Tumgik
#tellurique
atypeekmusic · 6 months
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Kill The Thrill - Tellurique [FULL ALBUM] ☆☆☆☆☆
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esoterique-fr · 6 months
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Comment expliquer la Geobiologie?
La geobiologie ne se limite pas à une simple discipline, mais elle représente une exploration passionnante des interactions entre les phénomènes telluriques et électromagnétiques et leur influence sur notre bien-être. Cet article vous guidera à travers la discipline intrigante de la geobiologie, en expliquant ses fondements et en mettant en lumière son rôle bénéfique pour votre qualité de…
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resegawecica · 2 years
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doit comporter entre 21 et
Jérémy Chaillou Géobiologie : de la discipline à la science Table des matières (en ligne), PRAT Georges, Précis cartésien de Géobiologie, S.l.,
Liens entre le Shiatsu et la géobiologie. TABLE DES ANNEXES Mais soyons plus précis. Prat, Précis cartésien de géobiologie).Précis cartésien de géobiologie : Prat, Georges: Amazon.fr: Livres.
Précis cartésien de géobiologie de Georges Prat - Éditeur Arkhana Vox - Livraison gratuite à 0,01€ dès 35€ d'achat - Librairie Decitre votre prochain livre
7 sept. 2018 - Précis cartésien de géobiologie : Prat, Georges: Amazon.fr: Livres.
Atlas de la géobiologie (2011). atlasdelageobiologie. Lire la suite Précis cartésien de géobiologie (2007). preciscartesiendegeobiologie. Lire la suite.
Prat, Précis cartésien de géobiologie). Page 22. Chaque résille est unique par les dimensions et l'orientation de la maille. Par exemple, le réseau du nickel (
</p><br>, , , , .
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unsubconscious · 9 months
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Benjamin Ottoz, "Tellurique # 5" Stone and spray paint, 30 x 49 x 9 cm
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aurevoirmonty · 6 days
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Adolf Hitler pensait que l'univers était régi par des lois naturelles, et que pour que l'homme soit heureux et réussisse, il devait d'abord reconnaître que ces lois existent ; deuxièmement, il devait découvrir quelles étaient ces lois ; et troisièmement, il devait vivre en conformité avec elles.
Martin Kerr
En ce 20 avril, voici 135 ans que la Vengeance céleste s'est manifestée en cet âge crépusculaire en la personne de notre Führer en vue d'opposer un dernier combat eschatologique contre le peuple de la vengeance égotique — ténébreuse, tellurique, pleine de ressentiment envers le Noble — incarnée sous les traits repoussants et torturés du Juif.
79 ans après la fin de la guerre, le combat continue et l'arrogance de la race maudite est sur le point de lui être fatal.
Hommes de noblesse et de liberté, tenez-bon !
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jimbojim997 · 8 months
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Today I Learned: French Words & Expressions
stèle (f) – stone tablet, memorial stele
Il y a une stèle commémorative là où tomba l’avion.
arqué – arched
Les bébés ont naturellement les jambes arquées jusqu’à leurs trois ans.
convive (m/f) – guest
Les convives discutaient joyeusement autour de la table.
immondice (f) – (formal) filth, foul matter
Merci de débarrasser le trottoir de ce tas d’immondices !
voie (f) de la facilité – path of least resistance
affabuler – to plot, dream up (a plot)
L’auteur a mis deux jours pour affabuler son nouveau polar.
s’enliser – to sink, get stuck
Le tracteur est allé aider une voiture qui s’était enlisée dans la boue.
jupitérien – Jovian
éphéméride (m) – block calendar, tear-off calendar
bouclier (m) – shield
Les légionnaires romains portaient des boucliers rectangulaires.
tellurique – telluric, terrestrial
Le courant tellurique est un courant qui circule dans la croûte terrestre.
remue-ménage (m) – commotion, agitation, fuss, pandemonium, upheaval
Qu’est-ce que c’est que ce remue-ménage ? Tout est en désordre.
saccadé – jerky
La rotation de cette roue dentée est saccadée.
rodage (m) – setting up, establishment, trial period
Le rodage du nouveau service informatique se termine.
réticule (m) – (historic) reticule, drawstring bag/pouch
Les réticules étaient très à la mode sous le Directoire.
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presentslointains · 14 days
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Le jaspé rouge de Madagascar
Le jaspé rouge de Madagascar, une gemme éblouissante extraite des profondeurs de l'île rouge, il incarne la splendeur de la nature. Forgé il y a des temps immémoriaux dans les entrailles de la terre, ce trésor géologique fascinant a su captiver l'imagination des gemmologues et des passionnés de minéraux à travers le monde.
Les gisements de jaspé rouge se nichent principalement dans les régions occidentales de Madagascar, où la terre regorge de richesses minérales. Sa couleur envoûtante, oscillant entre le rouge rubis et le rouge brique, est le fruit d'une alchimie subtile entre les oxydes de fer et les forces telluriques qui ont sculpté ce paysage minéral au fil des âges.
Les artisans malgaches, héritiers d'une tradition millénaire, transforment avec virtuosité cette gemme rare en de véritables œuvres d'art. Sculpteurs, lapidaires et joailliers subliment sa beauté naturelle à travers des créations audacieuses et raffinées, révélant ainsi toute la splendeur et la finesse de ce joyau terrestre.
Au-delà de sa valeur esthétique, le jaspé rouge revêt une symbolique profonde pour les Malgaches, qui le considèrent comme une pierre de protection et de sagesse. Utilisé depuis des siècles dans les rituels traditionnels et les cérémonies ancestrales, il incarne la force de la terre et la sagesse des ancêtres, offrant à ceux qui le portent une connexion profonde avec les énergies telluriques de Madagascar.
Cependant, la beauté éphémère du jaspé rouge s'accompagne de responsabilités. Sa préservation et son exploitation durable sont essentielles pour préserver l'équilibre fragile de l'écosystème malgache et soutenir les communautés locales qui dépendent de cette industrie. En célébrant la rareté et la magnificence du jaspé rouge, nous rendons hommage à la richesse inestimable de Madagascar, une île où les trésors de la terre rivalisent avec la beauté de ses paysages.
Le jaspé rouge de Madagascar est réputé pour ses nombreuses vertus tant sur le plan physique que spirituel. Voici quelques-unes de ses propriétés spécifiques :
Stabilité émotionnelle : Le jaspé rouge est souvent associé à l'ancrage et à la stabilité émotionnelle. Il est réputé pour favoriser un sentiment de calme et de tranquillité intérieure, aidant ainsi à surmonter le stress, l'anxiété et les émotions négatives.
Vitalité et énergie : Cette gemme est également considérée comme une pierre de vitalité et d'énergie. Elle peut aider à revitaliser le corps et l'esprit, stimulant ainsi la motivation, l'endurance et la détermination dans la poursuite des objectifs.
Protection : Le jaspé rouge est souvent utilisé comme une pierre de protection contre les énergies négatives et les influences néfastes. Il est censé agir comme un bouclier énergétique, aidant à repousser les vibrations indésirables et à protéger celui qui le porte.
Équilibre des chakras : Selon la tradition ésotérique, le jaspé rouge est associé principalement au chakra racine, situé à la base de la colonne vertébrale. Il est censé favoriser l'équilibre et l'harmonie énergétique de ce chakra, contribuant ainsi à renforcer la connexion à la terre et à la sécurité intérieure.
Renforcement physique : Sur le plan physique, le jaspé rouge est considéré comme bénéfique pour la santé générale du corps. Il est souvent utilisé pour stimuler la circulation sanguine, renforcer le système immunitaire et soutenir la vitalité physique.
Créativité et passion : Certains croient que le jaspé rouge peut également stimuler la créativité et la passion dans les entreprises artistiques et créatives. Il est associé à l'expression de soi et à la réalisation des désirs profonds.
Ces vertus font du jaspé rouge de Madagascar une gemme précieuse tant pour ses qualités esthétiques que pour ses propriétés énergétiques et thérapeutiques. Cependant, il est important de se rappeler que ces croyances sont basées sur des traditions anciennes et des pratiques spirituelles, et que les effets individuels peuvent varier d'une personne à l'autre.
Les analyses minéralogiques ont révélé que le jaspé rouge de Madagascar est principalement composé de quartz, avec des inclusions d'oxydes de fer responsables de sa couleur distinctive. Des traces de calcite et de feldspath ont également été identifiées dans certains échantillons. La diffraction des rayons X a confirmé la présence de quartz dans sa structure cristalline.
En ce qui concerne la dureté, les tests effectués selon l'échelle de Mohs ont démontré que le jaspé rouge de Madagascar présente une dureté variable, généralement comprise entre 6,5 et 7 sur l'échelle de Mohs. Cela le classe parmi les gemmes relativement dures, capables de résister aux rayures causées par des minéraux de dureté inférieure, mais vulnérable aux rayures causées par des minéraux plus durs tels que le corindon et le diamant. https://presentslointains-madagascar.com/pages/le-jaspe-rouge-de-madagascar
https://presentslointains-madagascar.com/pages/le-jaspe-rouge-de-madagascar
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goodmemory · 3 months
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Les affects ne sont pas psychologiques. Ils sont abrupts, violents, telluriques. Ils ne s’inscrivent jamais dans une continuité. Ils viennent au contraire l’interrompre, la perturber. Imprévisibles, non rationnels, ils font irruption et la traversent en zigzags. Et l’éclairage qu’ils jettent est souvent troublant.
— Le cours de Pise - Emmanuel Hocquard
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Si l'on s'intéresse aux causes lointaines, la guerre d'Indochine n'a pas commencé en 1945, mais trois siècles plus tôt, en 1625, quand débarque au Vietnam un jésuite français, le R.P. Alexandre de Rhodes. À sa façon, cet homme remarquable est un conquérant, comme ses confrères qui entreprennent à la même époque une tâche analogue au Japon et en Chine. S'emparer des esprits n'est pas la moindre des conquêtes. Ces missionnaires s'inscrivent dans le grand mouvement d'expansion occidentale qui a commencé au siècle précédent. La propagation d'une religion radicalement étrangère à la tradition d'un pays de très ancienne civilisation, provoquera au fil du temps des réactions de défense immunitaire. Elles seront d'autant plus vives que, dans le sillage des missionnaires, accostent des commerçants aux dents longues, des marins et des soldats. En dehors d'exceptions, les colonisateurs sont aussi universalistes dans leurs desseins que les Américains d'aujourd'hui, convaincus qu'ils sont d'apporter “la civilisation et le progrès” pour le bien de tous. Ainsi débute l'histoire équivoque de la colonisation qui, pour l'Indochine, ne devient effective qu'à partir de 1858.
Après coup, quand viendra l'énorme lame de fond du reflux européen, il sera facile de juger le passé avec sévérité et de se livrer aux délices de l'auto-culpabilisation. L'anticolonialisme dressera le tableau le plus noir du passé, provoquant des ripostes qui flatteront les réussites en masquant les ombres. Polémiques stériles. En Indochine et ailleurs, l'aventure coloniale de la France n'avait été qu'un moment particulier du grand mouvement d'expansion qui jeta les Européens sur toutes les routes du monde, véritable mouvement tellurique, au même titre que les grandes invasions, les changements climatiques ou les effets des révolutions techniques. La faiblesse attire la force comme le vide attire le plein, et personne n'y peut rien.
Au XIXe siècle, face à l'envahissante supériorité technique et matérielle de l'Europe et des États-Unis, si elles voulaient survivre sans être dominées, les autres nations, notamment en Asie, étaient contraintes de s'occidentaliser, donc de se renier. Défi gigantesque et souvent mortel auquel le Japon a été le seul à répondre par ses propres moyens. Ce fut une formidable révolution que celle de l'ère Meiji, conduite par la caste militaire des samouraïs, mais révolution réussie puisqu'elle est parvenue à préserver une part réelle de la tradition japonaise au sein de la modernité. L'Inde constitue un cas à part dans la mesure où la colonisation britannique, n'ayant pas eu un effet de “table rase”, a laissé subsister une part notable de la tradition hindoue enracinée dans le système des castes. Pour la Chine et le Vietnam, il n'en fut pas de même. La modernité leur fut imposée de l'extérieur, par l'adoption de systèmes spirituels étrangers, destructeurs de leur tradition spécifique. En Chine, ce fut le rôle du communisme, système mental et social issu des pathologies européennes. Quant au Vietnam, il subit d'abord l'acculturation de la colonisation française, et fut laminé ensuite, comme la Chine, par le communisme qui sut exploiter à son profit un puissant éveil nationaliste.
Après 1945, le reflux fut plus ou moins intelligemment conduit. Les Britanniques, dont l'empire était beaucoup plus vaste que celui de la France, ont su réaliser leur retrait le moins mal possible pour eux-mêmes. On ne peut en dire autant des Français. Au Vietnam, l'aveuglement de tous les gouvernements, depuis 1945, a conduit à une guerre cruelle que le pouvoir politique refusait d'assumer tout en s'y soumettant. Ne furent grands que les combattants. Alors que la société politique de l'époque n'inspire que mépris et dégoût, les soldats furent souvent admirables. C'est en eux que se maintenait l'âme d'un pays veule et assoupi.
Dans les derniers jours de la bataille de Dien Bien Phu, alors que tout était perdu, 1.520 volontaires dont 680 non parachutistes se présentèrent pour sauter dans la fournaise. Parmi eux, des plantons et des secrétaires. Pourquoi ont-ils fait cela ? Pour les copains, par enthousiasme sacrificiel, par une sorte d'espérance tragique. Dans les heures noires comme dans les autres, souvenez-vous de ceux-là. Ils incitent à se tenir debout.
Dominique Venner
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raisongardee · 6 months
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"[…] le monde de la tradition a interprété la vie comme une lutte permanente entre des puissances métaphysiques : forces ouraniennes de la lumière et de l’ordre, d’une part, forces obscures, telluriques, du chaos et de la matière, d’autre part. Cette lutte, l’homme traditionnel devait la mener et la gagner sur les deux plans, intérieur et extérieur. On considérait comme vraie et juste sur le plan extérieur, la guerre qui reproduisait, en la transposant, la lutte intérieure qu’il convenait de mener : lutte contre les forces et les êtres présentant, dans le monde extérieur, les mêmes caractères que les puissances qui, chez l’individu, doivent être soumises et dominées intérieurement jusqu’à l’accomplissement d’une pax triumphalis. Il en résulte que l’idée guerrière rejoint celle d’une certaine ascèse, d’une discipline interne et d’une certaine supériorité par rapport à soi, ou contrôle de soi, que l’on retrouve, à divers degrés, dans les meilleures traditions guerrières et qui subsiste sur le plan militaire stricto sensu, avec l’authentique valeur d’une culture au sens anti-intellectualiste de formation et de maîtrise de soi. Contrairement aux dires de la polémique bourgeoise et libérale, l’idée guerrière ne se ramène pas à un matérialisme, n’est pas synonyme d’exaltation d’un usage brutal de la force et de violence destructrice ; la formation calme, consciente et maîtrisée de l’être intérieur et du comportement, l’amour de la distance, la hiérarchie, l’ordre, la faculté de subordonner l’élément passionnel et individualiste de soi-même à des principes et à des fins supérieures, surtout sous le signe de l’honneur et du devoir, sont des éléments essentiels de cette idée et le fondement d’un "style" précis qui devait se perdre en grande partie quand, à des Etats considérés comme "militaristes", où tout cela correspondait à une longue et sévère tradition, presque de caste, se substituèrent des démocraties nationalistes, où le devoir du service militaire remplaça le droit aux armes."
Julius Evola, Les hommes au milieu des ruines, trad. Gérard Boulanger, 1953.
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patatedestenebres · 9 months
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Damaskus, la Cité aux larmes de feu
(Cité) Le peuple nexo-planaire des damask’uun semble s’être développé spontanément à la création du Chapelet tellurique, répondant à un besoin, probablement inconscient, des anciens collectifs N’uru’N. Sans passé mais animés par de puissantes émotions, les Premiers fondèrent la cité de Damaskus sur une grande mer de magma en fusion, bâtissant de grandes tours spiralées selon les directives des…
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Entre Mars et Jupiter se trouve un astéroïde unique et riche en métaux nommé Psyché. Psyché est spécial car il semble qu'il fasse partie ou la totalité de l'intérieur métallique d'un planétésimal, l'un des premiers éléments constitutifs planétaires de notre système solaire. Pour la première fois, nous avons la chance de visiter un noyau planétaire et éventuellement d’en apprendre davantage sur l’histoire mouvementée qui a créé les planètes telluriques.
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lupitovi · 1 year
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Le coup d'un soir où la rencontre des corps n'a rien du coup porté mais nous transporte vers là d'où l'on est arrivé Effarant décalage des corps et des âmes où la douceur de la caresse n'a d'égal inversé que la rugosité du palais Quand le reste s'en mêle l'impalpable l'insaisissable l'inexplicable qu'on emballe en un joli mot ne jamais le dé-cor-tiquer au risque de l'abîmer Pourquoi cet homme que tu glisserais volontiers dans ton lit mais pas à ta table ou l'inverse cet autre dont la seule main sur ton épaule te fait hérisser le poil D'où viennent les aimants ceux qui s'attirent Forces telluriques
Thérèse Bardenaine - Corps à cœur
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soul-and-blues · 11 months
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Des rencontres fortuites tentations telluriques je les capte d'une main sûre projette le meilleur au coeur de l'arbre au centre du ventre respirations concentrées aimer est peut-être ce dont il s'agit Tony Tremblay
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thomariviere · 1 year
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EN TRAVAUX
Atelier d’écriture A5
(mars 2023)
Le temps ne révélera rien (mais ça je te l’avais bien dit) Le temps sait seulement le prix qu’il faut payer. Si je savais ces choses, je serais venu te le dire.
Pour lancer l’atelier j’ai tenu à partager en trad simultanée non fixée if I could tell you de AUDEN (sa première strophe est ci-dessus).
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Suavement, ce python-arc-en-ciel glisse entre les boyaux mêles de mon cerveau. Depuis —me semble-t-il— que je tente de m’extraire et de fermer la lourde pierre sur l’entrée du Nyihl. Depuis que je retrouve du regard ces quelques taches de soleils disséminées ça et là près de l’entrée de la grotte.
Traduction en direct (même si informellement préparée durant la semaine) car les maladresses, les hésitations, ce me semble, témoignent incontestables son enracinement profond et sa symbiose mouvante à l’intérieur de moi ; et puis comment d’autre que maladroitement pourrait-on transposer la troublante évidence du ressassement poétique de l’auteur.
Consigne de l’atelier (élaborée collégialement) chacun pose un mot sur un tit bout de papier. on les lit. Notre texte doit en utiliser 3, avoir pour thème le 4e (sans l’inclure) et commencer et terminer par le 5e.
Les mots : Dysmorphie / assommé / le temps / cockring /miroir miroir on the wall…
Miroir, miroir, insaisissable jumeau, tu sais pertinemment le prix qu’il faut payer.
(dit-il)
Un temps.
Miroir ô mon miroir, toi qui n’es que silence, tu sais aussi que le temps vient toujours solder ses comptes.
Miroir—Ah miroir, supplicié sur mon mur, je connais ta devise : plus on sait plus on sent, plus on ne peut parler. Plus on ne parle plus.
Et comme je suis bavard… comme je parle sans cesse. peut-être plus que jamais…
Plantés, droits. Immobiles. L’un en face de l’autre. Attendant…
Pauvre image échouée dans ce lieu vitrifié, mon miroir et mon âme, tu agites bien haut cet air indifférent. Mais je connais tes yeux, chacun des millimètres, je connais ton sourire et j’ai vu dans ton cœur. Cet air n’est qu’un déni, une pirouette charmante. Pour mettre un paravent devant l’angoisse qui te secoue. Je ne suis pas idiot. Bien sûr que tu étouffes dans ce cadre étriqué qui te coince et te blesse de ses bords écorchés. Bien sûr que tu envies l’ivrogne liberté dans laquelle je m’ébats, l’étendue foisonnante de mon monde débordé.
Et pourtant ô Miroir, comme c’est chevaleresque, tu cherches à m’apaiser. Mais pourquoi–Comment puis-je m’apitoyer. Tout ce que je suis dans cet instant précis, c’est mon faire et ma volonté. J’ai parcouru la route, atteint l’extrémité. L’ai choisie, oui, moi seul, le sillon obscurci qui se tort et frétille, qui entaille et entrave de son trait tellurique les entrailles trouées de la croûte terrestre.
Une larme orpheline, comme une clandestine s’élance irrésolue à travers un océan de joue.
Pourtant, foutu miroir, je suis tétanisé. Appesanti par ce dont je suis capable mais plus encore je crois par tout ce dont je sais être parfaitement incapable.
Miroir, oui toi, mon vaillant naufragé, me diras-tu enfin ce secret enterré dessous les fondations au fond de la forêt par-delà les étoiles. Celui-là, essentiel, que tu as effacé. Que tu gardes sauvage. Pourquoi me le cacher. Ne mesures-tu donc pas le montant exorbitant qu’il nous faudra payer.
N’ouvre pas ces grands yeux. ô mon vieux compagnon. Rebel indifférent.
Si peu nous sépare. Tu es accroché… je suis écorché. (tu vois seuls 2 petits phonèmes un tit peu dissipés). Toi, tu Es échoué. Dans ce lieu déréalisé. Et moi j’y suis venu parce que j’AI échoué… là-bas, dans le monde tgv, celui des autres (juste un auxiliaire ayant renversé l’autre).
Le prix …
Le prix reste toujours le même. Immuable depuis… depuis les origines. Celui là que jadis Adam a dû payé. Et lucie également. Et nous tous après eux.
Un prix assourdissant. Vertigineux. Quoi qu’il ne coûte rien. Pas un de nos deniers humains. Prix qui éclipse … Tout. Aucune de nos calculatrice n’a assez de mémoire pour faire tenir l’indicible total de l’addition finale.
Leurs regards se touchent. S’effleurent. Hésitent. Se tressent. Pénétrant. Comme deux lutteurs. L’un calme l’autre bouillant. L’un avisé l’autre épuisé.
Le miroir est malin. Il préfère garder ses distances. Au cas où. … si c’était contagieux.
La double forme optue s’impatiente à moitié. Son corps frisonne. Alors que les deux tours anémiques menacent de s’effondrer, le laissant exsangue doublement à genoux.
Il force sa main à s’avancer tremblante vers la main magnanime qui, fluide et flottante, volute à sa rencontre. Cette main redoublée qu’il peine à reconnaître. Malgré l’imitation presque sans défaut de ses vibrances les plus tenues et de la panoplie ample de ses inexpressions.
Pourquoi là face à toi, …? Que viens je donc chercher que je ne sais déjà.
Quelle question pertinente, mon cher. oui Pourquoi en effet? (Et toujours ce sourire.). Pourquoi … Tu Es Là (Ou est-ce, peut-être, mon sourire à moi). L’amertume mousseuse s’amuse à se dissoudre dans le sable mouillé. L’amorce d’un sourire. Cette fois oui c’est bien le mien. Faiblement. Écho de son écho. Au-dessus tournoient tout un essaim de questions que multiplient les siennes. Un nœud de möbius. Je réfléchis mon reflet qui réfléchit ma vie dans ce grand miroir. Derrière moi, derrière lui derrière mon reflet, un noir pénétrant. Le noir absolu et invisible où n’existe plus rien.
C’est donc elle. La fameuse. La porte de perles (comme l’a nommée Thom Yorke). Elle me toise. Dubitative. Un peu renfrognée. Elle exècre les esclandres. Elle en a vu bien d’autre. Elle les connaît à l’envers à l’endroit, les salves de questions ineptes qui n’ont de réponses (si ce n’est de tirer sur l’élastisme usé du moment), il connaît les regards qui s’aveuglent, la bravoure qui pleurniche, l’indécision assomante et la panique chevillée comme une sauvageonne.
C’est elle, la porte sacrée qu’il est interdit de contempler en pied. Elle est là. Tout près de moi. Mes yeux plonge dans la trouée étroite pour apercevoir … —— . Il n’y a rien à apercevoir.
Là, à mes pied, la ligne d’arrivée. Et aussitôt ——. Ce … qui n’a pas de nom. Vacuum anomalique.
La bouche architecturale me surveille, menaçante et avide. C’est la plaie sans remède. Avec ses crocs de glace et son regard carié. Le péage infranchi (on ne s’en acquitte pas avec notre argent ; chacun doit improviser et trouver comment s’en débrouiller, se peut-il qu’il s’agisse pour moi d’une bulle d’air que l’on envoie jouer avec une bande de globules?)
Est-il vraiment possible de la désirer la Fin de la partie… l’exiger. Se lever de la table où tous veulent prendre place. Arrêter de jouer, peut-être pour pouvoir enfin écrire son propre nom, sa propre décision, agir et ne plus subir.
Ne plus souffrir.
Je laisse au miroir le soin de réfléchir. Réfléchir m’asphyxie. Je n’en peux plus je m’y refuse. J’ausculte le carcan, ses bords rugues ouvragés m’évoque évidemment les deux arbres de Yeats. C’est lui le cadre millénaire fabriqué bien au-delà des temps tandis que dieu dormait par des esprits perfides, ce cadre mortifère qu’avec une bile habile, les démons nous soulèvent juste devant les yeux. Ce cadre façonné d’os de sable et de thé, son teint aluminium lissée dans la morve bouillante du magma volcanique.
La voilà donc, la virgule vinaigre au-delà de laquelle tout solide redevient un symbole. La transition qui— vers—
Miroir dis-je… dit-il… disons-nous dis-tu… miroir…
Le cockring se met à vibrer. Instamment m’absorbe par le gland et me jette dans les ouates exaltées des moiteurs idéales.
Il veut jouir.
Je veux jouer.
Je veux jouir et jouer.
Je veux ce vibrement qui résorbe le temps.
Qui absout la pensée.
Je veux jouer, oui je veux … rêver, danser, jouer.
Et je veux m’écrier.
M’écrire me dessiner.
Me dire mordre et hurler de toutes mes couleurs
que je SUIS que je vis,
et que oui j’ai bien failli aller.
(OÙ?)
là exactement au même endroit mais de l’autre côté.
De l’âme.
parce rien ne restait.
Plus.
Rien ne me retenait.
La fatigue absolue, l’ombre incommensurable, la guerre qui détruit tout.
Et le marteau têtu qui tient tout mon espace, il tape à coup d’enclume…
que ‘Rien’ vaut mieux que ces mois passés.
Je veux hurler hurler que oui
OUI que je suis vivant,
que j’ai failli mourir,
que j’ai eu 50 ans et que je n’ai plus rien.
J’ai tout perdu Tout, dans l’en dedans de moi.
Il ne reste plus rien.
et que j’ai beau chercher, fouiller
et farfouiller creuser des lèvres et des yeux la vase malodorante…
je ne retrouve pas. Rien.
Rien rien je ne trouve rien du tout à quoi me retenir.
Rien d’autre que ce grand moribond vétuste qui s’estompe juste là
face à moi.
Ce moi qui s’est réfugié dans ce monde sans poids,
ce monde transit où l’on doit venir seul.
Il n’y a que moi ici. ma queue gonflée, ma turgescence fidèle qui tente de m’offrir les derniers reliquats d’un plaisir de moins en moins convaincant. De moins en moins convaincu. Mon champignon mâtin.
C’est à peu près la seule chose qui semblait intéresser en moi.
Rude, à la longue, d’être relégué sans cesse aux performances sanguines des cavités spongieuses. Aux exploits de mon mat (même pour un thomas).
Le cockring trépide comme un idiot, vibre en accélérant. Rapidement le membre dégonfle. Le rituel devenu factice et sclérosé. Le jour où il n’y aura plus ce frisson de plaisir, ce jour…
Je me jette sur la pipe. Tourne le dos à l’autre.
Miroir ô douce saloperie à l’abris sur le mur. Me laisseras-tu donc entrer. Enfin sale fils de pute engrossée vas-tu te décider. Me laisseras-tu sortir ou entrer ou partir, me laisseras tu donc m’envoler ou chanter. Ou m’endormir en paix. Me laisseras tu en paix. Me laisseras tu revivre ou résorber ma forme?
Le miroir interdit réfléchit réfléchit. Son reflet assassin soudain accusateur m’assomme. Sa laideur émacié m’assomme. Il m’enveloppe d’un regard que je connais trop bien. Ce regard guillotine empreint de mon dégoût. Le dégoût très léger, propre et civilisé. C’est encore pire, cet air intelligent pour m’écraser moi-même. Ce mépris immémorial qui luit infime et radical depuis le centre en moi, ce phare lilliputien à la clarté stridente bâti il y a bien des âges et des jadis, peu après que Babel la fière ne se soit accroupie dans les sables et le vent.
Le miroir m’a montré gros laid estropié difforme laid mal formé. Bête cruel colérique méchant blessant supérieur et manipulateur. Factice mise en scène mégalo égoïste. Faible risible laid répugnant coupable. Laid. Disgracieux laid et raté. Raté raté.
Je me suis jugé. Des années durant.
Préférant mes sentences pour ne pas avoir à entendre celles des autres. Et après 50 de boue et marécage, je suis vide, triste, éteint. Mes mines sont à l’arrêt dont on extrait plus rien. Raté dans le regard d’autrui bien sûr. Mais le pire est raté pour l’enfant que j’étais. Lui ne cesse de m’appeller de son portable dernier cri pour me remercier de tout ce que je n’ai été capable de lui donner. Tout ce dont nous avons rêvé jadis lui et moi quand nous ne faisions qu’un, gît là juste à ses pieds putride et transpercé. Il ne me le pardonne pas.
Je suis le raté. Le rat taupe. Créature ambidextre de la terre et du vert. Les vers qui appartiennent aux boues et aux fossés. Je tiens à peine debout mais je me dresse tremblant dans la lumière obscure. Recyclant sans jamais m’arrêter les excréments puants et les mots mensongers pour en faire le lit de toutes les fleurs d’été et le rus parfumés où je nettoie les vérités fertiles.
Le miroir s’illumine. Il a peinturluré sur son visage un air plein mâtiné d’une trace d’ironie. Mais doux. Pour de vrai une douceur rare. À laquelle je crois. Un peu aussi de ce regard entendu que je déteste ne pas comprendre.
Tu sais très bien où est la clef, child. Partir… rester… c’est ton pas. Pas le mien. Il n’y a que toi savoir. La clef… C’est toi qui l’a rangée. Qui l’a égarée. Exprès? Et le prix. Oui je le connais. Tu le connais aussi. C’est comme tu dis. L’addition est la même. Le prix est identique. Quel que soit le passé. Tu sais très bien Tomas que le difforme, le dysmorphique ce n’est pas toi, ton âme ou tes baisers. Que ce n’est pas ton nez, refait ou d’origine. Pas la queue volubile que secoue le cockring, ni les nues ni les chants ni les mots décorés que tu files bien ou pas sur ton rouet cabossé. Ce n’est pas SURTOUT PAS, Ta Bonté. Celle que tu as conscienceusement et vaillamment fabriquée a l’intérieur de toi malgré des circonstances souvent bien peu propices. Tu veux donner depuis très très longtemps parce que c’est ce qui t’est arrivé et que ça t’a changé fait grandir et sauvé. Et tu trouves ça juste incommensurable. Cet égoïsme si idéalement généreux. C’est pour ça que tu aurais voulu incarner écrire vibrer danser. Et c’est loin d’être la plus mauvaise raison de vivre.
La clef, me sourit-il, elle est là dans la main que tu crispes sans Rbeu rfbdrd compte. Tu es innocent. Tomas. Entends tu? Innocent. Et non tu n’as pas à payer pour une faute que tu as subie. Une faute hypothétique dont tu ne te souviens pas et au nom de laquelle tu acceptes une punition qui ne suffit jamais. Cette faute mythologique, elle n’existe pas. C’est le poison que les autres ont distillé. La clef mon cher enfant est tellement simplette que je ne l’écrirai pas. De peur de faire éclater cette pauvre bulle de savon. Ces 50 ans brouillons que tu te reproches en boucle sont ton accomplissement ta force et ta richesse. 50 ans pour apprendre que nous sommes tous unis même ceux que croient gagner à vouloir te détruire. C’est ainsi que tu ne conçois même pas de prendre ta défense. Te défendre serait forcément contre ceux qui te chargent et contre eux c’est contre toi.
Oui toi tu as la paix, la délicate luminance d’avoir compris que c’est à de se construire à son rythme. La haine ni qu’une immaturité qui doit apprendre à grandir. La lumière à tout prix. Peut-être n’as-tu plus rien et peut-être n’es-tu rien. Mais ce rien c’est l’espace dans lequel tout peut vivre.
Miroir miroir ô mon miroir… les rides de mon visage se détendent lentement.
Et je me tais.
(À mes compagnons d’atelier d’écriture : je vous aime)
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aurevoirmonty · 4 months
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"La femme est donc mystiquement solidarisée avec la Terre ; l'enfantement se présente comme une variante, à l'échelle humaine, de la fertilité tellurique. Toutes les expériences religieuses en relation avec la fécondité et la naissance ont une structure cosmique. La sacralité de la femme dépend de la sainteté de la Terre. La fécondité féminine a un modèle cosmique : celle de la Terre Mater, la Genitrix universelle."
Mircea Eliade, Das Heilige und das Profane (1965)
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