Tumgik
#comment réussir dans les affaires
toffavoyance · 2 years
Text
Comment réussir son objectif ?
#Voyance par téléphone ou par #WhatsApp ☎: +229 91728602Comment le consulter le grand maître #marabout compétent efficace TOFFA ? Que vous soyez n’importe, en #Afrique, en #Europe, en #Asie, où en #Amérique, n’hésitez pas à consulter par mail, par téléphone ou en cabinet votre marabout africain pour vos rituels ; même à distance et peu importe le lieu l’efficacité des résultats seront les mêmes…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
marie-swriting · 8 months
Text
Vous Iriez Bien - TASM!Peter Parker
Tumblr media
Marvel Masterlist
Résumé : Tu passes un mauvais jour, heureusement ton petit ami sait quoi faire pour t'aider.
Warnings : neurodivergent!reader, crise de panique, pression scolaire, hurt/comfort, dites-moi si j'en ai loupé d'autres.
NDA : Ce one shot a été commandé par ma talentueuse meilleure amie @kaeinherworld ça a été un honneur pour moi de voir qu'elle voulait que je lui écrive un one shot donc, Kae, j'espère que tu l'aimeras autant que j'ai aimé ton one shot Stefan Salvatore que tu m'as écrit il y a des années (et contrairement à toi, je ne le supprimerai pas !) ❤️
Nombre de mots : 2.2k
Version anglaise
Prompt utilisé : "Person A is having a panic attack and they desperately try to hide it, but Person B sees right through them and knows the right thing to do to calm A down." (Personne A a une crise de panique et iel essaye désespérément de la cacher mais Personne B voit clair dans son jeu et sait la chose à faire pour calmer A) de cette prompt list faite par @creativepromptsforwriting
Chanson qui m'a inspiré : Love The Hell Out Of You par Lewis Capaldi
C’était trop. Si on t’avait demandé de définir cette journée, tu aurais répondu que c’était trop. Trop de stress. Trop de bruit. Trop de personnes. Trop de tout. 
Dès ton réveil, tu avais ressenti que cette journée ne serait pas la meilleure et les heures suivantes l’avaient confirmé. Ce jour-là était particulièrement éprouvant à la fac. La fin du semestre se rapprochait à grand pas et la pile de devoirs à rendre et de révisions à faire s'agrandissait au même rythme. Ta concentration et ta motivation avaient de plus en plus de mal à rester à tes côtés Tu n’avais qu’une hâte pouvoir profiter de tes vacances pour - enfin - souffler et t’isoler. 
En plus de la pression de la fac, tu n’avais pas pu voir Peter de toute la journée. Même si vous n’aviez pas les mêmes cours, vous trouviez toujours une solution pour vous retrouver pour manger le midi ou au moins une dizaine de minutes durant l’après-midi. Malheureusement, le vendredi était ta journée de cours la plus chargée, il vous était impossible de vous voir sur le campus, par conséquent, tu étais encore plus à cran. Certes, tu allais passer la nuit chez lui pour votre visionnage hebdomadaire de Star Trek, mais tu voulais être dans ses bras le plus vite possible.
Quand ton professeur finit son cours - non sans rajouter un énième devoir, tu rangeas tes affaires. Malgré la boule toujours présente dans ton ventre, tu pouvais enfin respirer un peu plus facilement. Cependant, tu attendais de poser les yeux sur ton petit ami pour prendre une vraie inspiration.
En arrivant chez toi, tes parents ne prirent pas le temps de te saluer ou de te demander comment s’était passé ta journée, ils se dépêchèrent de faire un commentaire désobligeant à propos de tes notes sans même savoir de quoi ils parlaient. Ton anxiété commençait à se transformer de plus en plus en frustration et tu fis tous les efforts du monde pour ne rien répliquer, tu tenais au peu de calme qu’il te restait encore. Sans leur lancer un regard, tu montas dans ta chambre et refermas la porte sans perdre une seconde avant de t’allonger sur ton lit. 
Tu avais encore une petite heure avant que Peter finisse son dernier cours. Tu en profitas pour te déconnecter de cette atmosphère anxiogène. Tes écouteurs à réduction de bruit dans tes oreilles, tu pris le livre sur ta table de chevet, Le Seigneur Des Anneaux - tu n’aurais su dire combien de fois tu l’avais lu. Ce qui était censé t’apporter du réconfort te frustra un peu plus. Ton esprit était trop surmené pour réussir à se concentrer sur ta lecture et le fait d’avoir été au contact d’autant de stimulis au fil de la journée n’arrangeait rien. Agacée, tu refermas ton livre dix minutes plus tard et attendis Peter avec impatience. 
Le soulagement pouvait se lire sur ton visage quand tu entendis Peter frapper à ta porte. Inconsciemment, tu jetas un coup d'œil par la fenêtre. Il n’était pas rare pour Peter de venir te voir avant ou après sa patrouille et comme il devait se faire discret, il te rejoignait en passant par ta fenêtre. 
Après avoir rangé tes écouteurs et ton livre dans ton sac, tu le pris en main et retrouvas Peter à l’entrée. Il t’embrassa pour la première fois depuis la nuit dernière. Le baiser était rapide tout en étant rempli d’amour. Il prit ton sac et le plaça sur son épaule pendant que tu te saisissais de sa main. Suite à ce contact, tes épaules se relâchèrent légèrement. 
Sur le chemin, Peter fit la discussion, te racontant sa journée. En temps normal, tu lui aurais répondu avec passion et n’aurais pas arrêté de lui raconter toutes les pensées qui traversaient ton esprit, mais la fatigue de la journée était plus forte alors tu restas silencieuse. Peter étant un petit ami bienveillant et te connaissant depuis l’enfance, il remarqua ton mutisme instantanément, mais ne commenta pas. En seulement un regard, il avait compris que ta journée avait été longue. Tout en continuant de parler, il prêta attention à tes gestes, se préparant à réagir si tu avais besoin de quelque chose.
Le chemin jusqu’à chez Peter ne t’avait jamais semblé aussi long. Tu t’étais retenue de soupirer de nombreuses fois dans le métro. 
Une fois chez lui, vous vous rendîtes dans la cuisine où vous saluâtes rapidement Tante May qui devait partir au travail. Quand vous fûtent seuls, Peter récupéra deux verres ainsi qu’une bouteille de soda alors que tu sortis du pop corn pour votre soirée. 
Dans sa chambre, Peter te donna un de ses tee shirts que tu mis rapidement, voulant sentir son parfum sur toi. Son tee-shirt ressemblait plus à une robe mais cela ne te dérangeait pas. Peter enfila également une tenue plus confortable. 
Une fois allongés sur le lit de Peter, tu te mis sur ton côté gauche, la tête posée sur le torse de ton petit ami pendant que l’ordinateur était sur ses jambes et le bol de pop corn entre vous deux. Lors des premières minutes de Star Trek Into Darkness, tu arrivas à te concentrer puis tu repensas à la fac malgré toi. 
La pensée avait à peine effleuré ton esprit mais ça avait été suffisant pour te distraire. Mentalement, tu faisais la liste de tout ce qu’il te restait à faire. Plus tu réfléchissais et plus tu prenais conscience que tu avais encore beaucoup de travail. En sentant tes mains commencer à trembler, tu compris que la crise de panique n’était pas loin. Tu essayas de prendre de profondes inspirations discrètement, espérant ne pas attirer l’attention de Peter - ses sens décuplés pouvaient te trahir à n’importe quel moment. Quand ton cœur se mit à battre à toute vitesse, tu sus que c’était peine perdue. Dissimulant ta respiration saccadée du mieux que tu pouvais, tu tentas de sortir du lit normalement, les larmes aux yeux. Tu n’eus pas le temps de bouger une jambe que Peter était déjà tourné vers toi, les sens en alerte. Il posa l’ordinateur et le bol de pop corn sans ménagement sur le sol et t’invita à t’asseoir comme il faut. Tu portas la main sur ta poitrine, la douleur devenant plus forte et au même moment, tes larmes commencèrent à couler sur tes joues. 
Peter te regardait sans te toucher, craignant d’aggraver la situation - il savait que tu n’étais pas fan du contact physique alors il faisait toujours attention à respecter ton espace personnel, surtout dans ce genre de situation. Rapidement, il cacha son affolement, tu avais besoin de le voir calme. 
-Hey, ça va aller, t’assura Peter. Est-ce que je peux prendre ta main pour la poser sur mon cœur ?
Tu hochas la tête avec difficulté pour répondre. Délicatement, il prit la main qui était sur ta cuisse dans la sienne. Son emprise sur ta main était légère, te laissant ainsi la liberté de la retirer si tu changeais d’avis. Il posa ta main sur son cœur et il te fit un regard rassurant avant de rajouter : 
-Très bien. On va respirer ensemble lentement. Tout va bien. Ça va aller, Y/N, répéta-t-il. Tu es en sécurité. Prends une profonde inspiration par le nez et expire par la bouche, invita Peter en le faisant avec toi. Regarde nos mains sur ma poitrine. 
À sa phrase, tu fis ce qu’il dit. En continuant de regarder le point fixe, tu pouvais sentir le cœur de Peter battre calmement à travers ta main, t’aidant ainsi à te sentir plus protégée. Tu respirais encore avec difficulté mais au bout de la cinquième inspiration, ton cœur ainsi que tes larmes commencèrent à se calmer.
-Tout va bien. Tu vas bien, murmura Peter.
Quelques minutes plus tard et grâce à l’aide de Peter, tu arrivas enfin à retrouver une respiration normale. Il arrêta de parler, t’autorisant à reprendre tes esprits à ton rythme. Tu gardas les yeux sur vos mains pendant quelques secondes de plus, appréciant le calme. Les yeux de Peter ne te quittèrent pas, faisant attention à ce que la crise ne reprenne pas. 
Quand tu te ressaisis, tu arrêtas de fixer vos mains pendant qu’un sentiment d’embarras t’envahit. Tu évitas le regard de Peter tout en essuyant tes joues mouillées avec ta main libre. Ce n’était pas la première fois que Peter était témoin d’une de tes crises de panique, mais tu n’aimais pas être autant vulnérable devant lui. Tu retiras ta main de son torse et commenças à jouer avec tes doigts. Tu n’osais pas briser le silence en premier et Peter l’avait bien compris. 
-Tu veux qu’on en parle ? 
-Il y a pas grand chose à dire, déclaras-tu avec une voix légèrement plus grave à cause de la fatigue. 
-Ça ne t’était pas arrivé depuis un moment, remarqua Peter. 
-La fin du semestre aide pas vraiment à ne pas être anxieuse. 
-Il y a autre chose.
En entendant son affirmation, tu ne pouvais t’empêcher d’être légèrement agacée. Il te connaissait par cœur. Malgré tous tes efforts, tu ne pouvais rien lui cacher alors tu lâchas un soupir avant d’admettre à contrecœur : 
-Ce n’était juste pas vraiment mon jour. Ce n’est rien. Je vais bien, mentis-tu en te forçant à le regarder pendant une seconde. 
-Tu sais que tu peux tout me dire. Tu sais aussi que ça ne me dérange pas de t’écouter et de t’aider, te rappela-t-il tendrement. 
-Je sais.
-Je le pense, Y/N. Tu m’as toujours aidé, surtout après que je sois devenu Spiderman donc c’est normal que je te rende la pareille. 
-Je veux juste pas être un fardeau pour toi, avouas-tu avec difficulté.
-Tu ne l’es pas et tu ne le seras jamais. Je ferai tout pour toi. Tu m’as tellement aidé et aimé alors sache que je t’aimerai toujours autant. 
Ignorant quoi lui répondre, tu te penchas vers lui et posas tes lèvres sur les siennes. Vous vous embrassâtes avec lenteur, appréciant la présence de l’autre. Avec ce baiser, tu voulais partager tout ton amour et ta gratitude à Peter. Il savait quoi dire pour te faire te sentir mieux et tu savais qu’il était sincère dans chacun de ses mots. Tu savais qu’il le pensait quand il disait qu’il ferait tout pour toi. Peter t'aurait amené le paradis si c’était ce dont tu avais eu besoin. Il aurait pris toute ta douleur s’il avait pu et il t’aurait souri en le faisant. Il aurait fait tout ce qui était possible et impossible pour toi et tu en serais à jamais reconnaissante. 
Peter te laissa prendre le contrôle du baiser, te permettant de retirer tes lèvres quand tu le souhaitais. Quand tu le fis, tu regardas Peter avec tendresse alors qu’il te faisait un sourire avec la même douceur.  
-On peut en parler plus tard, si tu préfères, te dit-il, sachant que tu avais besoin du temps. Tu as besoin de quelque chose ? 
-Je veux bien que tu me passes mes écouteurs et qu’on reste allongés pendant un petit moment, répondis-tu lentement.
Peter récupéra ce que tu voulais dans ton sac et te tendit les écouteurs. Tu les plaças dans tes oreilles, le silence te réconfortant un peu plus alors que Peter se réinstallait dans le lit. Tu ne te collas pas complètement à ton petit ami, ayant besoin d’un peu d’espace, mais tu te saisis de sa main droite et jouas avec ses doigts. Tu lâchas un grand soupir alors que Peter te regardait faire, toujours sur le qui-vive au cas où. 
Vous restâtes dans cette position jusqu’à ce que le soleil se soit couché. À un moment, tu fermas même les yeux sans dormir. Quand tu te sentis enfin un peu mieux, tu retiras tes écouteurs et ouvrir les yeux. Peter te fit un léger sourire auquel tu répondis avant de prendre la parole : 
-Tu veux un thé ? J’ai tout pour ton thé préféré.
-Qu’est-ce que j’ai fait pour te mériter ? demandas-tu rhétoriquement, ton sourire grandissant et en le regardant les yeux remplis d’amour. 
-Tu as frappé Josh Stewart quand on avait six ans car il avait jeté mes affaires au sol, répondit-il, te faisant lâcher un rire, le souvenir de votre première rencontre en tête. Alors, un thé ?
-Je veux bien. 
-Je reviens tout de suite. 
Après t’avoir embrassé sur le front, Peter quitta sa chambre. Quelques minutes plus tard, Peter revint avec une tasse dans les mains. Il te la donna pendant que tu t’asseyas sur son lit, le dos contre le mur. Tu pris une grande gorgée, appréciant le goût du thé noir avec du citron vert, de l’orange et de l’épice. Tu gardas la tasse entre tes mains alors que Peter récupéra le livre dans ton sac. Il n’avait pas besoin de te demander pour savoir que tu en avais amené un avec toi, tu avais toujours un livre sur toi, peu importe la situation. Peter rigola légèrement en voyant que tu relisais Le Seigneur Des Anneaux. Il te rejoignit sur le lit, s’installant à tes côtés. Pendant qu’il ouvrit le roman, tu te blottis contre lui. Peter passa son bras droit autour de tes épaules, te rapprochant de lui. Tu bus une nouvelle gorgée et Peter reprit la lecture là où tu l’avais laissée. 
En écoutant Peter lire, tu ne pus t’empêcher de te sentir reconnaissante d’avoir Peter dans ta vie. Il savait parfaitement quoi faire et dire pour t’aider à aller mieux. Tu n’aurais pu imaginer un meilleur petit ami. Tu savais qu’il y aurait d’autres moments où tu n’irais pas bien comme ce jour-là, tout comme Peter aurait ses mauvais jours, mais tant que vous étiez ensemble, vous iriez bien.
Marvel Masterlist
{Ceci est mon blog secondaire donc je répondrai aux commentaires sous le pseudo @marie-sworld}
22 notes · View notes
linkclicktina · 7 months
Text
Tumblr media
Cette fanfic se déroule après la fin de la saison 2 (gif tiré de la saison 1 ép. EMMA)
Fanfic 1; Nuits d'insomnie
Lu Guang était couché dans son lit superposé. Il gardait les yeux grands ouvert et entendait au-dessous de lui le ronflement familier de Cheng Xiaoshi, dormant paisiblement.
Les bras sous sa tête, il ne pouvait dormir. Pourtant, ce n’était pas la fatigue qui manquait. Depuis plus d’un mois qu’ils étaient revenus de l’hôpital, chacun avait repris ses habitudes. Et cela faisait un peu près plus d’un mois qu’il peinait à retrouver son sommeil. Le dernier incident l’ayant fait revivre le moment clé dans son monde. Ce monde où Cheng Xiaoshi était mort, où tout le monde avait fini par mourir, laissant dernier lui, le sillage d’un homme souriant, portant un chapeau et ayant réussi à atteindre son sombre but.
Aujourd’hui, les événements avaient changé. Cheng Xiaoshi était vivant, Ling Qiao est vivante aussi et les inspecteurs, à l’instar de Bin Chen, tout le monde avait survécu à la traque des frères jumeaux Tian Xi et Tian Chen. L’inspecteur Xiao Li était devenu un client régulier depuis qu’il avait était nommé chef des enquêtes spéciales et faisait appel à eux pour l’aider à résoudre certains problèmes. Jusqu’à aujourd’hui, aucune des affaires menées n’avait conduit à l’homme au chapeau et quelque part, cela soulageait Lu Guang. Mais il redoutait qu’un jour, ce dernier ne fomente un nouveau plan pour acquérir de nouveaux pouvoirs et réussir son plan.
Toutes les retombées, les détours et les rebondissements avaient entrainé bien des changements par rapport à son temps. Et il se demandait comment toute cette histoire allait bien pouvoir se terminer. Car il n’en doutait pas, une épée de Damoclès restait suspendue au-dessus de Cheng Xioashi et des autres. Le fait d’être revenu dans le passé, au moment où il s’était fait capturer par le frère Tian, les choses avaient tournées, dont la principale, celle de la mort de son meilleur ami.
Il avait perturbé le cours des choses, il avait modifié l’avenir, son avenir sans Cheng Xiaoshi…. Lui qui avait répété bien trop souvent la phrase qu’il ne devait être changé, ni le passé, ni le futur…. Lui, à la première occasion, avait sauté le pas et avait bouleversé l’ordre cosmique.
« La mort est un nœud qui ne peut être défait »
Avait-il dit un jour à Cheng Xiaoshi…. Pourtant, en cet instant, la mort n’avait pas frappé.
« Si tu changes le cours du temps, même si tu sauves une personne, celle-ci mourra d’une autre manière. »
C’était dans la logique des choses. Et c’était bien cela, la raison qui l’empêchait de dormir, de retrouver un sommeil paisible et durable.
La peur lui étreignait le ventre, elle lui faisait revoir en boucle l’instant fatidique où Cheng Xiaoshi s’était interposé entre lui et l’homme devenu fou, tirant sans hésitation. Cheng Xiaoshi avait pris la balle en plein cœur et en quelques secondes à peine, sa mort avait bouleversé le monde. Surtout le monde de Lu Guang.
Ne supportant de vivre une telle injustice, surtout causé par la folie d’un homme, il n’avait pu se résoudre à vivre ainsi, chaque jour dans ce magasin, sans Cheng Xiaoshi. Alors, en bafouant tous ses principes moraux, toutes les précautions dans ses directives données auparavant avant une plongée dans le passé… Il s’était résolu. Il allait changer son passé…. Vivre à nouveau, qu’importe les conséquences, il allait à nouveau retrouver un quotidien paisible aux côtés de Cheng Xiaoshi et de Ling Qiao.
Et finalement, maintenant qu’il l’avait, qu’il avait déjoué d’une manière ou d’une autre la mort de Cheng Xiaoshi et des autres, il se sentait mal, heureux, mais terriblement mal.
Tian Chen était toujours vivant, l’homme dont il connaissait l’identité, étant le frère aîné de Lui Min était lui aussi quelque part dans ce monde. Et il craignait encore que la mort ne rôde, attendant patiemment son heure pour récupérer les âmes volées.
Se tournant sur le côté, le bras droit encore posé sur le bord de sa tête, Lu Guang attrapa son duvet et le remonta sur lui, essayant de chasser ses pensées perturbatrices, il voulut retourner dans les bras de Morphée. Mais son souhait semblait inaccessible. Car même en fermant les yeux, il revoyait le corps sans vie de Cheng Xiaoshi.
Soupirant, Lu Guang se tourna cette fois-ci de l’autre côté de son lit. Il vit que dehors, les lumières des néons éclairaient l’intérieur de leur chambre. Bien que les volets filtrent la lumière, il distinguait avec assez d’aisance les meubles et autres contours de la pièce.
Au-dessous de lui, il savait que Cheng Xiaoshi dormait profondément, car sa respiration se faisait lente et profonde, entre coupé de temps à autres par des ronflements. Il pouvait aussi entendre par moments des marmonnements, lui donnant par instant l’impression que son ami allait se réveiller, mais cette pensée était vite balayée lorsque le bruit profond d’un reniflement se faisait entendre.
Celui étira un sourire à Lu Guang, imaginant que son ami devait rêver d’un mouvement de l’un de ses jeux vidéo préféré.
La nuit passa tranquillement, puis, après un temps indéfini, Lu Guang n’en pu plus et se décida à se lever. Il descendit les marches de l’escalier de son lit et fit attention à ne pas réveiller Cheng Xiaoshi, se dernier tenait fermement son coussin dans les bras et un filet de bave coulait de la commissure de ses lèvres. En le voyant ainsi, on aurait dit un enfant innocent, dormant paisiblement et ne se souciant pas des moments futur et passé. Ce qui n’était malheureusement pas le cas de Lu Guang.
Ce dernier remis discrètement la couverture sur le corps de son ami, l’ayant sans doute balancé durant sa nuit sur le sol. Après s’être assuré que son ami continuait de dormir, ce dernier marmonnant encore dans son sommeil Lu Guang, rassuré, partit de la chambre et ferma doucement et sans plus de bruit qu’un clic, la porte.
Il descendit les quelques marches pour arriver à l’arrière de leur boutique. Il se dirigea d’un pas lent vers la salle de bain, ferma la porte à clé et alluma la lumière.
L’agression de la soudaine immunisation tiqua Lu Guang et quelques secondes après, il s’habitua à la nouvelle fréquence. Ses yeux était rougis par le manque de sommeil et les poches en-dessous ne faisaient que de se renforcer au fil des jours. Pendant un moment, Lu Guang se demanda comment il faisait pour encore réfléchir convenablement et comment il pouvait tenir debout. Le manque de sommeil récurant avait habituellement des effet néfaste sur la santé mentale des gens. Heureusement pour lui, mise à par quelques moments de « perte de conscience » brève durant lesquels il pouvait faire le change sur le fait de réfléchir ou d’être perdu dans ses pensées, Cheng Xiaoshi et les autres n’avaient rien remarqué de son état.
Il prit une profonde inspiration avant de regarder furtivement sa montre, celle-ci indiquait cinque heure quarante du matin. Il était certes tôt, mais pour une fois, il n’aurait pas à attendre encore une heure pour prendre une bonne douche. Il se déshabilla et fit couler l’eau. L’eau devint vite chaude et sans attendre, Lu Guang se glissa sous le rideau d’eau et ferma la porte de la douche. Il profita un maximum de la chaleur rassurante de l’eau et se lava rapidement, profitant encore de quelques instants d’un massage gratuit sous le jet et finit par ressortir quelques minutes plus tard.
Il s’emballa dans un grand linge et s’essuya avant de s’habiller, il prit un pull cette fois-ci, le froid de l’automne faisait peu à peu place à un froid plus sauvage ces derniers jours, l’hiver n’était plus très loin.
Après avoir fini de s’habiller, Lu Guang passa une main molle sur son visage et fouillant dans le fond de son tiroir personnel, il y trouva une poudre de maquillage, de fond de teint clair et commença son récent rituel du matin, cachant ses cernes, il commençait à avoir le coup de main pour que cela donne un genre naturel et que la poudre ne se voit pas. Après avoir vérifié que plus aucune trace de ses récentes nuits blanches ne soit visible, il cacha son maquillage au fond d’une petite boite, qu’il mit à son tour au plus profond de son tiroir. Après avoir refermé le meuble, Lu Guang finit par sortir de la salle de bain et alla à la cuisine. Six heures trente venaient de sonner, Lu Guang avait aussi prit l’habitude de préparer le petit déjeuner. Bientôt, son ami allait se lever et commencer par râler sur le fait qu’il n’avait pas assez dormi. Au fond, cela l’amusait beaucoup.
Après que le café fut prêt et que les yeux mijotaient encore dans la poêle, Cheng Xiaoshi descendit les marches et comme prévu, il frotta ses yeux et le corps encore endormi, dit vaguement bonjour à son ami et vint s’installer à la table du bar, ne se demandant plus pourquoi Lu Guang était déjà prêt et avait cuisiné leur petit déjeuner.
Cela semblait être devenue leur nouvelle routine. Bien qu’auparavant, Lu Guang détestait cuisiner, mais adorait manger, les choses s’étaient inversées. Cela avait inquiété Cheng Xiaoshi, ainsi que Qiao Ling, mais finalement, après que Lu Guang eut expliqué qu’il voulait faire des efforts dans la cuisine, tous deux avaient fini par lâcher l’affaire, s’échangeant tout de même un dernier regard interrogateur.
-B’jour !
-Bonjour à toi aussi !
-Tu tires une de ses tronches ! T’as mal dormi ?
Cheng Xiaoshi ne répondit pas tout de suite se frotta les yeux et après avoir entendu le bruit sourd d’une tasse qu’on venait de lui poser devant lui, ce dernier l’a pris et commença à boire, ne faisant même pas attention sur le fait qu’elle était encore fumante. Le café était la seule chose qui réussissait à le réveiller pleinement le matin. Ayant bu la quasi-totalité de son café, Cheng Xiaoshi retrouva peu à peu sa bonne humeur habituelle et fut ravi de voir des œufs brouillés devant lui.
Même si Lu Guang ne semblait pas avoir de talent particulier pour la cuisine, Cheng Xiaoshi devait bien admettre que ce dernier savait faire à manger malgré sa faible pratique.
-MH ! Ça sent hyper bon ! T’as ajouté quelque chose ?
La voix presque chantante de Cheng Xiaoshi fit arquer un sourcil à Lu Guang qui préféra se détourner de son ami.
-Arrête et mange ! Ça va être froid sinon !
Lu Guang laissa la poêle dans l’évier et s’installa en face de son ami, ce dernier le regardait discrètement tout en commençant à manger ses œufs brouillés et ses calamars sautés.
-On peut dire que même au réveil tu ne manques pas d’appétit. Mange plus doucement où tu vas avoir des crampes d’estomac, idiot
Lu Guang attrapa sa fourchette et regarda sa propre assiette.
-J’ai faim et je mange… Contrairement à toi !
Finit par rétorquer Cheng Xiaoshi alors qu’il avalait le reste de son calamar grillé, pointant de sa fourchette Lu Guang qui lui lança un regard vague. Il observa l’assiette de Cheng Xiaoshi et put constater que ce dernier avait déjà presque tout fini. Tant dit que lui, avait à peine eu le temps de d’assoir et d’appréhender ce moment.
-J’vais te resservir !
Lu Guang se releva de sa chaise, mais Cheng Xiaoshi fut plus rapide et toujours la fourchette dans la bouche, ayant mis le reste des œufs, il lui répliqua.
-Nan, j’vais m’servir.
Il avala le reste et tout en contournant le comptoir, il ajouta.
-Mange ! Sinon tu ne vas pas tenir la journée !
Et alors que Cheng Xiaoshi allait se resservir, il replongea son regard dans son assiette. Il forte envie de vomir le pris et il ravala cette envie en buvant son verre d’eau. Récemment, l’odeur et le gout du café lui répugnait aussi fortement que le fait de devoir avaler un peu quelque chose.
Pour une raison dont il ignorait la cause, Lu Guang avait de plus en plus de mal à supporter la vue et les odeurs de quoique ce soit. Dans un élan d’humour, il aurait presque dit que c’était les symptômes typiques des femmes enceinte. Mais étant un homme, il y avait vraiment aucune chance que ce diagnostic soit le bon.
C’est bien trop rapidement que Cheng Xiaoshi revint avec une nouvelle assiette pleine.
Mais contrairement à la première, celle-ci, il la mangea avec plus de modération et profita davantage des goûts et de la texture.
Un moment passa où d’un œil, Cheng Xiaoshi jetait des regards en direction de son ami. Celui-ci ne faisait que picorer dans son assiette et bien que ce manège se faisait depuis quelques jours, voir quelques semaines, Cheng Xiashi ne le releva pas. Au départ, il s’était simplement dit que l’appétit de son ami reviendrait, que les douleurs et son séjour à l’hôpital était encore trop perturbant pour lui. Mais plus les jours passaient et plus Cheng Xiaoshi s’inquiétait de voir son ami. Lui qui autrefois aimait manger plus que de raison, il ne pouvait s’empêcher de se dire que quelque chose devait le perturbé. Il avait remarqué le fait que tous les matin, Lu Guang était réveillé avant lui et ne dormait pas avant que liu ne soit endormi.
Mais tout ça, bien qu’il s’en inquiétait, il ne voulait rien dire. Il ne voulait pas bousculer Lu Guang. Il voulait lui laisser le temps qu’il lui faut pour qu’un jour, il l’espérait serait bientôt, il se confie à lui.
Mais en attendant, il ne pouvait qu’observer et l’encourager du mieux qu’il puisse. Pourtant, cela ne l’empêchait pas de lui balancer des vannes de temps en temps.
Alors qu’il était bientôt à la fin de sa seconde assiette, Cheng Xiaoshi fixa Lu Guang et se dernier n’y préta pas attention. Il attendit un moment et lorsque leur regard se croisa, Cheng Xiaoshi eut un air de malice qui passa sur ses traits et son regard fut plus pétillant.
-Si tu continue comme ça, même le vent sera suffisant pour t’emporter tu sais.
-… Mh
Cheng Xiaoshi regarda un moment Lu Guang de travers face à sa réaction. D’habitude, il aurait rétorqué un truc intelligent, mais le manque de retour montrait une fois de plus que Lu Guang n’était pas dans son état normal.
-Est-ce… Est-ce que quelque chose ne va pas ?
Cheng Xiaoshi laissa sa fourchette et le reste de son assiette pour porter toute son attention à son ami. Le désir de savoir ce qui n’allait pas bouffait son être tout entier et son inquiétude ne pouvait que prendre un peu plus d’ampleur au fur et à mesure qu’il voyait Lu Guang dans cet état.
Lu Guang soupira et laissant sa fourchette dans son assiette encore pleine, il regarda son ami et y vit de l’inquiétude, son état de mesquinerie et de joie enfantine avait laissé place à une personne qui semblait s’inquiéter réellement de son état.
Il lui envoya un petit sourire et tout en se levant et ramassant son assiette, il répliqua sur un ton doux et rassurant.
-Ne t’inquiété pas, je n’aurais pas du grignoté avant le petit déjeuner. Ça va ! Occupe-toi d’aller te laver, c’est une infection l’odeur de ta transpiration. C’est sans doute ça qui m’empêche de manger.
Bingo, la dernière remarque avait fait mouche et Cheng Xiaoshi réagit comme un enfant et alla s’enfermer dans la salle de bain.
Au moins, il avait évité la conversation sur son état. Même s’il savait que ce n’était que provisoire. Lu Guang voyait bien que Cheng Xiaoshi s’inquiétait par moment. Mais il avait beau faire, rien ne pouvait passer sa gorge.
Ce n’est que deux bonnes heures plus tard que le duo se recroisa dans la boutique.
Lu Guang archivait les fiches et les commandes lorsque Cheng Xiaoshi, retrouvant sa gaité venait de réapparaitre habiller et sentant bon, d’ailleurs, ce dernier vint se coller à Lu Guang, sourire amuser aux lèvres, lui fit d’un ton taquin.
-Je sens bon…. Maintenant ?!
Lu Guang leva les yeux au ciel un moment et ne répondit pas, continuant son triage. Mais Cheng Xiaoshi n’en démordit pas et se colla davantage à son ami.
2 notes · View notes
recapqsmp · 10 months
Text
Samedi 29/07 - L'anti-fédération justice league
Après lui avoir résumé les évènements du dîner présidentiel, Aypierre et Pomme ont mis un code entre eux pour valider si la pomme à laquelle il parle est la bonne : s'il lui demande quelle est sa fleur préférée, elle lui donnera un bleuet.
Ils ont ensuite essayé de s'introduire dans la fédération. Aypierre avait une technique en tête, mais en a trouvé une autre en expérimentant un peu : en lançant une mine puis un bloc de sable avec un lance-pierre, ils ont réussi a casser les blocs et s'introduire dans les bureaux ! En prenant une photo dans le hall, cucurucho est apparu. Pomme s'est téléportée très vite et a activé l'enderpearl d'Aypierre pour le sauver.
twitch_clip
https://clips.twitch.tv/AuspiciousWrongTroutOptimizePrime-8KvBBCP6ExVEI7gr
Ils se sont enfuis à sa base, mais Cucurucho l'a suivi. Après l'avoir enterré pendant sa pause pipi, Cucurucho lui a demandé si c'était lui qu'il venait de voir, Aypierre lui a répondu que ça faisait depuis à peu près 1h qu'il était avec Pomme dans sa base, et qu'il tombait bien car il devait lui donner la facture pour son vin. La facture contenait un "handgun", mais Cucurucho ne lui a donné qu'un "blood sprayer". Aypierre a précisé que s'il souhaitait encore le contacter pour faire affaire avec lui, il pouvait scanner le QR Code contenu sur la facture. Aypierre a donc officiellement rickroll Cucurucho…
twitch_clip
https://clips.twitch.tv/HealthyObeseRamenCopyThis-G6ZatZMi59EHnx8o
Aypierre a dit à Pomme qu'en ce moment, il fait des rêves d'hôpitaux, du coup il a décidé de faire une nuit blanche pour voir si ça va mieux
BadBoy a commencé a cuisiner Foolish pour savoir comment il en est venu a travailler pour la fédération. Foolish a fait un lapsus en disant qu'il a vu Jaiden chez Cucurucho. Badboy a donc interrogé Jaiden pour savoir ce qui s'était passé hier, mais a été interrompu par un message de Foolish dans le chat.
twitch_clip
https://clips.twitch.tv/GentleCredulousBeanShadyLulu-Kw70tdKk48yoVnIZ
Jaiden et Foolish ont pu s'éclipser pour s'accorder sur leur version des faits. Foolish et Jaiden veulent se faire une base que seuls eux connaissent.
Aypierre et BBH se sont accordés sur un plan pour poser des questions "de force" à Foolish. Ils ont construit une cage où il prend des dégâts en continu pour éviter qu'il puisse se téléporter. Ils ont réussi a le téléporter dedans, en se faisant passer pour la "anti federation justice league", et lui ont posé des questions sur sa conversation avec Cucurucho, mais Foolish a nié en bloc. Foolish a fini par réussir a profiter d'une faille dans le design pour s'enfuir.
twitch_clip
https://clips.twitch.tv/CogentPlumpGarlicCoolStoryBro-ajCgfWvdGgCJmqOy
Aypierre a officiellement adopté Richarlyson (il a accepté) ! Ils veulent monter une entreprise "père et fils".
2 notes · View notes
skip-chiantos · 2 years
Text
Jour 15 : La fenêtre / Il est fini de n'être que l'ombre de soi-même
    Histoire inspiré de mon vécu. 
6.15. Réveil. Elle ouvrit les yeux dans sa chambre blanche. Elle se tourna pour éteindre son réveil. Quelque chose l’a gênée à l’arrière de sa nuque, mais elle était encore trop ensuquée par la nuit de sommeil agitée. Elle se releva et commença à s’habiller ; rien dans son placard ne lui plaisait. Pourtant, hier, tout allait bien… Elle enfila finalement une chemise noire, au décolleté profond, très inhabituel pour ceux qui la fréquentée depuis le début de l’année. Un slim noire, le dernier pantalon à sa taille. Elle versa du café lyophilisé dans une tasse, et mit à bouillir de l’eau. Pendant ce temps, elle alla se maquiller. 
Elle ne reconnaissait plus le reflet dans le miroir. Mais elle ne voyait pas pourquoi. Elle passa sa main dans ces cheveux courts, essayant de se débarrasser de ce sentiment à l’arrière de son crane. Elle essaya de se maquiller avec son petit morceau de crayon. Une voix au fond d’elle résonna soudain :
Mais comment tu veux réussir à te maquiller avec un crayon aussi faible ?! Elle secoua la tête. Depuis qu’elle avait commencé son nouveau traitement, elle n’avait plus entendu cette voix intérieur. Le Docteur Charles l’avais persuadé que cette voix été mauvaise, que c’était son trouble de la personnalité qui s’exprimait, et la pousser à agir de manière autodestructrice. Elle se remémora ces mots. Respira profondément. L’eau avait fini de bouillir. Elle la versa sur son café, et prépara ces affaires de cours. Un cahier propre, sans ratures, une trousse en cuir clair, pleine de stylo servant uniquement à l’écriture. Dans un sac banal. Quelque chose clochait. Elle réfléchit en buvant son café. Il y à deux mois, son médecin traitant lui avait ordonné d’arrêté son traitement psy, car ces reins et son foie fonctionnait mal. Il était gentil son médecin, et lui avait dit que le sevrage nécessiterait d’y aller par pallier, avec un suivi psychologique. Il n’aimait pas le docteur Charles. Alors, elle l’avait écouté, et avait rencontré la docteure Nadia. Elle lui avait raconté son histoire, sans émotions. Il n’y en avait plus depuis le traitement. Elle lui avait montré les longues ordonnances. La docteure été en colère. Elle ne comprit pas. La docteure tenta de lui expliqué ce qui sur le plan chimique n’allait pas. Elle n’arrivait pas à comprendre. Alors, elle pleura. Pour la première fois depuis longtemps, elle pleura parce qu’elle ne comprenait plus rien, que plus rien n’avais de sens, qu’elle ne se reconnaissait plus, ni dans le miroir, ni dans sa vie. La médecin avait posé des termes techniques ; dissociation l’avait marqué. 
La vibration de son téléphone la tira de sa rêverie. Un message de Florentin. Il était gentil Florentin. Mais si jeune par rapport à elle. 18 ans, quand on en a 22, c’est pas énorme. Mais lui, il sortait tout juste du lycée, alors qu’elle était déjà à sa deuxième reconversion professionnelle. Elle chassa l’idée, finit son café, attrapa ses écouteurs et partis. Sur e chemin pour aller à la fac, elle mit sa playlist découverte de la semaine. Elle squippa plusieurs morceaux, elle avait appris que le punk, la dubstep, l’hard-core et toutes les autres musiques violentes appartenaient désormais à son ancienne vie. 
en arrivant à la fac, elle retrouva son groupe d’ami parfait ; le stéréotype du groupe d’amis parfait de films. Tout ça la dérangeait aujourd’hui. 
Elle rejoignit l’amphi dans lequel avait lui son unique cours de la journée. Par un hasard assez heureux, ce vendredi, elle n’avait que 4h de cours. Elle ne parvint pas à se concentrer sur le cours pourtant intéressant. Elle déssinait avec son bic. Florentin, qui jouait sur son téléphone, lui souffla :
-”Ouhla, c’est morbide tous ces crânes.” Elle ne put retenir son regard. 
Je t’emmerde.
À la fin du cours, son groupe d’amis se sépara ; Florentin et Sarah voulait aller dans cette brasserie so chic du quartier de la cathédrale. Marion devait retrouver son fiancé pour partir en week-end spa.
Ça ne va pas. 
Aucun ne se souciât de savoir ce qu’elle allait faire. Elle termina son café et prit le chemin du retour vers chez elle. De nouveau les écouteurs. Mais trop en colère pour chasser la “mauvaise musique”
Oui vas-y ! Souviens-toi qui tu es. Souviens-toi de qui tu es. Souviens-toi.
La voix était de plus en plus forte. Quand elle arriva chez elle, elle claqua la porte, et laissa les paroles de Guérilla Poubelle se déversait dans ces oreilles : et elle chanta. 
À quoi ça sert, on est tous morts 
À quoi tu sers, je t’aime encore
Bataille déjà perdue
Une histoire déjà entendue
C’est pas que je crois en rien
J’crois plus tout court, ça me convient
Chez moi, je vote pas 
J’suis pas chez toi y fait trop froid
Et elle dansa en hurlant :
J’ai perdu mon drapeau
J’crois plutôt que jl’ai brulé
J’ai oublié d’trouver ça beau
J’ai oublié qu’c’était sacré
J’préfère encore croire en pire
Désolé, je me sens pas bien
Trop pressé de mourir pour écouter ton baratin !
Des années qu’elle n’avait plus écouté ce mauvais punk français. Des années qu’elle n’vait plus chanté ou dansait. Soudain, elle attrappa son regard dans la fenêtre : le choc. C’était qui cette meuf avec ces cheveux courts et sages ? C’était qui cette meuf qui portait des piercings discret ?! C’était qui ?! Putain, mes dreadlocks ! Le souvenir la heurta de plein fouet : la coiffeuse qui lui rase le crane en lui disant que maintenant, elle allait commencer à avoir une vie normale.
Je t'emmerde.
Elle reprit son porte-monnaie dans son sac, alla pour le maitre dans sa veste et percuta : mon perf. Il est où mon perf. Elle fouilla dans l’armoire de sa chambre. Sur le dernier étage, elle retrouva son eastpak rouge. Celui qu’elle avait depuis le lycée, couvert de patchs et d’écriture, avec des clous sur les hanses, des clous offert par des amis, tiré de leurs propres ceintures. Dans le sac, elle retrouva son perf, soigneusement plié, et ses docs martens.
Pas étonnant que j’ai mal au dos !
Elle les enfila, fourra son porte-monnaie dans la poche intérieur de son perf et partie de chez elle, son sac sur le dos. Les bottes claquaient dans le couloir désert de sa résidence.
Souviens-toi du son des bottes.
Elle grimpa dans le tram en direction de l’Allemagne. Elle mit ses écouteurs dans ces oreilles et mit l’album In Utero de Nirvana. Pour la première fois depuis son retour sur Strasbourg, elle prenait le tram sans avoir peur. Sans craindre le regard des autres.
Rien à foutre. 
À peine arrivé en Allemagne, elle alla s’acheter un paquet de tabacs, des feuilles et des filtres. Elle se rua ensuite au DM, et s’acheta un crayon extra noir, un mascara bien épais et ressortie. Elle continua son chemin vers une boutique de Hippie. Dans un allemand impeccable, elle demanda une boite de henné rouge. Le vendeur lui apporta. Elle acheta encore quelques articles et repartit. Elle put de justesse prendre le tram, et arriva chez elle à la fin de l’album. Elle ota son haut, prépara sa teinture, l’appliqua avec précision, enveloppa son crane de cellophane, et se roula une cigarette. Sa chambre étant non-fumeur et équipé d’un détecteur de fumée, elle enfila un gilet à capuche, orné du logo explicite du Peuple de l’herbe, et sortit fumer sa cigarette. Elle réfléchisait. Sans pour autant réaliser. Le timer de son téléphone sonna, et elle rentra pour rincer sa coloration. Ses cheveux rouges ébouriffés, elle fouilla dans sa trousse de toilettes pour retrouver ces anciens piercings : tout noirs, avec des spikes. Elle changea son septum, ses labrets, ses écarteurs. Fini La discrétion. Elle se maquilla : un lourd trait de crayon, ombré grossièrement sur les paupières, une grosse couche de mascara. Elle se regarda dans le miroir.
C’est mieux.
Elle regagna sa chambre, attrapa son téléphone, et envoya un message à Adrien. Il ne se parlait plus beaucoup depuis sa sortie d’hôpital psychiatrique, et plus du tout depuis leur entrée à la fac, alors qu’ils étaient amis depuis longtemps. 
-”Salut mon frère. Je suis de retour, désolé du retard, j’ai dû faire un détour. On peut se voir ?”. Elle attendit anxieuse la réponse. Adrien n’était pas du genre à répondre rapidement, surtout pas un vendredi. Moins d’une minute plus tard, elle reçut la réponse :
-”J’annule tout ce que j’ai prévu ce week-end. On fête ton retour. Rdv chez moi quand tu veux.”
-”J’arrive.”
D’un bond, elle s’habilla de son chemisier noire, attrapa son sac et repartit. Elle fit un crochet par la supérette pour attraper 4 canettes de 1664. Elle s’avancea vers l’arrêt de tram, et finalement décida d’y aller à pied. Elle en avait pour une vingtaine minutes de marches. Elle remit ses écouteurs, et relança sa play-list commune avec Adrien. Que du son violent. Et que c’était bon. 
Elle grimpa 4 à 4 les 4 étages qui l’amené chez son ami. Elle tocqua à la porte. Il ouvrit violemment la porte et la serra dans ces bras. Elle accepta le câlin. Il se baissa vers son oreille :
-”Tu m’a manque Nana.”. Elle essuya une larme. Autour d’un café, elle lui raconta la douleur de ne plus pouvoir se concentrer, de ne plus avoir de souvenir, de ne lus se reconnaitre, d’avoir l'impression que tout est faux. Elle lui parla du sentiment à l’arrière de son crâne. Il l’écouta patiemment, et lui dit finalement :
-”t’es de retour parmi nous, je te laisserais plus tombé, je te laisserai plus redevenir une ombre.” le sentiment à l’arrière de son crane était toujours là. Elle lui demanda soudain :
-”Prête-moi ta tondeuse, j’ai un dernier truc à à faire.” Et, à l’aide d’un miroir à main, elle rase l’arrière et les côtés de son crane. Le sentiment disparu. Et enfin elle se reconnu dans le miroir. 
10 notes · View notes
harriet-de-g · 1 year
Text
Moins d'inspiration, plus de fierté.
Tumblr media
Circuler dans l'espace social avec un handicap visible, c'est oublier le droit à l'anonymat. Dans l'espace public, vous n'êtes pas vous, mais l'handicapéE1 : un concept, qui n'a pas grand chose à voir avec qui vous êtes la plupart du temps. Je ne vais pas ici réinventer le concept de préjugés, pourtant les aprioris sur les handiEs sont en apparence plutôt positifs. Nous serions aimables et braves, notamment parce que nous avons su faire de notre faiblesse une force.
Alors c'est quoi le problème ?
Le plus évident : nous ne sommes pas un bloc monolithique. Ces qualités sont surtout des injonctions faites par nos familles, soignantEs, éducateurices. Nos proches, mais aussi la société dans son ensemble valoriseront nos capacités à ne pas se plaindre, sourire et à faire preuve de gratitude constante. Souvent dévisagés, il faut apprendre à se faire invisibles et ne pas trop déranger celleux incapable de gérer la détresse supposée ou réelle qu'implique l'existence d'un handicap. Pour exister dans l'espace public, l'astuce sera de développer un talent suffisant pour compenser ses lacunes, à la façon des rares artistes ou athlètes handicapéEs qui sont érigées sur un piédestal.
En refusant ces injonctions, on ne refuse pas simplement d'être une inspiration, c'est notre humanité qui se retrouve dans la balance. En exprimant nos colères, nos désaccords, nous nous exposons fréquemment à la violence des personnes face à nous. Il n'est d'ailleurs pas rare que dans ces cas, nos handicaps soient remis en cause et que l'on soit accuséE de mentir ou d'exagérer. Si nombres d'handiEs ont parfaitement conscience de ce jeu social et tentent d'en tirer parti, d'autres n'en ont pas la possibilité. Les personnes toxicomanes, psychiatrisées, ou ne répondant pas aux normes de genre ou d'esthétiques (notamment de poids), sont stigmatisées. Le handicap devient la preuve d'une faille personnelle qui justifie de mauvais traitements. Que ce soit la paresse, une mauvaise hygiène de vie, le manque de volonté, les jugements à la hâte se multiplient. On passe d'une situation subie à méritée, qui justifierait le manque d'empathie.
Il existe une attente non formulée de la façon dont nous handies, devrions nous comporter en société, une façon appropriée de répondre à la somme des agressions qui marquent nos quotidiens. Nous devrions demander poliment le respect de notre intégrité, prendre peu d'espace, demander le moins d'aides possibles. Et comme les enfants, nous sommes sanctionnéEs durement en cas de manquements.
Dépasser son handicap
Ces représentations, en dehors de leurs caractères problématiques, sont souvent les seules qualités mises en avant lorsque l'on parle de handicap. C'est comme-ci, malgré l'immense diversité de vécus, les handiEs n'avaient le droit qu'à un modèle de vie, à nos dépens parfois, au service des valides toujours. Peu surprenant donc que beaucoup de concernéEs y adhèrent sans les remettre en question. La plupart du temps le handicap est décrit par ses manques, ses incapacités, sans nuances pour la multitude de réalités que le terme recouvre. Être handiE, c'est évoluer dans un monde qui nous renvoie constamment à nos failles vis-à-vis de la norme et avec l'idée qu'il faut développer certaines qualités pour les combler.
Beaucoup de personnes concernées tiennent alors un discours où il est question de dépasser son handicap, d'en faire une force, ou de réussir malgré son handicap. Un mode de pensé qui est socialement valorisé et qui permet à celleux qui le partagent de se faire une place parmi les valides en tant qu'inspiration. Une fois enfermée dans ce rôle, comment parvenir à s'exprimer en tant qu'individuE, à l'identité parfois complexe, parler de ses réussites autant que de ses difficultés, être humainE, hors du stéréotype ?
Encore une fois, cela revient à dire que le handicap est d’abord une affaire personnelle et de dépassement de soi. Pas besoin de créer des systèmes de solidarités, puisque les exceptions visibles prouvent que « c'est possible ». Plus encore que pour la population générale, les handiEs doivent montrer des qualités morales supérieures, attirer la sympathie autour d'elleux pour faire valoir leurs droits. La pression à l'exemplarité n'est pas juste un vague sentiment qui pèsent sur nos égos, mais la conscience que nous sommes en sursis. Car être trop "inadaptéEs", signifie souvent être condamné à l'exil, dans des institutions à l’abri des regards. Tout aussi banale, inintéressante que peut être une personne handie, cela ne devrait l'empêcher d'être reconnue, soutenue ou d'avoir accès à des conditions de vie dignes et libres.
Pour une intelligence crip
S'il est difficile de faire des généralités pour l'intégralité d'une communauté, on peut néanmoins supposer que des expériences semblables nous poussent à développer des qualités communes. Peu mise en valeur, elle nous permettent, en tant que crip, de survivre. Moins spectaculaire, ces savoirs acquis sont essentiels au quotidien et pour s'organiser en tant que groupe humain. En réalité, beaucoup de personnes en profitent sans saisir à quel point elles sont le fruit d'un travail précieux.
Parce que c'est important de s'en souvenir, pour la cultiver ou en être fière, petite liste loin d'être exhaustive de forme d'intelligence crip :
Être capable d'écouter une personne en détresse sans nécessairement chercher à trouver des solutions immédiates ou à donner des conseils.
Être capable de lire les signes de détresses, de douleurs, de fatigues, et faire preuve d'empathie.
Développer malgré soi un certain talent pour l'administratif, le système D, la débrouille et partager ses savoirs. Reconnaître qu'il n'existe pas toujours de solution idéale, que l'on fait parfois comme on peut avec les moyens du bord.
Faire confiance à son corps, connaitre ses limites et les négocier selon ses termes uniquement. Savoir se reposer sans culpabilité.
Comprendre que l'existence et la valeur d'un être humain ne se mesure pas à une somme d’accomplissements, qu'il y a une vie en dehors du travail.
Comprendre qu'il y a moult façon d'être sexuelLE, lorsque que c'est le cas. Qu'il existe autant de manière d'avoir du plaisir et d'explorer qu'il existe de corps, sans besoin de hiérarchiser.
Apprendre à développer des systèmes de solidarité, à demander de l'aide, à l'offrir encore à celleux qui auront du mal à accepter. Ne jamais agir sans accord de l'autre, et respecter les différentes temporalités.
Ne pas prendre les choses personnellement et accorder le bénéfice du doute. Reconnaître qu'il y a peut-être plus que ce qui est perceptible au premier abord.
Appréhender nos relations humaines avec soin et cultiver des liens profonds fait des bons moments mais aussi de soutient et de compréhension.
...
1Quand vous n'êtes pas juste « le fauteuil »
Sources :
Care Work: Dreaming Disability Justice, Leah Lakshmi Piepzna-Samarasinha
Stella Young, conférence TEDx "je ne suis pas votre source d'inspiration, merci bien"
le drapeau de la fierté handicap��e 👇🏽 ( pour en savoir plus sur la symbolique checkez l'alt txt)
Tumblr media
Image : Tina Modotti (lire le texte alternatif pour plus d'infos).
3 notes · View notes
selidren · 1 year
Photo
Tumblr media Tumblr media
Eté 1897 - Champs-les-Sims
5/7
J’étais au village quand les premières douleurs ont pris Marie. Le temps que je termine mes affaires et qu’on vienne me chercher, le travail était déjà bien avancé et ma grand-mère m’empêchait de rentrer dans la chambre. Je pense avoir rarement connu une telle angoisse.
Transcription :
Marie : Oh, comment se fait-il que cela fasse si mal.
Eugénie : Voyons, vous connaissez bien la réponse. Votre mère aurait-elle négligé votre éducation religieuse ? “J’augmenterai la douleur de tes grossesses, tu enfanteras avec douleur...”
Marie : “...et ton mari dominera sur toi”, oui oui, je sais tout ça ! Figurez vous que cela ne m’aide pas beaucoup.
Eugénie : Seigneur... si vous connaissez la réponse, pourquoi posez vous la question ?
Marie : Aah...
Eugénie : Tâchez donc de respirer et détendez vous. Vous tendre ainsi ne fera qu’augmenter la douleur que vous ressentez et rendra le passage de l’enfant d’autant plus pénible.
Marie : Je ne pense pas réussir à me détendre pour le moment. Je vais marcher encore un peu.
6 notes · View notes
ouipay · 17 days
Text
Comment réussir à monter son entreprise ? Les conseils de Ouipay.fr
Lancer son entreprise est un défi passionnant, mais il est essentiel de bien la préparer pour en assurer le succès. Ouipay.fr, votre expert anti-crash de business, dévoile les points essentiels pour bien démarrer.
Tumblr media
Le bon choix juridique
Lorsqu'on lance une entreprise, le choix de sa structure juridique est l'une des premières décisions cruciales à prendre. Ce choix, loin d'être anodin, détermine de nombreux aspects essentiels : 
régime fiscal ;
responsabilité envers les dettes ;
modalités de prise de décision ;
ou encore capacité d'accueil d'investisseurs. 
Opter pour une forme juridique inadaptée peut engendrer des complications administratives, financières voire juridiques. C'est pourquoi il est primordial de bien s'informer, de peser les avantages et les inconvénients de chaque option, et éventuellement de consulter des experts pour s'assurer d'un départ solide et serein.
Mettez tout noir sur blanc
Démarrer une entreprise sans business plan, c'est un peu comme entreprendre un voyage sans carte : on risque de se perdre en chemin. Ce document, au-delà d'être un simple dossier, est une boussole pour l'entrepreneur. Il définit la vision, les objectifs, les ressources nécessaires et trace la route à suivre pour atteindre le succès. 
De plus, un business plan bien construit inspire confiance aux partenaires, investisseurs et établissements bancaires, qui voient en lui le reflet d'un projet réfléchi et viable. Il ne s'agit pas seulement d'un outil de prévision, mais d'un guide qui oriente et ajuste la stratégie au fur et à mesure du développement de l'entreprise.
La loi avant tout
Lancer son activité sans une solide compréhension des aspects juridiques, c'est naviguer à vue dans un océan d'incertitudes. La loi encadre, protège et définit les règles du jeu entrepreneurial. En connaissant et en respectant ces règles, l'entrepreneur prévient des erreurs coûteuses, évite les litiges et se prémunit contre des sanctions potentielles. 
Une connaissance juridique approfondie assure non seulement la conformité de l'entreprise, mais elle renforce également sa crédibilité auprès des partenaires et des clients. En somme, être bien informé sur le plan juridique n'est pas simplement une obligation, c'est un gage de sérieux et de professionnalisme dans le monde des affaires.
lire plus
0 notes
youtube
Témoignage d'Imen
X. Tu as tout essayé pour doubler ton chiffre d’affaires sans résultat ou très peu.X. Tu as cherché des solutions autour de toi, et tu n’as rien trouvé qui te convainquent.X. Tu penses que la crise économique n’aide pas les entrepreneures.X. Tu ne vois pas de sortie possible pour ton problème.X. Tu as absolument besoin de faire plus de chiffres d’affaires et de trouver de nouveaux clients en peu de temps.X. Tu n’as plus d’idées de ce que tu pourrais faire différemment.X. Tu as peur de proposer tes tarifs au niveau de ton expertise et de ta propre valeur parce que tu as peur de perdre des clients ou peur de perdre de futurs clients.X. Tu as déjà investi dans des coachings sans résultat. Tu sens que tu as perdu de l’argent et du temps pour cela.X. Tu as peur de ne pas réussir.X. Tu as peur de réussir parce que tu as peur de ne plus avoir de temps pour toi.X. Tu te lèves le matin angoissé, douteuse de la vie, douteuse du futur. Tu ne crois plus en rien.X. Tu travailles d’arrache-pied, mais les résultats se font attendre, c’est lent ou bien même pire, ton business s’est arrêté.X. Tu voudrais tout balancer parce que tu ne sais pas d’où vient le problème.CE N’EST PAS DE TA FAUTE !X. Oui, on t’a appris à bosser dur pour avoir des résultats et c’est ce que tu fais depuis une vie entière. Mais maintenant cela ne marche plus!X. Tu n’arrives pas à comprendre d’où vient le problème.X. Beaucoup d’approches se focalisent sur le chiffre d’affaires et non sur le coeur de l’entrepreneure. X. Il y a beaucoup de croyances sur l’entreprenariat féminin qui te font partir dans de mauvaises directions.X. Tu ne connais pas tes croyances limitantes qui t’empêchent de vivre dans l’abondance économique.X. Tu ne connais pas tes plafonds de verre.X. Tu ne connais pas d’autres approches que le marketing pour augmenter ton chiffre d’affaires et trouver de nouveaux clients.TU AIMERAIS √. Connaitre d’autres solutions pour augmenter et doubler ton chiffre d’affaires.√. Apprendre ce qui fonctionne pour toi pour augmenter et doubler ton chiffre d’affaires en 3 mois.√.  Connaitre les secrets de la communication gagnante en affaires.√.  Connaitre une technique qui t’empêche de douter de tes choix et de toujours être sûre de tes propres choix.√.  Connaitre la meilleure méthode pour doubler ton chiffre d’affaires et augmenter le nombre de tes clients en 3 mois.√. Avoir toujours des idées innovantes que tu peux mettre en place au moment de besoins.√. Exploser tes plafonds de verre de tes croyances limitantes pour te permettre de vivre dans l’abondance économique que tu mérites.√. Savoir quelles sont les meilleures offres que tu peux faire à tes clients/es.√. Savoir comment IMPACTER plus de personnes grâce à ton expérience et ton expertise.√. Au final, connaitre une méthode qui te permette de faire les bons choix pour ton entreprise et ne jamais douter de toi.Et tout ça sans y passer des mois ? C’est exactement ce que je propose avec mon coaching : Blueprint Coaching Harmonie AffairesAvec Blueprint Coaching Harmonie AffairesC’est un coaching sur mesure pour toi.Nous allons ensemble voir :Tes propres valeursTes propres TalentsTes Plafonds de VerreNous ferons exploser tes plafonds de verre d’une façon douce et bienveillante pour que tu créer l’abondance économique que tu mérites.Tes objectifsTa vision de ton entrepriseUn plan à 3 moisUn plan à 5 ansTu apprendras une technique pour toujours faire les bons choixEt plus encore…… Clique-ici pour en savoir plus :
https://beatrice-petitdemange.com/accompagnements/
0 notes
omagazineparis · 20 days
Text
5 clés pour réussir sa rentrée
Tumblr media
Plus que quelques jours avant la rentrée des classes ! C’est le moment de reprendre de bonnes habitudes et de s’y tenir. Que ce soit pour l’école ou pour votre vie professionnelle, suivez ces 5 conseils qui vous aideront à réussir votre rentrée avec sérénité et efficacité. Or-ga-ni-sa-tion Aïe, le mot tabou. L’organisation peut sembler rédhibitoire et redondante pour certains, mais on n’y reviendra jamais assez. Prenez le temps de trier vos affaires scolaires et vos vêtements, mais également vos mails et photos. Faites de la place et n’ayez pas peur du vide. Commencez par les basiques : cahier ou carnet, stylo bleu ou plume ? Quels vêtements n’ai-je pas mis depuis longtemps et que je pourrais donner ? Aménagez ensuite votre espace de travail en y mettant par exemple un bel objet déco. Attention toutefois à ne pas trop le surcharger ! Si l’envie vous dit, aménagez aussi votre temps : faites-vous un planning de la semaine ou une to-do list quotidienne. Si vous préférez vous sentir plus « libre », allez-y par étapes et ne notez que les choses importantes que vous devez faire. Pour un début d'année des plus confortables, pensez également à gagner de l'argent en ligne, notamment avec Top methods roulette. Activités Que ce soit la rentrée scolaire ou la rentrée au travail, gardez du temps pour vous et vos activités. Pensez que le sport est un de vos meilleurs alliés. Faites-en 15 à 30 minutes par jour. Petit conseil : ne paniquez pas si vous ne pouvez pas faire une séance de cardio ou de yoga chez vous. Il vous suffit de trouver des alternatives : marchez, prenez les escaliers, levez-vous et étirez-vous tout au long de la journée. Décalez les vraies séances de sport au week-end par exemple. Néanmoins, si vous sentez vraiment le besoin de faire une séance de sport quotidienne, essayez d’intégrer une petite session à votre morning routine. Suivez la vidéo de Kassandra pour une séance de yoga matinale de 10 minutes. Rythme et objectifs Dès que vous avez bien identifié vos plages horaires, veillez à tout revoir pour bien tout concilier. Ne vous surchargez pas trop et ménagez-vous des temps de repos. Si vous ne savez pas comment les intégrer à votre quotidien, prenez une vraie pause et essayez par exemple la méditation. Plusieurs applications vous proposent des petites séances pour bien commencer ou terminer la journée. Fixez-vous aussi des objectifs. Que ce soit pour votre vie personnelle ou professionnelle, notez-les et revenez-y de temps à autre. Et si vous vous essayiez à la to do list ? (Crédit photo: Pixabay) Le jour J Pour bien préparer le jour J, allez-y par étapes. Couchez-vous par exemple de plus en plus tôt chaque jour, préparer vos repas et vos tenues à l’avance. La veille, quand tout est prêt et que votre esprit est débarrassé de toutes les pensées liées au lendemain, prenez du temps pour vous. Prenez un bain, lisez un livre, regardez votre film préféré : tout ce qui peut vous rassurer et vous détendre. Vous réussirez d'autant mieux votre rentrée que votre esprit est dans de bonnes dispositions. À lire aussi : La nouvelle tendance pour personnaliser votre masque Stay positive Après les premiers jours, garder une attitude positive et ne vous laissez pas déborder par les évènements. N’oubliez pas que tout se fait progressivement, que les nouvelles habitudes prennent du temps à se transformer en automatismes. Et pour rester dans un bon état d’esprit, faites-vous plaisir et essayez-vous de nouvelles choses. Découvrez-vous de nouvelles passions et consacrez-y du temps : est-ce que ce ne serait pas le moment d’apprendre une nouvelle langue ? De tester de nouvelles recettes ? D'essayer une activité manuelle ? Prenez le temps de bien identifier tout ce qu’il vous faut faire, établissez une liste et FONCEZ ! Si vous vous sentez déjà dépassée, ne retenez qu’un seul conseil : il faut y aller par étapes. Inutile de vous surcharger au risque de créer l’inverse de l’effet escompté au début. Au contraire, si vous vous sentez d’attaque et motivée, libre à vous d’aller soulever des montagnes. Et vous, quels sont vos conseils pour bien réussir votre rentrée ? Read the full article
0 notes
savoir-entreprendre · 1 month
Text
Le monde des affaires est en constante évolution, et les entreprises qui réussissent sont celles qui savent s'adapter aux changements et explorer de nouveaux domaines. Si vous envisagez de développer votre entreprise dans un nouveau domaine, il est important de prendre des mesures réfléchies et stratégiques pour garantir le succès. Dans cet article, nous explorerons les étapes clés pour vous guider dans ce processus passionnant mais parfois risqué. Effectuez une analyse approfondie La première étape pour développer votre entreprise dans un nouveau domaine est de mener une analyse approfondie. Vous devez comprendre le marché dans lequel vous vous lancez, les tendances, la concurrence, les besoins des clients et les opportunités potentielles. Cette étape est cruciale pour évaluer la viabilité de votre expansion. Identifiez vos forces et faiblesses Évaluer les compétences, les ressources et l'expertise de votre entreprise est essentiel. Identifiez ce que vous faites bien et comment cela peut être appliqué dans le nouveau domaine. En outre, reconnaissez vos faiblesses et déterminez si elles doivent être comblées par la formation, l'embauche ou la sous-traitance. Élaborez une stratégie claire Une fois que vous avez une compréhension approfondie du nouveau domaine et de votre entreprise, il est temps de développer une stratégie claire. Déterminez vos objectifs, les étapes nécessaires pour les atteindre et les ressources dont vous aurez besoin. Votre plan doit être flexible pour s'adapter aux défis potentiels en cours de route. Investissez dans la formation Le développement dans un nouveau domaine peut nécessiter de nouvelles compétences et connaissances. Assurez-vous d'investir dans la formation de vos employés ou d'embaucher des experts pour combler les lacunes. Le développement professionnel continu est essentiel pour réussir dans un nouveau domaine. Créez des partenariats stratégiques La collaboration avec d'autres entreprises ou experts du domaine que vous ciblez peut accélérer votre développement. Les partenariats stratégiques peuvent vous apporter des compétences complémentaires, un accès à des réseaux de clients et des ressources supplémentaires. Pilotez un projet pilote Avant de plonger complètement dans le nouveau domaine, envisagez de lancer un projet pilote. Cela vous permettra de tester vos idées, d'obtenir des commentaires et d'ajuster votre approche si nécessaire. Un projet pilote bien exécuté peut réduire les risques liés à l'expansion. Restez à l'écoute du feedback L'écoute de vos clients, de vos employés et de vos partenaires est essentielle tout au long du processus. Soyez ouvert aux commentaires, positifs et négatifs, et utilisez-les pour améliorer votre offre et votre stratégie. Soyez prêt à échouer Le développement dans un nouveau domaine comporte des risques, et il est possible que certaines de vos initiatives ne réussissent pas. Cependant, l'échec peut être une source d'apprentissage précieuse. Restez résilient et prêt à ajuster votre stratégie en fonction des résultats. Le développement dans un nouveau domaine est une entreprise passionnante qui comporte son lot de défis, mais elle peut également apporter de grandes récompenses. En suivant ces étapes clés, en restant flexibles et en étant prêts à apprendre de l'expérience, vous pouvez maximiser vos chances de succès. La persévérance et la recherche constante d'amélioration sont les clés pour développer votre entreprise dans un nouveau domaine et continuer à prospérer dans un environnement commercial en évolution constante. https://savoirentreprendre.net/?p=2702&feed_id=5682
0 notes
Text
Couteau Suisse Digital - Titre : "Comment gérer efficacement des projets complexes ?" Lien de l'article : https://www.couteauswissedigital.fr/comment-gerer-projets-complexes/ Dans le monde des affaires, la gestion de projets fait partie intégrante de toute entreprise qui souhaite se développer et prospérer. Cependant, certains projets peuvent être plus complexes que d'autres, nécessitant une attention particulière et une stratégie
Visiter CouteauSuisseDigital.com Titre : "Optimiser la gestion de projets complexes : les clés du succès" Link : https://www.boostetonplaisir.com/optimiser-gestion-projets-complexes-succes/ Dans le monde professionnel, la gestion de projets est un élément essentiel pour assurer la croissance et la réussite d'une entreprise. Cependant, certains projets peuvent être plus difficiles à gérer que d'autres en raison de leur complexité. Dans cet article, nous allons vous donner des astuces pour gérer efficacement des projets complexes et atteindre vos objectifs. 1. Définir clairement les objectifs et les attentes Avant de commencer un projet complexe, il est primordial de définir clairement les objectifs et les attentes à atteindre. Cela permettra de garder une vision claire et de rester concentré sur les résultats à atteindre. Il est également important de communiquer ces objectifs à toutes les personnes impliquées dans le projet pour s'assurer que tout le monde travaille dans la même direction. 2. Constituer une équipe compétente Les projets complexes exigent souvent l'intervention de plusieurs personnes aux compétences différentes. Il est donc crucial de constituer une équipe compétente et complémentaire, qui sera capable de relever les défis du projet. Il est également essentiel de bien définir les rôles et les responsabilités de chaque membre de l'équipe pour éviter les malentendus et les conflits. 3. Planifier étape par étape La planification est une étape clé pour la réussite d'un projet complexe. Il est important de découper le projet en plusieurs étapes réalistes et d'établir un calendrier précis pour chaque tâche. Cela permettra de garder le contrôle sur l'avancée du projet et d'ajuster la planification en cas de besoin. 4. Communiquer efficacement La communication est un élément crucial dans la gestion de projet, surtout lorsqu'il s'agit de projets complexes. Il est essentiel de mettre en place des outils et des canaux de communication adaptés pour faciliter les échanges entre les membres de l'équipe et résoudre rapidement d'éventuels problèmes. 5. Faire preuve de flexibilité Malgré une bonne planification, des imprévus peuvent survenir lors d'un projet complexe. Il est donc important de faire preuve de flexibilité et de s'adapter en fonction des changements ou des nouvelles contraintes. Cela permettra de maintenir l'avancée du projet et de trouver des solutions alternatives si nécessaire. En suivant ces conseils, vous serez en mesure de gérer efficacement des projets complexes et d'atteindre vos objectifs dans les délais et dans les budgets impartis. N'oubliez pas de garder une vision claire et de rester motivé tout au long du projet. Reserver un appel sur CouteauSuisseDigital.com ou consulter notre article Couteau Suisse Digital — “Gérer les projets complexes : conseils pour réussir”
0 notes
Text
Science et Amour: La Clé pour une Carrière et une Vie Amoureuse Florissantes pour les Entrepreneures
Tumblr media
Tu es une femme entrepreneure ?
Imagine un monde où ton business et ta vie amoureuse s'épanouissent ensemble, sans compromis.
Sounds like a dream?
Avec l'article "Équilibrer Amour et Carrière : Conseils pour Femmes Entrepreneures", on t'emmène dans un voyage où la physique quantique et la loi d'attraction ne sont pas juste des termes fancy, mais de véritables outils pour t'aider à trouver l'équilibre parfait. Cet article casse les idées reçues et t'offre une nouvelle perspective sur comment allier amour et succès professionnel.
Laisse-toi inspirer par des stratégies innovantes et des histoires de femmes qui ont réussi à transformer leur vie.
C'est ta chance de redéfinir ce que signifie réussir, en amour comme en affaires. Prête à explorer cette nouvelle dimension ?
Plonge dans l'article complet ici et commence à construire ta vie de rêve, sans choisir entre amour et carrière.
0 notes
infolites · 4 months
Text
Pourquoi et comment réussir le choix d’un avocat en droit du travail ?
Les milieux professionnels et des affaires exposent à diverses situations qui requièrent de faire des choix juridiques éclairés. De la gestion des contrats à celle des litiges et autres, un avocat en droit du travail est bien placé pour accompagner efficacement dans différents processus. Toutefois, il faut encore pouvoir faire un choix avisé de ce professionnel du droit. Découvrez ici pourquoi et…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
chimusume · 4 months
Text
Pourquoi et comment réussir le choix d’un avocat en droit du travail ?
Les milieux professionnels et des affaires exposent à diverses situations qui requièrent de faire des choix juridiques éclairés. De la gestion des contrats à celle des litiges et autres, un avocat en droit du travail est bien placé pour accompagner efficacement dans différents processus. Toutefois, il faut encore pouvoir faire un choix avisé de ce professionnel du droit. Découvrez ici pourquoi et…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
nationnewsletters · 4 months
Text
Nord-Kivu : La force de la SADC s’apprête à attaquer les rebelles du M 23
Tumblr media
La force de la Communauté de développement de l'Afrique australe, SAMI DRC, lance bientôt, aux côtés des FARDC, l’offensive contre les rebelles du 23 mars, M 23.
Le secrétaire exécutif de la SADC, Elias Magosi vient de l’affirmer lors de la rencontre avec le gouverneur militaire du Nord-Kivu, le général major Peter Chirimwami.
C’est hier lundi 22 janvier 2024 à Goma, le chef-lieu de la province du Nord-Kivu.
La visite d’Elias Magosi consiste concrètement à s’imprégner de la situation sur le terrain et voir comment aider la mission à s'établir et à opérer.
L'Accord portant statut de la Force de la SADC a été signé le 17 novembre 2023, il y a 3 mois.
Le ministre des Affaires étrangères, Christophe Lutundula, a souligné l'engagement ferme du gouvernement congolais à appuyer cette Force régionale. 
Selon lui, cette force vient soutenir l'armée congolaise dans la lutte contre le M23.
Pour la société civile du Nord-Kivu, cette mission ne pourra réussir que si elle bénéficie de l'appui total de toute la population.
IN ENGLISH : North Kivu: SADC force prepares to attack M23 rebels
The Southern African Development Community force, SAMI DRC, soon launched, alongside the FARDC, the offensive against the March 23 rebels, M 23. The Executive Secretary of the SADC, Elias Magosi has just affirmed this during the meeting with the military governor of North Kivu, Major General Peter Chirimwami. It was yesterday Monday January 22, 2024 in Goma, the capital of the North Kivu province. Elias Magosi's visit consists of immersing himself in the situation on the ground and seeing how to help the mission establish itself and operate. The SADC Force Status Agreement was signed on November 17, 2023, 3 months ago. The Minister of Foreign Affairs, Christophe Lutundula, underlined the firm commitment of the Congolese government to support this regional force. According to him, this force supports the Congolese army in the fight against the M23. For civil society in North Kivu, this mission can only succeed if it benefits from the full support of the entire population.
1 note · View note