vrai, je douleureux problème des prisonniers; leur situation est terrible, mais nous voulons espérer que la France parviendra encore une fois à traverser l'orage et à reprendre sa place civillsatrice dans le monde.” 
Le R. P, Deins donnera deux conférences à l'Institut Pie XI, au Mont Saint-Louis, 244 est rue Sherbrooke. Ses conférences porteron: sur la Famille et la Nation. Ce soir. à 4 et 9 heures, il donnera la même conférence; il définira le familie et la nation et j'udi prochain, à la même heure, il parlera des devoirs qui nous lient à la nation et à la famille.
[AL: Delos was a veteran of the First World War, though he had taken noviates’ vows in 1913, and spent most of that war in a prison camp. He became a doctor of theology and then of international law, and taught at the Catholic University in Lille. He helped organize a series of ‘social seminars’ in 1939, which brought together mostly Catholic groups to debate social issues in France. In 1941 he came to Montreal, as noted in this article, and became a member of the faculty of social sciences at l’Université Laval. Despite the fact that the tone of this article is mostly about how great Marshal Pétain is, Delos helped found the first Canadian committee of the Free French later in 1941. After the war he became the papal ambassador to France. I can’t help but feel he probably sympathized with the ‘national nevoluton of Petain’ but not the collaboration with Nazis. La Patrie of course was a very right wing tabloid who had long been fascism curious, so they of course lead with the quote about how awesome Pétain is.]
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conformi · 2 years
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Marco Zanuso and Eduardo Vittoria, Olivetti factories, Scarmagno, Italy, 1960 © Gianni Berengo Gardin VS Jean Colombe, Maître du Missel de Yale and others, Heures de Louis de Laval, 1470-1475 and 1485-1489
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#fetenationaleduquebec #lescanadiens #lescanadiensdemontreal #goldenknights #goldenknightshockey #24juin #quebec #québec
FÊTE NATIONALE DU QUÉBEC - 2021
La Fête nationale du Québec 2021 sera spéciale et excitante!
En effet, même si aucun spectacle musical en direct n'est présenté, ni à Montréal, ni à Québec, la plupart des Québécois vont fêter comme jamais auparavant grâce à l'équipe de hockey Les Canadiens qui tenteront d'offrir une victoire au Centre Bell qui mènerait l'équipe directement en finale pour la Coupe Stanley.
La rencontre débute à 20 heures et on peut prédire que la journée ensoleillée de ce jeudi 24 juin 2021 sera remplie d'espoir pour des milliers de Québécois.
Une seule tristesse, on peut plaindre les artistes participant au spectacle officiel de la Saint-Jean...
Ce concert a été enregistré mardi à l’extérieur du Manoir Richelieu dans la région de Charlevoix et il sera co-animé par Charlotte Cardin, Cœur de pirate, Louis-Jean Cormier, Corneille, Samian et Sarahmée sous le thème « Vivre le Québec tissé serré ». L’évènement de deux heures rassemblera plus de 200 artistes et personnalités, dont Janette Bertrand, Robert Charlebois, les Trois Accords, Damien Robitaille, Guylaine Tanguay et Kim Thúy, l’Orchestre symphonique de Québec et les Petits Chanteurs de Laval.
Le spectacle sera diffusé sur les quatre grands réseaux Télé-Québec, ICI Radio-Canada, Noovo et TVA, ainsi qu’à la radio Rythme FM dès 20 heures.
Le match de hockey sera pour sa part diffusé, en direct, sur TVA Sport 1, dès 20 heures avec l'Avant-match dès 19 heures....
Bonne Fête Nationale 2021 et Go Habs! Go! !
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agnesdelmotte · 2 years
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female saints
from heures de louis de laval.
page 182r
france. ca 1480.
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ladouairiere · 6 years
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Hergé pris en flagrant délit de plagiat
Les heures de Louis de Laval vs. Tintin et le lotus bleu
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thefugitivesaint · 5 years
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''Horae ad usum romanum'' (Heures de Louis de Laval), 1401-1500 Source
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signorformica · 3 years
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It’s hard to be a saint in the city
*Heures de Louis de Laval. France ~ ca.1480 BnF. Thanx discardingimages • via Bibliothèque Infernale on FB  
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