#sons d'ambient | Explore Tumblr Posts and Blogs

negreabsolut · 29 days

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So de pluja torrencial en un jardí japonès.

#videu #sons d'ambient #pluja #matí #matinal #jardí #japonès #oriental #Youtube

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alkramerofficiel · 1 year

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Hello everyone, I'm Al Kramer, young ambient/dark ambient artist.

Al Kramer is a french solo project of ambient tinged with metal. All the composition is done by myself. To date, 6 albums are available on Youtube and Bandcamp. The sound of the compositions is not final and is brought to evolve.

Link of my Bandcamp: https://alkramer.bandcamp.com/

Good listening to all

#ambient #music #dark ambient #progressive metal #france #bandcamp #youtube

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morethansoundszine · 4 years

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MINOY - The art of egyptian bathing Cassette. 1986. Il y a une petite décennie j'étais assez plongé dans la musique expérimentale, je chroniquais de l'industriel version noise, bruitiste, décryptant autant que possible les bricolages musicaux hors du temps de musiciens sous substances... Puis je me suis lassé, ça tournait un peu en rond. Peut-être que c'était trop expérimental pour le fait d'expérimenter, ou le bruit pour le bruit...

Et récemment, totalement par hasard, je suis tombé sur une vidéo Youtube de cet enregistrement cassette de 1986, et je me suis retrouvé assez aspiré par le contenu.

La musique, classée "industrielle", est une sorte d'ambient intriguant, avec un côté un peu "mystique" ou ancien. Le spectre sonore est assez rempli, de sons divers formant un tout assez homogène. On n'est pas ici dans l'agression, c'est presque agréable, un peu comme un joint qui détend le cerveau.

La page Wikipédia de Minoy décrit assez bien la chose: "Une sorte de collage de sons labyrinthique qui produit comme un effet de monde parallèle... Qui peut donner une impression de peinture sonore..."

D'ailleurs, vu l'époque de l'enregistrement, je me demande comment il arrivait à produire ce résultat plutôt étrange (En 1986, il n'y avait pas d'ordinateurs personnels, ou presque... Peut-être qu'il procédait en coupant/ collant les bandes de cassettes? J'ai entendu parler de ce procédé assez ancien, sans vraiment saisir le procédé...)

Dans tous les cas il se dégage quelque chose d'intriguant de cette cassette, j'aime assez l'atmosphère du truc. La scène des autoproductions K7 noise/ industriel des années 80 a encore des choses à nous faire découvrir.

#experimental #dark ambient #chronique

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unanticafiamma · 7 years

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Ce diamant noir qu'est Zamia Lehmanni Songs Of Byzantine Flowers (Side 1986, réédité par Mute sur CD en 1992) est pour ainsi dire l'oeuvre du seul Revell, qui joue ici de tous les instruments et qui a lui-même produit l'album, s'adjoignant les services de la voix de Sinan sur quelques titres, ainsi que ceux d'un chœur d'église australien, et qui cite rien moins en notes de pochette que Yeats, Mallarmé, Lautréamont, Huysmans, Hugo, Rimbaud, Baudelaire et Beckett.

Merveille donc que cet album qui est à nouveau, mais cette fois avec infiniment plus de réussite, voit SPK opérer un virage à 180 degrés, Zamia Lehmanni n'ayant strictement aucun rapport avec la première période du groupe. Comme le titre l'indique, le disque fait référence à l'Empire byzantin (ou Empire romain d'Orient), qui après l'effondrement de l'Empire d'Occident au Ve siècle et ce durant près d'un millénaire devint un carrefour culturel où se mêlèrent les cultures grecques, arabes et sémitiques. Le même cosmopolitisme, étendu aux continents africain et asiatique, traverse tout l'album, où l'on peut discerner des sonorités d'instruments en provenance des quatre coins du monde : percussions, tibétaines, cloches balinaises, flûtes japonaises ou de Nouvelle-Guinée, congas, etc. Mais il ne faudrait pas croire pour autant que Zamia Lehmanni s'apparente à de la world music ou à une laborieuse tentative d'anthropologie musicale. Car Revell (dont on peut ici pour la première fois prendre vraiment la mesure du génie musical) a entremêlé ces sons exotiques, sampler oblige, à des séquences orchestrales, des chants d'église, des nappes synthétiques brumeuses, ainsi qu'à divers field recordings (enregistrements en milieux naturels, qui n'ont d'ailleurs ici rien de vraiment naturel puisque les ambiances choisies sont celles du monde ferroviaire ou industriel - très adoucies il est vrai). Si la couleur de l'album est on ne peut plus mélancolique, elle est également très mystique et solennelle, comme sur le très pur "In Flagrante Delicto" qui paraîtra par ailleurs sous forme de maxi, et carrément méditative sur des titres comme "Alocasia Metallica" ou "Necropolis". Il ne s'agit pas vraiment d'ambient, encore moins de musique new-age, mais plutôt d'escapades dans des climats sombres et apaisants à la fois, nullement oppressants. Les accords synthétiques sont doux, sur le mode mineur, profonds et ouatés, souvent prolongés/précédés par des effets d'écho discrets, et s’interpénètrent fréquemment avec des boucles de chants folkloriques arabisants, africains ou asiatiques. L'exceptionnelle réussite de "Invocation (To Secular Heresies)" qui ouvre l'album ou "Palms Crossed In Sorrows" tient d'ailleurs pour beaucoup à l'utilisation de ces chants en provenance d'autres continents , que la technologie permet de moduler, découper et réorganiser, agréger à des rythmiques, et de tels titres, de par leur évidente beauté, ne trouvent d'équivalent qu'avec le premier album solo de Holger Czukay (de Can) Canaxis (1969), notamment le célèbre (et insurpassable dans le genre) "Boat-Woman Song". Zamia Lehmanni est bel et bien un chef d'oeuvre d'invention et d'intelligence musicales, un disque mirifique et inépuisable qui de ce fait en inspirera plus d'un, son importance et son influence étant perceptibles dans nombre de productions cold/atmosphériques de l'époque, notamment celles du label 4AD avec groupes comme Dead Can Dance, Cocteau Twins et This Mortal Coil, ou plus près de nous Raison d'être. (Eric Duboys. INDUSTRIAL MUSICS vol. 1 (Camion Blanc, 2009).

#spk #camion blanc

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affairesasuivre · 4 years

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"Music For Containment", une collection d'ambient pour faire le mur

Le producteur Molécule a réuni une trentaine de compositeurs tricolores autour d’une nouvelle compilation de musiques planantes.

Notre corps est confiné mais notre cerveau, lui, est ouvert. Il peut imaginer l’infini, il peut ouvrir les fenêtres intérieures sur des espaces où ça respire vraiment. C’est là que le son intervient. Le son agrandit l’espace. » Cette conviction dans le vieil idiome atmosphérique, celle qui traverse la tradition presque cinquantenaire des musiques ambiantes, c’est le chanteur Arthur H lui-même qui l’inscrit aujourd’hui au fronton de la nouvelle compilation Music For Containment. Cet homme de danse, de cabaret, et de chansons populaires s’est ainsi converti aux plénitudes du silence et des nappes le temps d’un morceau, l’un des trente-trois inédits qui composent cette nouvelle collection salutaire en temps de crise.

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Ils sont ainsi nombreux à avoir répondu à l’appel de Molécule en offrant pour certains des titres inédits sortis des tiroirs, ou bien en composant directement chez eux, dans leur studio ou dans leur chambre à coucher, les presque trois heures et trente minutes qui façonnent ce Music For Containment. Parmi ceux-là, des figures de la French Touch d’hier et d’aujourd’hui comme Étienne de Crecy, Dominique Dalcan, Alex Gopher, ou encore Rone qui offre avec son 8PM une fugace ascension stellaire . Plus loin, Flavien Berger frôle quant à lui la demi-heure avec son mam où surgissent des voix et des dialogues comme autant de scènes de vie.

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Des pointures du genre ont également prêté main-forte au projet avec des contributions de Richard Francés, du duo Radiomentale, ou encore du collectif new-yorkais Soundwalk Collective qui fait battre son entêtant Exodos durant près de dix minutes. « Ce n’est pas un état des lieux de la scène ambient d’aujourd’hui, rappelle pourtant Molécule. J’ai fait appel à mon réseau de connaissance, à des artistes qui pouvaient sortir rapidement une plage sonore en quelques jours ».

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On retrouve ainsi sur ce disque des têtes connues du milieu expérimental, passées par des projets similaires comme Étienne Jaumet, Rebeka Warrior, le Caennais Fulgeance ou encore Apollo Noir. Mais aussi des artistes profanes dans ce champ musical tels Arthur H « qui adore l’ambient », l’improvisation de Bertrand Burgalat pour essayer un micro, ou encore Bertrand Belin et sa Musique de Carillon Plate composée chez lui avec son téléphone et sa seule guitare. « C’est un disque qui permet de voyager par l’imaginaire mais pas seulement. C’est aussi utile à la réflexion et à l’introspection, espère Molécule. Il faut prendre la mesure de ce qu’on est en train de vivre, que beaucoup de choses vont se jouer demain, et que la musique peut participer à cette prise de conscience. »

"Music For Containment" est sortie le 8 avril sur le label Mille Feuilles et s'écoute en intégralité ici. Toutes les recettes seront reversées à la Fondation de France et à son opération "Tous unis contre le virus".

#Music For Containment #ambient #fip #molécule #requin chagrin #Étienne de crecy #flavien berger #rone #mille feuilles #Mille Feuilles records #affaire à suivre #affairesasuivre #2020

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negreabsolut · 5 months

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